Intervention du professeur Isabelle Heard, gynécologue-obstrétricienne, Centre national de référence du papillomavirus à l'Institut Pasteur lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Vaccins anti-HPV et risques de maladies auto-immunesCripsIDF
Intervention du médecin Rosemary Dray Spira, épidémiologiste, chef du pôle épidémiologie des produits, ANSM ors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Vaccination contre les infections HPV - Couverture vaccinale en Franc, impact...CripsIDF
Intervention du médecin Isabelle Parent du Châtelet, épidémiologiste à l'INVS lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Intervention du médecin Laurent Abramowitz, proctologue, service d'hépato-gastro-entérologie à l'hôpital Bichat lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Une brochure permet de donner le choix aux femmes: visitez http://cancer-rose.fr/
Le dépistage organisé du cancer du sein, généralisé en France depuis 2004 et proposé aux femmes de 50 à 74 ans, fait l’objet de controverses. Celles-ci, publiées dans des revues scientifiques de premier plan, ont été longtemps minimisées auprès du grand public.
Les doutes portent sur un faible bénéfice et des risques avérés. Ces derniers sont essentiellement les fausses alertes, c’est à dire l’annonce d’une lésion mammographique qui ne s’avère pas réelle, et le surdiagnostic. Le surdiagnostic est la découverte d’un cancer qui n’aurait pas affecté la santé de la femme de son vivant, s’il n’avait pas été détecté. Le bénéfice s’avère beaucoup plus faible que présenté officiellement, en raison notamment du faible risque en valeur absolue de mourir de ce cancer, et de la faible efficacité du dépistage.
De ce constat est née une brochure indépendante, délivrant une information claire, qui se veut loyale, aussi complète que possible et facilement accessible. Elle est téléchargeable gratuitement directement sur la page d’accueil de "cancer rose".
Seize auteurs l’ont élaborée. Destinée à la lectrice concernée par le dépistage, elle est aussi pensée comme aide au praticien démuni face aux interrogations d’une patiente.
L’objectif de cette brochure, (unique en langue française alors qu’il en existe p.ex. en Allemagne pour les femmes) est de donner aux femmes le pouvoir de décider de façon rationnelle et sans être culpabilisées. Chacune se fera ainsi son opinion au travers des meilleures sources scientifiques disponibles. Même si le dépistage du cancer du sein est un programme dit de santé publique, il n’en reste pas moins que la participation est une décision individuelle qui ne peut être prise qu’en connaissance de cause, ni imposée ni subie.
Vaccins anti-HPV et risques de maladies auto-immunesCripsIDF
Intervention du médecin Rosemary Dray Spira, épidémiologiste, chef du pôle épidémiologie des produits, ANSM ors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Vaccination contre les infections HPV - Couverture vaccinale en Franc, impact...CripsIDF
Intervention du médecin Isabelle Parent du Châtelet, épidémiologiste à l'INVS lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Intervention du médecin Laurent Abramowitz, proctologue, service d'hépato-gastro-entérologie à l'hôpital Bichat lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Une brochure permet de donner le choix aux femmes: visitez http://cancer-rose.fr/
Le dépistage organisé du cancer du sein, généralisé en France depuis 2004 et proposé aux femmes de 50 à 74 ans, fait l’objet de controverses. Celles-ci, publiées dans des revues scientifiques de premier plan, ont été longtemps minimisées auprès du grand public.
Les doutes portent sur un faible bénéfice et des risques avérés. Ces derniers sont essentiellement les fausses alertes, c’est à dire l’annonce d’une lésion mammographique qui ne s’avère pas réelle, et le surdiagnostic. Le surdiagnostic est la découverte d’un cancer qui n’aurait pas affecté la santé de la femme de son vivant, s’il n’avait pas été détecté. Le bénéfice s’avère beaucoup plus faible que présenté officiellement, en raison notamment du faible risque en valeur absolue de mourir de ce cancer, et de la faible efficacité du dépistage.
De ce constat est née une brochure indépendante, délivrant une information claire, qui se veut loyale, aussi complète que possible et facilement accessible. Elle est téléchargeable gratuitement directement sur la page d’accueil de "cancer rose".
Seize auteurs l’ont élaborée. Destinée à la lectrice concernée par le dépistage, elle est aussi pensée comme aide au praticien démuni face aux interrogations d’une patiente.
