Worksession Osereso 'Les aventuriers du E-commerce'
Les clés d’un site internet marchand efficace
Deux heures de promenade sur les sentiers numériques du web marchand. Découvrez les techniques de recrutement des clics et des clients. Partons ensemble à la chasse au trafic avec un expert de la jungle du référencement. Apprenez à vivre et à survivre de vos ventes en utilisant les meilleurs techniques de transformation visiteurs / acheteurs. Traversez avec succès le tunnel de conversion et devenez les e-marchands de demain
+ d'info sur les worksessions
http://www.osereso.com/La-veille-marketing.html
Ventes à distances pour les particuliers
Ventes à distances pour les professionnels
Le e-commerce en europe
Les acteurs
Les comportements d'achats
le m-commerce
Chiffres clés E-commerce 2014 en France par la FEVAD
http://www.fevad.com/
A consulter aussi les ressources de la FEVAD sur la 3ème édition des Enjeux e-commerce de la Fevad
http://www.fevad.com/documentation/retour-sur-les-enjeux-e-commerce-2014
Chiffres-clés du E-commerce en France 2016-2017 - FevadMargarita Zlatkova
La croissance du e-commerce s'est maintenue en 2016 sous l'effet de l'augmentation du nombre de ventes sur mobile, de l'offre et de la fréquence d'achat.
La Fevad publie les chiffres-clés de l'e-commerce français pour la période 2016-2017.
Worksession Osereso 'Les aventuriers du E-commerce'
Les clés d’un site internet marchand efficace
Deux heures de promenade sur les sentiers numériques du web marchand. Découvrez les techniques de recrutement des clics et des clients. Partons ensemble à la chasse au trafic avec un expert de la jungle du référencement. Apprenez à vivre et à survivre de vos ventes en utilisant les meilleurs techniques de transformation visiteurs / acheteurs. Traversez avec succès le tunnel de conversion et devenez les e-marchands de demain
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http://www.osereso.com/La-veille-marketing.html
Ventes à distances pour les particuliers
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Le e-commerce en europe
Les acteurs
Les comportements d'achats
le m-commerce
Chiffres clés E-commerce 2014 en France par la FEVAD
http://www.fevad.com/
A consulter aussi les ressources de la FEVAD sur la 3ème édition des Enjeux e-commerce de la Fevad
http://www.fevad.com/documentation/retour-sur-les-enjeux-e-commerce-2014
Chiffres-clés du E-commerce en France 2016-2017 - FevadMargarita Zlatkova
La croissance du e-commerce s'est maintenue en 2016 sous l'effet de l'augmentation du nombre de ventes sur mobile, de l'offre et de la fréquence d'achat.
La Fevad publie les chiffres-clés de l'e-commerce français pour la période 2016-2017.
Pour rappel, cet observatoire a pour mission le monitoring permanent des flux croisés entre digital et magasin physique, aussi bien pour les enseignes que pour les marques. (Research OnLine - Purchase Offline, mais aussi Research OffLine - Purchase Online)
Distribution directe aux consommateurs, un canal malin pour les industrielsGenerix Group
En tant qu’expert du secteur du commerce, Generix
Group aide les industriels à créer du lien avec leurs
clients. Moins aguerris aux exigences du BtoC -
référencement produits, système de paiement en
ligne, stockage, transport adapté aux particuliers,
gestion des retours… - les marques disposent souvent
d’un système d’information inadapté, qu’il faut
repenser pour intégrer l’ensemble des aspects clés
du commerce digital.
la protection du consommateur est devenue nécessaire compte tenu de sa vulnérabilité face aux vendeurs professionnels. Au Maroc, elle fait l'objet de mesures légales regroupées dans le code de la consommation.
Dans cette optique que la FNEM s’est orientée à fin de sauvegarder la santé du client , sa sécurité et ses intérêts économiques, et à lui donner les moyens de défendre ses droits et ses intérêts.
La plate-forme E-consommateur a pour objet de contribuer au développement de la protection des E-consommateurs d’une manière générale, et particulièrement à appuyer ses adhérents dans le développement de leurs activités.
La plate-forme E-consommateur a pour objet exclusif la protection des intérêts du e-consommateur, qui repose sur les droits fondamentaux de celui-ci :
-Le droit à l’information.
-Le droit à la protection de ses intérêts économiques.
-Le droit à la représentation.
-Le droit à la rétraction.
-Le droit au choix.
-Le droit à l’écoute.
Le web-to-store : 5 conseils pour doper votre trafic en magasin : Masterclass...Hervé Bourdon
Décrit comme le nouveau comportement des internautes qui recherchent des informations sur le web afin d’aller acheter les produits en magasin, le web-to-store est loin d’être un simple effet de mode. La nouvelle bataille des marques est donc d’abolir les frontières entre vente en ligne et vente physique en proposant au client des services pertinents s’appuyant sur la complémentarité des canaux.
Quelles sont les nouvelles tendances ?
Comment mettre en place une stratégie web-to-store gagnante ?
[Infographie] Zoom sur les DNVB - Digital Native Vertical BrandsThinkmarket
[Suggestion : affichez le document en plein écran pour éviter la pixellisation]
Les DNVB désignent des marques nées sur le web avec un modèle industriel verticalement intégré (elles maîtrisent la chaîne de valeur de la création, la production, la promotion, la distribution jusqu’à l’expédition au consommateur final).
Décryptage de ce qu'elles recouvrent ainsi que des enjeux business et stratégiques.
Etude PwC sur les web-acheteurs (nov. 2014) PwC France
http://bit.ly/WebAcheteursPwC
Le cabinet d’audit et de conseil PwC publie les résultats de sa 4ème étude mondiale sur le e-commerce, menée cette année dans 19 pays auprès de 19 000 web-acheteurs.
L’étude révèle que les Français qui achètent des produits en ligne délaissent de plus en plus l’achat sur internet pour revenir en magasin. Les enseignes se sont modernisées et leur taux de pénétration est ainsi en hausse de 3,7 points par rapport à 2013, alors que les pure players ont stagné.
