EVALUATION D’IMPACT DES PLATEFORMES D’INNOVATION LAIT DE VACHE ET MAĪS QPM SUR LA SECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE DES MENAGES BENEFICIAIRES AU TOGO
Rapport 2014 sur la nutrition mondiale IFPRI Africa
Une alimentation équilibrée est le socle sur lequel repose le bien-être humain. avant la naissance et pendant la petite enfance, elle favorise une évolution saine du cerveau et un développement plus solide du système immunitaire. Une bonne alimentation sauve les jeunes enfants de la mort et leur fournit les moyens de croître et de développer tout leur potentiel. Au cours de la vie humaine, elle favorise un meilleur apprentissage à l’école ; des mères mieux nourries mettent au monde des enfants mieux nourris, et les adultes ont plus de chances d’être productifs et de gagner des salaires plus élevés. À l’âge mûr, elle prépare le métabolisme à lutter contre les maladies liées aux changements dans le régime alimentaire et l’activité physique. En l’absence de ce socle, la vie et les moyens de subsistance d’un être humain reposent sur des sables mouvants.
Presentation de la Cellule de lutte contre la Malnutrition (CLM), structure de coordination de la nutrition au Sénégal par Mr Abdoulaye Ka, Directeur de la cellule.
10 décembre 2018
EVALUATION D’IMPACT DES PLATEFORMES D’INNOVATION LAIT DE VACHE ET MAĪS QPM SUR LA SECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE DES MENAGES BENEFICIAIRES AU TOGO
Rapport 2014 sur la nutrition mondiale IFPRI Africa
Une alimentation équilibrée est le socle sur lequel repose le bien-être humain. avant la naissance et pendant la petite enfance, elle favorise une évolution saine du cerveau et un développement plus solide du système immunitaire. Une bonne alimentation sauve les jeunes enfants de la mort et leur fournit les moyens de croître et de développer tout leur potentiel. Au cours de la vie humaine, elle favorise un meilleur apprentissage à l’école ; des mères mieux nourries mettent au monde des enfants mieux nourris, et les adultes ont plus de chances d’être productifs et de gagner des salaires plus élevés. À l’âge mûr, elle prépare le métabolisme à lutter contre les maladies liées aux changements dans le régime alimentaire et l’activité physique. En l’absence de ce socle, la vie et les moyens de subsistance d’un être humain reposent sur des sables mouvants.
Presentation de la Cellule de lutte contre la Malnutrition (CLM), structure de coordination de la nutrition au Sénégal par Mr Abdoulaye Ka, Directeur de la cellule.
10 décembre 2018
Présentation par le Gaut Commisariat à l'initiative 3N (Les Nigériens nourrissent les Nigeriens) abordant les principaux enjeux de la nutrition au Niger et le Cadre stratégique et institutionnel du secteur « Sécurité alimentaire et nutritionnelle et développement agricole durable »
2005 à 2015, il y a 10 ans la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) s'est doté d'une Politique agricole commune (ECOWAP). Dans le cade des réflexions en cours, la Coordination Afrique Performance (AFRIPERF) a produit la note d'analyse ci-joint.
Challenges and Perspectives for Food and Nutrition Security in the African context : the case of Senegal.
Presentation made during workshop on PAA Africa Programme, organised by the government of Brazil (CGFome and Ministry of Social Development), WFP Centre of Excellence and FAO Brazil, held from 2 to 6 July 2012 in Brasilia and Arapiraca, Brazil.
Compilation des données pendant la phase intermédiaire en préparation du proc...TransformNutritionWe
Cette présentation introduit le volet Politique et programmes de TNWA et les approches de recherche pour les politiques et programmes actuels/en cours axés sur la nutrition au niveau national pour le Nigeria et le Burkina Faso
Elle présente par ailleurs l'activité Récits de Changement: changement dans le temps des politiques et des programmes en proposant les exemples du Sénégal et de la Zambie.
Le Briefing de Bruxelles sur le Développement numéro 52 sur le thème de « La sécurité des aliments : un élément essentiel du système alimentaire en Afrique» s'est tenu le mercredi 19 septembre 2018 (9:00 à 13:00) au Secrétariat ACP (Avenue Georges Henri 451, 1200 Bruxelles, salle C). Ce Briefing de Bruxelles a été organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec la DG Développement et Coopération et la DG de la santé et de la sécurité alimentaire de la Commission européenne (CE/DEVCO et SANTE), CONCORD, le Secrétariat ACP, et Global Food Safety Partnership.
