4. 1. INTRODUCTION
L’œil rouge et douloureux un motif de consultation fréquent
en ophtalmologie
Important de savoir différencier une pathologie bénigne,
d’une pathologie grave menaçant la fonction visuelle
De nombreuses maladies peuvent en être en cause
4
6. 1.1. DEFINITION
L’œil : organe de la vue, composé du globe oculaire et
de ses annexes ( selon Dictionnaire Medical ELSEVIER
MASSON).
Œil rouge: aspect rouge de l’œil traduisant la dilatation
ou la rupture des vaisseaux occulaires superficiels.
6
7. 1.2. INTERETS
Épidémiologique: motif fréquent de consultation en
ophtalmologie
Diagnostique: aisé basé sur la clinique
Pronostique: risque de cécité
Thérapeutique: PEC précoce, adéquate fonction de
étiologie
7
9. 1.4. RÔLES DU MEDECIN
Reconnaitre un œil rouge douloureux non traumatique
Reconnaitre les signes d’alarmes devant un œil rouge
douloureux
Rechercher étiologie
PEC correcte du patient
9
12. 2.2. DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
Avec quoi ne pas confondre un œil rouge douloureux
non traumatique
Avec traumatismes
• Brulures oculaires
• Contusions
• Corps étrangers intraoculaire
• Plaies pénétrantes ou perforantes
12
13. 2.2. DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
Sans traumatismes
• Hémorragies sous conjonctivale spontanée
• Conjonctivites Infectieuses ( bactérienne, virales, mycosiques)
• Non infectieuses ( allergique et associés a une affection cutanée)
• Hétérophorie mal compensée
• Vice de réfraction non corrigé
• Utilisation de la rifamycine collyre
13
15. 3.1. SIGNES DE GRAVITE
Baisse de acuité visuelle +++
Hypertonie oculaire+++
Douleur oculaire intense
Cercle périkératique
Hypopion
Hyphéma
15
16. 3.2. MISE EN CONDITION
Rassurer le patient
Supprimer les facteurs déclenchant si présent
Traitements symptomatiques
Traitements étiologiques
16
17. 3.2. MISE EN CONDITION
Devant l’association d’une hypertonie ≥ 40mmhg+dlr
oculaire+BAV penser a une crise aigue par fermeture
de l’angle iridocornéen
Ce qu’il faut faire:
• Hospitalisation dans une unité specialisé ophtamologie
• Administration de Timolol 0.5%, 01gouttes toutes les 30 min pour
un total de 02 dose
• Administration de pilocarpine 2 a 4%, toutes les 15min pour un total
de 02 doses
17
18. 3.2. MISE EN CONDITION
• Administration de brimonidine 0.15 ou 0.2%, 01gouttes toutes les
15min pour un total de 02 doses
• Administration de acétazolamide 500mg en per os initialement,
suivi de 250mg toutes les 06h
• Administration d’un agent osmotique, tel que glycérol par voie orale
1 mL/kg dilué avec une quantité égale d’eau froide, mannitol 1,0 à
1,5 mg/kg IV
18
20. 4.1. DEMARCHE ETIOLOGIQUE
Interrogatoire
Mode d’installation: récente ou ancienne, aigue ou
chronique, d’apparition brutale ou d’installation progressive
d’emblée ou avec un intervalle libre
Son caractère : uni ou bilatéral soit d’emblée ou avec un
intervalle libre
La douleur: son type (superficielles ou profonde), intensité,
irradiation
20
21. 4.1. DEMARCHE ETIOLOGIQUE
Rechercher une baisse visuel
Signes associés locorégional et généraux
Traitement antérieur
Antécédents ophtalmologiques et généraux
21
22. 4.1. DEMARCHE ETIOLOGIQUE
Acuité visuelle
Elle est mesurée de loin et de près, sans et avec correction
optique éventuelle
Examen clinique a la lampe a fente ou biomicroscopie
La conjonctive
• Bulbaire: sont examinés la topographie et aspect de la rougeur
oculaire: en nappe aspect hémorragique; diffuse; en secteur; autour
du limbe sclérocornéen
• Palpébral : papille, follicule
22
23. 4.1. DEMARCHE ETIOLOGIQUE
La cornée
• on apprécie sa transparence, sa sensibilité, la présence de dépôts
sur sa face postérieure
• Test a la Fluorescéine
- Une procédure diagnostique qui consiste à ajouter une solution de
fluorescéine dans les yeux du patient
- Détecter un défect de épithélium cornéen, d’évaluer la perméabilité des
voies lacrymales
23
24. 4.1. DEMARCHE ETIOLOGIQUE
La chambre antérieur
• Appréciation de la profondeur
• Recherche de signes inflammatoires: effet Tyndall, précipités
rétrocornéens
L’Iris et le Pupille
• Présence de synéchies irido-cristalliniènes
• Une atrophie irienne sectorielle
• Myosis relatif
• Semi-mydriase aréflectique
24
25. 4.1. DEMARCHE ETIOLOGIQUE
Mesure de la pression intraoculaire
• Recherche une hypotonie ou une hypertonie
Examen du Fond d’œil: ophtalmoscopie indirecte
Examen des autres appareils
