Conférence présentée par Dr CHERIF Eya (Pr.Agrégé en médecine-
Service de Médecine Interne B – HCN– Tunis, lors de la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie), le 19 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
Soins palliatifs, soins de fin de vie et accompagnement de la phase agonique ...Jan-Cedric Hansen
JASFGG14-1317 Douleur – soins palliatifs et fin de vie
Soins palliatifs, soins de fin de vie et accompagnement de la phase agonique en EHPAD : clarification et spécificités
Présentation faite en octobre 2004 au conseil facultaire de la faculté de médecine vétérinaire de l'université de Liège, Belgique. Les séances d'apprentissage au raisonnement clinique sont une forme d'apprentissage par problème (APP ou PBL).
Bien-être et santé au travail : quelles sont les bonnes postures pour se prot...Nextformation
Les troubles musculo-squelettiques (TMS) constituent la 1ère maladie professionnelle reconnue en France et touchent tous les milieux d'activités professionnelles. Ce phénomène reste pourtant méconnu des travailleurs. Comment déceler les signes avant-coureurs, en connaître les causes et assurer un confort au quotidien grâce à des gestes simples ?
--
Assistez tous les mois à une soirée enrichissante et participative sur une thématique porteuse animée par un expert pour :
+ Trouver des clés
+ Développer son réseau
+ Enrichir sa curiosité
+ Découvrir de nouvelles pistes
+ Acquérir des méthodes
Participez à nos prochaines conférences : http://formation.nextformation.com/evenements
A l’heure où le lien entre satisfaction client, fidélisation et ré-achat est clairement établi, préserver et faire fructifier son capital client est une priorité pour les entreprises comme pour les services de l’Etat qui s’attachent à améliorer le service rendu aux usagers
Soins palliatifs, soins de fin de vie et accompagnement de la phase agonique ...Jan-Cedric Hansen
JASFGG14-1317 Douleur – soins palliatifs et fin de vie
Soins palliatifs, soins de fin de vie et accompagnement de la phase agonique en EHPAD : clarification et spécificités
Présentation faite en octobre 2004 au conseil facultaire de la faculté de médecine vétérinaire de l'université de Liège, Belgique. Les séances d'apprentissage au raisonnement clinique sont une forme d'apprentissage par problème (APP ou PBL).
Bien-être et santé au travail : quelles sont les bonnes postures pour se prot...Nextformation
Les troubles musculo-squelettiques (TMS) constituent la 1ère maladie professionnelle reconnue en France et touchent tous les milieux d'activités professionnelles. Ce phénomène reste pourtant méconnu des travailleurs. Comment déceler les signes avant-coureurs, en connaître les causes et assurer un confort au quotidien grâce à des gestes simples ?
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Formation M2i - Faites face aux challenges de l'organisation Hybride !M2i Formation
Après avoir été confronté à un télétravail massif, l'arrivée de la vaccination apporte une lueur d'espoir et permet d'envisager un éventuel retour à la normale.
Cependant une transformation profonde a eu lieu. De nouvelles habitudes de travail se sont mises en place. Certaines entreprises ont choisi de revoir leur organisation ou les moyens mis à disposition de leurs collaborateurs, en particulier les bureaux.
Le manager de demain ne travaillera plus comme le manager d'hier : présence et distance sont désormais deux dimensions intégrées dans leur quotidien.
Programme de la formation :
- Que signifie être « Manager » dans une organisation « Hybride » ?
- Quels types d'interactions avec les collaborateurs sont à privilégier ?
- Comment faire grandir une équipe dans « un monde phygital » ?
Nous vous apportons les moyens de vous évaluer et de mettre en place des outils simples pour améliorer à la fois les performances opérationnelles et sociales de votre entité.
Formation gratuite animée par notre experte Alix SENNYEY
Dans son rapport annuel sur les expositions professionnelles des travailleurs à la radioactivité en France, publié à la mi-juillet, l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) avance le chiffre de 352 082 personnes ayant relevé durant l’année 2013 du régime spécial des professions pouvant entraîner une exposition aux rayonnements ionisants. Ce chiffre, en légère diminution par rapport à l’année précédente, couvre principalement le domaine médical et vétérinaire, les industries nucléaire et non nucléaire, la recherche, l’enseignement, le transport aérien. Le bilan 2013 appelle selon nous trois observations majeures qui se situent dans la continuité des enseignements tirés des bilans précédents :
> L’exposition moyenne globale des travailleurs à la radioactivité est faible en France
> Les dépassements des doses réglementaires sont rares et en constante diminution ces quinze dernières années
> Ce n’est pas dans l’industrie nucléaire …mais dans un secteur qui n’a rien à voir avec le nucléaire, l’aviation civile, que l’on relève la moyenne d’exposition à la radioactivité la plus élevée
La pression artérielle correspond à la pression exercée par le sang, pompé par le cœur contre les parois des artères. La pression artérielle représente la force qui permet de faire circuler le sang à travers tous les organes. En cas d'hypertension artérielle, lorsque la tension est trop élevée, le cœur doit alors fournir plus d'efforts. L'hypertension artérielle signifie que les chiffres de pression artérielle sont anormalement élevés.
