Conduite du changement : Etude de Cas IBMHELENE FRIEH
Etude de la conduite du changement chez IBM
Comprendre de quelle manière IBM est passé d'une entreprise veillissante à aujourd'hui un leader incontesté du Social Business.
Communications internes, levier pour faciliter le changement.PMI-Montréal
Description : En période de changement organisationnel, des enjeux de qualité du leadership, de compétences de gestion et de relations internes refont surface. La communication interne, partie intégrante d’une stratégie de gestion de changement, devient un pilier important pour faciliter le processus de transition.
Comment la gestion de changement peut-elle rendre une organisation agile?
Quels sont les bénéfices d’une stratégie de gestion de changement?
Comment l’entreprise peut-elle se préparer aux défis de l’avenir?
Magali Legault partagera les éléments clés pour une organisation prête à traverser les périodes de bouleversement.
Conduite du changement : Etude de Cas IBMHELENE FRIEH
Etude de la conduite du changement chez IBM
Comprendre de quelle manière IBM est passé d'une entreprise veillissante à aujourd'hui un leader incontesté du Social Business.
Communications internes, levier pour faciliter le changement.PMI-Montréal
Description : En période de changement organisationnel, des enjeux de qualité du leadership, de compétences de gestion et de relations internes refont surface. La communication interne, partie intégrante d’une stratégie de gestion de changement, devient un pilier important pour faciliter le processus de transition.
Comment la gestion de changement peut-elle rendre une organisation agile?
Quels sont les bénéfices d’une stratégie de gestion de changement?
Comment l’entreprise peut-elle se préparer aux défis de l’avenir?
Magali Legault partagera les éléments clés pour une organisation prête à traverser les périodes de bouleversement.
Analyser l'existant avant d'envisager l'avenir et la manière d'y arriver
Faire un « État des lieux » en équipe est un moyen d'aligner la vision que nous partageons sur notre entreprise, sur notre système, en interne et en externe.
Ressemble parfois à une psychothérapie de groupe nécessaire avant de se projeter. L'utilité c'est d'avoir partagé des mots, sur notre vécu
La Culture d'entreprise : Étude de cas sur AdidasAmine Moussouni
Présentation en économie d'entreprise sur le thème de la culture d'entreprise, également appelée culture organisationnelle, soutenue par une étude de cas sur l'entreprise allemande Adidas.
GUIDE DE COMMUNICATION A L’USAGE DES ASSOCIATIONSJamaity
La communication associative
La communication associative découle du concept assez controversé du
marketing associatif*. Quand on évoque ce concept, des voix s’élèvent souvent
pour le dénoncer car, justement, on l’associe au marketing commercial* et à ses
techniques de vente et de manipulation. Or, le marketing associatif, de par ses
objectifs en faveur de l’intérêt général, loin des objectifs commerciaux et financiers
du marketing* classique est avant tout une démarche. C’est un effort de réflexion qui
consiste à conjuguer trois variables : objectifs, cibles et moyens de communication
afin de permettre à l’association de cibler son public pour mieux communiquer avec
lui dans le but d’atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés.Aujourd’hui, cette démarche du marketing associatif semble incontournable au sein
des associations si elles veulent poursuivre leurs missions caritatives* et étendre
leurs actions. Dans cette logique, s’ensuit un autre concept non moins important :
La communication associative. Celle-ci s’impose pour plusieurs raisons :
- Elle garantit la visibilité, la notoriété* et la pérennité* des associations.
- Elle permet l’instauration d’un climat de confiance, d’échange et de partage entre
les différents acteurs aussi bien en interne qu’en externe.
- Elle permet aux associations de se démarquer les unes des autres pour collecter
des fonds, recruter des bénévoles et défendre leur cause.
Il s’agit, à terme, de donner au public l’envie de soutenir l’association. La
communication associative est, à ce titre, essentielle et plurielle puisqu’elle
varie en fonction de la spécificité de l’objet de chaque OSC. Il faut noter que les
associations n’ont pas besoin d’avoir une stratégie de communication élaborée
mais une méthode régulière de communication. La communication n’est pas figée,
elle est à repenser et à adapter à chaque contexte et à chaque objet
Analyser l'existant avant d'envisager l'avenir et la manière d'y arriver
Faire un « État des lieux » en équipe est un moyen d'aligner la vision que nous partageons sur notre entreprise, sur notre système, en interne et en externe.
Ressemble parfois à une psychothérapie de groupe nécessaire avant de se projeter. L'utilité c'est d'avoir partagé des mots, sur notre vécu
La Culture d'entreprise : Étude de cas sur AdidasAmine Moussouni
Présentation en économie d'entreprise sur le thème de la culture d'entreprise, également appelée culture organisationnelle, soutenue par une étude de cas sur l'entreprise allemande Adidas.
