SlideShare une entreprise Scribd logo
1  sur  29
Hygiène Hospitalère
1/ les Microorganismes saprophytes :
A. Des champignons et des végétaux supérieurs
B. Dégradent les matières organiques
C. Transforment en matière minérales
D. Dépend d’un autre être vivant
2/ les Microorganismes saprophytes :
A. Des champignons, des microorganismes et des végétaux supérieurs
B. Utilisent la matière organique morte
C. Indépendant d’un autre être vivant
D. Dépend d’un autre être vivant
3/ les Microorganismes commensales :
A. Provoque des dommages à l’organisme hôte
B. Ne provoque ni des dommages ni désordres à l’organisme hôte
C. Indépendant d’un autre être vivant
D. Dépend d’un autre être vivant
4/ les Microorganismes commensales :
A. Ne provoque ni des dommages ni désordres à l’organisme hôte
B. Protège l’organisme hôte contre les agressions extérieures
C. Indépendant d’un autre être vivant
D. Dépend d’un autre être vivant
5/ les Microorganismes symbiotiques :
A. Ne provoque ni des dommages ni désordres à l’organisme hôte
B. Trouvent avec l’organisme hôte une association profitable dans un seul sens
C. Trouvent avec l’organisme hôte une association profitable aux deux
D. Effectuent avec l l’organisme hôte une association durable
6/ les Microorganismes parasites :
A. Indépendants d’un autre être vivant
B. Trouvent avec l’organisme hôte une association profitable dans un seul sens
C. Trouvent avec l’organisme hôte une association profitable aux deux
D. Dépendant d’un autre être vivant
7/ les agents pathogènes :
A. Peuvent provoquer des infections
B. Ne provoquent jamais d’infection
C. Provoquent des troubles
D. Ne provoquent jamais de troubles
8/ La flore commensale est une flore :
A. Absente à l’état normal
B. Présente à l’état normal
C. Présente uniquement sur les individus
D. Présente dans et sur les individus
9/ La flore commensale est une flore :
A. Participe au maintien de la santé
B. Invariable selon les sites
C. Invariable en fonction de l’âge
D. Varie selon l’environnement
10/ La flore commensale est une flore :
A. Pathogène à l’état normal d’un organisme
B. Pathogène uniquement s’il ya des facteurs favorisants
C. Variable en fonction de l’âge
D. Varie selon le site
11/ La flore commensale est une flore :
A. Très faiblement représentée
B. Identique chez tous les êtres vivants
C. Identique sur le même site
D. Très variable sur le même le site
12/ La flore commensale de la peau est :
A. Plus importante au niveau des zones lipidiques
B. Plus importante au niveau des zones humides
C. Plus importante au niveau des zones sèches
D. Moins importante au niveau des zones sèches
13/ La flore commensale de la peau est :
A. Identique au niveau de toutes les zones de la peau
B. Différente au niveau des zones de la peau
C. Plus de cocci à Gram + au niveau des zones sèches
D. Plus de cocci à Gram + au niveau des zones lipidiques
14/ La flore commensale de la peau est composée de :
A. 3 types de flore
B. Flore résidente uniquement
C. Flore résidente et transitoire
D. Flore transitoire uniquement
15/ La flore commensale résidente de la peau est :
A. Relativement stable en quantité
B. Relativement instable en quantité
C. Relativement instable en répartition
D. Relativement stable en répartition
16/ La flore commensale résidente de la peau est :
A. Située au niveau de la couche cornée
B. Située au niveau des couches superficielles
C. Sous forme de micro-colonies
D. Sous forme de macro-colonies
17/ La flore commensale résidente de la peau est :
A. Organisée sous forme de biofilm
B. Maléfique
C. Bénéfique
D. Nature et nombre invariables avec l’âge et la région anatomique
18/ La flore commensale transitoire de la peau est :
A. Plus représentée sur les parties couvertes de l’organisme
B. Plus représentée sur les parties découvertes de l’organisme
C. Se forment à partir de sources exogènes
D. Se forment à partir des autres flores de l’organisme
19/ La flore commensale transitoire de la peau est :
A. Acquise par le contact avec des personnes et objets environnants
B. Plus importante au niveau des mains
C. Plus importante au niveau des parties couvertes
D. Véhiculée par l’air
20/ La flore commensale transitoire de la peau est constituée de:
A. Entérobactéries uniquement
B. Cocci à Gram (+) uniquement
C. Spores provenant de l’environnement uniquement
D. Entérobactéries , cocci à Gram (+) et spores de l’environnement
21 / La flore commensale de la peau dispose de moyens de protection :
A. Directs uniquement
B. Indirects uniquement
C. Les 2 à la fois directs et indirects
D. Aucune des propositions
22/ La flore commensale de la peau dispose de moyens de protection directs :
A. Production de bactériocines ou de métabolites toxiques
B. Mécanismes de compétition
C. Mécanismes d’inhibition de la croissance
D. Stimulation de la phagocytose
23/ La flore commensale de la peau dispose de moyens de protection indirects :
A. Production de bactériocines ou de métabolites toxiques
B. Mécanismes de compétition
C. Mécanismes d’inhibition de la croissance
D. Stimulation de la phagocytose
24/ La flore commensale de la peau dispose de moyens de protection indirects :
A. Production de bactériocines ou de métabolites toxiques
B. Production d’anticorps et de cytokines
C. Mécanismes d’inhibition de la croissance
D. Stimulation de la phagocytose
25/ La flore commensale des voies respiratoires est :
A. Identique à tous les étages des voies respiratoires
B. Variable en fonction des étages des voies respiratoires
C. Abondante au niveau des voies aériennes supérieures
D. Abondante au niveau des voies aériennes inférieures
26/ Les voies aériennes inferieures sont :
A. Normalement stériles
B. Protégées par des défenses mécaniques type toux et mouvements ciliaires
C. Protégées par des défenses cellulaires par les macrophages
D. Protégées par des défenses moléculaires type Ig D
27/ La flore bactérienne de la bouche est caractérisée par :
A. Très grandes variétés de microorganismes
B. Très faibles variétés de microorganismes
C. Véritable écosystème
D. Nombreuses bactéries potentiellement pathogènes
28/ La composition bactérienne du pharynx :
A. Orophrynx abrite surtout le Streptococcus viridans
B. Nasopharynx abrite des espèces les mois dangereuses
C. Orophrynx abrite des espèces les plus dangereuses
D. Nasopharynx abrite des espèces les plus dangereuses
29/ La composition bactérienne du pharynx :
A. Orophrynx abrite Neisseria meningitidis
B. Nasopharynx abrite Haemophilus influenzae
C. Nasopharynx abrite Streptococcus pneumoniae
D. Nasopharynx abrite des espèces les plus dangereuses
30/ La Flore bactérienne des fosses nasales est :
A. Identique à celle de la bouche
B. Identique à celle du pharynx
C. Héberge un très grand nombre de bactéries
D. Héberge un très faible nombre de bactéries
31/ La Flore bactérienne des fosses nasales est particulière par:
A. Hostilité du mucus au développement bactérien
B. Mobilité du mucus par les cellules ciliées
C. Présence de plusieurs bactéries très résistantes à ce milieu
D. Présence de 03 espèces bactériennes compatibles avec ce milieu
32/ La trachée et les bronches :
A. Contiennent très peu de bactéries résistantes à son système protecteur
B. Contiennent de très nombreuses bactéries résistantes à son système protecteur
C. Considérées très pauvres en bactérie
D. Considérées comme stériles
33/ La flore bactérienne commensale de l’arbre respiratoire est :
A. Un réservoir de germes potentiellement pathogènes uniquement
B. Une protection contre les bactéries étrangères
C. Un réservoir de germes potentiellement pathogènes et non pathogènes
D. Une flore qui ne aucun effet de protection contre les bactéries étrangères
34/ La flore bactérienne commensale du tube digestif est :
A. Désignée par le terme de microbiote
B. N’assure aucune fonction
C. Assure de nombreuses fonctions physiologiques
D. S’oppose à la colonisation des MO pathogènes
35/ La flore bactérienne commensale du tube digestif :
A. Représente une biomasse très peu importante
B. Constituée de quelques espèces bactériennes différentes
C. Constituée de centaines d’espèces bactériennes différentes
D. Représente une biomasse très importante
36/ La flore bactérienne commensale du tube digestif :
A. Représente un organe microbien
B. Douée d’une très faible activité fonctionnelle
C. Densité variable le long du tractus gastro-intestinal
D. Composition identique le long du tractus gastro-intestinal
37/ La flore bactérienne commensale du tube digestif se compose :
A. Une flore endogène résidente dite encore autochtone
B. Une flore endogène résidente dite encore allochtone
C. Une flore de transit dite encore autochtone
D. Une flore de transit dite encore allochtone
38/ La flore autochtone du tube digestif est :
A. Une flore non permanente
B. Composée d’une flore dominante
C. Composée d’une flore sous dominante
D. Une véritable carte d’identité bactérienne
39/ / La flore alloctone du tube digestif est :
A. Une flore non permanente
B. Transitoirement implantée
C. Voyage le long du tube digestif
D. Pathogène
40/ La flore alloctone du tube digestif :
A. Une flore permanente
B. Colonise des sites spécifiques
C. Non pathogène
D. Reste longtemps dans l’intestin
41/ La flore microbienne des fèces est composée de :
A. 5 genres microbiens
B. Plus d’une centaine de genres bactériens
C. Genres bactériens indépendants de la localisation géographique
D. Genres bactériens sont dépendants du régime alimentaire
42/ La flore microbienne de l’estomac est composée de :
A. Beaucoup de bactéries endogènes très résistantes au pH acide de l’estomac
B. Très peu de bactéries endogènes très résistantes au pH acide de l’estomac
C. Helicobacter pylori essentiellement
D. Genres bactériens non influencés par le pH gastrique
43/ La flore microbienne de l’intestin grêle est :
A. Particulièrement riche en bactéries
B. Particulièrement pauvre en bactéries
C. Représentée par de rares streptocoques
D. Influencé par l’effet des sels biliaires
44/ La flore microbienne de l’iléon terminal :
A. Quantitativement très importante
B. Quantitativement peu importante
C. Fonctionnellement très importante
D. Fonctionnellement peu importante
45/ La microflore intestinale joue un rôle :
A. Important sur le plan nutritionnel uniquement
B. Important sur le développement des défenses immunitaires
C. Important sur le plan nutritionnel et immunitaire
D. Important sur le développement des défenses immunitaires uniquement
46/ La microflore intestinale joue un rôle métabolique sur les:
A. Glucides par fermentations des hydrates de carbones
B. Lipides par la modification du métabolisme du cholestérol
C. Protéines par production d’acides aminés
D. Protéines excluant les cellules épithéliales et les bactéries lysées
47/ La microflore intestinale joue un effet de barrière par :
A. Eviction de la colonisation d’une flore résidente
B. Eviction de la colonisation d’une flore potentiellement pathogène
C. Protection contre les substances nocives environnementales
D. Limitation de multiplication de levures saprophytes
48/ La microflore intestinale joue un effet de barrière par :
A. Interférence bactérienne par occupation des sites d’attachement
B. Monopolisation de la nourriture disponible
C. Facilitation d’attachement des bactéries pathogènes sur les sites d’attachement
D. Synthèse de molécules à action bactéricides
49/ L’appareil génital de la femme est composé de secteurs microbiologiques:
A. Au nombre de 3
B. Identiques
C. Au nombre de 2
D. Fonctionnellement très importants
50/ Les voies génitales de la femme saine se compose d’un:
A. Secteur stérile comprenant l’endocol, la cavité utérine et la cavité tubaire
B. Secteur colonisé comprenant l’endocol, la cavité utérine et la cavité tubaire
C. Secteur stérile comprenant la vulve, le vagin, et l’exocol
D. Secteur colonisé comprenant la vulve, le vagin, et l’exocol
51/ / La flore vaginale de la femme saine est:
A. Evolutive et subit d’importantes modifications en fonction de l’âge
B. Fragile après les menstruations, l’accouchement et les rapports sexuels
C. Appauvrie à mesure que l’imprégnation hormonale diminue
D. Appauvrie à mesure que l’imprégnation hormonale augmente
52/ La bio-contamination est:
A. La Contamination par les bactéries des milieux de l’environnement
B. Influencée par l’usage des produits de plus en plus agressifs
C. Influencée par des conduites de plus en plus agressives
D. Indépendante de toutes modifications survenant dans notre environnement
53/ La contenance d’agents bio-contaminants dans l’air est:
A. Invariable quelque soit l’endroit dans un hôpital
B. Proportionnelle à la quantité de poussière dans l’air
C. Plus importante dans une salle d’opération que dans des locaux normaux
D. Plus importante dans des locaux normaux que dans une salle d’opération
54/ La transmission par inhalation se fait par :
A. Gouttelettes de salives projetées de personne à personne
B. Gouttelettes d’eau aérosolisées
C. Gouttelettes d’eaux chaudes sanitaires
D. Air chaud stérile
55/ Les différents types d’eaux dans un hôpital :
A. Bactériologiquement maitrisées
B. Potable
C. Eaux techniques
D. Eaux de pluies recyclées
56/ Les différents appareils médicaux susceptibles de transmettre des MO :
A. Endoscopes
B. Appareils de ventilation assistée
C. Aspirateurs respiratoires
D. Mains sales
57/ Les mécanismes d’adaptation des bactéries à l’environnement se fait par :
A. La pression de sélection par la synthèse de nouvelles enzymes
B. La pression de sélection par acquisition de plasmide de résistance
C. Synthèse de biofilm
D. Destruction du bioflm
58/ Les différents étapes d’adhésion bactérienne passent par :
A. Adsorption puis fixation et enfin colonisation
B. Adsorption puis colonisation et enfin fixation
C. Colonisation puis fixation et enfin adsorption
D. L’ordre importe peu
59/ L’adhésion bactérienne est caractérisée par :
A. Irréversibilité
B. Réversibilité
C. Spécificité
D. Non spécificité
60/ La fixation bactérienne est caractérisée par :
A. Irréversibilité
B. Réversibilité
C. Formation de ponts entre bactérie et support
D. Non spécificité
61/ La colonisation bactérienne est caractérisée par :
A. Formation de biofilm
B. Multiplication
C. Formation de glycocalyx
D. Non spécificité
62 / les facteurs influençant d’adhésion bactérienne :
A. Charge électrique globale
B. Présence de pseudopodes chez la bactérie
C. Hydrophilie
D. L’énergie libre de surface
63/ les facteurs influençant d’adhésion bactérienne :
A. Surface rugueuse
B. Hydrophilie
C. Forces hydrostatiques
D. L’énergie libre de surface
64/ les facteurs influençant d’adhésion bactérienne :
A. Nature des substrats de l’environnement
B. Facteurs rhéologiques
C. Concentration des substrats dans l’environnement
D. Absence antibiotiques
65/ La formation du biofilm est favorisée par :
A. La nature de la surface
B. La sensibilité augmentée des bactéries aux antiseptiques
C. La sensibilité diminuée des bactéries aux antiseptiques
D. Aucune proposition
66/ Les mesures de lutte contre la bio-contamination sont :
A. La surveillance régulière
B. L’assurance de l’application des protocoles d’hygiènes et leur révision
