Normes et qualite pour l’amelioration de la competitivite des pme locales
1. NORMES ET QUALITE POUR
L’AMELIORATION DE LA
COMPETITIVITE DES PME
LOCALES
M. KEGUENI Paul Claude Aimé
Chef Service Elaboration des Normes /
ANOR
2. SOMMAIRE
I. INTRODUCTION
II. LES EXIGENCES DES MARCHES NATIONAL, REGIONAL,
INTERNATIONAL
III. LES NORMES ET LA QUALITE
IV. LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA PARTICIPATION AUX
TRAVAUX DE NORMALISATION POUR LES PME
V. LES ACTIONS DE L’ANOR POUR LA COMPETITIVITE DES PME
VI. CONCLUSION
3. SOMMAIRE
I. INTRODUCTION
II. LES EXIGENCES DES MARCHES NATIONAL, REGIONAL,
INTERNATIONAL
III. LES NORMES ET LA QUALITE
IV. LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA PARTICIPATION AUX
TRAVAUX DE NORMALISATION POUR LES PME
V. LES ACTIONS DE L’ANOR POUR LA COMPETITIVITE DES PME
VI. CONCLUSION
4. INTRODUCTION :
QU’EST-CE QU’UNE PME ?
La main
d’œuvre
Le chiffre
d’affaires
3 types de PME:
- TPE: au plus 05 pers, CA: 15
millions);
- PE: six (06) et vingt (20)
personnes, CA HT SUPERIEUR A 15
millions et inférieur à 100 millions –
- - ME: vingt-et-un (21 et cent
(100) personnes et CA HT SUP à 100
millions et n’excède pas 01 milliard),
Critères de
définition des
PME
5. INTRODUCTION :
LA COMPETITIVITE
Capacité pour une PME à étendre
sa présence sur les marchés
nationaux et internationaux
(ONUDI)
Capacité pour une PME à accaparer de
manière rentable et durable les parts de
marchés face à ses concurrents en offrant un
produit de qualité à un Prix inférieur à ses
concurrents
=
Compétitivité
6. Compétitivité
prix
Coûts de
production
Marge des
producteurs
Taux de
change en cas
d’exportation
Compétitivité
hors prix
Qualité
Innovations
Réputation de
l’entreprise
= Capacité à produire des
biens et des services à des
prix inférieurs à ceux des
concurrents pour une
qualité équivalente
= Capacité à imposer des
biens et des services
indépendamment de leur prix
(qualité, innovation, services
après vente, image de
marque, délais de livraison,
capacité à s’adapter à une
demande diversifiée, etc)
INTRODUCTION :
LA COMPETITIVITE
7. les PME en concurrence avec les gros industriels
Accords sur
les OTC
Libéralisation
des marchés
Mondialisation
INTRODUCTION :
LA COMPETITIVITE
8. SOMMAIRE
I. INTRODUCTION
II. LES EXIGENCES DES MARCHES
NATIONAL, REGIONAL, INTERNATIONAL
III. LES NORMES ET LA QUALITE
IV. LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA PARTICIPATION AUX
TRAVAUX DE NORMALISATION POUR LES PME
V. LES ACTIONS DE L’ANOR POUR LA COMPETITIVITE DES PME
VI. CONCLUSION
9. Exigences sanitaires et phytosanitaires
Exigences environnementales,
Sécurité : « produit sain »
Emballages et étiquetage
Procédures administratives
LES EXIGENCES DES MARCHES :
GÉNÉRALITÉS
10. Progression annuelle moyenne
des échanges :
Exportations : 10,9%
Importations : 9,9%
LES EXIGENCES DES MARCHES :
AU NIVEAU NATIONAL
11. Loi sur les Echanges Commerciaux en
Afrique (AGOA)
Loi visant notamment à éliminer les
barrières commerciales entre les USA
et les pays éligibles.
Accords de Partenariat
Economique (APE)
Les APE avec l’Union
Européen invitent à
l’ouverture réciproque du
marché européen et
Accord de Libre Echange
Continental (CFTA)
Le CFTA promeut les
échanges intra africains
LES EXIGENCES DES MARCHES :
AU NIVEAU INTERNATIONAL
12. L’Union Européenne : le débouché potentiel en matière
d’exportation est porté à environ 600 000 000 de consommateurs.
