5 ans après la sortie de "Révolution Relation", qu'est ce qui a changé ? Quelles confirmations ? Quels oublis ? Quelles intuitions vérifiées ? Quels prolongements? Petit tour d'horizon pour voir le monde (et ses relations) comme ils ont évolué...
Uber, airbnb, booking.com … seront ils les leaders de demain Gérald Karsenti
Mon post précédent visait à cerner un peu mieux les nouveaux acteurs et à mesurer leur impact sur la société. Mais peuvent-ils devenir les leaders de demain ?
Mes deux premiers posts s’intéressaient aux nouveaux acteurs qui rebattent les cartes de l’économie mondiale — obligeant les entreprises dites traditionnelles à se réinventer — et à leur capacité de devenir les leaders de demain. Je me propose dans ce nouveau billet de voir ce qu’il convient de faire afin d’éviter d’être « disrupté » ou « uberisé ».
Comment rester attractif face aux nouvelles aspirations des collaborateurs ?Leonard
Articulation entre travail et loisirs, quête de sens et de reconnaissance mais aussi besoin de se former en continu, révolution des modes de management vers un modèle d’ « entreprise libérée »… le monde du travail et les relations entre les salariés et l’organisation évoluent. Quelles sont donc ces nouvelles attentes des collaborateurs que l’entreprise se doit d’écouter et intégrer dans son mode de gouvernance ? Au-delà de la mise en cause du management traditionnel, que revêt le modèle de l’entrepris libérée ? Est-il possible de l’appliquer intégralement à tout type d’entreprise et constitue-t-il réellement une réponse aux aspirations nouvelles des collaborateurs ?
Petit journal de campagne n°4 - L'entreprise responsable CroissancePlus
Qui est responsable de quoi dans la société dans laquelle nous vivons ? Cette question irrigue une bonne partie du débat public, singulièrement dans le domaine de la prévention des risques, de la protection de l’environnement, des atteintes à la santé morale et physique de chacun et de bien d’autres encore. L’entreprise est au centre de ces interrogations. Pour une bonne raison : elle joue un rôle clé dans la société, c’est elle qui emploie, produit, crée de la richesse, et façonne une manière de vivre ensemble. CroissancePlus a toujours nourri cette conviction que l’entreprise ne pouvait pas être réduite à sa seule vocation économique. Elle est un acteur de la société. En tant que tel, la question de sa responsabilité dans le développement harmonieux du monde se pose avec plus d’acuité que jamais. La notion « d’entreprise responsable » découle de ce constat. Consciente de son impact social, sociétal, environnemental, et soucieuse de l’optimiser. L’entreprise responsable est, selon nous, affaire de gouvernance, de partage des fruits de la croissance, de contrat social harmonieux et de respect d’un certain nombre de valeurs.
12 leçons d'agilité pour les entrepreneurs. Comment intégrer les changements de l'économie actuelle pour lancer son entreprise sans se prendre les pieds dans le tapis.
Internet, relation client, service & Entreprise demain par l'IES.
document issu de : l’Institut Esprit Service lors de la rencontre sur le thème : « Demain, l’entreprise remodelée – Nouveaux équilibres, nouveaux enjeux - Le Vendredi 14 décembre 2012, »
Under Creative Commons License: Attribution Non-Commercial No Derivatives
Uber, airbnb, booking.com … seront ils les leaders de demain Gérald Karsenti
Mon post précédent visait à cerner un peu mieux les nouveaux acteurs et à mesurer leur impact sur la société. Mais peuvent-ils devenir les leaders de demain ?
Mes deux premiers posts s’intéressaient aux nouveaux acteurs qui rebattent les cartes de l’économie mondiale — obligeant les entreprises dites traditionnelles à se réinventer — et à leur capacité de devenir les leaders de demain. Je me propose dans ce nouveau billet de voir ce qu’il convient de faire afin d’éviter d’être « disrupté » ou « uberisé ».
Comment rester attractif face aux nouvelles aspirations des collaborateurs ?Leonard
Articulation entre travail et loisirs, quête de sens et de reconnaissance mais aussi besoin de se former en continu, révolution des modes de management vers un modèle d’ « entreprise libérée »… le monde du travail et les relations entre les salariés et l’organisation évoluent. Quelles sont donc ces nouvelles attentes des collaborateurs que l’entreprise se doit d’écouter et intégrer dans son mode de gouvernance ? Au-delà de la mise en cause du management traditionnel, que revêt le modèle de l’entrepris libérée ? Est-il possible de l’appliquer intégralement à tout type d’entreprise et constitue-t-il réellement une réponse aux aspirations nouvelles des collaborateurs ?
