2. Rappel des orientations 2015
Budget Principal
Dépenses fonctionnement Recettes fonctionnement
Charges à caractère général +1%
Charges de personnel +2%
Subventions aux associations plafonnées à 1M€
TASCOM +5% en 2015 et 2016
1
La prospective financière
3. DOB 2015 (janvier 2015) en K€ (2M€ de recettes à trouver)
Année 2014 2015 2016 2017 2018 2019
Ep. Nette 5.318 3.649 3.011 990 904 1.057
2M€ rec -2.000 -2.000 -2.000 -2.000
Ep. Nette
retraitée
5.318 3.649 1.011 -1.010 -1.096 -943
Prospective juin 2015
Actualisation de la prospective juin
2015
2
Année 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Ep. Nette 6.517 3.647 2.065 566 14 -883 -2.185 -3.334
5. Création du budget annexe collecte et valorisation des déchets 01/15
Évolution de la prospective actualisée
Budget Principal
4
Versement d’une subvention d’équilibre au budget annexe :
1,8M€ par an
L’équilibre du service par la TEOM impliquerait une hausse du
taux de +20% soit un taux passant de 7,66% à 9,19%
Financement des investissements futurs du service par la
TEOM
QUELLES ÉVOLUTIONS DEPUIS LE DOB 2015 ?
6. BAISSE DES DOTATIONS D’ETAT CONFIRMEE :
En K€ 2014 2015 2016 2017 2018 2018/2013
Gel de l'enveloppe normée / péréquation -146 -137 -218 -85 -87 -673
Contribution au redressement des fin. Publ. -500 -1 273 -1 309 -1 312 0 -4 394
baisse annuelle -646 -1 410 -1 527 -1 397 -87 -5 067
Montant DGF 15 635 14 225 12 698 11 302 11 215
Évolution de la prospective actualisée
Budget Principal
QUELLES ÉVOLUTIONS DEPUIS LE DOB 2015 ?
DOB 2015
Juin 2015
5
• 10% des recettes réelles de fonctionnement du budget principal
retraitées des atténuations de produits (DAC et FNGIR)
• 140 postes
• 20% d’augmentation de fiscalité
En K€ 2014 2015 2016 2017 2018 2018/2013
Gel de l'enveloppe normée / péréquation -146 12 -192 -193 -290 -809
Contribution au redressement des fin. Publ. -500 -1 288 -1 325 -1 040 0 -4 153
baisse annuelle -646 -1 276 -1 517 -1 233 -290 -4 962
Montant DGF 15 634 14 358 12 841 11 608 11 318
5M€ de recettes
en moins =
7. Évolution de la prospective actualisée
Budget Principal
GESTION DE LA DETTE :
o Arbitrage sur la durée de l’emprunt en raison de la validation du projet
de centre inter administratif et des opportunités sur les taux longs
o emprunt à 30 ans à 2,5% pour financer ce projet
o emprunt à 15 ans pour financer le reste du PPI
QUELLES ÉVOLUTIONS DEPUIS LE DOB 2015 ?
6
2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
2% 2.5% 2.5% 3% 3% 3% 3%
8. Évolution de la prospective actualisée
Budget Principal
EVOLUTION DU NIVEAU D’INVESTISSEMENT (EN M€) :
Le PPIF révisé en mai est intégré en totalité dans la prospective, le
montant des dépenses nettes d’investissement est de 123M€ sur la
période 2014-2021, intégrant outre le PPI, 15M€ au titre du PLH4
(provision) et 1M€ de dépenses supplémentaires par an pour le pluvial.
2014-2021
En M€ DOB 2015
Prospective
juin 2015
Prospective
juin 2015
Dépenses brutes d'investissement 98 119 165
Recettes d'investissement 23 36 42
Dépenses nettes d'investissement 75 83 123
2014-2018
7
9. Évolution de la prospective actualisée
Budget Principal
EVOLUTION DU NIVEAU D’INVESTISSEMENT (EN K€) :
Pour financer ces investissements, au vue de la baisse des dotations
d’Etat, il faut améliorer l’excédent brut courant (RF-DF).
Le DOB 2015 prévoyait la recherche de 2M€ de recettes nouvelles sur
2016/2017.