C. Les enquêtes autour des sources
D. Le non recueil des informations
67/ Antiseptiques et les désinfectants sont des produits :
A. Capables d’éliminer les micro-organismes par action indirecte
B. Tuer les micro-organismes par action indirecte
C. Capables d’éliminer les micro-organismes par action directe
D. Tuer les micro-organismes par action directe
68/ Antiseptiques et les désinfectants sont des produits :
A. Capables d’éliminer les micro-organismes par action indirecte
B. Tuer les micro-organismes par action indirecte
C. Capables d’éliminer les micro-organismes par action directe
D. Tuer les micro-organismes par action directe
69/ Antiseptiques et les désinfectants sont des produits :
A. Agissent sur les mêmes supports
B. Antiseptiques destinés aux tissus vivants
C. Désinfectants destinés aux tissus vivants
D. Agissent sur des supports différents
70/ Antiseptiques sont des :
A. Médicaments fabriqués par les médecins
B. Médicaments fabriqués par les pharmaciens
C. Médicaments contrôlés par les médecins
D. Médicaments contrôlés par les pharmaciens
71/ Antiseptiques doivent répondre à un certains nombre de critère:
A. Actifs sur des surfaces inertes
B. Actifs sur des tissus vivants
C. Bien tolérés par la peau
D. Mal tolérés par les muqueuses
72/ L‘action désinfectante et antiseptique de certains produits est :
A. Dose dépendante
B. Conditions d’utilisation dépendante
C. Est toujours possible quelque soit la dose
D. Est toujours possible quelque soit les conditions d’utilisation
73/ Un antiseptique est une préparation pharmaceutique :
A. Active uniquement sur les bactéries du revêtement muqueux
B. Active sur les bactéries, virus et champignons du revêtement cutané
C. Dont l’activité dépend de la nature chimique
D. Dont l’activité est complètement indépendante de la nature chimique
74/ Un antiseptique est une préparation pharmaceutique qui :
A. Dispose d’un spectre d’activité
B. Peut avoir un effet de stimulation de la croissance des agents microbiens
C. Peut avoir un effet de destruction réversible irréversible
D. Peut avoir un effet d’inhibition de la croissance des agents microbiens
75/ Les critères de choix d’un antiseptique sont:
A. Spectre d’activité étroit
B. Activité destructrice
C. Forte toxicité
D. Faible toxicité
76/ Les critères de choix d’un antiseptique sont:
A. Tolérance cutanée
B. Instabilité
C. stabilité
D. Coût
77/ Les critères de choix d’un antiseptique sont:
A. Spectre d’activité large
B. Activité en présence de substances interférentes inhibitrices
C. Instabilité
D. Faible toxicité
78/ Chlorhexidine est un antiseptique qui :
A. Appartient à la famille des alcools
B. Appartient à la famille des biguanides
C. Agit indépendamment de sa concentration
D. Agit en fonction de sa concentration
79/ Chlorhexidine est un antiseptique qui à faible concentration :
A. Augmente la rigidité de la membrane des bactéries
B. Diminue la rigidité de la membrane des bactéries
C. Provoque une fuite des ions intra-cytoplasmiques
D. Active les transports transmembranaires
80/ Chlorhexidine est un antiseptique qui à forte concentration :
A. Mort cellulaire
B. Diminue la rigidité de la membrane des bactéries
C. Cristallise la membrane des bactéries
D. Perte importante du matériel intracellulaire
81/ Polyvidone iodée est un antiseptique :
A. Insoluble dans l’eau
B. Soluble dans l’eau
C. Se fixe sur la peau
D. Action lente
82/ Eau de javel est un antiseptique :
A. Dérivé du chlore
B. Dérivé de l’iode
C. Dont la stabilité est dépendante du pH et de la température
D. A vertus désinfectantes
83/ Les halogénés sont un groupe d’antiseptiques qui :
A. Ont des problèmes de pénétration dans les bactéries
B. Sont très efficaces contre les virus
C. Ont un spectre d’action complet
D. Ont un mécanisme d’action pour lequel s’établit une résistance
84/ Les alcools sont un groupe d’antiseptiques qui agissent par :
A. Substitution à une liaison hydrogène
B. Substitution à une liaison carbone
C. Substitution à une liaison oxygène
D. Les trois à la fois
85/ Les alcools purs agissent par :
A. Coagulation lente des protéines bactériennes
B. Désactivation mais pas mort bactérienne
C. Coagulation rapide des protéines bactériennes
D. Désactivation et mort bactérienne
86/ L’alcool à 70° agit par :
A. Coagulation lente des protéines bactériennes
B. Désactivation mais pas mort bactérienne
C. Coagulation rapide des protéines bactériennes
D. Dénaturation et mort bactérienne
87/ Les alcools sont :
A. Conservateurs entre 0 et 30%
B. Bactéricides entre 30 et 50%
C. Bactéricides entre 50 et 95%
D. Bactériostatiques entre 30 et 50%
88/ L’antisepsie est une méthode utilisée pour éliminer les micro-organismes sur :
A. La peau saine uniquement
B. La peau lésée uniquement
C. La peau saine et lésée
D. La muqueuse
89/ L’antisepsie est une méthode utilisée dont l’efficacité dépend de :
A. La rémanence
B. La composition des MO
C. La forme s’existence (spore ou végétative)
D. La coloration de Gram
89/ Les produits suivants sont des antiseptiques d’usage courant :
A. L’alcool
B. L’éther
C. L’eau de javel
D. L’eau oxygénée
90/ Le choix des antiseptiques répond à :
A. Une seule question : quel risque infectieux ?
B. Une seule question : quel site ?
C. Une seule question : quel type de patient ?
D. Les 3 à la fois
91/ Le choix des antiseptiques doit prendre en considération:
A. La toxicité du produit
B. L’écologie du site
C. Présence d’éléments activateurs
D. La résistance acquise
92/ L’utilisation des désinfectants doit prendre connaissance de :
A. La cible uniquement
B. L’écologie du site
C. L’arsenal à disposition
D. La manière de s’en servir
93/ Les différents facteurs modulant l’utilisation des désinfectants :
A. Les organismes ciblés
B. Le milieu environnant
C. Les caractéristiques de produits
D. Le coût bas du produit
94/ Les différents facteurs modulant l’utilisation des désinfectants :
A. Les organismes ciblés
B. Le milieu environnant
C. Les caractéristiques de produits
D. Le coût bas du produit
95/ Un désinfectant est un produit capable de :
A. Tuer et éliminer les bactéries
B. Tuer et éliminer les virus
C. Inactiver les bactéries
D. Inactiver les virus
96/ Un désinfectant est un produit capable de :
A. Tuer et éliminer les bactéries sur un tissu vivant
B. Tuer et éliminer les bactéries sur une surface inerte
C. Inactiver les virus les bactéries sur un tissu vivant
D. Inactiver les bactéries sur une surface inerte
97/ Un désinfectant est un produit capable de jouer le rôle d’antiseptique:
A. Toujours et sans conditions
B. Jamais quelque soit la concentration
C. Selon la dose
D. Selon les conditions d’utilisation
98/ Adhésion des micro-organismes à des surfaces solides s’effectue:
A. De plusieurs manières
B. D’une seul manière
C. Réversible puis permanente
D. Temporaire puis irréversible
99/ Adhésion réversible des micro-organismes à des surfaces solides est:
A. Permanente
B. Temporaire
C. Spécifique
D. Non spécifique
100/ Adhésion réversible des micro-organismes à des surface est la résultante des:
A. Forces d’attraction
B. Forces de répulsion
C. Forces de van der Waals
D. Aucune
101/ Dans l’adhésion réversible des micro-organismes, les forces de répulsions sont:
A. Forces s’exerçant entre la couche ionique de la bactérie et la surface
B. Attractives quand les charges sont identiques
C. Attractives quand les charges sont opposées
D. Répulsives quand les charges sont opposées
102/Adhésion irréversible des micro-organismes à des surfaces solides est:
A. Permanente
B. Temporaire
C. Lente
D. Non spécifique
103/ Dans l’adhésion irréversible, la fixation de l’agent sur le support solide est:
A. Effectuée par les pilis
B. Favorisée par le glycocalyx
C. Dépendante de la concentration en éléctrolytes du support
D. Indépendante de la concentration en éléctrolytes du support
104/ Dans l’adhésion irréversible, la fixation de l’agent sur le support :
A. Dépend du type de bactérie
B. Dépend du la durée de sa phase de croissance
C. Ne dépend pas de l’importance de sa population
D. Dépend de l’importance de sa population
105/ Dans l’adhésion irréversible, la durée de la phase de croissance dépend de:
A. Température uniquement
B. pH du milieu uniquement
C. Absence de nutriments
D. Température et pH à la fois
106/ Dans l’adhésion irréversible, la force d’attachement des MO dépend de:
A. Charge de la surface
B. Nature du détergent
C. Durée de contact uniquement
D. Durée de contact
107/ Adhésion bactérienne est influencée par des facteurs liés:
A. Micro-organismes seul
B. Surface solide seule
C. Micro-organisme et surface solide
D. Toutes les propositions
108/ Adhésion bactérienne est influencée par des facteurs lié à la surface:
A. Mouillabilité
B. Rugosité
C. Couleur
D. Caractéristiques énergétiques
109/ L’Adhésion bactérienne est influencée par le biofilm qui:
A. Rend difficile l’adhérence
B. Facilite l’adhérence
C. Protège les bactéries
D. Favorise le développement d’une communauté bactérienne
110/ Un détergent se distingue d’un désinfectant par les activités suivantes :
A. Déloger les organismes qui adhèrent à la surface
B. Protéger les organismes qui adhèrent à la surface
C. Augmenter la surface de contact des bactéries avec les désinfectants
D. S’attaquer aux constituants des bactéries
111/ Un désinfectant Chloré (eau de javel) a pour avantage :
A. Son coût élevé
B. Son efficacité désinfectante
C. Son coût faible de production
D. Son efficacité uniquement détergente
112/ Un désinfectant Chloré (eau de javel) a pour avantage :
A. Son spectre d’activité étroit
B. Son spectre d’activité large
C. Son efficacité à très haute température
D. Ses différentes formes de présentation
113/ Un désinfectant Aldéhyde a pour avantage son action sur :
A. Matériel thermorésistant
B. Matériel thermosensible
C. Les bactéries, virus et prions
D. Les bactéries, virus et champignons
114/ Un désinfectant Alcoolé a pour avantage :
A. Rapidité d’action
B. Son action sur les bactéries à Gram positif uniquement
C. Son action sur les bactéries à Gram positif et négatif
D. Evaporation rapide
115/ Un désinfectant Oxydant est caractérisé par :
A. Rapidité d’action avec la matière
B. Absence de rémanence
C. Présence effet résiduel
D. Son indication dans les désinfections terminales
116/ Un désinfectant pour être efficace doit :
A. Attaquer la membrane cytoplasmique
B. Attaquer le contenu cellulaire
C. Attaquer la membrane cytoplasmique ou son contenu cellulaire
D. Attaquer la membrane cytoplasmique et son contenu cellulaire
117/ Un désinfectant pour être efficace agit selon différents modes :
A. Destruction la membrane cytoplasmique
B. Réduction des échanges avec le milieu extérieure
C. Augmentation des échanges avec le milieu extérieure
D. Destruction du matériel cellulaire
118/ Le choix du désinfectant doit tenir compte :
A. Objectif recherché
B. Temps d’action
C. Spectre d’activité étroit
D. Large spectre d’activité
119/ Le choix du désinfectant doit tenir compte :
A. Santé et sécurité des utilisateurs
B. Environnement
C. Prix uniquement
D. Rapport qualité/ prix
120/ Le choix du désinfectant doit tenir compte :
A. Nature de la surface à traiter
B. Nature des tissus vivants à traiter
C. Degré de désinfection
D. Qualité quelque soit le prix
121/ La stérilisation est :
A. Acte de soin direct
B. Acte de soin indirect
C. Opération qui rend à rendre exempt un matériel de tous les MO
D. Opération qui rend à rendre propre un matériel de tous les MO
122/ La décontamination est :
A. Une pré-désinfection
B. Un acte dont le résultat est durable
C. Un acte dont le résultat est momentané
D. Limité aux MO survenant après celle ci
123/ La décontamination à pour objectif de :
A. Augmenter la population de MO
B. Diminuer la population de MO
C. Compliquer le nettoyage ultérieur
D. Eviter la contamination de l’environnement
124/ La stérilisation a pour objectif :
A. Tuer les micro-organismes portés par des milieux inertes contaminés
B. Rendre stérile une charge mal nettoyée
C. Compliquer le nettoyage ultérieur
D. Rendre stérile une charge parfaitement nettoyée
125/ La stérilité est un état :
A. Dans lequel la survie des MO est très probable
B. Dans lequel la survie des MO est hautement improbable
C. Dans lequel la survie des MO est probable
D. De tout de qui est exempt de micro-organisme viable
126/ Les dispositifs médicaux sont dits :
A. Critiques, s’ils sont destinés à être introduit dans une cavité stérile
B. Semi-Critiques, s’ils sont destinés à être introduit dans une cavité stérile
C. Semi-Critiques, s’ils sont destinés à être en contact avec une muqueuse
D. Non critiques, s’ils sont destinés à être en contact avec une peau intacte
127/ Les étapes précédents la stérilisation sont dans l’ordre :
A. Pré-désinfection, vérification, nettoyage et conditionnement
B. Pré-désinfection, nettoyage, vérification et conditionnement
C. Nettoyage, pré-désinfection, vérification et conditionnement
D. Conditionnement, pré-désinfection, nettoyage et vérification
128/ La pré-désinfection vise à:
A. Protéger le personnel et l’environnement
B. Traiter du matériel souillé
C. Traiter du matériel propre
D. Rendre du matériel souillé non contaminant
129/ La pré-désinfection est une étape indiquée au :
A. Matériel réutilisable avant l’utilisation
B. Matériel réutilisable après utilisation
C. Matériel réutilisable après transport et lavage
D. Matériel réutilisable avant transport et lavage
130/ La pré-désinfection a pour principe l’utilisation de solution bactéricide ayant des :
A. Propriétés détergentes uniquement
B. Propriétés désinfectantes uniquement
C. Propriétés désinfectante et détergente
D. Propriétés ni désinfectante ni détergente
131/ La pré-désinfection doit respecter :
A. Le temps d’immersion uniquement
B. La concentration des solutions
C. La protection du personnel
D. Le temps d’immersion
132/ La pré-désinfection a pour avantages techniques d’être :
A. Fiable
B. Non nécessaire
C. Nécessaire
D. Eprouvée
133/ La pré-désinfection doit prendre les précautions suivantes :
A. Rédaction des procédures
B. Bon choix du produit
C. Respect des conditions d’utilisation
D. Utilisation de solutions trop souillées par les utilisations antérieures
134/ Le nettoyage est :
A. Obligatoire pour le matériel à usage unique
B. Obligatoire pour le matériel réutilisable
C. Toujours suivi du séchage
D. Immédiatement suivi du conditionnement
135/ Le nettoyage a pour principe une :
A. Action mécanique
B. Action nucléaire
C. Action thermique
D. Action chimique
136/ Le nettoyage permet de :
A. Enlever les salissures
B. Obtenir un maximum de contamination
C. Obtenir un minimum de contamination
D. Préserver les salissures
137/ Le nettoyage par appareillage peut se faire par machine à laver par :
A. Aspersion
B. Immersion
C. Ultra-violet
D. Ultrasons
138/ Le nettoyage préconise les actes suivants :
A. Triage du matériel pour constituer des charges hétérogènes
B. Triage du matériel pour constituer des charges homogènes
C. Choix des produits adaptés au type de lavage
D. Ouverture des instruments articulés
139/ Le nettoyage préconise les actes suivants :
A. Rinçage de départ pour éliminer le produit de décontamination
