Présentation du Dr. Revault, médecin Coordinateur du COMEDE au Staff d'Hépatologie (CHU Paul-Brousse, Villejuif, France) - 25 fev 2015.
1. Présentation du Comité pour la santé des exilés
2. Principales caractéristiques des populations accompagnées et soignées
3. Difficultés d'accès aux soins, dispositifs de couverture maladie et droit au séjour pour raison médicale
Présentation du Dr. Revault, médecin Coordinateur du COMEDE au Staff d'Hépatologie (CHU Paul-Brousse, Villejuif, France) - 25 fev 2015.
1. Présentation du Comité pour la santé des exilés
2. Principales caractéristiques des populations accompagnées et soignées
3. Difficultés d'accès aux soins, dispositifs de couverture maladie et droit au séjour pour raison médicale
Les tests de dépistage rapide de l'Hépatite C : Quel impact sur la prise en charge de nos patients ? Conférence du Dr. Pascal Mélin (Centre Hospitalier de Saint-Dizier, France)
Une expérience de formation sur la motivation dans le cours Projet intégrateur
Communication présentée dans le cadre du congrès de l'ACFAS 2011 par Chantal Rioux et Nicole Gagnon
Les tests de dépistage rapide de l'Hépatite C : Quel impact sur la prise en charge de nos patients ? Conférence du Dr. Pascal Mélin (Centre Hospitalier de Saint-Dizier, France)
Une expérience de formation sur la motivation dans le cours Projet intégrateur
Communication présentée dans le cadre du congrès de l'ACFAS 2011 par Chantal Rioux et Nicole Gagnon
LA DROGUE DANS NOTRE SOCIÉTÉ - CE QUE VOUS NE SAVEZ PAS POURRAIT VOUS TUER
http://nonaladrogue- auvergne.blogspot.fr/
http://fr.drugfreeworld.org
La drogue fait partie de notre culture depuis quelques dizaines d’années. Popularisée dans les années 1960 par la musique pop et les médias, elle a envahi tous les aspects de la société.
On estime qu’environ 208 millions de personnes dans le monde consomment des drogues illégales. En France, l’Enquête sur la Santé et les Consommations lors de l’Appel de Préparation à la Défense (ESCAPAD) de 2005 a révélé que 13,5 millions de personnes (29 % de la population entre 12 et 75 ans) prenaient des drogues illégales. Un sondage effectué au Québec, Canada, en 2006 a révélé que 30 % des lycéens se droguaient.
Vous connaissez probablement quelqu’un qui est concerné, directement ou indirectement, par un problème de drogue.
La drogue la plus courante en France — et la plus consommée — est l’alcool. Les accidents de la route dus à l’alcool sont la première cause de mortalité chez les adolescents en France.
La drogue illégale la plus courante est le cannabis. D’après le rapport 2008 des Nations Unies sur la drogue au niveau planétaire, environ 3,9 % de la population mondiale entre 15 et 64 ans consomment du cannabis.
Aujourd’hui, les jeunes sont exposés de plus en plus tôt à la drogue. Selon un sondage mené par la LMDE (La Mutuelle Des Étudiants, une assurance maladie pour étudiants), près de 40 % des étudiants français s’étaient drogués au moins une fois.
En Europe, des études récentes effectuées sur les jeunes de 15 et 16 ans indiquent que la consommation de cannabis varie de moins de 10 % à plus de 40 %, avec les pourcentages les plus élevés chez les adolescents en République tchèque (44 %) suivis par l’Irlande (39 %), le Royaume-Uni (38 %) et la France (38 %). En Espagne et au Royaume-Uni, la consommation de cocaïne par des jeunes de 15 et 16 ans varie entre 4 % et 6 %. La consommation de cocaïne parmi les jeunes a augmenté au Danemark, en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni, en Norvège et en France
À LA DÉCOUVERTE DES MÉDIAS SOCIAUX
Introduction et cartographie
NAVIGUER DANS LE CHAOS
Une étude sur les médias sociaux
LES MÉDIAS SOCIAUX SANS SE BRÛLER
Bâtir votre stratégie
(Support de mon atelier donné lors des Agile Tours Montpellier et Sophia-Antipolis 2015)
On ne peut pas parler bonheur au travail sans parler motivation. Mais de quoi parle-t-on exactement ?
A travers un atelier ludique et interactif, venez découvrir vos facteurs de motivation personnels.
