Devenir une banque relationnelle de référenceYVON MOYSAN
Présentation des meilleures pratiques en terme de relation client / customer centricity aux Etats Unis et en France. Cas concrets de USAA élue à plusieurs reprises numéro un de la relation client aux US et de ING Direct France également reconnu pour la qualité de la relation client. Etude des principaux leviers. La vision de csaconsulting
Finovation est la sélection annuelle d'innovations dans les services financiers par InovenAlténor
Sommaire :
4. LA DIGITALISATION
5. Deux visions de l’agence de demain : Crédit Agricole et BNP Paribas
6. Le Web Café ING Direct, plateforme collaborative de relation client
7. Oscar, le parcours de santé réinventé
8. Check Risk, l’application d’AXA qui anticipe les risques juridiques
9. DSK Gameo, l’épargne ludique
10. PrivatBank, un DAB NFC
12. DES BIG DATA AUX SMART DATA
13. Walkmore, big data et ludification au service de la connaissance client
14. Moven Bank, le big data pour personnaliser la proposition client
15. Domirama, les outils de big data au service des clients Crédit Mutuel
16. MasterCard, les données de paiement pour évaluer les commerces
17. P2P FINANCE
18. BoughtByMany, le collaboratif comme levier de négociation
19. Tandem, le « social PFM » par Yodlee
20. Puddle, la ligne de crédit entre amis sur Facebook
21. Taikang Life, l’assurance maladie sur WeChat
22. Lymo, le crowdfunding immobilier
23. Spare, le retrait d’argent P2P
24. Bancpay, le réseau social B2B
26. PAIEMENT
27. Paypal, le paiement « main libres » par bluetooth
28. Sixdots, le standard de M-paiement en Belgique
29. AmexSync, l’achat et le paiement en un tweet
30. Coin, la carte de paiement toutes en une
31. PayNearMe, le paiement physique des achats en ligne
32. Crédit Mutuel-CIC, la fidélité intégrée à l’acquisition monétique
33. Auchan, le paiement au coeur de l’expérience client
34. VerifyValid, le chéquier dématérialisé
35. US Bank Mobile Pay, le paiement de facture par photo
37. SIMPLIFIER POUR INNOVER
37. Assuro’enchères, portail d’enchères inversées pour l’assurance
38. Compte Nickel, l’offre bancaire d’un EP
39. Forfait Sofinco, le crédit renouvelable simplifié
Fintech et assurtech dans la chaîne de valeur Assurance VieGenovefa APEDOH
Ce document livre un tour d'horizon synthétique du marché des Fintech et Assurtech - de plus en plus visibles dans les secteurs de la banque et de l'assurance- ainsi qu'un rapide panorama des multiples services offerts.
Devenir une banque relationnelle de référenceYVON MOYSAN
Présentation des meilleures pratiques en terme de relation client / customer centricity aux Etats Unis et en France. Cas concrets de USAA élue à plusieurs reprises numéro un de la relation client aux US et de ING Direct France également reconnu pour la qualité de la relation client. Etude des principaux leviers. La vision de csaconsulting
Finovation est la sélection annuelle d'innovations dans les services financiers par InovenAlténor
Sommaire :
4. LA DIGITALISATION
5. Deux visions de l’agence de demain : Crédit Agricole et BNP Paribas
6. Le Web Café ING Direct, plateforme collaborative de relation client
7. Oscar, le parcours de santé réinventé
8. Check Risk, l’application d’AXA qui anticipe les risques juridiques
9. DSK Gameo, l’épargne ludique
10. PrivatBank, un DAB NFC
12. DES BIG DATA AUX SMART DATA
13. Walkmore, big data et ludification au service de la connaissance client
14. Moven Bank, le big data pour personnaliser la proposition client
15. Domirama, les outils de big data au service des clients Crédit Mutuel
16. MasterCard, les données de paiement pour évaluer les commerces
17. P2P FINANCE
18. BoughtByMany, le collaboratif comme levier de négociation
19. Tandem, le « social PFM » par Yodlee
20. Puddle, la ligne de crédit entre amis sur Facebook
21. Taikang Life, l’assurance maladie sur WeChat
22. Lymo, le crowdfunding immobilier
23. Spare, le retrait d’argent P2P
24. Bancpay, le réseau social B2B
26. PAIEMENT
27. Paypal, le paiement « main libres » par bluetooth
28. Sixdots, le standard de M-paiement en Belgique
29. AmexSync, l’achat et le paiement en un tweet
30. Coin, la carte de paiement toutes en une
31. PayNearMe, le paiement physique des achats en ligne
32. Crédit Mutuel-CIC, la fidélité intégrée à l’acquisition monétique
33. Auchan, le paiement au coeur de l’expérience client
34. VerifyValid, le chéquier dématérialisé
35. US Bank Mobile Pay, le paiement de facture par photo
37. SIMPLIFIER POUR INNOVER
37. Assuro’enchères, portail d’enchères inversées pour l’assurance
38. Compte Nickel, l’offre bancaire d’un EP
39. Forfait Sofinco, le crédit renouvelable simplifié
Fintech et assurtech dans la chaîne de valeur Assurance VieGenovefa APEDOH
Ce document livre un tour d'horizon synthétique du marché des Fintech et Assurtech - de plus en plus visibles dans les secteurs de la banque et de l'assurance- ainsi qu'un rapide panorama des multiples services offerts.