Petit journal de campagne n°4 - L'entreprise responsable CroissancePlus
Qui est responsable de quoi dans la société dans laquelle nous vivons ? Cette question irrigue une bonne partie du débat public, singulièrement dans le domaine de la prévention des risques, de la protection de l’environnement, des atteintes à la santé morale et physique de chacun et de bien d’autres encore. L’entreprise est au centre de ces interrogations. Pour une bonne raison : elle joue un rôle clé dans la société, c’est elle qui emploie, produit, crée de la richesse, et façonne une manière de vivre ensemble. CroissancePlus a toujours nourri cette conviction que l’entreprise ne pouvait pas être réduite à sa seule vocation économique. Elle est un acteur de la société. En tant que tel, la question de sa responsabilité dans le développement harmonieux du monde se pose avec plus d’acuité que jamais. La notion « d’entreprise responsable » découle de ce constat. Consciente de son impact social, sociétal, environnemental, et soucieuse de l’optimiser. L’entreprise responsable est, selon nous, affaire de gouvernance, de partage des fruits de la croissance, de contrat social harmonieux et de respect d’un certain nombre de valeurs.
12 leçons d'agilité pour les entrepreneurs. Comment intégrer les changements de l'économie actuelle pour lancer son entreprise sans se prendre les pieds dans le tapis.
Internet, relation client, service & Entreprise demain par l'IES.
document issu de : l’Institut Esprit Service lors de la rencontre sur le thème : « Demain, l’entreprise remodelée – Nouveaux équilibres, nouveaux enjeux - Le Vendredi 14 décembre 2012, »
Under Creative Commons License: Attribution Non-Commercial No Derivatives
12 leçons d'agilité pour les entrepreneurs. Comment intégrer les changements de l'économie actuelle pour lancer son entreprise sans se prendre les pieds dans le tapis ?
Royal Kids, de part son rôle de franchiseur, accompagne au quotidien un réseau de 65 entrepreneurs, des prémices de leur projet jusqu’à leur quotidien de chefs d’entreprise.
Or, la création d’entreprise est une aventure extraordinaire. Dense, et intense, elle représente pour bon nombre de candidats à l’entrepreneuriat un grand saut dans l’inconnu.
C’est pour aider nos futurs franchisés à démystifier cette démarche si particulière que nous avons souhaité mettre à leur disposition ce guide synthétique, reprenant les 10 grandes étapes de la création d’entreprise.
Rapport d'innovation de courts circuits : la socio performance (intelligence collective, crowdsourcing, community planning, réseaux, communautés de sens, autonomie collective, participation, innovation et création collective, créatif culturels)
La socio-performance vise la réussite des enjeux collectifs, personnels et communautaires. Dans un contexte de mondialisation l’aventure humaine est plus que jamais collective. Ainsi la performance individuelle se situe de plus en plus dans un contexte de performance collective. Celle des groupes, des équipes, des communautés de tous ordres : communautés sociales, politiques, économiques, d’entreprises comme de pays ou communes, de sociétés ou d’associations et toutes les formes classiques ou nouvelles de communautés d’enjeu et de devenir.
La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes. Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité.
C'est pourquoi les entreprises « socio performantes » sont celles qui parviennent à donner un sens commun à leurs activités sans perdre de vue l'intéret personnel poursuivit par chacun, et qui réussissent à faire interagir l'ensemble de leurs parties prenantes autour d'un projet collectif, de valeurs communes, et de rêgles plus justes.
Le thème a une portée sur :
- le lobbying de marque et la mobilisation des communautés d'interet
- les nouvelles valeurs et perspectives corporate en externe et interne
- la nouvelle construction identitaire des marques qui étendent leur portée
- l'innovation collective et le crowdsourcing
- l'engagement planning, nouveaux discours de marque plus impliquants
- nouvelle approche de connexion planning : créer du lien entre les gens
- plus loin que le community management, le community planning
- médias participatifs
- l'interactivité dans les médias
- les systèmes organisationnels coopératif et web 3.0
socio performance : introduction du rapport d'innovation de courts circuitsnous sommes vivants
Rapport d'innovation de courts circuits : la socio performance (intelligence collective, crowdsourcing, community planning, réseaux, communautés de sens, autonomie collective, participation, innovation et création collective, créatif culturels)
La socio-performance vise la réussite des enjeux collectifs, personnels et communautaires. Dans un contexte de mondialisation l’aventure humaine est plus que jamais collective. Ainsi la performance individuelle se situe de plus en plus dans un contexte de performance collective. Celle des groupes, des équipes, des communautés de tous ordres : communautés sociales, politiques, économiques, d’entreprises comme de pays ou communes, de sociétés ou d’associations et toutes les formes classiques ou nouvelles de communautés d’enjeu et de devenir.
