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MIYARA Ghita
Interne de radiologie, 3e semestre
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pathologies à connaitre
- Rappels de sémiologie radiologique
- Anatomie radiologique
Contenu de la conférence
Un patient de 63 ans se présente aux urgences pour
douleurs abdominales et vomissements depuis 3 jours. Il
rapporte également une absence de selles. Il a pour
antécédents une HTA et une appendicectomie à l’âge de
20 ans.
Vous décidez de réaliser un scanner abdomino-pelvien.
Cas clinique n° 1
Cas clinique n° 1
Que pouvez-vous dire sur cette imagerie ?
A. Il s’agit d’un scanner abdominal sans
injection.
B. Il s’agit d'une occlusion mécanique
colique.
C. On peut voir la zone de transition.
D. Il s’agit d’une occlusion mécanique du
grêle.
E. Le colon gauche est fin sur cette
coupe.
Cas clinique n° 1
Que pouvez-vous dire sur cette imagerie ?
A. Il s’agit d’un scanner abdominal sans
injection.
B. Il s’agit d'une occlusion mécanique
colique.
C. On peut voir des signes de gravité.
D. Il s’agit d’une occlusion mécanique du
grêle.
E. Le colon gauche est fin sur cette
coupe.
Syndrome occlusif
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
HAUTE
=
Dilatation grêlique
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
HAUTE
=
Dilatation grêlique
BASSE
=
Dilatation colique
+/- grêle
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
HAUTE
=
Dilatation grêlique
BASSE
=
Dilatation colique
+/- grêle
VALVULE DE BAUHIN
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Infiltration du mésentère
- Épaississement de la paroi pariétale
- Caecum > 13 cm
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
HAUTE
=
Dilatation grêlique
BASSE
=
Dilatation colique
+/- grêle
ANGLE DE TREITZ
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Infiltration du mésentère
- Épaississement de la paroi pariétale
- Caecum > 13 cm
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
☛ Où dans le grêle ?
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
☛ Où dans le grêle ?
→ Feces Sign (55 % des occlusions du
grêles)
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
☛ Où dans le grêle ?
→ Feces Sign (55 % des occlusions du
grêles)
→ Zone de transition
Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
☛ Où dans le grêle ?
→ Feces Sign (55 % des occlusions du
grêles)
→ Zone de transition
Focus : Colon / Grêle
1
2
3
1 - Colon transverse
2 - Colon gauche
3 - Angle colique gauche
4 - Angle colique droit
5 - Duodénum
4
5
Focus : Colon / Grêle
1
2
3
1 - Colon transverse
2 - Colon gauche
3 - Angle colique gauche
4 - Angle colique droit
5 - Duodénum
4
5
Focus : Colon / Grêle
1
1
2
2
Focus : Colon / Grêle
Focus : Colon / Grêle
Focus : Colon / Grêle
- Colon contient + de matières fécales et souvent + de gaz
- Pas de niveau liquidien sauf quand dilaté
- Valvules conniventes du grêle et haustruation colique du colon
A l’étage hépatique :
- Colon transverse sur tout l’axe longitudinale
- Angle colique gauche (T11) et angle colique droit plus en dessous
(L1)
Sous l’étage hépatique :
- Colon droit et colon gauche fixes sur les côtés
- Au milieu = grêle
Syndrome occlusif
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques
> 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Infiltration du mésentère
- Épaississement de la paroi pariétale
- Caecum > 13 cm
Patiente de 20 ans consulte aux urgences pour une douleur
abdominale fébrile en fosse iliaque droite.
Pas d’antécédents.
Que demandez-vous en premier avant tout chose ?
Cas clinique n° 2
Patiente de 20 ans consulte aux urgences pour une douleur
abdominale fébrile en fosse iliaque droite.
Pas d’antécédents.
Que demandez-vous en premier avant tout chose ?
Cas clinique n° 2
→ BHCG
A. Masse utérine à paroi épaissie
B. On peut visualiser un stercolithe
C. Épaississement pariétal de l’appendice
D. Phlegmon appendiculaire
E. Epanchement péritonéal
A. Masse utérine à paroi épaissie
B. On peut visualiser un stercolithe
C. Épaississement pariétal de
l’appendice
D. Phlegmon appendiculaire
E. Epanchement péritonéal
Appendicite aigüe
Clinique
- Douleur en fosse iliaque droite
- Fièvre
- SIB, hyperleucocytose
Imagerie :
- Echographie abdominale (jeune, femme en âge
de procréer)
- Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Diamètre > 6 mm
- Epaississement pariétal > 3 mm
- Stercolhite (50 %) : pas spécifique
- Prise de contraste en cocarde
Signes de gravité :
• Perforation appendiculaire
❑ Abcès péri-appendiculaire (collection hypodense renfermant le plus souvent des bulles d’air)
❑ Péritonite appendiculaire (épanchement liquidien +++, prise de contraste et épaississement de la graisse)
• Plastron appendiculaire (accolement des viscères adjacent : limite l’extension du foyer )
Appendicite aigüe
Appendicite aigüe
Abcès appendiculaire
Appendicite aigüe
Appendicite aigüe
Péritonite appendiculaire
- Densification de la graisse mésentérique
- Prise de contraste et épaississement péritonéale diffus
- Epanchement péritonéale
Appendicite aigüe
Péritonite appendiculaire
- Densification de la graisse mésentérique
- Prise de contraste et épaississement péritonéale diffus
- Cliniquement : masse en fosse iliaque droite
- Inflammation de la graisse péri-appendiculaire
Plastron appendiculaire
Appendicite aigüe
Plastron appendiculaire
ATB IV
Abcès appendiculaire
Petite taille Volumineux
ATB PO
+
Drainage
Appendicectomie
à froid
Péritonite appendiculaire
Appendicectomie à
froid 2-4 mois plus
tard
Appendicectomie
à chaud
Appendicectomie en urgence
+ lavage péritonéale
Cas clinique n° 3
Patiente de 63 ans, consulte pour douleurs abdominales à
début brutal avec fièvre. Sensibilité à la palpation de
l’hypochondre droit.
A. Épaississement pariétal en feuillet
B. Absence de calculs biliaires au sein de la vésicule
C. La flèche désigne le rein droit
D. Sludge vésiculaire
E. Il s’agit d’une cholécystite aigüe
Cas clinique n° 3
Patiente de 63 ans, consulte pour douleurs abdominales à
début brutal avec fièvre. Sensibilité à la palpation de
l’hypochondre droit.
A. Épaississement pariétal en feuillet
B. Absence de calculs biliaires au sein de la vésicule
C. La flèche désigne le rein droit
D. Sludge vésiculaire
E. Il s’agit d’une cholécystite aigüe
Cholécystite aigüe
Clinique
- Douleurs aigues hypochondre droit > 6h
- Fièvre
- Signe de Murphy : douleur inhibant l’inspiration profonde
Imagerie : Echographie abdominale
Signes radiologiques :
- Calculs intra vésiculaires : cônes d’ombres +++
- Signe de Murphy radiologique
- Epaississement paroi > 3 mm
- Distension vésiculaire
- Sludge vésicualire
Signes de gravités :
- Abcès
- Perforation vésiculaire
- Péritonite
= boue vésiculaire
Stagnation des sédiments de cristaux de cholestérol, de
pigments et d’autres sels de calcium.
- Post-grossesse après perte de poids rapide
- Chirurgie gastrique
- Nutrition parentérale
Peut évoluer vers la formation de calculs biliaires.
→ Si découverte fortuite : pas de prise en charge
→ Si découverte dans un contexte de colique hépatique :
cholécystectomie
Le sludge ?
Sludge
Cas clinique n° 3
Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour
aggravation douloureuse brutale.
Cas clinique n° 3
Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour
aggravation douloureuse brutale.
A. Scanner injecté au temps portal
B. On voit la dilatation des voies biliaires
intra-hépatique
C. On peut voir les surrénales sur l’une des
deux images
D. La flèche désigne le colon transverse
E. Il y’a un épanchement péri-hépatique
Cas clinique n° 3
Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour
aggravation douloureuse brutale
A. Scanner injecté au temps portal
B. On voit la dilatation des voies biliaires
intra-hépatique
C. On peut voir les surrénales sur l’une des
deux images
D. La flèche désigne le colon transverse
E. Il y’a un épanchement péri-hépatique
Cas clinique n° 3
Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour
aggravation douloureuse brutale
Péritonite sur perforation vésiculaire
Patiente de 69 ans présentant des douleurs intenses en
hypochondre droit depuis 48 h. Le bilan biologique
retrouve : cytolyse hépatique 10N, GB 8000 et CRP à 1.
