Conférence du Prof. Gilles Pelletier présentant les règles d'attribution des greffons hépatiques pour les patients souffrant d'un cancer primaire du foie (CHC). Conférence donnée en juin 2014. France.
Conférence du Dr. Bruno Roche (Hépatologue, Hôpital Paul Brousse, France). Physiopathologie, Facteurs de risque, incidence et prise en charge de la réactivation virale B après négativation du virus.
Conférence du Dr. Florent ARTRU, Réanimateur (Hôpital Universitaire Paul Brousse, Centre hépato-Biliaire), Juin 2014. Résultats des greffes hépatiques en cas de cirrhose grave.
Conférence du Prof. Gilles Pelletier présentant les règles d'attribution des greffons hépatiques pour les patients souffrant d'un cancer primaire du foie (CHC). Conférence donnée en juin 2014. France.
Conférence du Dr. Bruno Roche (Hépatologue, Hôpital Paul Brousse, France). Physiopathologie, Facteurs de risque, incidence et prise en charge de la réactivation virale B après négativation du virus.
Conférence du Dr. Florent ARTRU, Réanimateur (Hôpital Universitaire Paul Brousse, Centre hépato-Biliaire), Juin 2014. Résultats des greffes hépatiques en cas de cirrhose grave.
Signes cliniques (hémorragie par rupture de varices oesophagiennes), biologiques (hypersplénisme) causes, imagerie, traitement de l'hypertension portale (en dehors de l'ascite et de l'encéphalopathie)
- Laurence Klotz Abstract N°26
Suivi à long terme d'une vaste cohorte de surveillance active
- Rami Klaff Abstract N°32
Mortalité spécifique en cas de cancer prostatique localisé à bas risque.
Cohorte de population prospective
- M.B.A-R. Adam Abstract N°103
Délétions chromosomiques récurrentes et croissance locale et progression métastatique du cancer de la prostate
- Jose Rubio Briones Abstract N°104
La perte de SPOP (speckle-type POZ protein) lors de la progression du cancer de
la prostate montre son rôle de gène suppresseur tumoral
- Robert J. Karnes, Abstract N°205
Validation d'un panel génomique pour la prédiction d'une rechute biologique
après radiothérapie post-opératoire de cancer prostatique à haut risque
- Alexandre R. Zlotta, Abstract N°206
Cartographie fine du locus chromosomique des kallikréines, et impact de ses polymorphismes dans l'agressivité du cancer de la prostate : résultats d'une cohorte canadienne et de l'étude randomisée européenne pour le dépistage du cancer de la prostate (ERSPC)
- O.V. Shkabko Abstract N°348
Panel de marqueurs moléculaires pour le diagnostic du cancer de la prostate
ETUDE RETROSPECTIVE DE L’ADENOME TOXIQUE DE LA THYROIDE, A PROPOS DE 68 CAS,...Sargata SIN
ETUDE RETROSPECTIVE DE L’ADENOME TOXIQUE DE
LA THYROIDE, A PROPOS DE 68 CAS, A L’HOPITAL
PREAH KOSSAMAK, PHNOM PENH, DU 1ER JANVIER 2009
AU 31 DECEMBRE 2015
Lutte contre le paludisme - Collecte et analyse des données (in vivo) - Conférence de la 6e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - ZWANG Julien - Thaïlande - jul@shoklo-unit.com
THM et risque de cancer du sein : rôle de la composante progestativeAgnès Fournier
Il est désormais établi que l’ajout d’un progestatif à la composante estrogénique d’un traitement hormonal de la ménopause (THM) constitue un facteur de risque central vis-à-vis du risque de cancer du sein. Si les THM estro-progestatifs ont été officiellement classés comme cancérogènes pour le sein, doit-on considérer qu’ils induisent tous une augmentation comparable du risque, ou que différents THM estro-progestatifs (différentes molécules ou doses, par exemple) comportent des risques différents de cancer du sein ?
Pour répondre à cette question, nous nous sommes basés sur les résultats d’études épidémiologiques évaluant l’impact de différents THM estro-progestatifs sur le risque de cancer du sein.
