Analyse en composantes principales, ACP, sous SPSS (Principal Component Analy...Adad Med Chérif
Analyse en composantes principales (ACP) est une analyse statistique descriptive multivariée qu’on applique à un ensemble de variables initiales qu’ on veut réduire en quelques facteurs ou composantes (nouvelles variables). . Ces derniers sont aussi appelés axes. Elle consiste à synthétiser les données issues d’un croisement entre plusieurs variables numériques
SPSS est un logiciel bien adapté pour l’analyse des questionnaires. A l’inverse de l’Excel, SPSS être capable de réduire considérablement le temps de la saisie des données .
Analyse en composantes principales, ACP, sous SPSS (Principal Component Analy...Adad Med Chérif
Analyse en composantes principales (ACP) est une analyse statistique descriptive multivariée qu’on applique à un ensemble de variables initiales qu’ on veut réduire en quelques facteurs ou composantes (nouvelles variables). . Ces derniers sont aussi appelés axes. Elle consiste à synthétiser les données issues d’un croisement entre plusieurs variables numériques
SPSS est un logiciel bien adapté pour l’analyse des questionnaires. A l’inverse de l’Excel, SPSS être capable de réduire considérablement le temps de la saisie des données .
Cours Intelligence Economique pour l'Ecole doctorale d'OrsayAurelien Gaucherand
Présenter la notion d'intelligence économique à des thésards (Ecole doctorale d'Orsay) dans le domaine de la biologie en trois heures...
Voiçi commenta j'ai fait, en 2006.
Les positionnements épistémologiques et Outils méthodologiquesbouchra elabbadi
Ce document offre l'opportunité aux étudiants en master de recherche Sciences de Gestion d'être en parfaire connaissance des paradigmes épistémologiques et des outils méthodologiques à utiliser lors la réalisation d'un papier scientifique quelconque en sciences de gestion.
Gestion des connaissances (Knowledge Management)Hanen Bensaad
La gestion des connaissances (ou Knowledge Management) s’applique à un nombre croissant d’entreprises depuis les années 2000, et notamment aux secteurs commercial, recherche et services. Cette démarche se caractérise par la capitalisation de connaissances stratégiques d’un ou plusieurs services puis par leur diffusion au personnel concerné.
L'intelligence économique doit etre un Etat d'Esprit ! A l'ére de l'information il ne saurait etre possible de pardonner au Manager de ne pas savoir ! Savoir est la premiére tache du Manager ! La pratique de l'intelligence économique devient incontournable !
Ce support vise à permettre d'avoir une vue large de ce qu'est l'intelligence économique, de poser les fondamentaux et permettre toutes les possibilités d'approfondissement !
Management de l'innovation par karim bouassemKarim1980
Il est indéniable que, dans un contexte de mondialisation, la compétition économique repose de plus en plus sur la capacité à innover.
Le travail que je présente, a pour objectif d’étudier la pratique de l’innovation au sein de l’entreprise marocaine.
comprendre les enjeux des renseignements numérique sensible et la nécessaire politique de protection des patrimoines numériques outils et méthodes opérationnels de diagnostics sécurité espionnage ransomware cryptage pirates passer en technique offensive
Cours Intelligence Economique pour l'Ecole doctorale d'OrsayAurelien Gaucherand
Présenter la notion d'intelligence économique à des thésards (Ecole doctorale d'Orsay) dans le domaine de la biologie en trois heures...
Voiçi commenta j'ai fait, en 2006.
Les positionnements épistémologiques et Outils méthodologiquesbouchra elabbadi
Ce document offre l'opportunité aux étudiants en master de recherche Sciences de Gestion d'être en parfaire connaissance des paradigmes épistémologiques et des outils méthodologiques à utiliser lors la réalisation d'un papier scientifique quelconque en sciences de gestion.
Gestion des connaissances (Knowledge Management)Hanen Bensaad
La gestion des connaissances (ou Knowledge Management) s’applique à un nombre croissant d’entreprises depuis les années 2000, et notamment aux secteurs commercial, recherche et services. Cette démarche se caractérise par la capitalisation de connaissances stratégiques d’un ou plusieurs services puis par leur diffusion au personnel concerné.