Vous repartirez avec une meilleure connaissance de vous-même, et si vous avez un rôle de management avec des techniques pour mieux comprendre les facteurs de motivation de vos collaborateurs.
Facebook un danger pour les marques ( Suisse )Net Design
Mesurer les enjeux de votre présence sur Facebook. Déjouer les pièges d’une présence non maîtrisée sur les réseaux sociaux. Découvrez comment protéger votre marque : e-réputation, paramétrage, indicateurs de suivi …
Chiffres clés web et réseaux sociaux en Tunisie et en Afrique janvier 2017MEDIANET
Etude des sites web tunisiens (démographie, qualité de visite, horaire de connexion, etc. ) ainsi que des chiffres clés des réseaux sociaux (facebook, instagram et linkedIn) janvier 2017
Dans le cadre d'une recherche sur le recrutement, son importance et ses étapes dans les entreprises, notamment hôtelières, nous avons effectué une présentation, qui a traité ce sujet, et a fait une comparaison du recrutement dans deux hôtels à Tanger de catégorie différente.
Hépastat : Etude des caractéristiques de la population d’hépatiques traités ...ghassan El malki
étude de 143 cas de patients marocains traités par bithérapie (interferon alpha2a+Ribavirine 200 mg) entre 2011 et 2012, suivis pendant une période de 18 mois incluant la durée du traitement.
RESULTATS DE LA THYROIDECTOMIE TOTALE POUR GOITRE BASEDOWIFIE, A PROPOS DE 25...Sargata SIN
RESULTATS DE LA THYROIDECTOMIE TOTALE POUR GOITRE BASEDOWIFIE, A PROPOS DE 25 CAS, A L’HOPITAL PREAH KOSSAMAK, PHNOM PENH, PENDANT TROIS ANS (2005-2007)
Fer et syndrome métabolique : faut-il s’en préoccuper, a-t-elle un impact, quelle
prise en charge ?
Pr Edouard Bardou-jacquet
Les journée journées du Centre Hépato-Biliaire - JCHB 2019
Journées de l'Hépatologie
Transsexuel(le)s : conditions et style de vie, santé perçue et comportements ...Santé des trans
Transsexuel(le)s : conditions et style de vie, sante perçue et comportements sexuels. Résultats d'une enquête exploratoire par Internet, 2007
Il s'agit de la publication, dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire en date du 1er juillet 2007, des résultats de l'enquête exploratoire menée par le CRIPS Île-de-France et Act Up-Paris avec le soutien de France Lert (Inserm) à l'occasion de la rencontre organisée en juin de la même année sur les enjeux de santé des personnes trans.
Biomarkers can provide non-invasive estimates of liver fibrosis to address the large number of undiagnosed cases. Liver biopsy has limitations as a gold standard due to sampling error and inter-observer variability. New methods show that biopsy has a "gray zone" for intermediate fibrosis stages, while biomarkers like FibroTest have a smaller gray zone and similar diagnostic accuracy to biopsy. Guidelines now recommend the use of validated biomarkers and elastography to diagnose liver fibrosis given biopsy's limitations.
This document discusses the long-term benefits of antiviral treatment for hepatitis B. It provides information on different phases of hepatitis B infection and when treatment is indicated. It also summarizes the approved antiviral drugs for treating chronic hepatitis B, including nucleoside analogs, nucleotide analogs, and cytokines. The document discusses the differences in lifecycles and mechanisms of HIV, HBV, and HCV. It then reviews the efficacy and resistance profiles of different antiviral drugs over time, highlighting the low resistance of tenofovir.
This document discusses treatment of hepatitis B and long-term benefits. It begins by outlining the different phases of hepatitis B infection and when treatment is indicated. The goals of treatment are virological suppression, normalization of liver enzymes, prevention of disease progression, and seroconversion from HBeAg to anti-HBe and from HBsAg to anti-HBs. Approved antiviral drugs for hepatitis B include lamivudine, entecavir, telbivudine, adefovir, tenofovir, interferon alfa, and pegylated interferon alfa-2a. Combination therapies and management of resistance are also discussed.
This document discusses hepatitis C recurrence after liver transplantation. It notes that hepatitis C recurrence is a major issue, accounting for two-thirds of graft loss. Five years post-transplant, 30% of patients have cirrhosis of the graft. The document examines factors that influence recurrence like fibrosis stage and viral load at one year post-transplant. It also discusses using antiviral treatment before and after transplant to improve outcomes.