Les distributeurs rattrapent leur retard sur les pure players grâce à des investissements pour développer leurs solutions multicanales (click & collect, vérification des stocks, retour en magasin) mais aussi en investissant dans les concepts magasins, pour une meilleure expérience client.
Le modèle économique des pure players pose question, la rentabilité n’étant pas au rendez-vous, même pour les plus grands.
L’année 2014 a connu de nombreuses nouveautés en matière de E-Commerce. D’innombrables opportunités ont émergé pour améliorer les ventes sur les différentes plateformes digitales. Distributeurs traditionnels ou pure players, les frontières du e-commerce bougent : convergence du on et du off dans le retail, multiplication des points d’interactions avec le consommateur, place incontournable du mobile, sont des tendances lourdes. A quoi ressemblera le E-commerce en 2015 ? Voici nos 7 tendances pour 2015 :
L’explosion du digital-store, L’ascension du mobile, Rivalité Pure Players VS Click & Mortars, La prédominance de l’expérience client, L’émergence du social shopping, L’importance du content marketing & SEO, L’incontournable de la livraison et logistique dans le e-commerce
Pour chacune, nous en tirons les impacts sur les consommateurs et sur les marques. Bonne lecture et partagez vos commentaires.
Grande distribution et revolution digitale : multicanal crosscanal magasins c...Sauveur Fernandez
La grande distribution affronte actuellement avec Internet une étape majeure : l’apparition de puissant acteurs du e-commerce couplée à de nouvelles habitudes de e-consommation et à la démocratisation des smartphones obligent les points de ventes physiques à se réinventer rapidement pour maintenir leur leadership, en devenant connectés et en privilégiant un acteur devenu clé : le vendeur. Cet article en deux parties décrit les grands défis : showrooming, multicanal, crosscanal, magasins connectés…
Nouveau - Dossier 2014: Le marché du eCommerce en Espagne.Bastien Develey
Nouveau dossier 2014: Présentation du marché Espagnol du eCommerce.
Un marché en forte croissance et pas encore mature.
Les eMarchands Français ne s'y sont pas trompés: l'Espagne est leur première destination à l'export.
Quels sont les principaux chiffres (taille, croissance du marché...)? Quels sont les habitudes des consommateurs? Quels sont les tendances? Comment mettre en place une stratégie eCommerce sur le long terme?
Ce dossier répondra à un bon nombre de vos questions.
Si vous avez besoin de plus d'information n'hésitez pas à me contacter par mail:
Bastien Develey
bdeveley@lachambre.es
Les services digitaux (64 %), les services liés au smartphone (60 %) et la relation client digitale (57 %) des grandes enseignes jugés performants par les consommateurs.
67 % des utilisateurs équipés de smartphone disposés à partager leurs données de profil pour la réception d’offres personnalisées.
49% des consommateurs ont utilisé le Click & Collect au cours des 12 derniers mois (+6 points vs 2015).
Nette progression de la recherche d’informations sur les sites de vente entre particuliers et sur les réseaux sociaux (+4 points) au détriment des moteurs de recherche (-15 points).
Le showrooming est pratiqué par 48% des individus qui déclarent avoir cherché des informations en commerce de proximité avant un achat sur Internet et par 60% pour les grandes enseignes.
D’un point de vue consommateur, les services liés au smartphone sont plus performants pour les grandes enseignes 60 % vs 12 % pour les commerces de proximité.
Pour rappel, cet observatoire a pour mission le monitoring permanent des flux croisés entre digital et magasin physique, aussi bien pour les enseignes que pour les marques. (Research OnLine - Purchase Offline, mais aussi Research OffLine - Purchase Online)
Distribution directe aux consommateurs, un canal malin pour les industrielsGenerix Group
En tant qu’expert du secteur du commerce, Generix
Group aide les industriels à créer du lien avec leurs
clients. Moins aguerris aux exigences du BtoC -
référencement produits, système de paiement en
ligne, stockage, transport adapté aux particuliers,
gestion des retours… - les marques disposent souvent
d’un système d’information inadapté, qu’il faut
repenser pour intégrer l’ensemble des aspects clés
du commerce digital.
la protection du consommateur est devenue nécessaire compte tenu de sa vulnérabilité face aux vendeurs professionnels. Au Maroc, elle fait l'objet de mesures légales regroupées dans le code de la consommation.
Dans cette optique que la FNEM s’est orientée à fin de sauvegarder la santé du client , sa sécurité et ses intérêts économiques, et à lui donner les moyens de défendre ses droits et ses intérêts.
La plate-forme E-consommateur a pour objet de contribuer au développement de la protection des E-consommateurs d’une manière générale, et particulièrement à appuyer ses adhérents dans le développement de leurs activités.
La plate-forme E-consommateur a pour objet exclusif la protection des intérêts du e-consommateur, qui repose sur les droits fondamentaux de celui-ci :
-Le droit à l’information.
-Le droit à la protection de ses intérêts économiques.
-Le droit à la représentation.
-Le droit à la rétraction.
-Le droit au choix.
-Le droit à l’écoute.
Le web-to-store : 5 conseils pour doper votre trafic en magasin : Masterclass...Hervé Bourdon
Décrit comme le nouveau comportement des internautes qui recherchent des informations sur le web afin d’aller acheter les produits en magasin, le web-to-store est loin d’être un simple effet de mode. La nouvelle bataille des marques est donc d’abolir les frontières entre vente en ligne et vente physique en proposant au client des services pertinents s’appuyant sur la complémentarité des canaux.
Quelles sont les nouvelles tendances ?
Comment mettre en place une stratégie web-to-store gagnante ?
[Infographie] Zoom sur les DNVB - Digital Native Vertical BrandsThinkmarket
[Suggestion : affichez le document en plein écran pour éviter la pixellisation]
Les DNVB désignent des marques nées sur le web avec un modèle industriel verticalement intégré (elles maîtrisent la chaîne de valeur de la création, la production, la promotion, la distribution jusqu’à l’expédition au consommateur final).
