Conférence co-organisée par l'Institut de l’Elevage et les Chambres d'agriculture d'Auvergne et présidée par Michèle Boudoin, Secrétaire générale de la FNO et Présidente du Corel ovin-CRAA
Tous les diaporamas des 5èmes JTC sont en ligne !
Les contenus des présentations plénières, des ateliers thématiques et de la séquence Témoignages de techniciens
Les 31 mars et 1er avril dernier, les Journées Techniques Caprines ont vécu leur 5ème édition en Haute-Savoie. Les contenus des interventions techniques sont disponibles pour les participants et tous les autres !
Conférence co-organisée par l'Institut de l’Elevage et les Chambres d'agriculture d'Auvergne et présidée par Michèle Boudoin, Secrétaire générale de la FNO et Présidente du Corel ovin-CRAA
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Les 31 mars et 1er avril dernier, les Journées Techniques Caprines ont vécu leur 5ème édition en Haute-Savoie. Les contenus des interventions techniques sont disponibles pour les participants et tous les autres !
Conférence organisée par l'Institut de l’Elevage et présidée par Emmanuel Bernard, Président du Comité de filière viande bovine de l’Institut de l’Élevage.
Séminaire CASDAR INDIBIO, 26 novembre 2014 Connaissances sur les facteurs de variation de la richesse des espèces
Aline Chanseaume (Institut de l'Élevage), Anne Farruggia (Inra),
Jean-François Julien / Christian Kerbiriou (Muséum National d’Histoire Naturelle)
Contours du projet CasDar IndiBio : de la mesure de terrain à la
construction d’un prototype d’évaluation
Vincent Manneville (Institut de l’Élevage), Bernard Amiaud
(Université de Lorraine)
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SPACE 2015 - Conférence organisée par l'Institut de l'Elevage, en partenariat avec Orange et Evolution, et présidée par Vincent Rétif, vice-président d’Evolution
Capr'Inov 2014
Etat des lieux des installations de traite caprine et apports des tests pendant la traite
Conférence organisée par l'Institut de l'Elevage et présidée par Odile DUPONT, éleveuse de chèvres - FRGDS
Capr'Inov 2014
Gestion du parasitisme gastro intestinal en élevage caprin : impact des stratégies de conduite sur le risque parasitaire
Conférence organisée par l'Institut de l'Elevage et présidée par Franck Moreau, vice-président de la FNEC
Face aux enjeux multiples associés aux avortements (limitation de l’impact économique, gestion efficace du risque zoonotique, renforcement des bonnes pratiques de maîtrise tant sur le plan vaccinal que thérapeutique), l’amélioration du diagnostic étiologique de troupeau constitue l’un des tous premiers buts à atteindre. Elle passe en particulier par une optimisation des procédures de prélèvement et par une plus large utilisation d’analyses conventionnelles et innovantes. C'est dans ce cadre qu'un nouvel outil de diagnostic direct a été proposé fin 2022 par l’ENVT et AVEYRON LABO. Il associe une recherche très large d’agents infectieux avérés ou potentiels, et une technologie innovante. Dominique Bergonier présente les enjeux, les principes de cet outil et en illustre l'utilisation sur des exemples concrets. Son intervention est réalisée dans le cadre du Webinaire de l'UMT PSR du 26 Avril 2023
Prise en charge d’une maladie rare d’origine génétiquePasteur_Tunis
Présentation : Prise en charge d’une maladie rare d’origine génétique. Dr Ridha M'rad, Chef du Service des Maladies Héréditaires et Congénitales à l’Hôpital Charles Nicolle
présentation des travaux conduit par l'UMT EBIS et ses partenaires sur l'identification des phénotypes de lésions podales et les perspectives de sélections génomiques de ces caractères
Conférence organisée par l'Institut de l’Elevage et présidée par Emmanuel Bernard, Président du Comité de filière viande bovine de l’Institut de l’Élevage.