L’objectif de cette brochure, (unique en langue française alors qu’il en existe p.ex. en Allemagne pour les femmes) est de donner aux femmes le pouvoir de décider de façon rationnelle et sans être culpabilisées. Chacune se fera ainsi son opinion au travers des meilleures sources scientifiques disponibles. Même si le dépistage du cancer du sein est un programme dit de santé publique, il n’en reste pas moins que la participation est une décision individuelle qui ne peut être prise qu’en connaissance de cause, ni imposée ni subie.
Casablanca 2010 : Le traitement ARV en tant que préventionVih.org
Présentation de Bernard Hirschel, Unité VIH/sida, Hôpitaux Universitaires de Genève, Genève, Suisse, pour la conférence francophone de Casablanca 2010.
ENVAHISSEMENT GANGLIONNAIRE DANS LES CANCERS DES VADSasafu00
L’ENVAHISSEMENT GANGLIONNAIRE DANS LES CANCERS DES VADS
Expérience du service d’ORL et de chirurgie maxillo-faciale du CHU de RABAT A propos de 106 cas
Rajae BORKI
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
reseauprosante.fr
Des maladies rares mais de nombreux malades
Les maladies rares se définissent en général comme des affections qui touchent moins d’une personne sur 2000. Plus de 7000 pathologies sont recensées et 200 et 300 nouvelles décrites chaque année. Bien que chacune ne touche que peu d'individus, leur grande variété fait que le nombre total de personnes atteintes dépasse souvent le nombre de malades du cancer : 1 personne sur 20 est concernée, soit 5% de la population mondiale, soit encore environ 1,5 million de patients marocains !
Elles sont souvent chroniques, évolutives et en général graves. Le pronostic vital est fréquemment mis en jeu : 80% ont un retentissement sur l’espérance de vie. Une gêne notable et des incapacités à la vie quotidienne sont présentes dans plus de 65% des cas et une perte complète d’autonomie dans 9% des cas.
Les maladies auto-immunes telles la polyarthrite rhumatoïde, le diabète de type I, le Gougerot, le psoriasis et la sclérose en plaques, représentent la 3ème cause de morbidité après les affections cardiovasculaires et les cancers. Elles touchent plus de 10 % de la population mondiale et représentent le 2ème ou 3ème poste de prise en charge pour le budget de la santé de la plupart des pays, en raison de la lourdeur des traitements et de la durée de la prise en charge. C’est une pathologie par excellence féminine puisqu’elles touchent les femmes dans 75 % des cas. Elles forment une famille de maladies très différentes dans leur expression clinique et dans les organes intéressés, mais qui ont en commun : 1/le même mécanisme de constitution : l’auto-agressivité vis-à-vis de ses propres constituants ou auto-immunité ; 2/ des traitements proches ou même semblables.
Casablanca 2010 : Le traitement ARV en tant que préventionVih.org
Présentation de Bernard Hirschel, Unité VIH/sida, Hôpitaux Universitaires de Genève, Genève, Suisse, pour la conférence francophone de Casablanca 2010.
ENVAHISSEMENT GANGLIONNAIRE DANS LES CANCERS DES VADSasafu00
L’ENVAHISSEMENT GANGLIONNAIRE DANS LES CANCERS DES VADS
Expérience du service d’ORL et de chirurgie maxillo-faciale du CHU de RABAT A propos de 106 cas
Rajae BORKI
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
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Des maladies rares mais de nombreux malades
Les maladies rares se définissent en général comme des affections qui touchent moins d’une personne sur 2000. Plus de 7000 pathologies sont recensées et 200 et 300 nouvelles décrites chaque année. Bien que chacune ne touche que peu d'individus, leur grande variété fait que le nombre total de personnes atteintes dépasse souvent le nombre de malades du cancer : 1 personne sur 20 est concernée, soit 5% de la population mondiale, soit encore environ 1,5 million de patients marocains !
Elles sont souvent chroniques, évolutives et en général graves. Le pronostic vital est fréquemment mis en jeu : 80% ont un retentissement sur l’espérance de vie. Une gêne notable et des incapacités à la vie quotidienne sont présentes dans plus de 65% des cas et une perte complète d’autonomie dans 9% des cas.