LES EXIGENCES DES MARCHES :
AU NIVEAU REGIONAL
13. La sous-région Afrique Centrale : le débouché potentiel en
matière d’exportation est porté à environ 147 000 000 de
consommateurs en zone CEMAC + République Démocratique du
Congo.
LES EXIGENCES DES MARCHES :
AU NIVEAU SOUS REGIONAL
14. Le Nigéria : le flux des échanges entre les deux pays est
important. En 2005, le Nigeria a fourni 27% des importations
camerounaises, sans compter les flux informels reconnus, mais
mal évalués
LES EXIGENCES DES MARCHES :
AU NIVEAU SOUS REGIONAL
15. SOMMAIRE
I. INTRODUCTION
II. LES EXIGENCES DES MARCHES NATIONAL, REGIONAL,
INTERNATIONAL
III. LES NORMES ET LA QUALITE
IV. LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA PARTICIPATION AUX
TRAVAUX DE NORMALISATION POUR LES PME
V. LES ACTIONS DE L’ANOR POUR LA COMPETITIVITE DES PME
VI. CONCLUSION
17. Un document
de référence
Règles, lignes
directrices,
caractéristiques
Consensus entre
l’ensemble des parties
prenantes
Établie par un
organisme de
normalisation reconnu
Application volontaire
Norme
Utilisée dans
les échanges
commerciaux
(contrats privés
et marchés
publics)
NORMES ET QUALITE :
DÉFINITION DE NORME
18. Besoins en
normes
Elaboration et
adoption des
avants projets de
normes
Enquête publique
Homologation
des normes
Qui ?
Les parties
intéressées
Le Comité
Technique
(CT)
Les parties
intéressées
Le Directeur
Général de
l’ANOR
NORMES ET QUALITE :
PROCESSUS D’ELABORATION D’UNE NORME
19. Un Comité
Technique (CT)
• Administrations, divers services et agences réglementaires,
services publics, etc.
Secteur Public
• Producteurs, négociants et détaillants, importateurs et
exportateurs, prestataires de services, industriels,
commerçants, agriculteurs, etc.
Secteur Privé
• Associations de consommateurs
Consommateurs
= SUPPORT (technique, administratif, etc.)
Elaboration et
adoption des
avants projets de
normes
NORMES ET QUALITE :
PROCESSUS D’ELABORATION D’UNE NORME
23. Respect Liberté
Crédibilité
Accessibilité
Protection
Garantir la Qualité
des services
Favoriser les échanges
commerciaux
Améliorer la
qualité de vie
Bonnes pratiques
Compétitivité
Performance
La Santé
La Sécurité publique
L’Environnement
NORMES ET QUALITE :
L’ÉVALUATION DE LA CONFORMITÉ
24. SOMMAIRE
I. INTRODUCTION
II. LES EXIGENCES DES MARCHES NATIONAL, REGIONAL,
INTERNATIONAL
III. LES NORMES ET LA QUALITE
IV.LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA
PARTICIPATION AUX TRAVAUX DE
NORMALISATION POUR LES PME
V. LES ACTIONS DE L’ANOR POUR LA COMPETITIVITE DES PME
VI. CONCLUSION
25. FORCES
• Economie Cameroun est constituée de 90% de PME;
• l’artisanat génère environ 1,5 million d’emplois
• Création de la Banque camerounaise des PME;
• Création de l’Agence de Promotion des PME (APME);
• Existence d’une Bourse de Sous-Traitance et de Partenariat (BSTP)
• Délai de création des entreprises
(maximum 72 heures)
• Exonération de certaines taxes à la création
FAIBLESSES
• Faible exportation
• Faible développement du secteur artisanal: lacune dans la valorisation,
la modernisation et la structuration;
• Manque d’accès au crédit pour le développement des activités du
secteur;
OPPORTUNITES
• APE (Nouveaux marchés)
• Renforcement des capacités des artisans
• SIARC (Salon, International de l’Artisanat du
Cameroun) : valoriser la visibilité nationale
MENACES
• APE (faible compétitivité)
PME
LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA
NORMALISATION :
CONTEXTE
26. Accès à de nouveaux marchés
(innovation, produits
différenciés)
Réduction des coûts: on gagne en
temps, communication claire et sans