8
Année 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Dép nettes
DOB 2015
15.000 21.100 19.050 14.600 5.600 3.900
Dép nettes
juin 2015
10.322 22.300 22.100 14.850 13.450 17.400 14.200 8.400
10. Rappel du DOB 2015
Extrait du DOB 2015 (Page 23)
Les recettes nécessaires à l’équilibre de la prospective
La prospective intègre 2 M€ de ressources annuelles supplémentaires en 2016-2017
indispensables à l’équilibre financier en fin de période.
Ce volume de ressources peut être atteint en ayant recours à différents leviers, les options
sont déclinées ci-après et devront au cours de l’année 2015 faire l’objet d’arbitrages et
de délibérations.
Ces 2M€ de recettes supplémentaires si elles étaient recherchée sur la fiscalité ménages
correspondraient à deux augmentation de +5% en 2016 et 2017.
A ces 2 M€ de recettes supplémentaires pourraient se substituer 2M€ de dépenses en
moins dès 2016 par un arbitrage sur le Pacte de solidarité territoriale, financière et
fiscale ou encore une réorientation du Fonds de Péréquation des Ressources
Intercommunales et Communales au profit de l’Agglomération.
Le taux de TEOM pourrait également être augmenté de +5% en 2016 et 2017 et la
fiscalité ménages de +5% en 2016.
Il pourrait être envisagé de mettre en place une redevance incitative en 2016, ce qui
permettrait de dégager 1M€ de marge sur le budget principal. Cette mesure
accompagnée d’une hausse de fiscalité de +5% en 2017 assurerait l’équilibre financier.
9
11. Hypothèse d’équilibre n°1
« Fiscalité »
Impact BP 2016 Impact sur l’Épargne
nette 2021
Recettes de fonctionnement :
Hausse de la fiscalité ménages de :
+5% en 2016 taux TH 13,20% → 13,86%
+5% 2017 taux TH 13,86% → 14,55%
Impact dès 2016 + 3 400K€
Année 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Ep. nette 6.517 3.647 3.080 2.780 2.549 1.917 905 72
Prospective équilibrée jusqu’en 2020
10
12. Hypothèse d’équilibre n°2
« Fiscalité et FCF »
Impact BP 2016 Impact sur l’Épargne
nette 2021
Recettes de fonctionnement :
Hausse de la fiscalité ménages de +5% en
2016
Impact dès 2016 + 1 700K€
Dépenses de fonctionnement :
Réduction du Fonds communautaire de
fonctionnement d’1M€ (aujourd’hui 2M€)
Impact dès 2016 + 1 400K€
Année 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Ep. nette 6.517 3.647 4.080 2.736 2.386 1.713 656 -227
Prospective équilibrée jusqu’en 2020
11
13. Hypothèse d’équilibre n°3
« Fiscalité et FPIC »
Impact BP 2016 Impact sur l’Épargne
nette 2021
Recettes de fonctionnement :
Hausse de la fiscalité ménages de +5% en
2016
Impact dès 2016 + 1 700K€
Si croissance du FPIC en 2016 (+1M€)
comme prévu par la loi, affectation de
100% de la croissance à SBA
Impact dès 2016 + 1 400K€
Année 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Ep. nette 6.517 3.647 4.080 2.736 2.386 1.713 656 -227
Prospective équilibrée jusqu’en 2020
12
14. Indicateurs
H1
Fiscalité (+10%)
H2
Fiscalité (+5%)
et FCF (-1M€)
H3
Fiscalité (+5%)
et FPIC (+1M€)
Epargne nette en 2021 72 -227 -227
Excédent brut courant
(Recettes courantes-charges courantes)
Maîtrisé et
stabilisé
Maîtrisé et
stabilisé
Maîtrisé et
stabilisé
Délai de désendettement en
2021
13,1 ans 13,7 ans 13,7 ans
Couverture des amortissements
en 2021
0,9 0,9 0,9
Scénarios d'équilibre
13
La prospective financière - Synthèse
15. • Les dispositifs d’aide aux associations, aux
particuliers et aux entreprises
• Les prestations à l’usager
• Les participations aux organismes et satellites
14
La prospective financière
Faut-il repenser les politiques publiques de
Saint-Brieuc Agglomération ?