Décryptage de ce qu'elles recouvrent ainsi que des enjeux business et stratégiques.
Etude PwC sur les web-acheteurs (nov. 2014) PwC France
http://bit.ly/WebAcheteursPwC
Le cabinet d’audit et de conseil PwC publie les résultats de sa 4ème étude mondiale sur le e-commerce, menée cette année dans 19 pays auprès de 19 000 web-acheteurs.
L’étude révèle que les Français qui achètent des produits en ligne délaissent de plus en plus l’achat sur internet pour revenir en magasin. Les enseignes se sont modernisées et leur taux de pénétration est ainsi en hausse de 3,7 points par rapport à 2013, alors que les pure players ont stagné.
Les distributeurs rattrapent leur retard sur les pure players grâce à des investissements pour développer leurs solutions multicanales (click & collect, vérification des stocks, retour en magasin) mais aussi en investissant dans les concepts magasins, pour une meilleure expérience client.
Le modèle économique des pure players pose question, la rentabilité n’étant pas au rendez-vous, même pour les plus grands.
L’année 2014 a connu de nombreuses nouveautés en matière de E-Commerce. D’innombrables opportunités ont émergé pour améliorer les ventes sur les différentes plateformes digitales. Distributeurs traditionnels ou pure players, les frontières du e-commerce bougent : convergence du on et du off dans le retail, multiplication des points d’interactions avec le consommateur, place incontournable du mobile, sont des tendances lourdes. A quoi ressemblera le E-commerce en 2015 ? Voici nos 7 tendances pour 2015 :
L’explosion du digital-store, L’ascension du mobile, Rivalité Pure Players VS Click & Mortars, La prédominance de l’expérience client, L’émergence du social shopping, L’importance du content marketing & SEO, L’incontournable de la livraison et logistique dans le e-commerce
Pour chacune, nous en tirons les impacts sur les consommateurs et sur les marques. Bonne lecture et partagez vos commentaires.
Grande distribution et revolution digitale : multicanal crosscanal magasins c...Sauveur Fernandez
La grande distribution affronte actuellement avec Internet une étape majeure : l’apparition de puissant acteurs du e-commerce couplée à de nouvelles habitudes de e-consommation et à la démocratisation des smartphones obligent les points de ventes physiques à se réinventer rapidement pour maintenir leur leadership, en devenant connectés et en privilégiant un acteur devenu clé : le vendeur. Cet article en deux parties décrit les grands défis : showrooming, multicanal, crosscanal, magasins connectés…
Nouveau - Dossier 2014: Le marché du eCommerce en Espagne.Bastien Develey
Nouveau dossier 2014: Présentation du marché Espagnol du eCommerce.
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Bastien Develey
bdeveley@lachambre.es
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Le showrooming est pratiqué par 48% des individus qui déclarent avoir cherché des informations en commerce de proximité avant un achat sur Internet et par 60% pour les grandes enseignes.
D’un point de vue consommateur, les services liés au smartphone sont plus performants pour les grandes enseignes 60 % vs 12 % pour les commerces de proximité.
Mémoire Licence Professionnelle La multicanalisation des entreprisesAudrey Trebern
Mémoire de Licence Professionnelle Marketing et Commerce sur Internet.
"Aujourd’hui, le terme récurrent lorsque l’on parle d’e-commerce est le multicanal. Cela concerne l’alliance de deux canaux, comme le canal de vente traditionnel et la vente en ligne. Ce terme touche toutes les entreprises, qu’elles soient enseignes traditionnelles ou pure player. Au regard de la situation économique actuelle, la multicanalisation des entreprises semble être l’une des solutions pour perdurer, dans un domaine où la concurrence fait rage. Cette alliance relève de nombreuses opportunités, mais comporte aussi beaucoup de risques, surtout pour une entreprise qui n’y est pas préparée. Plusieurs éléments sont à prendre en compte, afin de développer une stratégie complémentaire entre les deux modèles de retail.
Nous pouvons donc nous demander, dans le contexte économique actuel, à la fois dérouté par une crise économique sans précédent et une montée en puissance du commerce en ligne, les entreprises doivent-elles donc obligatoirement allier canal de ventes traditionnel et site web marchand pour perdurer ?"
E Commerce &Chef De Produit Textile Interselection2010Laurent_Hanout
Les marques et les distributeurs de prêt-à-porter et de textile viennent fortement au e-commerce depuis quelques mois. Quels impacts sur la fonction Chef de Produit ?
Chiffres clés 2016 - Fédération e-commerce et vente à distance (Fevad)yann le gigan
Chiffres clés 2016 - Fédération e-commerce et vente à distance
[fevad.com 15.05.16]
Selon les études publiées par la Fédération E-commerce et Vente à Distance (Fevad) sur plus de 182.000 sites marchands, les ventes sur internet ont continué de progresser en 2015 de 14%
La Fevad publie l’édition 2016 des chiffres clés de l’e-commerce. A travers 8 pages, ce document dresse un état complet de la situation du marché en France et dans le monde à travers les revenus, le secteur de produits, les sites, l’emploi, etc. Le rapport distingue l’e-commerce aux particuliers de l’e-commerce aux professionnels.
http://www.fevad.com/uploads/files/Enjeux2016/Plaquette-Chiffres-2016_Fevad_205x292_format-final_bd.pdf
Thèse orale sophie brugman réussir dans l'e-commerce-mode d'emploisophie brugman
Le document résume la thèse qui correspond à un mode d'emploi pour réussir dans l'e-commerce, c'est à dire créer un site notamment mais qui traite également des différents sujets liés au business de l'e-commerce : logistique, stratégie e-marketing, concurrence, marché, législation, création d'entreprise....
