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République Algérienne Démocratique et
Populaire
Faculté: SNV.
Département: biologie animale.
Spécialité: Parasitologie médicale et
vétérinaire. (M2)

Les Méthodes de lutte
❀ Abir
❀sofia
SOMMAIRE
INTRODUCTION

Partie A : la lutte antivectorielle.
1- La lutte intégrée.
2-la lutte chimique.
3-la lutte biologique.
4-la lutte génétique.
5-La lutte mécanique ou physique
Partie B : Contrôle des foyers de
mollusques hôtes intermédiaires.
conclusion
Introduction :
Deux méthodes peuvent être mises en

œuvre pour la lutte contre les maladies
transmises par les arthropodes et les
mollusques, l’une visant à détruire l’agent
pathogène, l’autre orientée contre le
vecteur de la maladie.

Ces deux méthodes sont appliquées

complémentairement dans le cas où les
moyens thérapeutiques sont insuffisants
pour enrayer la maladie.
Mais la seconde méthode peut
intervenir seule lorsque ces moyens
thérapeutiques font défaut ou
lorsqu'ils sont difficiles à appliquer dans
une campagne de masse.
Etant donné le rôle important que

jouent les vecteurs dans l’hygiène et la
santé publiques, il est indispensable de
définir clairement les concepts et les
modalités des méthodes de lutte qui
leur sont applicables. L’expression (lutte
contre les vecteurs) implique une idée
de destruction. Mais la question qui
vient immédiatement à l’esprit est la
suivante :
Peut-on détruite tous les vecteurs ?
Partie A : la lutte antivectorielle.
La lutte antivectorielle intégrée peut

être considérée comme l’emploie de toutes
les méthodes appropriées, tant sur le plan
technique que sur celui de la gestion , pour
obtenir une réduction efficace des
populations des vecteurs dans des bonnes
conditions de rentabilité.
Ainsi conçue, la lutte antivectorielle

intégrée n’est pas une notion nouvelle
dans le domaine de la lutte contre les
maladies par biais d’une action sur les
vecteurs, lorsqu’on a pu démontrer avec
certitude et faire admettre le rôle des
vecteurs dans la transmission des
maladies, les mesures recommandées
contre ces agents, au niveau de la lutte
et de la gestion étaient les suivantes:
1- Protection individuelle, par l’emploi de
grillages et moustiquaires et par
l’utilisation de produits répulsifs.
2- Aménagement des écotypes et réduction
des sources de vecteurs, par le drainage
des points d’eau et la destruction des
gîtes larvaires artificiels.
3- Emploi d’insecticides, aussi bien contre
les larves que contre les insectes
parfaits.
4- Formation et éducation.
Définition: ou biocide comprend l’utilisation
d’insecticides pour diminuer l’abondance des
vecteurs en ciblant un ou plusieurs stades de
développement (larves, adultes). Les
insecticides regroupent différentes
molécules appartenant à plusieurs familles
chimiques (organophosphorés, carbamates,
pyréthrinoïdes, bio-insecticides, etc.) et
ayant des modes d’action variés.
La lutte chimique se pratique à l'aide de
substances naturelles ou de synthèse qui
provoquent la mort des arthropodes par
empoisonnement.
Les substances retenues pour leur action
sur les arthropodes doivent présenter un
certain nombre de qualités.
Les insecticides les plus connus et
++utilisables sont:
 Le DDT.
 Les cyclodiènes.
 Les esters phosphoriques .
 Les carbamates.
 Les pyréthrines.
 Les rétinoïdes.
 Les synergisants
Le DDT agit d'abord sur le système nerveux, aussi
bien chez les vertébrés que chez les invertébrés.
On a montré que le DDT intervient dans la répartition
des ions K+ à l'intérieur du nerf.



Les cyclodiènes: Le mode d'action des cyclodiènes
est encore assez mal expliqué. Il semblerait que
ces insecticides agissent sur les nerfs en formant
des complexes avec la membrane nerveuse,
modifiant de cette façon les propriétés de celle-ci.
On n'a pas pu démontrer Que ces composés
possèdent une activité antienzyme.
 Les esters phosphoriques: Les insecticides
organophosphorés provoquent chez l'insecte une
excitabilité suivie de tremblements notamment des
extrémités et finalement une paralysie et la mort.
Ces symptômes apparaissent au bout de temps plus
ou Moins longs.