B. Rinçage final pour éliminer le produit de décontamination
C. Rinçage de départ pour éviter les taches sur les instruments
D. Rinçage final pour éviter les taches sur les instruments
140/ Le nettoyage doit éviter les actes suivants :
A. Mélange des instruments corrodés et les instruments en bon état
B. Surcharge des machines
C. Associer des instruments chromés et en inox dans la même charge
D. Associer des instruments chromés et en caoutchouc dans une même charge
141/ Après le lavage et avant la stérilisation ne seront gardé pour cet dernier acte
A. Les objets non aptes à accomplir leur rôle
B. Les instruments aptes à accomplir leur rôle
C. Les instruments dont le conditionnement permet de garder leur stérilité
D. Les instruments dont le conditionnement ne permet pas de garder leur stérilité
142/ Le principe de la vérification après nettoyage dans la stérilisation vise à :
A. Retirer le matériel et le linge en bon état
B. Vérifier les fonctionnalités du matériel
C. Vérifier l’état le matériel et le linge
D. Retirer le matériel et le linge en mauvais état
143/ Le conditionnement a pour indication de :
A. Ne pas permettre le contact avec l’agent stérilisant
B. Maintenir le niveau minimum de contamination obtenu par le nettoyage
C. Maintenir le niveau maximum de contamination obtenu par le nettoyage
D. Assurer l’état de stérilité jusqu’à l’emploi du matériel quelque soit les conditions
144/ Le conditionnement a pour indication de :
A. Permettre le contact avec l’agent stérilisant
B. Assurer la stérilité jusqu’à l’emploi du matériel dans les conditions aseptiques
C. Maintenir les caractéristiques physiques du produit uniquement
D. Maintenir les caractéristiques organoleptiques du produit
145/ Le conditionnement a pour principe de :
A. Permettre le contact avec l’agent stérilisant
B. Permettre le contact avec les MO
C. Arrêter le contact avec l’agent stérilisant
D. Arrêter le contact avec les MO
146/ Le conditionnement est destiné aux objets dont la stérilisation peut se faire par :
A. La vapeur uniquement
B. La vapeur pour du matériel réutilisable
C. La chaleur sèche
D. Le formol
147/ Le conditionnement du matériel réutilisable pour la stérilisation par la vapeur :
A. Donne un gain de temps pour l’instrumentiste
B. Responsable d’une perte de temps pour l’instrumentiste
C. Constitue un emballage de protection
D. Adapte un ensemble d’instruments pour une intervention
148/ Le conditionnement du matériel à usage unique pour la stérilisation peut être:
A. Papier crêpé
B. Plastique
C. Nontissé
D. Métallique
149/ Les avantages du conditionnement du matériel à usage unique sont:
A. Le conditionnement unitaire
B. L’inadaptation aux objets
C. L’adaptation aux objets
D. Le coût de fonctionnement important
150/ La destruction microbienne est une :
A. Catalyse
B. Hydrolyse
C. Mesurable par le calcul de la valeur stérilisatrice
D. Favorable à la pullulation bactérienne sur le matériel
151/ La dépyrogénisation consiste en :
A. Destruction microbienne
B. Destruction des endotoxines
C. Favorable à la pullulation bactérienne sur le matériel
D. Mesurable par le calcul de la valeur stérilisatrice
152/ La dépyrogénisation utilise comme moyens :
A. Action mécanique par les oxydants
B. Action chimique par les oxydants
C. Action mécanique par la chaleur
D. Action chimique par la chaleur
153/ La stérilisation par la vapeur d’eau se base sur les paramètres suivants :
A. La température uniquement
B. La durée
C. La pression
D. La température et la pression uniquement
154/ L’antibiothérapie curative :
A. Est dite aussi préventive
B. S'adresse au patient déjà infecté
C. Est dite aussi prophylactique
D. Se base sur l’isolement et la caractérisation du germe
155/ L’antibio-prophylaxie :
A. Est dite aussi préventive
B. S'adresse au patient déjà infecté
C. Vise à d'empêcher le développement d'une infection
D. Se base sur l’isolement et la caractérisation du germe
156/ Les bactéries sont dites multirésistantes quand elles sont:
A. Sensible à au mois un antibiotique
B. Sensible à au mois 3 antibiotiques
C. Résistante à 3 antibiotiques de la même famille
D. Résistantes à 3 familles d’antibiotiques différentes
157/ Le but des règles de prescription des antibiotiques est d’éviter :
A. La prescription appropriée
B. La prescription inappropriée
C. La prescription inutile
D. La prescription utile
158/ Le but des règles de prescription des antibiotiques est de :
A. Réfléchir aux effets bénéfiques pour le patient uniquement
B. Réfléchir aux effets bénéfiques pour le patient et l’environnement
C. Réfléchir aux effets bénéfiques pour l’environnement uniquement
D. Suivre les conseils de prescription
159/ Eviter une prescription inutile d’antibiotiques devant :
A. Des résultats négatifs des tests d’orientation diagnostique
B. Des résultats positifs des tests d’orientation diagnostique
C. Un doute sur l’utilité de prescription d’un antibiotique
D. Une infection d’origine virale
160/ les antibiotiques particulièrement générateurs de résistance sont les :
A. Macrolides
B. Aminosides
C. Fluoroquinolones
D. Céphalosporines de 3ème
génération et l’amoxicilline–acide clavulanique
160/ L’antibiothérapie curative en pratique courante :
A. Permet un choix rationnel contre le germe supposé
B. Est probabiliste
C. Est empirique c'est-à-dire au hasard
D. Est empirique c'est-à-dire fondée sur une démarche argumentée
161/ L’antibiothérapie curative en pratique courante:
A. Adapte les paramètres des antibiotiques à l’âge du patient
B. Adapte les paramètres des antibiotiques à la localisation de l’infection
C. Adapte les paramètres des antibiotiques à la taille du patient
D. Toutes les propositions précédentes
162/ L’antibiothérapie prophylactique utilisée avant une contamination possible:
A. Sa durée dépasse les 48 heures pour être très efficace
B. Sa durée ne dépasse les 24 heures dans la majorité des cas
C. Utilise des molécules très récentes et très chères
D. Utilise des molécules relativement anciennes
163/ L’antibiothérapie prophylactique s’adresse à un:
A. Patient particulier, infecté
B. Patient particulier, a priori indemne de toute infection
C. Patient particulier, devant subir acte médical sans risque
D. Patient particulier, devant subir acte chirurgical à haut risque
164/ L’antibiothérapie prophylactique est :
A. Curative
B. Préventive
C. Probabiliste
D. Documentée par un antibiogramme
165/ La surveillance du bon usage de l’antibiothérapie accompagne :
A. La surveillance des infections nosocomiales
B. L’optimisation des soins
C. La surveillance des résistances bactériennes
D. La surveillance de l’évolution des viroses
166/ La pharmacie dans la surveillance du bon usage de l’antibiothérapie est :
A. Chargée de respecter de la prescription des antalgiques
B. Chargée de respecter de la prescription des antibiotiques
C. Non responsable du coût
D. Responsable du coût
167/ Le rôle de la pharmacie dans la surveillance du bon usage de l’antibiothérapie :
A. Gestion et approvisionnement et détention des antibiotiques
B. Dispensation des antibiotiques sans regard sur la durée
C. Dispensation des antibiotiques avec un regard sur la durée selon l’indication
D. Dispensation des antibiotiques avec une réévaluation sans justificatif
168/ Toute prescription des antibiotiques doit comporter :
A. La date et le nom du patient
B. La durée de la prise
C. La signature du pharmacien
D. La signature du prescripteur
169/ Toute prescription des antibiotiques à usage restreint doit être:
A. Accompagnée d’une justification écrite avec antibiogramme
B. Accompagnée d’une justification écrite sans antibiogramme
C. Conforme au protocole établi par l’établissement de soin
D. Rédigée par un médecin généraliste
170/ Le programme d’utilisation des anti-infectieux :
A. Facultatif dans les établissements de santé
B. Très important dans les établissements de santé
C. A pour objectif d’assurer une prescription couteuse et efficace
D. A pour objectif de réduire au minimum la sélection des MO résistants
171/ L’optimisation de la prescription des antibiotiques préconise:
A. Utilisation du médicament ayant le spectre le plus large possible
B. Utilisation du médicament ayant le spectre le plus étroit possible
C. L’association de plusieurs molécules
D. L’éviction si possible d’associer les antibiotiques
172/ L’optimisation de la prescription des antibiotiques préconise un choix reposant :
A. Sur la nature de l’agent pathogène
B. Sur le profil de sensibilité de l’agent pathogène
C. Sur la tolérance uniquement
D. Sur la tolérance et le coût
173/ L’optimisation de la prescription des antibiotiques préconise une dose :
A. Excessive favorisant le développement de souche résistante
B. Trop faible favorisant le développement de souche résistante
C. Excessive empêchant l’apparition de souche résistante
D. Trop faible empêchant l’apparition de souche résistante
174/ L’optimisation de la prescription des antibiotiques préconise une durée :
A. Illimitée à la guise du prescripteur
B. Limitée en fonction de l’infection
C. Plus longue même devant une inefficacité après 3 jours
D. 5-14 jours avec des fois une prolongation pour certaines indications
175/ L’optimisation de la prescription de l’antibiothérapie curative répond :
A. A La limite de cette prescription aux seules situations qui la justifient
B. Au respect des posologies
C. Utilisation des antibiotiques impactant négativement la flore commensale
D. 5-14 jours avec des fois une prolongation pour certaines indications
176/ L’optimisation de la prescription de l’antibiothérapie prophylactique répond :
A. A L’utilisation des antibiotiques 5 jours après l’intervention
B. A L’utilisation des antibiotiques au moment de l’induction et au maximum 48h
C. A l’usage de doses identiques à la dose thérapeutique
D. A l’usage de doses différentes de la dose thérapeutique
177/ L’eau dans les structures de soin est :
A. Essentielle à l’hygiène
B. Facultative à l’hygiène
C. Consommée d’une façon plus importante que dans la vie courante
D. Consommée d’une façon moins importante que dans la vie courante
178/ L’eau dans les structures de soin à besoin d’être:
A. De moyenne qualité
B. De bonne qualité
C. En quantité importante
D. En permanence
179/ L’eau dans les structures de soin à besoin d’être:
A. Contrôlée chimiquement
B. Maitrisée en qualité microbiologique
C. Maitrisée en qualité toxicologique
D. Non contrôlée
180/ L’eau à l’hôpital à besoin d’être maitrisée pour les raisons suivantes:
A. C’est un vecteur de transmission des MO
B. Patients sont fragiles
C. Les germes rencontrés sont parfois très résistants
D. Aucune des propositions
181/ L’eau à l’hôpital est contaminée, par différents processus, suite à:
A. Un contact des sources d’eau avec les patients
B. La stagnation des eaux
C. La contamination rétrograde
D. Toutes les propositions
182/ La gestion de la qualité de l’eau à l’hôpital est un problème:
A. Simplexe
B. Complexe
C. Implique un seul acteur
D. Implique plusieurs acteurs
183/ Les acteurs de la gestion de la qualité de l’eau à l’hôpital on pour rôle de:
A. Concevoir le réseau de distribution
B. Assurer la maintenance uniquement
C. Adapter la qualité de l’eau aux usages
D. Entretenir les appareils sanitaires
184/ Les eaux à l’hôpital sont les suivantes:
A. Eaux non potables
B. Eaux potables
C. Eaux stériles conditionnées
D. Eaux techniques
185/ Les eaux potables à l’hôpital sont :
A. Eaux de boisson
B. Eaux alimentaires
C. Eaux provenant du réseau d’adduction
D. Eaux provenant de sources non contrôlées
186/ Les eaux bactériologiquement maîtrisées sont :
A. Eaux de boisson
B. Eaux destinées aux soins
C. Eaux alimentaires
D. Eaux dites « propre » et « ultra propres »en fonction des niveaux de qualité
187/ Les eaux stériles conditionnées sont :
A. Eaux destinées aux soins qui contiennent une quantité minimale de MO
B. Eaux exemptes de MO vivants
C. Répondant aux normes de la pharmacopée
D. Eaux dites « propre » et « ultra propres »en fonction des niveaux de qualité
188/ Les eaux à usage de soins sont :
A. Eaux exemptes de MO vivants
B. Répondant aux normes de la pharmacopée
C. Eaux destinées à l’hémodialyse
D. Eaux destinées aux piscines de rééducation
189/ Les eaux techniques sont :
A. Eaux exemptes de MO vivants
B. Eaux sanitaires
C. Eaux de climatisation
D. Eaux destinées aux piscines de rééducation
190/ La contamination microbiologique concerne:
A. Eau du réseau public uniquement
B. Eau à l’intérieur des établissements de soin uniquement
C. Eau originaire du réseau public et celle à l’intérieur des établissements de soin
D. Toutes les propositions
191/ La contamination concernant:
A. Eau du réseau public est uniquement chimique
B. Eau à l’intérieur des établissements est uniquement chimique
C. Eau du réseau public est uniquement microbiologique
D. Eau à l’intérieur des établissements est fréquemment microbiologique
192/ La contamination concernant:
A. Eau du réseau public est uniquement chimique
B. Eau à l’intérieur des établissements est plus fréquemment chimique
C. Eau du réseau public est uniquement microbiologique
D. Eau à l’intérieur des établissements est fréquemment microbiologique
193/ Les risques liés à l’eau dans l’hôpital sont:
A. Le risque infectieux uniquement
B. Le risque toxique
C. Le risque radioactif
D. Le risque infectieux et toxique
194/ Le traitement des eaux dans l’hôpital sont:
A. La désinsectisation
B. La désinfection
C. La lutte contre entartrage
D. La lutte contre la corrosion
195/ La désinfection est traitement des eaux dans l’hôpital qui:
A. Utilise du Chlore actif
B. Doit être installé sans bilan
C. Doit être installé après un bilan approfondi et répété
D. Tient compte de la teneur en Chlore résiduel
196/ Concernant l’hygiène de l’air, une structure de soin est classée en zones:
A. 2 zones : septique et aseptique
B. 3 zones indépendantes du risque d’activité liée au soin
C. 4 zones en fonctions des risques d’activité liée au soin
D. 1 zone unique considérée à haut risque
197/ Pour assurer le bon fonctionnement des systèmes de ventilation il est :
A. Primordial de suivre le plan de maintenance proposé par l’installateur
B. Primordial de suivre le plan de maintenance proposé par l’utilisateur
C. Primordial de respecter les normes en vigueur
D. Facultatif respecter les normes en vigueur
198/ Pour prévenir tout risque de contamination par la ventilation, les hôpitaux :
A. S’équipent de climatisation centrale
B. S’équipent de ventilateur individuel
C. N’installent pas de système de ventilation centrale
D. S’équipent de filtre pour purifier l’air
199/ Les systèmes de filtration d’air dans les hôpitaux ont pour objectif(s) :
A. De réduire les risques d’infection virale
B. De protéger les équipements médicaux contre la contamination
C. De réduire les risques d’infection bactérienne
D. Aucune proposition
200/ La maintenance des systèmes d’aération de l’air dans les hôpitaux vise :
A. Le nettoyage des gaines de ventilation uniquement
B. Le nettoyage des grilles de ventilation
C. Le nettoyage des récupérateurs de chaleur
D. La vérification et remplacement périodique des filtres