Enjeux et opportunités de la transformation de la relation client et du digitalProsodie Capgemini
Client omnicanal et pression réglementaire croissante : banques, assureurs et groupes de protection sociale font face à des défis de taille. Ils doivent faire évoluer leur modèle relationnel historique et innover pour proposer une expérience client sans couture tout en maîtrisant les coûts.
Synthèse Solucom - Big data : une mine d'or pour l'AssuranceWavestone
Quelles sont les données exploitables ? Comment reconsidérer les métiers de l’Assurance à l’ère du Big data ?
Est-ce si simple et sans risque ? Quelle est la meilleure voie pour se lancer et pérenniser la transformation ? Cette Synthèse est le fruit de ces échanges et des travaux menés par Solucom pour concrétiser la promesse du Big data comme levier de transformation.
Les Français et la banque : bouleversements en vue !Wavestone
Soumises à la pression technologique, réglementaire et concurrentielle, les banques sont en train de réinventer leur modèle.
Premier catalyseur de cette transformation, le digital qui bouleverse comportements clients et modes de consommation.
Pour mieux comprendre ces évolutions, Solucom lance une enquête en quatre volets sur les Français et la banque, en partenariat avec OpinionWay.
Pour ce premier volet, 2000 Français ont été interrogés.
Relation client et digital, l'enjeu de nouvelles pratiquesAcadémie du Service
Cette infographie, réalisée par RCA Factory et relative à la 7ème conférence des Talents de la Relation Client, revient sur les enjeux des nouvelles pratiques digitales dans le cadre de la relation client.
Digital, banques et assurances: la fin d'un système ?treize articles
Crowdfunding, peer-to-peer banking, m-payment... Comment la banque et les assurances passent-elles au digital ? Etude pour l'Observatoire Orange Terrafemina
Banque de détail & client chacun cherche son lienKea & Partners
Voilà près de 10 ans que nous accompagnons nos clients du secteur bancaire dans leur transformation. Forts de ces expériences, nous nous sommes forgés des convictions sur la manière dont les banques peuvent repenser leur modèle de distribution et optimiser la performance de leurs réseaux.
Les 7 points de vue de cette publication ont vocation à vous interpeller et à nourrir vos réflexions stratégiques.
Les enjeux de la relation client en Assurance à l'heure du digitalSmahane MAKRINI
Au cours des vingt dernières années, le marché de l’assurance a connu de nombreuses évolutions dont l’arrivée grandissante de nouveaux acteurs rendant le marché saturé et plaçant ses acteurs face à des nouveaux défis.
En parallèle, le web s’est transformé à une vitesse exponentielle et continu de se développer de jour en jour offrant aux consommateurs un nouveau rapport de force. Désormais, c’est lui qui détient le pouvoir dans la relation client.
Bien que le marché de l’assurance soit perçu comme complexe, c’est à présent à ses acteurs de rejoindre la marche vers une digitalisation de ses process.
Ce mémoire de recherche a pour objectif de mesurer l’impact de la digitalisation sur la relation client dans l’assurance. Afin de mettre en avant les enjeux de ce processus pour les acteurs de l’assurance, une étude quantitative a été menée auprès d’un échantillon de clients de produits IARD.
Digitalisation et innovation dans le monde de l'assuranceJerome Minardi
Voici la présentation que j'ai utilisé sur l'évènement Decidassur 2016. Découvrez ma vision sur l'évolution du monde de l'assurance (changement, compétition disruptive, contraintes, Big Data), et comment Progress aide ses clients à créer de nouveaux services et rendre le SI agile pour innover rapidement. Les derniers slides contiennent le témoignage de Frédéric Demazier, DSI d'April Moto sur son utilisation de la solution Corticon BRMS pour faire la refonte de toute la tarification d'April Moto.
Le rapport assurance et relation clients version définitive (vp)Molitor Consult
Nous souhaitons dans le cadre de ce rapport, mettre à votre disposition au-delà de la théorie que tout le monde, globalement partage, un rapport à visée stratégique mais néanmoins très concret et opérationnel. Sur ce thème de la relation clients, plus que des mots, il est plus que nécessaire de passer à l’action.
Le Baromètre Intimité Client est une étude réalisée pour la troisième année par CSC, en partenariat avec Challenges et TNS Sofres. Il est basé sur une analyse quantitative des tendances et perspectives des directions marketing, commercial, distribution et relation client, auprès d’un échantillon de grandes entreprises européennes.