MEDECINE DE TRAVAIL FORMATION DES MEMBRES DE LA COMMISSION HYGIENE ET SECURITE CPHS
FORMATION SUR SITE EN COLLABORATION AVEC DES ECOLES DE FORMATION HSE/SST
La vente commence à partir du moment ou le client dit “ non “ = L’objetion
C’est difficile :
* Pour le Délégué, parce que :
Prend l’objection pour une atteinte à son produit, à son laboratoire voire à sa personne.
Est un homme d’action, impulsif… et qu’il a une certaine difficulté à jouer les diplomate face à l’objection.
Redoute l’objection qui vient briser son effort de persuasion.
* Pour le client, parce que :
Force de l ’habitude
Se débarrasser du délégué
Besoin non reconnu
Désir d ’avoir de plus amples informations
Résistance au changement
Insuffisance d ’avantages apparents
Le prix
Besoin inexistant pour le produit
Manque de maitrise du produit
Mécanismes immunitaires impliqués dans la physiopathologie du paludisme - Conférence du 3e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - DOMARLE Olivier - Institut Pasteur de Madagascar - domarle@pasteur.mg
Formation M2i - Faites face aux challenges de l'organisation Hybride !M2i Formation
Après avoir été confronté à un télétravail massif, l'arrivée de la vaccination apporte une lueur d'espoir et permet d'envisager un éventuel retour à la normale.
Cependant une transformation profonde a eu lieu. De nouvelles habitudes de travail se sont mises en place. Certaines entreprises ont choisi de revoir leur organisation ou les moyens mis à disposition de leurs collaborateurs, en particulier les bureaux.
Le manager de demain ne travaillera plus comme le manager d'hier : présence et distance sont désormais deux dimensions intégrées dans leur quotidien.
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> L’exposition moyenne globale des travailleurs à la radioactivité est faible en France
> Les dépassements des doses réglementaires sont rares et en constante diminution ces quinze dernières années
> Ce n’est pas dans l’industrie nucléaire …mais dans un secteur qui n’a rien à voir avec le nucléaire, l’aviation civile, que l’on relève la moyenne d’exposition à la radioactivité la plus élevée
La pression artérielle correspond à la pression exercée par le sang, pompé par le cœur contre les parois des artères. La pression artérielle représente la force qui permet de faire circuler le sang à travers tous les organes. En cas d'hypertension artérielle, lorsque la tension est trop élevée, le cœur doit alors fournir plus d'efforts. L'hypertension artérielle signifie que les chiffres de pression artérielle sont anormalement élevés.
MEDECINE DE TRAVAIL FORMATION DES MEMBRES DE LA COMMISSION HYGIENE ET SECURITE CPHS
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La vente commence à partir du moment ou le client dit “ non “ = L’objetion
C’est difficile :
* Pour le Délégué, parce que :
Prend l’objection pour une atteinte à son produit, à son laboratoire voire à sa personne.
Est un homme d’action, impulsif… et qu’il a une certaine difficulté à jouer les diplomate face à l’objection.
Redoute l’objection qui vient briser son effort de persuasion.
* Pour le client, parce que :
Force de l ’habitude
Se débarrasser du délégué
Besoin non reconnu
Désir d ’avoir de plus amples informations
Résistance au changement
Insuffisance d ’avantages apparents
Le prix
Besoin inexistant pour le produit
Manque de maitrise du produit
Mécanismes immunitaires impliqués dans la physiopathologie du paludisme - Conférence du 3e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - DOMARLE Olivier - Institut Pasteur de Madagascar - domarle@pasteur.mg
Il arrive à tout le monde de se sentir anxieux. Le stress au travail, la planification d'un événement important ou le fait de subir un examen peuvent susciter un sentiment d'inquiétude ou de crainte. Ces situations déplaisantes peuvent s'aggraver chez les personnes souffrant de trouble anxieux.
