L’accréditation des chirurgiens par l'has peut elle tenir ses promesses Réseau Pro Santé
Depuis 4 ans, l’HAS s’est lancée dans une démarche d’accréditation des spécialités médicales à risques, dont la chirurgie. Démarche louable dans sa finalité, elle a écarté deux structures existantes du contrôle de la qualité de la formation continue des médecins : l’Université qui assure la formation des étudiants et la spécialisation des internes et le Conseil de l’Ordre qui enregistre les diplômes et donne la qualification administrative des médecins : l’Université qui assure la formation des étudiants et la spécialisation des internes et le Conseil de l’Ordre qui enregistre les diplômes et donne la qualication administrative des médecins. Pour asseoir son autorité et faire avancer les médecins dans cette démarche, elle valide annuellement cette accréditation autorisant alors le remboursement partiel de l’assurance professionnelle. L’HAS s’appuie sur les sociétés savantes des « spécialités à risques » et c’est bien. (Il faudra un jour définir les rôles et fonctions de chacun, car les recouvrements de mission deviennent de plus en plus fréquents, mais là n’est pas mon propos).
Elle peine, malgré les efforts permanents de ses promoteurs à acquérir une réelle autorité. L’HAS doit impérativement intégrer dans sa réflexion les freins à une saine intégration de cette accréditation an qu’elle ne se désintègre pas sous les coups de butoir de la réalité. Pour notre spécialité chirurgicale, la portée de cette accréditation est actuellement dérisoire face à notre réalité hospitalière :
reseauprosante.fr
Revue "What's Up Doc" n°26 - Mai Juin 2016
LES CAS CLINIQUES SONT MORTS, VIVE LES CONSULTATIONS VIRTUELLES ! À L’HEURE OÙ TOUS LES D4 SERRENT LES FESSES EN ATTENDANT LE JOUR J, DE NOUVELLES VOIES S’OUVRENT DANS LE DOMAINE DE LA FORMATION, ET PEUT-ÊTRE À TERME DE L’ÉVALUATION. UN GÉNÉRATEUR DE CONSULTATIONS VIRTUELLES EST EN TRAIN DE VOIR LE JOUR. IL VA PROBABLEMENT « DISRUPTER » L’APPRENTISSAGE MÉDICAL.
SARAH BALFAGON
Tout commence par la création d’un avatar. Pas pour soi, mais pour le patient. Puis vient le choix d’un environnement. Il faut ensuite remplir les antécédents, les traitements… Et enfin décider des éléments de l’examen clinique et des examens complémentaires qui entreront dans le cas clinique. Car il s’agit d’une consultation virtuelle qui peut être créée à partir d’une plate-forme, Patient Genesys.
Interaction Healthcare (IH) est un acteur bien connu dans le domaine de la simulation en santé. Patient Genesys découle d’un constat simple : l’entreprise était très souvent sollicitée par des universités ou des instituts de formation pour développer des cas cliniques en 3D. Le problème : les clients avaient besoin d’un certain volume d’exercices pour entraîner leurs élèves, mais le développement au cas par cas (clinique) revenait assez cher. Ils ont donc lancé ce projet de générateur de consultations virtuelles avec 4 partenaires. Le premier, un laboratoire du CNRS appelé LIMSI, a développé l’agent conversationnel sur lequel repose le dialogue avec le patient. Complémentaire, la start-up Voxygen, financée en partie par la région Bretagne, s’est chargée des voix de synthèse. L’incontournable Vidal permet de fournir la base de données des correspondances entre DCI et noms de médicaments, et une évaluation des interactions médicamenteuses possibles. Enfin, le CHU d’Angers, avec le Professeur Granry en tête, gère la partie conseils, évaluations et tests médicaux.
www.reseauprosante.fr
Webinaire "Retour et maintien en emploi après cancer" du 24 juin 2021CRAMIF
Le 24 juin dernier, la Cramif a organisé avec le Centre Régional de Pathologie Professionnelle et Environnementale (CRPPE) de Paris-Centre Hôtel-Dieu et en y associant les Centres de Coordination en Cancérologie du GHU AP-HP Centre - Université de Paris, les 1ères rencontres AP-HP – Cramif « Regards croisés patients-professionnels sur le maintien et retour à l’emploi chez les patients atteints de cancer ».
