La polyarthrite rhumatoïde atteint surtout les femmes et se révèle assez souvent invalidante en rendant pénible les gestes élémentaires de la vie quotidienne. L’amélioration de sa prise en charge a cependant réduit de moitié en 20 ans ses conséquences douloureuses. Des thérapeutiques, récentes mais encore coûteuses, permettent d’envisager une vie quasi normale dans un avenir assez proche.
La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie inflammatoire chronique d’origine auto-immune où le système immunitaire s’attaque principalement aux articulations. Tout le monde peut être touché mais elle est beaucoup plus fréquente chez les femmes (dans une proportion de presque 3 femmes pour seulement 1 homme). Elle survient entre 35 et 50 ans en général.
LES SYMPTÔMES D’ALERTE DE LA POLYARTHRITE RHUMATOÏDE
Les premiers signes qui permettent d’évoquer la maladie se manifestent notamment par des gonflements douloureux au niveau des mains, poignets et genoux. La personne est également réveillée par des douleurs articulaires et ressent, le matin, un engourdissement et une raideur de ces articulations pendant un certain temps
LA PRISE EN CHARGE SPECIFIQUE
Outre un médecin généraliste, la prise en charge du malade est assurée généralement soit par :
– un rhumatologue (spécialiste des articulations et des os) ;
– un spécialiste en médecine interne, encore appelé « interniste », une spécialité méconnue au Maroc : il soigne notamment les patients qui présentent plusieurs organes malades, ou atteints simultanément de plusieurs maladies ;
– un pédiatre chez les enfants pour une forme différente, l’arthrite juvénile, susceptible d’évoluer plus tard en polyarthrite rhumatoïde.
LE DIAGNOSTIC : UN EXAMEN CLINIQUE, UN BILAN BIOLOGIQUE ET DES RADIOGRAPHIES OSSEUSES
Le diagnostic se fonde sur un ensemble de preuves obtenues par :
– l’examen clinique et l’interrogatoire permettant de suspecter la maladie par la localisation des atteintes et leur caractère chronique ;
– un bilan sanguin mettant ensuite en évidence la présence de substances spécifiques : les anticorps anti CCP ;
– une échographie pour confirmer l’inflammation et une radiographie enfin laissant voir des érosions osseuses et un pincement des lignes articulaires.
L’EVOLUTION DE LA PATHOLOGIE : LONGUE, IMPREVISIBLE ET DOULOUREUSE
Son évolution est imprévisible. Elle se fait sur des décennies, avec des périodes de poussées (des crises douloureuses) et de rémission (au cours de laquelle les symptômes sont moins intenses et peuvent même disparaître).
En règle générale, la maladie tend à s’aggraver, à atteindre et endommager de plus en plus d’articulations qui finissent par se déformer. Les doigts dévient sur le côté et se replient sur eux-mêmes. À un stade avancé, des atteintes peuvent toucher d’autres organes tels que les poumons, les yeux et le cœur. Si elle n’est pas correctement traitée, la polyarthrite rhumatoïde peut devenir très invalidante et douloureuse.
CAT devant une Thrombose veineuse superficielle .pptx
LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAMMENT LES BIOTHERAPIES
1. LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN
CHARGE AVEC NOTAMMENT LES BIOTHERAPIES
La polyarthrite rhumatoïde atteint surtout les femmes et se révèle assez souvent invalidante en
rendant pénible les gestes élémentaires de la vie quotidienne. L’amélioration de sa prise en charge
a cependant réduit de moitié en 20 ans ses conséquences douloureuses. Des thérapeutiques,
récentes mais encore coûteuses, permettent d’envisager une vie quasi normale dans un avenir assez
proche.
La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie inflammatoire chronique d’origine auto-immune où
le système immunitaire s’attaque principalement aux articulations. Tout le monde peut être touché
mais elle est beaucoup plus fréquente chez les femmes (dans une proportion de presque 3 femmes
pour seulement 1 homme). Elle survient entre 35 et 50 ans en général.