Présentation par le Gaut Commisariat à l'initiative 3N (Les Nigériens nourrissent les Nigeriens) abordant les principaux enjeux de la nutrition au Niger et le Cadre stratégique et institutionnel du secteur « Sécurité alimentaire et nutritionnelle et développement agricole durable »
2005 à 2015, il y a 10 ans la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) s'est doté d'une Politique agricole commune (ECOWAP). Dans le cade des réflexions en cours, la Coordination Afrique Performance (AFRIPERF) a produit la note d'analyse ci-joint.
Challenges and Perspectives for Food and Nutrition Security in the African context : the case of Senegal.
Presentation made during workshop on PAA Africa Programme, organised by the government of Brazil (CGFome and Ministry of Social Development), WFP Centre of Excellence and FAO Brazil, held from 2 to 6 July 2012 in Brasilia and Arapiraca, Brazil.
Compilation des données pendant la phase intermédiaire en préparation du proc...TransformNutritionWe
Cette présentation introduit le volet Politique et programmes de TNWA et les approches de recherche pour les politiques et programmes actuels/en cours axés sur la nutrition au niveau national pour le Nigeria et le Burkina Faso
Elle présente par ailleurs l'activité Récits de Changement: changement dans le temps des politiques et des programmes en proposant les exemples du Sénégal et de la Zambie.
Le Briefing de Bruxelles sur le Développement numéro 52 sur le thème de « La sécurité des aliments : un élément essentiel du système alimentaire en Afrique» s'est tenu le mercredi 19 septembre 2018 (9:00 à 13:00) au Secrétariat ACP (Avenue Georges Henri 451, 1200 Bruxelles, salle C). Ce Briefing de Bruxelles a été organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec la DG Développement et Coopération et la DG de la santé et de la sécurité alimentaire de la Commission européenne (CE/DEVCO et SANTE), CONCORD, le Secrétariat ACP, et Global Food Safety Partnership.
A consortium led by the Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation (CTA) has been awarded a grant by The Netherlands Space Office (NSO) to implement a project that will harness ICTs to supply extension advice in Uganda. The Market-led, User-owned ICT4Ag Enabled Information Service (MUIIS) project, which runs from 2015 to 2018, will use data generated by satellite to improve production and marketing prospects for producers involved in three value chains – maize, soya beans and sesame. Partners in the project are the Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA), aWhere Inc., the East African Farmers’ Federation (EAFF), EARS Earth Environment Monitoring (EARS-E2M), the eLEAF Competence Center (eLEAF) and Mercy Corps, Uganda. ow.ly/THSCI
Presentation by Monika Varga (Research group on Process Network Engineering) at the 2016 annual meeting of the European Forum on Agricultural Research for Development (EFARD).
in 2015 the Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation ACP-EU (CTA) established a Community of Practice (CoP) focusing on the use of drones for agriculture in collaboration with the International Potato Centre (CIP).
The CoP is open to all interested parties via http://www.uav4ag.org .
In addition CTA established a dedicated Twitter account @uav4ag where latest updates on the technology are shared.
Presentation by CAPAD, ISABU, ITEC and the Wageningen University at the 2016 annual meeting of the European Forum on Agricultural Research for Development (EFARD).
This document provides an overview of the African Union's Agenda 2063, which aims to achieve an integrated, prosperous, and peaceful Africa over the next 50 years. The agenda was developed through extensive consultations and technical analysis. It identifies 7 aspirations for Africa's development, including eradicating poverty and developing human capital. The agenda will be implemented at national, regional, and continental levels over successive 10-year plans. Successful implementation will require leadership, participation from all stakeholders, and adequate financing strategies. Challenges to achieving the agenda include conflict, economic issues, and climate risks.
The document discusses the EkoBiz project in Split, Croatia which aims to build capacity for youth in organic agriculture. It notes high unemployment rates and land abandonment as issues. The project motivates youth through a study trip to Italy, provides a 15-day educational program on organic production and business planning, and encourages an early entrepreneurial mindset through programs in schools. Results included 15 approved projects applying for funding and the creation of an organic fair. The goal is to develop an entrepreneurial culture among youth to address rural issues.