ambigüité avec les fournisseurs et les
clients, réduction des litiges, des rebuts
Conformité avec la
législation
La
normalisation
au cœur de
votre activité
Renforcement de la satisfaction
client: Niveau plus élevé de
confiance et de satisfaction des
clients Fidélisation des clients
Productivité: personnel formé et
motivé
Amélioration de la
compétitivité de l’entreprise
LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA
NORMALISATION :
L’UTILISATION DES NORMES
27. Outil de prévention
de maladies
• Taux d’iode dans
le sel alimentaire :
prévention du
goitre
• Taux de vitamines
dans huile
végétale et farine
de froment :
prévention de
carences
Outil de prévention
d’accidents et de
catastrophes
• Caractéristiques
de ciment
• Caractéristiques
des tôles
• Caractéristiques
des fers à béton
Outil d’information
des
consommateurs
• Etiquetage
Outil d’amélioration
des services aux
consommateurs
• Service clientèle
des entreprises
privées
• Service public
LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA
NORMALISATION :
L’UTILISATION DES NORMES
28. Partage des idées
La prise en compte de ses
préoccupations et intérêts
Meilleure anticipation
Meilleur accès aux normes et au
contenu des normes
Possibilité de prendre part aux travaux de normalisation : expression
des besoins, comités, enquêtes publiques etc.
LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA
NORMALISATION :
LA PARTICIPATION A LA NORMALISATION
29. SOMMAIRE
I. INTRODUCTION
II. LES EXIGENCES DES MARCHES NATIONAL, REGIONAL,
INTERNATIONAL
III. LES NORMES ET LA QUALITE
IV. LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA PARTICIPATION AUX
TRAVAUX DE NORMALISATION POUR LES PME
V. LES ACTIONS DE L’ANOR POUR LA
COMPETITIVITE DES PME
VI. CONCLUSION
30. Adoption de normes européennes (CEN), américaines (ASTM) et
africaines (ARSO)
Membre de CEMACNORM (zone Afrique Centrale)
Partenariat avec les organismes de normalisation régionaux et
étrangers (CEN, ASTM, SON , etc)
Participation aux travaux de normalisation régionaux (CEN, ARSO)
LES ACTIONS DE L’ANOR
LA PARTICIPATION A LA NORMALISATION
31. 1. Faciliter l’accès au marché américain grâce à l’adoption et à la vente de
normes ASTM
2. Faciliter l’accès au marché régional grâce à l’adoption et à la vente de normes
africaines et européennes
3. Faciliter l’accès au marché national étranger grâce à l’adoption de
normes étrangères : cas du Nigéria
4. Lutter contre la concurrence déloyale (produits importés de mauvaise qualité)
grâce au PECAE
LES ACTIONS DE L’ANOR
LES OUTILS
32. Répartition des normes camerounaises selon
leur origine
Normes internationales (ISO, Codex Alimentarius, IEC)
Normes régionales (EN, ARSO )
Normes étrangères (ASTM, TSE, NF, NS, etc)
Normes camerounaises
1 690 normes
camerounaises
LES ACTIONS DE L’ANOR
LES OUTILS
34. 1. Exprimer les besoins en normes du secteur
2. Intégrer la normalisation dans la stratégie du
secteur, le budget et le fonctionnement de
l’entreprise
3. Participer activement aux travaux de
normalisation (CT, THC) et de certification (CC)
4. Participer aux sensibilisations et aux
formations de l’ANOR sur la nécessité d’utiliser
des normes
LES ACTIONS DE L’ANOR
NOS ATTENTES VIS-À-VIS DES PME
35. SOMMAIRE
I. INTRODUCTION
II. LES EXIGENCES DES MARCHES NATIONAL, REGIONAL,
INTERNATIONAL
III. LES NORMES ET LA QUALITE
IV. LES BENEFICES DES NORMES ET DE LA PARTICIPATION AUX
TRAVAUX DE NORMALISATION POUR LES PME
V. LES ACTIONS DE L’ANOR POUR LA COMPETITIVITE DES PME
VI.CONCLUSION
La normalisation est le process qui permet d’établir une norme.