Les maladies auto-immunes telles la polyarthrite rhumatoïde, le diabète de type I, le Gougerot, le psoriasis et la sclérose en plaques, représentent la 3ème cause de morbidité après les affections cardiovasculaires et les cancers. Elles touchent plus de 10 % de la population mondiale et représentent le 2ème ou 3ème poste de prise en charge pour le budget de la santé de la plupart des pays, en raison de la lourdeur des traitements et de la durée de la prise en charge. C’est une pathologie par excellence féminine puisqu’elles touchent les femmes dans 75 % des cas. Elles forment une famille de maladies très différentes dans leur expression clinique et dans les organes intéressés, mais qui ont en commun : 1/le même mécanisme de constitution : l’auto-agressivité vis-à-vis de ses propres constituants ou auto-immunité ; 2/ des traitements proches ou même semblables.
Haiti: Rapport sur le Premier Tour des Elections Législatives Partielles 9 a...Stanleylucas
Trois organisations, le RNDDH, le CNO et le CONHANE ont délégués 1500 observateurs pour les élections Législatives du 9 Aout 2015. Ils partagent leurs observations dans un rapport de 60 pages.
Comment mettre en place une stratégie social média
Définir vos objectifs
Quelle stratégie social média adaptée à vos besoins ?
Concrètement quels sont les outils à utiliser et comment ?
Mesurer l’efficacité de votre stratégie social média
Quels sont les moyens humains et financiers nécessaire ?
Dépistage du cancer du col , frottis cervico vaginal Islem Soualhi
La prévention du cancer du col de l'utérus, cancer sexuellement transmissible, passe par le dépistage des lésions précancéreuses et cancéreuses provoquées par le virus du papillome humain, HPV. Le cancer du col de l'utérus est un cancer sexuellement transmissible provoqué dans la très grande majorité des cas par une infection par le virus du papillome humain(HPV).
La pratique régulière d'un frottis cervical est la meilleure méthode pour dépister un cancer du col de l'utérus ou une lésion précancéreuse.
Revue "Observance" n°24 Mars 2017
Dépistage du cancer du col de l’utérus
Pour la journée mondiale contre le cancer qui s’est déroulée samedi 4 février, l’Institut national du cancer met l’accent sur le cancer du col de l’utérus, une pathologie qui tue environ un millier de femmes par an en France. C’est à cette occasion que nous avons écrit avec les représentants de la biologie libérale et hospitalière, au directeur général de la santé pour modifier les pratiques de dépistages. (...)
Réforme du DES de biologie médicale
Pour rappel, le troisième cycle s’organisera en trois phases :
• Phase socle de 4 semestres : hématologie, biochimie, microbiologie et un semestre libres.
• Phase de consolidation de 2 semestres
• Phase d’approfondissement en 2 semestres sous un statut particulier d’assistant/interne qui reste à préciser.
(...)
Revue "Graine d'Orthophoniste" n°24 - Avril 2016
Cet article a été fait à partir du cours du professeur Ceruse et du mémoire de deux étudiantes de Nancy : Lauriane Castro-Rodriguez et Candice Jacquinet. Leur mémoire est consultable en ligne sur le site internet “Mémophonie”.
Introduction
Le Larynx est l’organe situé au niveau de la gorge, entre le pharynx et la trachée, il abrite les cordes vocales. Le larynx a donc un rôle dans la phonation, la respiration et la déglutition puisqu’il protège la trachée.
La laryngectomie correspond à une ablation du larynx, celle-ci peut être partielle ou totale mais résulte généralement d’un cancer (= prolifération anormale de cellules créant une tumeur au sein du tissu sain de l’organisme) des voies aéro-digestives supérieures (VADS). Les VADS regroupent différentes structures anatomiques comme les fosses nasales, la cavité buccale, le pharynx, le larynx et la trachée. Des troubles des fonctions associées : respiration, phonation et déglutition, résultent de la modification de ces structures. Ces VADS sont le « carrefour stratégique entre le parler et le manger, éléments clés de la vie sociale » (Ataya & Trouillet, 2014), une chirurgie de cette zone engendre alors des répercussions physiques, physiologiques et psychologiques.