GUIDE DE COMMUNICATION A L’USAGE DES ASSOCIATIONSJamaity
La communication associative
La communication associative découle du concept assez controversé du
marketing associatif*. Quand on évoque ce concept, des voix s’élèvent souvent
pour le dénoncer car, justement, on l’associe au marketing commercial* et à ses
techniques de vente et de manipulation. Or, le marketing associatif, de par ses
objectifs en faveur de l’intérêt général, loin des objectifs commerciaux et financiers
du marketing* classique est avant tout une démarche. C’est un effort de réflexion qui
consiste à conjuguer trois variables : objectifs, cibles et moyens de communication
afin de permettre à l’association de cibler son public pour mieux communiquer avec
lui dans le but d’atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés.Aujourd’hui, cette démarche du marketing associatif semble incontournable au sein
des associations si elles veulent poursuivre leurs missions caritatives* et étendre
leurs actions. Dans cette logique, s’ensuit un autre concept non moins important :
La communication associative. Celle-ci s’impose pour plusieurs raisons :
- Elle garantit la visibilité, la notoriété* et la pérennité* des associations.
- Elle permet l’instauration d’un climat de confiance, d’échange et de partage entre
les différents acteurs aussi bien en interne qu’en externe.
- Elle permet aux associations de se démarquer les unes des autres pour collecter
des fonds, recruter des bénévoles et défendre leur cause.
Il s’agit, à terme, de donner au public l’envie de soutenir l’association. La
communication associative est, à ce titre, essentielle et plurielle puisqu’elle
varie en fonction de la spécificité de l’objet de chaque OSC. Il faut noter que les
associations n’ont pas besoin d’avoir une stratégie de communication élaborée
mais une méthode régulière de communication. La communication n’est pas figée,
elle est à repenser et à adapter à chaque contexte et à chaque objet
En partenariat avec Le Monde et L'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), Viavoice propose des rencontres thématiques où dirigeants d'entreprise, intellectuels et grand public échangeront librement afin de penser autrement le monde de demain
Petit tour d'horizon, idées, liens, chiffres, tendances de l'emploi et des formations dans les secteurs du DD (développement durable) et de l'ESS (Economie sociale et solidaire) et autres secteurs à impact positif.
Cette présentation a été réalisée suite à un afterwork organisé avec le Refedd (https://refedd.org/) au Mab'Lab (http://mablab.fr/) grâce aux données d'Aurélia Courtot et d'Oriane Cébile.
Innovation sociale et commons CNAM 2015David VALLAT
L’économie de la connaissance, dont le développement s’amplifie avec l’hyperconnexion de nos sociétés, se nourrit de pratiques collaboratives qui impliquent une culture du partage, de l’ouverture, de la solidarité, c’est-à-dire d’innovations sociales. L’organisation est un bien commun dont la pérennité repose sur une production collaborative de connaissance (knowledge management), pensée elle-aussi comme un bien commun.
Les startups et les entrepreneurs culturels créatifs accueillis dans les incu...La French Team
Paris, grande capitale internationale de l’innovation et de la culture, veut donner un nouvel élan à sa politique culturelle en s’appuyant sur quelques priorités : rendre la culture plus accessible, soutenir la création, valoriser le patrimoine, développer l’art dans l’espace public, amplifier la politique numérique, accompagner les entreprises culturelles et renforcer le rayonnement culturel de Paris dans le monde.
Au regard de ces ambitions, la place dévolue aux startups et aux entrepreneurs culturels créatifs au sein des incubateurs parisiens est-elle suffisamment large ? Quelles sont les activités exercées par ces startups ? C’est à ces questions, qui rejoignent les priorités municipales dans le domaine de la culture, que la note tente d’apporter des réponses.
This document discusses how the world is currently in an age of disruption due to accelerating business evolution and technological change. Some key points made include:
- 80% of CEOs expect their businesses to be significantly disrupted in the coming years as the pace of change increases. Over 50% of Fortune 500 companies from 2000 are now gone.
- Business agility and the rapid introduction of new products, experiences, and responses to threats is now essential for companies to survive due to increasing disruption.
- Many jobs and entire industries have been disrupted out of existence since 2007 due to new technologies and shifting business models. Companies must change and adapt internally to the new digital era or risk disappearing.
- Traditional command-
The document discusses how the world is changing rapidly due to technology disruptions. Some key points made include that more than 50% of Fortune 500 companies have disappeared since 2000, 80% of CEOs expect significant disruptions to their businesses, and business agility is now essential. Examples of disruptions provided include e-commerce, robots, driverless cars, social networks, BYOD, and more. The document argues that organizations must change internally to remain competitive by embracing concepts like ecosystems, experiences, agility, digital transformation, innovation, the Internet of Things, and knowledge management.