Elle rapporte des urines foncées et des selles décolorées.
L’échographie abdominale retrouve un signe de Murphy
positif et des macro calculs.
Un scanner injecté est réalisé.
A. Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques
B. Dilatation du canal de Wirsung
C. Calcul enclavé dans l’ampoule de Vater.
D. La flèche désigne la VCI
E. Il s’agit d’une angiocholite
Cas clinique n° 4
A. Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques
B. Dilatation du canal de Wirsung
C. Calcul enclavé dans l’ampoule de Vater.
D. La flèche désigne la VCI
E. Il s’agit d’une angiocholite
→ Calcul enclavé dans VBP responsable d’une dilatation
des voies biliaires intra et extra hépatique
CPRE et sphinctérectomie
Cholécystectomie
Colique hépatique
= douleur brutale et intense de l’épigastre ou hypochondre droit.
Elle inhibe la respiration.
Possible signe de Murphy à l’examen
Imagerie : Echographie abdominale ++
Scanner en 2e intention
- Migration lithiasique simple : calculs dans la VBP sans angiocholite.
- Cholécystite : + défense, + fièvre, + signes radiologiques
- Angiocholite : + fièvre + ictère + cholestase + SIB
↑ ASAT/ALAT
Bilan hépatique normal
➔ Cholécystectomie à froid
- Si compliqué d’une cholécystite : en urgence
- Si compliqué d’une angiocholite : CPRE et sphinctérectomie puis cholécystectomie
- Si calcul VBP non septique : soit CPRE et sphinctérectomie puis cholécystectomie
soit en un temps cholécystectomie avec désobstruction peropératoire
Focus : péritonite
Péritonite
- Epanchement péritonéal +/- collectée
- Epaississement et prise de contraste des feuillets péritonéaux
- Infiltration de la graisse mésentérique
- Pneumopéritoine
Focus : péritonite
Péritonite
- Epanchement péritonéal +/- collectée
- Epaississement et prise de contraste des feuillets péritonéaux
- Infiltration de la graisse mésentérique
- Pneumopéritoine
Péritonite par perforation
Péritonite
diverticulaire
Péritonite appendiculaire
Début Brutal Progressif Progressif
Maximum des
signes péritonéaux
Epigastrique Fosse iliaque gauche Fosse iliaque droite
Fièvre /
Hyperleucocytose
Non au début Oui Oui
Pneumopéritoine Parfois, discret Présent, volumineux Non
Traitement Chirurgie en urgence
Contre-indication formelle à
l’endoscopie digestive haute
Chirurgie en urgence Chirurgie en urgence
Douleur abdominale provoquée
→ majorée lors de la décompression
brutale d’une fosse iliaque.
Contracture
Péritonite
Péritonite
Cas clinique n° 5
Patiente de 40 ans consulte pour une toux sèche
persistante depuis 2 mois et légère altération de
l’état général. Elle n’a aucun antécédent.
Vous réalisez une radiographie du thorax.
Que constatez-vous ?
A. La radiographie est en inspiration correcte.
B. Il existe un émoussement du cul de sac gauche.
C. On retrouve des opacités hilaires bilatérales.
D. Il existe un syndrome interstitiel.
E. La radiographie est normale.
Cas clinique n° 5
Patiente de 40 ans consulte pour une toux sèche
persistante depuis 2 mois et légère altération de
l’état général. Elle n’a aucun antécédent.
Vous réalisez une radiographie du thorax.
Que constatez-vous ?
A. La radiographie est en inspiration correcte.
B. Il existe un émoussement du cul de sac gauche.
C. On retrouve des opacités hilaires bilatérales.
D. Il existe un syndrome interstitiel.
E. La radiographie est normale.
Focus : la radiographie de thorax bien réalisée
1. Face stricte
→ Extrémités internes des clavicules symétriques
2. Debout
→ Poche d’air gastrique
3. Totalité du thorax
→ Culs de sac diaphragmatique
→ Apex pulmonaires
4. Inspiration profonde
→ 6 arcs antérieurs intercostaux
5. Omoplates dégagées
1
2
3
4
5
6
Cas clinique n° 5
• Adénopathies hilaires bilatérales non
compressives.
• Pas d’atteinte parenchymateuse
• Pas d’épanchement pleural.
Sarcoïdose stade I
Le diagnostique de sarcoïdose est posé. Au cours du
suivi, cette radiographie est réalisée.
Sarcoïdose de stade III
Sarcoïdose : classification radiologique
Stade I Stade III Stade IV
Stade II
Polyadénopathies
☞ Médiastinales : Latéro-trachéale droite (70 %)
☞ Hilaires non compressives et symétriques
+
Micro nodulation diffuse
☞ Lobe supérieur droit
☞ Régions sous-pleurales et péribronchovasculaires
ADP seules
ADP
+ atteinte parenchymateuse
Atteinte parenchymateuse Fibrose
Focus : syndrome interstitiel
Syndrome interstitiel
= Atteinte d’un ou plusieurs compartiments du
tissu interstitiel.
- Espace péri bronchovasculaire et
centrolobulaire
- Sous pleural et cloisons interlobulaires
- Cloisons intra-lobulaires
Focus : syndrome interstitiel
Différentes formes d’atteintes
- Linéaires et réticulaires
- Micronodulaire
- Verre dépoli
- Fibrose
→ Aspect en rayon de miel
→ Bronchectasies de traction
3 espaces interstitiels
- Espace péri broncho vasculaire et centro-
lobulaire
- Sous pleural et cloisons interlobulaires
- Cloisons intra-lobulaires
Focus : syndrome interstitiel
Septas interlobulaire Septas intralobulaires Réticulations sous pleurales
1. Lignes et réticulations
Focus : syndrome interstitiel
1. Lignes et réticulations
Septas interlobulaire
Septas intra lobulaires
Epaississement bronchovasculaire
Réticulations sous pleurales
Focus : syndrome interstitiel
2. Micronodules
Onclepaul.net
Atteinte asymétrique des lobes
et champs pulmonaires
Souvent associés à des
épaississement global des espaces
péri-broncho- vasculaires ou lignes
septales
SARCOIDOSE
LYMPHANGITE
CARCINOMATEUSE
Focus : syndrome interstitiel
2. Micronodules
Onclepaul.net
Réaction inflammatoire de la
paroi bronchiolaire
Zone avasculaire sous pleurale
BRONCHIOLITE INFECTIEUSE
ASTHME
BPCO
Focus : syndrome interstitiel
2. Micronodules
Onclepaul.net
Réaction inflammatoire de la
paroi bronchiolaire
Zone avasculaire sous pleurale
BRONCHIOLITE INFECTIEUSE
ASTHME
BPCO
Focus : syndrome interstitiel
2. Micronodules
Onclepaul.net
Suit la distribution du flux
sanguin.
Aléatoire.
MILIAIRE TUBERCULEUSE
MILIAIRE MÉTASTATIQUE
Qu’est-ce que c’est ?
3.
?
SARCOIDOSE TUBERCULOSE
Syndrome interstitiel
3. Verre dépoli
Augmentation de la densité du parenchyme
N’efface pas les vaisseaux et les paroi de bronches
Remplissage incomplet des alvéoles
Epaississement de l’interstitium
(dépôts de liquide, cellules, fibrose des
cloisons inter alvéolaires...)