Contenu connexe

Tendances

Plab (bilharziose)
Plab (bilharziose)Plab (bilharziose)
Plab (bilharziose)Mehdi Razzok
 
Parasitologie médicale..pdf
Parasitologie médicale..pdfParasitologie médicale..pdf
Parasitologie médicale..pdfS/Abdessemed
 
Introduction à la parasitologie (1).pptx
Introduction à la parasitologie (1).pptxIntroduction à la parasitologie (1).pptx
Introduction à la parasitologie (1).pptxMajdaHelal
 
Cours soins infirmiers en chirurgie (Première partie)
Cours soins infirmiers en chirurgie (Première partie)Cours soins infirmiers en chirurgie (Première partie)
Cours soins infirmiers en chirurgie (Première partie)SANAA TOUZAMI
 
Les infections génitales chez la femme
Les infections génitales chez la femmeLes infections génitales chez la femme
Les infections génitales chez la femmeS/Abdessemed
 
Programme nationale de lutte contre la tuberculose
Programme nationale de lutte contre la tuberculoseProgramme nationale de lutte contre la tuberculose
Programme nationale de lutte contre la tuberculoseMehdi Razzok
 
La sécurité au laboratoire
La sécurité au laboratoireLa sécurité au laboratoire
La sécurité au laboratoireAbdel Hårii
 
Introduction a la mycologie medicale DR BENLARIBI IMANE HALIMA
Introduction a la mycologie medicale DR BENLARIBI IMANE HALIMAIntroduction a la mycologie medicale DR BENLARIBI IMANE HALIMA
Introduction a la mycologie medicale DR BENLARIBI IMANE HALIMAIMANE HALIMA BENLARIBI
 
Programme national d'immunisation
Programme national d'immunisationProgramme national d'immunisation
Programme national d'immunisationMehdi Razzok
 
Rapport de microbiologie
Rapport de microbiologieRapport de microbiologie
Rapport de microbiologieHassan NAIT-SI
 
La partique au laboratoire de microbiologie
La partique au laboratoire de microbiologieLa partique au laboratoire de microbiologie
La partique au laboratoire de microbiologieDr Taoufik Djerboua
 
Guide des bonnes pratiques de laboratoire.
Guide des bonnes pratiques de laboratoire.   Guide des bonnes pratiques de laboratoire.
Guide des bonnes pratiques de laboratoire. S/Abdessemed
 
Assurance qualité mr bahadi
Assurance qualité mr bahadiAssurance qualité mr bahadi
Assurance qualité mr bahadiIkhlass Moussaoui
 
Les milieux de culture en Bactériologie
 Les milieux de culture en Bactériologie Les milieux de culture en Bactériologie
Les milieux de culture en BactériologieS/Abdessemed
 
1cours virologie généralités (1)
1cours virologie généralités (1)1cours virologie généralités (1)
1cours virologie généralités (1)imlen gan
 
EVALUATION ET PREVENTION DES RISQUES INFECTIEUX DANS LES LABORATOIRES DE MICR...
EVALUATION ET PREVENTION DES RISQUES INFECTIEUX DANS LES LABORATOIRES DE MICR...EVALUATION ET PREVENTION DES RISQUES INFECTIEUX DANS LES LABORATOIRES DE MICR...
EVALUATION ET PREVENTION DES RISQUES INFECTIEUX DANS LES LABORATOIRES DE MICR...Pasteur_Tunis
 

Tendances (20)

Plab (bilharziose)
Plab (bilharziose)Plab (bilharziose)
Plab (bilharziose)
 
Parasitologie médicale..pdf
Parasitologie médicale..pdfParasitologie médicale..pdf
Parasitologie médicale..pdf
 
Introduction à la parasitologie (1).pptx
Introduction à la parasitologie (1).pptxIntroduction à la parasitologie (1).pptx
Introduction à la parasitologie (1).pptx
 
Vih sida
Vih sidaVih sida
Vih sida
 
Cours soins infirmiers en chirurgie (Première partie)
Cours soins infirmiers en chirurgie (Première partie)Cours soins infirmiers en chirurgie (Première partie)
Cours soins infirmiers en chirurgie (Première partie)
 
Les infections génitales chez la femme
Les infections génitales chez la femmeLes infections génitales chez la femme
Les infections génitales chez la femme
 
Programme nationale de lutte contre la tuberculose
Programme nationale de lutte contre la tuberculoseProgramme nationale de lutte contre la tuberculose
Programme nationale de lutte contre la tuberculose
 
Les parasites
Les parasitesLes parasites
Les parasites
 
La sécurité au laboratoire
La sécurité au laboratoireLa sécurité au laboratoire
La sécurité au laboratoire
 
Introduction a la mycologie medicale DR BENLARIBI IMANE HALIMA
Introduction a la mycologie medicale DR BENLARIBI IMANE HALIMAIntroduction a la mycologie medicale DR BENLARIBI IMANE HALIMA
Introduction a la mycologie medicale DR BENLARIBI IMANE HALIMA
 
Programme national d'immunisation
Programme national d'immunisationProgramme national d'immunisation
Programme national d'immunisation
 
Candidose
CandidoseCandidose
Candidose
 
Leishmanioses
LeishmaniosesLeishmanioses
Leishmanioses
 
Rapport de microbiologie
Rapport de microbiologieRapport de microbiologie
Rapport de microbiologie
 
La partique au laboratoire de microbiologie
La partique au laboratoire de microbiologieLa partique au laboratoire de microbiologie
La partique au laboratoire de microbiologie
 
Guide des bonnes pratiques de laboratoire.
Guide des bonnes pratiques de laboratoire.   Guide des bonnes pratiques de laboratoire.
Guide des bonnes pratiques de laboratoire.
 
Assurance qualité mr bahadi
Assurance qualité mr bahadiAssurance qualité mr bahadi
Assurance qualité mr bahadi
 
Les milieux de culture en Bactériologie
 Les milieux de culture en Bactériologie Les milieux de culture en Bactériologie
Les milieux de culture en Bactériologie
 
1cours virologie généralités (1)
1cours virologie généralités (1)1cours virologie généralités (1)
1cours virologie généralités (1)
 
EVALUATION ET PREVENTION DES RISQUES INFECTIEUX DANS LES LABORATOIRES DE MICR...
EVALUATION ET PREVENTION DES RISQUES INFECTIEUX DANS LES LABORATOIRES DE MICR...EVALUATION ET PREVENTION DES RISQUES INFECTIEUX DANS LES LABORATOIRES DE MICR...
EVALUATION ET PREVENTION DES RISQUES INFECTIEUX DANS LES LABORATOIRES DE MICR...
 