Ces personnes connaissent de longues périodes de crainte ou de détresse intense démesurée par rapport aux événements réels. Leur cerveau interprète les événements réels ou imaginaires comme s'ils étaient plus risqués ou dangereux qu'ils le sont réellement. Leur vie est caractérisée par l'inquiétude et la crainte, ce qui nuit à leurs relations personnelles et professionnelles.
Les troubles anxieux touchent les enfants et les adultes. Trop souvent, les gens assimilent ces troubles à de la faiblesse ou de l'instabilité mentale. Le stigmate social associé à la maladie mentale empêche souvent ceux qui souffrent de troubles anxieux de demander de l'aide.
Les troubles anxieux affectent le comportement, la pensée, les émotions et la santé physique. On croit qu'un ensemble de facteurs biologiques, de fonctions intellectuelles, de circonstances personnelles combinées aux facteurs socio-économiques causent les troubles anxieux, tout comme les maladies cardiovasculaires ou le diabète qui résultent aussi d'une combinaison de facteurs.
Les personnes atteintes éprouvent souvent plus d'un trouble anxieux ; elles souffrent souvent de dépression, de troubles de l'alimentation ou abusent d'alcool et de drogues. La bonne nouvelle, c'est qu'on peut traiter avec succès les troubles anxieux diagnostiqués.
Conférence - Atelier présentée par Dr Hatem Bellaaj (professeur agrégé en médecine, spécialiste hématologie) à la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie), le 19 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
NOUVEAUTÉS DANS LA PRISE EN CHARGE DE L’ARTHROSEDr Riyadh Essefi
Conférence présentée par Pr Ag.Rim Akrout, Pr. Soufiene Baklouti (Service de Rhumatologie CHU H CHAKER. Sfax) lors de la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie),
, le 19 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
Hta et risque cardio vasculaire les évidences cliniques en 2017Dr Riyadh Essefi
Conférence présentée par Dr Maged Hassine( professeur agrégé en médecine - Cardiologie -CHU F BOURGUIBA MONASTIR), Symposium des Laboratoires SANOFI lors de la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie), le 18 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
Conférence présentée par Dr Fatma Mnif ( professeur agrégé en médecine - Endocrinologue) à la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie), le 18 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
Conférence présentée par Dr Malek Chaabouni (pédiatre de libre pratique - ex professeur agrégé en médecine) à la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie), le 18 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
2. Trop souvent sous-estimée
Prévalence de la douleur parmi les personnes de plus
de 65 ans : 70 à 80 %
Prévalence des douleurs chroniques proche de 30 %
1 mois avant leur décès, 30 à 60% des personnes
âgées ont des douleurs fréquentes ou permanentes
3. Prise en charge précoce
Etude du retentissement sur l’état psychologique
et la qualité de vie
Le choix d’un antalgique dépend du type de
douleur et de son intensité
« Titration » des antalgiques adaptée à l’âge
« start low, go slow »
Prévention des effets indésirables
4. « La douleur est moins forte chez le SA »
• Pas de diminution du seuil douloureux avec l’âge
• La perception douloureuse ne s’atténue pas avec l’âge…
• Son expression peut se modifier
« Vieillir c’est souffrir »
•« liée à l’âge »
• Normalité, habitude, banalisée
• Augmentation des pathologies douloureuses chroniques
5. •Destruction, compression,
inflammation des tissus :
arthrose, tassement vertébral,
escarre, artérite,..