LES SYMPTÔMES D’ALERTE DE LA POLYARTHRITE RHUMATOÏDE
Les premiers signes qui permettent d’évoquer la maladie se manifestent notamment par des
gonflements douloureux au niveau des mains, poignets et genoux. La personne est également
réveillée par des douleurs articulaires et ressent, le matin, un engourdissement et une raideur de ces
articulations pendant un certain temps
2. LA PRISE EN CHARGE SPECIFIQUE
Outre un médecin généraliste, la prise en charge du malade est assurée généralement soit par :
– un rhumatologue (spécialiste des articulations et des os) ;
– un spécialiste en médecine interne, encore appelé « interniste », une spécialité méconnue au
Maroc : il soigne notamment les patients qui présentent plusieurs organes malades, ou atteints
simultanément de plusieurs maladies ;
– un pédiatre chez les enfants pour une forme différente, l’arthrite juvénile, susceptible d’évoluer
plus tard en polyarthrite rhumatoïde.
LE DIAGNOSTIC : UN EXAMEN CLINIQUE, UN BILAN BIOLOGIQUE ET DES RADIOGRAPHIES
OSSEUSES
Le diagnostic se fonde sur un ensemble de preuves obtenues par :
– l’examen clinique et l’interrogatoire permettant de suspecter la maladie par la localisation des
atteintes et leur caractère chronique ;
– un bilan sanguin mettant ensuite en évidence la présence de substances spécifiques : les anticorps
anti CCP ;
– une échographie pour confirmer l’inflammation et une radiographie enfin laissant voir des érosions
osseuses et un pincement des lignes articulaires.
L’EVOLUTION DE LA PATHOLOGIE : LONGUE, IMPREVISIBLE ET DOULOUREUSE
Son évolution est imprévisible. Elle se fait sur des décennies, avec des périodes de poussées (des
crises douloureuses) et de rémission (au cours de laquelle les symptômes sont moins intenses et
peuvent même disparaître).
En règle générale, la maladie tend à s’aggraver, à atteindre et endommager de plus en plus
d’articulations qui finissent par se déformer. Les doigts dévient sur le côté et se replient sur eux-
3. mêmes. À un stade avancé, des atteintes peuvent toucher d’autres organes tels que les poumons, les
yeux et le cœur. Si elle n’est pas correctement traitée, la polyarthrite rhumatoïde peut devenir très
invalidante et douloureuse.
DES TRAITEMENTS TOUJOURS PLUS PERFORMANTS
Commencé le plus tôt possible, ils permettent de ralentir et de contrôler la progression de la
maladie. Deux types de thérapeutiques :
– les médicaments classiques, des immunosuppresseurs (qui diminuent l’hyperactivité de notre
système immunitaire) dont le plus utilisé est le Méthotrexate ;
– les biothérapies qui sont de nouveaux traitements ayant révolutionné la prise en charge de cette
pathologie en réduisant ou même stoppant non seulement les symptômes douloureux mais aussi la
destruction articulaire. Les biothérapies sont un ensemble de thérapeutiques produites à l’aide de
méthodes biotechnologiques et reposant sur l’emploi d’organismes vivants (tissus, cellules, certains
microbes). Elles s’opposent ainsi aux médicaments traditionnels obtenus par synthèse chimiques.
L’AMELIORATION DE LA QUALITE DE VIE : DES ESPOIRS AU MILIEU DES SOUFFRANCES
Une vie difficile au quotidien
La maladie empêche les personnes qui en sont atteintes d’accomplir des gestes simples de la vie de
tous les jours comme se brosser les dents, se coiffer, faire sa toilette, ouvrir une bouteille d’eau,
éplucher un légume, verser du thé… Elle est aussi responsable de longs congés de maladie et même
de l’arrêt de l’activité professionnelle.
Une invalidité réduite
De grands progrès ont cependant été réalisés ces dernières années pour diminuer les conséquences
de l’affection. Une étude hollandaise très complète avait déjà bien confirmée cette évolution positive
en 2012.