Une norme est un document de référence, qui contient des règles, des lignes directrices et/ou des caractéristiques qui définissent un produit de qualité. Il peut y avoir autant de normes que de produits possibles (aussi bien pour les produits alimentaires, les matériaux de construction, les huiles cosmétiques, les jouets, les habits, les bouteilles de gaz, la boisson, etc).
Une norme est issue d’un consensus entre l’ensemble des parties prenantes qui sont le secteur public c’est-à-dire les administrations, le secteur privé, c’est-à-dire les opérateurs économiques et vous-même : les consommateurs. C’est-à-dire que chaque partie s’accorde pour être satisfaite par la norme. Il ne faut pas que la fabrication du produit ruine l’opérateur pour faire la qualité qui vous convient, où aille à l’encontre des lois du pays.
La norme est établie par un organisme de normalisation reconnu : au Cameroun il s’agit de l’ANOR.
Elle est d’application volontaire. Aucun opérateur n’est obligé d’appliquer les normes. Mais il trouve un intérêt à faire de la qualité. Parce que s’il fait de la qualité, vous serez content d’utiliser son produit, vous reviendrez l’acheter et vous lui ferez même de la publicité.
Enfin une norme sera utilisée dans les différents échanges commerciaux.
La normalisation est le process qui permet d’établir une norme.
Une norme est un document de référence, qui contient des règles, des lignes directrices et/ou des caractéristiques qui définissent un produit de qualité. Il peut y avoir autant de normes que de produits possibles (aussi bien pour les produits alimentaires, les matériaux de construction, les huiles cosmétiques, les jouets, les habits, les bouteilles de gaz, la boisson, etc).
Une norme est issue d’un consensus entre l’ensemble des parties prenantes qui sont le secteur public c’est-à-dire les administrations, le secteur privé, c’est-à-dire les opérateurs économiques et vous-même : les consommateurs. C’est-à-dire que chaque partie s’accorde pour être satisfaite par la norme. Il ne faut pas que la fabrication du produit ruine l’opérateur pour faire la qualité qui vous convient, où aille à l’encontre des lois du pays.
La norme est établie par un organisme de normalisation reconnu : au Cameroun il s’agit de l’ANOR.
Elle est d’application volontaire. Aucun opérateur n’est obligé d’appliquer les normes. Mais il trouve un intérêt à faire de la qualité. Parce que s’il fait de la qualité, vous serez content d’utiliser son produit, vous reviendrez l’acheter et vous lui ferez même de la publicité.
Enfin une norme sera utilisée dans les différents échanges commerciaux.
La normalisation est le process qui permet d’établir une norme.
Une norme est un document de référence, qui contient des règles, des lignes directrices et/ou des caractéristiques en vue d’apporter des solutions à un problème donné.
Une norme est issue d’un consensus entre l’ensemble des parties prenantes qui sont le secteur public, le secteur privé et les consommateurs.
Elle est établie par un organisme de normalisation reconnu : au Cameroun il s’agit de l’ANOR.
Elle est d’application volontaire.
Elle sera utilisée dans les différents échanges commerciaux.
Comme nous avons pu le montrer précédemment dans le domaine de la normalisation nous n’évoluons pas seuls, coupés du monde. Des normes existent déjà dans divers secteurs dans les différents pays ou organisations internationales.
Ainsi lorsqu’une norme camerounaise doit être établie dans un domaine déterminé, le normalisateur regarde si cette norme existe déjà dans le monde.
Si elle existe déjà et correspond à notre contexte national, la norme sera adoptée à l’identique.
Si elle nécessite quelques modifications pour correspondre à notre environnement, la norme sera adaptée puis adoptée.
Si par contre la norme n’existe pas dans le monde (comme la norme sur le poivre de penja), la norme sera alors élaborée entièrement.
Tout ce travail est effectué par une organisation particulière, appelée : comité technique (CT). Ce comité est composée des trois principales parties prenantes : le secteur public, le secteur privé et les consommateurs, afin que les intérêts de ces trois parties soient représentés.
L’ANOR a alors un rôle de support (technique, administratif, etc). L’ANOR ne se met donc pas dans un coin pour créer des normes, mais accompagne les camerounais dans ce travail d’élaboration des normes.
Les normes sont faites PAR et POUR le public camerounais.
La normalisation est le process qui permet d’établir une norme.
