STRUCTURE GENERALE DES IMMUNOGLOBULINES. NOMENCLATURE.DUALITÉ STRUCTURALE qui explique sa DUALITÉ FONCTIONNELLE. Propriétés de l’IgE. LES DIFFERENTS NIVEAUX D'HETEROGENEITE DES IMMUNOGLOBULINES. RELATIONS ENTRE STRUCTURE ET ACTIVITE BIOLOGIQUE.GENES DES IMMUNOGLOBULINES. MÉCANISME DU "SWITCH" LA DIFFÉRENCIATION DES LYMPHOCYTES B. SELECTION DES LYMPHOCYTES B
TOLÉRANCE. LA PRODUCTION DES ANTICORPS LA RÉPONSE AUX ANTIGÈNES THYMODÉPENDANTS. L'aide des lymphocytesT CD4+Th2. LES ANTIGÈNES THYMOINDÉPENDANTS.
Toute situation clinique nécessitant de l’INVESTIGATION immunobiologique et/ou de
l’INTERVENTION thérapeutique sur le système immunitaire
Anticorps Cytotoxiques
Anticorps Non Cytotoxiques: Bloqueur ou Stimulateur
ANEMIE INDUITE DE MÉDICAMENTS
LE REJET HUMORALE
SYNDROME DE GOODPASTURE
MYASTHENIE GRAVIS
MALADIE DE GRAVES
NÉMIE PERNICIEUSE
TROUBLE DE LA FERTILITÉ
Test de Coombs
Alvéolite AAllergiquellergique EExogènexogène::
1. Le poumon de fermier
2. Les éleveurs d’oiseaux
MECHANISMES de l’HYPERSENSIBILITE TYPE III
Reaction Jarisch-Herxheimer
LUPUS ERYTHEMATOSUS SYSTEMIQUE (LES)
LA POLYARTHRITE RHUMATOÏDE
EXPLORATION de l’HYPERSENSIBILITE TYPE III
STRUCTURE GENERALE DES IMMUNOGLOBULINES. NOMENCLATURE.DUALITÉ STRUCTURALE qui explique sa DUALITÉ FONCTIONNELLE. Propriétés de l’IgE. LES DIFFERENTS NIVEAUX D'HETEROGENEITE DES IMMUNOGLOBULINES. RELATIONS ENTRE STRUCTURE ET ACTIVITE BIOLOGIQUE.GENES DES IMMUNOGLOBULINES. MÉCANISME DU "SWITCH" LA DIFFÉRENCIATION DES LYMPHOCYTES B. SELECTION DES LYMPHOCYTES B
TOLÉRANCE. LA PRODUCTION DES ANTICORPS LA RÉPONSE AUX ANTIGÈNES THYMODÉPENDANTS. L'aide des lymphocytesT CD4+Th2. LES ANTIGÈNES THYMOINDÉPENDANTS.
Toute situation clinique nécessitant de l’INVESTIGATION immunobiologique et/ou de
l’INTERVENTION thérapeutique sur le système immunitaire
Anticorps Cytotoxiques
Anticorps Non Cytotoxiques: Bloqueur ou Stimulateur
ANEMIE INDUITE DE MÉDICAMENTS
LE REJET HUMORALE
SYNDROME DE GOODPASTURE
MYASTHENIE GRAVIS
MALADIE DE GRAVES
NÉMIE PERNICIEUSE
TROUBLE DE LA FERTILITÉ
Test de Coombs
Alvéolite AAllergiquellergique EExogènexogène::
1. Le poumon de fermier
2. Les éleveurs d’oiseaux
MECHANISMES de l’HYPERSENSIBILITE TYPE III
Reaction Jarisch-Herxheimer
LUPUS ERYTHEMATOSUS SYSTEMIQUE (LES)
LA POLYARTHRITE RHUMATOÏDE
EXPLORATION de l’HYPERSENSIBILITE TYPE III
cette conférence de travaux pratique s'adresse aux étudiants graduant en sciences médicales , il aborde les aspects élémentaires de la pratique au laboratoire de microbiologie ainsi que des aspects relatifs au diagnostic microbiologique.
