O documento discute o HPV, uma DST que pode causar câncer de colo de útero. Ele explica que existem mais de 100 tipos de HPV, alguns dos quais podem causar câncer, e que o Papanicolau pode detectar alterações precoces. Também descreve formas de contágio, fatores de risco e sintomas do HPV, além de duas vacinas contra os tipos de HPV mais associados ao câncer de colo de útero.
O documento discute o HPV, uma DST que pode causar câncer de colo de útero. Ele explica que existem mais de 100 tipos de HPV, alguns dos quais podem causar câncer, e que o Papanicolau pode detectar alterações precoces. Também descreve formas de contágio, fatores de risco e sintomas do HPV, além de duas vacinas contra os tipos de HPV mais associados ao câncer de colo de útero.
Conférence - Atelier présentée par Dr Hatem Bellaaj (professeur agrégé en médecine, spécialiste hématologie) à la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie), le 19 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
O documento descreve as etapas da fecundação, embriologia e desenvolvimento embrionário. A fecundação ocorre quando o espermatozoide e o ovócito se fundem na tuba uterina, formando o zigoto. O zigoto então passa por clivagens para formar a mórula e o blastocisto, que se implanta no útero. Ocorre então a gastrulação e organogênese, onde os três folhetos germinativos se formam e os órgãos começam a se diferenciar, levando ao desenvolvimento
Le cancer du sein nous fait peur, même peint en rose assorti au ton optimiste des campagnes de dépistage.
Loin de dramatiser, Marie Claude Barbin alterne humour et révolte pour raconter « son » cancer comme un voyage en Absurdie. Et poser les questions qui fâchent :
● Le dépistage systématique est-il efficace ?
● Sauver des vies, c'est crucial. Mais pèse-t-on assez les risques de séquelles dues aux traitements eux-mêmes ?
● Pourquoi les fameuses « thérapies ciblées » sont-elles aussi peu mises en œuvre ?
● Les patientes sont-elles toujours bien informées ?
● Le corps médical fait-il preuve de toute l'empathie souhaitable ?...
Les réponses donnent à réfléchir. Elles informent, ouvrent des pistes, rappellent une vérité parfois négligée : la patiente, première concernée, doit rester au cœur du système.
Nous ne sommes pas des cobayes !
Elen Brig KORIDWEN
A doença de Chagas é transmitida pelo barbeiro infectado com o protozoário Trypanosoma cruzi. A toxoplasmose é causada pelo parasita Toxoplasma gondii e transmitida por meio de água, alimentos ou carne contaminados com fezes de gatos. A leishmaniose pode ser cutânea ou visceral e é transmitida pela picada do mosquito-palha infectado com o protozoário Leishmania.
1) O documento descreve o câncer de colo do útero, incluindo sintomas, fatores de risco, exames de diagnóstico e opções de tratamento. 2) O HPV é o principal fator de risco, enquanto o exame de Papanicolaou é fundamental para detecção precoce. 3) As opções de tratamento incluem cirurgia, radioterapia e quimioterapia, dependendo do estágio da doença.
ce cours s'adresse aux étudiants graduant en médecine ou en pharmacie. il comporte les notions de base de virologie nécessaire a l'étude de la pathologie virale
La microbiologie, de ses origines aux maladies emergentesS/Abdessemed
Tout le monde sait ce que sont les microbes, des micro-organismes vivants de trop petite taille pour être vus à l’oeil nu et qui nécessitent
d’être examinés au microscope : virus, bactéries, algues, champignons
et protozoaires. Chacun a appris à ses dépens que les microbes étaient sources de maladies. L’arrivée des nouvelles épidémies (fièvres hémorragiques dans les années 1970, Sida dans les années 1980, hépatite C dans les années 1990, SRAS et grippe aviaire dans les années 2000)
n’a fait que conforter l’homme de la rue dans cette idée. Ces dernières années, des alertes au bioterrorisme, plus ou moins fondées mais largement relayées par les médias, ont dramatiquement contribué à accentuerla peur des microbes.
Mais peu de gens savent que de très nombreux microbes jouent un rôle bénéfique important dans la nature, chez les êtres vivants et jusque dans notre vie quotidienne. Les micro-organismes existaient dès les premiers temps de l’histoire de notre planète, au cours desquels ils ont contribué à la formation de divers milieux. Ils sont des acteurs essentiels de notre environnement et des éléments indispensables à la vie. Ils se trouvent à l’origine de toutes les chaînes alimentaires. Les microorganismes furent aussi, et sont encore, responsables de nombreuses maladies humaines, animales ou végétales, dont le poids social et économique fut parfois, ou est encore, considérable.