L'intelligence économique doit etre un Etat d'Esprit ! A l'ére de l'information il ne saurait etre possible de pardonner au Manager de ne pas savoir ! Savoir est la premiére tache du Manager ! La pratique de l'intelligence économique devient incontournable !
Ce support vise à permettre d'avoir une vue large de ce qu'est l'intelligence économique, de poser les fondamentaux et permettre toutes les possibilités d'approfondissement !
Management de l'innovation par karim bouassemKarim1980
Il est indéniable que, dans un contexte de mondialisation, la compétition économique repose de plus en plus sur la capacité à innover.
Le travail que je présente, a pour objectif d’étudier la pratique de l’innovation au sein de l’entreprise marocaine.
comprendre les enjeux des renseignements numérique sensible et la nécessaire politique de protection des patrimoines numériques outils et méthodes opérationnels de diagnostics sécurité espionnage ransomware cryptage pirates passer en technique offensive
Ce travail a été réalisé en amont du lancement de l’expédition FinG DigiWork pendant l’été 2012. Il a ensuite alimenté les réflexions sur « le travail et l’entreprise » de l’étude prospective la dynamique d’internet, prospective 2030, publiée par le Commissariat général à la stratégie et à la prospective en juin 2013. Nous faisons le choix de publier ce “ document de travail “ tel que produit initialement pour fournir aux membres de la communauté ouverte Digiwork les éléments de lecture ayant servi à la réflexion. Pour toute remarque, question, écrivez-nous sur le réseau social FING http://www.reseaufing.org/pg/blog/group:98977/new/
Perspective pour la croissance mondiale - Commentaires de Gilbert CetteFrance Stratégie
Contribution de Gilbert Cette au Projet 2017/2027 de France Stratégie : Perspective pour al croissance mondiale.
http://francestrategie1727.fr/thematiques/la-croissance-mondiale-d-une-decennie-a-l-autre/
Note de synthese - Impact de la crise du Covid19 sur l'économie tunisienneMourad Mnif, CFA
Le club Think Finance de l’ATUGE(Association des TUnisiens des Grandes Ecoles) a organisé le mercredi 6 mai 2020 un webinar sur l’impact de la crise du Covid-19 sur l’économie tunisienne. Cet événement avait comme objectifs de :
- Faire un état des lieux des mesures prises par le gouvernement tunisien et par la Banque Centrale de Tunisie,
- Etablir un diagnostic des principaux traits de l’économie tunisienne impactée par la crise,
- Recueillir et discuter des recommandations de sortie de crise à court, moyen et long terme.
Nous avons adressé ces problématiques au travers d’un débat avec un panel d’experts composé d’anciens ministres, d’économistes et de hauts fonctionnaires. En dehors des regards critiques et complémentaires sur la situation économique, nos intervenants nous ont fait part de leurs lectures de la situation et de leurs préconisations. Nous tenons à remercier vivement nos intervenants d’avoir participé à ce webinar.
A travers cette publication, le club Think Finance présente une note de synthèse qui restitue les propos de nos invités recueillis pendant le webinar. Le travail d’introduction et de mise en contexte a été réalisé par les membres du club.
Lien de l'enregistrement : https://youtu.be/L7z6Rcd_3yk
Depuis 2007, avec des petits hauts et beaucoup de bas, c’est la grande récession. La reprise souvent annoncée n’est pas en vue, elle est plus que problématique comme le montrent les derniers développements en Europe. Dans ce cadre, les politiques d’austérité mortifères qui y sont administrées comme un remède de cheval n’ont pas la croissance pour objectif, mais bien la révision sociale tous azimuts des grandes conquêtes de la période précédente.
Retrouvez les chiffres et les explications dans le dernier diaporama d’Apex.
Les étudiants de Kedge Business School Marseille invite Israël pour parler d'...FSJU AUJF
Clepsydre et Kedge Israël invitent le Consul Général d'Israël à Marseille pour parler d'Innovation, de Croissance, et de Start-ups en Israël.
Les raisons de la réussité économique et les fondements de l'écosystème.