La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes. Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité.
C'est pourquoi les entreprises « socio performantes » sont celles qui parviennent à donner un sens commun à leurs activités sans perdre de vue l'intéret personnel poursuivit par chacun, et qui réussissent à faire interagir l'ensemble de leurs parties prenantes autour d'un projet collectif, de valeurs communes, et de rêgles plus justes.
Le thème a une portée sur :
- le lobbying de marque et la mobilisation des communautés d'interet
- les nouvelles valeurs et perspectives corporate en externe et interne
- la nouvelle construction identitaire des marques qui étendent leur portée
- l'innovation collective et le crowdsourcing
- l'engagement planning, nouveaux discours de marque plus impliquants
- nouvelle approche de connexion planning : créer du lien entre les gens
- plus loin que le community management, le community planning
- médias participatifs
- l'interactivité dans les médias
- les systèmes organisationnels coopératif et web 3.0
Inscrire le droit d’entreprise et d’entreprendre dans la Constitution, réformer l’indicateur dirigeant de la banque de France pour permettre une seconde chance aux entrepreneurs qui ont un accident de parcours, inciter le créateur à être accompagné par un réseau pour maximiser ses chances de succès, enseigner les vertus de l’échec surmonté tout au long de la scolarité, déployer les mini-entreprises dans tous les collèges et lycées de France ainsi qu’une formation à l’entrepreneuriat dans toutes les grandes écoles, les universités et en particulier auprès des écoles doctorales : autant de mesures que vous pourrez retrouver dans le Livre Blanc ainsi que des témoignages de chefs d’entreprise.
L'entrepreneuriat comme modèle de développement économiqueBantu Hub
Ce mercredi 8 Avril 2015 au Bantuhub, Bridie LAPLACE a animé une soirée de l'entrepreneuriat sous le thème " L'Entrepreneuriat comme modèle de développement économique"
Michel SALOFF COSTE, Auteur du "Dirigeant du 3ème millénaire", Ed.d’Organisation
Philippe ASSELIN, Président Directeur Général, APIA
Gérard BOIVIN,Président Directeur Général, GROUPE BEL
Pascal NOYRIGAT, Directeur du Développement des Ressources Humaines, TF1
Animé par
Pascal JUNGHANS Journaliste, LA TRIBUNE
20 MARS 2007 10H30
Forum Rive Gauche, Groupe Marriott - Paris
www.congreshr.com
12 leçons d'agilité pour les entrepreneurs. Comment intégrer les changements de l'économie actuelle pour lancer son entreprise sans se prendre les pieds dans le tapis ?
Royal Kids, de part son rôle de franchiseur, accompagne au quotidien un réseau de 65 entrepreneurs, des prémices de leur projet jusqu’à leur quotidien de chefs d’entreprise.
Or, la création d’entreprise est une aventure extraordinaire. Dense, et intense, elle représente pour bon nombre de candidats à l’entrepreneuriat un grand saut dans l’inconnu.
C’est pour aider nos futurs franchisés à démystifier cette démarche si particulière que nous avons souhaité mettre à leur disposition ce guide synthétique, reprenant les 10 grandes étapes de la création d’entreprise.
Rapport d'innovation de courts circuits : la socio performance (intelligence collective, crowdsourcing, community planning, réseaux, communautés de sens, autonomie collective, participation, innovation et création collective, créatif culturels)
La socio-performance vise la réussite des enjeux collectifs, personnels et communautaires. Dans un contexte de mondialisation l’aventure humaine est plus que jamais collective. Ainsi la performance individuelle se situe de plus en plus dans un contexte de performance collective. Celle des groupes, des équipes, des communautés de tous ordres : communautés sociales, politiques, économiques, d’entreprises comme de pays ou communes, de sociétés ou d’associations et toutes les formes classiques ou nouvelles de communautés d’enjeu et de devenir.