25
27. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
Avec BAV
Glaucome aigue par fermeture de l’angle irido-cornéenne
• Une affection rare
• Pronostic sévère en absence de traitement
• Signes fonctionnels
- Douleur oculaire intense, profondes irradiant dans le territoire du trijumeau
27
28. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
• Examen a la LAF
- Pression intraoculaire élevée supérieur a 30mmhg (tonométrie)
- Hyperhémie conjonctivale
- Cercle périkératique + œdème de la cornée
- Pupille en semi mydriase aréflexique
- Chambre antérieure est de profondeur réduite
- Angle irido-cornéen étroit
Hyperhémie C. + aspect glauque de la
cornée
28
29. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
Kératites
Kératites aigues se manifestent par:
• Signes fonctionnels
- BAV importance variable suivant la localisation de l'atteinte cornéen par
rapport à l'axe Visuel
- Douleur oculaire, pouvant être intense a type de sensations de corps
étrangers, de piqûres, de déchirement, ou d'arrachement superficielle
29
30. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
- Larmoiement réflexe
- Photophobie parfois majeur
- Blépharospasme parfois difficile à réprimé
• Examen a la LAF
- Erosion ou ulcération de la cornée a type de perforation cornéenne
- Diminution de la transparence cornéen souvent situé en regard de
l'ulcération
- Cercle périkératique
- Chambre antérieur de profondeur et d'aspect normal
30
31. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
• Kératite infectieuse
- Kératite a adénovirus
Baisse d’acuité visuelle
Petite ulcération disséminées prenant la fluoroscéine
Opacités stromale antérieur
Évolution est le plus svt favorable
Kératite ponctué superficielle
31
32. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
• Kératite Herpétique
- Ulcération cornéen typique, de forme arborescente dite "en feuille de fougère" qui
correspond à ulcère herpétique dendritique.
32
33. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
• Kératite zosterienne
- A type de kératite superficielles dendritiformes, contemporaines de l’épisode
aigu du zona, directement liées a l’atteinte virale et répondant a son
traitement
- A type de neurotrophique plus a distance zostérienne
33
34. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
• Kératites bacteriennes, mycosiques et parasitaires
- Les Kératites a pyogènes
Présence d’une plage blanchâtre d’infiltration cornéenne donnant accès a un tableau abces
cornéen
Une ulcération retrouvée a son contact et se colore a la fluorescéine
Parfois hypopion réactionnel
Keratite bacterienne
34
35. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
- Kératite amibienne
simple infiltration épithéliales linéaires
- Kératite due au fongiques a Fusarium, Candida, Aspergillus
Keratite amibienne
35
36. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
• Kératites non infectieuses
- Infiltrats inflammatoires non infectieux
- Kératite sur syndrome sec
- Kératites d’exposition
36
37. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
Les Uvéites
• Uvéites antérieur aigue
- Signes fonctionnels
Atteinte uni- ou bilatérale, parfois récidivante et a bascule
Douleur profondes d’intensité modérée qui irradie en région sus-orbitaire
BAV variable
37
38. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
- Examen a la LAF
Injection ciliaire périkératique
Transparence cornéenne normale
Pupille en myosis relatif
Synéchies irido-cristalliniennes ou synéchies postérieures: déformation pupillaire a la dilatation
Synéchies irido-cornéenne ou synéchie antérieur
Phénomène de Tyndall
38
39. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
Précipités rétrocornéen ou rétrodescemétiques
L’examen du segment postérieur (étude du vitré et FO): systématique
Précipités retrocornéens Effet Tyndall Synéchies iridocristalliniénnes
39
40. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
- Causes d’uvéites antérieur aigue:
Spondylarthrite ankylosante
Uvéite herpétique ( cause d’uvéite infectieuse plus fréquente)
Sarcoïdose
Arthrite juvénile idiopathique ( principale cause uvéite anterieur chez l’enfant)
40
41. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
• Uvéites Postérieures
- Atteinte inflammatoire et infectieuse de uvée postérieur ou choroide
(choroidite), rétine (retinite) ou des deux tuniques (choriorétinite).