L’accréditation des chirurgiens par l'has peut elle tenir ses promesses Réseau Pro Santé
Depuis 4 ans, l’HAS s’est lancée dans une démarche d’accréditation des spécialités médicales à risques, dont la chirurgie. Démarche louable dans sa finalité, elle a écarté deux structures existantes du contrôle de la qualité de la formation continue des médecins : l’Université qui assure la formation des étudiants et la spécialisation des internes et le Conseil de l’Ordre qui enregistre les diplômes et donne la qualification administrative des médecins : l’Université qui assure la formation des étudiants et la spécialisation des internes et le Conseil de l’Ordre qui enregistre les diplômes et donne la qualication administrative des médecins. Pour asseoir son autorité et faire avancer les médecins dans cette démarche, elle valide annuellement cette accréditation autorisant alors le remboursement partiel de l’assurance professionnelle. L’HAS s’appuie sur les sociétés savantes des « spécialités à risques » et c’est bien. (Il faudra un jour définir les rôles et fonctions de chacun, car les recouvrements de mission deviennent de plus en plus fréquents, mais là n’est pas mon propos).
Elle peine, malgré les efforts permanents de ses promoteurs à acquérir une réelle autorité. L’HAS doit impérativement intégrer dans sa réflexion les freins à une saine intégration de cette accréditation an qu’elle ne se désintègre pas sous les coups de butoir de la réalité. Pour notre spécialité chirurgicale, la portée de cette accréditation est actuellement dérisoire face à notre réalité hospitalière :
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Revue "What's Up Doc" n°26 - Mai Juin 2016
LES CAS CLINIQUES SONT MORTS, VIVE LES CONSULTATIONS VIRTUELLES ! À L’HEURE OÙ TOUS LES D4 SERRENT LES FESSES EN ATTENDANT LE JOUR J, DE NOUVELLES VOIES S’OUVRENT DANS LE DOMAINE DE LA FORMATION, ET PEUT-ÊTRE À TERME DE L’ÉVALUATION. UN GÉNÉRATEUR DE CONSULTATIONS VIRTUELLES EST EN TRAIN DE VOIR LE JOUR. IL VA PROBABLEMENT « DISRUPTER » L’APPRENTISSAGE MÉDICAL.
SARAH BALFAGON
Tout commence par la création d’un avatar. Pas pour soi, mais pour le patient. Puis vient le choix d’un environnement. Il faut ensuite remplir les antécédents, les traitements… Et enfin décider des éléments de l’examen clinique et des examens complémentaires qui entreront dans le cas clinique. Car il s’agit d’une consultation virtuelle qui peut être créée à partir d’une plate-forme, Patient Genesys.
Interaction Healthcare (IH) est un acteur bien connu dans le domaine de la simulation en santé. Patient Genesys découle d’un constat simple : l’entreprise était très souvent sollicitée par des universités ou des instituts de formation pour développer des cas cliniques en 3D. Le problème : les clients avaient besoin d’un certain volume d’exercices pour entraîner leurs élèves, mais le développement au cas par cas (clinique) revenait assez cher. Ils ont donc lancé ce projet de générateur de consultations virtuelles avec 4 partenaires. Le premier, un laboratoire du CNRS appelé LIMSI, a développé l’agent conversationnel sur lequel repose le dialogue avec le patient. Complémentaire, la start-up Voxygen, financée en partie par la région Bretagne, s’est chargée des voix de synthèse. L’incontournable Vidal permet de fournir la base de données des correspondances entre DCI et noms de médicaments, et une évaluation des interactions médicamenteuses possibles. Enfin, le CHU d’Angers, avec le Professeur Granry en tête, gère la partie conseils, évaluations et tests médicaux.
