1. Ce projet est financé en partie en vertu par du programme d’appui à l’implantation de systèmes de salubrité alimentaire,
biosécurité, traçabilité, santé et bien-être des animaux (axe 1), conformément à l’accord Canada-Quebec Cultivons l’avenir 2.
L’ÉTABLE, SOURCE DE CONFORT
Présenté par :
34. Une vache devrait se lever:
10 à 15 fois/j
À ≤ 6 par jour,
le risque de réforme
↑ de 102 %
Bécotte, 2014
Krohn, C.C. and Munksgaard, 1993
p.6
35. La vache passe la moitié
de son temps couchée
2,5h
4,5h
2,5h
2,5h
12h
Traite
Manger
Debout dans les allées et boire
Debout dans la logette
Couchée
p.7
36. Une vache devrait se reposer :
14 h/j
(minimum 12h)
Si ≤9h et ≥15 h/j,
le risque de réforme
↑ de 67 % Bécotte, 2014
Grant, R. 2007
p.7
37. Temps de repos
pour chaque
heure
additionnelle de
repos
( à partir de 10h)
+1,7
kg lait
(Grant, 2007)
p.7
47. Après le constat…
Blessures ?
Boiterie?
Levers/couchers anormaux?
Durée de repos insuffisante ou
excessive ?
…comment corriger la situation
Pour ceux et celles qui sont à l’ère des médias sociaux, nous vous invitons à tweeter vos commentaires en lien avec le sujet du cours sous le mot clic #etableconfortable. Ainsi, il sera plus facile pour nous et les gens intéressés de suivre les sujets de conversation en lien avec le confort à l’étable et d’y prendre part avec vous.
La vache: Comprendre le comportement naturel de la vache dans son environnement
Le confort: Explorer les différentes méthodes reconnues pour détecter les problèmes de confort et en déterminer les causes
Le logement: Discuter des normes de confort et recommandées et pistes de solution pour le logement des vaches dans les différents types d’étables d’ici.
Le projet: Intégrer les notions de confort et de rentabilité à travers la réalisation d’un cas réel d’amélioration du confort à l’étable
La rentabilité: Comprendre l’intérêt économique d’améliorer le confort des vaches dans mon étable.
Tout ce que nous vous présenterons aujourd’hui est en harmonie avec le code de pratiques pour le soin et la manipulation des bovins laitiers. Le programme proaction sera également basé sur les exigences énoncées dans ce code.
Lien vers le fichier: http://www.nfacc.ca/pdfs/codes/scientists-committee-reports/Bovins%20laitiers%20Rapport%20du%20Comite%20scientifique.pdf
Mois Rapport Doris (Agritel)
rentabilité
25 -2775
39 -1350 -1382
41 -1530 -1562
53 589 -28
55 409 -208
66 2598 1419
68 2418 1239
79 2985
Peu de vaches se rentabilisent à l’intérieur d’une seule lactation. Il est donc nécessaire de trouver des solutions pour les garder dans le troupeau EN SANTÉ le plus longtemps possible.
La courbe bleue représente le RC 50 du rapport de rentabilité Valacta: donc basée sur données techniques seulement (obj. Du rapport = régie)
La courbe beige représente les données Agritel telles que présentées dans l’étude de Doris Pellerin (symposium 2014) et inclut les coûts de production réels de chaque ferme (incluant frais d’intérêts, amortissement, etc.)
Note aux formateurs: Cliquez trois coups pour faire apparaître le profit par lactation.
Comment faire faire pour savoir le profit par lactation dans mon troupeau?
Faire sortir le rapport de rentabilité aux participants et leur faire explorer:
1-Regardez le profit à vie moyen du troupeau. À quel RC vous situez-vous?2-Faites le calcul des profits par vache d’une lactation à l’autre. Et puis, que remarquez-vous?
À la 2e lactation, on remarque que la vache n’a pas encore produit suffisamment pour rembourser son coût d’élevage.
Plus on produit à chaque lactation, plus on fait de profits par lactation et plus on fait de lactations, plus ça vaut la peine aussi. Donc: productivité et longévité sont synonymes de profits.
Et plus la production augmente, plus la longévité es profitable.