Transformation digitale et banques de detail BRIVA
Digital, Big data, Blockchain, …Tous les ingrédients sont présents pour ouvrir une nouvelle ère qui va transformer en profondeur les métiers et les chaînes de valeur de la finance en général et de la bancassurance en particulier. La façon de comprendre les clients, de maîtriser la donnée client et d’offrir une excellence relationnelle anytime-anywhere-anydevice est un enjeu crucial.
Quels sont les impacts de cette révolution digitale sur les stratégies de distribution et les stratégies relationnelles des banques de détail ?
Une approche Barométrique : 10 ans d'observation du marché.
Une méthodologie mixte Quali & Quanti... du stratégique à l'opérationnel !
Un mode de recueil online & tel
Rupture Conventionnelle du contrat de travail: Etude du RC et Analyses sur c...Christophe Lemesre
Le Centre d’études de l’emploi (CEE) vient de publier une enquête sur la rupture conventionnelle (RC) du contrat de travail. L’enquête a été menée auprès d’une centaine de salariés choisis au hasard parmi les RC signées en novembre 2010.
Étude : Les banques sur les réseaux sociauxDigimind
Les banques aussi sont désormais sur les réseaux sociaux, et cette étude vous permettra de découvrir leur stratégie en ligne mais aussi leur capacité à engager leur communauté, et plus encore
Nous avons souhaité faire un ouvrage centré sur la distribution d’assurance et en particulier sur les comparateurs d’assurances.
Ceux-ci, décriés ou plébiscités, ont particulièrement attiré notre attention et nous avons souhaité avoir une vision objective de leur rôle actuel et futur.
Ainsi, nous avons essayé de structurer une approche assez élargie : visions des professionnels de l’assurance, des internautes, des acteurs étrangers, des nouvelles formes de comparaison,… agrémentée d’une conclusion toute personnelle.
Etude PwC sur l'assurance à l'ère du digital (mars 2015)PwC France
L'étude PwC « Optimisation de la qualité de service et de l’expérience client dans l’assurance à l’ère du digital », fournit des conseils pratiques aux dirigeants, notamment français.
Partez l'esprit tranquille, adoptez le reporting !HRsmartEMEA
Vous savez comment mobiliser le meilleur de vos collaborateurs ? Ou pensez-vous savoir comme l’obtenir ?
Les entreprises de pointe adoptent des méthodes d’analyse des données sur les employés pour améliorer maximiser leur avantage concurrentiel.
Rejoignez Marine GIROST, Responsable Commerciale chez HRsmart, directrice commerciale pour savoir comment votre organisation peut optimiser ses données de gestion des talents dans le pôle Ressources Humaines.
Si vous voulez améliorer les performances de vos meilleurs employés - qui sont peut-être vos plus grands atouts – ne négligez pas l’analyse de vos données.
Enjeux et opportunités de la transformation de la relation client et du digitalProsodie Capgemini
Client omnicanal et pression réglementaire croissante : banques, assureurs et groupes de protection sociale font face à des défis de taille. Ils doivent faire évoluer leur modèle relationnel historique et innover pour proposer une expérience client sans couture tout en maîtrisant les coûts.
Synthèse Solucom - Big data : une mine d'or pour l'AssuranceWavestone
Quelles sont les données exploitables ? Comment reconsidérer les métiers de l’Assurance à l’ère du Big data ?
Est-ce si simple et sans risque ? Quelle est la meilleure voie pour se lancer et pérenniser la transformation ? Cette Synthèse est le fruit de ces échanges et des travaux menés par Solucom pour concrétiser la promesse du Big data comme levier de transformation.
Les Français et la banque : bouleversements en vue !Wavestone
Soumises à la pression technologique, réglementaire et concurrentielle, les banques sont en train de réinventer leur modèle.
Premier catalyseur de cette transformation, le digital qui bouleverse comportements clients et modes de consommation.
Pour mieux comprendre ces évolutions, Solucom lance une enquête en quatre volets sur les Français et la banque, en partenariat avec OpinionWay.
Pour ce premier volet, 2000 Français ont été interrogés.
Relation client et digital, l'enjeu de nouvelles pratiquesAcadémie du Service
Cette infographie, réalisée par RCA Factory et relative à la 7ème conférence des Talents de la Relation Client, revient sur les enjeux des nouvelles pratiques digitales dans le cadre de la relation client.
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Crowdfunding, peer-to-peer banking, m-payment... Comment la banque et les assurances passent-elles au digital ? Etude pour l'Observatoire Orange Terrafemina
Banque de détail & client chacun cherche son lienKea & Partners
Voilà près de 10 ans que nous accompagnons nos clients du secteur bancaire dans leur transformation. Forts de ces expériences, nous nous sommes forgés des convictions sur la manière dont les banques peuvent repenser leur modèle de distribution et optimiser la performance de leurs réseaux.
Les 7 points de vue de cette publication ont vocation à vous interpeller et à nourrir vos réflexions stratégiques.