Excès de
nociception
•Lésions centrales et/ou
périphériques altérant les
mécanismes inhibiteurs de la
douleur: amputations,
neuropathie diabétique ou
éthylique, zona, …
Douleurs
neuropathiques
•Facteurs psychologiques jugés
prépondérants dans la genèse,
l’intensité et la durée de la douleur
Douleurs
psychogènes
8. La perception douloureuse ne s’atténue pas avec
l’âge…
Variabilité de la relation entre « lésion » et «
douleur »
Son expression peut se modifier
Dimensions sensorielle, affective, et cognitive de
l’expérience douloureuse
Sous la dépendance de l’état préalable du sujet
(biologique, médical, affectif, émotionnel,
psychologique, sociologique…)
9. Barrière sociologique :
Par le malade: Douleur difficilement avouable
Pour les médecins : « C’est normal, c’est l’âge »
Elle dépend de la personnalité, de la culture du patient,
de son éducation, de ses expériences antérieures
Barrière somatique : un tiers des patients hospitalisés
présentent des troubles de la communication
Handicaps sensoriels (en particulier surdité)
Déficit cognitif gênant l’expression de leur douleur
Troubles ou appauvrissement du langage
Nécessité d’un outil d’évaluation objective
14. Refus de se lever
Refus de marcher
Refus de communiquer
Refus de tout soin
Refus de s’alimenter
Repli sur soi
Agressivité / agitation
Modification du sommeil
Y penser de façon
systématique
15. Le diagnostic de douleur est méconnu
chez 80% des sujets âgés non
communiquants
16. Les signes émotionnels :
• Cris, agitation, gémissements
• Émotions faciales
Les réponses défensives du corps :
• Positions antalgiques au repos
• Protection des zones douloureuses
• Plaintes lors de l’examen clinique
Disparition des mouvements d’affects :
• Désintérêts
• Inhibition psychomotrice
18. Ne doit pas être négligé
Famille et soignants
Angoisse, souffrance,
Épuisement,
Agressivité, désir de mort
Sentiments de culpabilité, de conflit
23. Les pathologies de l’appareil locomoteur : arthrose
Les pathologies cancéreuses
Les pathologie vasculaires et neurologiques
Nombreuses causes inhabituelles : examens
complémentaires, inadaptation de la prise en
charge, surmédicalisation, manque de personnel...
Association fréquente à de nombreux facteurs
d'aggravation
Les douleurs liées à la fin de vie +++
24. La polypathologie complique l’interprétation des
symptômes
Pas de parallélisme anatomo-clinique entre les lésions
et les douleurs
La sensibilité varie d’un individu à l’autre
L’intensité de la douleur n’est pas proportionnelle à la
gravité de l’atteinte physique
Douleurs chroniques et aigues s’intriquent les uns avec
les autres
La survenue d’une douleur aiguë chez un patient
douloureux chronique est difficile à interpréter
25. Exacerbation transitoire de la douleur
chez des patients ayant un fond
douloureux chronique stable, bien
contrôlé par opioïdes
Survenue rapide : intensité maximale
en 3mn
Durée : 30 mn dans plus de 50% des
cas
Fréquence : 4 à 7 par jour
Intensité : sévère à insoutenable
Etiologie : cancer dans plus de 70%
des cas
26. Douleurs liées
aux maladies
• Douleurs
rhumatismales
• Douleurs
neurologiques
• Douleurs
cancéreuses
• Douleurs digestives
et viscérales
• Douleurs artérielles
Douleurs liées à
la grabatisation
• Les rétractions
tendineuses
• Les contractures
musculaires
• Les escarres
• Les plaies et fistules
• Les lésions des
cavités buccales
• Les rétentions
d’urines
• Les syndromes sub-
occlusifs
Soins
douloureux
• La mobilisation
• Les soins d’hygiène
• Les soins d’escarres
• Les actes invasifs
34. Echelle comportementale
d’hétéro-évaluation de la
douleur chez la personne
âgée non communicante
10 items répartis en 3
groupes:
5 items somatiques
2 items psychomoteurs
3 items psychosociaux
Score global compris entre
0 et 30
Score ≥ 5/30 signe la
douleur
35. Échelle comportementale pour patient non communiquant
Évaluation avant les soins : expression visage, position
spontanée au repos, mouvements, sur la relation à autrui
Évaluation pendant les soins: anxiété, réactions, plaintes…
Le score total varie donc de 0 à 32
36. Échelle comportementale pour patient non
communiquant