This document discusses how work dynamics are changing in connected organizations. It notes that the world and businesses are accelerating faster than predicted, with more than 50% of Fortune 500 companies disappearing since 2000. It emphasizes that business agility is now essential to rapidly introduce new products and experiences, and respond quickly to threats. It provides several examples of how the world and behaviors have changed in just the last 10-15 years due to increased connectivity and digitalization. The document suggests organizations must also change internally to function effectively in this new environment, and discusses concepts like social networks, knowledge management, breaking down silos, and empowering workers.
The document discusses how the world is accelerating faster than predicted and how business agility is now essential. It provides examples of disruption across many industries through new technologies and changing customer behaviors. The key points are that organizations must change quickly, embrace new ways of working like digital transformation and knowledge sharing, and move away from command-and-control styles towards valuing mistakes and breaking down silos.
This document discusses the role of the Data Protection Officer (DPO) under the General Data Protection Regulation (GDPR). It outlines an agenda with topics on how to choose a DPO, avoid conflicts of interest, formally appoint the DPO, guarantee their independence, involve them in decisions regarding personal data, and inform staff internally. For each topic, it lists questions an organization should consider to ensure they are compliant with the GDPR requirements regarding the DPO. The presentation emphasizes that properly establishing the role of the DPO can help organizations rethink their internal processes to be compliant with privacy regulations.
This document discusses how the GDPR impacts digital marketing. It begins by providing context on the digital transformation and the importance of data. It then discusses the key aspects of the GDPR including territorial scope, definitions of personal and sensitive data, data subject rights, and responsibilities of controllers and processors. It notes that under the GDPR, companies must be able to demonstrate compliance. The rest of the document discusses specific implications for digital marketing like obtaining consent, managing cookies and third parties, international data transfers, and potential solutions like using contracts and considering the public interest. It concludes that while challenging, the GDPR presents an opportunity for digital marketing if companies adapt practices to prioritize privacy.
This document provides an agenda for a presentation on GDPR and digital strategy. It includes an introduction of the presenter, Jacques Folon, and his background and publications on privacy. The agenda covers the basic principles of GDPR, questions from attendees, and how GDPR relates to digital strategy. Specific topics that will be discussed include the purpose and requirements of GDPR, how it applies in Belgium, practical implementation steps, important points like privacy by design, and exercises. The presentation aims to help attendees understand GDPR and provide reassurance that being non-compliant is not too late to address.
This document discusses the balance between privacy and health measures during the COVID-19 pandemic in Belgium. It provides a timeline of events from March 2020 to March 2021, describing the various emergency measures and legal challenges. Key organizations like Human Rights Watch and the League of Human Rights have argued that the government's response has concentrated too much power without proper parliamentary oversight. Moving forward, the document suggests that respecting principles like separation of powers can help ensure both public health and civil liberties are protected during the crisis.
This document discusses data privacy and the General Data Protection Regulation (GDPR). It begins with an overview of the context and definitions related to GDPR, including personal data, processing, controllers, processors, and data breaches. It then outlines 12 key principles of GDPR, such as accountability, consumer rights, privacy by design, information security, penalties, and data privacy officers. The document concludes by discussing some of the consequences of GDPR for companies and the methodology for complying with its requirements, including risk analysis, records of processing, and training.
This document discusses various topics related to intellectual property rights (IPR) in 2021. It begins by introducing the author Jacques Folon and their background and credentials. It then discusses some criticisms of IPR and surveys that find many French internet users do not consider piracy to be theft. Other topics covered include the historical development of copyright law, debates around whether IPR constitutes a form of property, how IPR may limit research and art, the purpose of IPR, and categories of works that are protected by IPR like patents, trademarks, design, copyright, and neighboring rights. The document also discusses concepts like public domain, fair use exceptions, and new licenses like Creative Commons. It considers how IPR applies in the digital
The document discusses how the business world is changing rapidly due to digital disruption. It notes that most presentations and strategies will become obsolete very quickly. It provides examples of how the world has changed in just a short period of time due to new technologies and rising consumer expectations of personalization and convenience. The document argues that organizations must become more agile, innovative, and embrace new technologies in order to survive this period of massive disruption.
The document discusses how the world is accelerating faster than predicted with more than 50% of Fortune 500 companies disappearing since 2000 and 80% of CEOs expecting significant business disruption. It provides examples of rapid changes, such as how the memory in an iPhone X today is 2% of what an IBM computer had in the 1970s. The document argues that business agility is now essential to introduce new products and experiences rapidly in response to threats. It also discusses how behaviors and jobs are changing, with the rise of robots, digitalization, data/knowledge sharing, social networks, security issues, and the need for flatter organizational structures.