O cancro mole é uma doença sexualmente transmissível caracterizada por feridas dolorosas e contagiosas na genitália causadas pela bactéria Haemophilus ducreyi. É transmitido por relação sexual e tem um período de incubação curto de 2 a 5 dias. Pode ser curado com tratamento antibiótico adequado.
les amibes libres
méningo encéphalite amibienne primitive à Neagleria fowleri
encéphalite amibienne primitive à Acanthamoba et Balamuthia mandrillaris
kératite amibienne à Acantamoeba
Este documento apresenta uma atividade sobre biotecnologia e genética para estudantes. Os alunos serão divididos em 5 grupos para pesquisar sobre os impactos da biotecnologia na medicina, agricultura, meio ambiente e ética. Cada grupo fará uma apresentação sobre seu tópico e haverá um debate. Os critérios de avaliação incluem criatividade, qualidade da informação e participação.
Intervention du médecin Laurent Abramowitz, proctologue, service d'hépato-gastro-entérologie à l'hôpital Bichat lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Conférence - Atelier présentée par Dr Hatem Bellaaj (professeur agrégé en médecine, spécialiste hématologie) à la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie), le 19 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
O documento descreve as etapas da fecundação, embriologia e desenvolvimento embrionário. A fecundação ocorre quando o espermatozoide e o ovócito se fundem na tuba uterina, formando o zigoto. O zigoto então passa por clivagens para formar a mórula e o blastocisto, que se implanta no útero. Ocorre então a gastrulação e organogênese, onde os três folhetos germinativos se formam e os órgãos começam a se diferenciar, levando ao desenvolvimento
Le cancer du sein nous fait peur, même peint en rose assorti au ton optimiste des campagnes de dépistage.
Loin de dramatiser, Marie Claude Barbin alterne humour et révolte pour raconter « son » cancer comme un voyage en Absurdie. Et poser les questions qui fâchent :
● Le dépistage systématique est-il efficace ?
● Sauver des vies, c'est crucial. Mais pèse-t-on assez les risques de séquelles dues aux traitements eux-mêmes ?
● Pourquoi les fameuses « thérapies ciblées » sont-elles aussi peu mises en œuvre ?
● Les patientes sont-elles toujours bien informées ?
● Le corps médical fait-il preuve de toute l'empathie souhaitable ?...
Les réponses donnent à réfléchir. Elles informent, ouvrent des pistes, rappellent une vérité parfois négligée : la patiente, première concernée, doit rester au cœur du système.
Nous ne sommes pas des cobayes !
Elen Brig KORIDWEN
A doença de Chagas é transmitida pelo barbeiro infectado com o protozoário Trypanosoma cruzi. A toxoplasmose é causada pelo parasita Toxoplasma gondii e transmitida por meio de água, alimentos ou carne contaminados com fezes de gatos. A leishmaniose pode ser cutânea ou visceral e é transmitida pela picada do mosquito-palha infectado com o protozoário Leishmania.
1) O documento descreve o câncer de colo do útero, incluindo sintomas, fatores de risco, exames de diagnóstico e opções de tratamento. 2) O HPV é o principal fator de risco, enquanto o exame de Papanicolaou é fundamental para detecção precoce. 3) As opções de tratamento incluem cirurgia, radioterapia e quimioterapia, dependendo do estágio da doença.
ce cours s'adresse aux étudiants graduant en médecine ou en pharmacie. il comporte les notions de base de virologie nécessaire a l'étude de la pathologie virale
La microbiologie, de ses origines aux maladies emergentesS/Abdessemed
Tout le monde sait ce que sont les microbes, des micro-organismes vivants de trop petite taille pour être vus à l’oeil nu et qui nécessitent
d’être examinés au microscope : virus, bactéries, algues, champignons
et protozoaires. Chacun a appris à ses dépens que les microbes étaient sources de maladies. L’arrivée des nouvelles épidémies (fièvres hémorragiques dans les années 1970, Sida dans les années 1980, hépatite C dans les années 1990, SRAS et grippe aviaire dans les années 2000)
n’a fait que conforter l’homme de la rue dans cette idée. Ces dernières années, des alertes au bioterrorisme, plus ou moins fondées mais largement relayées par les médias, ont dramatiquement contribué à accentuerla peur des microbes.