- La gravité des uvéites postérieurs: atteintes maculaires, vasculaires,
papillaires
- Les conséquences de ces atteintes sont irremédiables
41
42. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
- Signes fonctionnelles
En fonction de étiologie: œil aspect extérieur normal ou rougeur oculaire et douleur ciliaire
comme dans uvéite antérieur
BAV
Myodésopsie +++ : impression de point noirs, des mouches volantes ou des corps flottants
- Examen du FO : oriente le diagnostic
42
43. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
- Les causes d’uveites posterieur
Toxoplasmose ++
Infection postérieur a herpes virus
Syphilis
Tuberculose
Bartonéllose
Toxoplasmose oculaire
43
44. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
Endophtalmie
• Encore appelé infection endo-oculaire: infection qui se développe a
l’intérieur de l’œil
• Urgence médicale
• Contexte : postopératoire(chirurgie oculaire), traumatisme a l’œil,
septicémie
44
45. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
• Signes fonctionnelles
- Douleur oculaire sévère a irradiation sus-orbitaire
- BAV conséquente
• Examen a la LAF
- Oedème palpebral
- Hypopion ++
- Membrane cyclitique visible
Endophtalmie + Hypopion
45
46. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
Sans BAV
Episclérite
• Inflammation localisée à épisclere
• Signes fonctionnelles
- Douleur oculaire modéré
• Examen a la LAF
- Rougeur localisée en secteur disparait après instillation de la phényléphrine
- Segment antérieur normal
Episclérite
46
47. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
La Sclérite
• Inflammation localisée au niveau de la sclère
• Signes fonctionnelles
- Douleur oculaire importante dites ciliaires
• Examen a la LAF
- Rougeur plane ou diffuse, localisé en secteur ou diffuse
- Ne disparait pas a la instillation phényléphrine
Sclérite
47
48. 4.2. ETIOLOGIE PROPREMENT DIT
• Rechercher systématiquement une maladie de système ou un
processus infectieux sous jacent:
- Signes articulaires: spondyloarthrite ankylosante, polyarthrite rhumatoide,
LED
- Signes vasculaires: periarterite noueuse, granulomatose a polyangeite,
maladie de behcet
- Signes digestifs: MICI
- Signes cutanées: psoriasis, lupus
- Signes bronchopulmonaires: tuberculose, polychondrite atrophiante,
sarcoidose
- Contexte infectieux: herpes, zona, borreliose, infection locale a pyocyanique
48
54. 5.3. INDICATIONS
Glaucome aigu par fermeture de angle iridocornéen
Hospitalisation parfois nécéssaire
Administration Hypotonisant oculaire: collyre bétabloquant,
analogue prostaglandine
Administration d’un collyre myotique: pillocarpine 2% collyre
Iridectomie périphérique sectoriel ou Iridotomie au laser
Trabeculotomie et/ou chirurgie de la cataracte(chez les
personnes âgées)
54
55. 5.3. INDICATIONS
Kératite
Keratite a Adenovirus
• Lavage oculaire avec serum physiologiques : 4xj/10j
• Agents lubrifiants et cicatrisant: celluvisc® collyre 01 gouttes
x4/j/10j
• Maxidrol ® collyre 01gouttes x2/j/10j
Keratite Herpétique
• Aciclovir collyre 01gttesx4 ou per os pendant 7 a 10j
55
57. 5.3. INDICATIONS
Kératite bactérienne
• Lavage oculaire avec serum physiologiques : 04gouttesj/10j
• Agents lubrifiants et cicatrisant: celluvisc® collyre 01 gouttes
x4/j/10j
• Maxidrol ® collyre 01gouttes x2/j/10j
• Antibiotherapie locale probabiliste: Tobrex® 01 gtte x8 a x12/j/7j +
Ciloxan® 01 gttes, 08 a 12 fois/j/7j secondairement adaptés au
resultat du prélevement
• Cycloplegique: atropine 1% 01x2/j/5j
57
58. 5.3. INDICATIONS
UVEITES
Uvéites antérieure aigue
• Traitement locale: collyre mydriatique(atropine 1% 01 gttesx2/j/5j);
corticoïdes collyre et/ou pommade (maxidrol® collyre)
• Traitement d’une infection ou PEC globale d’une maladie générale
quand une étiologie est mise en évidence.