L’insecticide n'est que très rarement dispensé
à l'état pur. On l'utilise le plus souvent
additionné de substances supplémentaires ou
solvantes qui lui confèrent une meilleure
adaptation à la lutte envisagée. Plusieurs types
de formulations sont employés dans la lutte
contre les arthropodes.
Les poudres.
Les poudres mouillables.
Les granules.
Les briquettes.
Les solutions.
Les émulsions.
Quatre types principaux d'appareils
permettent le traitement aux insecticides
sous forme d’aérosols :
a) les appareils dans lesquels la pression
s'exerce sur le liquide, mais aux quelques
on a ajouté un système de filtration qui ne
laisse passer que les plus fines
gouttelettes.
b) ceux qui permettent la vaporisation de
l'insecticide
grâce
à
une
source
chauffante.
c) ceux dans lesquels l'insecticide, en solution
dans un solvant huileux à point éclair élevé,
est expulsé par un courant gazeux chaud ; le
brouillard se forme par condensation du
solvant à la sortie de l'appareil.
d) ceux qui produisent des aérosols à froid,
dans lesquels l'insecticide est en solution
dans un gaz vaporeux.
La stratégie de choix d’un insecticide
pour la lutte collective dépend du contexte
épidémiologique (traitements adulticides
pertinents en cas d’épidémie) mais aussi de
l’espèce de moustique concernée :
pour lutter contre les moustiques des genres
Aedes et Culex, l’insecticide doit être
larvicide (gîtes larvaires d’eaux stagnantes
assez limités dans l’espace).
pour la LAV dirigée contre les Anophèles, le
choix d’un insecticide actif sur le stade
adulte est le plus approprié (moustiquaires
imprégnées,
pulvérisations
intradomiciliaires)
larvicide:
 matière active: Temephos
faible toxicité: 2g/kg

adulticide:
 matière active:
fénitrothion

Toxicité moyenne: 0,5g/kg
2-Les répulsifs
Les répulsifs sont très peu utilisés dans
le domaine vétérinaire.
Certains propriétaires de chevaux utilisent
des produits à base de citriodiol ou
d’icaridine. Pour l’Homme, il existe pour le
moment 4 grands types de molécules le
citriodiol à appliquer sur la peau ou sur les
vêtements pour empêcher les piqûres de
moustiques.
Les répulsifs ont en général sur la peau
une durée d’action assez courte, de l’ordre
de quelques heures, alors que des vêtements
ou moustiquaires traités avec des répulsifs
peuvent conserver leurs propriétés pendant
plusieurs semaines.
L’emploi d’attractifs pour augmenter
l’efficacité de pièges n’est rencontré
quasiment que dans la lutte contre les
glossines.
La lutte biocide doit être associée à
d’autres mesures de LAV puisque bon
nombre des substances insecticides ont un
impact négatif sur l’environnement ainsi que
sur les professionnels de la démoustication
(certains
insecticides
sont
des
cancérogènes, des neurotoxiques ou des
perturbateurs endocriniens potentiels). De
plus, utilisés seuls, ils représentent une
pression
de
sélection
favorable
à
l’émergence de populations de moustiques
résistants.
L’apparition et la
diffusion des
phénomènes de
résistances aux
insecticides
chimiques, les
effets de ces
substances sur les
écosystèmes,
et l’impossibilité d’intervenir sur
certains arthropodes sauvages avec des
méthodes classiques sont autant de raisons
qui ont fait rechercher d’autres méthodes
pour pallier ces inconvénients.
Le principe de la lutte biologique est
d’utiliser un « ennemi naturel » d’un
arthropode pour en diminuer les
populations et ainsi réduire les risques
de transmission du pathogène,
On peut séparer les agents de lutte
biologique en prédateur et pathogène.

Il existe des larves de moustiques
prédatrices d’autres larves. Par exemple,
les Toxorhynchites ( grosse moustique non

pathogène pour l’homme )présentent des
larves très voraces qui se développent dans

de petits gîtes comme les creux d’arbres ou
les feuilles engainantes. Son emploi pourrait
être envisagé contre les moustiques
vecteurs des forets humides et des espaces
péri domestiques
 Certaines espèces de poissons sont

utilisées notamment dans les rizières dans
la lutte contre le paludisme.
L’utilisation des poissons -mais cela est
aussi généralisable pour les autres
prédateurs- ne peut être efficace que
s’ils sont très abondants, non
consommables et non compétitifs
d’espèces consommables, et relativement
spécifiques de l’espèce cible (mais pas
trop pour survivre en l’absence de ces
proies).
Parmi ces prédateurs ce sont des
poissons entomophage :
Gambosia affinis,
le gappy Poecilia reticulata ou d’autre
genre de Poelicia qui ont été les plus
utilisés dans la lutte contre les
moustiques. L’efficacité de ces
prédateurs est excellente dans les
petites collections d’eau .

Il y a aussi les têtards qui
constituent aussi un facteur limitant de
la prolifération des larves de
moustiques .
Les pathogènes des arthropodes peuvent être des
virus, Des bactéries, des rickettsies, des
champignons ou des parasites……
La toxine d’une bactérie bacilus thuringiensis
israelensis est actuellement largement utilisée dans
la démoustication contre les simulies vectrices de
l’onchocercose dans certains pays en
remplacement des insecticides chimique, dont
l’exotoxine soluble est toxique pour ces insectes,
on peut le trouver sous plusieurs formes: (poudre ,
émulsion , poudre mouillable)


Il y a certain arthropodes parasite d’autre
arthropodes ce sont des parasitoïdes.