16. Cadrage budgétaire 2016
Budget Principal
Nature de dépenses Cadrage BP2016
Charges à caractère général
CA 2014
(-exceptionnel 2014+ nouveautés 2015)
Charges de personnel
Stabilité des effectifs
2016 +3,7% (effet report 2015) puis +2%
Subventions et participations
Subventions aux associations 1M€
Participations à divers organismes : maîtrise
des budgets des satellites
15
17. Impact sur
l’Épargne nette
2021
Sur les dépenses de fonctionnement :
Évolution des charges à caractère général de +2%/an au lieu de +1% /an (2016-2021)
(+1% sur les charges à caractère général représente 80K€ de dépenses)
-600 K€
Évolution des charges de personnel à +4% par an au lieu de +2% (2017-2021)
(+1% sur les charges de personnel représente 120K€ de dépenses)
- 1 600 K€
Sur les recettes de fonctionnement :
Impôts ménages +1% sur les taux en 2016 (+200K€ de produit) +350 K€
TEOM +1% sur le taux en 2016 soit passer de 7,66% à 7.74% (+90K€ de produit) Budget annexe
Impôts économiques : augmentation maxi +0,42% sur CFE (+46K€ de produit)
Le taux de CFE passerait de 28,61% à 28,73%
+73 K€
FPIC : hypothèse de poursuite de l’évolution en 2016 répartition de droit commun
(+350K€)
+ 575K€
Sur les dépenses d’investissement :
Retrait d’1projet d’investis. de 3M€ de dépenses nettes (sans charges fonction. induites) +300K€
16
Aléas et tests de sensibilité
Notes de l'éditeur
Ce tableau recense les orientations prises en terme d’évolution des recettes et dépenses de fonctionnement présentées dans le cadre du Débat d’Orientations Budgétaires (DOB) le 16 janvier 2014. Les orientations budgétaires 2014 étaient déjà marquées par un contexte de contraintes sur les recettes de fonctionnement et notamment par le gel puis la baisse des dotations d’Etat annoncées en 2013 à hauteur de 4,5Mds au niveau national.
Afin de faire face à ces contraintes, une maîtrise des charges de fonctionnement a été amorcée ; il a été décidé de réduire l’évolution des charges à caractère général à +4% contre +5% auparavant et les charges de personnel à +3% contre +4,5% au DOB 2013. L’équilibre financier induisait également de contenir l’enveloppe des subventions aux associations à hauteur d’1,2M€ en 2014 puis 1M€ en 2015. Enfin, des ressources supplémentaires permettaient le bouclage de la prospective financière qui intégrait une augmentation de la Taxe sur les Surfaces Commerciales (TASCOM) en 2014, 2015 et 2016.
Au moment de la définition des orientations budgétaires, l’impact de la réforme de la base minimum de Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) n’était pas connu (perte de produit de 192K€ en 2014).
La chaîne de l’épargne est un outil d’analyse financière couramment utilisé par les collectivités.
L’épargne nette correspond aux ressources dégagées par le fonctionnement une fois prélevée la charge de la dette qui est une dépense obligatoire. Une épargne nette négative signifierait que la collectivité n’est pas en mesure de dégager suffisamment de ressources en fonctionnement pour rembourser ses emprunts.
La chaîne de l’épargne du DOB 2014 présentait une épargne nette positive à hauteur de 690K€ à horizon 2018.
La prospective a été mise à jour au cours de l’été 2014 afin de tenir compte :
- du CA 2013
- de l’estimation du CA 2014
- d’une évolution au fil de l’eau pour les années 2015-2018 (maintien des orientations budgétaires du DOB 2014 notamment hausse de la TASCOM et baisse des subventions aux associations et prises en compte des évolutions connues)
de la prise en compte des dépenses et recettes d’investissement correspondant aux coûts partis du PPI actualisé (les dépenses nettes d’investissement intégrées à la prospective représentent 102 M€ soit 95% du PPI )
La prospective actualisée présente aujourd’hui une épargne nette négative à hauteur de 6M€ à horizon 2018.
Nous allons analyser les raisons de cette dégradation de la prospective financière de l’Agglomération.
La chaîne de l’épargne est un outil d’analyse financière couramment utilisé par les collectivités.
