Avec 2 200 collaborateurs aux côtés des entrepreneurs, Bpifrance poursuit trois objectifs :
Accompagner la croissance des entreprises
Préparer la compétitivité de demain
Contribuer au développement d’un écosystème favorable à l’entrepreneuriat
Financements de l'innovation - Café et Soda #2 - 25 juin 2014Sodagence
Détails des financements liés à l'innovation :
- BPI France
- Agence Régionale de l'Innovation
- DIRECCTE (dispositif Crédit Impôt Innovation)
- DRRT et DDFIP (dispositifs Crédit Impôt Recherche et Jeune Entreprise Innovante)
l'Innovation : définition
l'Innovation : enjeux pour l'entreprise
l'Innovation : raisons d'être pour le consommateuranalyses des principales causes de succès et d'échecs
méthodologie innovation "idéale"
L’objectif de mon mémoire est de mesurer l’implication et la contribution des Achats au sein d’entreprises qui veulent investir le marché de la Silver Economie.
Ces entreprises ont souvent des organisations qui se sont complexifiées pour s’adapter à leur cœur de métier qui, lui même a défini le périmètre de leur secteur d’activité.
Bien que leurs activités commerciales ou leur positionnement dans le conscient collectif légitimassent leur intérêt pour la Silver Economie, la structure émergente de ce nouveau marché les obligent à se questionner sur l’efficience de leurs organisations, et à s’interroger sur une adaptation de leurs processus, voire un changement radical.
La fonction Achats n’échappe pas à ce constat et réfléchit sur l’optimisation de ses pratiques achats dans ce nouveau contexte.
Comment peut –elle contribuer à la conquête de ce nouveau marché alors qu’en règle générale, elle n’est pas à l’initiative du projet, porté plus naturellement par la RSE , et / ou le marketing ?
A quelle niveau de la chaine de valeur les Achats doivent-ils ou peuvent-ils intervenir ?
Quelles sont les contraintes organisationnelles de leurs entreprises que les achats peuvent transformer en opportunités, et comment vont-ils s’y prendre ?
A quelle solution innovante vont-ils avoir recours pour atteindre leurs objectifs opérationnels qui vont servir la stratégie de l’entreprise dans ce nouvel écosystème ?
Car, il s’agit bien d’innover, d’inventer un nouveau modèle de collaboration avec les parties prenantes internes et externes à l’entreprise.
Avec 2 200 collaborateurs aux côtés des entrepreneurs, Bpifrance poursuit trois objectifs :
Accompagner la croissance des entreprises
Préparer la compétitivité de demain
Contribuer au développement d’un écosystème favorable à l’entrepreneuriat
Financements de l'innovation - Café et Soda #2 - 25 juin 2014Sodagence
Détails des financements liés à l'innovation :
- BPI France
- Agence Régionale de l'Innovation
- DIRECCTE (dispositif Crédit Impôt Innovation)
- DRRT et DDFIP (dispositifs Crédit Impôt Recherche et Jeune Entreprise Innovante)
l'Innovation : définition
l'Innovation : enjeux pour l'entreprise
l'Innovation : raisons d'être pour le consommateuranalyses des principales causes de succès et d'échecs
méthodologie innovation "idéale"
L’objectif de mon mémoire est de mesurer l’implication et la contribution des Achats au sein d’entreprises qui veulent investir le marché de la Silver Economie.
Ces entreprises ont souvent des organisations qui se sont complexifiées pour s’adapter à leur cœur de métier qui, lui même a défini le périmètre de leur secteur d’activité.
Bien que leurs activités commerciales ou leur positionnement dans le conscient collectif légitimassent leur intérêt pour la Silver Economie, la structure émergente de ce nouveau marché les obligent à se questionner sur l’efficience de leurs organisations, et à s’interroger sur une adaptation de leurs processus, voire un changement radical.
La fonction Achats n’échappe pas à ce constat et réfléchit sur l’optimisation de ses pratiques achats dans ce nouveau contexte.
Comment peut –elle contribuer à la conquête de ce nouveau marché alors qu’en règle générale, elle n’est pas à l’initiative du projet, porté plus naturellement par la RSE , et / ou le marketing ?
A quelle niveau de la chaine de valeur les Achats doivent-ils ou peuvent-ils intervenir ?
Quelles sont les contraintes organisationnelles de leurs entreprises que les achats peuvent transformer en opportunités, et comment vont-ils s’y prendre ?