- Thorsten Schlomm Abstract N°344
Intérêt pronostique du score de progression du cycle cellulaire (CCP Prolaris®) à partir de biopsie à l'aiguille chez des hommes traités par prostatectomie
- Ashok Kar
Le score CCP (Prolaris®) modifie significativement la décision thérapeutique dans le cancer de la prostate
Données issues d’un registre
- G.H.J.M. Leyten, Abstract N°351
QUATTRO, un panel de 4 gènes comme biomarqueur pronostique pour le cancer
de la prostate
- Giovanni Lughezzani, Abstract N°352
Le Prostate health index (Phi) prédit la récurrence biologique chez les patients ayant un cancer prostatique localisé traités par prostatectomie radicale
- Maurizio Brausi, Abstract N°717
Proposition d'une nouvelle classification pour les patients ayant un cancer de la prostate de risque intermédiaire traités par prostatectomie radicale
- Marco Bianchi, Abstract N°718
Proposition de nouveaux groupes de risque pour la prédiction pronostique des patients ayant un cancer de la prostate traités par prostatectomie radicale
- Niccolo M Passoni, Abstract N°719
Devenir oncologique selon le système de classification qui définit les cancers de la prostate à haut risque
2. Contexte (1)
Cancer colo-rectal
Métastatique dans 50% des cas
Traitements actuels
cytotoxiques : fluoropyrimidines, oxaliplatine, irinotécan
thérapies ciblées: bevacizumab, cetuximab ou panitumumab
selon statut tumoral KRAS
Quid quand chimiorésistance?
NCCN Guidelines. Colon cancer. v.2.2012.
Van Cutsem E et al. ESMO Guidelines 2010
TNCD,2011
3. Progression sous fluropyrimidines, irinotécan,
oxaliplatine, bevacizumab et panitumumab ou
cetuximab si KRAS sauvage
TNCD ,2011
Options
Réintroduction de l’oxaliplatine
Fluoropyrimidines-mytomicine
Chimiothérapie intra-artérielle hépatique par LV5FU2-oxaliplatine
Références
Soins de support
Essai thérapeutique
5. Contexte (3)
Etude CORRECT
Démontrer l’efficacité et la tolérance du
REGORAFENIB chez patients atteints de CCRm
après échec des thérapies standards.
6. Matériels et méthodes (1)
Type d’étude
Phase III
Internationale multicentrique d’avril 2010 à mars 2012
Randomisée par blocs ( 6 par 6 )
Contrôlée vs placebo et double aveugle
En intention de traiter
Analyse intermédiaire prévue
Stratifiée
traitement antérieur par anti-VEGF
temps requis pour le diagnostic de métastases
zone géographique
7. Matériels et méthodes (2)
Critères d’inclusion
Adénocarcinome colorectal métastatique confirmé
histologiquement
En progression depuis moins de 3 mois après la dernière
chimiothérapie ou arrêt pour toxicité
Ayant reçu tous les traitements disponibles incluant
obligatoirement :
5FU/oxaliplatine/irinotecan /bevacizumab
cetuximab ou panitumumab si statut KRAS sauvage
En bon état général (OMS 0 ou 1)
8. Matériels et méthodes (3)
Critère de jugement principal
Survie globale
Critères de jugement secondaires
Survie sans progression
Taux de réponse tumorale
Taux de contrôle de la maladie
Auto-questionnaires de qualité de vie
9. Matériels et méthodes (4)
Hypothèse statistique
Pour amélioration de 33,3% de médiane de survie globale
(HR=0,75) soit 4,5 mois sur l’étude globale
690 patients pour 582 évènements
Puissance de 90% - test log rank = 0,025α
Deux analyses intermédiaires
Futilité
Futilité+efficacité
Analyse de futilité devait être arrêtée si HR>0.9
Analyse d’efficacité devait être arrêtée si HR<0,78
11. Matériels et méthodes (4)
N=760
R
2:1
N=505
Regorafenib
per os
160mg/j
3sem/4
+
BSC
N=255
Placebo
per os
1/j
3sem/4
+
BSC
Suivi toutes les 2 semaines
TDM toutes les 8 semaines
Jusqu’à progression
Jusqu’à toxicité inacceptable
Décision patient/soignant de se retirer
18. Résultats (critère secondaire)
Taux de réponse
Taux de contrôle de la maladie
Régorafenib Placebo p
Taux (%) 1 0,4 0,19
Régorafenib Placebo p
Taux (%) 41 15 <0,0001
21. Résultats (qualité de vie)
Auto-questionnaire
Comparaison des scores avant et en fin de traitement
Détérioration au cours du traitement identique dans les deux
groupes
EORTC QLQ 30 EQ-5D
Avant tt Après tt Avant tt Après tt
Régorafenib 62,6 48,9 0,73 0,59
Placebo 64,7 51,9 0,74 0,34
22. Discussion (1)
Validité interne
• Essai randomisé, contrôlé, effectif large,
multicentrique, double aveugle
• Intention de traiter
• Définition claire de la population
• Nombre de sujets nécessaires calculé
• Critère jugement principal pertinent
• Analyses intermédiaires prévues
• Stratification sur le centre
• Significatif : p=0,0052
positif
• Pas de relecture indépendante de la
progression à l’inclusion
limites
23. Discussion (2)
•Profil de patients : similaires dans les deux
groupes
•Pertinence clinique/médiane de survie :
impasse thérapeutique pour patients en
bon état général: 1,4 mois
•Toxicités accessibles à une prise en
charge/tolérables sans toxi hématologique
significative
Echelles de qualité de vie non différents
positif
• Profil de patients : trop sélectionnés ?