L’épargne nette correspond aux ressources dégagées par le fonctionnement une fois prélevée la charge de la dette qui est une dépense obligatoire. Une épargne nette négative signifierait que la collectivité n’est pas en mesure de dégager suffisamment de ressources en fonctionnement pour rembourser ses emprunts.
La chaîne de l’épargne du DOB 2014 présentait une épargne nette positive à hauteur de 690K€ à horizon 2018.
La prospective a été mise à jour au cours de l’été 2014 afin de tenir compte :
- du CA 2013
- de l’estimation du CA 2014
- d’une évolution au fil de l’eau pour les années 2015-2018 (maintien des orientations budgétaires du DOB 2014 notamment hausse de la TASCOM et baisse des subventions aux associations et prises en compte des évolutions connues)
de la prise en compte des dépenses et recettes d’investissement correspondant aux coûts partis du PPI actualisé (les dépenses nettes d’investissement intégrées à la prospective représentent 102 M€ soit 95% du PPI )
La prospective actualisée présente aujourd’hui une épargne nette négative à hauteur de 6M€ à horizon 2018.
Nous allons analyser les raisons de cette dégradation de la prospective financière de l’Agglomération.
La chaîne de l’épargne est un outil d’analyse financière couramment utilisé par les collectivités.
L’épargne nette correspond aux ressources dégagées par le fonctionnement une fois prélevée la charge de la dette qui est une dépense obligatoire. Une épargne nette négative signifierait que la collectivité n’est pas en mesure de dégager suffisamment de ressources en fonctionnement pour rembourser ses emprunts.
La chaîne de l’épargne du DOB 2014 présentait une épargne nette positive à hauteur de 690K€ à horizon 2018.
La prospective a été mise à jour au cours de l’été 2014 afin de tenir compte :
- du CA 2013
- de l’estimation du CA 2014
- d’une évolution au fil de l’eau pour les années 2015-2018 (maintien des orientations budgétaires du DOB 2014 notamment hausse de la TASCOM et baisse des subventions aux associations et prises en compte des évolutions connues)
de la prise en compte des dépenses et recettes d’investissement correspondant aux coûts partis du PPI actualisé (les dépenses nettes d’investissement intégrées à la prospective représentent 102 M€ soit 95% du PPI )
La prospective actualisée présente aujourd’hui une épargne nette négative à hauteur de 6M€ à horizon 2018.
Nous allons analyser les raisons de cette dégradation de la prospective financière de l’Agglomération.
La dégradation de la prospective financière s’explique tout d’abord par la forte augmentation de l’effort demandé aux collectivités locales pour contribuer au redressement des finances publiques. La baisse des dotations annoncée dans un premier temps à hauteur de 4,5Mds€, s’établit désormais à 12,5Mds€ sur la période 2014-2018 ce qui correspond à une diminution des dotations aux collectivités de 30%.
Saint-Brieuc Agglomération subit une perte de dotations de 5M€ si l’on compare le montant perçu en 2018 à celui perçu en 2013. Ces 5M€ représentent 10% des recettes de fonctionnement du budget principal (retraitées des atténuations de produits : DAC, FNGIR). Si l’on cumule les pertes de dotations subies chaque année entre 2014 et 2018, ce sont plus de 16M€ dont l’Agglomération sera privée sur son budget.
C’est une réduction des ressources des collectivités sans précédent.
Partant du principe que 80K€ de recettes de fonctionnement permettent de financer 1M€ d’investissement, perdre 5M€ de recettes de fonctionnement revient à renoncer à plus de 60M€ d’investissement.
L’évolution moyenne des impôts et taxes est de 2,6% par an sur la période 2013-2018 alors qu’elle était estimée à plus de 3,5% dans le DOB 2014.
Dès la notification des impôts et taxes 2014, nous avons constaté une diminution de la dynamique des produits fiscaux. L’écart entre les produits estimés au DOB 2014 et les montants notifiés est de plus de 500 K€.
Cette perte de ressources s’explique principalement par : une moindre dynamique des bases fiscales liée d’une part au coefficient d’actualisation fixé par la Loi de Finances 2014 à 0,9% contre 1,8% les deux années précédentes et d’autres part à un ralentissement de l’évolution physique des bases lié à un contexte économique peu favorable (baisse des constructions et des créations d’entreprises).