La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes. Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité.
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La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes. Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité.
C'est pourquoi les entreprises « socio performantes » sont celles qui parviennent à donner un sens commun à leurs activités sans perdre de vue l'intéret personnel poursuivit par chacun, et qui réussissent à faire interagir l'ensemble de leurs parties prenantes autour d'un projet collectif, de valeurs communes, et de rêgles plus justes.
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Inscrire le droit d’entreprise et d’entreprendre dans la Constitution, réformer l’indicateur dirigeant de la banque de France pour permettre une seconde chance aux entrepreneurs qui ont un accident de parcours, inciter le créateur à être accompagné par un réseau pour maximiser ses chances de succès, enseigner les vertus de l’échec surmonté tout au long de la scolarité, déployer les mini-entreprises dans tous les collèges et lycées de France ainsi qu’une formation à l’entrepreneuriat dans toutes les grandes écoles, les universités et en particulier auprès des écoles doctorales : autant de mesures que vous pourrez retrouver dans le Livre Blanc ainsi que des témoignages de chefs d’entreprise.
L'entrepreneuriat comme modèle de développement économiqueBantu Hub
Ce mercredi 8 Avril 2015 au Bantuhub, Bridie LAPLACE a animé une soirée de l'entrepreneuriat sous le thème " L'Entrepreneuriat comme modèle de développement économique"
Michel SALOFF COSTE, Auteur du "Dirigeant du 3ème millénaire", Ed.d’Organisation
Philippe ASSELIN, Président Directeur Général, APIA
Gérard BOIVIN,Président Directeur Général, GROUPE BEL
Pascal NOYRIGAT, Directeur du Développement des Ressources Humaines, TF1
Animé par
Pascal JUNGHANS Journaliste, LA TRIBUNE
20 MARS 2007 10H30
Forum Rive Gauche, Groupe Marriott - Paris
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Un livre blanc collaboratif de l'adetem publié en 2013 qui explore les impacts des évolutions techniques, sociales et économiques sur le Marketing et plus globalement l'entreprise : un manifeste totalement d'actualité en 2014 et certainement encore pour les quelques années de transition qui vont certainement nous amener vers un monde digital encore plus humain...
- Parce que le consommateur est mort, supplanté par l'individu ;
- Parce qu'il ne peut pas y avoir d'entreprise agile sans marketing agile ;
- Parce que l'hyper-marketer de demain sera hybride ;
- Parce que le "net marketing" doit marier performance et éthique
Le Conseil Scientifique de l'Adetem a initié début 2012 un vaste chantier impliquant une centaine de membres de l’Adetem.
Point d'orgue de la démarche, un vaste workshop a permis d’approfondir et de synthétiser ces travaux en un manifeste volontairement court : celui de ses convictions partagées. La parole est désormais aux marketers, membres ou non de l'association, pour réagir et enrichir les réflexions menées..
Objectif ? Publier l'ensemble (manifeste et visions individuelles) dans un ouvrage commun en novembre prochain, à l'occasion de la 13e Journée Nationale du Marketing.
Partage et témoignages d'entrepreneurs et de start-up : EdTech, FinTech, MedTech, Luxe.
Les start-up | entrepreneurs | business présents dans le cahier
Askeet.io | Stanislas Miquel | Plateforme d'échange de leads
D'Estrëe | Laëtitia Lumbroso-Revenu | Maison de couture
Iktos | Yann Gaston-Mathé | IA au service de la pharma
Kokoroe | Elise Covilette | Plateforme de contenu pédagogique
La Formation Pour Tous | Jean-Paul Debeuret | Mobile learning pour les entreprises
Learn Assembly | Antoine Amiel | MOOC d'entreprises
Livsty | Grégoire Berger | Viager digital
Maison Z | Matthieu Zeilas | Luxe et innovations technologiques
Merci Docteur | Charlotte Lajoux | Lutte contre les déserts médicaux
Promis | Antoine Jenoudet | Plateforme de produits d'assurance
The Mooc Agency | Paul Farnet | Accompagnateur des organismes de formation
Tilkal | Matthieu Hug | Blockchain pour la supply chain
Vegg'up | Robin Lietar | App de recettes végétariennes et vegan
Ce petit guide est là pour leur dire que la solidarité, que l’on renomme « responsabilité sociale » dans le monde de l’entreprise, est l’affaire de tous.
