Intervention du médecin Rosemary Dray Spira, épidémiologiste, chef du pôle épidémiologie des produits, ANSM ors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Intervention du professeur Isabelle Heard, gynécologue-obstrétricienne, Centre national de référence du papillomavirus à l'Institut Pasteur lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Intervention du médecin Laurent Abramowitz, proctologue, service d'hépato-gastro-entérologie à l'hôpital Bichat lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Vaccination contre les infections HPV - Couverture vaccinale en Franc, impact...CripsIDF
Intervention du médecin Isabelle Parent du Châtelet, épidémiologiste à l'INVS lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Casablanca 2010 : Le traitement ARV en tant que préventionVih.org
Présentation de Bernard Hirschel, Unité VIH/sida, Hôpitaux Universitaires de Genève, Genève, Suisse, pour la conférence francophone de Casablanca 2010.
Intervention du professeur Isabelle Heard, gynécologue-obstrétricienne, Centre national de référence du papillomavirus à l'Institut Pasteur lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Intervention du médecin Laurent Abramowitz, proctologue, service d'hépato-gastro-entérologie à l'hôpital Bichat lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Vaccination contre les infections HPV - Couverture vaccinale en Franc, impact...CripsIDF
Intervention du médecin Isabelle Parent du Châtelet, épidémiologiste à l'INVS lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Casablanca 2010 : Le traitement ARV en tant que préventionVih.org
Présentation de Bernard Hirschel, Unité VIH/sida, Hôpitaux Universitaires de Genève, Genève, Suisse, pour la conférence francophone de Casablanca 2010.
Une brochure permet de donner le choix aux femmes: visitez http://cancer-rose.fr/
Le dépistage organisé du cancer du sein, généralisé en France depuis 2004 et proposé aux femmes de 50 à 74 ans, fait l’objet de controverses. Celles-ci, publiées dans des revues scientifiques de premier plan, ont été longtemps minimisées auprès du grand public.
Les doutes portent sur un faible bénéfice et des risques avérés. Ces derniers sont essentiellement les fausses alertes, c’est à dire l’annonce d’une lésion mammographique qui ne s’avère pas réelle, et le surdiagnostic. Le surdiagnostic est la découverte d’un cancer qui n’aurait pas affecté la santé de la femme de son vivant, s’il n’avait pas été détecté. Le bénéfice s’avère beaucoup plus faible que présenté officiellement, en raison notamment du faible risque en valeur absolue de mourir de ce cancer, et de la faible efficacité du dépistage.
De ce constat est née une brochure indépendante, délivrant une information claire, qui se veut loyale, aussi complète que possible et facilement accessible. Elle est téléchargeable gratuitement directement sur la page d’accueil de "cancer rose".
Seize auteurs l’ont élaborée. Destinée à la lectrice concernée par le dépistage, elle est aussi pensée comme aide au praticien démuni face aux interrogations d’une patiente.
L’objectif de cette brochure, (unique en langue française alors qu’il en existe p.ex. en Allemagne pour les femmes) est de donner aux femmes le pouvoir de décider de façon rationnelle et sans être culpabilisées. Chacune se fera ainsi son opinion au travers des meilleures sources scientifiques disponibles. Même si le dépistage du cancer du sein est un programme dit de santé publique, il n’en reste pas moins que la participation est une décision individuelle qui ne peut être prise qu’en connaissance de cause, ni imposée ni subie.
ENVAHISSEMENT GANGLIONNAIRE DANS LES CANCERS DES VADSasafu00
L’ENVAHISSEMENT GANGLIONNAIRE DANS LES CANCERS DES VADS
Expérience du service d’ORL et de chirurgie maxillo-faciale du CHU de RABAT A propos de 106 cas
Rajae BORKI
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
reseauprosante.fr
Des maladies rares mais de nombreux malades
Les maladies rares se définissent en général comme des affections qui touchent moins d’une personne sur 2000. Plus de 7000 pathologies sont recensées et 200 et 300 nouvelles décrites chaque année. Bien que chacune ne touche que peu d'individus, leur grande variété fait que le nombre total de personnes atteintes dépasse souvent le nombre de malades du cancer : 1 personne sur 20 est concernée, soit 5% de la population mondiale, soit encore environ 1,5 million de patients marocains !