Cela a été dit et répété tout au long de la journée : l’univers du e-commerce se transforme à une vitesse fulgurante. D’où la nécessité de s’adapter rapidement et de se projeter dans le monde de demain.
Le point a été largement fait sur les grandes tendances actuelles et futures. Les discussions et analyses des 28 intervenants, experts et dirigeants, ont porté haut le débat.
L’innovation disruptive, véritable levier de performance et de développement, était au cœur de la réflexion : financement, parcours client, marketing et logistique.
Afin d’offrir le meilleur décryptage de cet écosystème exigent et ambitieux, de nombreuses tables rondes, interviews, et présentations ont rythmé cette nouvelle édition. Autant de partages d’expériences et d’échanges qui ont pu se poursuivre et s’enrichir encore dans l’espace Networking.
Fidèle à ses engagements, la Fevad a réuni au cœur de ce laboratoire d’idées chaleureux et convivial, plus de 600 acteurs et passionnés du e-commerce, pour mettre en perspective le futur qu’il nous appartient de construire.
Si la journée fut studieuse et riche d’enseignements, la soirée fut festive et joyeuse. La Nuit du e-commerce a clôturé de façon fort agréable cet événement, entre musique, cocktails et bonne humeur.
Toute l’équipe de la Fevad remercie chaleureusement l’ensemble des partenaires qui ont participé à l’organisation et contribué à faire de cette 3ème édition des Enjeux e-commerce le rendez-vous incontournable de notre communauté.
Nous vous invitons à retrouver ici les temps forts de cette journée et à poursuivre les échanges initiés à cette occasion.
Nous vous donnons d’ores et déjà rendez-vous l’année prochaine pour les Enjeux e-commerce 2015 et espérons vous retrouver encore plus nombreux pour construire le commerce de demain.
Dans le cadre de la 3ème édition des Enjeux Ecommerce, la Fevad a publié l’édition 2014 des chiffres clés du e-commerce dans une cartographie qui dresse un état complet de la situation du e-commerce en France et en Europe (marché, consommateurs, emplois…).
La France se classe au 6ème rang mondial du commerce en ligne. En 2013, 33,8 millions de personnes ont acheté en ligne, avec près de 18 achats en moyenne par acheteur. Le marché du e-commerce pesait 51,1 milliards d’euros, soit +13,5% par rapport à 2013/2012. Les ventes sur internet comptaient pour 5,5% du commerce de détail. 4,6 millions de Français ont déjà acheté à partir de leur mobile. Les ventes sur l'internet mobile, smartphones et tablettes sont estimées à 2,6 milliards d’euros en 2013, soit +160% par rapport à 2012 et 5% du marché internet. Les sites leaders réalisent 19% de leur chiffre d’affaires sur les terminaux mobiles au 1er trimestre 2014.
En 2013, on comptait 138 000 sites de marchands actifs. Les catégories Voyage/Tourisme (62%), Services (54%) et Produits culturels (52%) comptent le plus d’achats en ligne.
Livre blanc : Les stratégies web pour les franchises et les groupements d'ent...Société 1789.fr
Les stratégies web pour les franchises et les groupements d'entreprises. Découvrez le livre blanc co-écrit par Hegyd et 1789.fr à destination des groupes et des réseaux d'entreprises.
Demarrer et developper une activite e commerce 2014 (support d'atelier)SID-Networks
Support d'atelier permettant à un entrepreneur ou un porteur de projet e-commerce de connaitre et comprendre les points indispensables à ne pas oublier pour démarrer et développer son activité e-commerce.
Définitions,
Quelques chiffres,
Du besoin à la demande (cahier des charges),
Sur votre Site e-commerce : (vente et communication),
Chaland - prospect - client – référent : méthode,
Un site e-commerce à son image,
ergonomie et utilisabilité d'un site,
Moyens de paiement et implications,
Merchandising et e-logistique,
Visibilité, e-marketing référencement et implication sociale,
Obligations légales,
Résumé des coûts à prévoir et/ou envisager.
Questions / réponses.
N'est utile qu'accompagné du discours adapté.
Téléchargement sur demande via contact.
Pour réussir leur transformation numérique, les entreprises de la distribution, de la logistique et du commerce ne pourront se passer d’une plateforme unifiée de données
Similaire à Les acteurs de la vente en ligne en 2014 - INSEE Première Mai 2014 (20)
29ème Observatoire de l’e-pub SRI, réalisé par Oliver Wyman, en partenariat avec l’UDECAM
[sri-france 02.02.23]
En 2022, le marché français de la publicité digitale affiche une croissance de +10% vs 2021, malgré un net ralentissement au 2ème semestre, pour atteindre 8,5 Md€.
19ème observatoire de l’e-pub SRI (bilan 2017)yann le gigan
>>[Etude] 19ème observatoire de l’e-pub SRI (bilan 2017)
[sri-france.org 11.07.17]
19ème édition de l’Observatoire de l’e-pub du SRI, réalisé par PwC, en partenariat avec l’UDECAM
> Télécharger la présentation :
http://www.sri-france.org/wp-content/uploads/2017/07/PwC_Observatoire_S12017.pdf
13e Bilan ARPP " image et respect de la personne 2017 "yann le gigan
13ème BILAN ARPP « IMAGE ET RESPECT DE LA PERSONNE »
[arpp.org 07.09.17]
Dans le cadre de ce 13ème bilan, 50 328 publicités ont été examinées et 25 manquements ont été relevés (dont 12 provenant des affaires traitées par le Jury de Déontologie Publicitaire (JDP) sur la période de 4 mois étudiée), soit un taux de conformité à la Recommandation de l’ARPP « Image et respect de la personne humaine » de 99,95 %, taux qui reste équivalent à ceux des années précédentes. Comme lors du 12ème bilan publié en octobre 2016, l’essentiel des manquements relevés portent sur l’emploi de stéréotypes. Ils sont essentiellement diffusés en bannière ou sur les réseaux sociaux. Ce bilan a été présenté lors des Rencontres de l’UDECAM le 7 septembre 2017.