Mais peu de gens savent que de très nombreux microbes jouent un rôle bénéfique important dans la nature, chez les êtres vivants et jusque dans notre vie quotidienne. Les micro-organismes existaient dès les premiers temps de l’histoire de notre planète, au cours desquels ils ont contribué à la formation de divers milieux. Ils sont des acteurs essentiels de notre environnement et des éléments indispensables à la vie. Ils se trouvent à l’origine de toutes les chaînes alimentaires. Les microorganismes furent aussi, et sont encore, responsables de nombreuses maladies humaines, animales ou végétales, dont le poids social et économique fut parfois, ou est encore, considérable.
O cancro mole é uma doença sexualmente transmissível caracterizada por feridas dolorosas e contagiosas na genitália causadas pela bactéria Haemophilus ducreyi. É transmitido por relação sexual e tem um período de incubação curto de 2 a 5 dias. Pode ser curado com tratamento antibiótico adequado.
les amibes libres
méningo encéphalite amibienne primitive à Neagleria fowleri
encéphalite amibienne primitive à Acanthamoba et Balamuthia mandrillaris
kératite amibienne à Acantamoeba
Este documento apresenta uma atividade sobre biotecnologia e genética para estudantes. Os alunos serão divididos em 5 grupos para pesquisar sobre os impactos da biotecnologia na medicina, agricultura, meio ambiente e ética. Cada grupo fará uma apresentação sobre seu tópico e haverá um debate. Os critérios de avaliação incluem criatividade, qualidade da informação e participação.
Intervention du médecin Laurent Abramowitz, proctologue, service d'hépato-gastro-entérologie à l'hôpital Bichat lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Intervention du professeur Isabelle Heard, gynécologue-obstrétricienne, Centre national de référence du papillomavirus à l'Institut Pasteur lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
ce cours est destiné aux étudiants graduant en médecine et en pharmacie. il résume les aspects épidémiologiques, cliniques, diagnostic et thérapeutiques relatifs a l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine
Casablanca 2010 : Le traitement ARV en tant que préventionVih.org
Présentation de Bernard Hirschel, Unité VIH/sida, Hôpitaux Universitaires de Genève, Genève, Suisse, pour la conférence francophone de Casablanca 2010.
Dépister le cancer du sein? Une décision qui appartient à chaque femme-Brochu...Cancer Rose
Brochure pour l'information des femmes sur le dépistage du cancer du sein. Cancer Rose est un collectif de professionnels de la santé rassemblés en association.
Des médecins indépendants, ainsi qu’un docteur en toxicologie ont créé le site d’information www.cancer-rose.fr pour vous faire connaître les données scientifiques les plus objectives et les plus récentes sur le dépistage de masse du cancer du sein.
En décryptant et vulgarisant les études scientifiques les plus récentes, publiées dans les plus grandes revues médicales internationales, en analysant la controverse et en en proposant une analyse sociale et féminine, notre objectif est d’informer les femmes concernées par le dépistage de masse afin de les aider dans leur choix et de mettre à disposition des médecins intéressés des outils d’information indépendants.
Cancer Rose fonctionne sans publicité, sans conflits d’intérêt, sans subvention.
Une brochure permet de donner le choix aux femmes: visitez http://cancer-rose.fr/
Le dépistage organisé du cancer du sein, généralisé en France depuis 2004 et proposé aux femmes de 50 à 74 ans, fait l’objet de controverses. Celles-ci, publiées dans des revues scientifiques de premier plan, ont été longtemps minimisées auprès du grand public.
Les doutes portent sur un faible bénéfice et des risques avérés. Ces derniers sont essentiellement les fausses alertes, c’est à dire l’annonce d’une lésion mammographique qui ne s’avère pas réelle, et le surdiagnostic. Le surdiagnostic est la découverte d’un cancer qui n’aurait pas affecté la santé de la femme de son vivant, s’il n’avait pas été détecté. Le bénéfice s’avère beaucoup plus faible que présenté officiellement, en raison notamment du faible risque en valeur absolue de mourir de ce cancer, et de la faible efficacité du dépistage.
De ce constat est née une brochure indépendante, délivrant une information claire, qui se veut loyale, aussi complète que possible et facilement accessible. Elle est téléchargeable gratuitement directement sur la page d’accueil de "cancer rose".