Une norme est un document de référence, qui contient des règles, des lignes directrices et/ou des caractéristiques en vue d’apporter des solutions à un problème donné.
Une norme est issue d’un consensus entre l’ensemble des parties prenantes qui sont le secteur public, le secteur privé et les consommateurs.
Elle est établie par un organisme de normalisation reconnu : au Cameroun il s’agit de l’ANOR.
Elle est d’application volontaire.
Elle sera utilisée dans les différents échanges commerciaux.
La normalisation est le process qui permet d’établir une norme.
Une norme est un document de référence, qui contient des règles, des lignes directrices et/ou des caractéristiques qui définissent un produit de qualité. Il peut y avoir autant de normes que de produits possibles (aussi bien pour les produits alimentaires, les matériaux de construction, les huiles cosmétiques, les jouets, les habits, les bouteilles de gaz, la boisson, etc).
Une norme est issue d’un consensus entre l’ensemble des parties prenantes qui sont le secteur public c’est-à-dire les administrations, le secteur privé, c’est-à-dire les opérateurs économiques et vous-même : les consommateurs. C’est-à-dire que chaque partie s’accorde pour être satisfaite par la norme. Il ne faut pas que la fabrication du produit ruine l’opérateur pour faire la qualité qui vous convient, où aille à l’encontre des lois du pays.
La norme est établie par un organisme de normalisation reconnu : au Cameroun il s’agit de l’ANOR.
Elle est d’application volontaire. Aucun opérateur n’est obligé d’appliquer les normes. Mais il trouve un intérêt à faire de la qualité. Parce que s’il fait de la qualité, vous serez content d’utiliser son produit, vous reviendrez l’acheter et vous lui ferez même de la publicité.
Enfin une norme sera utilisée dans les différents échanges commerciaux.
La normalisation est le process qui permet d’établir une norme.
Une norme est un document de référence, qui contient des règles, des lignes directrices et/ou des caractéristiques en vue d’apporter des solutions à un problème donné.
Une norme est issue d’un consensus entre l’ensemble des parties prenantes qui sont le secteur public, le secteur privé et les consommateurs.
Elle est établie par un organisme de normalisation reconnu : au Cameroun il s’agit de l’ANOR.
Elle est d’application volontaire.
Elle sera utilisée dans les différents échanges commerciaux.
Pour accomplir ces missions, notre Agence se repose sur quatre valeurs essentielles :
l’impartialité : nous prenons en compte les avis et les intérêts exprimés par chaque partie prenante, que ce soient les administrations, les opérateurs économiques ou les consommateurs, sans en privilégier ou omettre aucune. Nos activités sont ainsi neutres et totalement indépendantes.
l’ouverture : nous sommes ouverts à tous, depuis le pousseur ou la vendeuse de beignets au gros industriel international, du pion du ministère au grand patron, du consommateur seul aux grandes associations. Nous accompagnons toutes les parties intéressées, sans distinction. « Travailler ensemble » est dans notre ADN.
la transparence : le déroulement et la programmation des différents travaux de l’ANOR sont transparents. Cette valeur est nécessaire de par notre position de tiers de confiance, qui implique des engagements forts de notre institution en matière d’intégrité.
la responsabilité : nos activités portent sur des enjeux majeurs de la société et contribuent à construire un monde plus sûr et plus responsable. Nos modes de gouvernance et de prise de décision s’inscrivent dans ce souci permanent.
Les consommateurs sont des alliés naturels, puisque l'un des buts élémentaires de la normalisation consiste à garantir la sécurité et la qualité des produits aux prix les plus bas possible.
Les produits conformes aux normes sont sûrs, de bonne qualité, durent plus longtemps et sont accompagnés d'informations pertinentes pour guider l'acheteur. Par exemple : lorsque vous achetez des médicaments qui respectent les normes, vous devez avoir une notice qui vous précise quand le médicament n’est plus bon, comment le prendre et quelles sont les limites de son action, alors que lorsque vous achetez du paracétamol dans la rue, sans boîte, sans marque, vous avez ½ de tomber sur du vrai paracétamol efficace. Si vous tombez sur le mauvais comprimé, vous serez obligé d’en racheter jusqu’à guérir et donc vous payez plus au final un produit qui vous semblait moins cher.