This document discusses CTA's SSOANO initiative to strengthen the agriculture-nutrition nexus by building the evidence base. The initiative focuses on (1) increasing access to nutritious food, (2) applying a nutrition lens to agriculture through nutrition-sensitive design, equity, and resilience, (3) strengthening systems through research, policy integration, capacity development, and communication, and (4) piloting interventions to provide evidence on effective options. Case studies and country projects are commissioned to understand local contexts and identify opportunities. The goal is to optimize agriculture and nutrition outcomes by developing a knowledge base and building consensus around integrating nutrition priorities into agriculture policy and programs.
Through the initiative Nigeriens nourish Nigeriens (3N), the government of Niger plans to create innovative programmes to promote improved and diversified local food production. The Niger study visit to Brazil was organized by the WFP Centre of Excellence against Hunger on 2-10 May 2012 and was aimed at deepening the understanding of the issues related to school feeding programmes. More information available at http://www.wfp.org/blog/blog/south-south-cooperation-helps-guinea-conakry-and-niger-build-sustainable-school-feeding-po
Le Briefing de Bruxelles sur L’agroécologie au service des systèmes alimentaires durables organisé par le CTA, la Commission européenne/EuropeAid, le Secrétariat ACP, CONCORD et IPES-FOOD s’est tenu le mercredi 15 janvier 2020 de 9h00 à 13h00 au Secrétariat ACP, 451 Avenue Georges Henri, 1200 Bruxelles, Salle C.
Ce briefing a examiné les concepts, tendances et perspectives des approches agroécologiques et leurs implications pour l’avenir des systèmes alimentaires. Des succès de terrain et modèles innovants d’agroécologie dans différentes parties du monde ont été présentés ainsi que les enseignements à en tirer pour les diffuser à plus grande échelle.
TERMES DE REFERENCE POUR LE DIALOGUE POLITIQUE RELATIF A L’ANNEE INTERNATIONALE DE L’AGRICULTURE FAMILIALE (AIAF) A BAMAKO
THÈME : BÂTIR LA RÉSILIENCE POUR NOURRIR L’AFRIQUE DE L’OUEST: PROPOSITIONS DES EXPLOITANTS FAMILIAUX
Dégager une vision d’avenir de l’agriculture africaine et du nouveau rôle des organisations de producteurs.
Organisé par l’Organisation Panafricaine des agriculteurs (PAFO), le Centre technique pour la coopération agricole et rurale (CTA) et la Commission de l’Union Africain (CUA)
Ce Briefing est en lien avec les Briefings de Bruxelles sur le développement que le CTA, la CE/DGDEVCO, le Groupe ACP et Concord organisent tous les deux mois sur de sujets clé pour l’ agriculture dans les pays ACP
plus d'infos: http://bruxellesbriefings.net
Eléments de bilan du soutien public à l’élevage au Sénégal
depuis Maputo
Le Sénégal est un peu à part parmi les pays sahéliens. Il est le plus urbanisé de ces Etats, son économie est plus diversifiée et extravertie, il n’est pas enclavé, il ne possède pas de grandes zones désertiques, et il n’est pas exportateur mais importateur de bétail. S’il concentre un grand nombre d’éleveurs mobiles, notamment dans la région du Ferlo, il n’est pas comparable aux grands pays pastoraux que sont le Niger ou le Mali : l’élevage y tient une place importante mais bien moindre dans l’économie. Pourtant selon certains observateurs, il est intéressant d’étudier la dynamique de l’élevage au Sénégal car elle pourrait préfigurer les évolutions de demain dans les autres pays sahéliens. Autre originalité de ce pays : les efforts de l’Etat sénégalais pour le développement de l’agriculture - élevage compris - sont visibles depuis 2003. Selon les chiffres disponibles, la part des dépenses allouées à l’agriculture est croissante au Sénégal depuis Maputo, atteignant presque les 10 %. Si les organisations d’éleveurs du Sénégal saluent ces efforts du gouvernement, ils s’interrogent sur leur pertinence, sur les montants qui ont été consacrés au sous secteur de l’élevage et sur les résultats auxquels ils ont conduits.
Cette note cherche à établir un premier bilan sur les efforts publics dédiés à l’élevage au Sénégal. Elle s’appuie sur la bibliographie existante et sur des entretiens réalisés fin 2013 avec des acteurs sénégalais, en particulier des éleveurs membres d’Apess.