La guêpe spalangia nigroaanea pont ces œufs
dans la pupe de diptère que ces larves parasitent ,
cette guêpe est utilisé comme un des moyen de
lutte contre les stomoxes.
 Les microsporidies qui pourraient être utilisées
en lutte antivectorielle sont Nosema algerae
,Vavraia culicis, et les microsporidies des
schistosomes.
N.algerae est principalement un parasite des larves
et adultes d’Anophéles ,tandis que V.culicis parasite
les culicinés.





Pour

les

champignons
le
genre
Coelomomyces possède une vaste gamme
d’hôte ,quelques espèces étant même caables
de s’attaquer à des moustiques appartenant
à des genres différents, dont ils Sont
capables de provoquer de véritables
épizooties dans les population larvaires avec
des mortalités supérieures à 90%.
Les nématodes Mermithidés sont des
agents efficace dont des essais sur le
terrain réaliser par la dispersion de larves
pré infestantes de Reesimermis nielseni ont
montrer que l’on pouvait artificiellement
parasiter des larves d’Anopheles.


Les applications sur le terrain de méthodes
de lutte biologique restent encore rares à
cause des faibles connaissances sur
l’écologie des agents potentiels de lutte
biologique et sur les difficultés rencontrées
dans l’évaluation de l’efficacité de ces
méthodes . À noter que la lutte biologique
est depuis longtemps déjà utilisée par les
agronomes dans la lutte contre les ravageurs
des cultures et des forets .
Lutte génétique
On définit « l’emploi de
toutes les conditions et
méthodes de
traitement susceptibles
de réduire le potentiel
reproductif des formes
nuisibles par une
altération ou un
remplacement du
matériel héréditaire »
La principale est la technique dite des mâles
stériles, Le principe est simple. Chez des espèces
dont la femelle s’accouple une seule fois dans sa
vie, l’accouplement avec un mâle stérilisé entraîne
l’absence de descendance viable. On peut donc
élever des mâles, les stériliser par rayonnements,
par chimio stérilisants ou par introduction d’un
gène de stérilité, et les lâcher en masse pour
qu’en s’accouplant avec les femelles de la souche
locale ils les rendent infécondes. Il faut
cependant que les mâles stérilisés gardent leur
compétitivité par rapport aux mâles sauvages, et
que leur élevage en masse soit facile.. Cette
technique a été utilisée avec succès dans la
lutte contre les glossines.
Il existe la technique de croisement de
certaines populations d’une même espèce
qui peut produire des œufs stériles : on
parle d’« incompatibilité ».
Ce sont des rickettsies du genre Wolbachia
qui sont responsables de ces
incompatibilités dites cytoplasmiques.


exemple, chez Culex pipiens,
moustique commun vecteur par exemple
du virus de la fièvre du Nil occidental,
Wolbachia pipientis est transmise par la
femelle à la descendance.

 Par


Seule l’infection des mâles entraîne
l’incompatibilité, et donc le lâcher de
mâles infectés entraîne une diminution de
la fertilité des femelles, et peut dans
certains cas équivaloir à la technique des
mâles stériles. Il n’existe pas, à l’heure
actuelle, de programme sur le terrain
utilisant cette technologie dans la lutte
contre un vecteur.


Cette technique apparaît très élégante,



En revanche, elle est extrêmement
chère et est à préconiser dans des
buts d’élimination des populations de
vecteurs d’une zone géographique
donnée, pour laquelle on s’est assuré de
l’impossibilité d’une recolonisation.

parfaitement spécifique, non polluante et
sans danger.
lutte mécanique
Definition: C’est les méthodes
de capture des vecteurs (dans un but de
diminution de l’abondance), celles
qui s’opposent au contact hôte/vecteur
et, par extension, les méthodes
d’évitement du contact avec l’hôte.
En effet, la première méthode qui vient à l’
esprit pour diminuer, voire éliminer, les
populations de vecteurs, est de capturer le
plus grand nombre d’individus pour les détruire.
Une grande variété de méthode est utilisable,
depuis le simple « détiquage » des animaux,
jusqu’à des pièges élaborés pouvant employer
un attractant olfactif. C’est sans conteste
pour la capture des glossines que les pièges
présentent le plus haut degré de raffinement.
Des pièges spécifiques et très attractifs, mis
au point dans les années 1970, peuvent être
utilisés avec efficacité pour diminuer fortement
l’abondance des glossines.
Il est vrai, cependant, que les
glossines présentent des taux de
reproduction extrêmement faibles (au
maximum 9 descendants au cours de la vie
d’une femelle), et que ce type de lutte est
illusoire contre des vecteurs plus
prolifiques comme les Culicoides ou
les stomoxes, Lorsque l’on pense à une
méthode mécanique pour s’opposer au
contact hôte/vecteur, la première idée
est celle de la moustiquaire, utilisée
dans la lutte contre le paludisme
Partie B : Contrôle des foyers de
mollusques hôtes intermédiaires.
En première analyse, le contrôle des foyers
de mollusques en zones d’endémie parasitaire
semble être une mesure essentielle pour
lutter contre les helminthiases concernées. Il
s’avère que la prophylaxie de ces infections
n’est efficace que si elle associe des mesures
appliquées simultanément à plusieurs niveaux.
La chimio-prophylaxie de masse des hôtes
définitifs doit obligatoirement être mise en
place afin de limiter la dissémination des œufs
d’helminthes dans l’environnement.
Le contrôle des populations de mollusques fait
appel à des méthodes très diverses :
Le contrôle chimique
 Le contrôle biologique
 Le contrôle chimique à l'aide de végétaux
 Le contrôle par voie écologique