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Webinaire "Retour et maintien en emploi après cancer" du 24 juin 2021CRAMIF
Le 24 juin dernier, la Cramif a organisé avec le Centre Régional de Pathologie Professionnelle et Environnementale (CRPPE) de Paris-Centre Hôtel-Dieu et en y associant les Centres de Coordination en Cancérologie du GHU AP-HP Centre - Université de Paris, les 1ères rencontres AP-HP – Cramif « Regards croisés patients-professionnels sur le maintien et retour à l’emploi chez les patients atteints de cancer ».
La chirurgie du cancer à l’hôpital public en dehors du territoire, point de...Réseau Pro Santé
Le plan cancer 2 a eu pour principal impact au plan chirurgical, la mise en application des « autorisations » de prendre en charge les cancers. Pour les chirurgiens, ces autorisations ont été fondées essentiellement sur la mise en oeuvre de seuils d’activité, marqueur simpliste mais simple à mettre en oeuvre, et somme toute au final et en moyenne relativement pertinent.
Les conséquences de ce plan cancer ont été de diminuer drastiquement le nombre de services et donc d’établissements autorisés, de recentrer l’activité vers des centres dont le volume d’activité des équipes (médicales et paramédicales) permettaient en théorie d’assurer une prise en charge plus qualitative.
Pour autant, il ne faut pas se satisfaire de ce qui existe actuellement, car force est de constater que pour les équipes ayant perdues les autorisations, l’impact a en général été assez négatif.
reseauprosante.fr
Création d’un collège de chirurgiens : indispensable pour mener une action fé...Réseau Pro Santé
Revue "Avenir Hospitalier n°4" Mars 2016
Le malaise patent au sein de la chirurgie hospitalière, activité majeure à l’hôpital, provoque la désaffection des jeunes praticiens. Ils constatent la très importante pression liée à la permanence des soins rendant souvent difficile le développement de l’activité froide, cœur du métier, et se dirigent finalement vers le libéral. À ceci s’ajoute les lourdes contraintes administratives associées à un déficit de reconnaissance individuel. De plus, les multiples spécialités chirurgicales et les différents statuts entraînent un morcellement syndical rendant la parole des chirurgiens quasiment inaudible Une action fédératrice est indispensable. Dans l’urgence, Avenir Hospitalier propose en son sein un collège chirurgical. Sa mission ? Faire un bilan clair de la situation et être une force de proposition pour les évolutions à défendre.
La réduction des équipes, du fait des postes vacants, augmente la sujétion des chirurgiens hospitaliers
Du fait de cette forte sujétion, les jeunes praticiens ont peur de ne pas pouvoir conjuguer leur vie professionnelle et familiale tout en assumant la qualité des soins. La plupart des chirurgiens hospitaliers sont soumis au régime des astreintes, très imparfait et mal rémunéré. De plus, pour ceux qui sont en garde sur place, l’activité est presque toujours comptée en horaire non-posté, et ils ne bénéficient donc pas des avantages, justifiés, attribués en particulier aux urgentistes.
Une forte fréquence de contrainte de garde porte préjudice au développement de la chirurgie programmée, pourtant cœur du métier auquel le jeune praticien vient d’être formé et qu’il souhaite absolument conserver. Ainsi, les équipes restreintes s’essoufflent dans l’activité d’urgence et peinent à développer l’activité froide. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Conférence de France Laverdière, conseillère à la qualité, MSSS, et Vincent Dumez, codirecteur de la direction collaboration et partenariat patient - 24 novembre 2015
Notre adage résume l’état d’esprit des chirurgiens du SCH : « opérer, défendre, organiser ». On y retrouve la notion d’engagement et de responsabilité des chirurgiens. Mais si nous avons tous des idées très arrêtées sur l’organisation de notre salle d’opération, dès qu’on s’élève pour rechercher des repères plus universels, la cacophonie s’installe.
Le SCH vous propose la plate-forme suivante :
1 - La reconnaissance de la spécicité de la pratique chirurgicale
La pratique de la chirurgie induit des spécicités qui lui sont propres : responsabilité et engagement individuel très poussé inclus dans un travail d’équipe.