Dépister le cancer du sein? Une décision qui appartient à chaque femme-Brochu...Cancer Rose
Brochure pour l'information des femmes sur le dépistage du cancer du sein. Cancer Rose est un collectif de professionnels de la santé rassemblés en association.
Des médecins indépendants, ainsi qu’un docteur en toxicologie ont créé le site d’information www.cancer-rose.fr pour vous faire connaître les données scientifiques les plus objectives et les plus récentes sur le dépistage de masse du cancer du sein.
En décryptant et vulgarisant les études scientifiques les plus récentes, publiées dans les plus grandes revues médicales internationales, en analysant la controverse et en en proposant une analyse sociale et féminine, notre objectif est d’informer les femmes concernées par le dépistage de masse afin de les aider dans leur choix et de mettre à disposition des médecins intéressés des outils d’information indépendants.
Cancer Rose fonctionne sans publicité, sans conflits d’intérêt, sans subvention.
Ľ'ADN DU PAPILLOMAVIRUS HUMAIN DANS LES LESIONS CERVICALES DU MAROC ET SES IM...SoufyanOulmhjoub
À l’échelle mondiale, le cancer du col de l’utérus est le quatrième cancer le plus fréquent chez les femmes, avec environ 604 000 nouveaux cas en 2020. Sur les quelque 342 000 décès dus au cancer du col de l’utérus en 2020, environ 90 % surviennent dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Les femmes vivant avec le VIH sont six fois plus susceptibles d'avoir un cancer du col de l’utérus que les femmes qui ne sont pas atteintes par l'infection à VIH, et on estime que 5 % de tous les cas de cancer du col de l’utérus sont attribuables au VIH (2). En outre, dans toutes les régions du monde, la contribution du VIH au cancer du col de l’utérus pèse de manière disproportionnée sur les femmes plus jeunes.
Dans les pays à revenu élevé, des programmes sont en place qui permettent aux jeunes filles d’être vaccinées contre le PVH et aux femmes de se faire dépister régulièrement et soigner de manière adéquate. Le dépistage permet d’identifier les lésions précancéreuses à des stades où elles peuvent être facilement traitées.
Dans les pays à revenu faible et intermédiaire, l’accès à ces mesures préventives est limité et le cancer du col de l’utérus n’est souvent pas identifié avant d’avoir atteint un stade avancé et que les symptômes apparaissent. En outre, l’accès au traitement des lésions cancéreuses (la chirurgie du cancer, la radiothérapie et la chimiothérapie, par exemple) peut être limité, ce qui entraîne un taux plus élevé de décès par cancer du col de l’utérus dans ces pays.
Le taux de mortalité élevé du cancer du col de l’utérus dans le monde (taux normalisé selon l’âge chez les femmes : 13,3/100 000 en 2020) pourrait être réduit par des interventions efficaces à différents stades de la vie.
Résumé de l'évaluation / action de "Tony jeune gay"CripsIDF
"Tony jeune gay" est un projet de prévention numérique en direction des jeunes HSH franciliens de 18 à 25 ans. Ce programme a été évalué pendant deux ans. Voici la synthèse d'évaluation de cette action.
"Tony jeune gay" est un projet de prévention numérique en direction des jeunes HSH franciliens de 18 à 25 ans. Ce programme a été évalué pendant deux ans. Voici le rapport d'évaluation.
Le point de vue des habitants concernés par la proximité avec des structures ...CripsIDF
Intervention de Didier Vincent, chargé des thèmes salle de conso, toxicomanie et RdR, Association Action Barbès, lors de la 90ème rencontre du Crips Île-de-France sur "Réduction des risques : regards critiques et perspectives"
Comment et pourquoi acompagner l'injectionCripsIDF
Intervention de Marie Debrus, présidente de l'AFR, lors de la 90ème rencontre du Crips Île-de-France sur "Réduction des risques : regards critiques et perspectives"
Les dimensions de la précarité dans anrs vespa2 9 décembreCripsIDF
Intervention de France LERT, directrice, Inserm - Centre Epidémiologie et Santé des Populations, lors de la 89ème rencontre du Crips Ile-de-France sur le "VIH et grande précarité ou en sommes-nous ?".
De l’accompagnement social à l’accompagnement global de pvvihCripsIDF
Intervention de Grégory LAGRANGE,
Chef de service Pôle accompagnement ARCAT lors de la 89ème rencontre du Crips Ile-de-France "VIH et grande précarité: ou en sommes-nous".