Seize auteurs l’ont élaborée. Destinée à la lectrice concernée par le dépistage, elle est aussi pensée comme aide au praticien démuni face aux interrogations d’une patiente.
L’objectif de cette brochure, (unique en langue française alors qu’il en existe p.ex. en Allemagne pour les femmes) est de donner aux femmes le pouvoir de décider de façon rationnelle et sans être culpabilisées. Chacune se fera ainsi son opinion au travers des meilleures sources scientifiques disponibles. Même si le dépistage du cancer du sein est un programme dit de santé publique, il n’en reste pas moins que la participation est une décision individuelle qui ne peut être prise qu’en connaissance de cause, ni imposée ni subie.
Vaccination contre les infections HPV - Couverture vaccinale en Franc, impact...CripsIDF
Intervention du médecin Isabelle Parent du Châtelet, épidémiologiste à l'INVS lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Face aux enjeux multiples associés aux avortements (limitation de l’impact économique, gestion efficace du risque zoonotique, renforcement des bonnes pratiques de maîtrise tant sur le plan vaccinal que thérapeutique), l’amélioration du diagnostic étiologique de troupeau constitue l’un des tous premiers buts à atteindre. Elle passe en particulier par une optimisation des procédures de prélèvement et par une plus large utilisation d’analyses conventionnelles et innovantes. C'est dans ce cadre qu'un nouvel outil de diagnostic direct a été proposé fin 2022 par l’ENVT et AVEYRON LABO. Il associe une recherche très large d’agents infectieux avérés ou potentiels, et une technologie innovante. Dominique Bergonier présente les enjeux, les principes de cet outil et en illustre l'utilisation sur des exemples concrets. Son intervention est réalisée dans le cadre du Webinaire de l'UMT PSR du 26 Avril 2023
Recherche en médecine générale surmédicalisation, surdiagnostics, surtraite...Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°9" Juillet 2014
Le risque de surdiagnostics, alias diagnostics par excès est un élément à prendre en compte dans la prise en charge des patients pour leur éviter des surtraitements, alias traitements par excès. Le surdiagnostic peut se définir comme la transformation en pathologie de phénomènes biologiques, ou la découverte d’anomalies d’imagerie qui sont sans implications délétères pour la santé des individus. La conséquence en est la prescription de traitements inadaptés ou inutiles avec des conséquences néfastes pour la santé individuelle et la santé publique.
Ce dysfonctionnement de la médecine constitue la surmédicalisation. Elle consiste à fabriquer des pathologies à partir de phénomènes sociaux, psychologiques, ou d’anomalies issues du champ de la biologie ou de l’imagerie médicale. Elle se manifeste de façon protéiforme et est associée à plusieurs phénomènes qui contribuent à la provoquer et la développer. Elle est intimement liée au développement des dépistages, des notions de facteurs de risque, du façonnage des maladies, de la manipulation des normes biologiques.
La croyance en l’efficacité générale des dépistages des cancers et des maladies chroniques est mise à mal quand on analyse les données issues de la littérature scientifique quand elle n’est pas biaisée par des conflits d’intérêt.
reseauprosante.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Revue JEUNE MG N°11 - Mars 2015
État des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73%), le HPV-18 (19%) et le HPV-31 (7%).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3% des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64% des femmes atteintes.
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
reseauprosante.fr
1. Prévalence et facteurs de risques d’anomalies
du frottis du col de l’utérus chez des malades
suivies au CHU de Besançon pour une maladie
inflammatoire chronique intestinale
Mémoire de D.E.S.
Besançon
le 15/10/2010
Florent Allibe
2. Cancer du col utérin
• 2eme cancer le plus fréquent chez la femme
• Incidence estimée de 16 cas/100000 en 2002.
• L’infection par le papillomavirus humain (HPV) = cause
nécessaire mais insuffisante pour le développement de ce
cancer.
• Cancer HPV-induit plus fréquent chez les patientes ayant un
statut immunitaire compromis
Ferlay J, Bray F, Pisani P, Parkin DM. GLOBOCAN 2002 ; Cancer Incidence, Mortality and
Prevalence Worlwide. IARC CancerBase No. 5. Version 2.0 ed. Lyon: IARCPress, 2004.