« Travail d’équipe » en salle d’opération associant anesthésiste, Ibodes, Iades, mais également au bloc opératoire avec les cadres, pharmaciens, ingénieur biomédical et industrie. « Travail d’équipe » au sein de l’équipe chirurgicale comprenant l’organisation des PDSs, le partage d’expérience, et le soutien mutuel dans la prise en charge des patients et des complications, « Travail d’équipe » au niveau du territoire de santé : encore balbutiante, cette nouvelle organisation mettra à profit les dispositions du chirurgien au travail d’équipe.
Mais « Travail d’équipe » est toujours associé à un engagement individuel qui s’initie dans le colloque singulier avec le patient en consultation, se poursuit dans la réalisation de l’acte opératoire et la gestion de ses complications et se termine avec la guérison du patient ou sa surveillance à long terme selon les cas.
Cet engagement individuel ne peut pas être transmis ni partagé ni délégué dans une prise en charge chirurgicale ordinaire d’un patient.
reseauprosante.fr
Césarienne programmée à terme : Optimiser la pertinence du parcours de la pa...Haute Autorité de Santé
Synthèse de l'expérimentation 2013 - 2014
Devant l’hétérogénéité des pratiques de césarienne programmée à terme, la HAS a développé un programme d’optimisation de sa pertinence. Les travaux sont menés en partenariat avec les professionnels, gynécologues obstétriciens (Collège national des gynécologues et obstétriciens de France CNGOF), sages-femmes (Collège national des sages-femmes), qualiticiens, pédiatres ; les femmes représentées par l’association Césarine ; les réseaux de périnatalité (réunis en Fédération FFRSP) et certaines structures régionales d’évaluation ; la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) et les Agences régionales de santé (ARS).
Pour consulter les pages traitant de la césarienne programmée à terme sur le site de la HAS : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1726022/fr/cesarienne-programmee-a-terme-optimiser-la-pertinence-du-parcours-de-la-patiente
Conférence de Sandrine Perrot, chargée de mission, Bureau des usagers de l'offre de soins, sous-direction stratégie et ressources, Direction Générale de l'Offre de Soins (DGOS), ministère des Affaires sociales, de la santé et droits des femmes - 24 novembre 2015
Les freins aux développement de IA en santéAlain Tassy
Suite à des rencontres avec plusieurs centaines de représentants du corps médical, le docteur Denormandie a constaté une méconnaissance forte des usages de l'IA .
La médiatisation de l'IA qui pourrait remplacer les soignants et permettrait au patient de devenir "sachant" provoque des craintes du corps médical.
Conférence d'Alexandre Berkesse, conseiller sénior à la Direction collaboration et partenariat patient de la Faculté de médecine de l’UdeM - 24 novembre 2015
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
La chirurgie du cancer à l’hôpital public en dehors du territoire, point de...Réseau Pro Santé
Le plan cancer 2 a eu pour principal impact au plan chirurgical, la mise en application des « autorisations » de prendre en charge les cancers. Pour les chirurgiens, ces autorisations ont été fondées essentiellement sur la mise en oeuvre de seuils d’activité, marqueur simpliste mais simple à mettre en oeuvre, et somme toute au final et en moyenne relativement pertinent.
Les conséquences de ce plan cancer ont été de diminuer drastiquement le nombre de services et donc d’établissements autorisés, de recentrer l’activité vers des centres dont le volume d’activité des équipes (médicales et paramédicales) permettaient en théorie d’assurer une prise en charge plus qualitative.
Pour autant, il ne faut pas se satisfaire de ce qui existe actuellement, car force est de constater que pour les équipes ayant perdues les autorisations, l’impact a en général été assez négatif.
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Création d’un collège de chirurgiens : indispensable pour mener une action fé...Réseau Pro Santé
Revue "Avenir Hospitalier n°4" Mars 2016
Le malaise patent au sein de la chirurgie hospitalière, activité majeure à l’hôpital, provoque la désaffection des jeunes praticiens. Ils constatent la très importante pression liée à la permanence des soins rendant souvent difficile le développement de l’activité froide, cœur du métier, et se dirigent finalement vers le libéral. À ceci s’ajoute les lourdes contraintes administratives associées à un déficit de reconnaissance individuel. De plus, les multiples spécialités chirurgicales et les différents statuts entraînent un morcellement syndical rendant la parole des chirurgiens quasiment inaudible Une action fédératrice est indispensable. Dans l’urgence, Avenir Hospitalier propose en son sein un collège chirurgical. Sa mission ? Faire un bilan clair de la situation et être une force de proposition pour les évolutions à défendre.