The document discusses how the world is accelerating faster than predicted with more than 50% of Fortune 500 companies disappearing since 2000 and 80% of CEOs expecting significant business disruption. It provides examples of rapid changes, such as how the memory of an IBM computer from the 1970s is only 2% of an iPhone X's memory. The summary discusses how behaviors and industries are changing, with the emergence of robots, connected objects, changing jobs, and disappearing companies. It emphasizes that organizations must change quickly internally to adapt.
Conseils pour Les Jeunes | Conseils de La Vie| Conseil de La JeunesseOscar Smith
Besoin des conseils pour les Jeunes ? Le document suivant est plein des conseils de la Vie ! C’est vraiment un document conseil de la jeunesse que tout jeune devrait consulter.
Voir version video:
➡https://youtu.be/7ED4uTW0x1I
Sur la chaine:👇
👉https://youtube.com/@kbgestiondeprojets
Aimeriez-vous donc…
-réussir quand on est jeune ?
-avoir de meilleurs conseils pour réussir jeune ?
- qu’on vous offre des conseils de la vie ?
Ce document est une ressource qui met en évidence deux obstacles qui empêchent les jeunes de mener une vie épanouie : l'inaction et le pessimisme.
1) Découvrez comment l'inaction, c'est-à-dire le fait de ne pas agir ou d'agir alors qu'on le devrait ou qu'on est censé le faire, est un obstacle à une vie épanouie ;
> Comment l'inaction affecte-t-elle l'avenir du jeune ? Que devraient plutôt faire les jeunes pour se racheter et récupérer ce qui leur appartient ? A découvrir dans le document ;
2) Le pessimisme, c'est douter de tout ! Les jeunes doutent que la génération plus âgée ne soit jamais orientée vers la bonne volonté. Les jeunes se sentent toujours mal à l'aise face à la ruse et la volonté politique de la génération plus âgée ! Cet état de doute extrême empêche les jeunes de découvrir les opportunités offertes par les politiques et les dispositifs en faveur de la jeunesse. Voulez-vous en savoir plus sur ces opportunités que la plupart des jeunes ne découvrent pas à cause de leur pessimisme ? Consultez cette ressource gratuite et profitez-en !
En rapport avec les " conseils pour les jeunes, " cette ressource peut aussi aider les internautes cherchant :
➡les conseils pratiques pour les jeunes
➡conseils pour réussir
➡jeune investisseur conseil
➡comment investir son argent quand on est jeune
➡conseils d'écriture jeunes auteurs
➡conseils pour les jeunes auteurs
➡comment aller vers les jeunes
➡conseil des jeunes citoyens
➡les conseils municipaux des jeunes
➡conseils municipaux des jeunes
➡conseil des jeunes en mairie
➡qui sont les jeunes
➡projet pour les jeunes
➡conseil des jeunes paris
➡infos pour les jeunes
➡conseils pour les jeunes
➡Quels sont les bienfaits de la jeunesse ?
➡Quels sont les 3 qualités de la jeunesse ?
➡Comment gérer les problèmes des adolescents ?
➡les conseils de jeunes
➡guide de conseils de jeunes
M2i Webinar - « Participation Financière Obligatoire » et CPF : une opportuni...M2i Formation
Suite à l'entrée en vigueur de la « Participation Financière Obligatoire » le 2 mai dernier, les règles du jeu ont changé !
Pour les entreprises, cette révolution du dispositif est l'occasion de revoir sa stratégie de formation pour co-construire avec ses salariés un plan de formation alliant performance de l'organisation et engagement des équipes.
Au cours de ce webinar de 20 minutes, co-animé avec la Caisse des Dépôts et Consignations, découvrez tous les détails actualisés sur les dotations et les exonérations, les meilleures pratiques, et comment maximiser les avantages pour les entreprises et leurs salariés.
Au programme :
- Principe et détails de la « Participation Financière Obligatoire » entrée en vigueur
- La dotation : une opportunité à saisir pour co-construire sa stratégie de formation
- Mise en pratique : comment doter ?
- Quelles incidences pour les titulaires ?
Webinar exclusif animé à distance en coanimation avec la CDC
Impact des Critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les...mrelmejri
J'ai réalisé ce projet pour obtenir mon diplôme en licence en sciences de gestion, spécialité management, à l'ISCAE Manouba. Au cours de mon stage chez Attijari Bank, j'ai été particulièrement intéressé par l'impact des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les décisions d'investissement dans le secteur bancaire. Cette étude explore comment ces critères influencent les stratégies et les choix d'investissement des banques.
Impact des Critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les...
Culture d'entreprise et résistance au changement
1. Culture d’entreprise et rapport aux règles
La culture d’entreprise peut-elle nuire à
l’évolution de l’organisation?