Les enjeux de la relation client en Assurance à l'heure du digitalSmahane MAKRINI
Au cours des vingt dernières années, le marché de l’assurance a connu de nombreuses évolutions dont l’arrivée grandissante de nouveaux acteurs rendant le marché saturé et plaçant ses acteurs face à des nouveaux défis.
En parallèle, le web s’est transformé à une vitesse exponentielle et continu de se développer de jour en jour offrant aux consommateurs un nouveau rapport de force. Désormais, c’est lui qui détient le pouvoir dans la relation client.
Bien que le marché de l’assurance soit perçu comme complexe, c’est à présent à ses acteurs de rejoindre la marche vers une digitalisation de ses process.
Ce mémoire de recherche a pour objectif de mesurer l’impact de la digitalisation sur la relation client dans l’assurance. Afin de mettre en avant les enjeux de ce processus pour les acteurs de l’assurance, une étude quantitative a été menée auprès d’un échantillon de clients de produits IARD.
Digitalisation et innovation dans le monde de l'assuranceJerome Minardi
Voici la présentation que j'ai utilisé sur l'évènement Decidassur 2016. Découvrez ma vision sur l'évolution du monde de l'assurance (changement, compétition disruptive, contraintes, Big Data), et comment Progress aide ses clients à créer de nouveaux services et rendre le SI agile pour innover rapidement. Les derniers slides contiennent le témoignage de Frédéric Demazier, DSI d'April Moto sur son utilisation de la solution Corticon BRMS pour faire la refonte de toute la tarification d'April Moto.
Le rapport assurance et relation clients version définitive (vp)Molitor Consult
Nous souhaitons dans le cadre de ce rapport, mettre à votre disposition au-delà de la théorie que tout le monde, globalement partage, un rapport à visée stratégique mais néanmoins très concret et opérationnel. Sur ce thème de la relation clients, plus que des mots, il est plus que nécessaire de passer à l’action.
Le Baromètre Intimité Client est une étude réalisée pour la troisième année par CSC, en partenariat avec Challenges et TNS Sofres. Il est basé sur une analyse quantitative des tendances et perspectives des directions marketing, commercial, distribution et relation client, auprès d’un échantillon de grandes entreprises européennes.
Transformation digitale et banques de detail BRIVA
Digital, Big data, Blockchain, …Tous les ingrédients sont présents pour ouvrir une nouvelle ère qui va transformer en profondeur les métiers et les chaînes de valeur de la finance en général et de la bancassurance en particulier. La façon de comprendre les clients, de maîtriser la donnée client et d’offrir une excellence relationnelle anytime-anywhere-anydevice est un enjeu crucial.
Quels sont les impacts de cette révolution digitale sur les stratégies de distribution et les stratégies relationnelles des banques de détail ?
Une approche Barométrique : 10 ans d'observation du marché.
Une méthodologie mixte Quali & Quanti... du stratégique à l'opérationnel !
Un mode de recueil online & tel
Rupture Conventionnelle du contrat de travail: Etude du RC et Analyses sur c...Christophe Lemesre
Le Centre d’études de l’emploi (CEE) vient de publier une enquête sur la rupture conventionnelle (RC) du contrat de travail. L’enquête a été menée auprès d’une centaine de salariés choisis au hasard parmi les RC signées en novembre 2010.
Étude : Les banques sur les réseaux sociauxDigimind
Les banques aussi sont désormais sur les réseaux sociaux, et cette étude vous permettra de découvrir leur stratégie en ligne mais aussi leur capacité à engager leur communauté, et plus encore
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Ceux-ci, décriés ou plébiscités, ont particulièrement attiré notre attention et nous avons souhaité avoir une vision objective de leur rôle actuel et futur.
Ainsi, nous avons essayé de structurer une approche assez élargie : visions des professionnels de l’assurance, des internautes, des acteurs étrangers, des nouvelles formes de comparaison,… agrémentée d’une conclusion toute personnelle.
Etude PwC sur l'assurance à l'ère du digital (mars 2015)PwC France
L'étude PwC « Optimisation de la qualité de service et de l’expérience client dans l’assurance à l’ère du digital », fournit des conseils pratiques aux dirigeants, notamment français.
Partez l'esprit tranquille, adoptez le reporting !HRsmartEMEA
Vous savez comment mobiliser le meilleur de vos collaborateurs ? Ou pensez-vous savoir comme l’obtenir ?
Les entreprises de pointe adoptent des méthodes d’analyse des données sur les employés pour améliorer maximiser leur avantage concurrentiel.
Rejoignez Marine GIROST, Responsable Commerciale chez HRsmart, directrice commerciale pour savoir comment votre organisation peut optimiser ses données de gestion des talents dans le pôle Ressources Humaines.
Si vous voulez améliorer les performances de vos meilleurs employés - qui sont peut-être vos plus grands atouts – ne négligez pas l’analyse de vos données.