Réinventer le marketing - Conseils pour un événement réussi - Le référencement naturel est-il mort ? - Stratégie de marque - Marketing opérationnel : vendre ET plus.
La "Lettre Blanche" est éditée par Signature de Pub®, réseau de consultants pour une expertise multicanal.
Comment piloter sa marque aujourd’hui ? - Le Club Des Annonceurs - TNS Sofre...Romain Fonnier
Quels sont les enjeux pour une marque aujourd’hui ? Quels sont les indicateurs, les KPI clés qui permettent de la piloter ? Vont-ils et doivent-ils évoluer ? Pour mesurer quoi ? Comment les métiers s’y adaptent-ils ? Avec quels types d’experts, prestataires, partenaires travailler ? Comment s’articulent les responsabilités et zones d’influence dans l’organisation des entreprises ? Telles sont les questions couvertes par la nouvelle étude du Club des Annonceurs, deux ans après son étude sur les transformations des métiers du marketing et de la communication, menée également avec TNS Sofres (voir archive).
78% des professionnels interrogés considèrent la marque comme prioritaire dans l’entreprise. Elle est également jugée «centrale et transversale», «vécue comme un actif à part entière de l’entreprise, et qui est là pour accompagner le changement et la transformation».
79% des annonceurs interrogés (vs 68% en 2011) anticipent des transformations majeures. Ils identifient 8 enjeux principaux. Le premier est de loin l’intégration du digital dans la relation client et la communication (citée à 81%). La mise en cohérence de l’ensemble des territoires d’expression de la marque (47%) arrive en 2ème position, devant le challenge du big data (42%).
30% citent «la montée en puissance de la marque à un niveau stratégique dans l’organisation/l’organigramme interne» et 24% la «mobilisation et le développement de la culture de marque en interne». Ces impératifs invitent le pilote de marque à «devenir un ambassadeur de sa marque, pour mieux développer et renouveler la conscience de marque au sein de l’entreprise».
Après avoir mené il y a deux ans, une étude sur les transformations profondes des métiers du marketing et de la communication, le Club des Annonceurs a souhaité poursuivre la réflexion pour se pencher sur la meilleure façon, dans ce contexte de mutation, de piloter la marque aujourd’hui.
Quels sont les enjeux pour une marque aujourd’hui ? Quels sont les indicateurs, les KPI clés qui permettent de la piloter ? Vont-ils et doivent-ils évoluer ? Pour mesurer quoi ? Comment les métiers s’y adaptent-ils ? Avec quels types d’experts, prestataires, partenaires travailler ? Comment s’articulent les responsabilités et zones d’influence dans l’organisation des entreprises? Telles sont les questions posées par la nouvelle étude qualitative et quantitative menée en collaboration avec TNS Sofres auprès des annonceurs, par le biais d’interviews en one to one pour 25 d’entre eux, puis via un questionnaire envoyé à 200 professionnels, responsables de marque, de marketing et /ou communication.
Relevons le défi de la transformation digitale !AKOR consulting
Dans un monde en mutation, à l'heure de la transformation numérique, comment faire évoluer sa culture d'entreprise ? Vers quelle mode de gouvernance tendre ? Comment réussir ce challenge et ce changement de paradigme ?
Se présentant lui-même comme un geek, attiré par la technologie et la programmation, Brian SOLIS (son blog est consultable ici), Principal analyst chez ALTIMETER GROUP, nous a fait l’immense plaisir d’intervenir lors d’une visio-conférence organisée dans le cadre du MSc e-Business Manager de l’ISTA.
Tenue au campus de la Fonderie à Mulhouse, le thème de l’échange était le suivant : Vision prospective des réseaux sociaux.
Retour sur 3 idées clés...
Similaire à Révolution relation...5 ans après (20)
SHOWRUN - Développez le pouvoir d'engagement de votre start-upStephane Lautissier
Et si votre start-up avait oublié l'essentiel ? L'art de cultiver son engagement et son addiction ? Petite mise en perspective de l'esprit SHOWRUN appliquée au monde des affaires...
2. Intro
Ça y est ? Déjà 5 ans depuis « Révolution
relation »…Et si on faisait un petit point ?
Ok ok je me dépêche… Bientôt, cela fera plus de
cinq en fait…Et oui que le temps passe vite…
Même si la lenteur étant par opposition ce qui
permet de mieux faire de manière efficace et
créative. « Réfléchir lentement, agir vite »
comme dit le proverbe.