A quelle solution innovante vont-ils avoir recours pour atteindre leurs objectifs opérationnels qui vont servir la stratégie de l’entreprise dans ce nouvel écosystème ?
Car, il s’agit bien d’innover, d’inventer un nouveau modèle de collaboration avec les parties prenantes internes et externes à l’entreprise.
La méthode lean startup : tout est prototype, même votre entreprise !Fabernovel
Le Lean startup est aussi destiné aux grandes entreprises : il vous aidera à lancer des produits ou des services que vos clients - internes ou externes - veulent vraiment, pour beaucoup moins cher, beaucoup plus rapidement, tout en réduisant les risques.
Aujourd'hui, il est nécessaire de passer d’une approche développement produit à une approche de développement client (ou « customer development »). Comme les startups, il s’agit de se remettre rapidement de ses échecs en s’adaptant et itérant au fur et à mesure que l’on apprend de ses clients.
L’innovation dans les entreprises : moteurs, moyens et enjeux
Cette étude rassemble quinze articles sur l’innovation écrits par des chercheurs, à partir des résultats de l’enquête communautaire sur l’innovation (CIS), conduite en France par l’INSEE.
DGCIS
http://www.industrie.gouv.fr/p3e/analyses/innovation/innovation.php
Au début du 20e siècle, Joseph Schumpeter met en avant le rôle de l’entrepreneur, défini par Nietzsche comme « le capital de l’esprit et de la volonté humaine ». L’entrepreneur est celui qui développe une idée à partir des perfectionnements de la mécanique puis de de la science avec l’entrée dans la seconde révolution industrielle fondée sur la chimie et l’électricité, pour créer des produits qui créent leur marché. C’est le mode Schumpeter 1.0.
L’économie de la II° révolution industrielle voit naître la grande entreprise qui transforme l’innovation en routine. Le mode Schumpeter 2.0 voit disparaitre le rôle héroïque de l’innovateur et l’innovation est intégrée au processus de production de masse. L’innovation est représentée comme un processus linéaire qui va du département R&D des grandes entreprises au marché.
L’économie néoclassique va populariser le modèle de l’innovation par le progrès technique conçu comme exogène : L’intensité de l’innovation est celle de l’intensité des intrants technologiques.
L’innovation dans les petites et moyennes entreprises (PME) au CamerounUniversité de Dschang
M. Ndzana Eloundou Martin Jaurès a soutenu une thèse de Doctorat/Phd en Sciences Économiques ce 15 juin 2016 à l'Université de Dschang. Le jury présidé par le Prof. Désiré Avom lui a décerné la mention honorable.
Découvrez comment mener un projet d'innovation de rupture efficace en 3 étapes. Par Stim, la startup qui accompagne les grands groupes sur le management de l'innovation
Diaporama ProgrèS Technique Et Croissance 2007 2008guestf961ba
Ce diaporama présentant les liens entre croissance et déprogrès technique reprend :
1 - le diaporama de T Larribe sur robinson (remarquable comme toujours)
2 - il s'appuie sur des éléments à une diaporama d'HEC
3 Il emprunte des animations à mr Rodriguez
Management de l'innovation par karim bouassemKarim1980
Il est indéniable que, dans un contexte de mondialisation, la compétition économique repose de plus en plus sur la capacité à innover.
Le travail que je présente, a pour objectif d’étudier la pratique de l’innovation au sein de l’entreprise marocaine.
Document élaboré par Sabri Mourad, Docteur ingénieur en mécanique et spécialiste de l'innovation, de la recherche et développement et des technologies avancées. Dr. Mourad a également un master en administration des entreprises et un autre en management de projet.
Dr. Sabri MOURD est Directeur de Technologies à Albany International (spécialiste de textiles technique) et Professeur associés à l’Université de Haute Alsace et l’Université Virtuelle SVU. Il forme les étudiants niveau Master sur les Techniques de l’innovation et de la gestion des technologies avancées.
Veille et Web dans les entreprises non-technologiquesJeremy Viault
Cette présentation de Jeremy Viault lors du Barcamp de Lille traite de la place de la veille et du Web dans les entreprises non-technologiques. La fin de la présentation ouvre des pistes sur le recrutement via le Web.