Elles sont souvent chroniques, évolutives et en général graves. Le pronostic vital est fréquemment mis en jeu : 80% ont un retentissement sur l’espérance de vie. Une gêne notable et des incapacités à la vie quotidienne sont présentes dans plus de 65% des cas et une perte complète d’autonomie dans 9% des cas.
Les phenomenes inflammatoires journée de l'auto-immunité 2014 ammaisKhadija Moussayer
L’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS), dont le président d'honneur est Loïc Guillevin, a organisé le samedi 8 novembre 2014, à Casablanca sa 4ème journée de l’auto-immunité sur le thème ‘inflammation et maladies auto-immunes et systémiques’.
Caractérisée en pathologie par une rougeur, chaleur, douleur et gonflement, l’inflammation est un processus de défense de l’organisme contre une agression, venant de l’extérieur ou de l'organisme lui-même comme c'est le cas des pathologies auto-immunes. L’inflammation est donc tout à la fois un moyen de défense de l’organisme et un chemin de constitution des lésions.
Un tout nouveau concept s’est dégagé ces 15 dernières années, celui des maladies auto-inflammatoires. Il regroupe des syndromes caractérisés par des fièvres récurrentes sans cause évidente, correspondant à un dérèglement de l’immunité innée, la première ligne de défense de l’organisme qui attaque tout ce qu'il considère comme « étranger » au corps.
-------------------------------------------------------------------------------
The Moroccan Autoimmune and Systemic Diseases Association
The Moroccan Autoimmune and Systemic Diseases Association is a health association dedicated to bringing a national focus to autoimmunity and the eradication of autoimmune diseases and the alleviation of suffering and the socioeconomic impact of them.
Autoimmune diseases are a broad range of related diseases in which a person’s immune system produces an inappropriate response against its own cells, tissues and/or organs, resulting in inflammation and damage. There are over 100 different autoimmune diseases, and these range from common to very rare diseases
Dr MOUSSAYER KHADIJA الدكتورة خديجة موسيار
اختصاصية في الأمراض الباطنية و أمراض الشيخوخة
Spécialiste en médecine interne et en Gériatrie
Présidente de l’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS)
رئيسة الجمعية المغربية لأمراض المناعة الذاتية و والجهازية
Chairwoman of the Moroccan Autoimmune and Systemic Diseases Association
Vice-présidente de l’association marocaine des intolérants et allergiques au gluten (AMIAG)
Vice-présidente de l'association marocaine de la fièvre méditerranéenne familiale (AMFMF)
Une brochure permet de donner le choix aux femmes: visitez http://cancer-rose.fr/
Le dépistage organisé du cancer du sein, généralisé en France depuis 2004 et proposé aux femmes de 50 à 74 ans, fait l’objet de controverses. Celles-ci, publiées dans des revues scientifiques de premier plan, ont été longtemps minimisées auprès du grand public.
Les doutes portent sur un faible bénéfice et des risques avérés. Ces derniers sont essentiellement les fausses alertes, c’est à dire l’annonce d’une lésion mammographique qui ne s’avère pas réelle, et le surdiagnostic. Le surdiagnostic est la découverte d’un cancer qui n’aurait pas affecté la santé de la femme de son vivant, s’il n’avait pas été détecté. Le bénéfice s’avère beaucoup plus faible que présenté officiellement, en raison notamment du faible risque en valeur absolue de mourir de ce cancer, et de la faible efficacité du dépistage.
De ce constat est née une brochure indépendante, délivrant une information claire, qui se veut loyale, aussi complète que possible et facilement accessible. Elle est téléchargeable gratuitement directement sur la page d’accueil de "cancer rose".
Seize auteurs l’ont élaborée. Destinée à la lectrice concernée par le dépistage, elle est aussi pensée comme aide au praticien démuni face aux interrogations d’une patiente.
L’objectif de cette brochure, (unique en langue française alors qu’il en existe p.ex. en Allemagne pour les femmes) est de donner aux femmes le pouvoir de décider de façon rationnelle et sans être culpabilisées. Chacune se fera ainsi son opinion au travers des meilleures sources scientifiques disponibles. Même si le dépistage du cancer du sein est un programme dit de santé publique, il n’en reste pas moins que la participation est une décision individuelle qui ne peut être prise qu’en connaissance de cause, ni imposée ni subie.