Elle a été effectuée sur une population de 1 151 patients entre 1990 et 2011 : des personnes âgées de
17 à 86 ans ont été évaluées au moment du diagnostic et durant trois à cinq ans. Il en est ressorti que
le pourcentage des personnes atteintes d’anxiété, de dépression et de handicap physique est passé
respectivement de 23%, 25% et 53%, il y a vingt ans, à 12%, 14% et 31% maintenant. Les souffrances
de tous ordres des malades ont donc été réduites de moitié ces vingt dernières années.
Ont contribué à ce phénomène, selon les chercheurs, un diagnostic plus précoce, des traitements plus
agressifs employés dès le stade initial de la maladie avec notamment le développement des
médicaments immunosuppresseurs et de nouveaux produits biologiques – les biothérapies – ainsi
qu’un meilleur encadrement des malades faisant appel aux psychothérapies et à l’incitation à un bon
4. équilibre diététique et à la pratique d’activités physiques. Et des progrès importants ont encore été
accomplis depuis 2O12 !
A partir de cette étude, on peut même estimer que les personnes atteintes auront dans quelques
années une qualité de vie similaire à n’importe quel individu en bonne santé, si les avancées
scientifiques continuent à progresser de la même façon.
LA SITUATION AU MAROC : UN FREIN AU SOIN, LA CHERTE DES TRAITEMENTS INNOVANTS
Au Maroc, les patients bénéficient aussi de l’amélioration de cette prise en charge même si ces bons
résultats ne sont pas au même niveau qu’en Europe. Le seul souci, et il est de taille, réside dans l’accès
pour tous à ces thérapies, auxquelles bon nombre doit encore renoncer, en partie ou en totalité, faute
de moyens financiers.
Si environ 200 000 marocains sont touchés par la maladie, moins de 20% d’entre eux bénéficient
réellement d’une prise en charge adaptée et efficace. La thérapie en début de maladie coûte 1 500
dirhams (environ 140 Euros) par patient et par an sous Méthotrexate (un traitement remboursé par la
CNSS) alors qu’à un stade plus tardif et/ou critique, le recours à la biothérapie est bien plus cher : entre
60 000 et 250 000 dirhams (entre plus de 5 000 Euros et 23 000 Euro par an et par patient, non
remboursés par les organismes de santé. D’où l’intérêt d’un dépistage précoce qui permet de mieux
contrôler la maladie.
LA POLYARTHRITE DANS LA GALAXIE DES MALADIES AUTO-IMMUNES
Les maladies auto-immunes ou l’autodestruction de l’organisme
Une maladie auto-immune comme la polyarthrite est provoquée par un mauvais fonctionnement du
système immunitaire : des cellules spécialisées et des substances, les anticorps, sont censés
normalement protéger nos organes, tissus et cellules des agressions des virus, bactéries,
champignons… Pour des raisons encore non élucidées, ces éléments se trompent d’ennemi et se
mettent à attaquer nos propres organes et cellules. Ces anticorps devenus nos ennemis s’appellent
alors « auto-anticorps ». Ils vont être fabriqués par l’organisme pour agresser différents éléments de
notre corps selon la maladie en cause (les articulations dans le cas de la polyarthrite rhumatoïde).