Joignez-vous aux lauréates 2024 des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
Hannah Bayne, Université de l’Alberta – Supporting tomorrow’s stewards: A knowledge mobilization project for climate-health literacy in Alberta elementary schools [Soutenir les intendants et intendantes de demain : un projet de mobilisation des connaissances en faveur de la littératie climat-santé dans les écoles primaires de l’Alberta]
Miranda Field, Université de Regina – Decolonized theory of place [La théorie du lieu décolonisée]
Jordan Chin, Université McMaster – The art of creation: An arts-based knowledge translation method to promote and advocate for a healthy start to life [L’art de la création : une méthode d’application des connaissances fondée sur les arts pour promouvoir et défendre un bon départ en santé]
1. HPV : où en sommes-nous ?
92èmes rencontres du CRIPS
Isabelle HEARD
Groupe hospitalier Pitié-Salpétriere,
Institut Pasteur, Centre national de référence des HPV
Paris
Absence de conflit d’intérêt
2. Il y a 15 ans, J. Walboomers montrait
que l’ADN de l’HPV était retrouvé
dans 99.7 % des prélèvements de
cancers invasifs du col.
3. Human papillomavirus
• >100 types identified
• 40 anogenital
Oncogenic types: 16, 18, 45, 31,
33,…
HPV16 (60 %) and HPV18 (10%)
account for the majority of
cervical cancers
Non oncogenic types: 6, 11…
HPV6 is the most common type
associated with genital warts
Non-enveloped
double stranded DNA virus
(papovaviridae family)
4. Schiffman et al ,2005
Col
normal
Clearance
Infection
HPV
persistance virale
et
progression
Régression
Lésion
Precancéreuse
Invasion
Cancer
30 ans 45 ans15 ans
HPV
Précancer
Cancer
Histoire naturelle de l’infection HPV
et du cancer du col
5. Transmission de l’infection HPV
Burchell et al, 2006 ; Winer et al, 2003 Herrero et al, 2005
Liée aux rapports sexuels
Incidence
cumulée à 1 ans :
30 %
6. Transmission de l’infection HPV
Le risque cumulatif d’être infectée est supérieur à 80 % à 50 ans
20 à 30% des infections sont multiples
Herrero et al, 2005
9. en France, en 2012,
3068 cas diagnostiqués et
1067 décès
dans le monde, en 2012,
500 000 nouveaux cas et
275000 décès
>80 % des cas dans les pays en développement
Parkin et al, 2013,
Le cancer du col de l’utérus
10. Schiffman et al ,2005
Col
normal
Clearance
Infection
HPV
persistance virale
et
progression
Régression
Lésion
Precancéreuse
Invasion
Cancer
30 ans 45 ans15 ans
HPV
Précancer
Cancer
Prévention du cancer du col: dépistage
frottis
11. Le dépistage a entrainé une réduction deLe dépistage a entrainé une réduction de
ll’’incidence du cancer du col en Angleterreincidence du cancer du col en Angleterre
• Improvements in cervical screening coverage in England have lead to a
35% decrease in cervical cancer cases in under a decade1
1971
1975
1980
1985
1987
1990
1995
Year
Percentage
Incidencerateper100,000
0
10
12
14
16
18 100
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Invasive cervical
cancer
Coverage
National call-recall
introduced
Age-standardised incidence of invasive cervical cancer
and coverage of screening, England, 1971–1995
1. Quinn M, et al. BMJ. 1999; 318:904–908.
12. •Repose sur le FROTTIS,
•en France le frottis est recommandé tous les 3 ans de 25 à 65
ans
Le dépistage du cancer du col de l’utérus
13. Schiffman et al ,2005
Col
normal
Clearance
Infection
HPV
persistance virale
et
progression
Régression
Lésion
Precancéreuse
Invasion
Cancer
30 ans 45 ans15 ans
HPV
Précancer
Cancer
Prévention du cancer du col: vaccination
VACCIN
15. Généralités épidémiologiques
sur le cancer du canal anal
1. Incidence augmente chez les hommes et chez les femmes
2. Chez les femmes : l’incidence a été multipliée par 2 dans les 30
dernières années aux US
3. Chez les femmes PVVIH
– Augmentation significative du risque de cancer
– Incidence : 0 à 11 pour 100 000 femmes entre les années 1980
et 2000.