Jacques
Folon
Ph.D.
Partner
Edge
Consulting
Maître
de
conférences
Université
de
Liège
Professeur
ICHEC
Brussels
Management
School
Visiting
Professor
ESC
Rennes
School
of
Business
Université
de
Lorraine
(Metz)
23 juin 2015
1
2. La présentation est dans la rubrique
« conférences »
WWW.FOLON.COM
Jacques Folon
email: jacques.folon@ichec.be
Site: www.folon.com
GSM: +32 475 98 21 15
Média sociaux: tous les liens
sont sur le site www.folon.com
2
4. TABLE DES
MATIERES
LE MONDE A CHANGE
LA CULTURE ?
LA CULTURE D’ENTREPRISE « CLASSIQUE »
LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE LA CULTURE
QUELQUES TYPES DE CULTURE D’ENTREPRISE
TOUT LE MONDE A CHANGE (Y COMPRIS LES COLLABORATEURS)
QUELQUES CHIFFRES
COMMENT ADAPTER SA CULTURE AU MONDE DE 2015
4
5. LE MONDE A COMPLETEMENT
CHANGE DEPUIS l’AN 2000 !!!
5
7. TABLE DES
MATIERES
LE MONDE A CHANGE
LA CULTURE ?
LA CULTURE D’ENTREPRISE « CLASSIQUE »
LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE LA CULTURE
QUELQUES TYPES DE CULTURE D’ENTREPRISE
TOUT LE MONDE A CHANGE (Y COMPRIS LES COLLABORATEURS)
QUELQUES CHIFFRES
COMMENT ADAPTER SA CULTURE AU MONDE DE 2015
7
8. 8
UNE
PERSONNE
CULTIVEE
DANS
LE
LANGAGE
COURANT
• Une
personne
raffinée
• Qui
a
un
penchant
pour
les
arts,
la
littérature,
la
philosophie
• Qui
préfère
le
faisan
au
macaroni
• Qui
préfère
le
Rhum
à
la
bière
• Qui
préfère
lire
un
roman
d'Hemingway
que
de
regarder
un
match
de
Football
à
la
télévision
8
9. 9
UNE
DÉFINITION
«C'est
ce
tout
complexe
comprenant
les
connaissances,
les
croyances,
les
arts,
la
moralité,
les
lois,
les
coutumes
et
tout
autre
forme
d'habiletés
et
de
coutumes
acquises
par
un
homme
comme
membre
d'une
société»
(B.
Tylor,
1871)
9
10. 10
ASPECTS
DE
LA
CULTURE
• PERCEPTIONS
– Interprétation
de
la
réalité
– Perception
différente
des
problèmes
– Affecte
la
prise
de
décision
• STÉRÉOTYPES
– Classer
les
personnes,
les
entreprises,
les
pays
par
catégories
(Par
exemple:
les
ouvriers
de
tel
pays
sont
paresseux)
– Affecte
l’organisation
du
travail
• VALEURS
– «C'est
la
volonté
de
Dieu»
– Affecte
la
planification
stratégique
10
11. 11
DIMENSIONS
DE
LA
CULTURE
• LANGAGE
verbal
et
non
verbal
• PHYSIQUE
(la
réalité
physique
de
l’environnement)
• PSYCHOLOGIQUE
(ce
qui
a
été
appris
et
nos
valeurs)
11
14. 14
CE
QUE
COMPREND
LA
CULTURE
• Les
objets
matériels
• Les
idées,
valeurs
&
attitudes
• Les
compétences
• Les
connaissances
• L’environnement
légal
• Les
règles
de
comportement
• Des
attentes
quant
aux
comportements
14
15. TABLE DES
MATIERES
LE MONDE A CHANGE
LA CULTURE ?
LA CULTURE D’ENTREPRISE « CLASSIQUE »
LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE LA CULTURE
QUELQUES TYPES DE CULTURE D’ENTREPRISE
TOUT LE MONDE A CHANGE (Y COMPRIS LES COLLABORATEURS)
QUELQUES CHIFFRES
COMMENT ADAPTER SA CULTURE AU MONDE DE 2015
15
16. Et quid de la culture d’entreprise?
Commençons par la théorie classique
Source de l’image: http://cavaleperformance.com/home07-q/entreprise/culture-et-valeur/
16
17. 17
C’est
quoi
la
culture
d’entreprise? L’histoire
des
six
singes
Source de l’image: http://fr.slideshare.net/abid67/les-paradigmes
17
19. 19
DEFINITION
• Un
ensemble
de
comportements,
croyances,
compréhension
qui
sont
partagées
durant
une
certaine
période
de
temps
par
les
membres
d’une
organisation
• Elle
définit
les
règles
de
base
au
niveau
organisationnel
et
communique
aux
nouveaux
la
“bonne”
façon
de
penser
et
d’agir
• Si
tout
le
monde
participe
à
la
culture
elle
est
généralement
peu
perçue
de
façon
consciente.