Medef 2020 03 03 - documents du Conseil Exécutif sur le coronavirusSociété Tripalio
Document récapitulatif du MEDEF présenté au Conseil Exécutif de fin mars sur la situation économique après 15 jours de confinement. Importants indicateurs donnés par les différentes fédérations du MEDEF.
Similaire à Séance 2 les théories de la croissance (20)
2. 3. Comment rehausser la croissance potentielle ?
1. Point sur les notions fondamentales
2. Quelques modèles de croissance
Les théories de la croissanceSéance n° 2
3. La croissance : notions fondamentales
Produit intérieur brut
Richesse produite par un pays : c’est la somme des valeurs ajoutées des
entreprises du pays pendant une période donnée (un trimestre ou un an)
PIB par habitant ou par tête : mesure le niveau de vie. La croissance
économique renvoie donc à l’élévation du PIB/tête au cours du temps.
Pour comparer les PIB/hab, des corrections techniques sont nécessaires. Au cours
du temps : PIB à prix constants corrigés de l’évolution des prix. Entre pays : PIB
corrigés des taux de change (Big Mac Index).
Les limites du PIB : externalités, bien-être (IDH), productivité horaire.
4. La croissance : notions fondamentales
Croissance potentielle
Augmentation soutenable à moyen et long terme de la production
sans accélération de l’inflation (sans tensions excessives sur les
marchés des biens et du travail). C’est une valeur théorique.
Estimation de la croissance potentielle française avant crise : 2,25% vs.
1,5% aujourd’hui (INSEE).
Le modèle de Solow
Y = C + I + G + X - M
Y* = L + K + PGF
Y (LT) = L + PGF
Rendements décroissants ?
Etat stationnaire ?
Tiers facteur : progrès technique
Les contributions à la croissance chinoise (FMI)
5. Productivité globale des facteurs de production (PGF)
Evaluée comme un résidu (progrès technique), c’est la fraction de la croissance
qui n’est pas expliquée par l’augmentation quantitative des facteurs de
production. Elle permet d’apprécier les gains d’efficience d’une économie et
dépend de la technologie, du fonctionnement des marchés et de l’organisation
du travail.
Ex. 1990-2000 : USA investissement et gains de productivité vs. UE croissance
enrichie en emplois.
Output gap
Ecart en niveau entre PIB effectif et PIB potentiel
Permet de positionner une économie dans le cycle
Cycle économique
Alternance entre des phases de croissance rapide
et des phases de ralentissement.
Le cycle constitue une déviation ou une fluctuation
du niveau d’activité par rapport à sa tendance
de long terme.
La croissance : notions fondamentales
6. La croissance : notions fondamentales
Distance à la frontière technologique
Plus un pays est éloigné de la frontière technologique, plus le progrès
technique passe par l’imitation de l’économie la plus avancée. Plus il se
rapproche de la frontière, plus il est important d’y encourager
l’innovation avec des institutions idoines (Acemoglu, 2006).
Ex. le revenu/hab du Cameroun passerait de 600 à 2 760 $ (*4,5) si la
qualité de ses institutions rejoignait la moyenne mondiale
Convergence économique
Révèle un phénomène de rattrapage
Entre pays : les pays pauvres croissent plus vite que les pays riches,
autrement dit corrélation négative entre le niveau initial du PIB/tête et
le taux de croissance
Entre revenus : la dispersion des revenus se réduit, c’est-à-dire l’écart-
type des PIB/tête diminue (indice de GINI)
Club de convergence : entre pays comparables (ex. OCDE hors TUR/MEX)
7. La croissance : notions fondamentales
Théorie de la croissance endogène
Paul Romer, “Increasing Returns and Long Run Growth” (1986)
Quatre facteurs influents :
Les rendements d’échelle (infrastructures publiques = externalités positives)
L’innovation (organisation, procédés, produits) : externalité positive et prime pour
le first mover
Le capital humain (éducation, formation, bonne santé)
L’investissement public (R. Barro : circulation des biens, des personnes, de
l’information et financement par l’impôt jusqu’à un certain seuil)
Evolution des dépenses totales en R&D (en % du PIB)
8. La croissance : notions fondamentales
Un phénomène récent et non prédéterminé (A. Madison)
R. Lucas : théorie du Big Push : accumulation de K
pour sortir de la trappe à pauvreté (notamment
après les destructions de 39-45)
R. Gordon : théorie de la stagnation séculaire :
parenthèse va se refermer car phénomènes non
reproductibles (conquête de nouveaux espaces,
alphabétisation, exode rural, machinisation).