Parmi ces pathologies (plus d’une centaine), les plus connues sont : la maladie de Basedow
(hyperthyroïdie), la thyroïdite de Hashimoto (hypothyroïdie), le lupus, la myasthénie, la Sclérose en
plaques, le diabète de type 1, la spondylarthrite, la maladie cœliaque (intolérance au gluten), la
maladie de Cohn, le psoriasis…
Et d’autres plus rares et peu connues : le syndrome de Goodpasture, le pemphigus, l’anémie
hémolytique auto-immune, le purpura thrombocytopénique auto-immun, la polymyosite et
dermatomyosite, la sclérodermie, l’anémie de Biermer, la maladie de Gougerot-Sjögren, la
glomérulonéphrite…
Dr MOUSSAYER KHADIJA الدكتور
موسيار خديجة ة
أمراض و الباطني الطب في اختصاصية
الشيخوخة ,Spécialiste en médecine interne et en Gériatrie, Présidente
de l’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS), الجمعية رئيسة
والجهازية و الذاتية المناعة ألمراض المغربية , Présidente de l’Alliance Maladies Rares au Maroc (AMRM)
Chairwoman of the Moroccan Autoimmune and Systemic Diseases Association, Vice-présidente de
l’association marocaine des intolérants et allergiques au gluten (AMIAG), Ex-Secrétaire générale de
5. l’association des médecins internistes du grand Casablanca (AMICA), Vice-présidente de l’association
marocaine de la fièvre méditerranéenne familiale (AMFMF)
SIXI7ME JOURNEE DE L’AUTO-IMMUNITE EN 2016
POUR EN SAVOIR PLUS : I/ BIBLIOGRAPHIE, II/ L'ASSOCIATION MAROCAINE DES
MALADIES AUTO-IMMUNES (AMMAIS), III/ L'ALLIANCE DFES MALADIES RARES AU
MAROC : MISSIONS ET ACTIONS
I/ BIBLIOGRAPHIE
– Cécile L. Overman, Maud S. Jurgens, Ercolie R. Bossema, Johannes W.G. Jacobs MD PhD, Johannes
W.J. Bijlsma MD, Rinie Geenen – Patients with rheumatoid arthritis nowadays are less psychologically
distressed and physically disabled than patients two decades ago – DOI: 10.1002/acr.22211 – online
December 3, 2013.
http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/acr.22211/pdf
– Moussayer Khadija – Maladies auto-immunes : Quand le corps s’attaque à lui-même – Doctinews
N° 36 Août/Septembre 2011.
https://www.doctinews.com/index.php/archives/39-dossier/912-maladies-auto-immunes-quand-le-
corps-sattaque-a-lui-meme
– Moussayer Khadija – Biothérapies : La révolution des traitements ciblés issus du vivant – Doctinews
N° 58 Septembre 2013.
https://issuu.com/ismailberrada/docs/doctinews_aou__t-septembre_2013/20#google_vignette
– L’invalidité des malades réduite de moitié en vingt ans par Priscilla Maingre (avec interviews
Khadija Moussayer et Fadoua Allali) – LE MATIN – 17 Décembre 2013.
https://lematin.ma/journal/2013/polyarthrite-rhumatoide_l-invalidite-des-malades-reduite--de-
moitie-en-vingt-ans/193231.html
II/ L'ASSOCIATION MAROCAINE DES MALADIES AUTO-IMMUNES (AMMAIS)
Les objectifs de l'ASSOCIATION MAROCAINE DES MALADIES AUTO-IMMUNES (AMMAIS),, créée en
2010,,sont d’informer et sensibiliser grand public et médias sur les maladies auto-immunes en tant
que catégorie globale afin que le diagnostic soit plus précoce, d’aider à leur meilleure prise en charge
et de promouvoir la recherche et les études sur elles.
AMMAIS organise régulièrement des manifestations comme la journée de l’auto-immunité, la
rencontre sur le syndrome sec et la maladie de Gougerot-Sjögren… ou encore des rencontre clinico---
-biologique avec l’association marocaine de Biologie Médicale (AMBM).
Elle se donne par ailleurs pour but de contribuer à la création par les malades eux-mêmes
6. d’associations spécifiques comme l’association marocaine des intolérants au gluten (AMIAG) et
l’association marocaine de la fièvre méditerranéenne familiale. Le professeur Loïc Guillevin est le
président d’honneur de l’association.
III/ L'ALLIANCE DFES MALADIES RARES AU MAROC : MISSIONS ET ACTIONS
L’Alliance a pour missions de faire connaître et reconnaître les maladies rares auprès du public, des
professionnels de santé et des pouvoirs publics en informant sur leurs enjeux scientifiques, sanitaires
et sociaux, par tous les moyens : presse écrite, télévision, radio, sites internet et réseaux sociaux.