Schiffman M, Castle PE, Jeronimo J, Rodriguez AC, Wacholder S. Human papillomavirus and
cervical cancer. Lancet 2007; 370: 890-907.
3. Epidémiologie HPV
• Infection sexuellement transmissible la plus fréquente
• 300 millions infectées par HPV, dont 100 millions par HPV 16 ou 18
• 70% des femmes seront en contact avec HPV
• 15 à 40% porteuses d'HPV dans les populations jeunes et sexuellement
actives
• pic aux environ de 20-25 ans.
• 2-8% après 35 ans.
Schiffman M, Castle PE, Jeronimo J, Rodriguez AC, Wacholder S. Human papillomavirus
and cervical cancer. Lancet 2007; 370: 890-907.
4. HPV
• Papillomaviridae
• Infection spécifique des épithéliums pluri-
stratifiés
• Potentiel oncogénique
– Haut risques = 16 et 18 (génitaux) / 5 et 8 ( cutanés )
– Bas risque = 6 et 11 / 1 et 2
• ADN bicaténaire circulaire
• 8000 paires de bases
• 1 seul des 2 brins est codant
• Divisé en 3 régions:
– LCR ( non codante )
– Early (E)
– Late (L)
Mougin C, et Al. Vaccination anti-HPV pour la prévention du cancer du col de l’utérus,
Presse Med (2009), doi, 10.1016/j.lpm.2009.06.016.
5. CYCLE VIRAL
• Etroitement lié à la
différenciation des
kératinocytes
• Infection productive en 2
phases
• Clairance en 1 à 3 ans
dans la majorité des cas
Mougin C, et Al. Vaccination anti-HPV pour la prévention du cancer du col de l’utérus,
Presse Med (2009), doi, 10.1016/j.lpm.2009.06.016.
6. Protéines E6 et E7
• Protéines pro-oncotiques entrainent une
prolifération accrue et aberrante des cellules
pour aboutir à une immortalisation puis une
transformation tumorale.
Mougin C, et Al. Vaccination anti-HPV pour la prévention du cancer du col de l’utérus,
Presse Med (2009), doi, 10.1016/j.lpm.2009.06.016.
8. Populations à risque
• Halpert en 1986,
sur risque chez des patientes greffées rénales exposées à un immunosuppresseur (IS)
105 patientes : 17,5% infection par HPV, 9,5% lésion pré-néoplasique.
taux d'infection HPV 9 fois plus élevé que dans la population générale et 17 fois plus que dans
une population immunocompétente appariée.
• Bernatsky en 2004 :
sur-risque d'anomalies du frottis chez des patientes atteintes d’un lupus et traitées par IS
Halpert R, Fruchter RG, Sedlis A, et al. Human papillomavirus and lower genital neoplasia in renal
transplant patients. Obstet Gynecol.1986; 68: 251-258.
Bernatsky S, Ramsey-Goldman R, Gordon C, et al. Factors associated with abnormal Pap results in
systemic lupus erythematosus. Rheumatology. 2004; 43: 1386-1389.
9. Populations à risque
• En 2000, Ellerbrock : Patientes VIH, suivi de 30mois
67/328 infectées (20%) vs 16/325 non infectées par le VIH (5%).
• L'incidence d'une anomalie :
8,3 vs 1,8 cas / 100personnes-années (p < 0,001).
• Facteurs de risques significatifs étaient :
– l'infection par le VIH (risque relatif = 3,2 ; [95%CI] 1,7-6,1)
– la persistance de l'ADN des HPV 16 et 18
– la persistance de l'ADN d'HPV autres que 16 et 18
– l'âge inférieur à 37,5ans
•Ellerbrock TV, Chiasson MA, Bush TJ, et al. Incidence of cervical squamous intraepithelial lesions in HIV-
infected women. J Am Med Assoc. 2000; 283: 1031-1037.
10. MICI
• Nouvelles molécules et nouvelles stratégies =
immunosuppression plus forte
• Gestion des effets indésirables = Gestion
d'infections opportunistes
11. Recommandation ECCO 2010
Rahier JF, et al. European evidence-based Consensus on the prevention, diagnosis and management of opportunistic
infections in inflammatory bowel disease. Journal of Crohn's and Colitis (2009), doi:10.1016/j.crohns.2009.02.010
12. Recommandation ECCO 2010
Plusi
eurs
sur ri étude
sque s réc
d’ano entes
malie disco
s du rdant
frottis es po
u r le
Rahier JF, et al. European evidence-based Consensus on the prevention, diagnosis and management of opportunistic
infections in inflammatory bowel disease. Journal of Crohn's and Colitis (2009), doi:10.1016/j.crohns.2009.02.010
14. NOTRE ETUDE
• Recueil de données :
– Contact des malades au moment d’une
consultation, hospitalisation ou par courrier
– Questionnaire à remplir
– Recueil des données MICI
– Recueil des données Gynéco
– Recueil des résultats des frottis.