• C’est
lorsque
l’organisation
tente
d’imposer
des
stratégies
ou
des
comportements
contraires
à
la
culture
que
le
face
à
face
et
la
culture
se
perçoivent.
• Si
chaque
organisation
a
sa
propre
culture,
il
n’y
a
pas
nécessairement
une
culture
unique,
mais
il
peut
exister
différentes
sous-‐cultures,
par
département
par
exemple.
19
20. 20
Ca se voit ?
On peut identifier la partie visible à première
vue…
20
22. 22
Dr.
Geert
Hofstede
LA CULTURE NATIONALE
EST LA PROGRAMMATION MENTALE D’UN GROUPE
DE PERSONNES.
ELLE COMPREND LES VALEURS, LES HABITUDES,
LES CROYANCES PARTAGEES PAR UN GROUPE
D’INDIVIDUS A UN MOMENT DONNE
22
23. 23
Stéréotypes & Clichés
CLICHES SUR LA FRANCE CLICHES SUR LES USA
http://www.slideshare.net/oma/american-‐french-‐cultural-‐difference-‐v2/download
23
24. 24
La
culture
d’entreprise
est
influencée
par
la
culture
nationale
et
soutenue
ou
combattue
par
le
management
24
26. 26
Sources
et
finalités
de
la
culture
d’entreprise
Source
du
shéma:
http://culture.entreprise.free.fr/schema2.gif
26
27. 27
LA
CULTURE
PERMET
✈de
prévoir
les
comportements
des
employés
–
entre
eux-‐mêmes
• localement,
• entre
localisations
différentes
–
entre
eux
&
les
fournisseurs
–
entre
eux
&
les
clients
–
entre
eux
&
la
direction
27
28. 28
Et
puis
ça
se
voit
en
fonction
des
événements
• Un
nouvel
employé
qui
arrive?
• Cinq
personnes
autour
de
la
machine
à
café?
• Un
chef
qui
hurle
sur
un
employé?
• Une
personne
qui
est
licenciée?
• Un
jeune
qui
veut
tout
changer?
28
29. 29
Niveau
et
fonction
de
la
Culture:
•
la
Culture
existe
à
deux
niveaux:
•Le
côté
visible
et
observable
immédiatement
(habillement,
symboles,
histoires,
etc.)
•Le
côté
invisible
qui
véhicule
les
valeurs,
les
croyances,etc.
•Fonctions
de
la
culture
•Intégration
•Guide
de
fonctionnement
•Guide
de
communication
29
30. TABLE DES
MATIERES
LE MONDE A CHANGE
LA CULTURE ?
LA CULTURE D’ENTREPRISE « CLASSIQUE »
LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE LA CULTURE
QUELQUES TYPES DE CULTURE D’ENTREPRISE
TOUT LE MONDE A CHANGE (Y COMPRIS LES COLLABORATEURS)
QUELQUES CHIFFRES
COMMENT ADAPTER SA CULTURE AU MONDE DE 2015
30
31. 31
Eléments
constitutifs
de
la
culture
❑
Rites
–
cérémonies
❑
Histoires
et
traditions
❑
Symboles
❑
Tabous
❑
Valeurs
31
32. 32
Rites
et
cérémonies
• Recrutement
• Christmas
party
• Discours
• Pots
d’accueil,
de
départ
• Réunions
• …
32
33. 33
HISTOIRES
ET
TRADITIONS
-‐
Basées
sur
des
événements
réels
-‐
qui
sont
partagées
par
les
employés
et
racontées
aux
nouveaux
pour
les
informer
au
sujet
de
l’organisation
-‐
qui
rendent
vivantes
les
valeurs
de
l’organisation
-‐
qui
parlent
des
“héros”,
des
légendes
-‐Le
post
it
de
3M
-‐Le
CEO
d’IBM
sans
badge
-‐Le
CEO
de
quick
33
39. 39
LES
VALEURS
Une
des
grandes
difficultés
du
management
est
de
faire
agir
les
collaborateurs
selon
les
valeurs
de
l’entreprise
alors
que
la
culture
d’entreprise
est
basée
sur
la
valeurs
des
collaborateurs…
39
40. 40
Les
valeurs
affichées
et
la
culture
• Il
y
a
parfois
des
entreprises
qui
affichent
leurs
valeurs
sur
les
murs
et
leurs
documents
comme:
– Intégrité
– Communication
– Respect
– Excellence
40
42. 42
E.
Schmidt
(GOOGLE)
• I
believe
every
day
that
Google
is
run
by
its
culture,
not
by
me.