ENVAHISSEMENT GANGLIONNAIRE DANS LES CANCERS DES VADSasafu00
L’ENVAHISSEMENT GANGLIONNAIRE DANS LES CANCERS DES VADS
Expérience du service d’ORL et de chirurgie maxillo-faciale du CHU de RABAT A propos de 106 cas
Rajae BORKI
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
reseauprosante.fr
Des maladies rares mais de nombreux malades
Les maladies rares se définissent en général comme des affections qui touchent moins d’une personne sur 2000. Plus de 7000 pathologies sont recensées et 200 et 300 nouvelles décrites chaque année. Bien que chacune ne touche que peu d'individus, leur grande variété fait que le nombre total de personnes atteintes dépasse souvent le nombre de malades du cancer : 1 personne sur 20 est concernée, soit 5% de la population mondiale, soit encore environ 1,5 million de patients marocains !
Elles sont souvent chroniques, évolutives et en général graves. Le pronostic vital est fréquemment mis en jeu : 80% ont un retentissement sur l’espérance de vie. Une gêne notable et des incapacités à la vie quotidienne sont présentes dans plus de 65% des cas et une perte complète d’autonomie dans 9% des cas.
Les phenomenes inflammatoires journée de l'auto-immunité 2014 ammaisKhadija Moussayer
L’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS), dont le président d'honneur est Loïc Guillevin, a organisé le samedi 8 novembre 2014, à Casablanca sa 4ème journée de l’auto-immunité sur le thème ‘inflammation et maladies auto-immunes et systémiques’.
Caractérisée en pathologie par une rougeur, chaleur, douleur et gonflement, l’inflammation est un processus de défense de l’organisme contre une agression, venant de l’extérieur ou de l'organisme lui-même comme c'est le cas des pathologies auto-immunes. L’inflammation est donc tout à la fois un moyen de défense de l’organisme et un chemin de constitution des lésions.
Un tout nouveau concept s’est dégagé ces 15 dernières années, celui des maladies auto-inflammatoires. Il regroupe des syndromes caractérisés par des fièvres récurrentes sans cause évidente, correspondant à un dérèglement de l’immunité innée, la première ligne de défense de l’organisme qui attaque tout ce qu'il considère comme « étranger » au corps.
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The Moroccan Autoimmune and Systemic Diseases Association
The Moroccan Autoimmune and Systemic Diseases Association is a health association dedicated to bringing a national focus to autoimmunity and the eradication of autoimmune diseases and the alleviation of suffering and the socioeconomic impact of them.
Autoimmune diseases are a broad range of related diseases in which a person’s immune system produces an inappropriate response against its own cells, tissues and/or organs, resulting in inflammation and damage. There are over 100 different autoimmune diseases, and these range from common to very rare diseases
Dr MOUSSAYER KHADIJA الدكتورة خديجة موسيار
اختصاصية في الأمراض الباطنية و أمراض الشيخوخة
Spécialiste en médecine interne et en Gériatrie
Présidente de l’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS)
رئيسة الجمعية المغربية لأمراض المناعة الذاتية و والجهازية
Chairwoman of the Moroccan Autoimmune and Systemic Diseases Association
Vice-présidente de l’association marocaine des intolérants et allergiques au gluten (AMIAG)
Vice-présidente de l'association marocaine de la fièvre méditerranéenne familiale (AMFMF)
L'impact du portage asymptomatique sur la santé publique - Présentation de la 2e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - RAKOTONDRAIBE Maroafy Emmanuel - MINISTERE de la SANTE et du PLANNING FAMILIAL de MADAGASCAR - Service de Lutte Contre le Paludisme - ramanuel@iris.mg
Intervention de Jean Pouly (Administrateur du Cluster Green& Connected Cities / Gérant d'Econum) aux Rencontres Numériques 2012. Table ronde 1 - Optimiser les ressources pour mieux gérer la ville
La Unión Europea ha propuesto un nuevo paquete de sanciones contra Rusia que incluye un embargo al petróleo. El embargo prohibiría la importación de petróleo ruso a la UE y también impediría el acceso de buques rusos a puertos europeos. Sin embargo, Hungría se opone firmemente al embargo al petróleo, argumentando que su economía depende en gran medida de las importaciones de energía rusa.
support de vulgarisation sur le digital marketing (dans l'esprit "le digital pour les nuls") - octobre 2010
Pour une présentation commentée, contactez : Bertrand Espitalier, planning stratégique - 01 72 71 64 36 - bespitalier@le-fil.fr
Condamnation pénale de Robert Eringer pour diffamation et injure publique env...Berntin
Condamnation pénale dans l'affaire André Muhlberger contre Robert Eringer, jugement du 28 Septembre 2012
Nature des infractions: difflamation envers particulier(s) par parole, écrit, image ou moyen de communication au public par voie électronique.
