Les tests de dépistage rapide de l'Hépatite C : Quel impact sur la prise en charge de nos patients ? Conférence du Dr. Pascal Mélin (Centre Hospitalier de Saint-Dizier, France)
Présentation du Dr. Revault, médecin Coordinateur du COMEDE au Staff d'Hépatologie (CHU Paul-Brousse, Villejuif, France) - 25 fev 2015.
1. Présentation du Comité pour la santé des exilés
2. Principales caractéristiques des populations accompagnées et soignées
3. Difficultés d'accès aux soins, dispositifs de couverture maladie et droit au séjour pour raison médicale
Conférence du Pr. Dominique Thabut (Hopital Pitié-Salpétrière, Paris, France), Juin 2014. Prise en charge de l'hémorragie liée à l'hypertension portale chez le patient cirrhotique.
Les tests de dépistage rapide de l'Hépatite C : Quel impact sur la prise en charge de nos patients ? Conférence du Dr. Pascal Mélin (Centre Hospitalier de Saint-Dizier, France)
Présentation du Dr. Revault, médecin Coordinateur du COMEDE au Staff d'Hépatologie (CHU Paul-Brousse, Villejuif, France) - 25 fev 2015.
1. Présentation du Comité pour la santé des exilés
2. Principales caractéristiques des populations accompagnées et soignées
3. Difficultés d'accès aux soins, dispositifs de couverture maladie et droit au séjour pour raison médicale
Conférence du Pr. Dominique Thabut (Hopital Pitié-Salpétrière, Paris, France), Juin 2014. Prise en charge de l'hémorragie liée à l'hypertension portale chez le patient cirrhotique.
Conférence du Pr. Vincent Leroy (Hôpital Universitaire de Grenoble, France), Juin 2014. Prise en charge de l'Hépatite C à l'aide des nouveaux antiviraux Sofosbuvir, Daclatasvir, Siméprévir, en combinaison ou non avec l'Interféron pégylé et la Ribavirine.
Recherche en médecine générale surmédicalisation, surdiagnostics, surtraite...Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°9" Juillet 2014
Le risque de surdiagnostics, alias diagnostics par excès est un élément à prendre en compte dans la prise en charge des patients pour leur éviter des surtraitements, alias traitements par excès. Le surdiagnostic peut se définir comme la transformation en pathologie de phénomènes biologiques, ou la découverte d’anomalies d’imagerie qui sont sans implications délétères pour la santé des individus. La conséquence en est la prescription de traitements inadaptés ou inutiles avec des conséquences néfastes pour la santé individuelle et la santé publique.
Ce dysfonctionnement de la médecine constitue la surmédicalisation. Elle consiste à fabriquer des pathologies à partir de phénomènes sociaux, psychologiques, ou d’anomalies issues du champ de la biologie ou de l’imagerie médicale. Elle se manifeste de façon protéiforme et est associée à plusieurs phénomènes qui contribuent à la provoquer et la développer. Elle est intimement liée au développement des dépistages, des notions de facteurs de risque, du façonnage des maladies, de la manipulation des normes biologiques.
La croyance en l’efficacité générale des dépistages des cancers et des maladies chroniques est mise à mal quand on analyse les données issues de la littérature scientifique quand elle n’est pas biaisée par des conflits d’intérêt.
reseauprosante.fr
Réunion des Infirmières - JCHB 2020
Dépistage des patients pour le VHC par buvards : une approche infirmière - L'amélioration du parcours de soins Intra et extra-muros (Partie 2) - Anna ROQUES AFONSO
Jeudi 30 janvier 2020
Réunion des Infirmières - JCHB 2020
Dépistage des patients pour le VHC par buvards : une approche infirmière - l'hépatite C ou comment s'en débarasser...(Partie 1) Anna ROQUES AFONSO
Jeudi 30 janvier 2020
Réunion des infirmières - JCHB 2020
Multidisciplinarité dépistage rapide du VHC en hépatologie - Le dépistage infirmier en addictologie, à Paul Brousse
Jeudi 30 janvier 2020
Conférence du Professeur Didier Samuel (Hépatologue, Hôpital Paul Brousse, France). Stratégie thérapeutique pour l'élimination de l'antigène HBs (AgHBs) chez les patients porteurs d'une hépatite B chronique.
Conférence du Prof. Gilles Pelletier présentant les règles d'attribution des greffons hépatiques pour les patients souffrant d'un cancer primaire du foie (CHC). Conférence donnée en juin 2014. France.
