Présentation de Laure Lemaire (directrice Interface3), Nicole Lenoir (responsable des projets fracture numérique chez Interface3) et Colette De Buck (qui suit actuellement la formation Help desk chez Interface3).
4. Il existe une vraie fracture de genre au niveau de la maîtrise de l’outil informatique Les écarts sont plus importants pour les compétences les plus avancées : concevoir une page Web, écrire un programme. Source : enquête du SPF Emploi Travail et Concertation sociale : La fracture numérique en Belgique – 2006 - http://www.statbel.fgov.be/
5. Pourquoi les femmes boudent les professions informatiques? Elles ne les boudent pas partout dans le monde… En Malaisie, à l’université de Penang, 65% des étudiants en informatique et 7 professeurs sur 10 sont des femmes! En Europe et aux Etats-Unis, elles restent ultra-minoritaires parmi les professionnels de l’IT… La faute à ?
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10. Au cœur de Bruxelles, un centre de formation tente d’inverser la donne !
11. Historique et objet social d’Interface3 Un projet pour l’égalité des chances sur le marché du travail né il y a 20 ans, avec pour objectif de diversifier les choix professionnels des femmes et de leur proposer des formations dans des secteurs porteurs. Un axe prioritaire de développement: les métiers de l’informatique et des technologies de l’information et de la communication. Le point fort et la singularité d’Interface3: sa capacité à attirer les femmes vers les formations informatiques!
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14. 9 formations qualifiantes longues, des modules courts de formation aux TICs, 300 demandeuses d’emploi formés chaque année et un taux de mise à l’emploi moyen de 70%.
32. Des partenariats avec le monde des entreprises Des contacts étroits avec les entreprises pour les stages (150 entreprises chaque année). Une longue collaboration avec des Fonds Sectoriels (le Cefora, Le FEMB, le Fonds de Formation de la Chimie). des collaborations avec une série d’acteurs du secteur IT, tel qu’Agoria, IBM, Microsoft, Cisco, HP, SAP,… (projets communs, événements, sponsoring). Un réseau de femmes informaticiennes. Le projet Informaticienne d’un jour! (une cinquantaine d’entreprises ouvrent leurs portent aux élèves du secondaire)
33. Notre public 300 stagiaires formées chaque année; Des femmes demandeuses d’emploi entre 18 et 55 ans (moyenne d’âge – 33 ans); 34 nationalités différentes et une grande proportion de femmes belges issues de l’immigration; 7% CEB, 49% CESI (dont 16% de diplômes non reconnus en Belgique), 32% CESS, 12% gradués ou universitaires.
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35. Pour toutes et tous, favoriser la maîtrise des NTIC! Aller à la rencontre de partenaires originaux et accompagner une grande diversité de publics & d’associations, vers une plus grande autonomie face aux TIC. Deux niveaux d’actions complémentaires sont proposés aux écoles (institutrices & enfants, adolescentes) et aux asbl (femmes en alphabétisation, seniors, demandeuses d’emploi,….).
46. Cybersoda Instits : des formations à l’animation d’ateliers TICs Les projets au fil du temps : Cybersoda Instits 253 institutrices/teurs, animatrices/teurs du parascolaire formés sur 3 ans en communauté française Ecole communale Joseph Delclef, La Nouvelle Ecole, Eyadasbl, Progrès/cohésion, ……
48. Cybersoda dans les écoles en 2008 : 434 élèves ont bénéficiés d’ateliers dans leur classe ! Les projets au fil du temps : Cybersoda Instits Ecole Steyls: atelier avec les 2èmesprimaires
50. Cyber Senso : un appui logistique aux associations et des modules d’initiation pour des femmes de tous horizons Cybersenso 50 associations et 3.000 femmes touchées en Belgique entre 2001 et 2010
52. Informaticien-ne d’un jour ! Un projet de sensibilisation dans les écoles. 2008-2009-2010: 2500 élèves et 20 écoles!
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55. Les projets Explore et ADA - des projets de sensibilisation des femmes aux NTIC et de formation des femmes aux métiers de l’IT – 2001 à 2008, 7 partenaires en Belgique. Le réseaux DO IT, pour augmenter les compétences informatiques de tous, depuis 2005, 11 centres en Belgique, 20.000 personnes touchées à ce jour. Telecentre Europe – depuis 2008, un réseau d’espaces publics numériques (200 membres en provenance de 28 pays européens).