L'achat de produits standard garantit la compatibilité avec d'autres produits et la disponibilité des pièces détachées qui prolongent la durée de vie du produit. Par exemple : vous avez besoin de pièces détachées pour votre voiture. Si vous achetez une marque reconnue telle que Toyota, vous savez qu’elle pourra être compatible avec votre voiture et que le matériel sera solide pour un moment. Par contre si vous achetez une pièce sans marque (ou avec une marque effacée), quelles sont les garanties que votre voiture ne tombera pas en panne 1 km plus loin ?
Les normes volontaires représentent une base idéale pour les réglementations techniques obligatoires et les exigences qu'elles renferment sont souvent adoptées telles qu'elles sont par les organismes de réglementation. Ca a été le cas des laits, des huiles végétales, etc. Donc un produit qui respecte ces normes, pourra par la suite respecter les règlements imposés par l’Etat si cela arrive.
Les normes techniques volontaires sont un outil nécessaire pour protéger les consommateurs ; elles représentent une référence acceptée que toutes les parties s'engagent à respecter. N’oubliez pas qu’une norme est le fruit du travail entre les opérateurs économiques (producteurs, fournisseurs, négociants, importateurs, etc), l’Etat et vous-même, les consommateurs. Tout le monde est donc satisfait par un produit qui respecte les normes.
L'engagement des entreprises à se conformer aux normes est un avantage important pouvant être vérifié facilement par des inspections, des tests, etc. Il faut donc encourager ces entreprises à respecter les normes en achetant leurs produits.
Les normes sont la base des programmes d’inspection, de test et de certification qui fournissent une assurance et des informations précieuses aux acheteurs. S’il n’y avait pas de normes, il n’y aurait pas de marque qui distinguent les produits.
Les normes contiennent des références aux poids et mesures, qui sont essentielles pour vous les consommateurs. Si elles n’existaient pas, comment sauriez que vous achetez vraiment du lait et pas de l’eau colorée? Que le paquet de spaghettis que vous achetez a bien 100 g de pâtes et non 85 g ?
La connaissance des normes existantes et de celles en cours de développement est indispensable à la planification stratégique d'une entreprise. Pourquoi ?
1. D’abord parce que vous pourrez apprendre et partager vos idées avec d’autres entreprises, avec les administrations et avec les consommateurs. De prendre en compte les préoccupations des uns et des autres pour
Cette connaissance fournit également un soutien essentiel à la R&D et à l'innovation.
Un accès précoce aux informations sur les normes en cours de développement aide la société à adapter ses produits aux futures normes, lui permettant ainsi de gagner du temps et de l'argent
Une entreprise qui participe activement à la normalisation aura plus de poids dans la définition du contenu des futures normes.
Une telle entreprise économise de l'argent car elle peut rapidement et facilement adapter ses produits sans grande modification.
Les organismes de réglementation utilisent fréquemment des normes comme base des réglementations techniques obligatoires.
Une entreprise qui participe au développement de normes volontaires et qui les met en place sera également en conformité avec les réglementations.
Les entreprises peuvent économiser de l'argent en réduisant la diversité des matériaux et des composants qu'elles commandent, stockent et utilisent en se basant sur les normes sans compromettre la qualité.
La normalisation est le process qui permet d’établir une norme.
Une norme est un document de référence, qui contient des règles, des lignes directrices et/ou des caractéristiques en vue d’apporter des solutions à un problème donné.
Une norme est issue d’un consensus entre l’ensemble des parties prenantes qui sont le secteur public, le secteur privé et les consommateurs.
Elle est établie par un organisme de normalisation reconnu : au Cameroun il s’agit de l’ANOR.
Elle est d’application volontaire.
Elle sera utilisée dans les différents échanges commerciaux.
Comme nous avons pu le montrer précédemment dans le domaine de la normalisation nous n’évoluons pas seuls, coupés du monde. Des normes existent déjà dans divers secteurs dans les différents pays ou organisations internationales.
Ainsi lorsqu’une norme camerounaise doit être établie dans un domaine déterminé, le normalisateur regarde si cette norme existe déjà dans le monde.
Si elle existe déjà et correspond à notre contexte national, la norme sera adoptée à l’identique.
Si elle nécessite quelques modifications pour correspondre à notre environnement, la norme sera adaptée puis adoptée.