This document discusses optimal strategies for preventing hepatitis B virus (HBV) recurrence after liver transplantation. It reviews evidence that combination prophylaxis with hepatitis B immunoglobulin (HBIG) and nucleoside/nucleotide analogues (NUCs) is most effective at preventing early HBV reinfection. For long-term prophylaxis, low-dose HBIG or HBIG discontinuation combined with lifelong NUC therapy may be sufficient for patients at low risk of recurrence. Factors such as HBV DNA level pre-transplant, hepatocellular carcinoma, and HBV/HIV coinfection increase risk of recurrence and require continued HBIG plus NUC prophylaxis.
The document discusses hepatitis C virus (HCV) resistance to direct-acting antiviral (DAA) drugs. It finds that:
1) Baseline resistance-associated variants (RAVs) were detected in 15-27% of treatment-naive genotype 1 patients by deep sequencing, with higher prevalences in some regions.
2) The presence of certain RAVs at baseline was associated with reduced sustained virologic response (SVR) rates to some DAA regimens, particularly for NS5A inhibitors.
3) However, most patients with baseline RAVs still achieved SVR when treated with optimized, interferon-free combinations with or without ribavirin extension.
5. Épidémiologie VHC en France Roudot-Thoraval F et al. Hépato-Gastro 1999; 6: 101-06.
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7. (Mé)Connaissance du statut sérologique Stein et al. Drug and alcohol dependance 2001. Déclaration Négatif Positif Total N Non fait inconnu 18% 82% 62 Négatif 33% 67% 45 Positif 2% 98% 104 Total 13% 87% 211
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12. Durée de l’infection en années VHC + Alcool v = 0.5 ± 0.13 U/an VHC seul v = 0.3 ± 0.07 U/an 5 10 15 20 30 0 1 4 3 2 Grade de fibrose VIH + VHC + Alcool Alcool & VHC Vitesse de progression accrue de la fibrose Wiley TE et al. Hepatology 1998; 28: 805-09.
13. Lésions hépatiques chez les UD Rhoudot-Thoraval et al. Hepatology 1997. Chossegros et al. THS 2003. Moussalli et al. AFEF 2005. Gournot et al. GCB 2004. F0-F1 F2 F3-F4 45 % 40 % 15 % Age = 30 32 % 38 % 30 % Age = 35 36 % 30 % 34 % Age = 40 59 % 17 % 25 % Age =32
23. Dépistage de l’hépatite C dans les CSAPA en 2007 343 patients suivis régulièrement dans le CSAPA (moyenne )* 36% des patients suivis ont bénéficié d’un dépistage de l’hépatite C* *% évalués sur la base de 33 répondants
36. Résultats Groupe 1 n = 113 Groupe 2 n = 224 Fibrotest Actitest Age moyen 37 40 Genotype 2 ou 3 49% 46% Drogue 69 (61%) 38 (18%) p < 0.001 Alcool 45 (40%) 83 (38%) NS Substitution 62 (55%) 169 (76%) p < 0.001 PBH 4 (2002) 2 (2002) NS Traitement 2 (2%) (2002) 85 (38%) (2003-2004) p < 0.001
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40.
41. COMMENT AMELIORER LA PRISE EN CHARGE DES PATIENTS VHC Pourriez-vous classer, de la mesure qui vous paraît favoriser le plus la prise en charge à celle qui la favorise le moins ?
42.
43. Résultats MARMOTTAN, Paris Factors improving management of hepatitis C in drug user. An experience in a drug addict’s centre. Moussalli J et al. Journal of Hepatology 2007; 46: S211.)
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47. Résultats NS 80% 62 (73%) Substitution NS 14% 20 (23%) Drogue NS 35% 37 (44%) Alcool NS 77% 88% logement P < 0.001 0.39 0.62 Fibrose Non traités N = 139 Traités N = 85
52. Etape 1 : La création du lien Rencontre entre l’hépatologue et l’équipe du CSAPA Mise en place de la collaboration Elaboration et signature d’une FEUILLE DE ROUTE personnalisée pour les patients au sein du CSST Parcours HEP’TOX
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54. Etape 3 : Le Staff Réunions au CSST entre l’équipe du Centre et l’hépatologue référent autour des dossiers patients Parcours HEP’TOX
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61. « Un programme avec une dimension nationale » En 2008, 93 CSAPA partenaires HepatiteC’Toxicomanie en France