Eléments de bilan du soutien public à l’élevage au Niger depuis Maputo
Au trois quart désertique, et de plus en plus régulièrement confronté à la sécheresse, le Niger vit pourtant presqu’exclusivement de l’agriculture et de l’élevage (80% de ruraux, ce qui est un record en Afrique de l’Ouest). L’élevage et en particulier le bétail constituent un des rares atouts économiques du pays. Or les conditions de production du bétail tendent à se dégrader d’année en année alors même que la demande sous régionale explose littéralement. Dans ce contexte, la filière de l’élevage semble aujourd’hui à un tournant de son histoire.
10 ans après la déclaration de Maputo, le Niger figure parmi les quelques pays d’Afrique qui consacrent un peu plus de 10% de leur budget au secteur agricole, selon les données officielles. Si les éleveurs du Niger saluent ces efforts du gouvernement, ils s’interrogent aussi sur les montants qui ont été consacrés au sous secteur de l’élevage et sur les résultats auxquels ils ont conduits.
Cette note cherche à établir un premier bilan des efforts publics dédiés à l’élevage au Niger. Elle s’appuie sur la bibliographie existante et sur des entretiens réalisés fin 2013 avec des acteurs nigériens, en particulier des éleveurs membres d’Apess mais aussi d’autres acteurs du développement rural.
Powerpoint by Thomas Tiacoh (ANARIZ-CI), Emmanuel Coulibaly (ONDR), Alphonse Bouet (CNRA), and Yao N'Guessan (ANADER) presented at the West Africa SRI Workshop in Ouagadougou, Burkina Faso on July 26-27, 2012.
Challenges and Perspectives for Food and Nutrition Security in the African context : the case of Niger.
Presentation made during workshop on PAA Africa Programme, organised by the government of Brazil (CGFome and Ministry of Social Development), WFP Centre of Excellence and FAO Brazil, held from 2 to 6 July 2012 in Brasilia and Arapiraca, Brazil.
Cette note de cadrage des thèmes retenus pour chacune des cinq conférences s’appuie sur les acquis et les enseignements de l’APESS, le vécu de ses membres, les questionnements de l’organisation. Elle a été produite par le Secrétariat général de l'APESS avec l’appui technique de Roger Blein (Bureau Issala) et les apports précieux de Loïc Barbedette.
Le lait et les produits laitiers font l’objet d’une consommation croissante en Afrique de l’Ouest, avec une demande soutenue par la croissance émographique et une évolution des habitudes alimentaires (même si le niveau de consommation est encore bas par rapport à l’Afrique de l’Est et à l’Europe). La production de lait local fournit en moyenne plus de 80 % du lait consommé (2/3 si l’on ne considère que le lait de vache), mais les situations sont très contrastées : dans les pays sahéliens de l’intérieur, la population consomme essentiellement du lait local ; tandis que dans les pays
côtiers, la consommation repose davantage sur les importations de lait en poudre (Corniaux et Duteurtre, 2013).
This two-day event in Vanuatu aims to strengthen coordination and innovation in priority food value chains in the Pacific to improve nutrition and food systems. Day one will include presentations on a study of key value chains in several Pacific countries, lessons from value chain training, and a launch of an online platform to connect actors. Participants will discuss constraints, opportunities, and how to operationalize the platform. Day two focuses on assessing capacity needs and pilot testing the online platform through working groups, with the goal of finalizing how to implement the platform and a training program to support value chain development in the region.
The document discusses the Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation (CTA) and its work in supporting agricultural and rural development in Africa. CTA is an EU-ACP institution focused on strengthening partnerships between Europe and Africa. The document outlines CTA's vision of a vibrant, modern, sustainable and inclusive agriculture in Africa. It also discusses the African Union's Agenda 2063 goals of transforming African economies and empowering women and youth through increased investment in agriculture, value addition, employment, science, technology and innovation. The role of African women scientists and innovators in achieving these development goals is highlighted.
Pendant les deux derniers jours du Forum, le Ministère a eu l'occasion d'écouter les recommandations faites par les dirigeants des coopératives et par les experts du développement des coopératives. Voici la présentation synthétisant les réponses fournies par le MIDSP au Forum. Pour plus d'info http://bit.ly/2mMLoo2
Le Dr. Nicola Francesconi, conseiller technique sénior au CTA, a coordiné l'organisation du Forum des coopératives malgaches, qui s'est tenu du 13 au 17 février 2017. Plus d'infos : http://bit.ly/2mMLoo2
Tovo Aina Andriamampionona et Nirina Razafimanantsoa, élus porte-paroles par les membres des coopératives participantes au Forum des coopératives malgaches, ont résumé les principaux problèmes auxquels les coopératives sont confrontées. Plus d'infos : http://bit.ly/2mMLoo2
This document outlines some of the key action points discussed at the workshop held in February 2017. More information about the workshop: http://bit.ly/2lt7Vbf More information about the impact of open data for agriculture and nutrition: http://bit.ly/2lyjJqW
Public policy support for commercialisation of cassava industry in Central Af...