Dans un contexte de risque de déflation, la Loi de Finances 2015 pourrait fixer un coefficient d’actualisation nul ce qui viendrait encore pénaliser les collectivités locales en les privant d’une partie de la croissance de leurs ressources.
L’impact des nouvelles bases minimum, votées en conseil d’agglomération le 16 janvier 2014, est estimé à - 192 K€ pour 2014.
Pour mémoire sans décision du conseil communautaire, l’application en 2014 de la réforme aurait engendré une perte de recettes de l’ordre de -526 K€.
Le DOB 2014 intégrait 78M€ de dépenses nettes d’investissement représentant 70% du Programme Pluriannuel d’Investissement (PPI).
Les dépenses nettes d’investissement correspondent aux dépenses brutes d’investissement diminuées des ressources d’investissement telles que les subventions, la TVA, … il s’agit du reste à charge de la collectivité.
La prospective de juillet 2014 intègre 102M€ de dépenses nettes d’investissement soit 95% du PPI.
Les opérations qui ont été intégrées dans la prospectives sont celles qui sont suffisamment avancées pour pouvoir être lancées à court terme. Il faut par conséquent mesurer leur impact sur l’équilibre financier en tenant compte à la fois de la dépense qu’elles représentent en investissement mais également de l’impact en fonctionnement. Certains investissements génèrent des charges de fonctionnement (personnel, entretien) alors que d’autres peuvent être en partie financés par des économies de fonctionnement (ex le siège).
Les 102M€ de dépenses nettes d’investissement dépassent la capacité d’investissement de l’Agglomération, il sera par conséquent nécessaire de travailler sur le PPI.
Le DOB 2014 intégrait 78M€ de dépenses nettes d’investissement représentant 70% du Programme Pluriannuel d’Investissement (PPI).
Les dépenses nettes d’investissement correspondent aux dépenses brutes d’investissement diminuées des ressources d’investissement telles que les subventions, la TVA, … il s’agit du reste à charge de la collectivité.
La prospective de juillet 2014 intègre 102M€ de dépenses nettes d’investissement soit 95% du PPI.
Les opérations qui ont été intégrées dans la prospectives sont celles qui sont suffisamment avancées pour pouvoir être lancées à court terme. Il faut par conséquent mesurer leur impact sur l’équilibre financier en tenant compte à la fois de la dépense qu’elles représentent en investissement mais également de l’impact en fonctionnement. Certains investissements génèrent des charges de fonctionnement (personnel, entretien) alors que d’autres peuvent être en partie financés par des économies de fonctionnement (ex le siège).
Les 102M€ de dépenses nettes d’investissement dépassent la capacité d’investissement de l’Agglomération, il sera par conséquent nécessaire de travailler sur le PPI.
Le DOB 2014 intégrait 78M€ de dépenses nettes d’investissement représentant 70% du Programme Pluriannuel d’Investissement (PPI).
Les dépenses nettes d’investissement correspondent aux dépenses brutes d’investissement diminuées des ressources d’investissement telles que les subventions, la TVA, … il s’agit du reste à charge de la collectivité.
La prospective de juillet 2014 intègre 102M€ de dépenses nettes d’investissement soit 95% du PPI.
Les opérations qui ont été intégrées dans la prospectives sont celles qui sont suffisamment avancées pour pouvoir être lancées à court terme. Il faut par conséquent mesurer leur impact sur l’équilibre financier en tenant compte à la fois de la dépense qu’elles représentent en investissement mais également de l’impact en fonctionnement. Certains investissements génèrent des charges de fonctionnement (personnel, entretien) alors que d’autres peuvent être en partie financés par des économies de fonctionnement (ex le siège).
Les 102M€ de dépenses nettes d’investissement dépassent la capacité d’investissement de l’Agglomération, il sera par conséquent nécessaire de travailler sur le PPI.
Afin de rétablir l’équilibre de la prospective financière et de garantir l’équilibre financier de Saint-Brieuc Agglomération à moyen terme, il convient d’étudier plusieurs hypothèses utilisant différents leviers pour rétablir une situation équilibrée.
L’hypothèse n°1 repose sur le fonctionnement, l’équilibre est rétabli en actionnant à la fois la maîtrise des charges de fonctionnement et sur l’évolution des recettes.