Un molluscicide doit nécessairement répondre à
certains critères. Il doit :
- être sûr, c'est-à-dire non toxique pour les
organismes cibles.
-être biodégradable, c'est-à-dire sans effet
indésirable inacceptable au niveau de la chaîne
alimentaire.
- pouvoir être conservé dans de bonnes conditions
avoir un rapport coût/efficacité acceptable.
À l'heure actuelle, le molluscicide de
choix est le Niclosamide commercialisé
sous le nom de Bayluscide®.
Un produit analogue est connu en Egypte
sous le nom de Mollutox®.
Le Niclosamide en poudre mouillable à
70% de produit actif a été utilisé par le
programme de lutte.
Selon la nature du point de contact, deux modes
d'application sont utilisés:
- L'application globale pour les petites quantités
d'eau : mares, petits lacs de retenue en voie
d'assèchement.
- L'application focale pour les grands plans d'eau,
limitée au voisinage des points de contact.
Le produit molluscicide sera appliqué sur toute la
longueur du point de contact, plus 15 à 20
mètres C'est ensuite seulement que le volume
d'eau est estimé.
Dans tous les cas, la quantité de
Bayluscide® calculée est pesée et
répartie dans des sachets de 250 g.
Chaque sachet est ensuite mélangé dans
un seau d'eau avant pulvérisation. Lors
de l'épandage, il faut bien asperger les
plantes aquatiques et si possible rentré
dans l'eau, avec des bottes, pour la
brasser afin d'avoir une meilleure
répartition du produit.
Les gastéropodes hôtes intermédiaires
ont de nombreux ennemis naturels a été
expérimenté à plusieurs niveaux:
micro-organismes pathogènes: pour le
mollusque, compétition interspécifique de
parasites pour une espèce donnée de
mollusque.
Prédateurs comme les poissons :


Soit phytophages par exemple :
Ctenopharyngodon idella . cette dernière
espèce empêchant la prolifération des
gastéropodes en se nourrissant de plantes
aquatique.

Ctenopharyngodon idella.
Soit peuvent être utiles comme agents
de lutte contre les gastéropodes, soit
qu’elles soient directement malacophages
par exemple :Astronotus sp.

Astronotus sp.
N.B: L’utilisation de ces moyens reste
très ponctuelle compte tenu des risques
de déséquilibre des milieux concernés.
Les gastéropodes appartenant aux
espèces : Thiara granifera
et
Marisa cornuarietis sont probablement les
agents de lutte biologique potentiel les
plus prometteurs contre les espece de
gastéropodes qui hébergent des
schistosomes.
← Thiara granifera .

Marisa cornuarietis.

➜
Parallèlement à la lutte chimique, des
investigations ont été effectuées sur des
plantes molluscicides autochtones. Ces
investigations n'ont pas dépassé le stade de
quelques essais de laboratoire, notamment
en 1983 et 1984 par la faculté de Médecine.
En 1996 par le Programme national de lutte à
travers le Département de la médecine
traditionnelle.
D'autres travaux, plus prometteurs
sont actuellement en cours au niveau du
Département médecine traditionnelle
identifier les plantes molluscicides
locales afin de déterminer leurs
concentrations létales et caractériser
leurs constituants chimiques.
Semble pouvoir s’appliquer de Manière
plus systématique. Il fait appel à des
modifications modérées des milieux de
développement des mollusques : suppression
des petites collections d’eau stagnante par
aménagement des rives des cours d’eau,
faucardage des végétaux supérieurs à
proximité des points de fréquentation des
hôtes définitifs, isolement par clôture des
mouillères et des zones inondables.
Conclusion
Pour effectuer une lutte efficace
contre la transmission d’une zoonose, il est
indispensable de connaître les modalités de
transmission de la maladie et également de
connaître le cycle biologique des agents
pathogène. Ainsi pour les maladies dont le
mode de contamination est respiratoire, il
convient de limiter l’excrétion par des
méthodes sanitaires (vaccination, abatage)
ou médicales (traitement)..
La lutte contre les vecteurs est un cas
particulier. Il s’agit parfois du seul moyen
disponible de lutte contre les zoonoses
virales vectorielles; Et aussi de lutte contre
le réservoir représenté par une espèce
sauvage ;Les objectifs de cette lutte ont été
de réduire la population pour diminuer les
risques de transmission de la maladie.
la lutte anti vectorielle s’appuie sur des
stratégies/méthodes qui diffèrent selon les
espèces vectrices.
Je vous
remercie