Nouveauté en hépatologie / Hépatologie virale C et non virale
Dr Rodolphe Sobesky
Les journées du Centre Hépato-Biliaire - JCHB 2019
Journées de l'hépatologie
RV de l'hôtellerie - novembre 2013 : Respect de l'environnement et maîtrise d...CCI Alsace Eurométropole
CCI de Strasbourg et du Bas-Rhin
Présentation faite par l'ADEME dans le cadre des Rendez-vous de l'Hôtellerie-Restauration
Respect de l'environnement et maîtrise des coûts
4 novembre 2013
Conférence du Pr. Vincent Leroy (Hôpital Universitaire de Grenoble, France), Juin 2014. Prise en charge de l'Hépatite C à l'aide des nouveaux antiviraux Sofosbuvir, Daclatasvir, Siméprévir, en combinaison ou non avec l'Interféron pégylé et la Ribavirine.
Recherche en médecine générale surmédicalisation, surdiagnostics, surtraite...Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°9" Juillet 2014
Le risque de surdiagnostics, alias diagnostics par excès est un élément à prendre en compte dans la prise en charge des patients pour leur éviter des surtraitements, alias traitements par excès. Le surdiagnostic peut se définir comme la transformation en pathologie de phénomènes biologiques, ou la découverte d’anomalies d’imagerie qui sont sans implications délétères pour la santé des individus. La conséquence en est la prescription de traitements inadaptés ou inutiles avec des conséquences néfastes pour la santé individuelle et la santé publique.
Ce dysfonctionnement de la médecine constitue la surmédicalisation. Elle consiste à fabriquer des pathologies à partir de phénomènes sociaux, psychologiques, ou d’anomalies issues du champ de la biologie ou de l’imagerie médicale. Elle se manifeste de façon protéiforme et est associée à plusieurs phénomènes qui contribuent à la provoquer et la développer. Elle est intimement liée au développement des dépistages, des notions de facteurs de risque, du façonnage des maladies, de la manipulation des normes biologiques.
La croyance en l’efficacité générale des dépistages des cancers et des maladies chroniques est mise à mal quand on analyse les données issues de la littérature scientifique quand elle n’est pas biaisée par des conflits d’intérêt.
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Respect de l'environnement et maîtrise des coûts
4 novembre 2013
Rencontres Numériques 2013 : L’Arrêt Minute, espace de coworking ruralantic Pays basque
Télécentres, espace de coworking, Cantines, bureaux d'affaires, FAB LAB, pépinières, club affaires, etc. sont autant d'appellations désignant différents sortes d'espaces de travail partagés et mutualisés. Toutefois, ils proposent des services, des objectifs et des fonctionnements très différents les uns des autres.
Afin de mieux comprendre leurs positionnements, l'antic Pays basque a invité plusieurs gestionnaires représentant chacune de ces catégories de tiers lieux en Aquitaine à détailler leurs visions du travail collaboratif.
Ici, l'exemple de l'Arrêt Minute de Pomerol.
Le consommateur augmenté - le fil - mars 2012Kiss The Bride
support de vulgarisation sur le digital marketing - mars 2012. Pour une présentation commentée, contactez : Bertrand Espitalier, planning stratégique - 01 72 71 64 36 - bespitalier@le-fil.fr
Casablanca 2010 : Le traitement ARV en tant que préventionVih.org
Présentation de Bernard Hirschel, Unité VIH/sida, Hôpitaux Universitaires de Genève, Genève, Suisse, pour la conférence francophone de Casablanca 2010.
Intervention du médecin Laurent Abramowitz, proctologue, service d'hépato-gastro-entérologie à l'hôpital Bichat lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Vaccination contre les infections HPV - Couverture vaccinale en Franc, impact...CripsIDF
Intervention du médecin Isabelle Parent du Châtelet, épidémiologiste à l'INVS lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Le traitement en primo-infection à VIH - Christine Rouzioux - Rencontre du Cr...Vih.org
Traitement en Primo-infection à VIH: Intérêt individuel et/ou collectif ?, par Pr Christine Rouzioux, Virologie, CHU Necker, EA 3620, Université Paris Descartes, Paris (France)
Cette présentation a eu lieu dans le cadre de la Rencontre du Crips, organisée avec Vih.org : «La primo-infection VIH: Actualités 2009 et impact sur la prévention»
Comment diagnostiquer et prendre en charge le SCA sans sus-décalage du segment ST chez la personne âgée. Cours du Diplôme Universitaire de Médecine d'Urgence de la Personne âgée (MUPA).