Similaire à Liste des 200 qcm hygiene hospitaliere

Famille des Mycobacteriaceae et tuberculose
Famille des Mycobacteriaceae et tuberculoseFamille des Mycobacteriaceae et tuberculose
Famille des Mycobacteriaceae et tuberculoseDr Taoufik Djerboua
 
Pseudomonas aeruginosa et acinetobacter baumannii
Pseudomonas aeruginosa et acinetobacter baumanniiPseudomonas aeruginosa et acinetobacter baumannii
Pseudomonas aeruginosa et acinetobacter baumanniiDr Taoufik Djerboua
 
Les fongiques et les lichens
Les fongiques et les lichensLes fongiques et les lichens
Les fongiques et les lichensmiguelprofairen
 
siham partie
siham partiesiham partie
siham partieMeryam ID
 
Les streptocoques / Streptococcus / Enterococcus
Les streptocoques / Streptococcus / EnterococcusLes streptocoques / Streptococcus / Enterococcus
Les streptocoques / Streptococcus / EnterococcusDr Taoufik Djerboua
 
LES DIFFERENTS TYPES DE RELATION.ppt
LES DIFFERENTS TYPES DE RELATION.pptLES DIFFERENTS TYPES DE RELATION.ppt
LES DIFFERENTS TYPES DE RELATION.pptJeanHovozounkou
 
physiopathologie_des_infections_bactriennes_mcanismes_de_pathognicit__des_bac...
physiopathologie_des_infections_bactriennes_mcanismes_de_pathognicit__des_bac...physiopathologie_des_infections_bactriennes_mcanismes_de_pathognicit__des_bac...
physiopathologie_des_infections_bactriennes_mcanismes_de_pathognicit__des_bac...moha750516
 
microorganismes eucaryotes.pdf
microorganismes eucaryotes.pdfmicroorganismes eucaryotes.pdf
microorganismes eucaryotes.pdfDounyaBenyelles
 
EXPOSE SUR LE PARASITISME2024 naama.pptx
EXPOSE SUR LE PARASITISME2024 naama.pptxEXPOSE SUR LE PARASITISME2024 naama.pptx
EXPOSE SUR LE PARASITISME2024 naama.pptxHADJIMED1
 
Les maladies parasitaire des batraciens
Les maladies parasitaire des batraciensLes maladies parasitaire des batraciens
Les maladies parasitaire des batraciensabir
 
Mycoremédiation efficace.pdf
Mycoremédiation efficace.pdfMycoremédiation efficace.pdf
Mycoremédiation efficace.pdfMOHAMED SLIM
 
Dernier version TMX (1).pdf
Dernier version TMX (1).pdfDernier version TMX (1).pdf
Dernier version TMX (1).pdfMOHAMED SLIM
 

Similaire à Liste des 200 qcm hygiene hospitaliere (17)

Famille des Mycobacteriaceae et tuberculose
Famille des Mycobacteriaceae et tuberculoseFamille des Mycobacteriaceae et tuberculose
Famille des Mycobacteriaceae et tuberculose
 
Amibes
AmibesAmibes
Amibes
 
Pseudomonas aeruginosa et acinetobacter baumannii
Pseudomonas aeruginosa et acinetobacter baumanniiPseudomonas aeruginosa et acinetobacter baumannii
Pseudomonas aeruginosa et acinetobacter baumannii
 
Les fongiques et les lichens
Les fongiques et les lichensLes fongiques et les lichens
Les fongiques et les lichens
 
siham partie
siham partiesiham partie
siham partie
 
Les streptocoques / Streptococcus / Enterococcus
Les streptocoques / Streptococcus / EnterococcusLes streptocoques / Streptococcus / Enterococcus
Les streptocoques / Streptococcus / Enterococcus
 
LES DIFFERENTS TYPES DE RELATION.ppt
LES DIFFERENTS TYPES DE RELATION.pptLES DIFFERENTS TYPES DE RELATION.ppt
LES DIFFERENTS TYPES DE RELATION.ppt
 
physiopathologie_des_infections_bactriennes_mcanismes_de_pathognicit__des_bac...
physiopathologie_des_infections_bactriennes_mcanismes_de_pathognicit__des_bac...physiopathologie_des_infections_bactriennes_mcanismes_de_pathognicit__des_bac...
physiopathologie_des_infections_bactriennes_mcanismes_de_pathognicit__des_bac...
 
Amibes et amibiases
Amibes et amibiasesAmibes et amibiases
Amibes et amibiases
 
microorganismes eucaryotes.pdf
microorganismes eucaryotes.pdfmicroorganismes eucaryotes.pdf
microorganismes eucaryotes.pdf
 
EXPOSE SUR LE PARASITISME2024 naama.pptx
EXPOSE SUR LE PARASITISME2024 naama.pptxEXPOSE SUR LE PARASITISME2024 naama.pptx
EXPOSE SUR LE PARASITISME2024 naama.pptx
 
Champignons
ChampignonsChampignons
Champignons
 
Les maladies parasitaire des batraciens
Les maladies parasitaire des batraciensLes maladies parasitaire des batraciens
Les maladies parasitaire des batraciens
 
Mycoremédiation efficace.pdf
Mycoremédiation efficace.pdfMycoremédiation efficace.pdf
Mycoremédiation efficace.pdf
 
Dernier version TMX (1).pdf
Dernier version TMX (1).pdfDernier version TMX (1).pdf
Dernier version TMX (1).pdf
 
Defenses 1
Defenses 1Defenses 1
Defenses 1
 
Defenses 1
Defenses 1Defenses 1
Defenses 1
 

Dernier

Planification familiale en situations de crise et post-crise - AZ.ppt
Planification familiale en situations de crise et post-crise - AZ.pptPlanification familiale en situations de crise et post-crise - AZ.ppt
Planification familiale en situations de crise et post-crise - AZ.pptOuedraogoSoumaila3
 
Émile Nelligan - poète québécois, pris entre deux solitudes : la poèsie et la...
Émile Nelligan - poète québécois, pris entre deux solitudes : la poèsie et la...Émile Nelligan - poète québécois, pris entre deux solitudes : la poèsie et la...
Émile Nelligan - poète québécois, pris entre deux solitudes : la poèsie et la...Université de Montréal
 
LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAM...
LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAM...LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAM...
LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAM...Khadija Moussayer
 
《购买维多利亚大学学历本科学位证书》
《购买维多利亚大学学历本科学位证书》《购买维多利亚大学学历本科学位证书》
《购买维多利亚大学学历本科学位证书》rnrncn29
 
23. ACTUALITE DE L’ETUDE DU TETANOS CHEZ L’ADULTE, .pdf
23. ACTUALITE DE L’ETUDE DU TETANOS CHEZ L’ADULTE, .pdf23. ACTUALITE DE L’ETUDE DU TETANOS CHEZ L’ADULTE, .pdf
23. ACTUALITE DE L’ETUDE DU TETANOS CHEZ L’ADULTE, .pdfSargata SIN
 
Biologie moléculaire_S6_ première partie .pptx
Biologie moléculaire_S6_ première partie .pptxBiologie moléculaire_S6_ première partie .pptx
Biologie moléculaire_S6_ première partie .pptxrababouerdighi
 
Dr MEHRI TURKI IMEN - Traitement du double menton : Une nouvelle technique tu...
Dr MEHRI TURKI IMEN - Traitement du double menton : Une nouvelle technique tu...Dr MEHRI TURKI IMEN - Traitement du double menton : Une nouvelle technique tu...
Dr MEHRI TURKI IMEN - Traitement du double menton : Une nouvelle technique tu...Aymen Masri
 
Le rôle central de la médecine interne dans l’évolution des systèmes de santé...
Le rôle central de la médecine interne dans l’évolution des systèmes de santé...Le rôle central de la médecine interne dans l’évolution des systèmes de santé...
Le rôle central de la médecine interne dans l’évolution des systèmes de santé...Khadija Moussayer
 
ALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET...
ALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET...ALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET...
ALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET...khalidbarkat2
 
Biologie cellulaire le Chloroplastes.pptx
Biologie cellulaire le Chloroplastes.pptxBiologie cellulaire le Chloroplastes.pptx
Biologie cellulaire le Chloroplastes.pptxrababouerdighi
 
Résultats de la seconde vague du baromètre de la santé connectée 2024
Résultats de la seconde vague du baromètre de la santé connectée 2024Résultats de la seconde vague du baromètre de la santé connectée 2024
Résultats de la seconde vague du baromètre de la santé connectée 2024benj_2
 

Dernier (11)

Planification familiale en situations de crise et post-crise - AZ.ppt
Planification familiale en situations de crise et post-crise - AZ.pptPlanification familiale en situations de crise et post-crise - AZ.ppt
Planification familiale en situations de crise et post-crise - AZ.ppt
 
Émile Nelligan - poète québécois, pris entre deux solitudes : la poèsie et la...
Émile Nelligan - poète québécois, pris entre deux solitudes : la poèsie et la...Émile Nelligan - poète québécois, pris entre deux solitudes : la poèsie et la...
Émile Nelligan - poète québécois, pris entre deux solitudes : la poèsie et la...
 
LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAM...
LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAM...LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAM...
LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAM...
 
《购买维多利亚大学学历本科学位证书》
《购买维多利亚大学学历本科学位证书》《购买维多利亚大学学历本科学位证书》
《购买维多利亚大学学历本科学位证书》
 
23. ACTUALITE DE L’ETUDE DU TETANOS CHEZ L’ADULTE, .pdf
23. ACTUALITE DE L’ETUDE DU TETANOS CHEZ L’ADULTE, .pdf23. ACTUALITE DE L’ETUDE DU TETANOS CHEZ L’ADULTE, .pdf
23. ACTUALITE DE L’ETUDE DU TETANOS CHEZ L’ADULTE, .pdf
 
Biologie moléculaire_S6_ première partie .pptx
Biologie moléculaire_S6_ première partie .pptxBiologie moléculaire_S6_ première partie .pptx
Biologie moléculaire_S6_ première partie .pptx
 
Dr MEHRI TURKI IMEN - Traitement du double menton : Une nouvelle technique tu...
Dr MEHRI TURKI IMEN - Traitement du double menton : Une nouvelle technique tu...Dr MEHRI TURKI IMEN - Traitement du double menton : Une nouvelle technique tu...
Dr MEHRI TURKI IMEN - Traitement du double menton : Une nouvelle technique tu...
 
Le rôle central de la médecine interne dans l’évolution des systèmes de santé...
Le rôle central de la médecine interne dans l’évolution des systèmes de santé...Le rôle central de la médecine interne dans l’évolution des systèmes de santé...
Le rôle central de la médecine interne dans l’évolution des systèmes de santé...
 
ALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET...
ALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET...ALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET...
ALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET PERSONNES AGÉESALIMENTATION ET...
 
Biologie cellulaire le Chloroplastes.pptx
Biologie cellulaire le Chloroplastes.pptxBiologie cellulaire le Chloroplastes.pptx
Biologie cellulaire le Chloroplastes.pptx
 
Résultats de la seconde vague du baromètre de la santé connectée 2024
Résultats de la seconde vague du baromètre de la santé connectée 2024Résultats de la seconde vague du baromètre de la santé connectée 2024
Résultats de la seconde vague du baromètre de la santé connectée 2024
 