Syndrome interstitiel
4. Fibrose
2 signes élémentaires :
- Rayons de miel = destruction parenchymateuse responsable d’espaces
aériens dilatés à parois fibreuse définis
Sous pleurales +++
- Bronchectasies par traction
Syndrome interstitiel à la radio
Syndrome interstitiel à la radio
Lignes et réticulations
(Lignes de Kerley)
Syndrome interstitiel à la radio
Lignes et réticulations
(Lignes de Kerley)
Micronodules
Syndrome interstitiel à la radio
Lignes et réticulations
(Lignes de Kerley)
Micronodules Opacités diffuses :
Macro nodules
Verres dépoli
Syndrome interstitiel à la radio
Opacités diffuses :
Macro nodules
Verres dépoli
Lignes et réticulations
(Lignes de Kerley)
Micronodules
Syndrome interstitiel à la radio
Lignes et réticulations
(Lignes de Kerley)
Micronodules Opacités diffuses :
Macro nodules
Verres dépoli
Fibrose : rayon de miel
A retenir :
Opacités non systématisés
Contours net
Non confluent
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
► Œdème aigue du poumon
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
► Œdème aigue du poumon
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
► Œdème aigue du poumon
► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,
Pneumocystose, CMV…)
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
► Œdème aigue du poumon
► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,
Pneumocystose, CMV…)
► SDRA
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
► Œdème aigue du poumon
► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,
Pneumocystose, CMV…)
► SDRA
► Acutisation de PID
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
► Œdème aigue du poumon
► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,
Pneumocystose, CMV…)
► SDRA
► Acutisation de PID
Primaire Secondaire
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
► Œdème aigue du poumon
► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,
Pneumocystose, CMV…)
► SDRA
► Acutisation de PID
► Sarcoïdose
Primaire Secondaire
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
- Verre dépoli bilatéral et symétrique ++
- Basale
- Evolution vers PINS fibrosante (Bronchectasies par traction proximales)
► Sarcoïdose
► Idiopathique
→ PINS
Primaire Secondaire
A.Nicolas et al, JDI 2019
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
► Œdème aigue du poumon
► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,
Pneumocystose, CMV…)
► SDRA
► Acutisation de PID
► Sarcoïdose
► Idiopathique
→ PINS
→ FPI
Primaire Secondaire
- Rayons de miel basal
- Réticulations sous-pleurales et basales
- Bronchectasies par traction
A.Nicolas et al, JDI 2019
Focus PID
PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
► Œdème aigue du poumon
► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,
Pneumocystose, CMV…)
► SDRA
► Acutisation de PID
► Sarcoïdose
► Idiopathique
→ PINS
→ FPI
► Connectivites
→ Polyarthrite rhumatoïde
→ Sclérodermie
► Atteintes malignes
► Pneumoconioses
► Secondaire à des médicaments
Primaire Secondaire
Focus : PID
Syndrome interstitiel
- Linéaires et réticulaires
- Micronodulaire
- Verre dépoli
- Fibrose
→ Aspect en rayon de miel
→ Bronchectasies de traction
Aigue
Chronique
Verre dépoli bilatéral
ID Pneumocystose
CMV
OAP
Rayons de miel
Bronchectasies par traction
Idiopathique = FIP
Evolution fibrosante de PID chronique
Verre dépoli bilatéral
Idiopathique = PINS
ADP médiastinale
+ Micronodules péri lymphatiques
Sarcoïdose
Micronodules de distribution
aléatoire
Tuberculose
PR, PHS …
IC Covid-19
Cas clinique n° 6
Patiente de 46 ans, se présente aux urgences pour
fièvre, douleur thoracique et toux depuis 48h. Vous
réalisez une radiographie de thorax.
A. Il existe un
épanchement pleural
B. Pneumopathie
lobaire inférieure
droite
C. Pneumopathie
lobaire moyenne
D. La crosse de l’aorte
est représenté en 1
E. Le ventricule droit
est représenté en 2
1
2
Cas clinique n° 6
Patiente de 46 ans, se présente aux urgences pour
fièvre, douleur thoracique et toux depuis 48h. Vous
réalisez une radiographie de thorax.
A. Il existe un
épanchement pleural
B. Pneumopathie
lobaire inférieure
droite
C. Pneumopathie
lobaire moyenne
D. La crosse de l’aorte
est représenté en 1
E. Le ventricule droit
est représenté en 2
1
2
Focus : la silhouette cardiaque
A. Pneumopathie
lobaire inférieure
gauche
B. Pneumopathie
lobaire supérieure
gauche
C. Pneumopathie
bilatérale
A. Pneumopathie
lobaire inférieure
gauche
B. Pneumopathie
lobaire supérieure
gauche
C. Pneumopathie
bilatérale
Focus : les lobes pulmonaires
LIG
Focus : les lobes pulmonaires
LSG
Focus : les lobes pulmonaires
LSG
Focus : les lobes pulmonaires
LSG
Lingula
Focus : les lobes pulmonaires
LID
Focus : les lobes pulmonaires
LID
LM
LSD
Signe de la silhouette
Si efface le bord
gauche du cœur
= Lingula
Si efface le bord droit
du cœur
= lobe moyen
Si efface le bord de
la coupole
diaphragmatique
= lobe inférieur
Signe de la silhouette
Focus : syndrome alvéolaire
= Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet
- Contours flous
- Confluent
- Présence de bronchogramme aérien
- Systématisation
Focus : syndrome alvéolaire
= Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet
Condensation parenchymateuse
Focus : syndrome alvéolaire
= Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet
Verre dépoli
Focus : syndrome alvéolaire
= Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet
Syndrome alvéolaire ou interstitiel ?
A
B
Syndrome alvéolaire ou interstitiel ?
Miliaires tuberculeuse
Bronchopneumonie à Staphylococcus aureus
Pneumopathie en foyer
Syndrome alvéolaire
Pneumopathie interstitiel
Pneumocoque
Légionellose
Virales
Pneumopathie de
l’immunodéprimé
Germes atypique : Mycoplasme,
Chlamydia…
Imagerie des infections pulmonaires
Condensations systématisés
Opacités confluentes
Réticulations
Verre dépoli
Micronodules
Infection aigue
Cas clinique n° 6
A. On peut voir du verre dépoli bilatéral
B. Des réticulations intralobulaires
C. 1 désigne la veine cave supérieure
D. 2 désigne la veine azygos
E. 3 désigne l’aorte
3
2
1
Patient de 55 ans, greffé rénal en 2013,
présentant un tableau de toux sèche,
dyspnée avec désaturation à l’effort, perte
de 9 kg en 1 mois
3
2
1
Pneumocystose
Cas clinique n° 6
A. On peut voir du verre dépoli bilatéral
B. Des réticulations intralobulaires
C. 1 désigne la veine cave supérieure
D. 2 désigne la veine azygos
E. 3 désigne l’aorte
Patient de 55 ans, greffé rénal en 2013,
présentant un tableau de toux sèche,
dyspnée avec désaturation à l’effort, perte
de 9 kg en 1 mois
Malgré́ traitement, aggravation clinique et transfert en
réanimation. Contrôle à J21.
Quelle signe vous oriente vers de la fibrose ?
Bronchectasies par traction
Malgré́ traitement, aggravation clinique et transfert en
réanimation. Contrôle à J21.
Cas clinique n° 7
Patient de 45 ans consulte aux urgences pour
une douleur thoracique brutale.
1
2
De quoi s’agit-il ?
A. Embolie pulmonaire bilatérale
B. 1 représente le tronc de l’artère pulmonaire
C. Pneumopathie du lobe supérieure gauche
D. 2 représente l’oreillette droite
E. On peut voir l’œsophage sur cette coupe
Cas clinique n° 7
Cas clinique n° 7
De quoi s’agit-il ?
A. Embolie pulmonaire bilatérale
B. 1 représente le tronc de l’artère pulmonaire
C. Pneumopathie du lobe supérieure gauche
D. 2 représente l’oreillette droite
E. On peut voir l’œsophage sur cette coupe
Focus : embolie pulmonaire
- Proximal et bilatéral : PAS DES SIGNES
DE GRAVITE
Infarctus pulmonaire
- Condensation souvent triangulaire à base sous pleural
- Centre clair = parenchyme aéré
- Entouré de verre dépoli = hémorragie intra-alvéolaire
Anatomie médiastin
Anatomie médiastin
Anatomie médiastin
Anatomie médiastin
Anatomie médiastin
Cas clinique n° 8
Patient de 65 amené par le SAMU après avoir été retrouvé au sol par sa
fille. L’examen retrouve déficit de l’hémicorps droit avec paralysie faciale,
aphasie et héminégligence
1 2 3
4
A. La séquence en injection retrouve une occlusion de
l’artère sylvienne gauche
B. Il faut réaliser une thrombolyse en urgence
C. AVC sylvien droit superficiel
D. La 2er séquence est la séquence FLAIR
E. Il existe des remaniement hémorragique de la zone
ischémié
Cas clinique n° 8
A. La séquence en injection retrouve une occlusion de
l’artère sylvienne gauche
B. Il faut réaliser une thrombolyse en urgence
C. AVC sylvien droit superficiel
D. La 2er séquence est la séquence FLAIR
E. Il existe des remaniement hémorragique de la zone
ischémié
Cas clinique n° 8
Focus : séquences IRM cérébrales
T1
=
Séquence anatomique
T2
Focus : séquences IRM cérébrales
T1
=
Séquence anatomique
T2
+ Gadolinium
FLAIR
T2*
Diffusion
Focus : séquences IRM cérébrales
T1
=
Séquence anatomique
T2
+ Gadolinium
FLAIR
T2*
Diffusion
Focus : séquences IRM cérébrales
T1
=
Séquence anatomique
T2
+ Gadolinium
FLAIR
T2*
Diffusion
Focus : séquences IRM cérébrales
T1
=
Séquence anatomique
T2
+ Gadolinium
FLAIR
T2*
Focus : séquences IRM cérébrales
T1
=
Séquence anatomique
T2
+ Gadolinium
FLAIR
T2*
Diffusion
Focus : séquences IRM cérébrales
T1
En P1 je bosse l’anatomie
→ Séquence anatomique
Je bois du café
→ LCR noir
T2
En P2 je bosse pas l’anatomie
Je bois du pastis
→ LCR blanc
J’injecte du PDC
T1 GADO
FLAIR
Je supprime le signal du LCR
T2*
Inhomogénéité du champs magnétique
Hémosidérine + calcification
DIFFUSION
Séquence basé sur la restriction du
mouvement des molécules d’eau
IRM AVC
Infarctus cérébral : - Zone centrale : nécrose immédiate
- Zone périphérique de « pénombre »
Vasodilatation artérioles
Maintien DSC
↖︎
EO2
↘︎ Consommation
cellulaire
Seuil de défaillance membranaire
(dysfonction pompes membranaires
cellulaires Na/K ATP dépendantes
par perte de la production
énergétique neuronale)
IRM AVC
Infarctus cérébral : - Zone centrale : nécrose immédiate
- Zone périphérique de « pénombre »
Vasodilatation artérioles
Maintien DSC
↖︎
EO2
↘︎ Consommation
cellulaire
Seuil de défaillance membranaire
(dysfonction pompes membranaires
cellulaires Na/K ATP dépendantes
par perte de la production
énergétique neuronale)
IRM AVC
Dysfonction pompes membranaires cellulaires Na/K
Na+ reste en intracellulaire
ŒDÈME CYTOTOXIQUE
Onclepaul.fr
IRM AVC
→ Rupture de la BHE
H0
ŒDÈME CYTOTOXIQUE
H3-6
ŒDÈME VASOGENIQUE
DIFFUSION
Zone de nécrose
Dès les 1er minutes
FLAIR
Se positive dans
les 3-6h
- Transformation
hémorragique
- Caillot Polygone de Willis
T2*
TOF
Cas clinique n° 9
Patient de 80 ans, malaise sans perte de connaissance,
hémiplégie et perte de sensibilité de tout l’hémicorps
gauche.