Quels aides et financements sont disponibles pour financer l'innovation ?Orial
Ce power point présente l'essentiel du financement de l'innovation:
Quels sont les financements publics et privés? quelles sont les aides accordées par l'Etat ?
Ce power point est la propriété de BPI France, Rhône-Alpes Création et Orial.
Document élaboré par Sabri Mourad, Docteur ingénieur en mécanique et spécialiste de l'innovation, de la recherche et développement et des technologies avancées. Dr. Mourad a également un master en administration des entreprises et un autre en management de projet.
Dr. Sabri MOURD est Directeur de Technologies à Albany International (spécialiste de textiles technique) et Professeur associés à l’Université de Haute Alsace et l’Université Virtuelle SVU. Il forme les étudiants niveau Master sur les Techniques de l’innovation et de la gestion des technologies avancées.
La veille, ses techniques et ses outils permet d'alimenter votre réflexion et de favoriser l'innovation. Elle en est l'un des facteurs clé de succès. Sachez utiliser les fonctionnalités avancées des moteurs de recherche, automatisez les requêtes et surveillances sur les nombreuses bases de données, donnez la parole à vos clients, faites de la veille sur les startups qui montent, regardez de près les plateformes de crowdfunding, identifiez des partenaires potentiels sur des projets innovants via les plateformes d'open innovation. Bref, soyez à l'écoute de votre environnement, de ses acteurs ! Ne sous estimez pas l'importance de le faire en continu afin d'être réactif. L'économie va vite, celle de l'innovation encore plus.
La méthode lean startup : tout est prototype, même votre entreprise !Fabernovel
Le Lean startup est aussi destiné aux grandes entreprises : il vous aidera à lancer des produits ou des services que vos clients - internes ou externes - veulent vraiment, pour beaucoup moins cher, beaucoup plus rapidement, tout en réduisant les risques.
Aujourd'hui, il est nécessaire de passer d’une approche développement produit à une approche de développement client (ou « customer development »). Comme les startups, il s’agit de se remettre rapidement de ses échecs en s’adaptant et itérant au fur et à mesure que l’on apprend de ses clients.
L’innovation dans les entreprises : moteurs, moyens et enjeux
Cette étude rassemble quinze articles sur l’innovation écrits par des chercheurs, à partir des résultats de l’enquête communautaire sur l’innovation (CIS), conduite en France par l’INSEE.
DGCIS
http://www.industrie.gouv.fr/p3e/analyses/innovation/innovation.php
Au début du 20e siècle, Joseph Schumpeter met en avant le rôle de l’entrepreneur, défini par Nietzsche comme « le capital de l’esprit et de la volonté humaine ». L’entrepreneur est celui qui développe une idée à partir des perfectionnements de la mécanique puis de de la science avec l’entrée dans la seconde révolution industrielle fondée sur la chimie et l’électricité, pour créer des produits qui créent leur marché. C’est le mode Schumpeter 1.0.
L’économie de la II° révolution industrielle voit naître la grande entreprise qui transforme l’innovation en routine. Le mode Schumpeter 2.0 voit disparaitre le rôle héroïque de l’innovateur et l’innovation est intégrée au processus de production de masse. L’innovation est représentée comme un processus linéaire qui va du département R&D des grandes entreprises au marché.
L’économie néoclassique va populariser le modèle de l’innovation par le progrès technique conçu comme exogène : L’intensité de l’innovation est celle de l’intensité des intrants technologiques.
L’innovation dans les petites et moyennes entreprises (PME) au CamerounUniversité de Dschang
M. Ndzana Eloundou Martin Jaurès a soutenu une thèse de Doctorat/Phd en Sciences Économiques ce 15 juin 2016 à l'Université de Dschang. Le jury présidé par le Prof. Désiré Avom lui a décerné la mention honorable.
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Diaporama ProgrèS Technique Et Croissance 2007 2008guestf961ba
Ce diaporama présentant les liens entre croissance et déprogrès technique reprend :
1 - le diaporama de T Larribe sur robinson (remarquable comme toujours)
2 - il s'appuie sur des éléments à une diaporama d'HEC
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Management de l'innovation par karim bouassemKarim1980
Il est indéniable que, dans un contexte de mondialisation, la compétition économique repose de plus en plus sur la capacité à innover.
Le travail que je présente, a pour objectif d’étudier la pratique de l’innovation au sein de l’entreprise marocaine.