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas… Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°11" mars 2015
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3 % des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64 % des femmes atteintes.
Il existe, à ce jour en France, deux vaccins ayant l’AMM en prévention des lésions précancéreuses du col de l’utérus dues à HPV-16 et HPV-18 : le Cervarix et le Gardasil. Le Gardasil a également l’AMM en prévention des lésions précancéreuses vulvaires et vaginales ; sa composition inclue 2 types d’HPV supplémentaires, les HPV-6 et le HPV-11 responsables de condylomes.
La vaccination contre le papillomavirus est, en 2015, recommandée chez les jeunes filles de 11 à 14 ans avec un rattrapage entre 15 et 19 ans révolus.
Cette vaccination peut être effectuée indifféremment avec l’un ou l’autre des deux vaccins, mais la vaccination de chaque sujet doit se poursuivre avec le même vaccin.
...
reseauprosante.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Revue JEUNE MG N°11 - Mars 2015
État des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73%), le HPV-18 (19%) et le HPV-31 (7%).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3% des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64% des femmes atteintes.
Enquéte de perception sur la varicelle et sa prévention auprés des médecins g...Mouad Boutadghart
La varicelle est une maladie infectieuse courante chez les enfants et est causée par le virus varicelle-zona. Bien que la maladie soit généralement bénigne, elle peut entraîner des complications graves chez certains patients, en particulier les nourrissons, les femmes enceintes et les personnes atteintes d'un système immunitaire affaibli.
L'objectif de votre recherche est de comprendre comment les médecins généralistes et pédiatres dans la région d'Agadir perçoivent la varicelle et sa prévention, notamment en ce qui concerne la vaccination. Vous cherchez à explorer leur niveau de connaissance sur la maladie, les symptômes et les traitements, ainsi que leur perception de l'efficacité des campagnes de vaccination. Vous pouvez également étudier les facteurs qui influencent leur décision de recommander ou non la vaccination contre la varicelle à leurs patients.
En recueillant des données auprès des médecins généralistes et pédiatres de la région d'Agadir, vous pouvez apporter des éclairages précieux sur leur perception de la varicelle et de sa prévention. Les résultats de votre enquête pourraient également être utiles pour les autorités de santé publique en leur permettant de mieux comprendre les besoins et les défis dans la prévention de la varicelle et la promotion de la vaccination.
Enquéte de perception sur la varicelle et sa prévention auprés des médecins g...Mouad Boutadghart
une étude visant à évaluer les connaissances et les attitudes des professionnels de santé locaux en matière de prévention de la varicelle. Cette enquête pourrait inclure des questions sur les pratiques actuelles en matière de vaccination contre la varicelle, les perceptions des risques et des avantages associés à la vaccination, ainsi que les obstacles à l’adoption de la vaccination dans cette région. Les résultats pourraient aider à informer les efforts visant à améliorer la prévention de la varicelle dans cette région.
Points principaux de la mise en place d’un programme de lutte contre le paludisme, Par Pascal MILLET (2ème édition du Cours international « Atelier Paludisme » - 2004)
Enquête Avnir sur la vaccination des personnes à risques ou hauts risques d'i...Ipsos France
Ipsos pour Pfizer en partenariat avec les associations du groupe AVNIR.
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/la-vaccination-des-personnes-atteintes-de-maladies-chroniques-risque-ou-haut-risque-dinfections
Quels sont les vaccins envisageables dans la lutte contre le paludisme? - Présentation de la 6e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - KOFFI Amanan Alphonsine - Entomologiste - Côte d'Ivoire - koffi_alphonsine@yahoo.fr
Immunité anti-maladie versus antiparasite: quel rôle du niveau de transmission et quelles implications pour le développement d’un vaccin - Présentation de la 8e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - IYALOO Diana Pillay et KEITA Mory
Thérapeutiques rougeole rattrapage de vaccination pour les jeunes adultes.Réseau Pro Santé
Depuis 2008, une épidémie de rougeole sévit en France, amenant à compléter la vaccination de toutes les personnes nées après 1980 et certains professionnels non vaccinés, quel que soit leur âge.