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Copie de abir sofia (les methode de lutte )

  • 1. République Algérienne Démocratique et Populaire Faculté: SNV. Département: biologie animale. Spécialité: Parasitologie médicale et vétérinaire. (M2) Les Méthodes de lutte ❀ Abir ❀sofia
  • 2. SOMMAIRE INTRODUCTION Partie A : la lutte antivectorielle. 1- La lutte intégrée. 2-la lutte chimique. 3-la lutte biologique. 4-la lutte génétique. 5-La lutte mécanique ou physique Partie B : Contrôle des foyers de mollusques hôtes intermédiaires. conclusion
  • 3. Introduction : Deux méthodes peuvent être mises en œuvre pour la lutte contre les maladies transmises par les arthropodes et les mollusques, l’une visant à détruire l’agent pathogène, l’autre orientée contre le vecteur de la maladie. Ces deux méthodes sont appliquées complémentairement dans le cas où les moyens thérapeutiques sont insuffisants pour enrayer la maladie.
  • 4. Mais la seconde méthode peut intervenir seule lorsque ces moyens thérapeutiques font défaut ou lorsqu'ils sont difficiles à appliquer dans une campagne de masse.
  • 5. Etant donné le rôle important que jouent les vecteurs dans l’hygiène et la santé publiques, il est indispensable de définir clairement les concepts et les modalités des méthodes de lutte qui leur sont applicables. L’expression (lutte contre les vecteurs) implique une idée de destruction. Mais la question qui vient immédiatement à l’esprit est la suivante : Peut-on détruite tous les vecteurs ?
  • 6. Partie A : la lutte antivectorielle.
  • 7. La lutte antivectorielle intégrée peut être considérée comme l’emploie de toutes les méthodes appropriées, tant sur le plan technique que sur celui de la gestion , pour obtenir une réduction efficace des populations des vecteurs dans des bonnes conditions de rentabilité.
  • 8. Ainsi conçue, la lutte antivectorielle intégrée n’est pas une notion nouvelle dans le domaine de la lutte contre les maladies par biais d’une action sur les vecteurs, lorsqu’on a pu démontrer avec certitude et faire admettre le rôle des vecteurs dans la transmission des maladies, les mesures recommandées contre ces agents, au niveau de la lutte et de la gestion étaient les suivantes:
  • 9. 1- Protection individuelle, par l’emploi de grillages et moustiquaires et par l’utilisation de produits répulsifs. 2- Aménagement des écotypes et réduction des sources de vecteurs, par le drainage des points d’eau et la destruction des gîtes larvaires artificiels. 3- Emploi d’insecticides, aussi bien contre les larves que contre les insectes parfaits. 4- Formation et éducation.
  • 10. Définition: ou biocide comprend l’utilisation d’insecticides pour diminuer l’abondance des vecteurs en ciblant un ou plusieurs stades de développement (larves, adultes). Les insecticides regroupent différentes molécules appartenant à plusieurs familles chimiques (organophosphorés, carbamates, pyréthrinoïdes, bio-insecticides, etc.) et ayant des modes d’action variés.
  • 11. La lutte chimique se pratique à l'aide de substances naturelles ou de synthèse qui provoquent la mort des arthropodes par empoisonnement. Les substances retenues pour leur action sur les arthropodes doivent présenter un certain nombre de qualités.
  • 12. Les insecticides les plus connus et ++utilisables sont:  Le DDT.  Les cyclodiènes.  Les esters phosphoriques .  Les carbamates.  Les pyréthrines.  Les rétinoïdes.  Les synergisants
  • 13. Le DDT agit d'abord sur le système nerveux, aussi bien chez les vertébrés que chez les invertébrés. On a montré que le DDT intervient dans la répartition des ions K+ à l'intérieur du nerf.  Les cyclodiènes: Le mode d'action des cyclodiènes est encore assez mal expliqué. Il semblerait que ces insecticides agissent sur les nerfs en formant des complexes avec la membrane nerveuse, modifiant de cette façon les propriétés de celle-ci. On n'a pas pu démontrer Que ces composés possèdent une activité antienzyme.  Les esters phosphoriques: Les insecticides organophosphorés provoquent chez l'insecte une excitabilité suivie de tremblements notamment des extrémités et finalement une paralysie et la mort. Ces symptômes apparaissent au bout de temps plus ou Moins longs. 
  • 14.
  • 15. L’insecticide n'est que très rarement dispensé à l'état pur. On l'utilise le plus souvent additionné de substances supplémentaires ou solvantes qui lui confèrent une meilleure adaptation à la lutte envisagée. Plusieurs types de formulations sont employés dans la lutte contre les arthropodes. Les poudres. Les poudres mouillables. Les granules. Les briquettes. Les solutions. Les émulsions.
  • 16. Quatre types principaux d'appareils permettent le traitement aux insecticides sous forme d’aérosols : a) les appareils dans lesquels la pression s'exerce sur le liquide, mais aux quelques on a ajouté un système de filtration qui ne laisse passer que les plus fines gouttelettes. b) ceux qui permettent la vaporisation de l'insecticide grâce à une source chauffante.