Day 2 cta dakar fns senegal_thies_ndiaye
1. STATUT OF FOOD AND NUTRITION
SECURITY IN SENEGAL.
Dr Tala GUEYE & Pr Saliou NDIAYE,
ENSA – University of Thiès, Sénégal.
MEETING of Dakar :
« Informing Food and Nutrition Security Policy and
Practice : Strengthening the Agriculture – Nutrition
Nexus and improving Outcomes ».
2. Données sur la sécurité alimentaire au Sénégal
Le Sénégal :
• 197 2OO km2
• 14 millions d’habitants
• 700 km d’un côte
poissonneuse ;
• 1 seule saison pluvieuse:
250 -1000 mm/an
• Pays essentiellement
agricole :
• occupe 60 % de la
population
• contribue pour 10 % à
la formation du PIB ;
3. Sénégal : Etat des lieux.
• L’agriculture ainsi que la Pêche jouent un rôle
majeure dans l’économie sénégalaise);
• Les ressources les plus importantes du pays
sont la pêche, le tourisme et, dans le secteur
agricole, la production d’arachides (principale
culture de rente du pays). Le secteur agricole,
essentiellement à caractère saisonnier et
pluvial, emploie presque 70% de la population
mais contribue seulement à hauteur de 13,7%
du PIB.
4. Superficie : 197 161 km2
Terres Arables : 3.8 millions ha, 2.5 ha emblavés en moyenne par an
Climat : Soudano -Sahélien permettant trois saisons de culture (Hivernage
; CS sèche ; CS Fluviale).
Pluviométrie : Nord environ 300 mm/an ; Centre environ 600-800 mm /
an ; Sud – Est environ 1200 mm / an ;
Ressources en eau : 35 milliards m3 (Eaux de surface : 31 milliards m3
Eaux souterraines : 4 milliards m3) ;
Potentiel Irrigable : 350 000 ha dont seulement 130 000 ha aménagés ;
Population : 13 207 880 habitants (60 % vit en milieu rural et 2/3 ont
moins de 25 ans), source ANSD, 2013.
Cultures majeures : Riz, Mil, Maïs, Sorgho, Arachide, Oignon, Tomate,
Pomme de terre, Haricot, Patate douce, Melons, Pastèques, Mangues,
bananes) ;
Type agriculture : Agriculture familiale (environ 90% d’exploitations
familiales), Agro-business /Agriculture industrielle (Investissements
Nationaux et Internationaux).
Caractéristiques de l’Agriculture sénégalaise :
5. Le Sénégal est divise en six zones agro-écologiques,
chacune avec un système de production diffèrent.
6. Les productions agricoles & sécurité alimentaire
• Concernant les cultures vivrières au Sénégal, la
production de céréales s’est améliorée de 51,9%, en
2012, sous les effets conjugués de la hausse des
superficies emblavées et des rendements.
• En dehors du fonio qui a enregistré une baisse (-
13,7%), les autres spéculations céréalières ont
enregistré un accroissement de leur production,
notamment le riz (54,6%), le mil (37,8%), le sorgho
(60,4%) et le maïs (92,6%).
• La contribution de l’agriculture (agriculture vivrière
et agriculture industrielle et d’exportation) au PIB
s’est accrue de 1,3 points passant de 5,9% en 2011 à
7,2% en 2012.
7. Les productions agricoles & sécurité alimentaire
Les autres secteurs « agricoles en général »:
i. Élevage
Les effectifs du cheptel sont ressortis à 15 673 491 têtes (hors volaille)
en 2012, bovins, ovins, caprins surtout et porcins, équidés, camélidés ;
L’élevage a représenté 4,2% du PIB en 2012, la production de viande
est évaluée à 189 729 tonnes en 2012, dont 76 927 tonnes de bovins.
ii. Pêches maritimes
En 2012, la valeur ajoutée de l’activité de la pêche a représenté 1,8%
du produit intérieur brut courant. Les activités de la pêche sont
génératrices de revenus et contribuent ainsi substantiellement à la
lutte contre la pauvreté et à l’insécurité alimentaire. les produits
halieutiques représentent 68,4% des calories apportées par les
aliments d’origine animale figurant dans le panier alimentaire des
ménages sénégalais.