Valacta, 2014
Race Holstein seulement
Tout au long de la formation, on va avoir fait le lien entre certaines conditions de logement qui ont une influence sur le risque de réforme (voir projet F. Bécotte, 2014) et sur la production. Donc en améliorant certains éléments du logement de nos vaches pour leur assurer un meilleur confort, on peut présumer que nos vaches vivront plus longtemps dans nos étables.
Au Québec en ce moment, les vaches vivent en moyenne 3 ans et 11 mois d’âge moyen au vêlage donc à peine 2 lactations (à valider avec Robert) . Est-ce qu’on pourrait faire mieux?
Défi: Allonger la vie productive de nos vaches d’une lactation.
Comment savoir si une vache est confortable?
Comment on fait pour savoir si une vache est confortable?
Le choix de l'étable et le type de gestion influent sur le comportement, la santé, la longévité et le rendement des vaches, de même que sur la rentabilité d'une ferme laitière. Une vache qui a peur ou dont les conditions de logement ne correspondent pas à ses besoins est susceptible de développer des comportements indésirables ou anormaux et de contracter des maladies. On juge du confort d'une vache à son comportement et aux maladies qui l'affectent. Les états pathologiques liés à un problème de confort sont, notamment, la boiterie, les blessures au jarret ou au cou, la mammite, la fièvre vitulaire, la cétose et le déplacement de la caillette. La façon de se comporter d'un animal qui se repose, se nourrit, se déplace ou se tient dans sa stalle fournit d'autres renseignements sur son confort. Les interactions positives entre une vache, le lieu où elle vit et le personnel qui s'en occupe contribuent au bien-être de l'animal, à la satisfaction des employés et à une bonne production du troupeau (Anderson, 2001).
Comment on fait pour savoir si une vache est confortable?
Le choix de l'étable et le type de gestion influent sur le comportement, la santé, la longévité et le rendement des vaches, de même que sur la rentabilité d'une ferme laitière. Une vache qui a peur ou dont les conditions de logement ne correspondent pas à ses besoins est susceptible de développer des comportements indésirables ou anormaux et de contracter des maladies. On juge du confort d'une vache à son comportement et aux maladies qui l'affectent. Les états pathologiques liés à un problème de confort sont, notamment, la boiterie, les blessures au jarret ou au cou, la mammite, la fièvre vitulaire, la cétose et le déplacement de la caillette. La façon de se comporter d'un animal qui se repose, se nourrit, se déplace ou se tient dans sa stalle fournit d'autres renseignements sur son confort. Les interactions positives entre une vache, le lieu où elle vit et le personnel qui s'en occupe contribuent au bien-être de l'animal, à la satisfaction des employés et à une bonne production du troupeau (Anderson, 2001).
Question interactive pour les participants: La ou lesquelles de ces blessures jugez-vous inacceptables? Inacceptables: A et D
Donner choix de réponses.
Discuter des résultats obtenus avec l’expert.
Question qui suivra: Quel pourcentage de vaches ayant ces blessures toléreriez-vous dans votre troupeau ou sont présentes dans votre troupeau?
Voir p. 4 dans le Guide.
Dans les projets de la grappe, on a utilisé cette méthode pour évaluer les blessures aux jarrets. C’est la même qui a été utilisée par les employés Valacta chez-vous en prévision du cours.
Plusieurs données présentées dans le cours proviennent des résultats de recherche de la grappe laitière 1, la cueillette de données a eu lieu à l’été 2011. Il y avait 240 fermes du Québec, de l’Ontario et de l’Alberta. L’échantillon regroupait 100 fermes en stabulation attachée (dont 60 du QC), 111 fermes en stabulation libre et 30 fermes équipées d’un système de traite automatisée.
Ce projet mené par a été financé par l’Entente de collaboration pour l’innovation en production et transformation laitières (AACFQRNT-MAPAQ-Novalait et Grappe de recherche laitière PLC-AAC).Financement a été en grande partie fait par le Producteurs Laitiers du Canada, donc c’est le résultat de votre investissement dans la recherche. Lorsque vous verrez le petit logo avec les bulles, vous saurez que cela provient de cette grande recherche canadienne.