Croissance et inégalités
S. Kuznets (1955) : courbe en cloche.
Piketty : réduction pas naturelle (impôts et
événements inattendus affectant le K :
guerre, inflation).
J. Stiglitz (2012) : Top 1% = déformation
du partage de la VA entre K et L, instabilité
financière, fige la mobilité sociale.
9. La croissance : notions fondamentales
Un déclin tendanciel de la productivité du travail depuis la fin des 30G…
Augmentation moyenne de la productivité horaire (en %)
Sources : Datastream, Eurostat
...D’où une croissance potentielle plus faible
Moyenne de la croissance du PIB (volume, en %)
Sources : Datastream, Eurostat
10. Les théories de la croissanceSéance n° 2
3. Comment rehausser la croissance potentielle ?
1. Point sur les notions fondamentales
2. Quelques modèles de croissance
11. Le modèle français
Un modèle de croissance déséquilibré…
Prépondérance de la consommation privée et publique (79% PIB)
Une contribution négative du commerce extérieur
Des effets d’hystérèse depuis la crise : 1 600 usines fermées (Trendeo, 2015),
ralentissement des gains de productivité, donc de la Y*
…Un modèle fiscal et social qui réduit la compétitivité des entreprises
Poids des PO pesant sur le facteur K (alignement du barème de l’IR en 2013)
Evolution inversée des coûts salariaux unitaires en France et en Allemagne
entre 2001 et 2008 : +2,2% vs. -0,2% (Lettre Trésor Eco #134)
12. Le modèle allemand
Un modèle de compétitivité…
Excédent structurel du commerce extérieur : 6,5% du PIB en 2014 (élasticité-prix
de la demande des biens : 0,3 vs. 0,9 en France), économie très ouverte (Chine 1er
partenaire commercial)
Tissu industriel de PME décentralisé (Mittelstand) : 97% des entreprises, 45% de l’emploi
Une économie proche de la frontière technologique : 2,61 robots industriels achetés
par millier d’emplois vs. 0,86 en France et 1,00 au Royaume-Uni (Natixis, 2014) ; 46
Md€ de dépenses de R&D dans l’industrie manufacturière vs. 16 Md€ en France
…fruit d’une préférence collective
Jusqu’en 2015, la population active a diminué
Taux de pauvreté à 15% (60% revenu médian)
Indice de Gini à 0,3 (mesure des inégalités)
Faible part de l’investissement public (1,5% PIB)
(v. Rapport de France Stratégie, 2014)
13. Le modèle chinois
Un modèle de croissance par imitation
« Economie sociale de marché » : PIB * 6 en 20 ans : 220 Md$ (1978) à 7300 Md€ (2010)
Prépondérance de l’investissement (50% PIB vs. 36% pour la consommation)
Une croissance extravertie : de 2% en 1981 à 10% en 2011 des exportations
mondiales, dont 40% vers UE et USA (désinflation importée). 65 Md€ d’IDE/an.
La recherche d’un rééquilibrage
Au plan externe : diminution de l’excédent commercial après un pic à 10% (2007).
Krugman : taux de change du Yuan reste > 20% à son niveau d’équilibre (FEER).
Au plan interne : développement d’une protection sociale (réduit le taux d’épargne
des ménages), hausse des W : +20% par an depuis 2005 (BCG). Montée en gamme
et début de délocalisations (ex. Foxconn au Vietnam).
1er investisseur dans les technologies vertes (50 Mds). Ex. leader sur la marché du
photovoltaïque (60% de l’offre mondiale).
Des défis à surmonter
Fortes inégalités (Gini 0,5) et faible classe moyenne (130 M sur 1,5 Md)
Vieillissement démographique : 40% de retraités en 2040
1er émetteur de GES, pollution 4è cause de mortalité
14. Le modèle ghanéen
Le rôle des institutions et de la gouvernance
Démocratie depuis 1992. 7% de croissance en 2012. Tertiarisation (50% PIB).