A. Hydrocéphalie
B. Hypodensité sylvienne
droite
C. Hyopdensité sylvienne
gauche
D. Spots hémorragique au
sein des ventricules
E. On peut voir les sinus
frontaux
Cas clinique n° 9
Patient de 80 ans, malaise sans perte de connaissance,
hémiplégie et perte de sensibilité de tout l’hémicorps
gauche.
A. Hydrocéphalie
B. Hypodensité sylvienne
droite
C. Hyopdensité sylvienne
gauche
D. Spots hémorragique au
sein des ventricules
E. On peut voir les sinus
frontaux
Cas clinique n° 10
Traumatisme crânien chez une patiente de 65 ans sous anticoagulant pour
une ACFA.
Vous réalisez un scanner cérébral
A. Le scanner est injecté
B. On note un hématome extra-dural
C. Hématome sous dural
D. Engagement sous falcorielle
E. La flèche désigne le noyaux caudé
Cas clinique n° 10
Traumatisme crânien chez une patiente de 65 ans sous anticoagulant pour
une ACFA.
Vous réalisez un scanner cérébral
A. Le scanner est injecté
B. On note un hématome extra-dural
C. Hématome sous dural
D. Engagement sous falcorielle
E. La flèche désigne le noyaux caudé
Cas clinique n° 11
Patiente de 55 ans,
céphalée brutale
ayant duré 5 min.
Depuis patiente
confuse, sans déficit
sensitivo-moteur.
A. Hématome sous
cutanée temporal droit
B. Hémorragie sous
arachnoïdienne diffuse
C. La flèche désigne un
méningiome calcifié.
D. On peut voir une
hyperdensité des
citernes de la base
E. Il faut réaliser une
séquence injecté
Cas clinique n° 11
Patiente de 55 ans,
céphalée brutale
ayant duré 5 min.
Depuis patiente
confuse, sans déficit
sensitivo-moteur.
A. Hématome sous
cutanée temporal droit
B. Hémorragie sous
arachnoïdienne diffuse
C. La flèche désigne un
méningiome calcifié.
D. On peut voir une
hyperdensité des
citernes de la base
E. Il faut réaliser une
séquence injecté
Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente
→ 95 % fracture
fracture de la
voute crânienne
Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente
→ 95 % fracture
fracture de la
voute crânienne
20 % des TC
50-80 % de décès
→ Lacération des veines
corticales traversant les
espaces méningés
- Décollement de
l’arachnoide
- Forme en croissant
Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente
→ 95 % fracture
fracture de la
voute crânienne
20 % des TC
50-80 % de décès
→ Lacération des veines
corticales traversant les
espaces méningés
→ Rarement de
fractures associés
- Décollement de
l’arachnoide
- Forme en croissant
Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente
→ 95 % fracture
fracture de la
voute cranienne
20 % des TC
50-80 % de décès
→ Lacération des veines
corticales traversant les
espaces méningés
→ Rarement de
fractures associés
- Décollement de
l’arachnoide
- Forme en croissant
Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente
→ 95 % fracture
fracture de la
voute cranienne
20 % des TC
50-80 % de décès
→ Lacération des veines
corticales traversant les
espaces méningés
→ Rarement de
fractures associés
- Décollement de
l’arachnoide
- Forme en croissant
50 % des TC
50-80 % de décès
Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente.
→ 95 % fracture
fracture de la
voute cranienne
20 % des TC
50-80 % de décès
→ Lacération des veines
corticales traversant les
espaces méningés
→ Rarement de
fractures associés
- Décollement de
l’arachnoide
- Forme en croissant
50 % des TC
40 % de décès
→ Citerne de la base,
vallées sylviennes, sillons
corticaux, scissure inter-
hémisphérique
→ TC, Rupture
d’anévrisme ou sans
cause
Hématome sous dural chronique
Aspect non homogène
Cloisonné par membranes sous durales
fibreuses
Focus : Scanner cérébral -> Ce qu’on peut
trouver
Focus : Scanner cérébral -> Ce qu’on peut
trouver
1- Espaces péri-cérébraux
Normal Atrophié
Focus : Scanner cérébral -> Ce qu’on peut
trouver
2- Ventricules
Focus : Scanner cérébral. Ce qu’on peut
trouver
2- Ventricules
Après injection PDC → Plexus et veines

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  • 1. 15 imageries clés à l’ECN / EDN MIYARA Ghita Interne de radiologie, 3e semestre
  • 3. Comprendre ce que l’on apprend pour retenir plus facilement Objectif
  • 4. Toutes les spécialités du programme traitées en alliant cours et entraînements (physiopathologie, sémiologie…) Une centaine de conférences en vidéo en direct puis disponibles en replay pour approfondir les notions les plus importantes Des lives complétés par des focus synthétiques de cours en vidéo Inclut la préparation à la LCA A jour de la R2C (nouveau programme et nouvelle docimologie pris en compte) Des cours de méthodologie et des entrainements Programme de la préparation ECNi 2023 ➔ www.conference-cartesia.fr
  • 5. Toutes les spécialités du programme traitées en alliant cours et entraînements (physiopathologie, sémiologie…) Une centaine de conférences en vidéo en direct puis disponibles en replay pour approfondir les notions les plus importantes Des lives complétés par des focus synthétiques de cours en vidéo Inclut la préparation à la LCA Préparation aux ECOS à travers des conférences de méthodologie et de débrief d’ECOS en live Des cours de méthodologie et des entrainements Programme de la préparation R2C – EDN & ECOS ➔ www.conference-cartesia.fr
  • 6. Frais d’inscription • 650 euros 400 euros pour la préparation ECNi 2023 • 800 euros 550 euros pour la préparation R2C (EDC & ECOS) • Boursiers CROUS ? Déposez votre dossier « Egalité des chances » ➔ www.conference-cartesia.fr -- 250 € de réduction jusqu’au 2 décembre !
  • 7. - Aspects radiologiques typiques de 15 pathologies à connaitre - Rappels de sémiologie radiologique - Anatomie radiologique Contenu de la conférence
  • 8. Un patient de 63 ans se présente aux urgences pour douleurs abdominales et vomissements depuis 3 jours. Il rapporte également une absence de selles. Il a pour antécédents une HTA et une appendicectomie à l’âge de 20 ans. Vous décidez de réaliser un scanner abdomino-pelvien. Cas clinique n° 1
  • 9. Cas clinique n° 1 Que pouvez-vous dire sur cette imagerie ? A. Il s’agit d’un scanner abdominal sans injection. B. Il s’agit d'une occlusion mécanique colique. C. On peut voir la zone de transition. D. Il s’agit d’une occlusion mécanique du grêle. E. Le colon gauche est fin sur cette coupe.