http://www.arpp.org/actualite/13eme-bilan-arpp-image-respect-de-personne/
Télécharger le pdf :
http://www.arpp.org/wp-content/uploads/2017/09/Bilan-Image-et-respect-de-la-personne-2017.pdf
18ème observatoire de l’e-pub SRI (1er Semestre 2017)yann le gigan
>>[Etude] 18ème observatoire de l’e-pub SRI (1er Semestre 2017)
[sri-france.org 11.07.17]
18ème édition de l’Observatoire de l’e-pub du SRI, réalisé par PwC, en partenariat avec l’UDECAM
> Télécharger la présentation :
http://www.sri-france.org/wp-content/uploads/2017/07/PwC_Observatoire_S12017.pdf
>>Ad Age Agency Family Trees 2016
[siia.net 02.05.16]
Key networks, agencies and holdings for the world’s five biggest agency companies. Estimated worldwide revenue in 2015
https://www.siia.net/archive/neals/2017/filez/562497/562497_13BestInfo_POSTP001_AA_20160502.pdf
« Les usages du numérique en France en 2016 » Credoc / Agence du numérique, A...yann le gigan
>>[Etude] « Les usages du numérique en France en 2016 » Credoc / Agence du numérique, Arcep, Conseil Général de l’Économie
[credoc.fr 01.12.16]
Le CRÉDOC a publié début décembre son étude annuelle « Baromètre du numérique », qui permet de disposer d’un panorama complet de l’équipement des français et de leurs usages des technologies numériques.
http://www.credoc.fr/pdf/Rapp/R333.pdf
[Livre Blanc] Repenser le temps : Rencontres de l’Udecam / 06 septembre 2015yann le gigan
[Livre Blanc] Repenser le temps : Rencontres de l’Udecam / 06 septembre 2015
http://dev.udecam.fr/wp-content/uploads/2016/11/UDECAM_LivreBlanc_RepenserLeTemps_6Septembre20161.pdf
[Livre blanc] « Gouvernance de l’Intelligence Artificielle dans les entrepris...yann le gigan
>>[Livre blanc] « Gouvernance de l’Intelligence Artificielle dans les entreprises » CIGREF
[cigref.fr 28.09.16]
Dans le prolongement de son colloque, le CIGREF publie un Livre Blanc réalisé en partenariat avec le cabinet Alain Bensoussan Avocats. Ce Livre Blanc présente les principales conclusions du Cercle Intelligence Artificielle, créé pour explorer les enjeux managériaux, éthiques, juridiques, liés à la poussée de l’Intelligence Artificielle.
http://www.cigref.fr/wp/wp-content/uploads/2016/09/Gouvernance-IA-CIGREF-LEXING-2016.pdf
Observatoire EY de l’information extra-financière des entreprises du SBF 120 ...yann le gigan
>>Observatoire EY de l’information extra-financière des entreprises du SBF 120 - Nov 2016
[ey.com nov 2016]
Le temps de la maturité : de la maitrise de l’information aux stratégies de durabilité..
http://www.ey.com/Publication/vwLUAssets/ey-observatoire-de-l-information-extra-financiere-des-entreprises-du-sbf120/$FILE/ey-sbf-120-presentation-des-resultats.pdf
2ème édition du Baromètre Annonceurs Mobile SRI-Harris Interactive - Nov 2016yann le gigan
>>2ème édition du Baromètre Annonceurs Mobile SRI-Harris Interactive
[sri-france.org 01.12.16]
Au 1er semestre 2016, avec une croissance de 71%[2], les investissements sur mobile explosent. Afin de dresser un nouvel état des lieux de la perception du mobile et de son intégration dans les stratégies médias, le SRI a choisi de reconduire l’étude qualitative menée en 2014[3] par Harris Interactive auprès des annonceurs.
http://www.sri-france.org/2016/12/01/2eme-edition-barometre-annonceurs-mobile-sri-harris-interactive/
Télécharger la présentation de l’étude :
http://www.sri-france.org/wp-content/uploads/2016/12/Prez-Barometre-Annonceurs-Mobile-SRI-Harris-Interactive-NOV16.pdf
>>[Etude] Baromètre Adblock IPSOS - IAB 2016
[ipsos.fr 21.11.16]
Le taux d'usage de l'ad-blocking en France passe de 30 à 36% selon une étude réalisée par Ipsos pour l'IAB France
http://www.ipsos.fr/sites/default/files/doc_associe/20160309-iab-etude_ad_blockers_-_v5_0.pdf
Livre blanc Arcep : Préparer la révolution de l’internet des objets yann le gigan
>>[Livre Blanc] Préparer la révolution de l’internet des objets
[arcep.fr 07.11.16]
Document n° 1 – Une cartographie des enjeux
DGE - Cnil - ANFR - Ministère du Logement et de l’Habitat durable - ANSSI - France Stratégie
http://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/livre_blanc_IoT-01-cartographie-071116.pdf
Les résultats du marché publicitaire 1er semestre 2016 – Irep / France Pub yann le gigan
Les résultats du marché publicitaire au 1er semestre 2016 : Le marché renoue avec la croissance
[irep.asso.fr 23.09.16]
Les recettes publicitaires des médias selon l’IREP
Les dépenses de communication des annonceurs selon FRANCE PUB
http://www.irep.asso.fr/download.php?id=115&module=news&type=file
« Dirigeants vs Millenials » 5 recommandations pour supporter le choc numérique yann le gigan
>>[« Dirigeants vs Millenials » 5 recommandations pour supporter le choc numérique
[culturenumerique.eu 25.09.16]
rapport du Think Tank #culture_numerique - saison 3
http://www.culturenumerique.eu/CultureNumerique_Saison3.pdf
Partage ! - cahiers IP innovation & prospective de la CNIL - Juin 2016yann le gigan
>>[Etude] Partage ! - cahiers IP innovation & prospective de la CNIL
[cnil.fr juin 2016]
Motivations et contreparties au partage de soi dans la société numérique.