Magellan Partners - Valoriser l’expérience client et augmenter la rentabilité...Magellan Consulting
Les premiers signes d’activité bancaire datent de 2000 avant JC, avant même l’apparition de la monnaie : des commerçants mésopotamiens reçoivent des biens précieux en dépôts et octroient des crédits sur la base de ces mêmes biens. Ces échanges commerciaux asynchrones étaient retranscrits grâce à des inscriptions cunéiformes sur des tablettes d’argile, qu’il fallait produire, archiver et analyser lorsque les engagements arrivaient à échéance. Il y a 4 millénaires, le destin de la banque était déjà lié à celui de la donnée. Depuis quelques années, les enjeux des données pour la banque ont investi une nouvelle dimension : ces données seraient une source inépuisable de développement de l’activité et d’optimisation des coûts. Leur utilisation serait même la solution à l’ensemble des défis que rencontre le secteur bancaire :
• Pour personnaliser les services rendus au client, • Pour développer de nouveaux produits et services, • Pour gagner en performance dans l’octroi des crédits, • Pour détecter la fraude et protéger tant le client que l’établissement, • Pour contrer les offensives commerciales des FinTechs, redoutables nouveaux concurrents, • Pour répondre aux besoins d’information exprimés par les régulateurs…
Après un tour d’horizon de ces nouvelles potentialités, ce numéro d’iMAGine propose des éléments de réflexion autour des aspects les plus fondamentaux de l’exploitation des données :
n Quelles en sont les limites ? Est-ce que le client consentira à ce que la banque utilise ses données comme il autorise les GAFA à le faire ? n Comment définir les initiatives à mener dans une banque ? Comment les mettre en place et via quelles technologies possibles? n Quel principe d’investissement peut être envisagé pour se lancer? n La qualité et la sécurité de ces données sont-elles des contraintes ou des opportunités ? n Comment passer d’une idée à une industrialisation ?
Si la donnée est indéniablement le pétrole du XXIe siècle, le chemin jusqu’à une extraction performante, un raffinage efficace et une distribution pertinente est encore long. Les consultants et experts du groupe Magellan Partners sauront vous accompagner sur chacune de ces étapes.
Bpifrance le lab - le numerique deroutantBpifrance
Bpifrance Le Lab, Le Numérique Déroutant.
Le numérique peut être vu comme une rupture profonde, touchant la nature même du modèle économique de toutes les entreprises, et notamment celui des PME des secteurs dits "traditionnels".
Bpifrance Le Lab, en collaboration avec Olivier Sichel, PDG du groupe LeGuide, publie "Le numérique déroutant", une étude sur le numérique comme facteur de recomposition des chaînes de valeur dans des secteurs à très forte densité de PME : le tourisme, le transport, la plasturgie et le bâtiment. Disrupter ou être disrupté, voilà en substance le choix auquel sont confrontées ces professions face à la révolution numérique...
Bpifrance le lab : le numérique déroutant 2015polenumerique33
Popularisé sous le terme d' "Uberisation", le numérique vient "disrupter" ou remettre en cause le modèle économique de nombreuses entreprises et en premier lieu celui de PME de secteurs économiques dits "traditionnels".
Bpifrance Le Lab, en collaboration avec Olivier Sichel, PDG du groupe LeGuide, a publié sous le titre "Le numérique déroutant" une étude qui montre comment le numérique devient un facteur de recomposition des chaînes de valeur dans des secteurs d'activité à forte concentration de PME tels que : le tourisme, le transport, la plasturgie et le bâtiment.
Disrupter ou être disrupté, telle est la question ...
Une étude de référence, claire et synthétique sur le numérique abordé au coeur de la stratégie des PME : c'est la "transformation numérique". A lire par tout chef d'entreprise.
Dans un paysage bancaire déjà en voie d’Uberisation sur le front des paiements, la Banque a-telle
les moyens de se réinventer pour faire face aux GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon)
et aux Fintechs qui menacent son modèle ? La confiance des clients est potentiellement la
seule véritable barrière, à la condition que les banques génèrent du progrès par la création
de nouveaux produits et services, par l’apport de simplification client, par une position
d’agrégateur de services autour de moments de vie. La Banque Numérique est aujourd’hui
devenue une réalité, mais nécessite néanmoins d’aller plus loin dans l’évolution des modèles
internes, de s’uberiser de l’intérieur mais aussi d’accepter d’uberiser son propre écosystème.
Le grand challenge des Banques Privées est de redevenir des banques relationnelles. Elles se sont satisfaites pendant longtemps de gérer des clients. Elles vont devoir apprendre à gérer globalement des relations individualisées. C'est à ce prix qu'elles sortiront gagnantes de la transition digitale.
Chacun cherche son lien…
La conjoncture de ces dernières années fragilise l’activité et les résultats des grands groupes bancaires français. La banque de détail, moteur de la rentabilité, doit revoir sa copie pour trouver d’autres ressorts à sa croissance. Qui plus est, l’évolution des comportements des consommateurs force à revisiter la relation client.