  • 10. Cas clinique n° 1 Que pouvez-vous dire sur cette imagerie ? A. Il s’agit d’un scanner abdominal sans injection. B. Il s’agit d'une occlusion mécanique colique. C. On peut voir des signes de gravité. D. Il s’agit d’une occlusion mécanique du grêle. E. Le colon gauche est fin sur cette coupe.
  • 11. Syndrome occlusif Clinique - Douleurs abdominales - Vomissements, arrêt des matières et des gaz - Météorisme abdominal Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté Signes radiologiques : - Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm - Niveaux hydroaériques Signes de gravité : - Absence de rehaussement de paroi - Épaississement de la paroi pariétale
  • 12. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ? Clinique - Douleurs abdominales - Vomissements, arrêt des matières et des gaz - Météorisme abdominal Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté Signes radiologiques : - Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm - Niveaux hydroaériques Signes de gravité : - Absence de rehaussement de paroi - Épaississement de la paroi pariétale
  • 13. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ? HAUTE = Dilatation grêlique Clinique - Douleurs abdominales - Vomissements, arrêt des matières et des gaz - Météorisme abdominal Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté Signes radiologiques : - Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm - Niveaux hydroaériques Signes de gravité : - Absence de rehaussement de paroi - Épaississement de la paroi pariétale
  • 14. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ? HAUTE = Dilatation grêlique BASSE = Dilatation colique +/- grêle Clinique - Douleurs abdominales - Vomissements, arrêt des matières et des gaz - Météorisme abdominal Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté Signes radiologiques : - Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm - Niveaux hydroaériques Signes de gravité : - Absence de rehaussement de paroi - Épaississement de la paroi pariétale
  • 15. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ? HAUTE = Dilatation grêlique BASSE = Dilatation colique +/- grêle VALVULE DE BAUHIN Signes de gravité : - Absence de rehaussement de paroi - Infiltration du mésentère - Épaississement de la paroi pariétale - Caecum > 13 cm Clinique - Douleurs abdominales - Vomissements, arrêt des matières et des gaz - Météorisme abdominal Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté Signes radiologiques : - Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm - Niveaux hydroaériques
  • 16. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ? HAUTE = Dilatation grêlique BASSE = Dilatation colique +/- grêle ANGLE DE TREITZ Signes de gravité : - Absence de rehaussement de paroi - Infiltration du mésentère - Épaississement de la paroi pariétale - Caecum > 13 cm Clinique - Douleurs abdominales - Vomissements, arrêt des matières et des gaz - Météorisme abdominal Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté Signes radiologiques : - Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm - Niveaux hydroaériques
  • 17. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ?
  • 18. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ? - Plusieurs anses de localisation centrale - Colon droit ou gauche dilaté ?
  • 19. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ? - Plusieurs anses de localisation centrale - Colon droit ou gauche dilaté ? ☛ Où dans le grêle ?
  • 20. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ? - Plusieurs anses de localisation centrale - Colon droit ou gauche dilaté ? ☛ Où dans le grêle ? → Feces Sign (55 % des occlusions du grêles)
  • 21. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ? - Plusieurs anses de localisation centrale - Colon droit ou gauche dilaté ? ☛ Où dans le grêle ? → Feces Sign (55 % des occlusions du grêles) → Zone de transition
  • 22. Syndrome occlusif ☛ Où se situe l’occlusion ? - Plusieurs anses de localisation centrale - Colon droit ou gauche dilaté ? ☛ Où dans le grêle ? → Feces Sign (55 % des occlusions du grêles) → Zone de transition
  • 23. Focus : Colon / Grêle 1 2 3 1 - Colon transverse 2 - Colon gauche 3 - Angle colique gauche 4 - Angle colique droit 5 - Duodénum 4 5
  • 24. Focus : Colon / Grêle 1 2 3 1 - Colon transverse 2 - Colon gauche 3 - Angle colique gauche 4 - Angle colique droit 5 - Duodénum 4 5
  • 25. Focus : Colon / Grêle 1 1 2 2
  • 26. Focus : Colon / Grêle
  • 27. Focus : Colon / Grêle
  • 28. Focus : Colon / Grêle - Colon contient + de matières fécales et souvent + de gaz - Pas de niveau liquidien sauf quand dilaté - Valvules conniventes du grêle et haustruation colique du colon A l’étage hépatique : - Colon transverse sur tout l’axe longitudinale - Angle colique gauche (T11) et angle colique droit plus en dessous (L1) Sous l’étage hépatique : - Colon droit et colon gauche fixes sur les côtés - Au milieu = grêle
  • 29. Syndrome occlusif Clinique - Douleurs abdominales - Vomissements, arrêt des matières et des gaz - Météorisme abdominal Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté Signes radiologiques : - Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm - Niveaux hydroaériques Signes de gravité : - Absence de rehaussement de paroi - Infiltration du mésentère - Épaississement de la paroi pariétale - Caecum > 13 cm
  • 30. Patiente de 20 ans consulte aux urgences pour une douleur abdominale fébrile en fosse iliaque droite. Pas d’antécédents. Que demandez-vous en premier avant tout chose ? Cas clinique n° 2
  • 31. Patiente de 20 ans consulte aux urgences pour une douleur abdominale fébrile en fosse iliaque droite. Pas d’antécédents. Que demandez-vous en premier avant tout chose ? Cas clinique n° 2 → BHCG
  • 32. A. Masse utérine à paroi épaissie B. On peut visualiser un stercolithe C. Épaississement pariétal de l’appendice D. Phlegmon appendiculaire E. Epanchement péritonéal
  • 33. A. Masse utérine à paroi épaissie B. On peut visualiser un stercolithe C. Épaississement pariétal de l’appendice D. Phlegmon appendiculaire E. Epanchement péritonéal
  • 34. Appendicite aigüe Clinique - Douleur en fosse iliaque droite - Fièvre - SIB, hyperleucocytose Imagerie : - Echographie abdominale (jeune, femme en âge de procréer) - Scanner abdomino-pelvien injecté Signes radiologiques : - Diamètre > 6 mm - Epaississement pariétal > 3 mm - Stercolhite (50 %) : pas spécifique - Prise de contraste en cocarde Signes de gravité : • Perforation appendiculaire ❑ Abcès péri-appendiculaire (collection hypodense renfermant le plus souvent des bulles d’air) ❑ Péritonite appendiculaire (épanchement liquidien +++, prise de contraste et épaississement de la graisse) • Plastron appendiculaire (accolement des viscères adjacent : limite l’extension du foyer )
  • 38. Appendicite aigüe Péritonite appendiculaire - Densification de la graisse mésentérique - Prise de contraste et épaississement péritonéale diffus - Epanchement péritonéale
  • 39. Appendicite aigüe Péritonite appendiculaire - Densification de la graisse mésentérique - Prise de contraste et épaississement péritonéale diffus
  • 40. - Cliniquement : masse en fosse iliaque droite - Inflammation de la graisse péri-appendiculaire Plastron appendiculaire
  • 41. Appendicite aigüe Plastron appendiculaire ATB IV Abcès appendiculaire Petite taille Volumineux ATB PO + Drainage Appendicectomie à froid Péritonite appendiculaire Appendicectomie à froid 2-4 mois plus tard Appendicectomie à chaud Appendicectomie en urgence + lavage péritonéale
  • 42. Cas clinique n° 3 Patiente de 63 ans, consulte pour douleurs abdominales à début brutal avec fièvre. Sensibilité à la palpation de l’hypochondre droit. A. Épaississement pariétal en feuillet B. Absence de calculs biliaires au sein de la vésicule C. La flèche désigne le rein droit D. Sludge vésiculaire E. Il s’agit d’une cholécystite aigüe
  • 43. Cas clinique n° 3 Patiente de 63 ans, consulte pour douleurs abdominales à début brutal avec fièvre. Sensibilité à la palpation de l’hypochondre droit. A. Épaississement pariétal en feuillet B. Absence de calculs biliaires au sein de la vésicule C. La flèche désigne le rein droit D. Sludge vésiculaire E. Il s’agit d’une cholécystite aigüe
  • 44. Cholécystite aigüe Clinique - Douleurs aigues hypochondre droit > 6h - Fièvre - Signe de Murphy : douleur inhibant l’inspiration profonde Imagerie : Echographie abdominale Signes radiologiques : - Calculs intra vésiculaires : cônes d’ombres +++ - Signe de Murphy radiologique - Epaississement paroi > 3 mm - Distension vésiculaire - Sludge vésicualire Signes de gravités : - Abcès - Perforation vésiculaire - Péritonite
  • 45. = boue vésiculaire Stagnation des sédiments de cristaux de cholestérol, de pigments et d’autres sels de calcium. - Post-grossesse après perte de poids rapide - Chirurgie gastrique - Nutrition parentérale Peut évoluer vers la formation de calculs biliaires. → Si découverte fortuite : pas de prise en charge → Si découverte dans un contexte de colique hépatique : cholécystectomie Le sludge ?