15. Critères d’exclusion
– Aucun frottis effectué au moment des dernières
nouvelles
– Aucun frottis effectués depuis le diagnostic de la MICI
– frottis non récupérables auprès des laboratoires
d'anatomopathologie
– diagnostic de MICI uniquement suspecté mais non
confirmé
– historique de la maladie ou du traitement insuffisant
– hystérectomie totale avant la date de diagnostic de la
MICI
– facteur associé d'immunosuppression
16.
17. Analyse statistique
• Comporte :
– calcul de statistiques descriptives
• Médianes et des intervalles interquartiles pour les
données quantitatives
• Pourcentages pour des données qualitatives.
– Analyse des données en uni varié pour la dysplasie
calculée :
• grâce au test de Fisher pour les données qualitatives
• grâce au test de Wilcoxon Mann Withney pour les
données quantitatives.
18. Analyse statistique
• Afin de pouvoir comparer les durées cumulées de traitement
immunosuppresseur :
réduction du groupe de malades avec frottis normaux pour ne
retenir que celles qui avaient une durée de maladie équivalente au
groupe frottis positif soit un sous-groupe de 45malades.
• P<0,05 était considéré comme statistiquement significatif.
• Logiciel SAS® pour notre analyse statistique.
38. Analyse des variables associées à
la MICI (hors traitement) et des
variables associées au suivi
gynéco-obstétrical, en fonction
de l’existence d’anomalie du col.
39. Analyse des variables associées à
la MICI (hors traitement) et des
variables associées au suivi
gynéco-obstétrical, en fonction
de l’existence d’anomalie du col.
40. Analyse des variables associées à
la MICI (hors traitement) et des
variables associées au suivi
gynéco-obstétrical, en fonction
de l’existence d’anomalie du col.
41. Analyse des variables associées à
la MICI (hors traitement) et des
variables associées au suivi
gynéco-obstétrical, en fonction
de l’existence d’anomalie du col.
42. Analyse des variables associées à
la MICI (hors traitement) et des
variables associées au suivi
gynéco-obstétrical, en fonction
de l’existence d’anomalie du col.
43. Analyse des variables associées à
la MICI (hors traitement) et des
variables associées au suivi
gynéco-obstétrical, en fonction
de l’existence d’anomalie du col.
44. Analyse des variables associées à
la MICI (hors traitement) et des
variables associées au suivi
gynéco-obstétrical, en fonction
de l’existence d’anomalie du col.
45. Analyse des variables associées à
la MICI (hors traitement) et des
variables associées au suivi
gynéco-obstétrical, en fonction
de l’existence d’anomalie du col.
46. Analyse des variables associées à
la MICI (hors traitement) et des
variables associées au suivi
gynéco-obstétrical, en fonction
de l’existence d’anomalie du col.
$$$
47. Analyse des variables associées à
la MICI (hors traitement) et des
variables associées au suivi
gynéco-obstétrical, en fonction
de l’existence d’anomalie du col.
48. Analyse des
variables
associées au
traitement de la
MICI en fonction
de l’existence
d’anomalie du
col.
49. Analyse des
variables
associées au
traitement de la
MICI en fonction
de l’existence
d’anomalie du
col.
50. Analyse des
variables
associées au
traitement de la
MICI en fonction
de l’existence
d’anomalie du
col.
51. Analyse des
variables
associées au
traitement de la
MICI en fonction
de l’existence
d’anomalie du
col.
52. Analyse des
variables
associées au
traitement de la
MICI en fonction
de l’existence
d’anomalie du
col.
53. Analyse des
variables
associées au
traitement de la
MICI en fonction
de l’existence
d’anomalie du
col.
54. Analyse des
variables
associées au
traitement de la
MICI en fonction
de l’existence
d’anomalie du
col.
55. Analyse des
variables
associées au
traitement de la
MICI en fonction
de l’existence
d’anomalie du
col.