La réduction des équipes, du fait des postes vacants, augmente la sujétion des chirurgiens hospitaliers
Du fait de cette forte sujétion, les jeunes praticiens ont peur de ne pas pouvoir conjuguer leur vie professionnelle et familiale tout en assumant la qualité des soins. La plupart des chirurgiens hospitaliers sont soumis au régime des astreintes, très imparfait et mal rémunéré. De plus, pour ceux qui sont en garde sur place, l’activité est presque toujours comptée en horaire non-posté, et ils ne bénéficient donc pas des avantages, justifiés, attribués en particulier aux urgentistes.
Une forte fréquence de contrainte de garde porte préjudice au développement de la chirurgie programmée, pourtant cœur du métier auquel le jeune praticien vient d’être formé et qu’il souhaite absolument conserver. Ainsi, les équipes restreintes s’essoufflent dans l’activité d’urgence et peinent à développer l’activité froide. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Conférence de France Laverdière, conseillère à la qualité, MSSS, et Vincent Dumez, codirecteur de la direction collaboration et partenariat patient - 24 novembre 2015
Notre adage résume l’état d’esprit des chirurgiens du SCH : « opérer, défendre, organiser ». On y retrouve la notion d’engagement et de responsabilité des chirurgiens. Mais si nous avons tous des idées très arrêtées sur l’organisation de notre salle d’opération, dès qu’on s’élève pour rechercher des repères plus universels, la cacophonie s’installe.
Le SCH vous propose la plate-forme suivante :
1 - La reconnaissance de la spécicité de la pratique chirurgicale
La pratique de la chirurgie induit des spécicités qui lui sont propres : responsabilité et engagement individuel très poussé inclus dans un travail d’équipe.
« Travail d’équipe » en salle d’opération associant anesthésiste, Ibodes, Iades, mais également au bloc opératoire avec les cadres, pharmaciens, ingénieur biomédical et industrie. « Travail d’équipe » au sein de l’équipe chirurgicale comprenant l’organisation des PDSs, le partage d’expérience, et le soutien mutuel dans la prise en charge des patients et des complications, « Travail d’équipe » au niveau du territoire de santé : encore balbutiante, cette nouvelle organisation mettra à profit les dispositions du chirurgien au travail d’équipe.
Mais « Travail d’équipe » est toujours associé à un engagement individuel qui s’initie dans le colloque singulier avec le patient en consultation, se poursuit dans la réalisation de l’acte opératoire et la gestion de ses complications et se termine avec la guérison du patient ou sa surveillance à long terme selon les cas.
Cet engagement individuel ne peut pas être transmis ni partagé ni délégué dans une prise en charge chirurgicale ordinaire d’un patient.
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Césarienne programmée à terme : Optimiser la pertinence du parcours de la pa...Haute Autorité de Santé
Synthèse de l'expérimentation 2013 - 2014
Devant l’hétérogénéité des pratiques de césarienne programmée à terme, la HAS a développé un programme d’optimisation de sa pertinence. Les travaux sont menés en partenariat avec les professionnels, gynécologues obstétriciens (Collège national des gynécologues et obstétriciens de France CNGOF), sages-femmes (Collège national des sages-femmes), qualiticiens, pédiatres ; les femmes représentées par l’association Césarine ; les réseaux de périnatalité (réunis en Fédération FFRSP) et certaines structures régionales d’évaluation ; la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) et les Agences régionales de santé (ARS).