• The
strategy
and
the
products
that
we
build
are
a
consequence
of
the
culture
we
have
around
innovation
and
focusing
on
the
end
user.
42
43. 43
En
quoi
sommes
nous
concernés?
• Horaires
• Relations
avec
les
autres
• Dress
code
• Office
space
• Sécurité
• Training
• …
43
44. 44
Quelles
conséquences?
• Cela
permet
de
comprendre
ce
qui
se
passe
• De
prendre
la
«
bonne
décision
»
• MAIS
un
frein
au
changement
• Perception
de
vivre
avec
d’autres
qui
partagent
les
mêmes
valeurs
• Point
essentiel
pour
le
recrutement
et
la
formation
44
45. TABLE DES
MATIERES
LE MONDE A CHANGE
LA CULTURE ?
LA CULTURE D’ENTREPRISE « CLASSIQUE »
LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE LA CULTURE
QUELQUES TYPES DE CULTURE D’ENTREPRISE
TOUT LE MONDE A CHANGE (Y COMPRIS LES COLLABORATEURS)
QUELQUES CHIFFRES
COMMENT ADAPTER SA CULTURE AU MONDE DE 2015
45
47. 47
TYPOLOGIE
DES
«
CULTURES
»
CORPORATIVES
• Culture
de
prévisibilité
– Environnement
stable
– Prévisibilité
des
actions
• Culture
d’engagement
– Favorise
l’implication
&
la
participation
des
membres
– Sens
de
responsabilité
&
de
propriété
des
employés
• Culture
de
marché
(vision
d’un
futur
important
pour
tous),
rôle
social
de
l’organisation
• Culture
adaptative
– S’ajuste
à
l’environnement
avec
flexibilité
– Importance
de
relever
des
défis
47
48. 48
CARACTÉRISTIQUES
VALORISÉES
COLLECTIVEMENT
PAR
LES
MEMBRES
D
’UNE
ORGANISATION
(Chatman
&
Jehn)
• Innovation.
Valoriser
la
créativité.
• Stabilité.
Valoriser
les
règles.
• Orientation
Relations.
Montrer
du
support,
du
respect
pour
les
employés.
• Orientation
Tâche.
Respect
accordé
à
la
performance.
• Atmosphère
détendue.
Facile
à
vivre.
Complaisance.
• Attention
aux
détails.
Précision,
éviter
l
’erreur
(cies
pharmaceutiques).
• Collaboration.
Emphase
sur
le
travail
en
équipe.
48
49. 49
TYPES
DE
CULTURE
ORGANISATIONNELLE
(J.
Sonnenfeld)
• Académie.
Emploie
beaucoup
de
diplômés
universitaires.
Donne
de
la
formation
(IBM)
• Club.
Importance
que
les
gens
s’entendent
et
soient
loyaux.
(militaires,
agences
gouvernementales)
• Équipe
de
base-‐ball.
Employés
prêts
à
aller
ailleurs
s
’il
y
a
des
opportunités.
Entrepreneur
(high-‐
tech).
• Forteresse.
Entreprise
qui
a
des
problèmes
et
dont
la
préoccupation
est
la
survie.
49
50. TABLE DES
MATIERES
LE MONDE A CHANGE
LA CULTURE ?
LA CULTURE D’ENTREPRISE « CLASSIQUE »
LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE LA CULTURE
QUELQUES TYPES DE CULTURE D’ENTREPRISE
TOUT LE MONDE A CHANGE (Y COMPRIS LES COLLABORATEURS)
QUELQUES CHIFFRES
COMMENT ADAPTER SA CULTURE AU MONDE DE 2015
50
51. 51
Le
monde
a
changé
http://www.jerichotechnology.com/wp-‐content/uploads/2012/05/SocialMediaisChangingtheWorld.jpg
51
61. 61
Aujourd’hui
le
«
tous
connectés
»
devient
la
norme,
la
déconnexion
l’exception,
que
ce
soit
pour
nos
contacts
professionnels
ou
privés
http://www.cite-‐sciences.fr/francais/ala_cite/expositions/tous-‐connectes/media/accueil/diapo02.jpg
61
111. • Les managers passent 2h/jour à rechercher de l’information
• 50 % de l’information trouvée n’a pas d’utilité
• 59 % ne voient pas d’information interne qui soit utile
• 53 % disent qu’elle n’a pas de valeur
• 36 % disent qu’il y en a trop, rendant difficile la recherche de la bonne
information Accenture
:
Survey
1000
middle
managers
US/UK
–8Jan
2007
111
114. Définition des RSE
• Les technologies dites de réseaux sociaux d’entreprise sont
considérées comme des supports pouvant permettre
l’animation des réseaux sociaux d’une organisation.