Document élaboré par Sabri Mourad, Docteur ingénieur en mécanique et spécialiste de l'innovation, de la recherche et développement et des technologies avancées. Dr. Mourad a également un master en administration des entreprises et un autre en management de projet.
Dr. Sabri MOURD est Directeur de Technologies à Albany International (spécialiste de textiles technique) et Professeur associés à l’Université de Haute Alsace et l’Université Virtuelle SVU. Il forme les étudiants niveau Master sur les Techniques de l’innovation et de la gestion des technologies avancées.
Veille et Web dans les entreprises non-technologiquesJeremy Viault
Cette présentation de Jeremy Viault lors du Barcamp de Lille traite de la place de la veille et du Web dans les entreprises non-technologiques. La fin de la présentation ouvre des pistes sur le recrutement via le Web.
Quels aides et financements sont disponibles pour financer l'innovation ?Orial
Ce power point présente l'essentiel du financement de l'innovation:
Quels sont les financements publics et privés? quelles sont les aides accordées par l'Etat ?
Ce power point est la propriété de BPI France, Rhône-Alpes Création et Orial.
Document élaboré par Sabri Mourad, Docteur ingénieur en mécanique et spécialiste de l'innovation, de la recherche et développement et des technologies avancées. Dr. Mourad a également un master en administration des entreprises et un autre en management de projet.
Dr. Sabri MOURD est Directeur de Technologies à Albany International (spécialiste de textiles technique) et Professeur associés à l’Université de Haute Alsace et l’Université Virtuelle SVU. Il forme les étudiants niveau Master sur les Techniques de l’innovation et de la gestion des technologies avancées.
La veille, ses techniques et ses outils permet d'alimenter votre réflexion et de favoriser l'innovation. Elle en est l'un des facteurs clé de succès. Sachez utiliser les fonctionnalités avancées des moteurs de recherche, automatisez les requêtes et surveillances sur les nombreuses bases de données, donnez la parole à vos clients, faites de la veille sur les startups qui montent, regardez de près les plateformes de crowdfunding, identifiez des partenaires potentiels sur des projets innovants via les plateformes d'open innovation. Bref, soyez à l'écoute de votre environnement, de ses acteurs ! Ne sous estimez pas l'importance de le faire en continu afin d'être réactif. L'économie va vite, celle de l'innovation encore plus.
The document describes a study that developed an inquiry-based approach for undergraduate students to isolate and characterize natural Vibrio fischeri symbionts from the Hawaiian bobtail squid. Each semester, students isolated multiple strains directly from the light organ of a wild-caught squid. Phenotypic assays found variation in bioluminescence responses and motility rates among strains. Genetic sequencing revealed diversity in the luxIR intergenic region. Phylogenetic analysis classified strains into genetically distinct groups. Colonization experiments showed all strains could colonize juvenile squid, though colonization efficiency varied. This inquiry-based approach effectively characterized the phenotypic and genetic diversity of natural V. fischeri symbionts.
This document provides information about bioluminescence. It begins with an acknowledgement and introduction defining bioluminescence. The document then discusses the history of bioluminescence research, how it evolved in different organisms, and how the bioluminescence reaction works on a chemical level. It lists several bioluminescent organisms and describes some uses of bioluminescence in nature for camouflage, attraction, defense, warning, and communication. The document also outlines several modern applications of bioluminescence in fields like biology, medicine, the environment, and industry. It distinguishes between bioluminescence and biofluorescence and briefly describes two recent research papers on biol
Historically architecture has likened the city as an organism and looked to nature for design inspiration. Until recently the tools that have enabled architects to engage with what R. Buckminster Fuller called the ‘drivers of biology’, have not been available and architects use biological systems in a symbolic way called biological ‘formalism’ where aesthetics are prioritized over function. Recent developments in Synthetic Biology, which were demonstrated at Artificial Life XI suggested it was possible to design and engineer materials that meet the requirements necessary for a new generation of smart materials.
This document discusses the principles and clinical applications of chemiluminescent assays. Chemiluminescence involves the emission of light from a chemical reaction and can be enhanced through the use of enzymes like horseradish peroxidase. Chemiluminescent assays are commonly used for immunoassays and have higher sensitivity than ELISA or radioimmunoassays. The document outlines the mechanisms and substrates involved in chemiluminescence and lists many clinical applications for measuring markers of thyroid function, tumor progression, anemia, cardiac function, hormone levels, therapeutic drug monitoring, hepatitis, and diabetes.