Liste des 200 qcm hygiene hospitaliere

  • 1. Hygiène Hospitalère 1/ les Microorganismes saprophytes : A. Des champignons et des végétaux supérieurs B. Dégradent les matières organiques C. Transforment en matière minérales D. Dépend d’un autre être vivant 2/ les Microorganismes saprophytes : A. Des champignons, des microorganismes et des végétaux supérieurs B. Utilisent la matière organique morte C. Indépendant d’un autre être vivant D. Dépend d’un autre être vivant 3/ les Microorganismes commensales : A. Provoque des dommages à l’organisme hôte B. Ne provoque ni des dommages ni désordres à l’organisme hôte C. Indépendant d’un autre être vivant D. Dépend d’un autre être vivant 4/ les Microorganismes commensales : A. Ne provoque ni des dommages ni désordres à l’organisme hôte B. Protège l’organisme hôte contre les agressions extérieures C. Indépendant d’un autre être vivant D. Dépend d’un autre être vivant 5/ les Microorganismes symbiotiques : A. Ne provoque ni des dommages ni désordres à l’organisme hôte B. Trouvent avec l’organisme hôte une association profitable dans un seul sens C. Trouvent avec l’organisme hôte une association profitable aux deux D. Effectuent avec l l’organisme hôte une association durable 6/ les Microorganismes parasites : A. Indépendants d’un autre être vivant B. Trouvent avec l’organisme hôte une association profitable dans un seul sens C. Trouvent avec l’organisme hôte une association profitable aux deux D. Dépendant d’un autre être vivant 7/ les agents pathogènes : A. Peuvent provoquer des infections B. Ne provoquent jamais d’infection C. Provoquent des troubles D. Ne provoquent jamais de troubles
  • 2. 8/ La flore commensale est une flore : A. Absente à l’état normal B. Présente à l’état normal C. Présente uniquement sur les individus D. Présente dans et sur les individus 9/ La flore commensale est une flore : A. Participe au maintien de la santé B. Invariable selon les sites C. Invariable en fonction de l’âge D. Varie selon l’environnement 10/ La flore commensale est une flore : A. Pathogène à l’état normal d’un organisme B. Pathogène uniquement s’il ya des facteurs favorisants C. Variable en fonction de l’âge D. Varie selon le site 11/ La flore commensale est une flore : A. Très faiblement représentée B. Identique chez tous les êtres vivants C. Identique sur le même site D. Très variable sur le même le site 12/ La flore commensale de la peau est : A. Plus importante au niveau des zones lipidiques B. Plus importante au niveau des zones humides C. Plus importante au niveau des zones sèches D. Moins importante au niveau des zones sèches 13/ La flore commensale de la peau est : A. Identique au niveau de toutes les zones de la peau B. Différente au niveau des zones de la peau C. Plus de cocci à Gram + au niveau des zones sèches D. Plus de cocci à Gram + au niveau des zones lipidiques 14/ La flore commensale de la peau est composée de : A. 3 types de flore B. Flore résidente uniquement C. Flore résidente et transitoire D. Flore transitoire uniquement
  • 3. 15/ La flore commensale résidente de la peau est : A. Relativement stable en quantité B. Relativement instable en quantité C. Relativement instable en répartition D. Relativement stable en répartition 16/ La flore commensale résidente de la peau est : A. Située au niveau de la couche cornée B. Située au niveau des couches superficielles C. Sous forme de micro-colonies D. Sous forme de macro-colonies 17/ La flore commensale résidente de la peau est : A. Organisée sous forme de biofilm B. Maléfique C. Bénéfique D. Nature et nombre invariables avec l’âge et la région anatomique 18/ La flore commensale transitoire de la peau est : A. Plus représentée sur les parties couvertes de l’organisme B. Plus représentée sur les parties découvertes de l’organisme C. Se forment à partir de sources exogènes D. Se forment à partir des autres flores de l’organisme 19/ La flore commensale transitoire de la peau est : A. Acquise par le contact avec des personnes et objets environnants B. Plus importante au niveau des mains C. Plus importante au niveau des parties couvertes D. Véhiculée par l’air 20/ La flore commensale transitoire de la peau est constituée de: A. Entérobactéries uniquement B. Cocci à Gram (+) uniquement C. Spores provenant de l’environnement uniquement D. Entérobactéries , cocci à Gram (+) et spores de l’environnement 21 / La flore commensale de la peau dispose de moyens de protection : A. Directs uniquement B. Indirects uniquement C. Les 2 à la fois directs et indirects D. Aucune des propositions
  • 4. 22/ La flore commensale de la peau dispose de moyens de protection directs : A. Production de bactériocines ou de métabolites toxiques B. Mécanismes de compétition C. Mécanismes d’inhibition de la croissance D. Stimulation de la phagocytose 23/ La flore commensale de la peau dispose de moyens de protection indirects : A. Production de bactériocines ou de métabolites toxiques B. Mécanismes de compétition C. Mécanismes d’inhibition de la croissance D. Stimulation de la phagocytose 24/ La flore commensale de la peau dispose de moyens de protection indirects : A. Production de bactériocines ou de métabolites toxiques B. Production d’anticorps et de cytokines C. Mécanismes d’inhibition de la croissance D. Stimulation de la phagocytose 25/ La flore commensale des voies respiratoires est : A. Identique à tous les étages des voies respiratoires B. Variable en fonction des étages des voies respiratoires C. Abondante au niveau des voies aériennes supérieures D. Abondante au niveau des voies aériennes inférieures 26/ Les voies aériennes inferieures sont : A. Normalement stériles B. Protégées par des défenses mécaniques type toux et mouvements ciliaires C. Protégées par des défenses cellulaires par les macrophages D. Protégées par des défenses moléculaires type Ig D 27/ La flore bactérienne de la bouche est caractérisée par : A. Très grandes variétés de microorganismes B. Très faibles variétés de microorganismes C. Véritable écosystème D. Nombreuses bactéries potentiellement pathogènes 28/ La composition bactérienne du pharynx : A. Orophrynx abrite surtout le Streptococcus viridans B. Nasopharynx abrite des espèces les mois dangereuses C. Orophrynx abrite des espèces les plus dangereuses D. Nasopharynx abrite des espèces les plus dangereuses
  • 5. 29/ La composition bactérienne du pharynx : A. Orophrynx abrite Neisseria meningitidis B. Nasopharynx abrite Haemophilus influenzae C. Nasopharynx abrite Streptococcus pneumoniae D. Nasopharynx abrite des espèces les plus dangereuses 30/ La Flore bactérienne des fosses nasales est : A. Identique à celle de la bouche B. Identique à celle du pharynx C. Héberge un très grand nombre de bactéries D. Héberge un très faible nombre de bactéries 31/ La Flore bactérienne des fosses nasales est particulière par: A. Hostilité du mucus au développement bactérien B. Mobilité du mucus par les cellules ciliées C. Présence de plusieurs bactéries très résistantes à ce milieu D. Présence de 03 espèces bactériennes compatibles avec ce milieu 32/ La trachée et les bronches : A. Contiennent très peu de bactéries résistantes à son système protecteur B. Contiennent de très nombreuses bactéries résistantes à son système protecteur C. Considérées très pauvres en bactérie D. Considérées comme stériles 33/ La flore bactérienne commensale de l’arbre respiratoire est : A. Un réservoir de germes potentiellement pathogènes uniquement B. Une protection contre les bactéries étrangères C. Un réservoir de germes potentiellement pathogènes et non pathogènes D. Une flore qui ne aucun effet de protection contre les bactéries étrangères 34/ La flore bactérienne commensale du tube digestif est : A. Désignée par le terme de microbiote B. N’assure aucune fonction C. Assure de nombreuses fonctions physiologiques D. S’oppose à la colonisation des MO pathogènes 35/ La flore bactérienne commensale du tube digestif : A. Représente une biomasse très peu importante B. Constituée de quelques espèces bactériennes différentes C. Constituée de centaines d’espèces bactériennes différentes D. Représente une biomasse très importante
  • 6. 36/ La flore bactérienne commensale du tube digestif : A. Représente un organe microbien B. Douée d’une très faible activité fonctionnelle C. Densité variable le long du tractus gastro-intestinal D. Composition identique le long du tractus gastro-intestinal 37/ La flore bactérienne commensale du tube digestif se compose : A. Une flore endogène résidente dite encore autochtone B. Une flore endogène résidente dite encore allochtone C. Une flore de transit dite encore autochtone D. Une flore de transit dite encore allochtone 38/ La flore autochtone du tube digestif est : A. Une flore non permanente B. Composée d’une flore dominante C. Composée d’une flore sous dominante D. Une véritable carte d’identité bactérienne 39/ / La flore alloctone du tube digestif est : A. Une flore non permanente B. Transitoirement implantée C. Voyage le long du tube digestif D. Pathogène 40/ La flore alloctone du tube digestif : A. Une flore permanente B. Colonise des sites spécifiques C. Non pathogène D. Reste longtemps dans l’intestin 41/ La flore microbienne des fèces est composée de : A. 5 genres microbiens B. Plus d’une centaine de genres bactériens C. Genres bactériens indépendants de la localisation géographique D. Genres bactériens sont dépendants du régime alimentaire 42/ La flore microbienne de l’estomac est composée de : A. Beaucoup de bactéries endogènes très résistantes au pH acide de l’estomac B. Très peu de bactéries endogènes très résistantes au pH acide de l’estomac C. Helicobacter pylori essentiellement D. Genres bactériens non influencés par le pH gastrique
  • 7. 43/ La flore microbienne de l’intestin grêle est : A. Particulièrement riche en bactéries B. Particulièrement pauvre en bactéries C. Représentée par de rares streptocoques D. Influencé par l’effet des sels biliaires 44/ La flore microbienne de l’iléon terminal : A. Quantitativement très importante B. Quantitativement peu importante C. Fonctionnellement très importante D. Fonctionnellement peu importante 45/ La microflore intestinale joue un rôle : A. Important sur le plan nutritionnel uniquement B. Important sur le développement des défenses immunitaires C. Important sur le plan nutritionnel et immunitaire D. Important sur le développement des défenses immunitaires uniquement 46/ La microflore intestinale joue un rôle métabolique sur les: A. Glucides par fermentations des hydrates de carbones B. Lipides par la modification du métabolisme du cholestérol C. Protéines par production d’acides aminés D. Protéines excluant les cellules épithéliales et les bactéries lysées 47/ La microflore intestinale joue un effet de barrière par : A. Eviction de la colonisation d’une flore résidente B. Eviction de la colonisation d’une flore potentiellement pathogène C. Protection contre les substances nocives environnementales D. Limitation de multiplication de levures saprophytes 48/ La microflore intestinale joue un effet de barrière par : A. Interférence bactérienne par occupation des sites d’attachement B. Monopolisation de la nourriture disponible C. Facilitation d’attachement des bactéries pathogènes sur les sites d’attachement D. Synthèse de molécules à action bactéricides 49/ L’appareil génital de la femme est composé de secteurs microbiologiques: A. Au nombre de 3 B. Identiques C. Au nombre de 2 D. Fonctionnellement très importants
  • 8. 50/ Les voies génitales de la femme saine se compose d’un: A. Secteur stérile comprenant l’endocol, la cavité utérine et la cavité tubaire B. Secteur colonisé comprenant l’endocol, la cavité utérine et la cavité tubaire C. Secteur stérile comprenant la vulve, le vagin, et l’exocol D. Secteur colonisé comprenant la vulve, le vagin, et l’exocol 51/ / La flore vaginale de la femme saine est: A. Evolutive et subit d’importantes modifications en fonction de l’âge B. Fragile après les menstruations, l’accouchement et les rapports sexuels C. Appauvrie à mesure que l’imprégnation hormonale diminue D. Appauvrie à mesure que l’imprégnation hormonale augmente 52/ La bio-contamination est: A. La Contamination par les bactéries des milieux de l’environnement B. Influencée par l’usage des produits de plus en plus agressifs C. Influencée par des conduites de plus en plus agressives D. Indépendante de toutes modifications survenant dans notre environnement 53/ La contenance d’agents bio-contaminants dans l’air est: A. Invariable quelque soit l’endroit dans un hôpital B. Proportionnelle à la quantité de poussière dans l’air C. Plus importante dans une salle d’opération que dans des locaux normaux D. Plus importante dans des locaux normaux que dans une salle d’opération 54/ La transmission par inhalation se fait par : A. Gouttelettes de salives projetées de personne à personne B. Gouttelettes d’eau aérosolisées C. Gouttelettes d’eaux chaudes sanitaires D. Air chaud stérile 55/ Les différents types d’eaux dans un hôpital : A. Bactériologiquement maitrisées B. Potable C. Eaux techniques D. Eaux de pluies recyclées 56/ Les différents appareils médicaux susceptibles de transmettre des MO : A. Endoscopes B. Appareils de ventilation assistée C. Aspirateurs respiratoires D. Mains sales
  • 9. 57/ Les mécanismes d’adaptation des bactéries à l’environnement se fait par : A. La pression de sélection par la synthèse de nouvelles enzymes B. La pression de sélection par acquisition de plasmide de résistance C. Synthèse de biofilm D. Destruction du bioflm 58/ Les différents étapes d’adhésion bactérienne passent par : A. Adsorption puis fixation et enfin colonisation B. Adsorption puis colonisation et enfin fixation C. Colonisation puis fixation et enfin adsorption D. L’ordre importe peu 59/ L’adhésion bactérienne est caractérisée par : A. Irréversibilité B. Réversibilité C. Spécificité D. Non spécificité 60/ La fixation bactérienne est caractérisée par : A. Irréversibilité B. Réversibilité C. Formation de ponts entre bactérie et support D. Non spécificité 61/ La colonisation bactérienne est caractérisée par : A. Formation de biofilm B. Multiplication C. Formation de glycocalyx D. Non spécificité 62 / les facteurs influençant d’adhésion bactérienne : A. Charge électrique globale B. Présence de pseudopodes chez la bactérie C. Hydrophilie D. L’énergie libre de surface 63/ les facteurs influençant d’adhésion bactérienne : A. Surface rugueuse B. Hydrophilie C. Forces hydrostatiques D. L’énergie libre de surface