56. Analyse des
variables
associées au
traitement de la
MICI en fonction
de l’existence
d’anomalie du
col.
57. Analyse des
variables
associées au
traitement de la
MICI en fonction
de l’existence
d’anomalie du
col.
58. DISCUSSION
• La première étude de Connell en 1994
– risque accru de cancer du col de l’utérus chez 366 patientes traitées
par azathioprine pour une MICI (2 cas observés contre 0,5 attendu)
• Kane en 2007:
– Sur risque pour les MICI d’avoir un frottis anormal par rapport à des
patientes témoins : 42,5% vs 7% (p<0,001).
– Dans le groupe MICI :
• sous-groupe IS = sur risque
(odd ratio 1,5 ; 1,2-7,1 ; p = 0,021).
Connell WR, Kamm MA, Dickson M et al. Long term neoplasia risk after azathioprine treatement in inflammatory bowel
disease. Lancet. 1994;343:1249-1252.
Kane S, Khatibi B, Reddy D. Higher incidence of abnormal pap smears in women with inflammatory disease. Am J
Gastroenterol. 2008;103:631-636.
59. Discussion
Pap results in IBD vs controls
Incidence of abnormal pap results in 116 IBD patients
after treatement
Bathia J, Bratcher J, Korelitz B, et al. Abnormalities of uterine cervix in women with
inflammatory bowel disease. World J Gastroenterol. 2006;12:6167-6171.
60. Discussion
Pap results in IBD vs controls
Incidence of abnormal pap results in 116 IBD patients
after treatement
Bathia J, Bratcher J, Korelitz B, et al. Abnormalities of uterine cervix in women with
inflammatory bowel disease. World J Gastroenterol. 2006;12:6167-6171.
61. Discussion
Pap results in IBD vs controls
Incidence of abnormal pap results in 116 IBD patients
after treatement
Bathia J, Bratcher J, Korelitz B, et al. Abnormalities of uterine cervix in women with
inflammatory bowel disease. World J Gastroenterol. 2006;12:6167-6171.
62. Discussion
Lees CW, Critchley J, Chee N, Beez T, Gailer RE, Williams AR, Shand AG, Arnott ID, Satsangi J. Lack of association
between cervical dysplasia and IBD: a large case-control study. Inflamm Bowel Dis. 2009 Nov; 15(11):1621-9.
70. DISCUSSION
- Notre Etude :
- Prévalence = 14% similaire aux précédentes études pour les MICI.
- Nicolas Duport en 2007 pour l’INVS :
prévalence = 4% pour des femmes de 20 à 85ans en Alsace.
- Pas de différences :
- Selon le type de MICI : 16% vs 12% ( p>0,05)
- Selon le type d’immunosuppresseur ou leur durée cumulée
- Selon les facteurs de risques reconnus tels que :
- le tabagisme (21% vs 18% vs 7% ; p>0,05)
- la contraception (70 vs 60% ; p>0,05),
- le nombre de partenaires (4 vs 7 ; p>0,05)
- l’âge au premier rapport (17,6 vs 18,4 ; p>0,05)
- Le nombre de grossesse
71. DISCUSSION
• Points forts :
– Évaluation
• du nombre de partenaires sexuels et l’âge au moment
des premiers rapports.
• de la fréquence du suivi gynécologique. (nombre de
frottis identique dans nos deux sous-groupes).
• des autres facteurs de risque d’anomalies du frottis du
col.
72. DISCUSSION
• Limites :
– Pas d’évaluation du statut HPV
– Faible nombre de malades = manque de puissance
– Exclusion de presque 50% des malades
– Population non IS très faible (effet centre)
– Pas d’appariement entre les sous-groupes
73. Conclusion
• Prévalence d’anomalies = 14%
• Pas de différence pour les facteurs de risques
reconnus d’anomalies du frottis.
• Pas de différence en fonction du type
d’immunosuppresseur ou du type de MICI.
74. Conclusion
• Les femmes atteintes de MICI, traitées
majoritairement dans notre centre par
immunosuppresseurs, constituent à notre avis, une
population à risque.
• Le suivi gynécologique doit faire partie de nos
préoccupations de gastroentérologue.
• Le suivi prospectif de notre cohorte avec un suivi
gynécologique standardisé permettra d’affiner ces
données, et de déterminer le comportement de
l’infection par HPV chez ces patientes.