Résumé de l'évaluation / action de "Tony jeune gay"CripsIDF
"Tony jeune gay" est un projet de prévention numérique en direction des jeunes HSH franciliens de 18 à 25 ans. Ce programme a été évalué pendant deux ans. Voici la synthèse d'évaluation de cette action.
"Tony jeune gay" est un projet de prévention numérique en direction des jeunes HSH franciliens de 18 à 25 ans. Ce programme a été évalué pendant deux ans. Voici le rapport d'évaluation.
Vaccins anti-HPV et risques de maladies auto-immunesCripsIDF
Intervention du médecin Rosemary Dray Spira, épidémiologiste, chef du pôle épidémiologie des produits, ANSM ors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Intervention du professeur Isabelle Heard, gynécologue-obstrétricienne, Centre national de référence du papillomavirus à l'Institut Pasteur lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Le point de vue des habitants concernés par la proximité avec des structures ...CripsIDF
Intervention de Didier Vincent, chargé des thèmes salle de conso, toxicomanie et RdR, Association Action Barbès, lors de la 90ème rencontre du Crips Île-de-France sur "Réduction des risques : regards critiques et perspectives"
Comment et pourquoi acompagner l'injectionCripsIDF
Intervention de Marie Debrus, présidente de l'AFR, lors de la 90ème rencontre du Crips Île-de-France sur "Réduction des risques : regards critiques et perspectives"
Les dimensions de la précarité dans anrs vespa2 9 décembreCripsIDF
Intervention de France LERT, directrice, Inserm - Centre Epidémiologie et Santé des Populations, lors de la 89ème rencontre du Crips Ile-de-France sur le "VIH et grande précarité ou en sommes-nous ?".
De l’accompagnement social à l’accompagnement global de pvvihCripsIDF
Intervention de Grégory LAGRANGE,
Chef de service Pôle accompagnement ARCAT lors de la 89ème rencontre du Crips Ile-de-France "VIH et grande précarité: ou en sommes-nous".
Les nouveaux traitements : le point de vue des patients, la démarche de soins...
Le TasP chez les usagers de drogue
1. Tasp, TisP or TisT
du VIH au VHC ?
15 Avril 2013
86éme Rencontre du CRIPS Idf
Pr Gilles PIALOUX
APHP, Hôpital Tenon
Vice Président SFLS
www.vih.org
2.
3. En 2013
ce que l’on sait
du Tasp VIH
Cohortes observationnelles
Meta-analyses : Attia,
Baggaley
Modé lisations
Expé riences Test an Treat
4. CONFIDENTIAL – NOT FOR EXTERNAL USE 4
Efficacy of HIV Prevention Strategies
From Randomized Clinical Trials
Abdool Karim SS, et al. Lancet. 2011Abdool Karim SS, et al. Lancet. 2011
10010000 2020 4040 6060 8080
Efficacy (%)Efficacy (%)
StudyStudy Effect Size, % (95% CI)Effect Size, % (95% CI)
TasP; HPTN 052, Africa,TasP; HPTN 052, Africa,
Asia, AmericasAsia, Americas
PrEP for discordant couples;PrEP for discordant couples;
Partners PrEPPartners PrEP, Uganda, Kenya, Uganda, Kenya
PrEP for heterosexual men andPrEP for heterosexual men and
women;women; TDF2TDF2, Botswana, Botswana
Medical male circumcisionMedical male circumcision;;
Orange Farm, Rakai, KisumuOrange Farm, Rakai, Kisumu
PrEP for MSMs;PrEP for MSMs; iPrEXiPrEX, Americas,, Americas,
Thailand, South AfricaThailand, South Africa
Sexually transmitted diseasesSexually transmitted diseases
treatment; Mwanza, Tanzaniatreatment; Mwanza, Tanzania
Microbicide;Microbicide;
CAPRISA 004CAPRISA 004, South Africa, South Africa
HIV vaccine;HIV vaccine;
RV144, ThailandRV144, Thailand
96 (73-99)96 (73-99)
73 (49-85)73 (49-85)
54 (38-66)54 (38-66)
44 (15-63)44 (15-63)
42 (21-58)42 (21-58)
39 (6-60)39 (6-60)
31 (1-51)31 (1-51)
PreservatifPreservatif
(Cochrane)(Cochrane)
80 %80 %
(…)(…)
5. HIV (hetero)sexual transmissibility
meta-analysis
Attia S, et al.AIDS 2009 Jul 17;23(11):1397-404.