Le calendrier vaccinal publié par le Haut conseil de la santé publique en 2011 comporte une modification notable concernant la vaccination contre la rougeole des adolescents et des jeunes adultes, pour tenir compte de l’évolution de la situation épidémiologique.
La circulation du virus a touché l’ensemble du territoire métropolitain, avec des foyers épidémiques importants en Midi-Pyrénées en 2010, et en Rhône-Alpes en mars 2011. 82 % des personnes atteintes n’avaient jamais été vaccinées contre la rougeole, et 13% avaient reçu une seule dose de vaccin. Selon 2 enquêtes par sondage réalisées en 2009, en l’absence d’antécédents de rougeole, moins de la moitié des étudiants en santé des hôpitaux parisiens avaient reçu 2 doses de vaccins, et moins de la moitié des soignants des établissements de soins de France avaient reçu au moins une dose de vaccin.
Comme auparavant, le Haut comité continue de recommander qu’à l’âge de 24 mois tous les enfants aient reçu 2 doses de vaccin trivalent oreillons-rougeole-rubéole. Depuis 2005, un rattrapage vaccinal était recommandé pour toutes les personnes nées en 1992 ou après, de sorte qu’elles aient toutes reçu au total deux doses de vaccin trivalent.
reseauprosante.fr
Résumé de l'évaluation / action de "Tony jeune gay"CripsIDF
"Tony jeune gay" est un projet de prévention numérique en direction des jeunes HSH franciliens de 18 à 25 ans. Ce programme a été évalué pendant deux ans. Voici la synthèse d'évaluation de cette action.
"Tony jeune gay" est un projet de prévention numérique en direction des jeunes HSH franciliens de 18 à 25 ans. Ce programme a été évalué pendant deux ans. Voici le rapport d'évaluation.
Le point de vue des habitants concernés par la proximité avec des structures ...CripsIDF
Intervention de Didier Vincent, chargé des thèmes salle de conso, toxicomanie et RdR, Association Action Barbès, lors de la 90ème rencontre du Crips Île-de-France sur "Réduction des risques : regards critiques et perspectives"
Comment et pourquoi acompagner l'injectionCripsIDF
Intervention de Marie Debrus, présidente de l'AFR, lors de la 90ème rencontre du Crips Île-de-France sur "Réduction des risques : regards critiques et perspectives"
Les dimensions de la précarité dans anrs vespa2 9 décembreCripsIDF
Intervention de France LERT, directrice, Inserm - Centre Epidémiologie et Santé des Populations, lors de la 89ème rencontre du Crips Ile-de-France sur le "VIH et grande précarité ou en sommes-nous ?".
De l’accompagnement social à l’accompagnement global de pvvihCripsIDF
Intervention de Grégory LAGRANGE,
Chef de service Pôle accompagnement ARCAT lors de la 89ème rencontre du Crips Ile-de-France "VIH et grande précarité: ou en sommes-nous".
Vaccins anti-HPV et risques de maladies auto-immunes
1. Vaccins anti-HPV et risque de maladies
auto-immunes :
étude pharmaco-épidémiologique
Rosemary Dray-Spira
ANSM / Pôle Epidémiologie des produits de santé
92èmes Rencontres du CRIPS Ile de France
12 novembre 2015
2. 1ANSM
Contexte
Maladies auto-immunes
Dysfonctionnement du système immunitaire
Maladies variées, atteinte d’organes ou systémiques
Manifestations cliniques hétérogènes
Epidémiologie très variable
Prédisposition génétique + facteurs d’environnement (infections,
rayons UV, médicaments, etc)
risque potentiel avec toute vaccination (stimulation du système
immunitaire)
Gardasil® et Cervarix® commercialisés depuis 2006 et 2008
Plan de Gestion des Risques européen + Surveillance en France:
Suivi renforcé de pharmacovigilance
Etude pharmaco-épidémiologique (collaboration CNAMTS/ANSM)
3. 2ANSM
Comité scientifique
Présidé par Annick Alpérovitch, composé de:
épidémiologistes
cliniciens de différentes spécialités (immunologie, rhumatologie,
médecine interne, neurologie, pédiatrie)
experte référente sur les papillomavirus
Validation des objectifs, de la population de l’étude, des méthodes
d’analyse et des résultats de l’étude
Réunions régulières entre Juillet 2014 et Juin 2015
4. 3ANSM
Objectif
Estimer l’association entre l’exposition aux vaccins anti-HPV et la survenue de
maladies auto-immunes (MAI)
Type d’étude
Etude de cohorte observationnelle (exposé/non-exposé)
Source des données = SNIIRAM
DCIR : données individuelles de remboursement de dépenses de santé
PMSI : données individuelles sur les séjours hospitaliers
Objectif et design
5. 5ANSM
DCIR PMSI
Prestation
Pharmacie Biologie
MCO PSY
Données individuelles
d’hospitalisation des
établissements publics et privés
• Diagnostics (CIM-10) :
– principaux
– associés significatifs ou reliés
• Actes médicaux (CCAM)
SSR HADVariable de jointure :
Identifiant du patient
Données individuelles de
remboursements des bénéficiaires
des principaux régimes de
l’Assurance Maladie
• Données socio-démographiques: âge,
sexe, CMU-c, zone géographique
• Délivrance de médicaments
• Consultations médicales
• Affections de longue durée (CIM-10)
DM
SNIIRAM
6. 6ANSM
Population d’étude
Critères d’inclusion
Jeunes filles
Agées de 13 ans à 16 ans entre le 01/01/2008 et le 31/12/2012
Affiliées au régime général de la sécurité sociale
Critères d’exclusion
Remboursement de vaccin anti-HPV avant la date d’inclusion
Antécédents de maladie auto-immune
7. 7ANSM
Suivi dans l’étude
Date d’origine:
1er janvier 2008 pour les filles âgées de 13 à 16 ans à cette date
Ou date du 13ème anniversaire si entre janvier 2008 à décembre 2012
Fin du suivi:
Soit le 31 décembre 2013 (date de fin d’étude)
Soit date de survenue du plus précoce des événements suivants :
diagnostic d’une MAI d’intérêt
changement de régime de sécurité sociale ou période de 24 mois
sans consommation de soins
atteinte de l’âge de 17 ans
décès
Exposition: à partir de la première délivrance d’une dose d’un des deux
vaccins anti-HPV
8. 8ANSM
Evénements d’intérêt
Maladies auto-immunes étudiées (14):
Neurologiques: affections démyélinisantes du SNC - dont la SEP,
Syndrome de Guillain-Barré
Rhumatologiques: lupus, sclérodermies, vascularites, myosites,
polyarthrite rhumatoïde / arthrites juvéniles, syndrome de Gougerot-
Sjögren
Hématologiques: purpura thrombopénique immunologique
Endocriniennes: diabète du type 1, thyroïdites et pancréatites
Gastro-intestinales: maladies inflammatoires chroniques de l’intestin
(maladie de Crohn et rectocolite hémorragique), maladie cœliaque
Sources d’identification des MAIs dans le SNIIRAM:
PMSI (diagnostic principal ou relié)
ALD
Initiation d’un traitement spécifique (SEP et DT1)
9. 9ANSM
Analyses statistiques
Modèles de Cox
Comparaison du risque de survenue d’une MAI entre les jeunes filles
exposées et les non exposées
Globalement, pour l’ensemble des 14 événements
Séparément pour chacun des événements
Ajustement sur facteurs de confusion potentiels
âge (échelle de temps), année d’inclusion, zone géographique,
statut CMU-c, niveau de recours aux soins et autres vaccinations
avant l'inclusion et au cours de suivi
Analyses de sensibilité et en sous-groupes:
Différentes fenêtres à risque (0-2 ou 0-3, 2-12 ou 3-12, >12 mois)
Gardasil / Cervarix
Filles n’ayant pas d’autres vaccinations concomitantes (+/- 1 mois)
11. 11ANSM
Population d’analyse
Plus de 2,2 millions de jeunes filles incluses
Dont 37% vaccinées contre le HPV (93% Gardasil, 7% Cervarix)
Population d’étude
N = 2,252,716