Etat général (OMS 0 =52/57%)
Jeunes : 60 ans
Progression lente
• Pertinence clinique/médiane de survie :
1,4 mois pour un cout très élevé
•Toxicités plus importantes( grade 3-4)
Pas d’amélioration de qualité de vie/palliatif
Echelles de qualité de vie incomplètes
(sd pied main/rash)
limites
Pertinence clinique
24. Conclusion
Amélioration significative de la survie globale chez patients
atteints de CCRm après échec des traitements standards
Bénéfice dans la plupart des sous groupes
Qualité de vie pas plus altérée avec profil de tolérance
acceptable
Régorafenib (Stivarga®
) a l’AMM (ATU) comme seule option
thérapeutique après échec des traitements standards
FDA et EMA
25. Perspectives
Biomarqueurs prédictifs ?
Pharmacocinétique ?
Elargissement des indications ?
L1 ou L2 ?
en entretien après chimiothérapie ?
adjuvant ?
monothérapie ou association ?
1: Bonjour à tous , j’espère qu’après cette nuit plus ou moins longue, j’aurai un auditoire suffisement attentif pour vous parler en 20 min , de l’étude CORRECT comparant le R vs Placebo , dans le traitement du cancer du colon métatstatique en echec de toutes les therapeutique standars 2: c’est un essai I, et lire .. Paru dans lancet en 2013
Alors que faire si progression malgre ces 2 ou 3 lignes de chimio standard ? 1 donner options , toutes de grade C 2 la reference étant donc les SP ou INCLUSION DANS ESSAI
Mécanisme d’action : inibiteur de plusieurs proteines kinase Cible moléculaire sont les kinases pro oncogéniques : KIT , PDGFR, RET à développement stromal Pro angiogéniques Son grand avantage est le mode d’administrteion qui est ORAL ! En accord avec des taux de contrôle de 74 pour cent et des toxicités tolérables
Par bloc: permet -d’avoir des groupes équilibrés selon le format de randomisation - d’avoir une homogeneisation dans le temps Multicentrique : 114 centres-16 pays
Taux de repondeurs : nombre de patients avec complète ou partial réponse Patients contrôles : complete , patrial , et stable
: patients globalement similaires sur age – couleur de peau-origine géographique- statut OMS 2:Moins de kras muté ds groupe regorafenib 3: Statut Braf sur représenté ce qui peut sembler logique çà ce stade de la maladie
Au moins 50+-pour cent des patients avaient reçu plus de 4 lignes Plus de 80 pour cent des patients ont un temps requi de plus de 18 mois
: décrire et dire que c significatif 2:traduire en reduction du risque 3quand on analyse la courbe , on s appercoit que à 6 mois , on a 80% de versus 72% mais qu’ à 1 an, les deux courbes se croisent meme avec un point commun à 24% à peu pres Ceci laisse sous entendre quà un an , il n y a plus aucun interet ‘ ce qui concerne 25 pour cent des patients ) le traitmeent n a plus d intérêt On a un max d efficacité entre 2 et 12 mois de prise de traitement
Resultat favorable dans tous les sous groupes LE BENEFICE CLINIQUE
1: de meme le benefice clinique se confirme dans tous les sous groupes mais : -est moins imortant dans le groupe KRAS -est moins important dans le groupe cancer du rectum ( les auteurs expliquent que les patients R avaient été moins traités chmiothérapies apres retrait de l’étude) .R=23% versus 26% sur l’ensemble du groupe R .P=36% versus 30% sur l ensemble du groupe placebo .P=26% v
1 : significatif 2: reduction du risque de rechute de 51 pour cent 3 allure de la courbe fait dire que c est apres deux mois de traitements que ca fonctionne
Il y a des effets sesondaires Mais liste : Acceptables surtout pour lourdement traités
Pas d anomalie labo
The EORTC QLQ-C30 evaluate five function scales (physical, role, cognitive, emotional and social), nine symptom scales (fatigue, pain, nausea and vomiting, dyspnea, loss of appetite, insomnia, constipation diarrhea and financial difficulties) and the global health status/QoL scale by a score ranging from 0 to 100 through 30 questions.
Chez des patients selectionnés avec une bonne gestion des effets secondaires ! !