Les principales techniques sont les réactions de précipitation, les réactions d'agglutination et les réactions de neutralisation.
La plupart de ces techniques utilisent les propriétés des anticorps monoclonaux.
Leur affinité et leur spécificité de liaison à leur cible fait d'eux des outils incontournables de détection.
Ils permettent de déterminer la présence d'un épitope particulier dans un échantillon, permettant ainsi dans les techniques comme le western blot ou l'ELISA de détecter des protéines, ou des modifications particulières de protéine (phosphorylation, acétylation, etc.).
ce cours s'adresse aux étudiants graduant en médecine , en pharmacie et en médecine dentaire et apporte les lignes directrices en matière du pour quoi, quand et comment confirmer l'origine virale d'une infection.
n'oubliez pas d'aimer mes cours si vous trouvez qu'ils vous apportent un plus, soyez libre de laisser un commentaire , une question ou une remarque.
L'ECBU est un examen cytobactériologique des urines, qui permet de détecter la présence de bactéries et de cellules anormales dans les urines. C'est un examen de base couramment utilisé pour diagnostiquer les infections urinaires, qui sont des affections fréquentes touchant des millions de personnes chaque année. Les infections urinaires sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes et peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs, des brûlures et des envies fréquentes d'uriner. Si elles ne sont pas traitées, elles peuvent causer des complications graves telles que des infections rénales et des lésions rénales irréversibles.
Dans cet exposé, nous allons explorer les aspects cliniques, diagnostiques et thérapeutiques de l'ECBU pour la détection des infections urinaires.
Aspects cliniques
Les infections urinaires sont classées en deux types : les infections urinaires basses et les infections urinaires hautes. Les infections urinaires basses, également appelées cystites, affectent la vessie et l'urètre et peuvent être accompagnées de douleurs, de brûlures et d'une envie fréquente d'uriner. Les infections urinaires hautes, également appelées pyélonéphrites, affectent les reins et peuvent causer de la fièvre, des frissons et des douleurs dorsales.
Les infections urinaires peuvent être causées par différents types de bactéries, mais la bactérie Escherichia coli est le plus souvent impliquée dans les infections urinaires basses. Les infections urinaires hautes peuvent être causées par des bactéries telles que Proteus, Klebsiella et Pseudomonas.
Les facteurs de risque pour les infections urinaires comprennent le sexe féminin, les antécédents d'infections urinaires, la grossesse, le diabète, l'utilisation de cathéters urinaires, une obstruction urinaire et une faible immunité.
Diagnostic
L'ECBU est l'examen de choix pour diagnostiquer les infections urinaires. Il est important de prélever un échantillon d'urine avant le traitement antibiotique pour éviter les faux négatifs. Pour effectuer un ECBU, le patient doit fournir un échantillon d'urine propre et stérile dans un récipient spécifique fourni par le laboratoire. L'échantillon doit être prélevé en milieu de jet pour éviter les contaminants de la flore vaginale ou péri-anale.
Le laboratoire analyse l'échantillon d'urine en examinant le nombre de bactéries présentes et en les identifiant par culture bactérienne. Le laboratoire examine également la présence de cellules anormales telles que des globules rouges et des globules blancs.
En plus de l'ECBU, des examens complémentaires tels que l'échographie rénale, la tomodensitométrie et la cystoscopie peuvent être nécessaires pour diagnostiquer les infections urinaires hautes et les complications associées.
Traitement
Le traitement des infections urinaires dépend du type d'infection et de la gravité des symptômes. Les infections urinaires basses peuvent être traitées avec des antibiot
Le complément est un système de protéines, il est présent dans le sérum normal, en dehors de toute immunisation, il représente avec les Anti corps, l’élément essentiel du système humoral de la défense contre les agents infectieux.
Les mécanismes de la réponse immunitaire innée - Présentation de la 2e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - CHIM Pheaktra - INSTITUT PASTEUR de CAMBODGE 5, Bd MONIVONG, BP 983, Phnom Penh, Royaume du Cambodge - Technicien - pheaktra@pasteur-kh.org
Learning Objectives:
Explain the role of B cells (B Lymphocytes) in humoral immunity
Explain the roles of plasma cells and antibodies in the primary immune response
Explain the role of memory cells in the secondary immune response
Explain how antigenic variation affects the body's response to infection
Introduce medical students to human pathologies related to LB dysfunction
cette conférence de travaux pratique s'adresse aux étudiants graduant en sciences médicales , il aborde les aspects élémentaires de la pratique au laboratoire de microbiologie ainsi que des aspects relatifs au diagnostic microbiologique.