Une simple optimisation du modèle existant ne saurait suffire. Peut-on retrouver de la rentabilité et renouer avec la croissance en réinventant la relation client ?
Kea&Partners s’est penché sur les axes de transformation à l’ordre du jour :
Repenser le rôle du conseiller : comment l’armer pour qu’il reste la pierre angulaire de la relation client ?
Rendre agile le réseau physique : à l’heure du digital, doit-on sortir du modèle d’agence unique ?
Personnaliser l’offre : vers la mass customisation ?
Rentabiliser le réseau : comment générer des économies grâce au multicanal ?
Prendre le virage des nouveaux médias : quel usage des réseaux sociaux ?
Faire tomber les barrières entre le front et le back office : quelle répartition des rôles avec quelle valeur ajoutée pour le client ?
Digitalisation de l'entreprise et son impact sur les métiersNeïla Meknassi
Connaître la transformation digitale et son impact sur les métiers de l'entreprise, thème du premier webinar présenté par Neïla Meknassi, formatrice et consultante chez MeksDigital.
Le lien du webinar: https://webikeo.fr/webinar/replay/3fGP6j8ubEz9tS3UEQ5U
Synthese des résultats du Barometre Limelight-Consulting des métiers de la co...BVA Limelight
Synthèse des résultats de la 14ème édition du Baromètre Limelight-Consulting des métiers de la communication. Plus de 1450 interviews qualitatives et quantitatives d’annonceurs.
La crispation sur l’accélération des évolutions des enjeux de communication ressentie chez les interviewés nous a conduits à faire en introduction un arrêt sur image pour mesurer, en nous replongeant dans nos précédentes études, les grands mouvements !
C’est à l’aune de l’histoire que l’on comprend son époque…
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
Les offres d’emploi en ligne deviennent une ressource essentielle pour les décideurs et les chercheurs qui étudient le marché du travail. Le CIMT continue de travailler avec les données de Vicinity Jobs tirées des offres d’emploi en ligne, qui peuvent être analysées dans notre
tableau de bord des tendances de l'emploi au Canada. Notre analyse des données provenant des offres d’emploi en ligne a permis d'obtenir des informations précieuses, notamment le
récent rapport
de Suzanne Spiteri sur l'amélioration de la qualité et de l'accessibilité des offres d'emploi afin de réduire les obstacles à l'emploi pour les personnes neurodivergentes.
Les données d’offres d’emplois en ligne d'entreprises telles que Vicinity Jobs servent de plus en plus de complément aux sources traditionnelles de données sur la demande de main-d'œuvre, telles que les enquêtes sur les postes vacants et les salaires (EPVS). Ibrahim Abuallail, candidat au Ph. D., Université d’Ottawa, a présenté la recherche relative aux biais dans les offres d’emploi en ligne et une approche proposée pour rajuster efficacement les données de ces offres d’emploi afin de compléter les données officielles existantes (telles que celles des EPVS) et d'améliorer la mesure de la demande de main-d'œuvre.
Les données de Vicinity Jobs englobent plus de trois millions d'offres d'emploi en ligne pour 2023 ainsi que des milliers de compétences. La plupart des compétences apparaissent dans moins de 0,02 % des offres d'emploi, de sorte que la plupart des offres reposent sur un petit sous-ensemble de termes couramment utilisés, comme le travail en équipe.
Laura Adkins-Hackett, économiste, CIMT, et Sukriti Trehan, scientifique de données, CIMT, ont présenté leurs recherches sur les tendances relatives aux compétences répertoriées dans les offres d’emploi en ligne afin de mieux comprendre les compétences les plus en demande. Ce projet de recherche utilise l'information mutuelle spécifique et d'autres méthodes pour extraire davantage d'informations sur les compétences communes à partir des relations entre les compétences, les professions et les régions.
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...
Eric Van Houtte Résumé et Conclusion de thèse du MBA MCI
1. Responsable E-business/Responsable E-marketing
Code NSF 312, certification professionnelle de niveau I (Fr)
et de niveau 7 (Eu)
Enregistrée au RNCP par arrêté du 29/07/2014
publié au JO le 09/08/2014.
Promotion 2015 – 2016
La Banque de Détail
ses défis à l'heure du Digital
De "Too Big To Fail" à "Too Slow To Change ?"
Thèse professionnelle de :
Eric VAN HOUTTE
INSTITUT LEONARD DE VINCI
12 Avenue Léonard de Vinci
92400 Courbevoie
2. Résumé
Dans un contexte économique atone, de réglementation renforcée et de taux d'intérêts
anormalement bas voir négatifs, le secteur de la Banque de détail en France et à l'international
est aujourd'hui confronté à d'énormes contraintes et bouleversements de son environnement de
fonctionnement.
Des défis majeurs vont se présenter à lui, souvent liés de près ou de loin aux évolutions
des technologies numériques et à leurs impacts organisationnels et sociétaux.