Uvéites postérieures
• Corticothérapie locale pendant 3 a 5 semaines + PEC de etiologie
58
59. 5.3. INDICATIONS
Endophtalmie:
Prelevement dans la chambre anterieur en urgence
Antibiotherapie en urgence et probabiliste dans un 1er temps
en attendant les resultats
Injection intravitriennes antibiotiques
Corticostéroïdes locaux: Maxidrol® collyre
Collyres mydriatique: Atropine 1% 01gouttes
59
60. 5.3. INDICATIONS
Episclérite
AINS: indocollyre® 01 gouttes x4/j/10j
Sclérite
Corticosteroides locaux: Maxidrol® 01gouttes x2/j/10j
PEC globale de maladie du système
60
62. CONCLUSION
L’œil rouge douloureux non traumatique est
fréquemment rencontré en consultation
ophtalmologique
Les causes sont multiples;
Nécessité d’un diagnostic étiologique et PEC adéquate
pour éviter de passer devant une pathologie pouvant
mettre en jeu le pronostic fonctionnel de l’oeil
62
Hyphema: presence de sang de la chambre anterieur
Hypopion: presence de pus dans la chambre ant
Cercle perikeratique: anneau rouge péricornéen, lié a la vasodilatation des vaisseaux.
Le traitement doit être débuté immédiatement, car la perte visuelle peut être rapide et définitive
Evitez les betabloquant en cas de contres indications
Pour mesurer l’acuité visuelle on utilise des optotypes. En fonction du type acuité visuelle mesurer (de loin ou de près) on a
Echelle de MONOYER (patients lettrés) ou ‘E’ renversé de SNELLEN(patients illettrés ou enfant) pour l’acuité visuelle de loin
Echelle de PARINAUD (patients léttrés) ou ROSANO (patients illetrés)
Materiels:
- Fluoroscéine (colorant orange) sous forme de collyre ou bandelette
LAF
Procedure: instillation d’une goutte de fluorosceine collyre dans le cul de sac conjonctivale.
installation du patient sur la lampe a fente
utilisation d’une lumière bleue pour observer l’oeil
GAFA: due une obstruction au passage de l’humeur acqueuse dans angle irido-cornéen
La symptomatologie est brutale et bruyante
La keratite: c'est une atteinte cornéenne unique ou multiple a type d'altération de épithélium, d'ulcération superficielle ou infiltration tissulaire de survenue brutale ou rapide dans sa presentation aigue, ou plus torpide et aux consequences optiques souvent majorées au cours des formes chroniques.