Age moyen à l’inclusion: 13,5 ans
Non vaccinées
N = 1,410,596 (63%)
30,2 mois
4,7 millions
N = 2,978 cas de MAI
Vaccinées au cours du suivi
N = 842,120 (37%)
Age moyen à la vaccination: 15 ans
19,8 mois
1,4 million
N = 996 cas de MAI
Exposition
Temps de suivi
(en personnes-années, PA)
Nombre d’événements
Durée moyenne de suivi
12. 12ANSM
Caractéristiques de la population (I)
Cohorte totale
Non vaccinées au
cours du suivi
Vaccinées au cours
du suivi
n % n % n %
Zone géographique
DOM 90 975 4% 72 080 5% 18 895 2%
Ile-De-France 431 475 19% 296 901 21% 134 574 16%
Nord-Est 515 964 23% 287 731 20% 228 233 27%
Nord-Ouest 432 591 19% 248 102 18% 184 489 22%
Sud-Est 522 359 23% 348 064 25% 174 295 21%
Sud-Ouest 259 352 12% 157 718 11% 101 634 12%
CMUc 479 228 21% 340 186 24% 139 042 17%
13. 13ANSM
Caractéristiques de la population (II)
Cohorte totale
Non vaccinées au
cours du suivi
Vaccinées au cours
du suivi
n % n % n %
Recours aux soins avant inclusion
Au moins 1 consult. généraliste1 2 012 455 89% 1 219 528 86% 792 927 94%
Au moins 1 consult. spécialiste 1 558 306 69% 919 273 65% 639 033 76%
Fréquence moyenne de
consultations après inclusion
≤ 1,9 par an 751 523 33% 623 900 44% 127 623 15%
]1,9 - 4[ par an 749 376 33% 438 756 31% 310 620 37%
≥4 par an 751 817 33% 347 940 25% 403 877 48%
Au moins une hospitalisation au
cours de la période d’étude2 483 530 21% 281 738 20% 201 792 24%
Autres vaccins
avant l'inclusion 1 182 643 52% 710 511 50% 472 132 56%
au cours du suivi 900 860 40% 426 657 30% 474 203 56%
1 Médecin géneraliste, pédiatre, gynécologue ou dentiste 2 Au moins une hospitalisation dans la période allant de 15 mois avant
l’inclusion jusqu’à 3 mois avant la fin du suivi
14. 14ANSM
Vaccination anti-HPV
N %
Nombre de doses de vaccin 2 076 753
Nombre de filles vaccinées au cours du suivi 842 120
Nombre de doses par fille vaccinée
1 dose 148 523 18%
2 doses 152561 18%
3 doses 541036 64%
Spécialité (1
ère
dose)
Cervarix 55 545 7%
Gardasil 786 575 93%
Délai médian en mois (Gardasil)
Entre 1ère
et 2ème
doses 2,3 [1,8-3,4]
Entre 2ème
et 3ème
doses 4,1 [3,4-5,4]
16. 16ANSM
Résultats principaux (I)
Globalement
Absence d’association statistiquement significative entre l’exposition à
un vaccin anti-HPV et la survenue de maladies auto-immunes (14
événements pris dans leur ensemble)
Non-exposées Exposées Analyse multivariée
N Incidence
/100 000 PA
N Incidence
/100 000 PA
HR IC 95% p
2 978 66,8 996 71,6 1,06 [0,98 1,15] 0,15
Absence d’association statistiquement significative entre l’exposition à
un vaccin anti-HPV et la survenue de 12 des 14 événements d’intérêt
17. 17ANSM
Résultats principaux (II)
Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI)
Association statistiquement significative entre l’exposition à un vaccin anti-HPV
et la survenue d’une MICI
Non-exposées Exposées Analyse multivariée
N Incidence
/100 000 PA
N Incidence
/100 000 PA
HR IC 95% p
647 16,9 293 21,0 1,18 [1,01 1,38] 0,037
18. 18ANSM
Résultats principaux (III)
Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI)
Analyse par fenêtres à risque après vaccination
Censure des 3 mois suivant la vaccination
Analyse multivariée
Fenêtre d’exposition HR IC inf IC sup P
0-3 mois 1.30 0.94 1.79 0.11
3-12 mois 1.23 0.99 1.52 0.06
12 mois et plus 1.12 0.91 1.38 0.28
Non-exposées Exposées Analyse multivariée
N Incidence
/100 000 PA
N Incidence
/100 000 PA
HR IC 95% p
647 17,3 250 21,0 1,14 [0,97 1,35] 0,12
19. 19ANSM
Résultats principaux (IV)
Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI)
Association
De faible magnitude
Probablement expliquée par
biais de causalité inverse
et/ou hasard