Partage de la valeur, enjeux de pouvoirs et de régulation.
https://www.cnil.fr/sites/default/files/atoms/files/cnil_cahier_ip_partage_version_finale_web_1.pdf
Marché du livre belge 2015 - ADEB (papier + numérique)yann le gigan
Le Numérique (p. 6-9)
En 2015, la part du numérique représente 9,66 % du total du chiffre d’affaires en langue française (contre 8,62 % en 2014). Toutes langues confondues (en éditions propres), elle grimpe jusqu’à 19,3 % du chiffre d’affaires total (papier et numérique) en 2015, contre 16,6 % en 2014. Le pourcentage du numérique s’avère nettement au-dessus de la moyenne européenne. En cause, la spécificité de notre édition avec une part importante référée aux sciences humaines (base de données juridique,
fiscale, comptable...)
http://adeb.be/sites/502a034d9f83256166000004/assets/576a327a1dd6476da9005d21/StatADEB2016_synth_se.pdf
Marché du livre belge 2015 - ADEB (papier + numérique)
Les acteurs de la vente en ligne en 2014 - INSEE Première Mai 2014
1. Les acteurs de la vente en ligne en 2014
Versunemeilleurearticulationaveclespointsdeventephysiques
E
n 2014, 15 % des sociétés installées en France, occupant dix personnes ou plus,
proposent la vente de biens ou services sur Internet. Elles emploient environ 112 000
personnes, hors sous-traitance, pour la gestion de cette activité, qui représente 3,7 %
du chiffre d’affaires de l’ensemble des sociétés occupant plus de dix personnes en 2013.
Ce canal de vente concerne de plus en plus de sociétés, surtout dans les secteurs du
commerce et des services. La moitié d’entre elles utilise le site web de leur groupe ou de leur
enseigne et plus du quart un site web revendeur ou affilié. Les liens entre activité de vente
en ligne et points de vente physiques se développent ; les offres commerciales sont alors
le plus souvent identiques ou articulées entre les différents canaux. Le retrait des commandes
en points de vente physiques devient par exemple la norme dans le commerce de détail.
La vente en ligne est d’abord un moyen de toucher une clientèle plus large ; elle participe
au développement de l’ensemble de l’entreprise sans avoir nécessairement un objectif
de rentabilité pour elle-même. L’international est vu comme un relais de développement
de la vente web, principalement dans l’hébergement ou pour les acteurs les plus anciens.
Nicolas Cavallo, division commerce, Insee
Parmi les sociétés implantées en France,
celles occupant au moins dix personnes
(sources) réalisent plus de 90 % des ventes
sur Internet. En 2013, la vente en ligne
représente 3,7 % de leur chiffre d’affaires.
Cette part a augmenté de 0,9 point depuis
2009, mais reste légèrement plus faible que
dans l’ensemble de l’Union européenne
(4,8 % ; figure 1). C’est essentiellement la
vente en ligne aux particuliers, dite B to C
(business to consumer), qui a progressé en
France : son poids atteint 1,8 % en 2013, en
hausse de 0,8 point depuis 2009. Pour ce
type de vente, la France est dans la
moyenne européenne (1,9 %).
De nombreux secteurs sont engagés
dans la vente en ligne
En 2014, 15 % des sociétés installées en
France et occupant au moins dix person-
nes proposent la vente de biens ou servi-
ces en ligne via un site web, y compris
via des sites revendeurs (figure 2). Ces
acteurs de la vente en ligne (définitions)
emploient 30 % des salariés du champ.
Ils appartiennent principalement aux
secteurs du commerce (42 %) et des
services (43 %). Dans le commerce, un
quart des sociétés du champ proposent la
vente en ligne. Cette proportion atteint
Mai 2015
N° 1547
1
Poids de la vente web totale et de la vente web B to C dans le chiffre d’affaires
des entreprises européennes en 2013
Lecture : en 2013, 3,7 % du chiffre d’affaires des entreprises françaises occupant au moins dix personnes est réalisé sur
Internet et 1,8 % si on se restreint aux ventes web B to C seulement.
Champ : sociétés d’au moins 10 personnes implantées en Europe des secteurs principalement marchands hors secteurs
agricole, financier et d’assurance.
Source : Eurostat, enquête TIC 2014.
2. 32 % dans le commerce de détail, culminant
à 90 % dans le secteur de la vente à distance.
Dans les services, la vente en ligne est moins
fréquente (18 % des sociétés), mais l’héber-
gement et le voyage s’y distinguent (respec-
tivement 76 % et 56 %). Dans l’ensemble du
champ, parmi les sociétés qui ne sont pas
acteurs de la vente en ligne, 6 % ont pour
projet de le devenir. Cette proportion atteint
12 % dans le commerce.
La vente en ligne touche un nombre crois-
sant de secteurs. Ainsi, le secteur de la vente
à distance pèse de moins en moins dans les
ventes en ligne aux particuliers, 16 % en
2013 contre un tiers dix ans plus tôt, malgré
la hausse de leur activité sur Internet. De
plus, la moitié des sociétés de la vente à
distance disposant d’un site web marchand
propose ce service depuis plus de neuf ans
alors que, tous secteurs confondus, la moitié
des acteurs de la vente en ligne a débuté
cette activité dans les quatre dernières
années.
La vente sur Internet concerne plus fréquem-
ment les plus grandes sociétés : 29 % des
sociétés de plus de 500 personnes occupées
proposent la vente de biens ou services via
un site web, qui représente 5,0 % du chiffre
d’affaires des sociétés de cette taille, contre
respectivement 14 % et 1,2 % pour les socié-
tés occupant entre 10 et 19 personnes. Ces
grandes sociétés ont ainsi capté 60 % des
ventes sur Internet en 2013. Enfin, les acteurs
de la vente en ligne appartiennent plus
fréquemment à un groupe (40 % contre 29 %
des autres sociétés du champ) ou à un réseau
d’enseigne (33 % contre 11 %).