Pression économique sur les coûts, vitesse accélérée, nouvelles frontières, fournisseurs moins pertinents… il semble urgent de reconsidérer les activités de la DSI et de faire évoluer son modèle !
intoduction to lumiscence
introduction and principle of chemilumiscence
different types of lumiscence
detail of the electrochemilumiscence, working, principle, instrumentation, measurin.
application in medical field
difference between chemilumiscence and elecrochemiluminescence
The document discusses luminescence and phosphorescence spectroscopy. It defines luminescence as light emission from a substance when an electron returns to the ground state from an excited state. Phosphorescence is luminescence from a triplet excited state with a longer lifetime than fluorescence which occurs from a singlet state. The document describes various types of luminescence and provides details on instrumentation, sample preparation, and applications of phosphorescence spectroscopy in different fields such as pharmaceutical, clinical, environmental, and forensic analyses.
Nanobiosensors use biological components on the nano-scale to detect target molecules. They consist of a bioreceptor element for molecular recognition connected to a transducer that converts the biological response into a measurable signal. Common transduction methods include optical, electrochemical and mechanical. Examples are nanowire field effect sensors that detect binding as a change in electrical conductivity, and cantilever sensors that detect binding as a change in resonant frequency through surface stress. Nanobiosensors show potential for applications in healthcare diagnostics, environmental monitoring, and more.
The document discusses different types of luminescence including bioluminescence used by deep sea organisms. It then describes how luminol is used by crime scene investigators to detect trace amounts of blood, even if cleaning products were used. Finally, it mentions green fluorescent protein (GFP) which was used to win the 2008 Nobel Prize in Chemistry and is now used in medical research to track proteins in diseases like cancer and Alzheimer's.
Sterility test and modern microbiological methodsMohammed Fawzy
This document provides an overview of sterility testing and rapid microbiological methods. It discusses sterility testing, including definitions, common media used, methods for preparing different types of test products, incubation periods, growth promotion tests, and interpreting results. It also briefly introduces some rapid microbiological methods like ATP bioluminescence, colorimetric growth detection, and cytometry systems. The key purpose of sterility testing is to detect any viable microorganisms in pharmaceutical products or medical devices labeled as sterile.
This document discusses chemiluminescence, which is the emission of light from a chemical reaction without significant heat production. It describes how chemiluminescence occurs when a reactant kicks an electron in an atom to an excited state, and the electron then returns to the ground state emitting a photon of light. Common examples of chemiluminescent reactions involve luminol, isoluminol, and luciferin. The document outlines applications of chemiluminescence including immunoassays, DNA hybridization detection, western blotting, forensic analysis to detect blood, and food analysis to detect pesticides. It also notes some limitations such as light leaks and high intensity light saturation effects.
Le portrait robot du CDO d'une entreprise françaiseEY
Frédéric Levaux, Chief Digital Officer d'EY en France, intervenait le 26 novembre 2015 lors du CDO Day organisé par L'Usine Digitale sur le thème "L’agenda du CDO : quelles priorités, quelles échéances et quelles ambitions".
L'eau dans votre process industriel
Un événement organisé par le Réseau LIEU, le 27 mars 2018 à Gembloux.
UNamur : LAB OF ENVIRONMENTAL ECOSYSTEM ECOLOGY
L'écosocioconception, une approche globale pour une compétitivité durable - Intervention du CJD
Atelier Innovation Responsable organisé par le Centre Francilien de l'Innovation le 20 décembre 2012.
Élaboration d'une stratégie de modernisation par Chris KoppeFresche Solutions
Élaboration d'une stratégie de modernisation: Une présentation par Chris Koppe de Fresche Legacy lors de la tournée iBelieve 2015.
Couvert dans cette présentation:
- Stratégies de modernisation
- Établissement d’objectifs
- Élaboration d’une stratégie
- Planification
- Financement et soutien
Adoption de l’agilité et ROI
Hubert Gillon
Directeur Agile & Project Office
06 25 63 40 91
Hubert.gillon@valtech.fr
Le retour sur investissement provient de la valeur des produits réalisés et mis sur le marché, mais également de l’amélioration des pratiques projets au sein des DSI. Le cas d’école présenté ici décrit le calcul d’un ROI pouvant être escompté par une DSI dont les caractéristiques sont fournies et dont les améliorations sont déduites de statistiques projets largement diffusées par divers organismes indépendants.