Si par contre la norme n’existe pas dans le monde (comme la norme sur le poivre de penja), la norme sera alors élaborée entièrement.
Tout ce travail est effectué par une organisation particulière, appelée : comité technique (CT). Ce comité est composée des trois principales parties prenantes : le secteur public, le secteur privé et les consommateurs, afin que les intérêts de ces trois parties soient représentés.
L’ANOR a alors un rôle de support (technique, administratif, etc). L’ANOR ne se met donc pas dans un coin pour créer des normes, mais accompagne les camerounais dans ce travail d’élaboration des normes.
Les normes sont faites PAR et POUR le public camerounais.
La normalisation est le process qui permet d’établir une norme.
Une norme est un document de référence, qui contient des règles, des lignes directrices et/ou des caractéristiques en vue d’apporter des solutions à un problème donné.
Une norme est issue d’un consensus entre l’ensemble des parties prenantes qui sont le secteur public, le secteur privé et les consommateurs.
Elle est établie par un organisme de normalisation reconnu : au Cameroun il s’agit de l’ANOR.
Elle est d’application volontaire.
Elle sera utilisée dans les différents échanges commerciaux.
Comme nous avons pu le montrer précédemment dans le domaine de la normalisation nous n’évoluons pas seuls, coupés du monde. Des normes existent déjà dans divers secteurs dans les différents pays ou organisations internationales.
Ainsi lorsqu’une norme camerounaise doit être établie dans un domaine déterminé, le normalisateur regarde si cette norme existe déjà dans le monde.
Si elle existe déjà et correspond à notre contexte national, la norme sera adoptée à l’identique.
Si elle nécessite quelques modifications pour correspondre à notre environnement, la norme sera adaptée puis adoptée.
Si par contre la norme n’existe pas dans le monde (comme la norme sur le poivre de penja), la norme sera alors élaborée entièrement.
Tout ce travail est effectué par une organisation particulière, appelée : comité technique (CT). Ce comité est composée des trois principales parties prenantes : le secteur public, le secteur privé et les consommateurs, afin que les intérêts de ces trois parties soient représentés.
L’ANOR a alors un rôle de support (technique, administratif, etc). L’ANOR ne se met donc pas dans un coin pour créer des normes, mais accompagne les camerounais dans ce travail d’élaboration des normes.
Les normes sont faites PAR et POUR le public camerounais.
Pour conclure, nous pouvons résumer que L’ANOR, à travers ses différentes missions est donc le partenaire de toutes les parties prenantes, dont vous faites partie, pour vous accompagner dans notre ambition commune de développement et d’amélioration de la compétitivité des différentes activités, pour la satisfaction des besoins des populations et des exigences du DSCE et donc l’émergence du Cameroun à l’horizon 2035.
Ce qu’il faut retenir c’est que l’ANOR n’est pas là pour vous bloquer mais pour vous accompagner. Alors travaillons ensemble dès aujourd’hui, main dans la main.
Pour conclure, nous pouvons résumer que L’ANOR, à travers ses différentes missions est donc le partenaire de toutes les parties prenantes, dont vous faites partie, pour vous accompagner dans notre ambition commune de développement et d’amélioration de la compétitivité des différentes activités, pour la satisfaction des besoins des populations et des exigences du DSCE et donc l’émergence du Cameroun à l’horizon 2035.
Ce qu’il faut retenir c’est que l’ANOR n’est pas là pour vous bloquer mais pour vous accompagner. Alors travaillons ensemble dès aujourd’hui, main dans la main.
Pour conclure, nous pouvons résumer que L’ANOR, à travers ses différentes missions est donc le partenaire de toutes les parties prenantes, dont vous faites partie, pour vous accompagner dans notre ambition commune de développement et d’amélioration de la compétitivité des différentes activités, pour la satisfaction des besoins des populations et des exigences du DSCE et donc l’émergence du Cameroun à l’horizon 2035.
Ce qu’il faut retenir c’est que l’ANOR n’est pas là pour vous bloquer mais pour vous accompagner. Alors travaillons ensemble dès aujourd’hui, main dans la main.
Nous vous remercions pour votre attention. Voici les logos de quelques uns de nos partenaires.
Nous avons affiché notre numéro et notre site internet. Nous restons disponibles pour de plus amples informations.