et/ou facteurs confondants résiduels
Pas d’argument dans la littérature internationale en faveur d’un effet de
la vaccination HPV (ou de manière générale) sur le risque de MICI
Signal peu plausible
20. 20ANSM
Résultats principaux (V)
Syndrome de Guillain-Barré (SGB)
Association statistiquement significative entre l’exposition à un vaccin
anti-HPV et le risque de SGB
Analyse par fenêtres à risque après vaccination
Non-exposées Exposées Analyse multivariée
N Incidence
/100 000 PA
N Incidence
/100 000 PA
HR IC 95% p
21 0,4 19 1,4 3,96 [1,82 8,61] <0.001
Non-exposées Exposées HR ajusté
(IC 95%)N
Incidence
/100 000 PA N
Incidence
/100 000 PA
0-2 mois 21 0.41 6 1.87 5.35 (2.01-14.27)
3-12 mois 21 0.39 9 1.33 3.94 (1.58-9.78)
> 12 mois 21 0.31 4 1.02 2.43 (0.69-8.54)
23. 23ANSM
Résultats principaux (VII)
Syndrome de Guillain-Barré (SGB)
Caractéristiques des séjours hospitaliers avec diagnostic de SGB
Total
(N=40)
Non-exposées
(n=21)
Exposées
(N=19)
Durée du séjour, en jours
Moyenne (SD) 17.8 (14.3) 16.3 (8.8) 19.5 (11.1)
Actes, n (%)
Nutrition entérale/parentérale 13 (32.5) 7 (33.3) 6 (31.6)
Ventilation mécanique 6 (15.0) 3 (14.3) 3 (15.8)
Intubation 5 (12.5) 2 (9.5) 3 (15.8)
24. 24ANSM
Résultats principaux (VIII)
Syndrome de Guillain-Barré (SGB)
Nombre de cas attribuables, sous l’hypothèse d’une relation causale
Non-exposées
n= 1 410 596
Exposées
n= 842 120
Analyse
multivariée Fraction
étiologique1
Cas attribuables2
P-A N P-A N HR IC inf IC sup
pour
842 120
pour
100 000
Analyse
principale
4 746 753 21 1 393 228 19 3.96 1.82 8.61 0.75 15 1.8
Fenêtre
0-2 mois
4 746 753 21 320 890 6 5.35 2.01 14.27 0.81 5 0.6
1Fraction étiologique (FE) = (HR-1)/HR
2Cas attribuables = nb cas exposés x FE
25. 25ANSM
Résultats principaux (IX)
SGB: Mise en perspective avec les données de la littérature
Taux d’incidence de SGB observé chez non exposées (0,4/100 000)
cohérent avec les données d’incidence rapportées dans la littérature
parmi les jeunes filles de la même tranche d’âge
Vaccins autres que anti-HPV et risque de SGB
Cas isolés/séries de cas suite à l’administration de
Vaccins antirabique, antipoliomyélitique oral, rougeole-
oreillons-rubéole, tétanique, hépatite B.
Etudes épidémiologiques
Pas de lien documenté pour toutes ces vaccinations, à
l’exception de:
Vaccins contre la grippe saisonnière et grippe H1N1
(RR variant de 1,5 à 4,4)
26. 26ANSM
Résultats principaux (X)
SGB: Mise en perspective avec les données de la littérature
Vaccins anti-HPV et risque de SGB
Etudes sur données de notifications spontanées (base VAERS,
USA)
Résultats contradictoires
Etudes pharmaco-épidémiologiques
Pas d’association retrouvée
Mais résultats non contradictoires sur le plan statistique
car manque de puissance statistique
27. 27ANSM
Conclusion
Au total, résultats rassurants quant au risque de survenue de
maladies auto-immunes associé à la vaccination anti-HPV
Probable augmentation de risque de syndrome de Guillain-
Barré après vaccination anti-HPV
Mais conséquences limitées compte tenu de la rareté de
cette pathologie
28. Avertissement
• Lien d’intérêt : personnel salarié de l’ANSM (opérateur de l’Etat).
• La présente intervention s’inscrit dans un strict respect d’indépendance et
d’impartialité de l’ANSM vis-à-vis des autres intervenants.
• Toute utilisation du matériel présenté, doit être soumise à l'approbation préalable
de l’ANSM.
Warning
• Link of interest: employee of ANSM (State operator).
• This speech is made under strict compliance with the independence and
impartiality of ANSM as regards other speakers.
• Any further use of this material must be submitted to ANSM prior approval.