  • 10. 64/ les facteurs influençant d’adhésion bactérienne : A. Nature des substrats de l’environnement B. Facteurs rhéologiques C. Concentration des substrats dans l’environnement D. Absence antibiotiques 65/ La formation du biofilm est favorisée par : A. La nature de la surface B. La sensibilité augmentée des bactéries aux antiseptiques C. La sensibilité diminuée des bactéries aux antiseptiques D. Aucune proposition 66/ Les mesures de lutte contre la bio-contamination sont : A. La surveillance régulière B. L’assurance de l’application des protocoles d’hygiènes et leur révision C. Les enquêtes autour des sources D. Le non recueil des informations 67/ Antiseptiques et les désinfectants sont des produits : A. Capables d’éliminer les micro-organismes par action indirecte B. Tuer les micro-organismes par action indirecte C. Capables d’éliminer les micro-organismes par action directe D. Tuer les micro-organismes par action directe 68/ Antiseptiques et les désinfectants sont des produits : A. Capables d’éliminer les micro-organismes par action indirecte B. Tuer les micro-organismes par action indirecte C. Capables d’éliminer les micro-organismes par action directe D. Tuer les micro-organismes par action directe 69/ Antiseptiques et les désinfectants sont des produits : A. Agissent sur les mêmes supports B. Antiseptiques destinés aux tissus vivants C. Désinfectants destinés aux tissus vivants D. Agissent sur des supports différents 70/ Antiseptiques sont des : A. Médicaments fabriqués par les médecins B. Médicaments fabriqués par les pharmaciens C. Médicaments contrôlés par les médecins D. Médicaments contrôlés par les pharmaciens
  • 11. 71/ Antiseptiques doivent répondre à un certains nombre de critère: A. Actifs sur des surfaces inertes B. Actifs sur des tissus vivants C. Bien tolérés par la peau D. Mal tolérés par les muqueuses 72/ L‘action désinfectante et antiseptique de certains produits est : A. Dose dépendante B. Conditions d’utilisation dépendante C. Est toujours possible quelque soit la dose D. Est toujours possible quelque soit les conditions d’utilisation 73/ Un antiseptique est une préparation pharmaceutique : A. Active uniquement sur les bactéries du revêtement muqueux B. Active sur les bactéries, virus et champignons du revêtement cutané C. Dont l’activité dépend de la nature chimique D. Dont l’activité est complètement indépendante de la nature chimique 74/ Un antiseptique est une préparation pharmaceutique qui : A. Dispose d’un spectre d’activité B. Peut avoir un effet de stimulation de la croissance des agents microbiens C. Peut avoir un effet de destruction réversible irréversible D. Peut avoir un effet d’inhibition de la croissance des agents microbiens 75/ Les critères de choix d’un antiseptique sont: A. Spectre d’activité étroit B. Activité destructrice C. Forte toxicité D. Faible toxicité 76/ Les critères de choix d’un antiseptique sont: A. Tolérance cutanée B. Instabilité C. stabilité D. Coût 77/ Les critères de choix d’un antiseptique sont: A. Spectre d’activité large B. Activité en présence de substances interférentes inhibitrices C. Instabilité D. Faible toxicité
  • 12. 78/ Chlorhexidine est un antiseptique qui : A. Appartient à la famille des alcools B. Appartient à la famille des biguanides C. Agit indépendamment de sa concentration D. Agit en fonction de sa concentration 79/ Chlorhexidine est un antiseptique qui à faible concentration : A. Augmente la rigidité de la membrane des bactéries B. Diminue la rigidité de la membrane des bactéries C. Provoque une fuite des ions intra-cytoplasmiques D. Active les transports transmembranaires 80/ Chlorhexidine est un antiseptique qui à forte concentration : A. Mort cellulaire B. Diminue la rigidité de la membrane des bactéries C. Cristallise la membrane des bactéries D. Perte importante du matériel intracellulaire 81/ Polyvidone iodée est un antiseptique : A. Insoluble dans l’eau B. Soluble dans l’eau C. Se fixe sur la peau D. Action lente 82/ Eau de javel est un antiseptique : A. Dérivé du chlore B. Dérivé de l’iode C. Dont la stabilité est dépendante du pH et de la température D. A vertus désinfectantes 83/ Les halogénés sont un groupe d’antiseptiques qui : A. Ont des problèmes de pénétration dans les bactéries B. Sont très efficaces contre les virus C. Ont un spectre d’action complet D. Ont un mécanisme d’action pour lequel s’établit une résistance 84/ Les alcools sont un groupe d’antiseptiques qui agissent par : A. Substitution à une liaison hydrogène B. Substitution à une liaison carbone C. Substitution à une liaison oxygène D. Les trois à la fois
  • 13. 85/ Les alcools purs agissent par : A. Coagulation lente des protéines bactériennes B. Désactivation mais pas mort bactérienne C. Coagulation rapide des protéines bactériennes D. Désactivation et mort bactérienne 86/ L’alcool à 70° agit par : A. Coagulation lente des protéines bactériennes B. Désactivation mais pas mort bactérienne C. Coagulation rapide des protéines bactériennes D. Dénaturation et mort bactérienne 87/ Les alcools sont : A. Conservateurs entre 0 et 30% B. Bactéricides entre 30 et 50% C. Bactéricides entre 50 et 95% D. Bactériostatiques entre 30 et 50% 88/ L’antisepsie est une méthode utilisée pour éliminer les micro-organismes sur : A. La peau saine uniquement B. La peau lésée uniquement C. La peau saine et lésée D. La muqueuse 89/ L’antisepsie est une méthode utilisée dont l’efficacité dépend de : A. La rémanence B. La composition des MO C. La forme s’existence (spore ou végétative) D. La coloration de Gram 89/ Les produits suivants sont des antiseptiques d’usage courant : A. L’alcool B. L’éther C. L’eau de javel D. L’eau oxygénée 90/ Le choix des antiseptiques répond à : A. Une seule question : quel risque infectieux ? B. Une seule question : quel site ? C. Une seule question : quel type de patient ? D. Les 3 à la fois
  • 14. 91/ Le choix des antiseptiques doit prendre en considération: A. La toxicité du produit B. L’écologie du site C. Présence d’éléments activateurs D. La résistance acquise 92/ L’utilisation des désinfectants doit prendre connaissance de : A. La cible uniquement B. L’écologie du site C. L’arsenal à disposition D. La manière de s’en servir 93/ Les différents facteurs modulant l’utilisation des désinfectants : A. Les organismes ciblés B. Le milieu environnant C. Les caractéristiques de produits D. Le coût bas du produit 94/ Les différents facteurs modulant l’utilisation des désinfectants : A. Les organismes ciblés B. Le milieu environnant C. Les caractéristiques de produits D. Le coût bas du produit 95/ Un désinfectant est un produit capable de : A. Tuer et éliminer les bactéries B. Tuer et éliminer les virus C. Inactiver les bactéries D. Inactiver les virus 96/ Un désinfectant est un produit capable de : A. Tuer et éliminer les bactéries sur un tissu vivant B. Tuer et éliminer les bactéries sur une surface inerte C. Inactiver les virus les bactéries sur un tissu vivant D. Inactiver les bactéries sur une surface inerte 97/ Un désinfectant est un produit capable de jouer le rôle d’antiseptique: A. Toujours et sans conditions B. Jamais quelque soit la concentration C. Selon la dose D. Selon les conditions d’utilisation
  • 15. 98/ Adhésion des micro-organismes à des surfaces solides s’effectue: A. De plusieurs manières B. D’une seul manière C. Réversible puis permanente D. Temporaire puis irréversible 99/ Adhésion réversible des micro-organismes à des surfaces solides est: A. Permanente B. Temporaire C. Spécifique D. Non spécifique 100/ Adhésion réversible des micro-organismes à des surface est la résultante des: A. Forces d’attraction B. Forces de répulsion C. Forces de van der Waals D. Aucune 101/ Dans l’adhésion réversible des micro-organismes, les forces de répulsions sont: A. Forces s’exerçant entre la couche ionique de la bactérie et la surface B. Attractives quand les charges sont identiques C. Attractives quand les charges sont opposées D. Répulsives quand les charges sont opposées 102/Adhésion irréversible des micro-organismes à des surfaces solides est: A. Permanente B. Temporaire C. Lente D. Non spécifique 103/ Dans l’adhésion irréversible, la fixation de l’agent sur le support solide est: A. Effectuée par les pilis B. Favorisée par le glycocalyx C. Dépendante de la concentration en éléctrolytes du support D. Indépendante de la concentration en éléctrolytes du support 104/ Dans l’adhésion irréversible, la fixation de l’agent sur le support : A. Dépend du type de bactérie B. Dépend du la durée de sa phase de croissance C. Ne dépend pas de l’importance de sa population D. Dépend de l’importance de sa population
  • 16. 105/ Dans l’adhésion irréversible, la durée de la phase de croissance dépend de: A. Température uniquement B. pH du milieu uniquement C. Absence de nutriments D. Température et pH à la fois 106/ Dans l’adhésion irréversible, la force d’attachement des MO dépend de: A. Charge de la surface B. Nature du détergent C. Durée de contact uniquement D. Durée de contact 107/ Adhésion bactérienne est influencée par des facteurs liés: A. Micro-organismes seul B. Surface solide seule C. Micro-organisme et surface solide D. Toutes les propositions 108/ Adhésion bactérienne est influencée par des facteurs lié à la surface: A. Mouillabilité B. Rugosité C. Couleur D. Caractéristiques énergétiques 109/ L’Adhésion bactérienne est influencée par le biofilm qui: A. Rend difficile l’adhérence B. Facilite l’adhérence C. Protège les bactéries D. Favorise le développement d’une communauté bactérienne 110/ Un détergent se distingue d’un désinfectant par les activités suivantes : A. Déloger les organismes qui adhèrent à la surface B. Protéger les organismes qui adhèrent à la surface C. Augmenter la surface de contact des bactéries avec les désinfectants D. S’attaquer aux constituants des bactéries 111/ Un désinfectant Chloré (eau de javel) a pour avantage : A. Son coût élevé B. Son efficacité désinfectante C. Son coût faible de production D. Son efficacité uniquement détergente
  • 17. 112/ Un désinfectant Chloré (eau de javel) a pour avantage : A. Son spectre d’activité étroit B. Son spectre d’activité large C. Son efficacité à très haute température D. Ses différentes formes de présentation 113/ Un désinfectant Aldéhyde a pour avantage son action sur : A. Matériel thermorésistant B. Matériel thermosensible C. Les bactéries, virus et prions D. Les bactéries, virus et champignons 114/ Un désinfectant Alcoolé a pour avantage : A. Rapidité d’action B. Son action sur les bactéries à Gram positif uniquement C. Son action sur les bactéries à Gram positif et négatif D. Evaporation rapide 115/ Un désinfectant Oxydant est caractérisé par : A. Rapidité d’action avec la matière B. Absence de rémanence C. Présence effet résiduel D. Son indication dans les désinfections terminales 116/ Un désinfectant pour être efficace doit : A. Attaquer la membrane cytoplasmique B. Attaquer le contenu cellulaire C. Attaquer la membrane cytoplasmique ou son contenu cellulaire D. Attaquer la membrane cytoplasmique et son contenu cellulaire 117/ Un désinfectant pour être efficace agit selon différents modes : A. Destruction la membrane cytoplasmique B. Réduction des échanges avec le milieu extérieure C. Augmentation des échanges avec le milieu extérieure D. Destruction du matériel cellulaire 118/ Le choix du désinfectant doit tenir compte : A. Objectif recherché B. Temps d’action C. Spectre d’activité étroit D. Large spectre d’activité
  • 18. 119/ Le choix du désinfectant doit tenir compte : A. Santé et sécurité des utilisateurs B. Environnement C. Prix uniquement D. Rapport qualité/ prix 120/ Le choix du désinfectant doit tenir compte : A. Nature de la surface à traiter B. Nature des tissus vivants à traiter C. Degré de désinfection D. Qualité quelque soit le prix 121/ La stérilisation est : A. Acte de soin direct B. Acte de soin indirect C. Opération qui rend à rendre exempt un matériel de tous les MO D. Opération qui rend à rendre propre un matériel de tous les MO 122/ La décontamination est : A. Une pré-désinfection B. Un acte dont le résultat est durable C. Un acte dont le résultat est momentané D. Limité aux MO survenant après celle ci 123/ La décontamination à pour objectif de : A. Augmenter la population de MO B. Diminuer la population de MO C. Compliquer le nettoyage ultérieur D. Eviter la contamination de l’environnement 124/ La stérilisation a pour objectif : A. Tuer les micro-organismes portés par des milieux inertes contaminés B. Rendre stérile une charge mal nettoyée C. Compliquer le nettoyage ultérieur D. Rendre stérile une charge parfaitement nettoyée 125/ La stérilité est un état : A. Dans lequel la survie des MO est très probable B. Dans lequel la survie des MO est hautement improbable C. Dans lequel la survie des MO est probable D. De tout de qui est exempt de micro-organisme viable
  • 19. 126/ Les dispositifs médicaux sont dits : A. Critiques, s’ils sont destinés à être introduit dans une cavité stérile B. Semi-Critiques, s’ils sont destinés à être introduit dans une cavité stérile C. Semi-Critiques, s’ils sont destinés à être en contact avec une muqueuse D. Non critiques, s’ils sont destinés à être en contact avec une peau intacte 127/ Les étapes précédents la stérilisation sont dans l’ordre : A. Pré-désinfection, vérification, nettoyage et conditionnement B. Pré-désinfection, nettoyage, vérification et conditionnement C. Nettoyage, pré-désinfection, vérification et conditionnement D. Conditionnement, pré-désinfection, nettoyage et vérification 128/ La pré-désinfection vise à: A. Protéger le personnel et l’environnement B. Traiter du matériel souillé C. Traiter du matériel propre D. Rendre du matériel souillé non contaminant 129/ La pré-désinfection est une étape indiquée au : A. Matériel réutilisable avant l’utilisation B. Matériel réutilisable après utilisation C. Matériel réutilisable après transport et lavage D. Matériel réutilisable avant transport et lavage 130/ La pré-désinfection a pour principe l’utilisation de solution bactéricide ayant des : A. Propriétés détergentes uniquement B. Propriétés désinfectantes uniquement C. Propriétés désinfectante et détergente D. Propriétés ni désinfectante ni détergente 131/ La pré-désinfection doit respecter : A. Le temps d’immersion uniquement B. La concentration des solutions C. La protection du personnel D. Le temps d’immersion 132/ La pré-désinfection a pour avantages techniques d’être : A. Fiable B. Non nécessaire C. Nécessaire D. Eprouvée
  • 20. 133/ La pré-désinfection doit prendre les précautions suivantes : A. Rédaction des procédures B. Bon choix du produit C. Respect des conditions d’utilisation D. Utilisation de solutions trop souillées par les utilisations antérieures 134/ Le nettoyage est : A. Obligatoire pour le matériel à usage unique B. Obligatoire pour le matériel réutilisable C. Toujours suivi du séchage D. Immédiatement suivi du conditionnement 135/ Le nettoyage a pour principe une : A. Action mécanique B. Action nucléaire C. Action thermique D. Action chimique 136/ Le nettoyage permet de : A. Enlever les salissures B. Obtenir un maximum de contamination C. Obtenir un minimum de contamination D. Préserver les salissures 137/ Le nettoyage par appareillage peut se faire par machine à laver par : A. Aspersion B. Immersion C. Ultra-violet D. Ultrasons 138/ Le nettoyage préconise les actes suivants : A. Triage du matériel pour constituer des charges hétérogènes B. Triage du matériel pour constituer des charges homogènes C. Choix des produits adaptés au type de lavage D. Ouverture des instruments articulés 139/ Le nettoyage préconise les actes suivants : A. Rinçage de départ pour éliminer le produit de décontamination B. Rinçage final pour éliminer le produit de décontamination C. Rinçage de départ pour éviter les taches sur les instruments D. Rinçage final pour éviter les taches sur les instruments