  • 47. Cas clinique n° 3 Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour aggravation douloureuse brutale.
  • 48. Cas clinique n° 3 Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour aggravation douloureuse brutale. A. Scanner injecté au temps portal B. On voit la dilatation des voies biliaires intra-hépatique C. On peut voir les surrénales sur l’une des deux images D. La flèche désigne le colon transverse E. Il y’a un épanchement péri-hépatique
  • 49. Cas clinique n° 3 Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour aggravation douloureuse brutale A. Scanner injecté au temps portal B. On voit la dilatation des voies biliaires intra-hépatique C. On peut voir les surrénales sur l’une des deux images D. La flèche désigne le colon transverse E. Il y’a un épanchement péri-hépatique
  • 50. Cas clinique n° 3 Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour aggravation douloureuse brutale Péritonite sur perforation vésiculaire
  • 51. Patiente de 69 ans présentant des douleurs intenses en hypochondre droit depuis 48 h. Le bilan biologique retrouve : cytolyse hépatique 10N, GB 8000 et CRP à 1. Elle rapporte des urines foncées et des selles décolorées. L’échographie abdominale retrouve un signe de Murphy positif et des macro calculs. Un scanner injecté est réalisé. A. Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques B. Dilatation du canal de Wirsung C. Calcul enclavé dans l’ampoule de Vater. D. La flèche désigne la VCI E. Il s’agit d’une angiocholite Cas clinique n° 4
  • 52.
  • 53. A. Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques B. Dilatation du canal de Wirsung C. Calcul enclavé dans l’ampoule de Vater. D. La flèche désigne la VCI E. Il s’agit d’une angiocholite → Calcul enclavé dans VBP responsable d’une dilatation des voies biliaires intra et extra hépatique CPRE et sphinctérectomie Cholécystectomie
  • 54. Colique hépatique = douleur brutale et intense de l’épigastre ou hypochondre droit. Elle inhibe la respiration. Possible signe de Murphy à l’examen Imagerie : Echographie abdominale ++ Scanner en 2e intention - Migration lithiasique simple : calculs dans la VBP sans angiocholite. - Cholécystite : + défense, + fièvre, + signes radiologiques - Angiocholite : + fièvre + ictère + cholestase + SIB ↑ ASAT/ALAT Bilan hépatique normal ➔ Cholécystectomie à froid - Si compliqué d’une cholécystite : en urgence - Si compliqué d’une angiocholite : CPRE et sphinctérectomie puis cholécystectomie - Si calcul VBP non septique : soit CPRE et sphinctérectomie puis cholécystectomie soit en un temps cholécystectomie avec désobstruction peropératoire
  • 55. Focus : péritonite Péritonite - Epanchement péritonéal +/- collectée - Epaississement et prise de contraste des feuillets péritonéaux - Infiltration de la graisse mésentérique - Pneumopéritoine
  • 56. Focus : péritonite Péritonite - Epanchement péritonéal +/- collectée - Epaississement et prise de contraste des feuillets péritonéaux - Infiltration de la graisse mésentérique - Pneumopéritoine Péritonite par perforation Péritonite diverticulaire Péritonite appendiculaire Début Brutal Progressif Progressif Maximum des signes péritonéaux Epigastrique Fosse iliaque gauche Fosse iliaque droite Fièvre / Hyperleucocytose Non au début Oui Oui Pneumopéritoine Parfois, discret Présent, volumineux Non Traitement Chirurgie en urgence Contre-indication formelle à l’endoscopie digestive haute Chirurgie en urgence Chirurgie en urgence Douleur abdominale provoquée → majorée lors de la décompression brutale d’une fosse iliaque. Contracture
  • 59. Cas clinique n° 5 Patiente de 40 ans consulte pour une toux sèche persistante depuis 2 mois et légère altération de l’état général. Elle n’a aucun antécédent. Vous réalisez une radiographie du thorax. Que constatez-vous ? A. La radiographie est en inspiration correcte. B. Il existe un émoussement du cul de sac gauche. C. On retrouve des opacités hilaires bilatérales. D. Il existe un syndrome interstitiel. E. La radiographie est normale.
  • 60. Cas clinique n° 5 Patiente de 40 ans consulte pour une toux sèche persistante depuis 2 mois et légère altération de l’état général. Elle n’a aucun antécédent. Vous réalisez une radiographie du thorax. Que constatez-vous ? A. La radiographie est en inspiration correcte. B. Il existe un émoussement du cul de sac gauche. C. On retrouve des opacités hilaires bilatérales. D. Il existe un syndrome interstitiel. E. La radiographie est normale.
  • 61. Focus : la radiographie de thorax bien réalisée 1. Face stricte → Extrémités internes des clavicules symétriques 2. Debout → Poche d’air gastrique 3. Totalité du thorax → Culs de sac diaphragmatique → Apex pulmonaires 4. Inspiration profonde → 6 arcs antérieurs intercostaux 5. Omoplates dégagées 1 2 3 4 5 6
  • 62. Cas clinique n° 5 • Adénopathies hilaires bilatérales non compressives. • Pas d’atteinte parenchymateuse • Pas d’épanchement pleural. Sarcoïdose stade I
  • 63. Le diagnostique de sarcoïdose est posé. Au cours du suivi, cette radiographie est réalisée.
  • 65. Sarcoïdose : classification radiologique Stade I Stade III Stade IV Stade II Polyadénopathies ☞ Médiastinales : Latéro-trachéale droite (70 %) ☞ Hilaires non compressives et symétriques + Micro nodulation diffuse ☞ Lobe supérieur droit ☞ Régions sous-pleurales et péribronchovasculaires ADP seules ADP + atteinte parenchymateuse Atteinte parenchymateuse Fibrose
  • 66. Focus : syndrome interstitiel Syndrome interstitiel = Atteinte d’un ou plusieurs compartiments du tissu interstitiel. - Espace péri bronchovasculaire et centrolobulaire - Sous pleural et cloisons interlobulaires - Cloisons intra-lobulaires
  • 67. Focus : syndrome interstitiel Différentes formes d’atteintes - Linéaires et réticulaires - Micronodulaire - Verre dépoli - Fibrose → Aspect en rayon de miel → Bronchectasies de traction 3 espaces interstitiels - Espace péri broncho vasculaire et centro- lobulaire - Sous pleural et cloisons interlobulaires - Cloisons intra-lobulaires
  • 68. Focus : syndrome interstitiel Septas interlobulaire Septas intralobulaires Réticulations sous pleurales 1. Lignes et réticulations
  • 69. Focus : syndrome interstitiel 1. Lignes et réticulations Septas interlobulaire Septas intra lobulaires Epaississement bronchovasculaire Réticulations sous pleurales
  • 70. Focus : syndrome interstitiel 2. Micronodules Onclepaul.net Atteinte asymétrique des lobes et champs pulmonaires Souvent associés à des épaississement global des espaces péri-broncho- vasculaires ou lignes septales SARCOIDOSE LYMPHANGITE CARCINOMATEUSE
  • 71. Focus : syndrome interstitiel 2. Micronodules Onclepaul.net Réaction inflammatoire de la paroi bronchiolaire Zone avasculaire sous pleurale BRONCHIOLITE INFECTIEUSE ASTHME BPCO
  • 72. Focus : syndrome interstitiel 2. Micronodules Onclepaul.net Réaction inflammatoire de la paroi bronchiolaire Zone avasculaire sous pleurale BRONCHIOLITE INFECTIEUSE ASTHME BPCO
  • 73. Focus : syndrome interstitiel 2. Micronodules Onclepaul.net Suit la distribution du flux sanguin. Aléatoire. MILIAIRE TUBERCULEUSE MILIAIRE MÉTASTATIQUE
  • 76. Syndrome interstitiel 3. Verre dépoli Augmentation de la densité du parenchyme N’efface pas les vaisseaux et les paroi de bronches Remplissage incomplet des alvéoles Epaississement de l’interstitium (dépôts de liquide, cellules, fibrose des cloisons inter alvéolaires...)