Séminaire CASDAR INDIBIO, 26 novembre 2014 Connaissances sur les facteurs de variation de la richesse des espèces
Aline Chanseaume (Institut de l'Élevage), Anne Farruggia (Inra),
Jean-François Julien / Christian Kerbiriou (Muséum National d’Histoire Naturelle)
Contours du projet CasDar IndiBio : de la mesure de terrain à la
construction d’un prototype d’évaluation
Vincent Manneville (Institut de l’Élevage), Bernard Amiaud
(Université de Lorraine)
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SPACE 2015 - Conférence organisée par l'Institut de l'Elevage, en partenariat avec Orange et Evolution, et présidée par Vincent Rétif, vice-président d’Evolution
Capr'Inov 2014
Etat des lieux des installations de traite caprine et apports des tests pendant la traite
Conférence organisée par l'Institut de l'Elevage et présidée par Odile DUPONT, éleveuse de chèvres - FRGDS
Capr'Inov 2014
Gestion du parasitisme gastro intestinal en élevage caprin : impact des stratégies de conduite sur le risque parasitaire
Conférence organisée par l'Institut de l'Elevage et présidée par Franck Moreau, vice-président de la FNEC
Face aux enjeux multiples associés aux avortements (limitation de l’impact économique, gestion efficace du risque zoonotique, renforcement des bonnes pratiques de maîtrise tant sur le plan vaccinal que thérapeutique), l’amélioration du diagnostic étiologique de troupeau constitue l’un des tous premiers buts à atteindre. Elle passe en particulier par une optimisation des procédures de prélèvement et par une plus large utilisation d’analyses conventionnelles et innovantes. C'est dans ce cadre qu'un nouvel outil de diagnostic direct a été proposé fin 2022 par l’ENVT et AVEYRON LABO. Il associe une recherche très large d’agents infectieux avérés ou potentiels, et une technologie innovante. Dominique Bergonier présente les enjeux, les principes de cet outil et en illustre l'utilisation sur des exemples concrets. Son intervention est réalisée dans le cadre du Webinaire de l'UMT PSR du 26 Avril 2023
Prise en charge d’une maladie rare d’origine génétiquePasteur_Tunis
Présentation : Prise en charge d’une maladie rare d’origine génétique. Dr Ridha M'rad, Chef du Service des Maladies Héréditaires et Congénitales à l’Hôpital Charles Nicolle
présentation des travaux conduit par l'UMT EBIS et ses partenaires sur l'identification des phénotypes de lésions podales et les perspectives de sélections génomiques de ces caractères
Présentation sur la "Développement de nouvelles approches pour identifier les anomalies génétiques et leurs mutations causales", par Aurélien Capitan INRAE-UMT eBIS
PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE DU SYNDROME DE GOUGEROT-SJÖGREN DANS UN CABINET LIBEAR...Said El Kettani
Le syndrome de Gougerot-Sjögren (SGS) est une épithélite auto-immune caractérisée par, un syndrome sec essentiellement buccal et oculaire, des manifestations systémiques et une infiltration lymphoplasmocytaire des glandes exocrines. La prévalence se situerait entre 0,1 et 1%. Les femmes sont le plus souvent atteintes. La maladie survient au cours de la 4ème 5ème décade.
Il s’agit d’une étude descriptive prospective réalisée de septembre 2009 à juin 2015. Elle a concerné 26 patients âgés en moyenne 50,0 ± 9,3 ans avec des extrêmes de 36 à 70 ans, dont 92,3% sont des femmes. Le diagnostic de SGS a été retenu selon les critères du Groupe de Consensus Américano-Européen de 2002.
Sur le plan clinique, le syndrome sec glandulaire buccal et oculaire était constant (100 %). L’examen ophtalmologique a confirmé la xérophtalmie dans 83,3%. La biopsie des glandes salivaires accessoires a été réalisée chez 21 patients : elle a été toujours concluante. Elle a mis en évidence un stade III ou IV de Chisholm chez 16 patients (76,2%).