Les acteurs de la vente en ligne
consacrent 4 % de leurs effectifs
à la gestion des ventes web
La gestion des ventes web comprend la
logistique et les activités commerciales et
de communication associées à ces ventes
ainsi que la gestion du site web hors héberge-
ment. En 2014, elle occupe environ 112 000
personnes en équivalent temps plein au sein
des acteurs de la vente en ligne (hors sous-
traitance), soit 4 % de leurs effectifs. La
plupart de ces emplois sont situés dans les
sociétés des secteurs du commerce (48 %) ou
des services (42 %). Leur poids est beaucoup
plus important pour les acteurs de plus petite
taille, indiquant une spécialisation plus forte
dans les activités web. Ils représentent ainsi
un quart des emplois des acteurs de la vente
en ligne occupant entre 10 et 19 personnes et
13 % de ceux occupant entre 20 et 49 person-
nes, contre 1 % seulement de ceux occupant
au moins 500 personnes.
Plus des deux tiers des acteurs de la vente en
ligne recourent au moins partiellement à la
sous-traitance pour la gestion des ventes
web, mais seulement 12 % des acteurs la
sous-traitent en totalité. C’est la gestion
informatique ou technique du site web, hors
hébergement, qui est la plus fréquemment
sous-traitée (62 % des acteurs), suivie des
activités commerciales et de communica-
tion (43 % des acteurs).
Disposer de son propre site n’est pas
la seule option
Si la majorité des acteurs de la vente en ligne
(69 %) possède son propre site web marchand,
de nombreux acteurs emploient d’autres
moyens pour vendre sur Internet. La moitié
d’entre eux utilise le site web de leur groupe
ou de leur enseigne, et plus du quart un site
web revendeur ou affilié. Les acteurs de la
vente en ligne peuvent donc proposer leurs
biens ou services sur plusieurs sites web à la
fois : seuls 37 % des acteurs le font unique-
ment via leur propre site web. Dans l’héber-
gement, l’utilisation de plusieurs types de
sites web est plus fréquente, en raison du
recours très important à des sites revendeurs
(77 % des acteurs). Un quart des acteurs de la
vente en ligne a aussi développé un site
mobile ou une application web adaptée aux
appareils portables, qui permet de recevoir
des commandes.
Les acteurs de la vente en ligne
mobilisent davantage les données clients
Les acteurs de la vente en ligne valorisent
davantage les données clients : 45 % d’entre
eux disposent d’une application « CRM »
pour la gestion de la relation client contre
21 % des sociétés ne vendant pas sur le
web. Plus précisément, 35 % d’entre eux
en disposent et l’utilisent pour analyser
l’information sur les clients à des fins de
marketing, contre 12 % pour les autres. En
outre, 44 % des acteurs disposant d’un site
en propre, ou partagé au sein de leur groupe
ou de leur réseau, personnalisent le contenu
de ce site pour leurs visiteurs réguliers. Les
acteurs de la vente en ligne sont également
plus susceptibles de payer pour diffuser de
la publicité sur Internet : 41 % d’entre eux le
font contre seulement 13 % des sociétés ne
vendant par sur le web. La plupart des
acteurs de la vente en ligne (84 %) propo-
sent le paiement de la commande en ligne.
Cependant, seule la moitié de ceux qui
vendent exclusivement aux entreprises ou
aux administrations sur le web propose ce
type de paiement. Le paiement hors ligne (à
la livraison, chèque, etc.) est alors privilé-
gié : 87 % le proposent contre 65 % chez les
autres acteurs.
Les acteurs multicanaux proposent
souvent les mêmes offres commerciales
quel que soit le canal
Les trois quarts des acteurs de la vente en
ligne sont « multicanaux », disposant de
leurs propres points de vente physiques
(magasins, hôtels, guichets, etc.). Pour la
grande majorité d’entre eux (86 %), la vente
sur Internet a complété une activité de
commercialisation déjà existante en points
de vente physiques. Pour s’adapter à ce
nouveau canal de vente, ils ont souvent mis
en place une stratégie multicanale visant à
homogénéiser leurs offres commerciales
quel que soit le mode de vente. Ainsi, 84 %
des acteurs multicanaux appliquent généra-
lement les mêmes prix entre points de vente
Insee Première n° 1547 - Mai 2015
Proportion
d’acteurs
de la vente
en ligne
en 2014
Poids des ventes web dans
le chiffre d’affaires des acteurs
de la vente en ligne en 2013
Poids des ventes web
dans le chiffre d’affaires
total 2013
Ventes web Ventes web
Total B to C Total B to C
Ensemble 15 13,0 6,3 3,7 1,8
Commerce 26 13,3 4,8 4,5 1,6
Commerce de détail 32 8,6 7,9 4,7 4,3
dont vente à distance 90 76,3 72,9 70,6 67,4
Commerce de gros 21 15,8 1,6 3,9 0,4
Commerce et réparation automobile 22 24,7 3,5 7,0 1,0
Services 18 19,3 11,3 6,6 3,8
Hébergement 76 28,8 17,5 19,1 11,6
Transports 6 25,4 14,7 14,0 8,1
Voyages 56 45,8 39,9 26,5 23,0
Information et communication 23 14,6 11,5 7,6 6,0
Restauration 20 6,7 5,6 1,2 1,0
Autres services marchands 9 15,1 3,1 2,7 0,6
Autres (Ind. manufacturière, électricité,
gaz, eau et assainissement, construction) 6 6,5 3,8 1,3 0,8
2
Poids de la vente en ligne en France
en %
Lecture : en 2014, 26 % des sociétés d’au moins 10 personnes du commerce sont des acteurs de la vente en ligne. Les ventes web
qu’elles ont générées en 2013 représentent 13,3 % de leur chiffre d’affaires et 4,5 % du chiffre d’affaires total de l’ensemble des
sociétés du commerce occupant au moins 10 personnes, tandis que les ventes web B to C représentent 4,8 % de leur chiffre d’affai-
res et 1,6 % du chiffre d’affaires total.