8. Les productions agricoles & sécurité alimentaire
Les autres secteurs « agricoles en général »:
iii. La foresterie et des PFNL
Les activités sylvicoles les plus pratiquées sont : la production de
plants, le reboisement, la mise en défens, la production de bois de
chauffe, de bois de service et de bois d'œuvre, la production de
charbon de bois, la production d’anacardier, la production de
produits de cueillette et la production de faune (chasse, élevage).
iv. Les industries alimentaires;
Des petites entreprises qui contribue potentiellement à
stimuler la production agricole, dont les effets attendus sont :
la croissance de la demande pour la transformation des
produits locaux, l’amélioration de la sécurité alimentaire, la
création d’emplois et de richesses et la lutte contre la
malnutrition.
9. Keys statistic on nutritional status of population
• Le Sénégal aurait pu davantage prospérer si
toutes les potentialités naturelles qu’il dispose
étaient rationnellement exploitées. Son économie
reste tributaire de l’aide étrangère du fait, entre
autres, du volume limité de ses exportations, du
peu d’activités développées dans le secteur des
services et de l’entreprenariat local ;
• Le taux de chômage est de 48%. La sécheresse,
une contrainte à la production alimentaire, fait du
Sénégal un pays à déficit vivrier, et dont la
population à nourrir est estimée à 13,2 millions.
10. Keys statistic on nutritional status of population
• Le taux de malnutrition élevé (16,4% chez les
enfants de moins de cinq ans), est dû en partie à
de mauvaises habitudes alimentaires, au
manque d'hygiène, au faible taux
d'alphabétisation et à la timide sensibilisation
des populations sur les questions de nutrition,
surtout chez les femmes ;
• La malnutrition chronique est deux fois plus
élevée en milieu rural qu'en milieu urbain. La
prévalence de la carence en fer est préoccupante
puisqu’elle affecte plus de 70 pour cent des
femmes et des enfants de moins de 5 ans.
11. Keys statistic on nutritional status of population
• Les disponibilités nationales céréalières (production
nette + stock initial) sont évaluées à 1 265 930 tonnes
pour des besoins estimés à 2 576 870 tonnes, soit une
couverture de 49,1% représentant cinq (06) mois des
besoins estimés ;
• En tenant compte des importations de céréales (1 190
000 tonnes dont 750 000 tonnes de riz et 350 000
tonne de blé) et des aides alimentaires (24 700
tonnes), le solde net du bilan dégage un déficit de 96
240 tonnes.
• La consommation annuelle apparente de céréales s’est
élevée à 182 kg/habitant, légèrement inférieure à la
norme fixée à 185 kg/habitant par l’Organisation des
Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO).
12. • Les céréales représentent la base de l’alimentation de la
population sénégalaise et apportent au moins 70% des
besoins caloriques journaliers. Cependant, le pays
importe plus de la moitié de ses besoins en céréales et
70% de son approvisionnement alimentaire global,
montrant une forte dépendance au marché extérieur.
• Pour le calcul des besoins céréaliers du Sénégal, la norme
de consommation de 185 kg/par personne/an est
utilisée.
• De 2008 à 2010, le taux de couverture des besoins
céréaliers par la production nationale a atteint à chaque
fois 65% des besoins annuels en céréales grâce au bon
niveau de la production enregistré.
Productions au Sénégal de céréales et Importations
13. L’insécurité alimentaire au Sénégal est inégalement répartie :
elle est plus marquée en milieu rural qu’en milieu urbain et est
plus importante au Sud et à l’Est du pays.
•
14. D’après Analyse Globale de la Vulnérabilité, de la
Sécurité Alimentaire et de la Nutrition (AGVSAN, 2011.
• En milieu rural, les enfants de 6-59 mois souffrant
de mal nutrition aiguë (MAG) sont concentrés dans
les régions de Tambacounda (14,7%) et Matam
(22,7%) où les taux dépassent respectivement les
seuils d’alerte et critique, mais ils sont aussi
importants dans les régions de Diourbel, Kaffrine,
Kolda et Louga.
• Les enfants souffrant de retard de croissance se
trouvent principalement dans les régions de Kolda,
Kédougou et Sédhiou et dans le département de
Koumpentoum de la région de Tambacounda où les
prévalences avoisinent ou dépassent 30%.