Elle a également pour objectifs de contribuer à l’information des médecins en organisant des colloques
thématiques sur les maladies rares. Elle œuvre à aider à la création d’associations de malades dédiées
à chaque maladie rare et à améliorer l’accès au diagnostic et aux soins des maladies rares par la mise
en place de centre de référence et de compétence et par une prise en charge réellement efficaces en
inscrivant ces troubles comme des affections de longues durées (ALD)
L’Alliance des Maladies Rares (AMRM) a été créée en 2017. Elle s’est inspirée des modèles des pays
plus développés, où des associations de malades atteints de maladies rares et des malades dépourvus
d’association se sont unis depuis plusieurs années en « Alliance », telles la France avec l’Alliance des
Maladies Rares ou la Suisse avec Proraris. L’Alliance se donne aussi pour but de contribuer à la création
par les malades eux-mêmes d’associations spécifiques comme elle l’a fait par exemple pour :
l’association marocaine des malades d’angioœdèmes (AMMAO) ou l’association pour les personnes
atteintes de rachitisme vitamino résistant hypophosphatémique (RVRH-XLH).
L’Alliance entretient aussi des relations d’amitié, de solidarité et de collaboration avec de nombreuses
associations et organisations mondiales de malades à travers le monde comme : l’Alliance des
maladies rares française, l’association française de Gougerot-Sjögren (AFGS) et le réseau international
du Gougerot-Sjögren ou encore l’organisation world’s Hereditary Angioedema (HAEi)…
L’Alliance a noué également des relations informelles avec des professionnels de santé et des ONG
dans le monde arabe (Algérie, Tunisie, Liban, Egypte…) et en Afrique (Sénégal, Côte d’Ivoire, Congo,…).
L’Alliance AMRM enfin organise régulièrement de nombreuses manifestations au Maroc, comme les
journées des maladies rares fin février pour célébrer la journée mondiale de ces pathologies, des
forums associatifs, des conférences seules ou en partenariat, des événements divers (séminaires,
marches, concert) ... Des partenariats avec d'autres associations
L’ALLIANCE travaille au quotidien avec beaucoup d’associations marocaines. Elle a de plus signé
des conventions de partenariat « stratégiques » avec 12 associations de patients : 1/Association de
syndrome de Rett (AMSR) , 2/ Association de Solidarité avec les Enfants de la Lune au Maroc
(A.S.E.L.M.) , 3/ Association de l’amyotrophie spinale (SMA) , 4 / association SOS Pku , 5/ association
marocaine des malades d’angioedème héréditaire (AMMAO) , 6/ Association Marocaine pour la
Santé de l’Enfant et de la Mère (AMSEM) , 7/ Association S.O.S Marfantime (S.O.S.M.) , 8/Association
Prader Willi Maroc (P.W.M.) , 9/ Association Flamme d'Espoir pour les Autistes et les Patients atteints
de la PKU , 10/ Association marocaine pour les enfants souffrant d’ostéoporose (Ostéogenèse
imparfaite) A.M.E.O.S , 11/ Association Marocaine de Mucoviscidose (AMM) , 12/ Association Fragile
X Maroc (FxMa) .
7. LE BUREAU DE L'AMRM
Présidente : Dr Khadija Moussayer,
Vice –Présidente : Dr Fouzia Chraibi
8. Secrétaire général : Dr Mounir Filali
Secrétaire général adjoint : M Mohammed Elaidi
Trésorière : Mme Najat Kababi
Trésorière adjointe : Mme Fatima Lahouiry
Conseillers : Mme Salima Benajiba, Dr Zaina Scarby, M. Habib Elghazaoui, M. Mustapha Mokhatar,
Mme Ouafa Cherkaoui, Dr Chafiq Tahiri, M. Hicham Missaoui
Responsable Relations avec les autres associations et organisation M. Abdelhak Kababi
L'ALLIANCE DES MALADIES RARES AU MAROC a enfin organisé la "Journée des Maladies Rares", le 24
février 2024 à Casablanca. Elle l'a fait en partenariat avec les laboratoires Sanofi et L’Association
Marocaine de Biologie Médicale (AMBM). Les principales associations de maladies rares au Maroc
étaient présentes lors de cette manifestation (cf. galerie de photos à la fin de l'article).
GALERIE DE PHOTOS