Évaluation avant les soins :expression visage , position
spontanée au repos, mouvements, sur la relation à
autrui
Évaluation pendant les soins :anxiété, réactions,
plaintes…
L’échelle comprend 8 items avec 5 modalités de
réponses cotées de 0 à 4
Chaque niveau représente un degré de douleur
croissante et est exclusif des autres pour le même item
Le score total varie donc de 0 (absence de douleur) à
32 (douleur totale)
42. Traiter la cause chaque fois que cela est possible
Prescriptions personnalisées
Prescription à heures fixes +++
Pas de prescription à la demande ou si besoin
Débuter par de petites doses pour titration
Prévenir la résurgence de la douleur : Entredoses ou
Interdoses
Évaluer le rapport Bénéfices/Risques
Prévenir les effets secondaires
43. La prescription d’opioïdes forts d’emblée est une possibilité
en cas de douleur très intense
Un traitement efficace se définit par:
Une douleur de fond absente ou d’intensité faible
Un respect du sommeil
Moins de 4 accès douloureux par jours avec une
efficacité des traitements supérieure à 50%
Les activités habituelles restent possibles ou peu limités
par la douleur
Les effets indésirables sont mineurs ou absents
45. Antalgiques non opioïdes ( palier I ) :
Paracetamol +++ :
0,5 g à 1 g /4 à 6 h
Dose maximale : 4 g/j
Nefopam, Acupan*
20 mg IM ou IVL /4 à 6 h
Dose maximale 120 mg/j
Opioïdes faibles ( palier II ) :
Codéine +++
Chlohydrate de tramadol : 50 ou 100 mg toutes les 4 à 6
heures
Dose max 400 mg/j
Libération prolongée ou immédiate
Non recommandé chez les insuffisants rénaux et hépatiques
sévères
46. • La dose initiale recommandée est
de 1 cp/j
• Si douleur intense: 2 cp
• A renouveler si nécessaire au
bout de 6 h
• Sans dépasser 6 cp/j
Codéine
10-50 mg +
Paracétamol
300-600mg
(codoliprane*, dafalgan
codéine, klipal*,
efferalgan codéine*)
• La dose initiale recommandée est
de 2cp/j
• Sans dépasser 8 cp/j
• Les prises doivent être espacées de
6h
Chlorhydrate de
tramadol 37,5 mg
+
Paracétamol 325 mg
(Fortadol*)
47. En association au paracétamol
Voie orale
Dose 1 mg/kg = 2 cps paracétamol codéine
Délai d ’action : 30 à 40 minutes
Durée d ’action : 2 à 3 heures
Effet antalgique modéré 1/10ième à 1/6ième de
la morphine
48. > 30 mg codeine
CODEINE
DIHYDROCODEINE
DEXTROPROPOXYPHENE
TRAMADOL
+/- coantalgiques
+/-palier I
OPIOIDES FORTS
+/- coantalgiques
+/-palier I
QUAND PRESCRIRE UN OPIOIDE?
LES III PALIERS DE L’O.M.S
III
D’emblée si douleurs intenses
II
I
PARACETAMOL
AC. ACETYL SALICYLIQUE
AINS
+/- coantalgiques
49. Préférer la voie d’administration la plus simple
Prise horaire fixe
Commencer par des faibles doses, pas de dose de charge
Adapter la posologie par « titration »
Douleur nociceptive sévère, durable, EVA supérieur à 8,
rebelle aux antalgiques du 1er et 2ème pallier de l’OMS
L’indication est indépendante du pronostic de la maladie
Des laxatifs seront prescrits d’emblée en vue d’éviter la
constipation
50. Préférer la morphine à libération immédiate
« Start low, go slow »
Débuter à faible dose, augmenter lentement
Evaluation toutes les 2 x demi-vie (8 heures)
Augmenter de 50% de la dose précédente
jusqu’à la posologie efficace
Si la tolérance et l’équilibre antalgique sont
satisfaisants pendant 24 à 48 h: Relai possible
sous forme à libération prolongée
51. TITRATION :
0,08 mg/ kg / 4 h per os
0,04 mg/ kg / 4 h en SC
0,03 mg / kg / 4 h en IV
ADAPTATION POSOLOGIQUE :
En cas d’inefficacité des doses initiales, augmenter de
30 à 50% la dose par prise, après 2 demi-vies, soit 8
h , jusqu’à la posologie efficace
En cas de douleurs aiguës ou d’urgence, le
renouvellement au bout d’1h est possible per os, au bout
de 30 min en SC ou de 10 min en IV, jusqu’à une
antalgie satisfaisante et sans effets indésirables
52. Chlorhydrate de morphine : libération immédiate
Délai d’action: 30 à 45 mn, demi-vie = 4 heures
Faibles doses initiales :
> 65 ans : 5 mg / 4 heures per os
> 75 ans : 2,5 mg / 4 heures per os
IR : 2,5 mg / 4 heures per os
Actiskénan
®
Gélules à 5, 10, 20, 30 mg Per os 5 à 30 mg/4h
Sevredol® Comprimés sécables à
10, 20 mg
Per os 10 à 20 mg/ 4h