1. Chez les hommes : l’incidence est plus élevée dans certaines
sous-populations
– HSH
– PVVIH
Steier al, 2015
16. Similitudes biologique / COL utérin
1. Il existe des lésions précancéreuses : AIN2+/ CIN2+
2. HPV à haut risque oncogène : HR HPV
3. Même histoire naturelle
Infection AIN2+ Cancer
Facteurs de risque ?
Moscichi al, 2006
HR HPV HPV16/18
COL 99% 70%
Canal anal 80-90% 80%
18. Les cancers des VADS
• Sixième cancer dans le monde
• Surviennent chez des sujets jeunes : 40-55 ans
• Tabac, alcool : facteurs de risque majeurs
• Augmentation récente de l’incidence aux USA, en
Suède, UK, Hollande, Danemark
• Proportion variable des cancers de l’oropharynx
attribuable à l’infection HPV
Marur et al, 2010
19. HPV Oral
(n = 2,642)
Oropharynx
(n = 969)
Larynx
(n = 1,435)
Positif 23.5% 35.6% 24.0%
16 68.2% 86.7% 69.2%
18 34.1% 2.8% 17%
Kreimer AR et al., 2005
HPV dans les cancers de la tête et du
cou
23. En conclusion,
• Infection HPV très fréquente,
• Cause de cancers anogénitaux
• et VADS : Augmentation récente de l’incidence aux
USA, en Suède, UK, Hollande, Danemark
• Diagnostic repose sur la détection de l’ADN (pas de
culture, pas de sérologie)
• Les vaccins sont efficaces en prévention
• Risque de cancer chez les immunodéprimés dans le
contexte de l’augmentation de la durée de vie ?
Notes de l'éditeur
Multiplication liée à la différenciation terminale du kératinocyte hôte
Multiplication liée à la différenciation terminale du kératinocyte hôte
Multiplication liée à la différenciation terminale du kératinocyte hôte
Multiplication liée à la différenciation terminale du kératinocyte hôte
Peto J. et al Lancet 2004; 364: 249–56
Summary
Background Recent reports suggest that the reduction in mortality achieved by the UK national cervical screening
programme is too small to justify its financial and psychosocial costs, except perhaps in a few high-risk women.
Methods We analysed trends in mortality before 1988, when the British national screening programme was
launched, to estimate what future trends in cervical cancer mortality would have been without any screening.
Findings Cervical cancer mortality in England and Wales in women younger than 35 years rose three-fold from 1967
to 1987. By 1988, incidence in this age-range was among the highest in the world despite substantial opportunistic
screening. Since national screening was started in 1988, this rising trend has been reversed.
Interpretation Cervical screening has prevented an epidemic that would have killed about one in 65 of all British
women born since 1950 and culminated in about 6000 deaths per year in this country. However, these estimates are
subject to substantial uncertainty, particularly in relation to the effects of oral contraceptives and changes in sexual
behaviour. 80% or more of these deaths (up to 5000 deaths per year) are likely to be prevented by screening, which
means that about 100 000 (one in 80) of the 8 million British women born between 1951 and 1970 will be saved from
premature death by the cervical screening programme at a cost per life saved of about £36 000. The birth cohort
trends also provide strong evidence that the death rate throughout life is substantially lower in women who were
first screened when they were younger.
Improvements in screening can lead to a decrease in incidence of invasive cervical cancer.
Background
Quinn and colleagues1 assessed the impact of screening on cervical cancer incidence and mortality in women >19 years of age in England.
The overall incidence of invasive cervical cancer remained stable from 1971 to the mid-1980s (3,900 cases/year on average), when the cervical cancer screening program in England was largely ineffective because of problems with how it was organized.
Upon instituting improvements in the screening program, including the introduction of the national call and recall system and incentive payments to general practitioners, screening coverage increased to around 85%.
This resulted in a continuous decline in the incidence of invasive cervical cancer from 1990 onwards. In 1995, the incidence was 35% lower than in the mid-1980s.1
Reference
1. Quinn M, et al. BMJ. 1999; 318:904–908.
Multiplication liée à la différenciation terminale du kératinocyte hôte