Ainsi les possibilités offertes aux clients d'interagir à distance et souvent travers d'un
smartphone, pour traiter les principales opérations avec leurs banques, participent à un
effondrement de la fréquentation des agences. Celles-ci restent paradoxalement appréciées voir
indispensables pour une forte proportion de clients notamment pour des opérations sensibles ou
engageantes. Une offre "Phygitale" qui combinerait harmonieusement les implantations
physiques avec un environnement de services digitalisé, est majoritairement considéré comme
pertinente et porteuse d'avenir.
Toutefois les clients surinformés, principalement grâce au partage d'informations sur le
Web et les réseaux sociaux, deviennent très exigeants quant à la plus-value qu'ils espèrent de leurs
interlocuteurs bancaires. Ils en attentent une expertise et des conseils pertinents formulés dans
la transparence et sans conflit d'intérêt au sein d'une relation gagnant-gagnant.
Plus généralement, ils souhaitent pouvoir choisir et combiner selon leurs affinités, les
modalités d'interactions avec leur banque, dans le cadre d'une continuité relationnelle
omnicanale et une expérience client optimale.
Parallèlement les progrès technologiques, complétés dans certains domaines par des
ouvertures faites par le législateur à des tiers, d'exploiter les données bancaires des clients,
permettent à de nouveaux entrants de s'immiscer dans la relation entre le client et sa banque.
Ces sociétés, souvent des Start up, appelées "Fintech" le font en proposant des services
complémentaires ou alternatifs novateurs et disruptifs. Il s'en suit un risque de
désintermédiation des banques sur de nombreux créneaux, ainsi qu'une concurrence exacerbée
sur la base de propositions de valeur plus séduisantes et/ou plus compétitives. La perte de
revenus directs et indirects qui pourrait en résulter pour les banques est potentiellement
colossale, et en l'état de nature à menacer la viabilité de certaines.
Pour surmonter ce premier niveau de défis économiques et commerciaux, la maitrise,
la combinaison et la mise en œuvre des technologies numériques vont constituer des facteurs
clés de succès.
3. A ce titre, en tant que support principal de ces technologies, l'évolutivité, l'ouverture, et la
sécurisation du Système d'Information, seront des contraintes et des leviers de compétitivité et
de performance.
Mais cette évolution ne pourra pas se résumer à la simple" appropriation des technologies
et médias tels que : Web, Mobile, Réseaux Sociaux, dématérialisation, automates
conversationnels, Blockchain, Robots, Big Data et l'Intelligence Artificielle, Technologies
prédictives…
Les défis bien supérieurs consisteront à conduire les mutations qui viseront faire évoluer
la culture, les valeurs, et le fonctionnement des organisations bancaires pour les rendre aptes à
être des intervenants pertinents et performants dans une économie digitalisée.
Pour insuffler ce changement il faudra une démarche globale, volontariste et
impliquante, impérativement portée avec exemplarité par les plus hautes instances de
direction.
Pour évoluer dans cet environnement en perpétuel changement, le fonctionnement cible
s'appuiera sur la mise en œuvre des synergies internes et externes au détriment du
fonctionnement historique en silos. Les valeurs d'agilité, d'innovation, de bienveillance seront
favorisées, dans le cadre d'un fonctionnement moins hiérarchisé.
Que ce soit en tant que clients ou collaborateurs, une attention particulière sera portée
pour prendre en compte les "Millennials" et générations suivantes, jeunes adultes des générations
nativement digitales, dont les valeurs, attentes et modalités de fonctionnement sont en rupture avec
celles des générations précédentes.
Le défi clé de cette transition digitale, sera sans nul doute la prise en compte pertinente et
à sa juste dimension du facteur humain. De nouvelles compétences et attitudes managériales
seront nécessaires. Il faudra les intégrer tant par des recrutements ad hoc que par
l'accompagnement des collaborateurs existants dans l'acquisition et la mise en œuvre
opérationnelle de celles-ci au sein de collaborations transgénérationnelles délicates.
Dans ce nouveau mode de fonctionnement, on valorisera l'engagement et la performance
collective au bénéfice commun de l'entreprise, des collaborateurs et des clients.
Dans le contexte souvent considéré comme privilégié de l'emploi bancaire, il faudra ajuster
et redéployer les effectifs en fonction des nouveaux besoins en termes de compétences, missions,
et localisations. Des conflits d'intérêts relayés par les puissantes instances représentatives des
4. salariés viendront compléter la résistance naturelle aux changements, et rendront cette mutation
d'autant plus délicate à gérer que le temps est une contrainte.
En effet, les banques traditionnelles risquent, malgré leur puissance, de se faire rapidement
rattraper et distancer par de nouveaux entrants ambitieux et puissants que constituent les géants de
l'économie numérique qui ont déjà commencé à investir certaines de leurs activités. Connus sous
les acronymes de GAFAM, BATX, NATU, TELCO1
ces derniers maitrisent totalement les codes
et technologies sous-jacentes. Surtout, ils dominent la collecte et l'exploitation effrénée des
données pour offrir en permanence une expérience client personnalisée et reconnue.