L’évolution des charges de personnel est plafonné à +2% par an contre +3% dans la prospective actualisée ce qui permet d’améliorer l’épargne nette de +600K€ à horizon 2018. De la même manière, la maîtrise des charges à caractère général permet de réduire leur évolution à +1% par an contre +4% dans la prospective actualisée ce qui permet d’améliorer l’épargne nette de +1 250K€ en fin de période.
Enfin, l’équilibre est obtenu par l’augmentation des recettes, par le recours à la fiscalité.
Pour obtenir une épargne nette positive à hauteur d’1,4M€ en fin de période, il faut augmenter la fiscalité ménages de +5% par an pendant 4 ans de 2015 à 2018.
D’autres leviers peuvent être utilisés en substitution de la fiscalité ménages.
+5% d’augmentation de la fiscalité ménages est équivalent à :
une baisse des dépenses dans le cadre d’une révision du Pacte de Solidarité Territoriale, Financière et Fiscale au sens large c’est-à-dire incluant le FPIC. Une baisse des dotations aux communes d’1M€ a le même impact sur la prospective qu’une augmentation de la fiscalité ménages de +5%.
une hausse de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) de +5% en 2015 et +5% en 2016 ou la mise en place d’une redevance incitative permettant de dégager 1M€ de ressources sur le budget principal, l’usager devant financer 100% du service.
Afin de rétablir l’équilibre de la prospective financière et de garantir l’équilibre financier de Saint-Brieuc Agglomération à moyen terme, il convient d’étudier plusieurs hypothèses utilisant différents leviers pour rétablir une situation équilibrée.
L’hypothèse n°1 repose sur le fonctionnement, l’équilibre est rétabli en actionnant à la fois la maîtrise des charges de fonctionnement et sur l’évolution des recettes.
L’évolution des charges de personnel est plafonné à +2% par an contre +3% dans la prospective actualisée ce qui permet d’améliorer l’épargne nette de +600K€ à horizon 2018. De la même manière, la maîtrise des charges à caractère général permet de réduire leur évolution à +1% par an contre +4% dans la prospective actualisée ce qui permet d’améliorer l’épargne nette de +1 250K€ en fin de période.
Enfin, l’équilibre est obtenu par l’augmentation des recettes, par le recours à la fiscalité.
Pour obtenir une épargne nette positive à hauteur d’1,4M€ en fin de période, il faut augmenter la fiscalité ménages de +5% par an pendant 4 ans de 2015 à 2018.
D’autres leviers peuvent être utilisés en substitution de la fiscalité ménages.
+5% d’augmentation de la fiscalité ménages est équivalent à :
une baisse des dépenses dans le cadre d’une révision du Pacte de Solidarité Territoriale, Financière et Fiscale au sens large c’est-à-dire incluant le FPIC. Une baisse des dotations aux communes d’1M€ a le même impact sur la prospective qu’une augmentation de la fiscalité ménages de +5%.
une hausse de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) de +5% en 2015 et +5% en 2016 ou la mise en place d’une redevance incitative permettant de dégager 1M€ de ressources sur le budget principal, l’usager devant financer 100% du service.
Afin de rétablir l’équilibre de la prospective financière et de garantir l’équilibre financier de Saint-Brieuc Agglomération à moyen terme, il convient d’étudier plusieurs hypothèses utilisant différents leviers pour rétablir une situation équilibrée.
L’hypothèse n°1 repose sur le fonctionnement, l’équilibre est rétabli en actionnant à la fois la maîtrise des charges de fonctionnement et sur l’évolution des recettes.
L’évolution des charges de personnel est plafonné à +2% par an contre +3% dans la prospective actualisée ce qui permet d’améliorer l’épargne nette de +600K€ à horizon 2018. De la même manière, la maîtrise des charges à caractère général permet de réduire leur évolution à +1% par an contre +4% dans la prospective actualisée ce qui permet d’améliorer l’épargne nette de +1 250K€ en fin de période.
Enfin, l’équilibre est obtenu par l’augmentation des recettes, par le recours à la fiscalité.
Pour obtenir une épargne nette positive à hauteur d’1,4M€ en fin de période, il faut augmenter la fiscalité ménages de +5% par an pendant 4 ans de 2015 à 2018.
D’autres leviers peuvent être utilisés en substitution de la fiscalité ménages.