Compatible avec une réduction de risques de transmissCompatible avec une réduction de risques de transmiss
en dessous de 400 copies/ml de 0,16 [ IC 95% : 0,02-1en dessous de 400 copies/ml de 0,16 [ IC 95% : 0,02-1
Compatible avec une réduction de risques de transmissCompatible avec une réduction de risques de transmiss
en dessous de 400 copies/ml de 0,16 [ IC 95% : 0,02-1en dessous de 400 copies/ml de 0,16 [ IC 95% : 0,02-1
6. • 50 publications.50 publications.
• Nine allowed comparison betweenNine allowed comparison between
ART and non-ART users withinART and non-ART users within
studies (ART-stratified studies).studies (ART-stratified studies).
• incidence rates were 3.6/100 person-incidence rates were 3.6/100 person-
years (95% confidence interval = 2.0-years (95% confidence interval = 2.0-
6.5) and 0.2/100 person-years (0.07-6.5) and 0.2/100 person-years (0.07-
0.7) for non-ART- and ART-using0.7) for non-ART- and ART-using
couples, respectively (P < 0.001),couples, respectively (P < 0.001),
constituting aconstituting a 91% (79-96%)
reduction in per-partner HIV-1
7. Updated from Montaner et al, Lancet 2010
Association between HAART Expansion and
HIV New Diagnoses
British Columbia, 1996 - 2011
Patients Currently on HAART
New HIV Diagnoses
New HIV Diagnoses - IDU
8. Moupali D et al. (2010). PLOS One 5 (4): e11068
“Success” in San Francisco
Community Viral Load, Haart and HIV Incidence
Jonathan Mermin -High Impact Prevention in Practice
9. HR = 96.3% reduction in
transmission
No difference whether index
pt was M or F
Deferred
Immediate
%
HPTN 052: Immediate vs Delayed ART
in Sero-discordant Couples
Cohen MS, et al. IAS 2011. Abst MOAX0102
Cohen MS, et al. N Engl J Med. 2011
10. CONFIDENTIAL – NOT FOR EXTERNAL USE 10
Immediate Delayed
Total (N=129) 53 76
Tuberculosis 17 33
Severe bacterial infection 16 11
Death 10 13
Chronic herpes simplex 3 7
Bacterial pneumonia
(recurrent)
2 2
Oesophageal candidiasis 2 2
Cervical carcinoma 0 2
Kaposi’s sarcoma 1 1
Wasting syndrome 0 2* Extrapulmonary crypto, HIV-related encephalopathy, lymphoma, PCP, septicemia (recurrent)
17 subjects experienced >1 primary clinical event
All Primary Clinical Events (N = 129)
CONFIDENTIAL – NOT FOR EXTERNAL USE 10
Grinsztejn, B et al. 6th
IAS Conf. MOAX0105.
… et en plus
le traitement
précoce diminue
la morbidité
… et en plus
le traitement
précoce diminue
la morbidité
12. Ce que l’on ne sait
pas
Doute sur la CV communautaire
Quelle acceptabilité PVD ? UD ?
Scaling-up du TasP : comment payer ?
Quid chez les HSH ?
Poids des Pi et des D tardifs VIH &
VHC
Pré vention combiné e et coût-é fficacité
14. Étude de J.S. Montaner et al.
Test and treat et UD (1)
Montaner JS et al. Lancet 2010;376:532-9.
15. Résultats
Étude de J.S. Montaner et al. (2)
Montaner JS et al. Lancet 2010;376:532-9.
p : nombre total de diagnostics VIH reportés comparé au nombre total des diagnostics VIH attendus à la fin de chaque phase.
16. Étude de J.S. Montaner et al. (3)
Charge virale de tous les patients testés
Résultats
« Censurée » au moment du décès ou du changement« Censurée » au moment du décès ou du changement
Montaner JS et al. Lancet 2010;376:532-9.
17. Résultats
Pour 1 log10 de décroissance de l’ARN VIH-1,
les cas de VIH ont diminué
de 0,86 (IC95 : 0,75-0,98)
La corrélation entre le nombre de patients
sous HAART et le nombre de nouveaux
diagnostics VIH par an est de – 0,89 (p <
0,0001)
Pour 100 nouveaux cas de patients mis sous
HAART, le nombre de nouveaux diagnostics
baisse d’un facteur 0,97 (IC95 :0,96-0,98)
Montaner JS et al. Lancet 2010;376:532-9.
Étude de J.S. Montaner et al.