La parotidomégalie clinique ou échographique (5 patients : 19,2%). Les manifestations systémiques étaient fréquentes. Elles étaient dominées par l’atteinte articulaire dans 91,7% des cas, broncho-pulmonaire dans 11,5% cas syndrome de Raynaud (7,4%), neurologique (3,8%), Rénale (3,8%) et cutanée (3,8%). Sur le plan biologique, (les 26 malades ont bénéficié de 115 VS) une VS supérieure à 50 mm est constatée dans 10 cas (38,5%), une anémie inflammatoire chez 5 patients (19,2%) aucune thrombopénie n’a été observée. Sur le plan immunologique, les anticorps anti-nucléaires (22 malades) sont positifs chez 77,3% [mouchetés dans 69,2%, homogènes 30,8%] à type anti SSA (18 patients) sont positifs chez 70%, et anti SSB (11 patients) 44%).
Le SGS est classé primitif dans 58,3%, secondaire (LEAD, PR, sclérodermie) dans 33,3% et dans 8,3% indéterminé car bilan incomplet. Touts les patients avaient eu un traitement symptomatique. Les antipaludéens de synthèse ont été utilisés dans 77% des cas et le Méthotrexate dans 1 cas.
L’évolution : 80,8 % des patients consultent régulièrement. Aucune forme viscérale sévère ni aucune complication n’ont été observées particulièrement candidose ou poly adénopathies.
Comment améliorer l’apport de l’item V des critères «Signes objectifs d'atteinte salivaire» qui dans notre série n’ont jamais été réalisés ! Est-ce qu’il ne faudrait pas réhabiliter le test au sucre, simple et bien acceptable par les malades !
Les résultats de notre série, en milieu ambulatoire de médecine interne libérale à Settat, sont très similaires à ceux de la série du CHU de Casablanca. Notre série, se singularise par sa relative faible fréquence [0,3% de l’ensemble des consultants], la bénignité des manifestations systémiques autre qu’articulaires et l’absence actuelle de lymphome.
Les indices paludométriques - Présentation de la 5e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Soloarivelo Tantely RAVOKATRA - Médecin - CHU Befelatanana - Antananarivo, Madagascar - tantelyrav@freenet.mg
Des maladies rares mais de nombreux malades
Les maladies rares se définissent en général comme des affections qui touchent moins d’une personne sur 2000. Plus de 7000 pathologies sont recensées et 200 et 300 nouvelles décrites chaque année. Bien que chacune ne touche que peu d'individus, leur grande variété fait que le nombre total de personnes atteintes dépasse souvent le nombre de malades du cancer : 1 personne sur 20 est concernée, soit 5% de la population mondiale, soit encore environ 1,5 million de patients marocains !
Elles sont souvent chroniques, évolutives et en général graves. Le pronostic vital est fréquemment mis en jeu : 80% ont un retentissement sur l’espérance de vie. Une gêne notable et des incapacités à la vie quotidienne sont présentes dans plus de 65% des cas et une perte complète d’autonomie dans 9% des cas.
Combinaison des approches génétique et de modélisation pour développer un nouveau biomarqueur non invasif de résilience basé sur les métabolites du lait, par Marie Ithurbide - INRAE
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Webinaire santé prédation - Doré Nicolas Inrae 31 mai 2024.pdf
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1. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
LES ANOMALIES GÉNÉTIQUES : LES DÉTECTER, LES
COMPRENDRE, LES ÉRADIQUER
2. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
LES ANOMALIES GÉNÉTIQUES : LES DÉTECTER, LES
COMPRENDRE, LES ÉRADIQUER
D. BOICHARD, INRA GABI
C. DANCHIN-BURGE, Institut de l’Elevage
3. Les conférences
Qu’est ce qu’une anomalie ?
de l’Institut de l’Elevage
Les causes peuvent être génétiques mais aussi toxiques,
infectieuses, traumatiques …
Un même type d’anomalie peut avoir plusieurs causes
Causes traumatiques (DG <40j.) ?
Cause(s) génétique(s) ?
Atrésie du colon
Une description clinique précise est indispensable !
4. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Duchesne et al, 2006
Causes d’apparition des
anomalies génétiques
5. Notion de fardeau génétique
Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Tout individu est porteur de quelques
mutations (récessives) délétères
Estimations réalisées chez l’homme : de l’ordre de 4 ou 5
1. Le taureau parfait n’existe pas !
2. Il y a des anomalies dans toutes
les races !
6. Anomalies Les et conférences
consanguinité
de l’Institut de l’Elevage
• L’incidence des anomalies génétiques est (très) faible en
situation normale …
• Ex : si fréquence allélique p=1%, freq(cas)=p2=0.01%
• … mais elle augmente avec la consanguinité …
• Et les races animales sont des populations de petite taille
génétique => la consanguinité augmente régulièrement
• On est régulièrement confronté à des crises aigües :
Nécessité d’une gestion efficace de ces anomalies
7. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Dr JM Nicol, 2014
Pourquoi et comment
éradiquer les anomalies
8. Pour la filière, un coût
Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
important
Probablement plus de 5% de pertes de fertilité
Probablement plusieurs % de mortalité après naissance
Des cas plus rares chez les adultes, mais bien plus coûteux
Un coût probable de l’ordre de 50 à 100 millions € / an
Souvent, une carrière interrompue prématurément pour les reproducteurs
Des risques de contentieux
Une mauvaise image auprès du public
9. Besoin d’une surveillance
Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
spécifique
• Les dispositifs de contrôle de performances classiques sont peu opérationnels
• La collecte d’information spontanée est réduite
• L’auto-censure est forte
• Généralement peu de cas par élevage
• Les signes d’appel sont parfois difficiles à distinguer d’autres affections
(ex du BLAD : infections récidivantes pulmonaires, digestives)
• Rôle essentiel du vétérinaire pour une bonne caractérisation clinique et
l’élimination des causes non génétiques
10. … Nous avons besoin de
VOUS pour rapporter les
Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
anomalies !!
Site de l’Observatoire des Anomalies Bovines (ONAB)
http://www.onab.fr
=> Fiche papier déclaration téléchargeable en ligne
Ou fiche en ligne
11. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
La révolution des outils
technologiques
12. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Génération 1
Génération 2
a/A A/A
A/A a/A A/A
. . .
a/a a/a a/a a/A A/A A/A
Génération n
Les animaux affectés sont homozygotes à
proximité de la mutation
13. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Le génotypage par puce
Exemple : « Cartographie par homozygotie »
• Atteints = homozygotes
• Aussi homozygotes pour un fragment chromosomique entourant la mutation
On recherche un segment toujours homozygote chez les atteints et
rarement homozygotes chez les normaux
On met ainsi en évidence la région portant la mutation
14. Détection d’une mutation délétère:
Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
la situation aujourd’hui
Une mutation peut être localisée en quelques semaines/mois à partir de
quelques cas (5 à 10 en général) !
=> Création d’un premier test génétique à partir de marqueurs de la région
En revanche, l’identification de la mutation reste aléatoire mais elle peut
déboucher en quelques mois, grâce à l’évolution du séquençage d’ADN
Second test, soit spécifique (~25€ / animal), soit sur une puce multi-objectifs
Screening de la population, identification des porteurs
Elimination progressive de l’anomalie
Facteur limitant = identification et caractérisation de l’anomalie
=> Importance de l’ONAB !
15. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Et demain ?
Détection des anomalies = de plus en plus efficace
(approches d’amont)
Problème: tout reproducteur sera identifié comme porteur
d’une ou plusieurs anomalies
=> Plus d’éradication directe
=> Comment gérer la situation ?
16. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage Recommandations
Augmenter notre réactivité
But: limiter l’augmentation de fréquence
Objectif : faire remonter les cas !
Conduite à tenir
- Anomalie dominante => éradiquer immédiatement
- Anomalie récessive => éviter les accouplements à risque
Avec une fréquence faible : garder les mâles non porteurs à N+1
Avec une fréquence élevée : intégrer l’anomalie dans l’ISU (poids
économique)
17. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Présentation disponible en
téléchargement sur www.idele.fr
Retrouvez aussi l’Institut de l’Elevage sur le stand A6 - hall 4