  • 17. c) ceux dans lesquels l'insecticide, en solution dans un solvant huileux à point éclair élevé, est expulsé par un courant gazeux chaud ; le brouillard se forme par condensation du solvant à la sortie de l'appareil. d) ceux qui produisent des aérosols à froid, dans lesquels l'insecticide est en solution dans un gaz vaporeux.
  • 18. La stratégie de choix d’un insecticide pour la lutte collective dépend du contexte épidémiologique (traitements adulticides pertinents en cas d’épidémie) mais aussi de l’espèce de moustique concernée : pour lutter contre les moustiques des genres Aedes et Culex, l’insecticide doit être larvicide (gîtes larvaires d’eaux stagnantes assez limités dans l’espace). pour la LAV dirigée contre les Anophèles, le choix d’un insecticide actif sur le stade adulte est le plus approprié (moustiquaires imprégnées, pulvérisations intradomiciliaires)
  • 19. larvicide:  matière active: Temephos faible toxicité: 2g/kg adulticide:  matière active: fénitrothion Toxicité moyenne: 0,5g/kg
  • 20. 2-Les répulsifs Les répulsifs sont très peu utilisés dans le domaine vétérinaire. Certains propriétaires de chevaux utilisent des produits à base de citriodiol ou d’icaridine. Pour l’Homme, il existe pour le moment 4 grands types de molécules le citriodiol à appliquer sur la peau ou sur les vêtements pour empêcher les piqûres de moustiques.
  • 21. Les répulsifs ont en général sur la peau une durée d’action assez courte, de l’ordre de quelques heures, alors que des vêtements ou moustiquaires traités avec des répulsifs peuvent conserver leurs propriétés pendant plusieurs semaines. L’emploi d’attractifs pour augmenter l’efficacité de pièges n’est rencontré quasiment que dans la lutte contre les glossines.
  • 22. La lutte biocide doit être associée à d’autres mesures de LAV puisque bon nombre des substances insecticides ont un impact négatif sur l’environnement ainsi que sur les professionnels de la démoustication (certains insecticides sont des cancérogènes, des neurotoxiques ou des perturbateurs endocriniens potentiels). De plus, utilisés seuls, ils représentent une pression de sélection favorable à l’émergence de populations de moustiques résistants.
  • 23. L’apparition et la diffusion des phénomènes de résistances aux insecticides chimiques, les effets de ces substances sur les écosystèmes,
  • 24. et l’impossibilité d’intervenir sur certains arthropodes sauvages avec des méthodes classiques sont autant de raisons qui ont fait rechercher d’autres méthodes pour pallier ces inconvénients.
  • 25. Le principe de la lutte biologique est d’utiliser un « ennemi naturel » d’un arthropode pour en diminuer les populations et ainsi réduire les risques de transmission du pathogène, On peut séparer les agents de lutte biologique en prédateur et pathogène. 
  • 26.
  • 27. Il existe des larves de moustiques prédatrices d’autres larves. Par exemple, les Toxorhynchites ( grosse moustique non pathogène pour l’homme )présentent des larves très voraces qui se développent dans de petits gîtes comme les creux d’arbres ou les feuilles engainantes. Son emploi pourrait être envisagé contre les moustiques vecteurs des forets humides et des espaces péri domestiques
  • 28.  Certaines espèces de poissons sont utilisées notamment dans les rizières dans la lutte contre le paludisme. L’utilisation des poissons -mais cela est aussi généralisable pour les autres prédateurs- ne peut être efficace que s’ils sont très abondants, non consommables et non compétitifs d’espèces consommables, et relativement spécifiques de l’espèce cible (mais pas trop pour survivre en l’absence de ces proies).
  • 29. Parmi ces prédateurs ce sont des poissons entomophage : Gambosia affinis, le gappy Poecilia reticulata ou d’autre genre de Poelicia qui ont été les plus utilisés dans la lutte contre les moustiques. L’efficacité de ces prédateurs est excellente dans les petites collections d’eau .  Il y a aussi les têtards qui constituent aussi un facteur limitant de la prolifération des larves de moustiques .
  • 30. Les pathogènes des arthropodes peuvent être des virus, Des bactéries, des rickettsies, des champignons ou des parasites…… La toxine d’une bactérie bacilus thuringiensis israelensis est actuellement largement utilisée dans la démoustication contre les simulies vectrices de l’onchocercose dans certains pays en remplacement des insecticides chimique, dont l’exotoxine soluble est toxique pour ces insectes, on peut le trouver sous plusieurs formes: (poudre , émulsion , poudre mouillable)
  • 31.  Il y a certain arthropodes parasite d’autre arthropodes ce sont des parasitoïdes. La guêpe spalangia nigroaanea pont ces œufs dans la pupe de diptère que ces larves parasitent , cette guêpe est utilisé comme un des moyen de lutte contre les stomoxes.  Les microsporidies qui pourraient être utilisées en lutte antivectorielle sont Nosema algerae ,Vavraia culicis, et les microsporidies des schistosomes. N.algerae est principalement un parasite des larves et adultes d’Anophéles ,tandis que V.culicis parasite les culicinés. 