Champ : sociétés d’au moins 10 personnes implantées en France des secteurs principalement marchands hors secteurs agricole,
financier et d’assurance.
Source : Insee, enquête TIC 2014.
3. physiques et site web et seuls 12 % d’entre
eux vendent certains biens ou services exclu-
sivement en ligne. Par ailleurs, les program-
mes de fidélité, proposés par 71 % des
acteurs multicanaux, sont identiques entre
les canaux dans trois quarts des cas. De plus,
les deux tiers des acteurs multicanaux qui
pratiquent des opérations commerciales
ponctuelles sur leur principal site web
marchand le font de façon simultanée avec
leurs points de vente physiques. Enfin, la
vente en ligne conduirait même à transfor-
mer les canaux traditionnels de vente : 22 %
des acteurs multicanaux permettent aux
clients de passer des commandes en ligne
dans leurs points de ventes physiques, avec
l’aide d’un vendeur ou sur du matériel mis à
disposition.
Le retrait en point de vente physique
devient la norme dans le commerce
de détail
Les options de livraison proposées par les
acteurs de la vente en ligne dépendent en
grande partie des biens ou services vendus.
Dans les services, la moitié des acteurs n’est
pas concernée par la livraison ou l’émission
de billets (voyage, transport, etc.), mais un
quart propose la livraison dématérialisée
(téléchargement, impression, etc.), contre
respectivement 14 % et 8 % dans le commerce
(figure 3).
La livraison à domicile ou sur le lieu de
travail reste en 2014 la principale option de
livraison, disponible auprès de 47 % des
acteurs. Le retrait en point relais ou en
consigne reste une spécificité du secteur de
la vente à distance : il est proposé par 59 %
des sociétés du secteur vendant sur Internet
contre 8 % pour l’ensemble des acteurs. Le
retrait en point de vente physique ou dépôt
de l’entreprise, proposé par 37 % des
acteurs de la vente en ligne, tend à devenir
la norme dans le commerce de détail : il
concerne 72 % des sociétés contre 48 %
dix années auparavant. Ce « click and
collect » (achat sur Internet et retrait en
boutique), permet aux acteurs de la vente
en ligne d’économiser le coût de la livrai-
son à domicile et d’amener des clients en
boutique. Adopté par un nombre croissant
d’acteurs historiques, il est surtout
l’unique mode de livraison des nouveaux
acteurs du secteur : 42 % des sociétés du
commerce de détail ayant débuté leur acti-
vité de vente en ligne en 2012 ou après
n’offrent que ce mode de retrait contre
14 % des acteurs plus anciens. Les grandes
surfaces d’alimentation représentent 70 %
des sociétés ne proposant que la livraison
dans leurs points de vente physiques, sans
doute en lien avec l’essor du « drive ».
Ainsi, la livraison à domicile pour les
ventes en ligne reste une option dominante,
mais qui s’effrite dans le commerce de
détail : elle n’est plus proposée que par
66 % des sociétés vendant sur le web en
2014 contre 95 % dix années auparavant.
La vente en ligne, un moyen d’étendre
sa clientèle
La vente sur Internet n’a pas obligatoire-
ment pour objectif d’être rentable en soi. En
2014, la moitié des acteurs de la vente en
ligne déclare ne pas avoir d’objectif de
rentabilité pour cette forme de vente : ils
étaient 15 % dans ce cas dix ans auparavant.
Pour 14 % des acteurs, la vente sur Internet
a même eu un impact négatif sur leurs
marges des douze mois précédant l’enquête,
alors que 17 % considèrent qu’elle les a
augmentées (figure 4). L’impact négatif sur
les marges domine dans le commerce de
détail et l’hébergement.
La vente sur Internet s’inscrit plutôt dans
une stratégie globale de l’entreprise permet-
tant d’étendre sa clientèle : pour 45 % des
acteurs, celle-ci a augmenté au cours de
l’année passée grâce aux ventes web, alors
que seulement 3 % déclarent l’inverse. La
vente en ligne a aussi un effet positif sur
l’activité des points de vente physiques
existants pour 19 % des acteurs multica-
naux, et négatif pour seulement 9 % d’entre
eux. Par ailleurs, elle aurait amélioré
l’emploi dans les douze mois précédant
l’enquête pour 13 % des acteurs, mais
l’aurait détérioré pour 5 % d’entre eux.
Pour développer leurs ventes web, rendre le
site plus visible est l’un des deux principaux
axes stratégiques pour plus de la moitié des
Insee Première n° 1547 - Mai 2015
3
Types de livraison proposés par les acteurs de la vente en ligne
Lecture : 13 % des acteurs de la vente en ligne du commerce proposent la livraison en point relais ou en consigne. Un même acteur
peut proposer plusieurs types de livraison.
Champ : acteurs de la vente en ligne d’au moins 10 personnes implantés en France des secteurs principalement marchands hors
secteurs agricole, financier et d’assurance.
Source : Insee, enquête TIC 2014.
4
Solde d’opinion sur l’impact des ventes web au cours des 12 mois précédant l’enquête
Lecture : le solde d’opinion correspond à la différence entre la proportion de répondants ayant exprimé une opinion positive et celle
ayant exprimé une opinion négative. Par exemple, dans l’hébergement, 33 % des acteurs de la vente en ligne déclarent que cette
activité a dégradé leurs marges alors que 26 % déclarent qu’elle les a améliorées, le solde d’opinion est donc égal à – 7.
Champ : acteurs de la vente en ligne d’au moins 10 personnes implantés en France des secteurs principalement marchands hors
secteurs agricole, financier et d’assurance. Le solde d’opinion sur l’activité des points de vente physiques concerne seulement les
acteurs multicanaux.
Source : Insee, enquête TIC 2014.