Pour consulter les pages traitant de la césarienne programmée à terme sur le site de la HAS : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1726022/fr/cesarienne-programmee-a-terme-optimiser-la-pertinence-du-parcours-de-la-patiente
Conférence de Sandrine Perrot, chargée de mission, Bureau des usagers de l'offre de soins, sous-direction stratégie et ressources, Direction Générale de l'Offre de Soins (DGOS), ministère des Affaires sociales, de la santé et droits des femmes - 24 novembre 2015
Les freins aux développement de IA en santéAlain Tassy
Suite à des rencontres avec plusieurs centaines de représentants du corps médical, le docteur Denormandie a constaté une méconnaissance forte des usages de l'IA .
La médiatisation de l'IA qui pourrait remplacer les soignants et permettrait au patient de devenir "sachant" provoque des craintes du corps médical.
Conférence d'Alexandre Berkesse, conseiller sénior à la Direction collaboration et partenariat patient de la Faculté de médecine de l’UdeM - 24 novembre 2015
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
La règle selon laquelle l'absence de réponse de l'administration à une demande implique son acceptation s'accompagne de nouvelles restrictions qui impactent directement les chirurgiens-dentistes, notamment dans le cadre des demandes d'autorisation d'exercice.
Parcours personnalisé pendant et après le cancer : un nouveau modèle de prise en charge intégrée pour répondre aux besoins des patients
Présentation de Graziella Pourcel au colloque "Recherche interventionnelle contre le cancer : Réunir chercheurs, décideurs et acteurs de terrain » - 17 et 18 novembre 2014, BnF, Paris
Interview le dpc, un outil pour améliorer la qualité des soins.Réseau Pro Santé
Pour le Dr Sylvia Benzaken, Vice-présidente de la CME du CHU de Nice, le DPC est un dispositif national obligatoire, dont les modalités doivent être personnalisées en fonction des différentes spécialités et adaptées aux besoins de chaque mode d’exercice et de chaque professionnel avec comme objectif l’amélioration de la qualité des soins.
PHAR-E : Que vous inspirent les résultats de cette enquête réalisée par Avenir Hospitalier et la CPH auprès de l'ensemble des PH, toutes spécialités confondues ?
S. Benzaken : Ces résultats reflètent la complexité du dispositif et la difficulté à communiquer auprès de nos collègues. L’information est certes diffusée, mais il me semble que celle-ci devrait être plus personnalisée.
Ce dispositif a été mis en place pour l’ensemble des professionnels de santé et, concernant le personnel médical, pour tous les secteurs d’activité. Ainsi, la communication cible à la fois les médecins libéraux et les médecins hospitaliers avec des messages trop globaux qui ne parlent pas à tous, ou plutôt à chaque individu selon son exercice ou son activité.
La diffusion de l’information existe, mais le mode de communication idéal n’a pas été trouvé.
500 jours plus tard: les DRG, contrainte ou opportunité?
Conférence du 27 juin 2013
Organisé par Paianet & Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG)
Intervention:
Stratégies gagnantes et mesures concrètes au niveau international et local
Transformer la contrainte en opportunité: stratégies locales
Pascal Meier
Hôpital du Valais
Revue SNPHARE 76, Octobre 2016
L’« acte I » de la constitution des Groupements hospitaliers de territoire (GHT) a pris fin cet été avec la définition du périmètre des 135 GHT. Tout reste à construire, en premier lieu le projet médical partagé. L’hétérogénéité du périmètre des GHT et les diversités de contextes locaux démontrent qu’il ne peut y avoir de modèle unique et hiérarchique déterminé nationalement. Seul peut être fixé nationalement un objectif de convergence pertinent et en accord avec le projet médical partagé proposé par les acteurs de terrain. Car c’est bien ce projet médical partagé qui est la pierre angulaire de tout le dispositif.
En lien direct avec celui-ci dans la mesure où il influence l’exercice des professionnels, le développement professionnel continu est l’un des domaines prévus dans le décret qui évoque la « coordination des plans de formation continue et de développement professionnel continu des personnels des établissements parties au groupement ». De facto l’ensemble des professionnels soumis à l’obligation de DPC, exerçant dans un établissement membre du GHT est bien concerné.