Alors qu’est ce qui a changé? Qu’est ce qui
matérialisé? Qu’est ce qui s’est développé, a Ce
qui prolongé l’analyse? Ce qui n’a pas été
prévu?
Pourquoi un petit retour sur cette période ?
Parce que la rémanence et circularité sont la
base de la pédagogie de la connaissance (de son
marketing, oh comme vous y allez).
Bref exercice de mise en perspective, humble et
précise à la fois…
3. 8 points
1. Le business, une histoire d’engagement…officielle
2. Le « growth hacking », la preuve de la nécessité
d’artisanat chez le marketer
3. Après l’extension de garantie, l’extension des
utilités (de la marque)
4. Dans monde liquide, la redéfinition de la marque
en agenceur
5. La logique de « DJ » et l’engagement par le Mojo
6. L’accélération de l’innovation… et les enjeux de
contribution
7. Mindfullness : Le défi au niveau RH
8. La culture comme actif croissant des entreprises
4. Le business,
une histoire d’engagement
Que nous apprend la 2e vague de start-up (après celle de
1999-2001)
On assiste à un nouveau modèle de pilotage : « créer de la
traction ». Le business plan importe peu, ce qui compte c’est
démontrer sa capacité à créer de l’intérêt, de l’activation, de
manière régulière
En résumé : dessiner les contours d’une audience, voire d’une
communauté
La relation est une composante essentielle ; la transaction
disparaît. L’achat s’effectue en capitalisant sur une relation déjà
pré-existante, qui se travaille, se renforce et qui peut donner lieu
quand une inscription s’est faite dans le paysage mental et social
de l’individu (voir Skype).
5. Le « growth hacking nécessité d’artisanat »ch, elza lper meaurvek dete elra
Le petit dernier des techniques marketing se fraye un chemin
« sonore » : tout pour la croissance, celle des usages avant celle du
chiffre d’affaires (même si…). C’est parti donc pour la course à la
croissance…L’approche a le mérite de mettre l’accent sur les
mécaniques d’appropriation, donc de dynamique sociales.
A partir de là, il convient de se concentrer sur produire : des
usages… de l’assurance…de l’affinitaire…du tremplin…pour mieux
transformer l’usage en achat…et donc les fans en clientèle
(partielle). Cette mécanique de flux et de reflux autour de
l’investissement progressif : à la fois de manière intime et
personnelle, à la fois de manière collective et grégaire.
C’est l’émergence d’une nouvelle subtilité : le design d’engagement
permet d’arriver à accompagner la croissance des usages. Donc à
« contaminer » positivement (et avec le sourire).
6. Après l’extension de garantie,
l’extension des utilités (de la marque)
Pendant très longtemps, l’offre marketing et la marque repose sur
une simple logique fonctionnelle (produit / services + services
annexes) et émotionnelle (publicité, communication, design).
L’agilité et la « liquidité » (voir Baumann) du monde impose un
accompagnent plus ambitieux et à la hauteur de nouveaux besoins et
de nouvelles aspirations issues des adaptations des individus.
On a vu l’émergence d’extension du domaine de l’activité des
marques, au delà de leur périmètre d’offre classique. Les concept de
justice et de générosité ont fait leur apparition dans la littérature
marketing. Le développement de la brand utility indique l’arrivée de
Service ou contenu de marque qui délivre une information utile ou
pratique au consommateur. La marque rend directement service,
dans l’espoir de créer un attachement plus durable.
7. la redéfinDitaionns udne lmao mndaer lqiqueu idene, a genceur
Dans un monde qui apparaît de plus en plus stratifié et appelant des
aptitudes d’agilité et de ressources créatives, les individus ont de plus en
plus besoin de passerelles pour mener à bien leurs projets.
De leur côté, les organisations ne sont pas en reste avec les besoin d’Open
innovation (ou innovation collaborative) pour arriver à relever le défi de
la création de valeur en temps réel.
L’émergence du financement participatif et l’accélération de la
participation des clients devenus acteurs contributifs pointe l’importance
de la marque, non plus comme diffuseur mais comme agenceur. Les
incubateurs de marque démontrent l’importance d’héberger et
d’accompagner les talents. Le succès de partenariats et d’expériences
autour de projets collaboratifs (voir Orange Rock Corps par exemple)
illustre ce positionnement attendu. KLM ou Ikea démontrent à travers
une palette d’expériences et de services (Must See Map, Meet and seat
pour le 1er – les aires de siestes, le covoiturage et la textilerie pour le 2e)
les contours de ce nouveau rôle.