Test and treat et UD
20. Beaucoup de variables à rentrer
dans le modèle retenu
Données démographiques : taille de la
population, disponibilité des drogues…
Pratiques de consommation et
comportements à risques…
Offre de RDR : TSO, PES…
Histoire naturelle : Nbre d’aigus, passage
au chronique, taux de réinfection, taux de
co-infection, taux de RVS …etc
Pourcentage de personnes traitées
21.
22.
23.
24. Beaucoup de questions
Quel impact des PES sur la Prévalence (et
l’incidence) ?
Quel impact des TSO sur la Prévalence (et
l’incidence) ?
Quel impact de l’augmentation d’offre de
traitement anti-vhc sur la Prévalence (et
l’incidence) ?
Y aura-t-il un effet attractif des nvx tt anti
VHC ?
Tout cela peut-il être coût-éfficace et si oui
ou et pour qui ? (>> YY)
30. Diminuer la transmission du VIH et du
VHC ?
(Tasp, CVC)
Adapté du rapport Lert-Pialoux, ministère de la Santé et des Sports (2009-2010).
Dépister !
VIH+
Comportements
de RDR et de RDRs
VIH et VHC
Accroî tre
l’accè s aux
tests
Prévention
positive
Accès aux soins
Mise sous ARV +/-
PegRiba
plus précoce
Maintien
du contrôle viral
VIH & VHC
Plus de HAART
>Traiter encore
plus tô t
Aide
à l’observance
+ interactions !
Accroî tre
l’accè s aux
soins
Le concept du Test and Treat VIH
adapté aux SUMSM ? *
* VIH, VHC ?, IST ?* VIH, VHC ?, IST ?
??
VIH Neg : condom,
ECIMUD, RDRs,
Prep intermittente,
Pep,
31. Le concept « test & treat » et le
VHC
Plus compliqué que pour le VIH : pas de données,
manque de modèle animal, transmission sexuelle faible
sauf HSHRHI…,
La RDR chez les UD a produit des résultats pour le VIH
mais a atteint ses limites (incidence encore forte cf
Invs, moindre pour le VHC) >>> développer d’autres
modèles de prévention;
RVS = guérison (sauf rec) >>> TasP VHC
«facilement » coût-efficace ?
Problème de population des UD non «captive» à la
différence de Vancouver
Besoin de modélisations «made in France »…
Modèle VHC chez UD/Peg Riba+/-IP à tt plus courts,
terrain de recherche propice pour le TasP VHC
This 2009 meta-analysis on 11 cohorts and 5021 heterosexual couples concluded that there was zero risk of sexual transmission while on ART with HIV-1 RNA below 400 copies with an upper confidence limit of 1.27 per 100 years.
17 subjects experience >1 clinical event - 8 immediate arm (5 had 2 events, 1 had 3 events, and 2 had 4 events) of which 2 had a clinical event followed by death - 9 delayed arm (7 had 2 events, 2 had 3 events) of which 4 had a clinical event followed by death
Étude de J.S. Montaner sur une population de Colombie-Britannique avec une majorité d’usagers de drogues qui montre la corrélation entre le niveau de la couverture antirétrovirale, celui de la charge virale communautaire et du nombre de nouveaux diagnostics de VIH.
Nouveaux diagnostics VIH par an en Colombie-Britannique durant les 3 périodes d’étude (1996-2009), en comparant le nombre de nouveaux diagnostics reportés et le nombre de nouveaux diagnostics attendus.
Charge virale de tous les patients testés par période d’étude (par strates de charge virale).
Bien sûr, prises ensemble, les données disponibles suggèrent fortement que la charge virale communautaire est un élément clé qui influe sur les nouveaux cas d’infection à VIH et peut être utilisé avec succès par des recommandations médicales visant à accroître la couverture antirétrovirale. Nos résultats fournissent un rationnel fort pour la refonte de la dichotomie entre prévention et traitement. Par ailleurs, nos résultats devraient favoriser la réactivation de l’accès universel aux ARV au sein du G8 dans le but de diminuer les effets du sida et le cours de la pandémie à VIH.
Outre les outils de réduction des risques sexuels (RDRs), concept à confirmer, le principe du Test and Treat consiste à augmenter l’accès au dépistage et à la prévention positive pour les personnes nouvellement dépistées (avec une approche combinée de la RDRs), à augmenter l’accès aux soins, avec plus de mises sous traitement ARV comme c’est le cas dans le rapport Yéni 2010, et enfin à augmenter le niveau d’observance et le niveau de maintien en population d’un contrôle de virémie VIH dans le but global de diminuer l’incidence du VIH.