  • 32.   Pour les champignons le genre Coelomomyces possède une vaste gamme d’hôte ,quelques espèces étant même caables de s’attaquer à des moustiques appartenant à des genres différents, dont ils Sont capables de provoquer de véritables épizooties dans les population larvaires avec des mortalités supérieures à 90%. Les nématodes Mermithidés sont des agents efficace dont des essais sur le terrain réaliser par la dispersion de larves pré infestantes de Reesimermis nielseni ont montrer que l’on pouvait artificiellement parasiter des larves d’Anopheles.
  • 33.  Les applications sur le terrain de méthodes de lutte biologique restent encore rares à cause des faibles connaissances sur l’écologie des agents potentiels de lutte biologique et sur les difficultés rencontrées dans l’évaluation de l’efficacité de ces méthodes . À noter que la lutte biologique est depuis longtemps déjà utilisée par les agronomes dans la lutte contre les ravageurs des cultures et des forets .
  • 34. Lutte génétique On définit « l’emploi de toutes les conditions et méthodes de traitement susceptibles de réduire le potentiel reproductif des formes nuisibles par une altération ou un remplacement du matériel héréditaire »
  • 35. La principale est la technique dite des mâles stériles, Le principe est simple. Chez des espèces dont la femelle s’accouple une seule fois dans sa vie, l’accouplement avec un mâle stérilisé entraîne l’absence de descendance viable. On peut donc élever des mâles, les stériliser par rayonnements, par chimio stérilisants ou par introduction d’un gène de stérilité, et les lâcher en masse pour qu’en s’accouplant avec les femelles de la souche locale ils les rendent infécondes. Il faut cependant que les mâles stérilisés gardent leur compétitivité par rapport aux mâles sauvages, et que leur élevage en masse soit facile.. Cette technique a été utilisée avec succès dans la lutte contre les glossines.
  • 36. Il existe la technique de croisement de certaines populations d’une même espèce qui peut produire des œufs stériles : on parle d’« incompatibilité ». Ce sont des rickettsies du genre Wolbachia qui sont responsables de ces incompatibilités dites cytoplasmiques. 
  • 37. exemple, chez Culex pipiens, moustique commun vecteur par exemple du virus de la fièvre du Nil occidental, Wolbachia pipientis est transmise par la femelle à la descendance.  Par
  • 38.  Seule l’infection des mâles entraîne l’incompatibilité, et donc le lâcher de mâles infectés entraîne une diminution de la fertilité des femelles, et peut dans certains cas équivaloir à la technique des mâles stériles. Il n’existe pas, à l’heure actuelle, de programme sur le terrain utilisant cette technologie dans la lutte contre un vecteur.
  • 39.  Cette technique apparaît très élégante,  En revanche, elle est extrêmement chère et est à préconiser dans des buts d’élimination des populations de vecteurs d’une zone géographique donnée, pour laquelle on s’est assuré de l’impossibilité d’une recolonisation. parfaitement spécifique, non polluante et sans danger.
  • 40. lutte mécanique Definition: C’est les méthodes de capture des vecteurs (dans un but de diminution de l’abondance), celles qui s’opposent au contact hôte/vecteur et, par extension, les méthodes d’évitement du contact avec l’hôte.
  • 41. En effet, la première méthode qui vient à l’ esprit pour diminuer, voire éliminer, les populations de vecteurs, est de capturer le plus grand nombre d’individus pour les détruire. Une grande variété de méthode est utilisable, depuis le simple « détiquage » des animaux, jusqu’à des pièges élaborés pouvant employer un attractant olfactif. C’est sans conteste pour la capture des glossines que les pièges présentent le plus haut degré de raffinement. Des pièges spécifiques et très attractifs, mis au point dans les années 1970, peuvent être utilisés avec efficacité pour diminuer fortement l’abondance des glossines.
  • 42. Il est vrai, cependant, que les glossines présentent des taux de reproduction extrêmement faibles (au maximum 9 descendants au cours de la vie d’une femelle), et que ce type de lutte est illusoire contre des vecteurs plus prolifiques comme les Culicoides ou les stomoxes, Lorsque l’on pense à une méthode mécanique pour s’opposer au contact hôte/vecteur, la première idée est celle de la moustiquaire, utilisée dans la lutte contre le paludisme
  • 43. Partie B : Contrôle des foyers de mollusques hôtes intermédiaires.