CE QUI NE CHANGE PAS AVEC LES GHT
Le DPC a un lourd passé et sa version 2.0. constitue moins une tentative de le rendre soluble dans les GHT que de le rendre simple et digeste pour ses utilisateurs. Ainsi l’émergence des GHT ne bouleverse en rien les fondamentaux du DPC – rénové cet été par décret.
La manière de remplir son obligation de DPC
Les objectifs du DPC demeurent l’amélioration de la qualité des soins et des pratiques professionnelles. La réalisation d’un parcours de DPC concerne tous les professionnels de santé. Chaque professionnel de santé dispose de trois années pour réaliser un parcours de DPC qui devra inclure a minima, deux des trois types d’actions :
• actions de formation,
• actions d’évaluation et d’amélioration des pratiques,
• actions de gestion des risques.
(...)
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L'Approche Servicielle à l'Hôpital Public (pour Repenser l'Expérience de Serv...Mohamed Amin MOUHANE
Les besoins et les exigences des populations ne cessent d’accroitre non seulement dans leurs activités sociales et familiales quotidiennes, mais aussi au regard de leur santé lors de la prise en charge dans les services de soins médicaux, gratuits ou payants. Tout patient attend d’être soigné conformément aux données actuelles de la science et dans des conditions d’accueil et de prise en charge les plus humaines possibles. Il n’y a pas si longtemps, dans la plupart des cas, le patient n’intervenait pas dans les décisions concernant ses soins. Actuellement, chaque personne demandant une prise en charge pour des soins n’est plus simplement un usager en consultation, mais un patient devenu client, plus exigeant quant à la qualité du service. Il est plus attentif à l’accueil, à l’écoute, au confort, à l’information transmise, et il considère l’accès à la santé comme un droit.
Au Maroc, le secteur hospitalier public occupe une place centrale dans le schéma de l'offre de soins du système de santé, il est le premier recours de la population en situation de détresse. Conscient de la question de la qualité des services et de la sécurité des soins, de la montée en puissance des réclamations et revendications (mécontentement des citoyens, encombrement, durée des RDV assez longue... etc.), le Ministère de la santé, est tenu plus que jamais, à la lumière des outils de Management modernes déjà introduits ( PEH, Gouvernance hospitalière, Gestion axée sur le résultat ...etc.) à faire le pari de pouvoir recourir à de nouveaux outils de gestion axée sur la relation client (empathie du personnel d'accueil, hospitalité des lieux, bornes d'orientations implantés... etc.).
Bulletin du CPASS
Numéro 3 - mai 2013
Le programme Partenaires de soins, pour une pratique performante, empreinte d’humanité:
À l’occasion de la révision de ses orientations, le vice-décanat au développement continu des compétences professionnelles de la faculté de médecine a privilégié cinq grandes orientations qui s’articulent autour de sa mission et dont l’une d’entre elles s’énonce comme suit: « Soutenir le professionnel de la santé à progresser en tant qu’apprenant réflexif et continu (Life long learner) dans l’ensemble de ses compétences afin de mieux répondre aux besoins de la société ».
Droit d’auteur, licences et utilisation équitable: quelques pistes pour s’y retrouver :
Abrogé en juin 2012 et mis en application en novembre dernier, le nouveau régime canadien du droit d’auteur vient ajouter, entre autres, « l’éducation » au chapitre de l’utilisation équitable. Quelques brèves indications seront de bon aloi pour s’y retrouver en tant qu’utilisateur.
Présentation réalisée par Alain TURCOTTE dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Article informatif rédigé pour la revue du club de race des chats Norvégiens AIDS sur l'alimentation naturelle au cru pour les chats.
Article basé sur mon expérience de quelques mois au raw feedind.
The document discusses the certification process for a private hospital. It notes that while the hospital has strong potential, quality improvement efforts have relaxed in the past 1.5 years. However, medical staff are highly motivated to restart dynamics. The certification process demands high standards and consolidation of past gains with progress. Objectives are to ensure patient safety and maintain business activity. The methodology involves auditing processes, policies and organization as well as tracing patient experiences with 80% of audit time spent on wards with care teams and treating physicians. An action plan is outlined that involves risk mapping, quality improvement plans, an internal audit dry run and the final certification audit scheduled for November 2015.