Classe moyenne de 5M d’habitants (20%).
Acemoglu & Robinson (« Why Nations Fail? », 2012) : modèle inclusif (bonne
gouvernance) vs. modèle extractif (une élite politique contrôle les rentes : ex.
comparaison des deux Corée : même culture et géographie).
Mais récemment : fort déficit public (10%), aide du FMI (2014).
Le rôle du commerce international vs. l’aide publique au développement
Frankel & Romer « Does Trade Cause Growth? » (1999) : l’ouverture au
commerce est plus efficace sous certaines conditions géographiques (accès à la
mer, centres commerciaux). NB : APD = 100 Md$/an (0,36% PNB en France).
Ex. Vietnam : politique Doi Moi (rénovation) depuis 1986 : entrée dans l’ASEAN
en 1995 et dans l’OMC en 2007. PIB * 5 entre 1985 et 2011. Industrie = 40%
PIB notamment textile. L’un des tigres asiatiques.
15. Les théories de la croissanceSéance n° 2
3. Comment rehausser la croissance potentielle ?
1. Point sur les notions fondamentales
2. Quelques modèles de croissance
16. La politique de l’offre en France depuis 2012
CICE et PRS pour stimuler l’investissement privé et restaurer les marges
41 Md€ (2% PIB) d’ici 2017 en faveur des entreprises = 0,15 pt de Y* dès 2013
Entre 2013 et 2014 : -3,3% indice du prix du L (INSEE, 2015)
Hausse du taux de marge des SNF à 31,7% en
2017 vs. 29,5% en 2014 (Rexecode, 2015)
Mais un financement du CICE par la fiscalité :
TVA en 2014 et hausse de l’IR dès 2012
=> -0,3 pt de croissance en 2014
PRS financé par le plan d’économies de 50 Md€
Après 2017 ? Recyclage du CICE en baisse d’IS
ou en baisse de cotsoc (pas neutre)
Des prélèvements à chaque étape de la comptabilité des entreprises :
CA (C3S) – CI = VA (CVAE)
VA – charges d’exploitation (taxes sur W et cotsoc) = Résultat d’exploitation
Résultat d’exploitation – IS = Résultat net
=> Le CICE ne bénéficie qu’aux entreprises qui dégagent un bénéfice (assis sur la MS
entre 1 et 2,5 SMIC) vs. le PRS à toutes les entreprises couvertes (jusque 3,5 SMIC)
18. La voie de la croissance endogène : diffusion de
l’innovation et investissement public
Soutenir l’innovation et surtout sa diffusion dans l’économie
Beaucoup de dispositifs de soutien (CIR, BPI, PIA : v. Rexecode : +0,1 Y* sur 2010-
2020), mais sous-investissement dans les TIC. Mieux cibler les aides à l’innovation (v.
rapport IGF 2012) pour augmenter le niveau de qualité de l’investissement (Rapport
France Stratégie, « Quinze ans de politiques d’innovation en France », 2016).
Retard sur l’éducation (OCDE) : salaires (33k vs. 38k), taille des classes (23 vs. 21),
décrochage (25%) et déséquilibre primaire vs. secondaire. Supérieur : 18%
financement privé vs. 32%, écart de 1 à 3 avec US & UK dans classement Shanghai.
Lever les obstacles à l’entrepreneuriat et à la création d’entreprises (simplification
administrative, barrières réglementaires) + loi « Macron » (faible impact sur Y* et N)
Stimuler l’attractivité du territoire : mesures en faveur des IDE entrants
Réallouer l’investissement public vers les dépenses les plus productives
Recherche de rendements socio-économiques élevés (numérique, transition
énergétique, enseignement supérieur, etc) dans un contexte de taux d’intérêt faibles
sur les émissions obligataires souveraines (0,74% sur nos OAT à 10 ans) :
A l’échelle nationale ex. rénovation énergétique des bâtiments avec gage sur d’autres dépenses
publiques moins productives (subventions au gazole ou au photovoltaïque)
A l’échelle européenne avec le plan Juncker et proposition d’un budget propre de la zone Euro : v.
note CAE « Compléter l’Euro », 2013
19. FIN DE LA SÉANCE
Les théories de la croissanceSéance n° 2