  • 77. Syndrome interstitiel 4. Fibrose 2 signes élémentaires : - Rayons de miel = destruction parenchymateuse responsable d’espaces aériens dilatés à parois fibreuse définis Sous pleurales +++ - Bronchectasies par traction
  • 79. Syndrome interstitiel à la radio Lignes et réticulations (Lignes de Kerley)
  • 80. Syndrome interstitiel à la radio Lignes et réticulations (Lignes de Kerley) Micronodules
  • 81. Syndrome interstitiel à la radio Lignes et réticulations (Lignes de Kerley) Micronodules Opacités diffuses : Macro nodules Verres dépoli
  • 82. Syndrome interstitiel à la radio Opacités diffuses : Macro nodules Verres dépoli Lignes et réticulations (Lignes de Kerley) Micronodules
  • 83. Syndrome interstitiel à la radio Lignes et réticulations (Lignes de Kerley) Micronodules Opacités diffuses : Macro nodules Verres dépoli Fibrose : rayon de miel A retenir : Opacités non systématisés Contours net Non confluent
  • 84. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE
  • 85. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE ► Œdème aigue du poumon
  • 86. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE ► Œdème aigue du poumon
  • 87. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE ► Œdème aigue du poumon ► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose, Pneumocystose, CMV…)
  • 88. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE ► Œdème aigue du poumon ► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose, Pneumocystose, CMV…) ► SDRA
  • 89. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE ► Œdème aigue du poumon ► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose, Pneumocystose, CMV…) ► SDRA ► Acutisation de PID
  • 90. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE ► Œdème aigue du poumon ► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose, Pneumocystose, CMV…) ► SDRA ► Acutisation de PID Primaire Secondaire
  • 91. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE ► Œdème aigue du poumon ► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose, Pneumocystose, CMV…) ► SDRA ► Acutisation de PID ► Sarcoïdose Primaire Secondaire
  • 92. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE - Verre dépoli bilatéral et symétrique ++ - Basale - Evolution vers PINS fibrosante (Bronchectasies par traction proximales) ► Sarcoïdose ► Idiopathique → PINS Primaire Secondaire A.Nicolas et al, JDI 2019
  • 93. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE ► Œdème aigue du poumon ► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose, Pneumocystose, CMV…) ► SDRA ► Acutisation de PID ► Sarcoïdose ► Idiopathique → PINS → FPI Primaire Secondaire - Rayons de miel basal - Réticulations sous-pleurales et basales - Bronchectasies par traction A.Nicolas et al, JDI 2019
  • 94. Focus PID PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE ► Œdème aigue du poumon ► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose, Pneumocystose, CMV…) ► SDRA ► Acutisation de PID ► Sarcoïdose ► Idiopathique → PINS → FPI ► Connectivites → Polyarthrite rhumatoïde → Sclérodermie ► Atteintes malignes ► Pneumoconioses ► Secondaire à des médicaments Primaire Secondaire
  • 95. Focus : PID Syndrome interstitiel - Linéaires et réticulaires - Micronodulaire - Verre dépoli - Fibrose → Aspect en rayon de miel → Bronchectasies de traction Aigue Chronique Verre dépoli bilatéral ID Pneumocystose CMV OAP Rayons de miel Bronchectasies par traction Idiopathique = FIP Evolution fibrosante de PID chronique Verre dépoli bilatéral Idiopathique = PINS ADP médiastinale + Micronodules péri lymphatiques Sarcoïdose Micronodules de distribution aléatoire Tuberculose PR, PHS … IC Covid-19
  • 96. Cas clinique n° 6 Patiente de 46 ans, se présente aux urgences pour fièvre, douleur thoracique et toux depuis 48h. Vous réalisez une radiographie de thorax. A. Il existe un épanchement pleural B. Pneumopathie lobaire inférieure droite C. Pneumopathie lobaire moyenne D. La crosse de l’aorte est représenté en 1 E. Le ventricule droit est représenté en 2 1 2
  • 97. Cas clinique n° 6 Patiente de 46 ans, se présente aux urgences pour fièvre, douleur thoracique et toux depuis 48h. Vous réalisez une radiographie de thorax. A. Il existe un épanchement pleural B. Pneumopathie lobaire inférieure droite C. Pneumopathie lobaire moyenne D. La crosse de l’aorte est représenté en 1 E. Le ventricule droit est représenté en 2 1 2
  • 98. Focus : la silhouette cardiaque
  • 99. A. Pneumopathie lobaire inférieure gauche B. Pneumopathie lobaire supérieure gauche C. Pneumopathie bilatérale
  • 100. A. Pneumopathie lobaire inférieure gauche B. Pneumopathie lobaire supérieure gauche C. Pneumopathie bilatérale
  • 101. Focus : les lobes pulmonaires LIG
  • 102. Focus : les lobes pulmonaires LSG
  • 103. Focus : les lobes pulmonaires LSG
  • 104. Focus : les lobes pulmonaires LSG Lingula
  • 105. Focus : les lobes pulmonaires LID
  • 106. Focus : les lobes pulmonaires LID LM LSD
  • 107. Signe de la silhouette Si efface le bord gauche du cœur = Lingula Si efface le bord droit du cœur = lobe moyen Si efface le bord de la coupole diaphragmatique = lobe inférieur
  • 108. Signe de la silhouette
  • 109. Focus : syndrome alvéolaire = Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet - Contours flous - Confluent - Présence de bronchogramme aérien - Systématisation
  • 110. Focus : syndrome alvéolaire = Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet Condensation parenchymateuse
  • 111. Focus : syndrome alvéolaire = Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet Verre dépoli
  • 112. Focus : syndrome alvéolaire = Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet
  • 113. Syndrome alvéolaire ou interstitiel ? A B
  • 114. Syndrome alvéolaire ou interstitiel ? Miliaires tuberculeuse Bronchopneumonie à Staphylococcus aureus
  • 115. Pneumopathie en foyer Syndrome alvéolaire Pneumopathie interstitiel Pneumocoque Légionellose Virales Pneumopathie de l’immunodéprimé Germes atypique : Mycoplasme, Chlamydia… Imagerie des infections pulmonaires Condensations systématisés Opacités confluentes Réticulations Verre dépoli Micronodules Infection aigue
  • 116. Cas clinique n° 6 A. On peut voir du verre dépoli bilatéral B. Des réticulations intralobulaires C. 1 désigne la veine cave supérieure D. 2 désigne la veine azygos E. 3 désigne l’aorte 3 2 1 Patient de 55 ans, greffé rénal en 2013, présentant un tableau de toux sèche, dyspnée avec désaturation à l’effort, perte de 9 kg en 1 mois
  • 117. 3 2 1 Pneumocystose Cas clinique n° 6 A. On peut voir du verre dépoli bilatéral B. Des réticulations intralobulaires C. 1 désigne la veine cave supérieure D. 2 désigne la veine azygos E. 3 désigne l’aorte Patient de 55 ans, greffé rénal en 2013, présentant un tableau de toux sèche, dyspnée avec désaturation à l’effort, perte de 9 kg en 1 mois
  • 118. Malgré́ traitement, aggravation clinique et transfert en réanimation. Contrôle à J21. Quelle signe vous oriente vers de la fibrose ?
  • 119. Bronchectasies par traction Malgré́ traitement, aggravation clinique et transfert en réanimation. Contrôle à J21.