16. Les politiques en matière de sécurité alimentaire
1) Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP II) : avec
la création de richesses qui comporte parmi les
mesures prioritaires, la réduction de la vulnérabilité
des activités agricoles ;
2) la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale (LOASP),
dans son article premier stipule un de ses objectifs
spécifiques est « la réduction de l’impact des risques
climatiques, économiques, environnementaux et
sanitaires, par la maîtrise de l’eau, la diversification
des productions, la formation des ruraux, afin
d’améliorer la sécurité alimentaire de la population,
et de réaliser à terme la souveraineté alimentaire du
pays »;
17. Les politiques en matière de sécurité alimentaire
3) La stratégie nationale de sécurité alimentaire (SNSA)
réactualisée janvier 2008 vise à créer les conditions d’une
sécurité alimentaire nationale, et à réduire
structurellement la pauvreté et les inégalités ; L’objectif
général est d’assurer un meilleur accès des populations et
à tout moment, aux aliments nécessaires pour mener une
vie saine et active à l’horizon 2015 ;
4) Au plan sous-régional, et particulièrement au niveau du
CILSS, une réflexion est en cours pour harmoniser les
systèmes d’information sur la prévention et la gestion des
crises alimentaires dans le cadre d’un programme
d’harmonisation des méthodes d’identification et
d’analyse des zones et groupes vulnérables au Sahel.
18. THE VARIOUS ACTORS AND MECHANISMS FOR
ADDRESSING FNS AND MAPPING THE LINKAGE
a) Le secteur agricole englobe une multitude
d’institutions relevant tant du secteur public que du
secteur privé (structures centrales et déconcentrées de
l’État, agences nationales, ONG, organisations
socioprofessionnelles, structures de financement et
d’assurance et les partenaires au développement) qui
ont, pour chacune d’entre elles, des fonctions bien
précises au plan de la SAN.
b) les exigences au plan alimentaire et nutritionnel sont
davantage de type quantitatifs (satisfaction des besoins
alimentaires). Les exigences qualitatives (hygiène,
qualité de produits, standards de présentation, …) sont
moins existantes, mais plus en zone urbaine.
19. THE VARIOUS ACTORS AND MECHANISMS FOR
ADDRESSING FNS AND MAPPING THE LINKAGE
Parmi les structures impliquées dans les questions de
sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sénégal, on
peut citer :
Le Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ;
Le CILSS ;
Le Programme Alimentaire Mondial (PAM) ;
Des organisations caritatives comme CARITAS -
Sénégal ;
Des ONG ou associations (ex AFRICARE, IPAR, etc.);
…
20.
21. THE LINKAGE OR LACK THEREOF BETWEEN
AGRICULTURE AND NUTRITION ACTORS
• Les liens entre agriculture et les aspects de nutrition des
auteurs sont évidents à priori, la fonction première de
l’agriculture étant en milieu tropicale, la satisfaction des
besoins alimentaires (quantitativement et qualitativement
et dans le temps) ;
• Au Sénégal, la mutation des ménages ruraux avec une
certaines influence urbaine et des marchés (par exemple
hebdomadaires), créé de situations assez particulières.
Dans certaines zones, la couverture des besoins
alimentaires des ménages ruraux est assurée seulement
en partie (jusqu’à 25 à 50 %) par les productions agricoles
des exploitations.
22. THE LINKAGE OR LACK THEREOF BETWEEN
AGRICULTURE AND NUTRITION ACTORS
o Il y’ a souvent diverses ressources hors agriculture
qui concourent à la satisfaction des besoins
alimentaires : ventes de produits artisanaux, des
récolte, d’autres types de productions agricoles
(fruits de cueillette, gomme, gousses de
légumineuses comme fourrage de bétail, etc.) ;
o En réalité, la plupart des agriculteurs surtout dans
certaines zones périurbaines développent des
compétences complémentaires &/ou exercent
d’autres métiers saisonniers (chauffeur, maçon,
ouvriers divers).
23. AIFSHE - Auditing Instrument for Food Security
in Higher Education.
• La méthode AIFSHE repose sur le modèle de gestion de la
qualité, développé par la Fondation européenne pour la
gestion de la qualité (EFQM) et optimisé par l’Institut
néerlandais de gestion de la qualité (INK). C’est pourquoi on
l’appelle communément le modèle EFQM-INK.
• Ce modèle repose sur l’idée selon laquelle les organisations
peuvent se situer dans une phase de développement (parmi
cinq au total) établie en fonction de certains critères.