  • 21. 140/ Le nettoyage doit éviter les actes suivants : A. Mélange des instruments corrodés et les instruments en bon état B. Surcharge des machines C. Associer des instruments chromés et en inox dans la même charge D. Associer des instruments chromés et en caoutchouc dans une même charge 141/ Après le lavage et avant la stérilisation ne seront gardé pour cet dernier acte A. Les objets non aptes à accomplir leur rôle B. Les instruments aptes à accomplir leur rôle C. Les instruments dont le conditionnement permet de garder leur stérilité D. Les instruments dont le conditionnement ne permet pas de garder leur stérilité 142/ Le principe de la vérification après nettoyage dans la stérilisation vise à : A. Retirer le matériel et le linge en bon état B. Vérifier les fonctionnalités du matériel C. Vérifier l’état le matériel et le linge D. Retirer le matériel et le linge en mauvais état 143/ Le conditionnement a pour indication de : A. Ne pas permettre le contact avec l’agent stérilisant B. Maintenir le niveau minimum de contamination obtenu par le nettoyage C. Maintenir le niveau maximum de contamination obtenu par le nettoyage D. Assurer l’état de stérilité jusqu’à l’emploi du matériel quelque soit les conditions 144/ Le conditionnement a pour indication de : A. Permettre le contact avec l’agent stérilisant B. Assurer la stérilité jusqu’à l’emploi du matériel dans les conditions aseptiques C. Maintenir les caractéristiques physiques du produit uniquement D. Maintenir les caractéristiques organoleptiques du produit 145/ Le conditionnement a pour principe de : A. Permettre le contact avec l’agent stérilisant B. Permettre le contact avec les MO C. Arrêter le contact avec l’agent stérilisant D. Arrêter le contact avec les MO 146/ Le conditionnement est destiné aux objets dont la stérilisation peut se faire par : A. La vapeur uniquement B. La vapeur pour du matériel réutilisable C. La chaleur sèche D. Le formol
  • 22. 147/ Le conditionnement du matériel réutilisable pour la stérilisation par la vapeur : A. Donne un gain de temps pour l’instrumentiste B. Responsable d’une perte de temps pour l’instrumentiste C. Constitue un emballage de protection D. Adapte un ensemble d’instruments pour une intervention 148/ Le conditionnement du matériel à usage unique pour la stérilisation peut être: A. Papier crêpé B. Plastique C. Nontissé D. Métallique 149/ Les avantages du conditionnement du matériel à usage unique sont: A. Le conditionnement unitaire B. L’inadaptation aux objets C. L’adaptation aux objets D. Le coût de fonctionnement important 150/ La destruction microbienne est une : A. Catalyse B. Hydrolyse C. Mesurable par le calcul de la valeur stérilisatrice D. Favorable à la pullulation bactérienne sur le matériel 151/ La dépyrogénisation consiste en : A. Destruction microbienne B. Destruction des endotoxines C. Favorable à la pullulation bactérienne sur le matériel D. Mesurable par le calcul de la valeur stérilisatrice 152/ La dépyrogénisation utilise comme moyens : A. Action mécanique par les oxydants B. Action chimique par les oxydants C. Action mécanique par la chaleur D. Action chimique par la chaleur 153/ La stérilisation par la vapeur d’eau se base sur les paramètres suivants : A. La température uniquement B. La durée C. La pression D. La température et la pression uniquement
  • 23. 154/ L’antibiothérapie curative : A. Est dite aussi préventive B. S'adresse au patient déjà infecté C. Est dite aussi prophylactique D. Se base sur l’isolement et la caractérisation du germe 155/ L’antibio-prophylaxie : A. Est dite aussi préventive B. S'adresse au patient déjà infecté C. Vise à d'empêcher le développement d'une infection D. Se base sur l’isolement et la caractérisation du germe 156/ Les bactéries sont dites multirésistantes quand elles sont: A. Sensible à au mois un antibiotique B. Sensible à au mois 3 antibiotiques C. Résistante à 3 antibiotiques de la même famille D. Résistantes à 3 familles d’antibiotiques différentes 157/ Le but des règles de prescription des antibiotiques est d’éviter : A. La prescription appropriée B. La prescription inappropriée C. La prescription inutile D. La prescription utile 158/ Le but des règles de prescription des antibiotiques est de : A. Réfléchir aux effets bénéfiques pour le patient uniquement B. Réfléchir aux effets bénéfiques pour le patient et l’environnement C. Réfléchir aux effets bénéfiques pour l’environnement uniquement D. Suivre les conseils de prescription 159/ Eviter une prescription inutile d’antibiotiques devant : A. Des résultats négatifs des tests d’orientation diagnostique B. Des résultats positifs des tests d’orientation diagnostique C. Un doute sur l’utilité de prescription d’un antibiotique D. Une infection d’origine virale 160/ les antibiotiques particulièrement générateurs de résistance sont les : A. Macrolides B. Aminosides C. Fluoroquinolones D. Céphalosporines de 3ème génération et l’amoxicilline–acide clavulanique
  • 24. 160/ L’antibiothérapie curative en pratique courante : A. Permet un choix rationnel contre le germe supposé B. Est probabiliste C. Est empirique c'est-à-dire au hasard D. Est empirique c'est-à-dire fondée sur une démarche argumentée 161/ L’antibiothérapie curative en pratique courante: A. Adapte les paramètres des antibiotiques à l’âge du patient B. Adapte les paramètres des antibiotiques à la localisation de l’infection C. Adapte les paramètres des antibiotiques à la taille du patient D. Toutes les propositions précédentes 162/ L’antibiothérapie prophylactique utilisée avant une contamination possible: A. Sa durée dépasse les 48 heures pour être très efficace B. Sa durée ne dépasse les 24 heures dans la majorité des cas C. Utilise des molécules très récentes et très chères D. Utilise des molécules relativement anciennes 163/ L’antibiothérapie prophylactique s’adresse à un: A. Patient particulier, infecté B. Patient particulier, a priori indemne de toute infection C. Patient particulier, devant subir acte médical sans risque D. Patient particulier, devant subir acte chirurgical à haut risque 164/ L’antibiothérapie prophylactique est : A. Curative B. Préventive C. Probabiliste D. Documentée par un antibiogramme 165/ La surveillance du bon usage de l’antibiothérapie accompagne : A. La surveillance des infections nosocomiales B. L’optimisation des soins C. La surveillance des résistances bactériennes D. La surveillance de l’évolution des viroses 166/ La pharmacie dans la surveillance du bon usage de l’antibiothérapie est : A. Chargée de respecter de la prescription des antalgiques B. Chargée de respecter de la prescription des antibiotiques C. Non responsable du coût D. Responsable du coût
  • 25. 167/ Le rôle de la pharmacie dans la surveillance du bon usage de l’antibiothérapie : A. Gestion et approvisionnement et détention des antibiotiques B. Dispensation des antibiotiques sans regard sur la durée C. Dispensation des antibiotiques avec un regard sur la durée selon l’indication D. Dispensation des antibiotiques avec une réévaluation sans justificatif 168/ Toute prescription des antibiotiques doit comporter : A. La date et le nom du patient B. La durée de la prise C. La signature du pharmacien D. La signature du prescripteur 169/ Toute prescription des antibiotiques à usage restreint doit être: A. Accompagnée d’une justification écrite avec antibiogramme B. Accompagnée d’une justification écrite sans antibiogramme C. Conforme au protocole établi par l’établissement de soin D. Rédigée par un médecin généraliste 170/ Le programme d’utilisation des anti-infectieux : A. Facultatif dans les établissements de santé B. Très important dans les établissements de santé C. A pour objectif d’assurer une prescription couteuse et efficace D. A pour objectif de réduire au minimum la sélection des MO résistants 171/ L’optimisation de la prescription des antibiotiques préconise: A. Utilisation du médicament ayant le spectre le plus large possible B. Utilisation du médicament ayant le spectre le plus étroit possible C. L’association de plusieurs molécules D. L’éviction si possible d’associer les antibiotiques 172/ L’optimisation de la prescription des antibiotiques préconise un choix reposant : A. Sur la nature de l’agent pathogène B. Sur le profil de sensibilité de l’agent pathogène C. Sur la tolérance uniquement D. Sur la tolérance et le coût 173/ L’optimisation de la prescription des antibiotiques préconise une dose : A. Excessive favorisant le développement de souche résistante B. Trop faible favorisant le développement de souche résistante C. Excessive empêchant l’apparition de souche résistante D. Trop faible empêchant l’apparition de souche résistante
  • 26. 174/ L’optimisation de la prescription des antibiotiques préconise une durée : A. Illimitée à la guise du prescripteur B. Limitée en fonction de l’infection C. Plus longue même devant une inefficacité après 3 jours D. 5-14 jours avec des fois une prolongation pour certaines indications 175/ L’optimisation de la prescription de l’antibiothérapie curative répond : A. A La limite de cette prescription aux seules situations qui la justifient B. Au respect des posologies C. Utilisation des antibiotiques impactant négativement la flore commensale D. 5-14 jours avec des fois une prolongation pour certaines indications 176/ L’optimisation de la prescription de l’antibiothérapie prophylactique répond : A. A L’utilisation des antibiotiques 5 jours après l’intervention B. A L’utilisation des antibiotiques au moment de l’induction et au maximum 48h C. A l’usage de doses identiques à la dose thérapeutique D. A l’usage de doses différentes de la dose thérapeutique 177/ L’eau dans les structures de soin est : A. Essentielle à l’hygiène B. Facultative à l’hygiène C. Consommée d’une façon plus importante que dans la vie courante D. Consommée d’une façon moins importante que dans la vie courante 178/ L’eau dans les structures de soin à besoin d’être: A. De moyenne qualité B. De bonne qualité C. En quantité importante D. En permanence 179/ L’eau dans les structures de soin à besoin d’être: A. Contrôlée chimiquement B. Maitrisée en qualité microbiologique C. Maitrisée en qualité toxicologique D. Non contrôlée 180/ L’eau à l’hôpital à besoin d’être maitrisée pour les raisons suivantes: A. C’est un vecteur de transmission des MO B. Patients sont fragiles C. Les germes rencontrés sont parfois très résistants D. Aucune des propositions
  • 27. 181/ L’eau à l’hôpital est contaminée, par différents processus, suite à: A. Un contact des sources d’eau avec les patients B. La stagnation des eaux C. La contamination rétrograde D. Toutes les propositions 182/ La gestion de la qualité de l’eau à l’hôpital est un problème: A. Simplexe B. Complexe C. Implique un seul acteur D. Implique plusieurs acteurs 183/ Les acteurs de la gestion de la qualité de l’eau à l’hôpital on pour rôle de: A. Concevoir le réseau de distribution B. Assurer la maintenance uniquement C. Adapter la qualité de l’eau aux usages D. Entretenir les appareils sanitaires 184/ Les eaux à l’hôpital sont les suivantes: A. Eaux non potables B. Eaux potables C. Eaux stériles conditionnées D. Eaux techniques 185/ Les eaux potables à l’hôpital sont : A. Eaux de boisson B. Eaux alimentaires C. Eaux provenant du réseau d’adduction D. Eaux provenant de sources non contrôlées 186/ Les eaux bactériologiquement maîtrisées sont : A. Eaux de boisson B. Eaux destinées aux soins C. Eaux alimentaires D. Eaux dites « propre » et « ultra propres »en fonction des niveaux de qualité 187/ Les eaux stériles conditionnées sont : A. Eaux destinées aux soins qui contiennent une quantité minimale de MO B. Eaux exemptes de MO vivants C. Répondant aux normes de la pharmacopée D. Eaux dites « propre » et « ultra propres »en fonction des niveaux de qualité
  • 28. 188/ Les eaux à usage de soins sont : A. Eaux exemptes de MO vivants B. Répondant aux normes de la pharmacopée C. Eaux destinées à l’hémodialyse D. Eaux destinées aux piscines de rééducation 189/ Les eaux techniques sont : A. Eaux exemptes de MO vivants B. Eaux sanitaires C. Eaux de climatisation D. Eaux destinées aux piscines de rééducation 190/ La contamination microbiologique concerne: A. Eau du réseau public uniquement B. Eau à l’intérieur des établissements de soin uniquement C. Eau originaire du réseau public et celle à l’intérieur des établissements de soin D. Toutes les propositions 191/ La contamination concernant: A. Eau du réseau public est uniquement chimique B. Eau à l’intérieur des établissements est uniquement chimique C. Eau du réseau public est uniquement microbiologique D. Eau à l’intérieur des établissements est fréquemment microbiologique 192/ La contamination concernant: A. Eau du réseau public est uniquement chimique B. Eau à l’intérieur des établissements est plus fréquemment chimique C. Eau du réseau public est uniquement microbiologique D. Eau à l’intérieur des établissements est fréquemment microbiologique 193/ Les risques liés à l’eau dans l’hôpital sont: A. Le risque infectieux uniquement B. Le risque toxique C. Le risque radioactif D. Le risque infectieux et toxique 194/ Le traitement des eaux dans l’hôpital sont: A. La désinsectisation B. La désinfection C. La lutte contre entartrage D. La lutte contre la corrosion
  • 29. 195/ La désinfection est traitement des eaux dans l’hôpital qui: A. Utilise du Chlore actif B. Doit être installé sans bilan C. Doit être installé après un bilan approfondi et répété D. Tient compte de la teneur en Chlore résiduel 196/ Concernant l’hygiène de l’air, une structure de soin est classée en zones: A. 2 zones : septique et aseptique B. 3 zones indépendantes du risque d’activité liée au soin C. 4 zones en fonctions des risques d’activité liée au soin D. 1 zone unique considérée à haut risque 197/ Pour assurer le bon fonctionnement des systèmes de ventilation il est : A. Primordial de suivre le plan de maintenance proposé par l’installateur B. Primordial de suivre le plan de maintenance proposé par l’utilisateur C. Primordial de respecter les normes en vigueur D. Facultatif respecter les normes en vigueur 198/ Pour prévenir tout risque de contamination par la ventilation, les hôpitaux : A. S’équipent de climatisation centrale B. S’équipent de ventilateur individuel C. N’installent pas de système de ventilation centrale D. S’équipent de filtre pour purifier l’air 199/ Les systèmes de filtration d’air dans les hôpitaux ont pour objectif(s) : A. De réduire les risques d’infection virale B. De protéger les équipements médicaux contre la contamination C. De réduire les risques d’infection bactérienne D. Aucune proposition 200/ La maintenance des systèmes d’aération de l’air dans les hôpitaux vise : A. Le nettoyage des gaines de ventilation uniquement B. Le nettoyage des grilles de ventilation C. Le nettoyage des récupérateurs de chaleur D. La vérification et remplacement périodique des filtres