  • 120. Cas clinique n° 7 Patient de 45 ans consulte aux urgences pour une douleur thoracique brutale. 1 2
  • 121. De quoi s’agit-il ? A. Embolie pulmonaire bilatérale B. 1 représente le tronc de l’artère pulmonaire C. Pneumopathie du lobe supérieure gauche D. 2 représente l’oreillette droite E. On peut voir l’œsophage sur cette coupe Cas clinique n° 7
  • 122. Cas clinique n° 7 De quoi s’agit-il ? A. Embolie pulmonaire bilatérale B. 1 représente le tronc de l’artère pulmonaire C. Pneumopathie du lobe supérieure gauche D. 2 représente l’oreillette droite E. On peut voir l’œsophage sur cette coupe
  • 123. Focus : embolie pulmonaire - Proximal et bilatéral : PAS DES SIGNES DE GRAVITE Infarctus pulmonaire - Condensation souvent triangulaire à base sous pleural - Centre clair = parenchyme aéré - Entouré de verre dépoli = hémorragie intra-alvéolaire
  • 129. Cas clinique n° 8 Patient de 65 amené par le SAMU après avoir été retrouvé au sol par sa fille. L’examen retrouve déficit de l’hémicorps droit avec paralysie faciale, aphasie et héminégligence 1 2 3 4
  • 130. A. La séquence en injection retrouve une occlusion de l’artère sylvienne gauche B. Il faut réaliser une thrombolyse en urgence C. AVC sylvien droit superficiel D. La 2er séquence est la séquence FLAIR E. Il existe des remaniement hémorragique de la zone ischémié Cas clinique n° 8
  • 131. A. La séquence en injection retrouve une occlusion de l’artère sylvienne gauche B. Il faut réaliser une thrombolyse en urgence C. AVC sylvien droit superficiel D. La 2er séquence est la séquence FLAIR E. Il existe des remaniement hémorragique de la zone ischémié Cas clinique n° 8
  • 132. Focus : séquences IRM cérébrales T1 = Séquence anatomique T2
  • 133. Focus : séquences IRM cérébrales T1 = Séquence anatomique T2 + Gadolinium FLAIR T2* Diffusion
  • 134. Focus : séquences IRM cérébrales T1 = Séquence anatomique T2 + Gadolinium FLAIR T2* Diffusion
  • 135. Focus : séquences IRM cérébrales T1 = Séquence anatomique T2 + Gadolinium FLAIR T2* Diffusion
  • 136. Focus : séquences IRM cérébrales T1 = Séquence anatomique T2 + Gadolinium FLAIR T2*
  • 137. Focus : séquences IRM cérébrales T1 = Séquence anatomique T2 + Gadolinium FLAIR T2* Diffusion
  • 138. Focus : séquences IRM cérébrales T1 En P1 je bosse l’anatomie → Séquence anatomique Je bois du café → LCR noir T2 En P2 je bosse pas l’anatomie Je bois du pastis → LCR blanc J’injecte du PDC T1 GADO FLAIR Je supprime le signal du LCR T2* Inhomogénéité du champs magnétique Hémosidérine + calcification DIFFUSION Séquence basé sur la restriction du mouvement des molécules d’eau
  • 139. IRM AVC Infarctus cérébral : - Zone centrale : nécrose immédiate - Zone périphérique de « pénombre » Vasodilatation artérioles Maintien DSC ↖︎ EO2 ↘︎ Consommation cellulaire Seuil de défaillance membranaire (dysfonction pompes membranaires cellulaires Na/K ATP dépendantes par perte de la production énergétique neuronale)
  • 140. IRM AVC Infarctus cérébral : - Zone centrale : nécrose immédiate - Zone périphérique de « pénombre » Vasodilatation artérioles Maintien DSC ↖︎ EO2 ↘︎ Consommation cellulaire Seuil de défaillance membranaire (dysfonction pompes membranaires cellulaires Na/K ATP dépendantes par perte de la production énergétique neuronale)
  • 141. IRM AVC Dysfonction pompes membranaires cellulaires Na/K Na+ reste en intracellulaire ŒDÈME CYTOTOXIQUE Onclepaul.fr
  • 142. IRM AVC → Rupture de la BHE H0 ŒDÈME CYTOTOXIQUE H3-6 ŒDÈME VASOGENIQUE
  • 143. DIFFUSION Zone de nécrose Dès les 1er minutes FLAIR Se positive dans les 3-6h - Transformation hémorragique - Caillot Polygone de Willis T2* TOF
  • 144. Cas clinique n° 9 Patient de 80 ans, malaise sans perte de connaissance, hémiplégie et perte de sensibilité de tout l’hémicorps gauche. A. Hydrocéphalie B. Hypodensité sylvienne droite C. Hyopdensité sylvienne gauche D. Spots hémorragique au sein des ventricules E. On peut voir les sinus frontaux
  • 145. Cas clinique n° 9 Patient de 80 ans, malaise sans perte de connaissance, hémiplégie et perte de sensibilité de tout l’hémicorps gauche. A. Hydrocéphalie B. Hypodensité sylvienne droite C. Hyopdensité sylvienne gauche D. Spots hémorragique au sein des ventricules E. On peut voir les sinus frontaux
  • 146. Cas clinique n° 10 Traumatisme crânien chez une patiente de 65 ans sous anticoagulant pour une ACFA. Vous réalisez un scanner cérébral A. Le scanner est injecté B. On note un hématome extra-dural C. Hématome sous dural D. Engagement sous falcorielle E. La flèche désigne le noyaux caudé
  • 147. Cas clinique n° 10 Traumatisme crânien chez une patiente de 65 ans sous anticoagulant pour une ACFA. Vous réalisez un scanner cérébral A. Le scanner est injecté B. On note un hématome extra-dural C. Hématome sous dural D. Engagement sous falcorielle E. La flèche désigne le noyaux caudé
  • 148. Cas clinique n° 11 Patiente de 55 ans, céphalée brutale ayant duré 5 min. Depuis patiente confuse, sans déficit sensitivo-moteur. A. Hématome sous cutanée temporal droit B. Hémorragie sous arachnoïdienne diffuse C. La flèche désigne un méningiome calcifié. D. On peut voir une hyperdensité des citernes de la base E. Il faut réaliser une séquence injecté
  • 149. Cas clinique n° 11 Patiente de 55 ans, céphalée brutale ayant duré 5 min. Depuis patiente confuse, sans déficit sensitivo-moteur. A. Hématome sous cutanée temporal droit B. Hémorragie sous arachnoïdienne diffuse C. La flèche désigne un méningiome calcifié. D. On peut voir une hyperdensité des citernes de la base E. Il faut réaliser une séquence injecté
  • 150. Focus : hématomes intra crâniens Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien 1 à 4 % des TC 10 % de décès - Entre l’os et la dure- mère - Forme lenticulaire → Localisation temporo-pariétale due à une déchirure de l'artère méningée moyenne est la plus fréquente → 95 % fracture fracture de la voute crânienne
  • 151. Focus : hématomes intra crâniens Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien 1 à 4 % des TC 10 % de décès - Entre l’os et la dure- mère - Forme lenticulaire → Localisation temporo-pariétale due à une déchirure de l'artère méningée moyenne est la plus fréquente → 95 % fracture fracture de la voute crânienne 20 % des TC 50-80 % de décès → Lacération des veines corticales traversant les espaces méningés - Décollement de l’arachnoide - Forme en croissant
  • 152. Focus : hématomes intra crâniens Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien 1 à 4 % des TC 10 % de décès - Entre l’os et la dure- mère - Forme lenticulaire → Localisation temporo-pariétale due à une déchirure de l'artère méningée moyenne est la plus fréquente → 95 % fracture fracture de la voute crânienne 20 % des TC 50-80 % de décès → Lacération des veines corticales traversant les espaces méningés → Rarement de fractures associés - Décollement de l’arachnoide - Forme en croissant
  • 153. Focus : hématomes intra crâniens Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien 1 à 4 % des TC 10 % de décès - Entre l’os et la dure- mère - Forme lenticulaire → Localisation temporo-pariétale due à une déchirure de l'artère méningée moyenne est la plus fréquente → 95 % fracture fracture de la voute cranienne 20 % des TC 50-80 % de décès → Lacération des veines corticales traversant les espaces méningés → Rarement de fractures associés - Décollement de l’arachnoide - Forme en croissant
  • 154. Focus : hématomes intra crâniens Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien 1 à 4 % des TC 10 % de décès - Entre l’os et la dure- mère - Forme lenticulaire → Localisation temporo-pariétale due à une déchirure de l'artère méningée moyenne est la plus fréquente → 95 % fracture fracture de la voute cranienne 20 % des TC 50-80 % de décès → Lacération des veines corticales traversant les espaces méningés → Rarement de fractures associés - Décollement de l’arachnoide - Forme en croissant 50 % des TC 50-80 % de décès
  • 155. Focus : hématomes intra crâniens Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien 1 à 4 % des TC 10 % de décès - Entre l’os et la dure- mère - Forme lenticulaire → Localisation temporo-pariétale due à une déchirure de l'artère méningée moyenne est la plus fréquente. → 95 % fracture fracture de la voute cranienne 20 % des TC 50-80 % de décès → Lacération des veines corticales traversant les espaces méningés → Rarement de fractures associés - Décollement de l’arachnoide - Forme en croissant 50 % des TC 40 % de décès → Citerne de la base, vallées sylviennes, sillons corticaux, scissure inter- hémisphérique → TC, Rupture d’anévrisme ou sans cause
  • 156. Hématome sous dural chronique Aspect non homogène Cloisonné par membranes sous durales fibreuses
  • 157. Focus : Scanner cérébral -> Ce qu’on peut trouver
  • 158. Focus : Scanner cérébral -> Ce qu’on peut trouver 1- Espaces péri-cérébraux Normal Atrophié
  • 159. Focus : Scanner cérébral -> Ce qu’on peut trouver 2- Ventricules
  • 160. Focus : Scanner cérébral. Ce qu’on peut trouver 2- Ventricules Après injection PDC → Plexus et veines