Les sujets de réflexion tels que la taille des équipes, les activités de maintenance, le taux de succès des projets, l’amélioration de la satisfaction client, l’amélioration de la qualité et l’optimisation de l’organisation sont traités de façon quantifiée jusqu’au résultat final …
La PMI du futur dès maintenant avec le Club AlliancesLoic Simon
Devenir la PME du futur dès maintenant, avec l'aide du Club Alliances et de ses solutions "as a service" [SaaS, infogérance, BPO, outsourcing, externalisation]
Les bénéfices du Lean dans un cabinet d'expertise comptable Institut Lean France
Dans quel contexte le cabinet d'expertise comptable A2C Expertise a-t-il adopté le Lean, comment se fait sa mise en œuvre et quels sont les bénéfices de la démarche ? Une présentation de Laura de Faveri, conseiller de gestion chez A2C Expertise lors de la journée Lean dans les Services de l'Institut Lean France.
Objectifs généraux:
- Réduire les pertes (reworks), la difficulté et le risque d’échec de nos projets TI
- Améliorer la qualité de nos TI (systèmes / logiciels)
Objectifs spécifiques:
- Présenter le modèle de maturité CMMi-DEV, pour le développement des systèmes / logiciels
- Déclencher ou justifier l’amélioration de nos processus de développement selon CMMi-DEV
Comment démontrer la contribution des innovations BI à la performance de votr...agileDSS
L'innovation BI est devenue au fil des années un facteur incontournable de performance et un important levier de transformation organisationnelle. Malgré cela, les commanditaires peinent à mettre en relation leurs investissements avec les résultats obtenus. Faute de visibilité, ceux-ci s'interrogent encore sur l'utilisation des budgets alloués et hésitent à engager de nouveaux investissements.
Cette présentation apporte des réponses concrètes aux directions BI afin de les aider à :
- Sensibiliser la haute direction au potentiel de l'intelligence d'affaires,
- Mettre en place des indicateurs pour communiquer la valeur de leurs solutions,
- Hiérarchiser et sélectionner les innovations en fonction de leurs impacts d'affaires,
- Développer un dialogue constructif avec les directions de lignes d'affaires pour concevoir un roadmap BI alignée sur les objectifs stratégiques de leur entreprise.
Au cours de cette session, vous découvrirez la méthode Lean Six Sigma, son application, ses acteurs.
Seront également développées les modalités de certification, et notamment la certification IASSC (International Association for Six Sigma Certification) ainsi que notre nouveau parcours de formation en « blended learning ».
Retrouvez le replay de cette web-conférence sur notre chaîne Youtube : http://buff.ly/2kWIQWD
1. Transformer l’entreprise Vers l’innovation, la croissance et la performance Présentation de: Jean-François Marchand, ing, M. ing. Christian Plouffe, Designer industriel
14. Étude de cas Proden inc. Fabricant de matrices de découpage industriel 11-05-10 [email_address] TrimSaver™ System See details: www.trimsaversystem.com Download the TrimSaver™ System Powerpoint slide show here . Real Savings The trimSaver™ System (TSS) is a patented revolutionary advance on traditional trim waste management technologies, reducing trim waste by up to 66%. It could mean on average a reduction of up to 2% of the total sheet size*. A small number that can lead to a big impact on total waste ratio and the bottom line.