Dans l’étude, le pourcentage de vaches par ferme présentant des blessures aux jarrets variait entre 0 et 100 % avec une moyenne de 56,2 %. pour la stabulation entravée, de 47,4 %
pour la stabulation libre. Il y a donc des blessures aux jarrets autant dans les étables à stabulation attachée que libres, mais un peu plus en stabulation attachée. Comme il y a des étables où il n’y a pas de blessures ou moins
Où vous situez-vous (résultats de l’évaluation faite par le TPL).
Dans l’étude, le pourcentage de vaches par ferme présentant des blessures aux jarrets variait entre 0 et 100 % avec une moyenne de 56,2 %. pour la stabulation entravée, de 47,4 %
pour la stabulation libre et de 36,8 % pour les fermes équipées d’un système de traite automatisée. Ces résultats illustrent que plusieurs producteurs réussissent à maintenir
le taux de blessures aux jarrets de leurs vaches près ou sous le seuil des 20 % et que les solutions sont faciles à mettre en place pour les réduire.
Un quart des fermes ont plus de 47% des vaches avec blessure au jarret.
Il est possible d’avoir peu de blessures au jarret peu importe le type de stabulation
Parmi ces éléments, lesquels sont des causes de blessures aux jarrets?
Faible quantité de litière, stalle trop large, matelas trop usé
Chaîne de cou courte, arrêtoir trop haut, stalle-logette trop étroite
Surface glissante, stalle trop courte, l’épilation est à la mode
Réponse: 2
Moyennes.
Parmi ces éléments, lesquels sont des causes de blessures aux genoux?
Surface trop dure, allées glissantes, poids des vaches élevé
Faible quantité de litière, chaîne de cou longue, stalle trop courte
Barre d’attache pas assez avancée, fond de la mangeoire bas, chaîne de cou courte
Réponse: 3.
Moyennes.
Parmi ces éléments, lesquels sont des causes de blessures aux genoux?
Barre d’attache/de cou pas assez avancée, chaîne de cou courte,
Barre d’attache trop basse, chaîne de cou trop longue
Barre d’attache trop reculée, vache niaiseuse
Réponse: 1.
Crédit photo: Dr Yves Caron
Ici, la division est clairement un problème.
Même si on ne cote pas l’intérieur des jarrets, cette blessure nous indique un problème de confort. Ici, syndrome de la vache agitée?
Il faut trouver l’endroit où la vache s’est accrochée!
Le plus souvent, la vache se fait cette blessure elle-même (pas la faute de la voisine). Elle n’a pas l’espace voulu pour se placer adéquatement. Nous n’aborderons pas les causes détaillées de ce type de blessures dans cette formation, mais vous pouvez trouver l’info dans le Guide de confort.
Crédit photo: Dr. Université de Montréal André Desro
Comment on fait pour savoir si une vache est confortable?
Le choix de l'étable et le type de gestion influent sur le comportement, la santé, la longévité et le rendement des vaches, de même que sur la rentabilité d'une ferme laitière. Une vache qui a peur ou dont les conditions de logement ne correspondent pas à ses besoins est susceptible de développer des comportements indésirables ou anormaux et de contracter des maladies. On juge du confort d'une vache à son comportement et aux maladies qui l'affectent. Les états pathologiques liés à un problème de confort sont, notamment, la boiterie, les blessures au jarret ou au cou, la mammite, la fièvre vitulaire, la cétose et le déplacement de la caillette. La façon de se comporter d'un animal qui se repose, se nourrit, se déplace ou se tient dans sa stalle fournit d'autres renseignements sur son confort. Les interactions positives entre une vache, le lieu où elle vit et le personnel qui s'en occupe contribuent au bien-être de l'animal, à la satisfaction des employés et à une bonne production du troupeau (Anderson, 2001).
Lensink J. et Leruste H., L’observation du troupeau bovin, Éditions France Agricole, 2006.
Welfare Quality® Assessment Protocol for Cattle, 2009, ISBN/EAN 978-90-78240-04-4, 180 pages.
Normalement, la vache se lève et se couche avec facilité et sans hésitation. Lorsqu'elle se lève, elle propulse d'abord la tête vers l'avant, pour la rétracter ensuite, puis elle baisse et relève la tête. En fait, elle baisse la tête au point que son menton touche le sol. Par ce mouvement de bascule, elle fait passer son poids vers l'avant pour soulever son arrière-train. Elle commence ensuite à relever légèrement la partie avant de son corps et l'arrière-train suit, propulsé par les pattes arrière. Quand l'animal se soulève, les épaules se déplacent vers l'avant (longitudinalement avec le corps) d'environ 40 cm (16 po) et la tête d'environ 60 cm (24 po).