8. La logique de « DJ » et
l’engagement par le mojo
Une des principales ruptures concernent le pilotage stratégique. La
plupart des entreprises rencontrent une rupture managériale : soit elle
bascule dans une logique financière, de rentabilisation des actifs (logique
de rente, dont très peu de secteurs sont concernés à part l’énergie, l’eau,
les transports, le crédit, les produits de première nécessité…) ; soit elle
sont obligés de trouver les moyens de renouveler leur création de valeur
face à des environnements et des clients particulièrement changeants.
Sauf à vendre à court terme (ce qui est un modèle en vogue chez les
entrepreneurs à court terme), le pilotage nécessite donc de nouveaux
traits stratégiques.
A la façon d’un artiste (mix entre performeur et marketer de sa propre
création) ou d’un Steve Jobs capable d’anticiper l’évolution des besoins
(en passant de l’iMac à l’Ipad en moins de dix ans avec des étapes ipod et
iphone), les dirigeants devront être capable de sentir et de suivre son
public pour être capable de l’accompagner. Les prochains grands leaders
seront ceux qui auront ce talent intuitif : l’art de respecter le mojo
9. L’accélération de l’innovation…
et les enjeux de contribution
Le monde devient plus changeant… les organisations pilotent à
très court terme. Pour faire face à cette incertitude, les équipes
ont plus que jamais besoin de collaboration, entre entreprises, afin
de diminuer les risques, mais aussi entre entreprise et parties
prenantes, afin de mieux gérer les basculements d’opinion et les
déficits d’engagement.
Les défis d’innovation amènent donc sur la table un autre enjeu :
celui de la contribution. Comment l’intégrer à l’activité ?
Comment la manager ? Comment la récompenser ? Pour l’un des
penseurs actuels, Bernard Stiegler, « le taylorisme est mort. Il n’y
a pas d’autres choix que de réaliser l’économie de la
contribution. » L
es tensions sur la classe moyenne et le pouvoir d’achat rejoignent
de manière convergente les enjeux de valorisation. Ou autrement
dit…Sans contribution, pas d’innovation…Et pas de
consommation.
10. Mindfullness :
Le défi au niveau RH
La qualité de vie au travail est l’un des grands sujets qui s’est affirmée ces
cinq dernières années. Et cela ne devrait pas s’arrêter là… Le
développement personnel fait son chemin (voir les chargés de
Mindfullness notamment) en parallèle d’un accroissement notable des cas
de burn-out.
La question posée donc dans RR, était donc autour de la substance
relationnelle : quel type d’échanges, quelle ambiance de travail, quel type
d’organisation de travail, quel niveau de confiance installé dans
l’entreprise… ? FAVI et les entreprises libérées (voir le livre d’Isaac Getz)
ne sont pas encore devenues mainstream. En parallèle, les départements
RH ont de plus en plus de mal à recruter « juste » (et souvent pérenne). CE
qui nous a valu d’intéresser un certain nombre de départements RH (qui
re-découvrent le marketing RH…)
Pour finir, le développement du plaisir au travail et de la mindfullness
indique une aspiration à la plénitude, qui passe certes par le
développement personnel…mais aussi par le développement
interpersonnel. Etant des êtres interdépendants, l’erreur serait de croire
qu’il peut y avoir un bien être personnel sans bien être relationnel…
11. La culture comme actif
croissant des entreprises Du coup, le pari de Tony Hsieh risque d’être particulièrement payant… et
précurseur. « Crée votre culture, le business suivra » risque fort de
ressembler à un apotre dans la lignée de Steve Jobs, prêchant poru le
design dans le désert… avant de se voir sanctifié de son vivant.
Au niveau des entreprises, trois départements stratégiques ont tout
intérêt à se renforcer à ce niveau là : le marketing qui est l’entité la plus à
même d’investir dans la capacité à engager. La culture servant d’agent
fédérateur de la communauté
Le Management et les Ressources Humaines où la culture d’entreprise
est historiquement essentielle
Le R&D et l’innovation (surtout si elle est open) afin de créer de la
préférence de contribution
Sans oublier au plus haut niveau… la direction générale et ses choix
stratégiques : l’activité évoluant sans cesse, la marque et sa traduction
culturelle sont les plus crédibls, Comme dit Hsieh, sa culture, devient son
principal actif…
12. A dans
5 ans !
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