Transforminc travaille sur trois dimensions/fonctions clés dans l’entreprise pour stimuler l’innovation Tout part des humains, la dimension ressources humaines (en haut) est la première ressource / fonction à supporter et vient ensuite les fonctions liés aux opérations et au pilotage de projets (au centre) importants liés à la raison d’être de l’entreprise qu’on représente par la R-D, le marketing-vente, la production (et qui un peut faux car c’est plutôt la capacité primaire de créer, de vendre et de produire qu’on devrait voir ici) Vient ensuite la fonction financière (en bas) qui montre qu’on ne peut se permettre l’organisation qu’on veut si n’à pas la source d’énergie (dans le cas d’une entreprise à but lucratif) L’entreprise doit savoir créer, vendre et produire pour être équilibré et continué
1 2 3 On peut arriver a des arrivé à un moment tardif ou des proto sont déjà fait ou des concept sont lancé et ou l’entreprise constate certains échecs,,, et notre rôle devient de redresser le projet pour qu’il devienne un succès 4 Argent qui dort Argent futurinvestissement
Diagnostic croissance Diagnostic performance
Probl é matique/donn é es: CA de 5-10M$ Employ é s: 50 March é : la valeur ajout é e n ’ est plus per ç ue (qualit é , rapidit é de service et livraison) par le client, le prix est devenu le mot d ’ ordre rapport de force des clients « David contre Goliath » d é croissance du march é des matrices de 4% depuis 5 ans (les emballages se font en chine) les concurrents optent pour une strat é gie de prix (coupe dans le service et les frais g é n é raux) Origine du projet: l ’ entreprise avait d é j à identifi é l ’ id é e d ’ am é liorer son produit, fait d é j à des prototypes mais ceux-ci n ’ avaient pas encore é t é valid é s et ne rencontraient pas certains objectifs techniques importants; objectifs manquants et impr é cis; prototypage rapide non utilis é ; outils de gestion absents, etc. Services rendus: Prise en charge de la gestion d ’ un projet R&D majeur pour cette entreprise planification, mobilisation, gestion des r é unions, id é ation, conception, recherche et coordination de fournisseurs et de sp é cialistes externes, suivi des é ch é anciers, des co û ts, des risques, de la documentation RS&DE et autres) Mise en place d ’ outils de gestion de l ’ innovation R é clamation RS&DE
Probl é matique/donn é es: CA de 5-10M$ Employ é s: 50 March é : la valeur ajout é e n ’ est plus per ç ue (qualit é , rapidit é de service et livraison) par le client, le prix est devenu le mot d ’ ordre rapport de force des clients « David contre Goliath » d é croissance du march é des matrices de 4% depuis 5 ans (les emballages se font en chine) les concurrents optent pour une strat é gie de prix (coupe dans le service et les frais g é n é raux) Origine du projet: l ’ entreprise avait d é j à identifi é l ’ id é e d ’ am é liorer son produit, fait d é j à des prototypes mais ceux-ci n ’ avaient pas encore é t é valid é s et ne rencontraient pas certains objectifs techniques importants; objectifs manquants et impr é cis; prototypage rapide non utilis é ; outils de gestion absents, etc. Services rendus: Prise en charge de la gestion d ’ un projet R&D majeur pour cette entreprise planification, mobilisation, gestion des r é unions, id é ation, conception, recherche et coordination de fournisseurs et de sp é cialistes externes, suivi des é ch é anciers, des co û ts, des risques, de la documentation RS&DE et autres) Mise en place d ’ outils de gestion de l ’ innovation R é clamation RS&DE
Probl é matique/donn é es: CA de 5-10M$ Employ é s: 50 March é : la valeur ajout é e n ’ est plus per ç ue (qualit é , rapidit é de service et livraison) par le client, le prix est devenu le mot d ’ ordre rapport de force des clients « David contre Goliath » d é croissance du march é des matrices de 4% depuis 5 ans (les emballages se font en chine) les concurrents optent pour une strat é gie de prix (coupe dans le service et les frais g é n é raux) Origine du projet: l ’ entreprise avait d é j à identifi é l ’ id é e d ’ am é liorer son produit, fait d é j à des prototypes mais ceux-ci n ’ avaient pas encore é t é valid é s et ne rencontraient pas certains objectifs techniques importants; objectifs manquants et impr é cis; prototypage rapide non utilis é ; outils de gestion absents, etc. Services rendus: Prise en charge de la gestion d ’ un projet R&D majeur pour cette entreprise planification, mobilisation, gestion des r é unions, id é ation, conception, recherche et coordination de fournisseurs et de sp é cialistes externes, suivi des é ch é anciers, des co û ts, des risques, de la documentation RS&DE et autres) Mise en place d ’ outils de gestion de l ’ innovation R é clamation RS&DE