Tout objet se trouvant dans la portée de ce mouvement normal gêne l'animal qui se lève ou se couche. En observant et en écoutant attentivement l'animal, il est possible de repérer ce qui gêne ses mouvements, p. ex., le menton qui frotte sur le sol, la tête qui se cogne, le garrot qui frappe un obstacle, les pieds qui donnent des coups et les genoux qui s'entrechoquent.
Pour arriver à se lever ou à se coucher, l'animal modifie son coup de tête normal, son élan et ses balancements de la tête de gauche à droite, de sorte que ce qui s'effectuait gracieusement devient une série de mouvements traînants de l'avant et de l'arrière-train. Quand elle rencontre un obstacle, la vache décrit un arc avec la tête, comme dans un " saut de ski ", au lieu de donner un coup de tête normal.
(Anderson)
Figure 10.
Le lever de l'animal s'accompagne d'un mouvement vers l'avant. Les flèches indiquent le mouvement qu'effectue le museau d'un animal au moment de se lever. Le lever s'accompagne aussi de mouvements de la tête vers le bas, puis vers le haut. L'animal fait également un pas vers l'avant d'environ 46 cm (18 po) avec une patte avant. La patte qui s'avance passe généralement par-dessus un obstacle de 10 cm (4 po); c'est ce qui permet d'établir la hauteur maximale d'une bordure d'arrêt.
Question: Quels éléments du logement causent une altération dans les comportements de levers et couchers?
Krohn, C.C. and Munksgaard, 1993
Principaux facteurs de risque de réforme involontaire des vaches en 1ère et 2e lactations dans les troupeaux québécois.
Gomez and Cook, 2010
Grant, R. 2007. Taking advantage of natural behavior improves dairy cow performance. Pages 225-236 in Proc. Western Dairy Management Conf., Reno, NV.
Principaux facteurs de risque de réforme involontaire des vaches en 1ère et 2e lactations dans les troupeaux québécois.
Méta-analyse.
+ 1 heure au coucher = 1,7 kg lait (Grant, 2007)
Diminution du temps couché = diminution de rumination
3,5 min. de repos en moins = moins 1 min. alimentation
Remarquez ce 1,7 kg de lait supplémentaire pour chaque heure de repos, nous le verrons réapparaître à quelques reprises durant la formation.
Comment on fait pour savoir si une vache est confortable?
Le choix de l'étable et le type de gestion influent sur le comportement, la santé, la longévité et le rendement des vaches, de même que sur la rentabilité d'une ferme laitière. Une vache qui a peur ou dont les conditions de logement ne correspondent pas à ses besoins est susceptible de développer des comportements indésirables ou anormaux et de contracter des maladies. On juge du confort d'une vache à son comportement et aux maladies qui l'affectent. Les états pathologiques liés à un problème de confort sont, notamment, la boiterie, les blessures au jarret ou au cou, la mammite, la fièvre vitulaire, la cétose et le déplacement de la caillette. La façon de se comporter d'un animal qui se repose, se nourrit, se déplace ou se tient dans sa stalle fournit d'autres renseignements sur son confort. Les interactions positives entre une vache, le lieu où elle vit et le personnel qui s'en occupe contribuent au bien-être de l'animal, à la satisfaction des employés et à une bonne production du troupeau (Anderson, 2001).
Quelle est cette position?
Manque d’espace
Barre de cou trop reculée
Courroie de retenue trop basse
Problème d’onglons
Surface inconfortable
En position « perchée », les vaches se tiennent debout avec les pattes avant sur la plate-forme de leur stalle et les pattes arrière dans le couloir. Ce comportement peut également décrire une vache couchée dont une partie du corps se trouve dans la stalle et l'autre dans le couloir. Les maladies de la corne des onglons sont plus fréquentes dans les étables où les conditions favorisent la position « perchée » chez les vaches (Philipot, 1994).