  • 44. En première analyse, le contrôle des foyers de mollusques en zones d’endémie parasitaire semble être une mesure essentielle pour lutter contre les helminthiases concernées. Il s’avère que la prophylaxie de ces infections n’est efficace que si elle associe des mesures appliquées simultanément à plusieurs niveaux. La chimio-prophylaxie de masse des hôtes définitifs doit obligatoirement être mise en place afin de limiter la dissémination des œufs d’helminthes dans l’environnement.
  • 45. Le contrôle des populations de mollusques fait appel à des méthodes très diverses : Le contrôle chimique  Le contrôle biologique  Le contrôle chimique à l'aide de végétaux  Le contrôle par voie écologique 
  • 46. Un molluscicide doit nécessairement répondre à certains critères. Il doit : - être sûr, c'est-à-dire non toxique pour les organismes cibles. -être biodégradable, c'est-à-dire sans effet indésirable inacceptable au niveau de la chaîne alimentaire. - pouvoir être conservé dans de bonnes conditions avoir un rapport coût/efficacité acceptable.
  • 47. À l'heure actuelle, le molluscicide de choix est le Niclosamide commercialisé sous le nom de Bayluscide®. Un produit analogue est connu en Egypte sous le nom de Mollutox®. Le Niclosamide en poudre mouillable à 70% de produit actif a été utilisé par le programme de lutte.
  • 48. Selon la nature du point de contact, deux modes d'application sont utilisés: - L'application globale pour les petites quantités d'eau : mares, petits lacs de retenue en voie d'assèchement. - L'application focale pour les grands plans d'eau, limitée au voisinage des points de contact. Le produit molluscicide sera appliqué sur toute la longueur du point de contact, plus 15 à 20 mètres C'est ensuite seulement que le volume d'eau est estimé.
  • 49. Dans tous les cas, la quantité de Bayluscide® calculée est pesée et répartie dans des sachets de 250 g. Chaque sachet est ensuite mélangé dans un seau d'eau avant pulvérisation. Lors de l'épandage, il faut bien asperger les plantes aquatiques et si possible rentré dans l'eau, avec des bottes, pour la brasser afin d'avoir une meilleure répartition du produit.
  • 50. Les gastéropodes hôtes intermédiaires ont de nombreux ennemis naturels a été expérimenté à plusieurs niveaux: micro-organismes pathogènes: pour le mollusque, compétition interspécifique de parasites pour une espèce donnée de mollusque. Prédateurs comme les poissons :
  • 51.  Soit phytophages par exemple : Ctenopharyngodon idella . cette dernière espèce empêchant la prolifération des gastéropodes en se nourrissant de plantes aquatique. Ctenopharyngodon idella.
  • 52. Soit peuvent être utiles comme agents de lutte contre les gastéropodes, soit qu’elles soient directement malacophages par exemple :Astronotus sp. Astronotus sp.
  • 53. N.B: L’utilisation de ces moyens reste très ponctuelle compte tenu des risques de déséquilibre des milieux concernés. Les gastéropodes appartenant aux espèces : Thiara granifera et Marisa cornuarietis sont probablement les agents de lutte biologique potentiel les plus prometteurs contre les espece de gastéropodes qui hébergent des schistosomes.
  • 54. ← Thiara granifera . Marisa cornuarietis. ➜
  • 55. Parallèlement à la lutte chimique, des investigations ont été effectuées sur des plantes molluscicides autochtones. Ces investigations n'ont pas dépassé le stade de quelques essais de laboratoire, notamment en 1983 et 1984 par la faculté de Médecine. En 1996 par le Programme national de lutte à travers le Département de la médecine traditionnelle.
  • 56. D'autres travaux, plus prometteurs sont actuellement en cours au niveau du Département médecine traditionnelle identifier les plantes molluscicides locales afin de déterminer leurs concentrations létales et caractériser leurs constituants chimiques.
  • 57. Semble pouvoir s’appliquer de Manière plus systématique. Il fait appel à des modifications modérées des milieux de développement des mollusques : suppression des petites collections d’eau stagnante par aménagement des rives des cours d’eau, faucardage des végétaux supérieurs à proximité des points de fréquentation des hôtes définitifs, isolement par clôture des mouillères et des zones inondables.
  • 58. Conclusion Pour effectuer une lutte efficace contre la transmission d’une zoonose, il est indispensable de connaître les modalités de transmission de la maladie et également de connaître le cycle biologique des agents pathogène. Ainsi pour les maladies dont le mode de contamination est respiratoire, il convient de limiter l’excrétion par des méthodes sanitaires (vaccination, abatage) ou médicales (traitement)..
  • 59. La lutte contre les vecteurs est un cas particulier. Il s’agit parfois du seul moyen disponible de lutte contre les zoonoses virales vectorielles; Et aussi de lutte contre le réservoir représenté par une espèce sauvage ;Les objectifs de cette lutte ont été de réduire la population pour diminuer les risques de transmission de la maladie. la lutte anti vectorielle s’appuie sur des stratégies/méthodes qui diffèrent selon les espèces vectrices.