Les principales techniques sont les réactions de précipitation, les réactions d'agglutination et les réactions de neutralisation.
La plupart de ces techniques utilisent les propriétés des anticorps monoclonaux.
Leur affinité et leur spécificité de liaison à leur cible fait d'eux des outils incontournables de détection.
Ils permettent de déterminer la présence d'un épitope particulier dans un échantillon, permettant ainsi dans les techniques comme le western blot ou l'ELISA de détecter des protéines, ou des modifications particulières de protéine (phosphorylation, acétylation, etc.).
ce cours s'adresse aux étudiants graduant en médecine , en pharmacie et en médecine dentaire et apporte les lignes directrices en matière du pour quoi, quand et comment confirmer l'origine virale d'une infection.
n'oubliez pas d'aimer mes cours si vous trouvez qu'ils vous apportent un plus, soyez libre de laisser un commentaire , une question ou une remarque.
L'ECBU est un examen cytobactériologique des urines, qui permet de détecter la présence de bactéries et de cellules anormales dans les urines. C'est un examen de base couramment utilisé pour diagnostiquer les infections urinaires, qui sont des affections fréquentes touchant des millions de personnes chaque année. Les infections urinaires sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes et peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs, des brûlures et des envies fréquentes d'uriner. Si elles ne sont pas traitées, elles peuvent causer des complications graves telles que des infections rénales et des lésions rénales irréversibles.
Dans cet exposé, nous allons explorer les aspects cliniques, diagnostiques et thérapeutiques de l'ECBU pour la détection des infections urinaires.
Aspects cliniques
Les infections urinaires sont classées en deux types : les infections urinaires basses et les infections urinaires hautes. Les infections urinaires basses, également appelées cystites, affectent la vessie et l'urètre et peuvent être accompagnées de douleurs, de brûlures et d'une envie fréquente d'uriner. Les infections urinaires hautes, également appelées pyélonéphrites, affectent les reins et peuvent causer de la fièvre, des frissons et des douleurs dorsales.
Les infections urinaires peuvent être causées par différents types de bactéries, mais la bactérie Escherichia coli est le plus souvent impliquée dans les infections urinaires basses. Les infections urinaires hautes peuvent être causées par des bactéries telles que Proteus, Klebsiella et Pseudomonas.
Les facteurs de risque pour les infections urinaires comprennent le sexe féminin, les antécédents d'infections urinaires, la grossesse, le diabète, l'utilisation de cathéters urinaires, une obstruction urinaire et une faible immunité.
Diagnostic
L'ECBU est l'examen de choix pour diagnostiquer les infections urinaires. Il est important de prélever un échantillon d'urine avant le traitement antibiotique pour éviter les faux négatifs. Pour effectuer un ECBU, le patient doit fournir un échantillon d'urine propre et stérile dans un récipient spécifique fourni par le laboratoire. L'échantillon doit être prélevé en milieu de jet pour éviter les contaminants de la flore vaginale ou péri-anale.
Le laboratoire analyse l'échantillon d'urine en examinant le nombre de bactéries présentes et en les identifiant par culture bactérienne. Le laboratoire examine également la présence de cellules anormales telles que des globules rouges et des globules blancs.
En plus de l'ECBU, des examens complémentaires tels que l'échographie rénale, la tomodensitométrie et la cystoscopie peuvent être nécessaires pour diagnostiquer les infections urinaires hautes et les complications associées.
Traitement
Le traitement des infections urinaires dépend du type d'infection et de la gravité des symptômes. Les infections urinaires basses peuvent être traitées avec des antibiot
Le complément est un système de protéines, il est présent dans le sérum normal, en dehors de toute immunisation, il représente avec les Anti corps, l’élément essentiel du système humoral de la défense contre les agents infectieux.