• Un réseau social correspond à un ensemble de nœuds
(individus, organisations) reliés par un ensemble de relations
sociales (Fuhrer et al., 2009).
• Ces relations prennent forme spontanément et sont donc
informelles.
• Ces réseaux relationnels permettent d’accélérer le travail
collectif dans l’organisation en dépassant les logiques
hiérarchiques officielles.
• VERRA, Lucas Gabriel, KAROUI, Myriam, et DUDEZERT,Aurélie.
Adoption symbolique d’un Réseau Social pour entreprise: Le cas de
114
115. 115
Culture
et
veille
• Le
RSE
permet
– Le
partage
d’informations
– De
modifier
la
culture
vers
de
l’intelligence
collective
et
la
gestion
des
connaissances
– De
transformer
tout
le
monde
en
«
veilleur
»
– D’intégrer
l’Intelligence
stratégique
dans
la
culture
115
120. AUJOURD’HUI, LE MONDE BOUGE TELLEMENT
VITE QUE
NI LE PROFESSEUR NI L’ETUDIANT
N’IMAGINENT LES NOUVEAUX METIERS
QUI EXISTERONT LORSQUE L’ETUDIANT
SORTIRA DE L’UNIVERSITE
120
121. TABLE DES
MATIERES
LE MONDE A CHANGE
LA CULTURE ?
LA CULTURE D’ENTREPRISE « CLASSIQUE »
LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE LA CULTURE
QUELQUES TYPES DE CULTURE D’ENTREPRISE
TOUT LE MONDE A CHANGE (Y COMPRIS LES COLLABORATEURS)
QUELQUES CHIFFRES
COMMENT ADAPTER SA CULTURE AU MONDE DE 2015
121
123. LE TURNOVER DU PERSONNEL DANS LES COMPAGNIES
AVEC DES CULTURES INADAPTEES EST DE 48%
IL EST DE 14% DANS LES COMPAGNIES AVEC UNE
CULTURE ENTHOUSIASMANTE
SOURCE PEOPLESPARK.COM
123
124. LES EMPLOYES ENTHOUSIASTES ET MOTIVES
TRAVAILLENT MIEUX (PLUS DE 20% DE MOTIVATION)
71% DES EMPLOYES NE SONT NI ENTHOUSIASTES NI
MOTIVES
64% DES EMPLOYES CONSIDERENT QU’IL N’Y A PAS DE
CULTURE FORTE DANS LEUR ENTREPRISE
SOURCE PEOPLESPARK.COM
124
125. LE BONHEUR AU TRAVAIL
LES TRAVAILLEURS HEUREUX SONT 12% PLUS
PRODUCTIFS
ILS PRENNENT 15% DE JOURS DE MALADIE DE MOINS
SOURCE PEOPLESPARK.COM
125
126. STRATEGIE ET CULTURE
90% DES MANAGERS CONSIDERENT QU’UNE
STRATEGIE BASEE SUR UNE CULTURE MOTIVANTE A
UN IMPACT SUR LE SUCCES DE L’ORGANISATION
25% ONT UNE STRATEGIE DE CE TYPE
SOURCE PEOPLESPARK.COM
126
127. FEED BACK
LES ENTREPRISES QUI FONT DES ENQUETES DE
SATISFACTION AUPRES DE LEURS COLLABORATEURS
DE FACON REGULIERE ONT UN TAUX DE ROTATION DU
PERTSONNEL INFERIEUR DE 15% A CELLES QUI EN
FONT MOINS OU PAS
SOURCE PEOPLESPARK.COM
127
128. TABLE DES
MATIERES
LE MONDE A CHANGE
LA CULTURE ?
LA CULTURE D’ENTREPRISE « CLASSIQUE »
LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE LA CULTURE
QUELQUES TYPES DE CULTURE D’ENTREPRISE
TOUT LE MONDE A CHANGE (Y COMPRIS LES COLLABORATEURS)
QUELQUES CHIFFRES
COMMENT ADAPTER SA CULTURE AU MONDE DE 2015
128
129. 129
Source de l’image: http://fr.slideshare.net/HubSpot/the-hubspot-culture-code-creating-a-company-we-love?
129
130. COMMENT ADAPTER SA CULTURE AU MONDE DE 2015?
TROIS MOTS CLES
COMMUNICATION
TRANSPARENCE
MANAGEMENT
SOURCE PEOPLESPARK.COM
130
133. MANAGEMENT
RASSURER LE MIDDLE MANAGEMENT
FORMER AUX NOUVELLES TECHNOLOGIES
ACCOMPAGNER LA FIN DES SILOS
PROMOUVOIR LE PARTAGE D’INFORMATION
PROMOUVOIR LA TRANSVERSALITE
ET… FORMATION PERMANENTE
133