Chlorhydra Ampoule
1 ml = 10 mg de morphine
Injectables ou
buvables
53. Sulfate de morphine: libération prolongée
Délai d’action : 2 à 3 heures, demi-vie = 12 heures
Si la dose efficace a pu être titrée avec une morphine à action
immédiate, on peut, quand la posologie est stable, passer à
une morphine LP
On répartit la dose quotidienne en deux prises espacées de
12 h
On peut débuter le traitement avec un morphinique LP, mais
sans dépasser la dose de 10 mg toutes les 12 heures au
débutSKENAN* LP Gélules à 10, 30, 60 et 100 mg Per os / 12 h
MOSCONTIN*
LP
Comprimés à 10, 30, 60 et 100
mg
Per os / 12 h
54. En cas d’accès douloureux aigu ou avant un soin
douloureux, on peut administrer une « interdose » de
morphine à libération immédiate en bolus:
50 % de la dose administrée toutes les 4 h, une fois toutes
les 2 heures, voire toutes les heures si besoin
Selon la règle de 1/6 à 1/10 (15 à 20%) de la dose de 24h
Pour éviter un réveil nocturne, on peut supprimer la prise de
4 h du matin en donnant à minuit une dose double de celle
administrée normalement toutes les 4 heures
Des interdoses seront toujours possibles à titre de bolus
toutes les 4 h
55. Lorsque la voie orale n’est pas ou plus
utilisable, on peut recourir à la voie injectable
56. Le fentanyl transdermique (Durogésic®) est un opiacé agoniste
de la morphine
Un patch (dosé à 25, 50, 75 ou 100 µg/h) a un délai d’action de
16 heures (pour le premier patch) et une durée de 72 heures
Compatible avec des troubles comme la dysphagie, nausées,
vomissements
Chez le sujet âgé, il est préférable de limiter son utilisation au
relais d’un traitement d’au moins 60 mg de morphine par jour,
lorsque la douleur est d’origine cancéreuse et stable
Attention en cas de fièvre, car il existe une augmentation du
passage transdermique de fentanyl avec un risque de
surdosage relatif
Ne pas faire le choix du Durogesic en 1ère intention
59. Pour composante paroxystique, allodynies et décharges
LYRICA* gél 25, 50, 75, 100, 150, 200, 300 mg
à augmenter par paliers hebdomadaires et à adapter à la fonction
rénale.
Cl < 15 ml/min : Dose Initiale 25 mg et Dose max 75 mg
15 < Cl < 30 ml/min : Dose Initiale 25 à 50 mg et Dose max 150 mg
30 < Cl < 60 ml/min : Dose Initiale 75 mg et Dose max 300 mg
NEURONTIN* gél 100, 300 et 400 mg, cps 600 et 800 mg,
à adapter à la fonction rénale.
Débuter par 100 mg le soir, puis augmenter par paliers quotidiens de
100 mg.
RIVOTRIL* : 5 gouttes au coucher
TEGRETOL* (Hyponatrémie, NFS à 1 mois)
60. Pour composante paroxystique, allodynies et décharges
Prégabaline (Lyrica®) 25, 50, 75, 100, 150, 200, 300 mg
Augmenter par paliers hebdomadaires et adapter à la FR
Gabapentine (Neurontin®) 100, 300 et 400, 600, 800 mg,
à adapter à la fonction rénale
Les effets indésirables : somnolence, vertiges, troubles de
l’équilibre et oedèmes périphériques
Clonazépam (Rivotril®) : 5 gouttes au coucher
Carbamazépine (Tégrétol®)
61. Douleurs à fond permanent++
Brûlures / fourmillements
Effets secondaires : hypotension orthostatique,
sécheresse de la bouche, confusion
Contre indications : glaucome et adénome de la
prostate
débuter par une faible posologie :
Clomipramine (Anafranil®) 10 mg le soir
Amitriptyline (Laroxyl®) 10mg/j sous forme buvable
Dose maximale: 75 mg/j
62. Barrières liées aux soignants :
Absence d’enseignement spécifique
Peur des effets des opioïdes
Croyance que la douleur est un élément lié au vieillissement
et ne peut être traité
Manque de connaissance pour évaluer la douleur chez les
Patients avec déficit cognitif
Barrières liées aux patients et à leur famille :
Peur des effets secondaires des médicaments
Peur de l’addiction
Peur d’être considéré comme un mauvais patient si l’on se
plaint de douleurs
Fatalisme lié à la vieillesse. Abandon familial
63. Pour la personne âgée :
Soulager
Limiter les troubles comportementaux : sommeil,
appétit, autonomie, anxiété, confusion……
Améliorer la qualité de vie +++
Pour les soignants :
Meilleures communications avec les différents
intervenants (évaluateurs / prescripteurs).
Meilleures participations aux soins de la personne
âgée.