Blepharospasme: contraction spasmodique involontaire et répété des muscles orbiculaires
Apres instillation de l’oxybuprocaine + fluoresceine + lumiere bleue
On peut subdiviser les keratites en infectieuse et non infectieuse
Les keratite a adenovirus complique le plus svt les conjonctivites a adenovirus; on parle de keratoconjonctivite à adenovirus ou keratoconjonctivite epidermique
Keratite herpetique due au herpes simplex
Le zona ophtalmique peut également provoquer des lésions cornéennes
Ces keratites surviennent le plus svt sur terrain fragilisé par un port inadapté d’une lentille de contact, un traumatisme epithelial corneen recent (coup d’ongle, branche arbre, corps etranger), trouble de l’anatomie palpebral (entropion, ectropion, exposition corneen paralytique)
Hypopion: accumulation de pus dans la chambre anterieur
Entropion: retournement en dedans du bord libre de la paupier
Keratite amibienne : d’installation insidieuse
Keratite fongique sont plus rares mais volontiers sévère
Syndrome oculaire sec: examen quantitatif de la secretion lacryma, test de schimmer, sensation de grains de sable, rougeurs oculaire, douleur superficielle
Ulcere corneen apres instillation de fluorosceine
Uveite est inflammation de l’uvée ( iris, corps ciliaires, et/ou choroides).
Selon la localisation on distingue uveite ant et post.
Uveites ant est la forme la plus frequentes. Elle est encore appelé Iridocyclite pcq elles touchent la partie ant de l’uvée composée de iris ( iritis) et du corps ciliaire (cyclite)
Synechies posterieur: presence adherance inflammatoire entre la face post de l’iris et de la capsule ant du cristalin
Synechie anterieur: adherance inflammatoire entre la face ant de iris et face post de la cornée visible en gonioscopie
Tyndall: presence de proteine et cellule inflammatoire circulant dans l’humeur acqueuse donnant un aspect de phare dans le brouillard a la projection des faisceau lumineux a la LAF
Precipité retrocornéen : depot de cellule inflammatoire sur la face post de la cornée: dont aspect morphologiques fin ou granulomateux permet orienter le diagnostic etiologique
FO systematique a la recherche d’une atteinte inflammatoire vitrienne (hyalite), retinienne ou choroidienne qui signe l’existence d’une uveite posterieure
Hypopion: suppuration intraoculaire
Episclere située sous la conjonctive
La phenylnephrine est un collyre vasocinstricteur avec pour principe actif chlorydrate de phenyléphrine
Il est necessaire de rechercher une maladie de système d’emblée
Douleur importante dites ciliaires, majorées a la mobilisation du globe, irradiant au dessus et au pourtour de l’orbite, parfois même dans l’oreille ou la machoire. Ces douleurs sont volontiers insomniante, reveillant le patient en fin de nuit.
Douleur dite ciliaire est une douleur ressentie dans la region des cils et des sourcils
LED: Lupus Erythemateux Disséminé
MICI: maladies inflammatoires chronique de intestin
Collyre Myotique il ramene les pupille en myosis et facilite ecoulement de l’humeur acqueuse de la chambre post vers la chambre ant
Betabloquant: TIMOLOL(timolol), BETAGAN(levobunolol chlorydrate), CARTEOL (carteolol chorydrate)
Analogue prostaglandine: MONOPROST collyre, LATANOPROST EG (benzalkonium chlorure), BIMATOPROST EG
GAFA est une urgence therapeutique
Une fois la PIO normalisée et l’oedeme cornéen reduit on realise une iridotomie au laser pour eviter la recidive
Iridotomie preventive de l’œil controlateral est egalement realisé de facon obligatoire
Parfois le traitement medical n’est pas suffisant ou efficace et une PEC chirurgical trabeculotomie et chirurgie de la cataracte doit etre envisagée
Virucide: ganciclovir gel, trifluridine collyre, aciclovir pommade
Toujours ecarter une keratite herpetique avant de debuter une corticotherapie locale risque d’aggravation
Keratite bacterienne: prelevement effectué au niveau de l’abces pour examen direct, mise en culture + ATBgramme. Donc un traitement probabiliste puis secondairement adapté a ATBgramme. Germes + frequent (staphylocoque, streptocoque)
Collyre mydriatique: pour tenter de faire lacher les synechies posterieures ou dans le cadre de leur prevention primaire et secondaire
Necessité de prelevement de vitré ou a defaut l’huemeur acqueuse avant d’instituer le traitement pour un examen direct, culture et ATBgramme