+5% d’augmentation de la fiscalité ménages est équivalent à :
une baisse des dépenses dans le cadre d’une révision du Pacte de Solidarité Territoriale, Financière et Fiscale au sens large c’est-à-dire incluant le FPIC. Une baisse des dotations aux communes d’1M€ a le même impact sur la prospective qu’une augmentation de la fiscalité ménages de +5%.
une hausse de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) de +5% en 2015 et +5% en 2016 ou la mise en place d’une redevance incitative permettant de dégager 1M€ de ressources sur le budget principal, l’usager devant financer 100% du service.
Ce tableau recense les orientations prises en terme d’évolution des recettes et dépenses de fonctionnement présentées dans le cadre du Débat d’Orientations Budgétaires (DOB) le 16 janvier 2014. Les orientations budgétaires 2014 étaient déjà marquées par un contexte de contraintes sur les recettes de fonctionnement et notamment par le gel puis la baisse des dotations d’Etat annoncées en 2013 à hauteur de 4,5Mds au niveau national.
Afin de faire face à ces contraintes, une maîtrise des charges de fonctionnement a été amorcée ; il a été décidé de réduire l’évolution des charges à caractère général à +4% contre +5% auparavant et les charges de personnel à +3% contre +4,5% au DOB 2013. L’équilibre financier induisait également de contenir l’enveloppe des subventions aux associations à hauteur d’1,2M€ en 2014 puis 1M€ en 2015. Enfin, des ressources supplémentaires permettaient le bouclage de la prospective financière qui intégrait une augmentation de la Taxe sur les Surfaces Commerciales (TASCOM) en 2014, 2015 et 2016.
Au moment de la définition des orientations budgétaires, l’impact de la réforme de la base minimum de Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) n’était pas connu (perte de produit de 192K€ en 2014).
Ce tableau recense les orientations prises en terme d’évolution des recettes et dépenses de fonctionnement présentées dans le cadre du Débat d’Orientations Budgétaires (DOB) le 16 janvier 2014. Les orientations budgétaires 2014 étaient déjà marquées par un contexte de contraintes sur les recettes de fonctionnement et notamment par le gel puis la baisse des dotations d’Etat annoncées en 2013 à hauteur de 4,5Mds au niveau national.
Afin de faire face à ces contraintes, une maîtrise des charges de fonctionnement a été amorcée ; il a été décidé de réduire l’évolution des charges à caractère général à +4% contre +5% auparavant et les charges de personnel à +3% contre +4,5% au DOB 2013. L’équilibre financier induisait également de contenir l’enveloppe des subventions aux associations à hauteur d’1,2M€ en 2014 puis 1M€ en 2015. Enfin, des ressources supplémentaires permettaient le bouclage de la prospective financière qui intégrait une augmentation de la Taxe sur les Surfaces Commerciales (TASCOM) en 2014, 2015 et 2016.
Au moment de la définition des orientations budgétaires, l’impact de la réforme de la base minimum de Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) n’était pas connu (perte de produit de 192K€ en 2014).
Ce tableau recense les orientations prises en terme d’évolution des recettes et dépenses de fonctionnement présentées dans le cadre du Débat d’Orientations Budgétaires (DOB) le 16 janvier 2014. Les orientations budgétaires 2014 étaient déjà marquées par un contexte de contraintes sur les recettes de fonctionnement et notamment par le gel puis la baisse des dotations d’Etat annoncées en 2013 à hauteur de 4,5Mds au niveau national.
Afin de faire face à ces contraintes, une maîtrise des charges de fonctionnement a été amorcée ; il a été décidé de réduire l’évolution des charges à caractère général à +4% contre +5% auparavant et les charges de personnel à +3% contre +4,5% au DOB 2013. L’équilibre financier induisait également de contenir l’enveloppe des subventions aux associations à hauteur d’1,2M€ en 2014 puis 1M€ en 2015. Enfin, des ressources supplémentaires permettaient le bouclage de la prospective financière qui intégrait une augmentation de la Taxe sur les Surfaces Commerciales (TASCOM) en 2014, 2015 et 2016.
Au moment de la définition des orientations budgétaires, l’impact de la réforme de la base minimum de Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) n’était pas connu (perte de produit de 192K€ en 2014).