La position « perchée » des vaches couchées constitue un facteur de contamination de la mamelle, des trayons, des pattes et de la queue, et un facteur de risque lié à la mammite. Le temps passé en position «perchée » peut durer de plusieurs minutes à plus d'une heure.
L'incidence de ce comportement augmente souvent avec les mesures de contrôle de la propreté appliquées dans les stalles, comme la barre d'arrêt placée vers l'arrière de la stalle, la barre réglable placée à l'avant de la stalle, une plate-forme plus courte ou l'utilisation d'une surface de repos peu confortable. Selon une étude, la fréquence de ce comportement a diminué lorsqu'on a augmenté la largeur des logettes de 112 à 132 cm (de 44 à 52 po).
Dans certaines étables à stabulation entravée, les vaches ont tendance à adopter la position « perchée », c'est-à-dire qu'elles se tiennent à moitié sur la plate-forme avec les deux pattes arrière dans le caniveau. Il se peut que le système de retenue et un espace frontal insuffisant favorisent ce comportement.
Version FR
Manque d’espace en longueur
Ouverture trop étroite devant
Surface de couchage trop courte
Muret de la mangeoire trop haut
Barre d’attache trop reculée
Évitement de la vache d’en face
En station debout ou couchée en diagonale, l'animal est placé en biais dans sa stalle. De cette manière, il a suffisamment d'espace pour se tenir les quatre pattes dans la stalle, exécuter un mouvement vers l'avant, éviter la vache qui occupe la stalle en face ou se coucher et avoir tout le corps sur la litière. Si les vaches adoptent la station debout ou couchée en diagonale dans une stalle, c'est que l'espace est insuffisant pour qu'elles se tiennent ou se couchent droites ou pour qu'elles effectuent un mouvement vers l'avant sans obstruction. Elles utilisent l'hypoténuse d'un triangle rectangle imaginaire dans la stalle pour nous avertir qu'elles sont limitées dans leurs mouvements.
Dans certaines stalles entravées, les vaches vont se tenir debout ou se coucher en diagonale en raison d'une ouverture frontale trop étroite, d'une plate-forme trop courte, d'une bordure de mangeoire trop haute ou d'un mauvais positionnement de la barre d'attache ou du dresseur électrique.
Anderson.
Peut être un comportement d’évitement d’une vache se tenant dans la stalle en face (stabulation libre)
Comment on fait pour savoir si une vache est confortable?
Le choix de l'étable et le type de gestion influent sur le comportement, la santé, la longévité et le rendement des vaches, de même que sur la rentabilité d'une ferme laitière. Une vache qui a peur ou dont les conditions de logement ne correspondent pas à ses besoins est susceptible de développer des comportements indésirables ou anormaux et de contracter des maladies. On juge du confort d'une vache à son comportement et aux maladies qui l'affectent. Les états pathologiques liés à un problème de confort sont, notamment, la boiterie, les blessures au jarret ou au cou, la mammite, la fièvre vitulaire, la cétose et le déplacement de la caillette. La façon de se comporter d'un animal qui se repose, se nourrit, se déplace ou se tient dans sa stalle fournit d'autres renseignements sur son confort. Les interactions positives entre une vache, le lieu où elle vit et le personnel qui s'en occupe contribuent au bien-être de l'animal, à la satisfaction des employés et à une bonne production du troupeau (Anderson, 2001).
Moyennes.
In addition, injured
hocks were associated with 1.4-
-fold increased odds of being lame
Solano, 2015
Jusqu’ici, nous avons passé en revue tous les indices à repérer sur nos bêtes pour vérifier si elles présentent un problème de confort. Une fois qu’on a fait le constat, on se doit de se poser certaines questions qui nous mèneront à trouver des éléments à améliorer dans le logement de nos vaches pour améliorer leur confort. C’est ce que nous allons faire lors des 2 prochains webinaires.
D’ici là, vous avez un devoir…
Jusqu’ici, nous avons passé en revue tous les indices à repérer sur nos bêtes pour vérifier si elles présentent un problème de confort. Une fois qu’on a fait le constat, on se doit de se poser certaines questions qui nous mèneront à trouver des éléments à améliorer dans le logement de nos vaches pour améliorer leur confort. C’est ce que nous allons faire lors des 2 prochains webinaires.
D’ici là, vous avez un devoir…