Les mécanismes de la réponse immunitaire innée - Présentation de la 2e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - CHIM Pheaktra - INSTITUT PASTEUR de CAMBODGE 5, Bd MONIVONG, BP 983, Phnom Penh, Royaume du Cambodge - Technicien - pheaktra@pasteur-kh.org
Learning Objectives:
Explain the role of B cells (B Lymphocytes) in humoral immunity
Explain the roles of plasma cells and antibodies in the primary immune response
Explain the role of memory cells in the secondary immune response
Explain how antigenic variation affects the body's response to infection
Introduce medical students to human pathologies related to LB dysfunction
La réponse immunitaire cellulaire et les mesures in vitro - Présentation de la 5e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Hamma Ibrahim MAIGA - Chercheur - Université Faculté de Médecine,Malaria Research center - Bamako, Mali - hmaiga@MRTCBKO.org
Le déficit en C1q , Si le système du complément NE s’active PAS, Si le système du complément s’active TROP,Le déficit en premieres fractions activatrices (qui précedent la molécule C3), La prise en charge des déficits en protéines activatrices du complément , L’exploration du système du complément au laboratoire , angio-œdème récurrent en l'absence de réactions allergiques, Cas clinique
Docteur en physiologie de la nutrition, enseignant en BTS diététique, je vous invite ici à étudier les micro-organismes et leurs rôles dans les toxi-infections mais aussi les méthodes d'études.
Similaire à Production des anticorps monoclonaux (20)
2. Plan :
• 1- les anticorps monoclonaux : vue générale
• 2-la technique d’hybridation cellulaire
A- Matériel biologique utilisé dans la technique d’hybridation
cellulaire
B-Etapes pré-hybridation cellulaire
C- la technique d’hybridation cellulaire,proproment dit.
D- étapes post-hybridation
3. • Les Anticorps monoclonaux sont une population
homogène d’anticorps issus d’un «seul et
unique» clone de cellules B.
• Ils sont :
Spécifiques
on peut diriger
l’anticorps vers un
épitope donné de la
protéine
Affines
on peut créer des
anticorps
extrêmement
affines
Production
massive et
constante
de ces anticorps
4. Des cellules B
extraites des
organes
lymphatiques
secondaires
Des cellules
Myélomateu
ses
(immortelle
s)
polyéthylène
glycol (PEG)
Facteurs
de
croissance
SVF Milieu
HAT
Et autres
A- Matériel utilisé dans la technique d’hybridation cellulaire:
5. • Immunisation :
Les antigènes que l’on injecte à la souris pour créer
l’anticorps peuvent être des haptènes ou des protéines
porteuses.
Cette injection a pour effet de produire des plasmocytes
libérant des anticorps polyclonaux contre cet antigène
• Extraction des cellules B de la sourie
6. • Des partenaires de fusion:
Cellules B extraites d’organes lymphoïdes secondaires
(rate, ganglions)+ cellules myélomateuses ayant perdus
l’HGPRT ; Cette enzyme impliquée dans la synthèse des
nucléotides dans la voie de sauvetage
• Une méthode de fusion:
Nous allons utiliser soit la fusion chimique grâce à PEG
ou la Fusion physique qui se fait par électro fusion
7. • Sélection du milieu :
Nous devons sélectionner un milieu où l’on doit
retrouver du HAT (Hypoxanthine Aminopterine
Thymidine), des facteurs de croissance (IL6 b
mercaptoethanol), du sérum de veau fœtal, des
fibroblastes, sous atmosphère CO2 .
Dans ces conditions, seuls les hybridomes se
développent à hauteur de 1 x 105 cellules/ml
8. • Le clonage :
• Il peut se faire par 2 méthodes:
Soit dans l’Agarose où l’on visualise directement les
colonies cellulaires dans l’agar, que l’on remet en culture
après dilution
Soit par dilution limite où le clonage est réalisé
directement dans une plaque de microtitration.
9. • Production :
Production en grande quantité : production en batch ou
microencapsulation
• Production en micro particules: technique de capture des
hydridomes dans des billes d’alginate sans
contamination et avec une purification simplifiée
D- étapes post-hybridation