• Une version adaptée à l’enseignement supérieur a été
élaborée par un groupe d’établissements néerlandais
d’enseignement professionnel (voir : HBO Expert Group,
1999).
• Au lieu de mettre l’accent sur les processus de production, le
nouveau modèle s’inscrit dan un cadre éducatif et
pédagogique. Ce modèle – que l’on peut nommer « EFQM-
HE » (pour Higher Education – Enseignement supérieur) a
été choisi comme base de référence pour l’outil d’évaluation
AIFSHE.
24. Synthèse de Résultats de l’auto-évaluation de
l’Université de Thiès (le pôle agronomique)
25. Synthèse de Résultats de l’auto-évaluation de l’Université de
Thiès (le pôle agronomique)
Vue de salle de l’atelier sur l’Audit de l’Université de Thiès (sécurité alimentaire), avec des
participants en plénière (17 avril 2013).
26. Les résultats d’un audit AIFSHE sont les suivants :
Une description de la situation présente, sous
forme de note chiffrée (phase) pour chaque critère
plus une description de chaque critère (texte);
Une description semblable de la situation désirée;
Une date à laquelle cette situation désirée devra
être réalisée;
Une liste des principales priorités nécessaires pour
confirmer le succès de la stratégie.
27. Les prioritiés
AISHE
PLAN
DO
CHECK
1.1 Vision
1.2 Stratégie
1.3 Communication
1.4 Gestion interne de la sécurité alimentaire
2.1 Réseau
2.2 Groupe d'experts
2.3 --
2.4 Recherche, services externes
3.1 Profil des diplômés
3.2 Méthodologie éducative
3.3 --
3.4 Evaluation des étudiants
4.1 Curriculum
4.2 Traitement intégré des problèmes
4.3 Stages, examens
4.4 Spécialité
5.1 Appreciation by staff
5.2 Appreciation by students
5.3 Appreciation by professional field
5.4 Appreciation by society
0 1 2 3 4 5
28. Résultats de l’auto-évaluation de l’UT: Contenus éducatifs
Explication: 4.1. Curriculum
Situation présente : Niveau 2
Les connaissances de base ne sont pas encore intégrées
dans le curriculum. Cependant, on peut noter que la
phase est liée avec la phase 1 dans le sens où la
sécurité alimentaire est intégrée dans le programme.
Situation désirée : Niveau 2
Ce critère devra être abordé lors de l’atelier interne
(point 3.1), en particulier pour ce qui est de la
définition de la partie introductive du curriculum en
première année.
29. Résultats de l’auto-évaluation de l’UT: Contenus éducatifs
Explication: 4.4. Spécialité
Situation présente : Niveau 0
La sécurité alimentaire est liée à un problème de
communication. Avec la certification iso 26000 des écoles
privés forment en sécurité alimentaire car il faut noté qu’il ya
une très forte développement de l’école supérieur privé au
Sénégal.
La demande dans les entreprises agro- alimentaires est
présente. Le MEDS (Mouvement des Entreprises du
SENEGAL) participe à améliorer le déphase des étudiants à
améliorer la phase école-entreprise.
Situation désirée : Niveau 3
L’ambition dans ce point est que les étudiants parviennent à se
spécialiser sur la sécurité alimentaire dans le pôle agronomie
de l’université de Thiès.
30. CONCLUSION & RECOMMANDATIONS
• Les Instituts supérieurs de formation et de recherche
(Écoles et Instituts supérieurs d’agriculture, Facultés ou UFR
des universités) ont un rôle central à jouer à travers la mise
en place d’offres de formations diplômantes exclusivement
orientées sur la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle
(SAN).
• Les acteurs sont également bien identifiés et ont montré
une bonne volonté à jouer leur rôle spécifique. Il s’agira de
trouver la bonne formule pour mettre en synergie les
différentes composantes du système d’impulsion de la
Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle au Sénégal à mettre
en place.
31. CONCLUSION & RECOMMANDATIONS
• L’engagement du gouvernement du Sénégal à
trouver des solutions durables à la sécurité
alimentaire et nutritionnelle du pays, avec un
projet phare : « la Stratégie globale pour
l’agriculture et la sécurité alimentaire et Plan
d’investissement connexe », qui augure cela pour
de belles perspectives.
• Mais des innovations peuvent être apportées
dans nos universités, pour mieux intégrer ces
questions de sécurité alimentaire et
nutritionnelle (ex. créer une plateforme
pluridisciplinaire sur la SAN).