Ainsi, delà des multiples défis à surmonter pour muter en profondeur et rester viable, la
célérité à le faire est un enjeu vital pour la banque de détail, la question est posée :
"Too Big to Fail but Too Slow to Change ?"
1 GAFAM:Google, Apple, Facebook, Amazon ,Microsoft- BATX (Baidu, Alibaba, Tencent, Xiaomi)
NATU : Netflix, Airbnb, Tesla et Uber – TELCO : Opérateurs de Télécommunications (Orange,…)
5. Conclusion
Comme nous avons pu le constater tout au long de cette analyse, les défis pour les
établissements historiques de la banque de détail sont multiples et colossaux.
Les concurrents qu'ils soient Start-Ups et Fintech, géants du Net, des Télécoms ou encore
de l'E-commerce, tous entendent venir disputer une part du "gâteau des banques".
Qui plus est, ils ont l'immense avantage de pouvoir se focaliser sur celle qui leur parait la
plus "appétante", soit en termes de rentabilité, de cohérence stratégique, ou d'accessibilité
compte tenu de certaines barrières à l'entrée (réglementation, intensité capitalistique ou
concurrentielle.)
Les banques généralistes vont ainsi être "attaquées" concomitamment sur de multiples
fronts. Leurs activités historiques vont souffrir de la comparaison avec des compétiteurs, chacun
devenus experts d'un domaine spécifique.
Bien souvent ces challengers, seront rompus à la mise à profit des technologies innovantes
pour répondre au plus juste aux attentes spécifiques de chaque client. Cela grâce notamment à
l'exploitation pertinente des données collectées.
De surcroit, on peut considérer que cela s'inscrit dans une spirale vertueuse où chaque point
de contact est l'occasion d'un "Moment of Truth" positif, renforçant l'expérience positive globale
du client. Chaque occurrence rendant la prochaine encore plus ajustée et pertinente. Dans ce cadre
la maitrise des données et leurs exploitations au travers des outils d'intelligence artificielle seront
des atouts maitres pour ne pas dire vitaux.
Ainsi, si l'implémentation des technologies digitales est un pré requis majeur de
compétitivité tout au long de la chaîne de production et dans les interactions "omnicanal" avec les
clients. Ce n'est pas forcément sur ce volet que les difficultés seront les plus importantes.
C'est autour de l'humain que tout va se jouer, déjà dans la refonte globale du
fonctionnement des structures pour les rendre plus agiles et efficaces. Cela en cassant les silos de
compétences et de pouvoir qui font souvent obstacle à une pertinence opérationnelle globale.
C'est encore l'humain qu'il faudra convaincre et faire adhérer sur le bien-fondé de
l'ensemble de ces bouleversements qui pour beaucoup risquent de remettre en cause de façon très
profonde leurs modalités travail.
6. C'est également l'humain qui in fine sera vecteur de différenciation et de fidélisation dans
sa capacité à offrir aux clients, une valeur ajoutée recherchée, au travers d'un environnement global
de relation, d'expertise et de conseils personnalisés.
Cela impose de surmonter les défis d'une "révolution culturelle". De revoir les notions de
hiérarchie, responsabilité, autonomie, engagement, culture du service, de collaboration
d'innovation, de prise de risques.
Pour avoir personnellement pris part à plusieurs réorganisations bancaires d'envergure, et
dans ce cadre développé des outils digitaux facilitant la gestion des affectations et mobilités. Il
m'apparaît évident qu'il ne suffit pas d'avoir organisé quelques actions emblématiques de la culture
digitale (Ackaton, Learning expédition, équipement d'agence avec des tablettes...) pour penser que
cela va faciliter l'énorme chantier Managérial et RH qui s'ouvre afin de faire évoluer la culture, les
structures, les effectifs aux besoins futurs.
Dès lors il va falloir, au-delà des ajustements à la marge permis par la pyramide des âges,
tailler dans les effectifs actuels.
Les messages de bienveillance et le "tous pour un, et un pour tous" du travail collaboratif,
risquent rapidement de (re) devenir le "chacun pour soi", dans un réflexe assez légitime et humain
de défense des intérêts personnels.
"Fit to Needs or Need to Fit…that is the Question !"
En effet la grande différence entre les nouveaux acteurs émergeants qui souhaitent prendre
des positions face aux banques historiques sera dans une dynamique positive de croissance. A
contrario, dans le même temps les grands établissements seront confrontés inéluctablement des
phases de stagnation et sans doute de décroissance. Celles-ci porteuses de morosité et de conflits,
seront vecteurs d'immobilisme. Dans ce chalenge où chaque occasion perdue d'avancer sur le
chemin de la Transformation Digitale, permet aux compétiteurs agiles et pertinents de creuser
un écart qui pourrait s'avérer fatal, la course contre la montre décisive est désormais lancée.
"Too Big to Fail but Too Slow to Change ?"