B é n é fices/r é sultats Accroissement des ventes (en cours) Marge b é n é ficiaire augment é e pour les matrices vendues en incorporant cette technologie Fid é lisation des gros clients industriels cr é er par les é conomies majeures g é n é r é s par le nouveau produit Capacit é de p é n é tration accrue sur le march é de l ’ Ontario et de l ’ Europe Produit unique et sup é rieur contribuant à diff é rencier l ’ offre de produits et services (brevet obtenu) Maturit é et connaissances accrues pour l ’ entreprise en mati è re de pilotage de projet RS&DE et de d é veloppement de nouveaux produits: travail d ’é quipe multifonctionnelle, gestion de projet, processus de d é veloppement de produit, analyse du march é et des besoins des clients, m é thodes de validation et d ’ analyse de l ’ application en conditions r é elles, outils de conception, technologies disponibles dans le monde des plastiques
B é n é fices/r é sultats Accroissement des ventes (en cours) Marge b é n é ficiaire augment é e pour les matrices vendues en incorporant cette technologie Fid é lisation des gros clients industriels cr é er par les é conomies majeures g é n é r é s par le nouveau produit Capacit é de p é n é tration accrue sur le march é de l ’ Ontario et de l ’ Europe Produit unique et sup é rieur contribuant à diff é rencier l ’ offre de produits et services (brevet obtenu) Maturit é et connaissances accrues pour l ’ entreprise en mati è re de pilotage de projet RS&DE et de d é veloppement de nouveaux produits: travail d ’é quipe multifonctionnelle, gestion de projet, processus de d é veloppement de produit, analyse du march é et des besoins des clients, m é thodes de validation et d ’ analyse de l ’ application en conditions r é elles, outils de conception, technologies disponibles dans le monde des plastiques
B é n é fices/r é sultats Accroissement des ventes (en cours) Marge b é n é ficiaire augment é e pour les matrices vendues en incorporant cette technologie Fid é lisation des gros clients industriels cr é er par les é conomies majeures g é n é r é s par le nouveau produit Capacit é de p é n é tration accrue sur le march é de l ’ Ontario et de l ’ Europe Produit unique et sup é rieur contribuant à diff é rencier l ’ offre de produits et services (brevet obtenu) Maturit é et connaissances accrues pour l ’ entreprise en mati è re de pilotage de projet RS&DE et de d é veloppement de nouveaux produits: travail d ’é quipe multifonctionnelle, gestion de projet, processus de d é veloppement de produit, analyse du march é et des besoins des clients, m é thodes de validation et d ’ analyse de l ’ application en conditions r é elles, outils de conception, technologies disponibles dans le monde des plastiques
B é n é fices/r é sultats Accroissement des ventes (en cours) Marge b é n é ficiaire augment é e pour les matrices vendues en incorporant cette technologie Fid é lisation des gros clients industriels cr é er par les é conomies majeures g é n é r é s par le nouveau produit Capacit é de p é n é tration accrue sur le march é de l ’ Ontario et de l ’ Europe Produit unique et sup é rieur contribuant à diff é rencier l ’ offre de produits et services (brevet obtenu) Maturit é et connaissances accrues pour l ’ entreprise en mati è re de pilotage de projet RS&DE et de d é veloppement de nouveaux produits: travail d ’é quipe multifonctionnelle, gestion de projet, processus de d é veloppement de produit, analyse du march é et des besoins des clients, m é thodes de validation et d ’ analyse de l ’ application en conditions r é elles, outils de conception, technologies disponibles dans le monde des plastiques
B é n é fices/r é sultats Accroissement des ventes (en cours) Marge b é n é ficiaire augment é e pour les matrices vendues en incorporant cette technologie Fid é lisation des gros clients industriels cr é er par les é conomies majeures g é n é r é s par le nouveau produit Capacit é de p é n é tration accrue sur le march é de l ’ Ontario et de l ’ Europe Produit unique et sup é rieur contribuant à diff é rencier l ’ offre de produits et services (brevet obtenu) Maturit é et connaissances accrues pour l ’ entreprise en mati è re de pilotage de projet RS&DE et de d é veloppement de nouveaux produits: travail d ’é quipe multifonctionnelle, gestion de projet, processus de d é veloppement de produit, analyse du march é et des besoins des clients, m é thodes de validation et d ’ analyse de l ’ application en conditions r é elles, outils de conception, technologies disponibles dans le monde des plastiques
Offre > demande : Les contraintes sont de plus en plus grande, il n’y a plus beaucoup de secteur d’affaires ou la demande n’a pas déjà dépassé par l’offre (la restauration, la compétition est quasiment toujours présentes) Impact sur le succ è s commercial li é à la sup é riorit é du produit – valeur du produit et d é marcation de l ’ entreprise dans le march é (18% sim - 24 - 98%) Impact sur le succ è s commercial, les ventes et les profits par l ’ int é gration des meilleures pratiques en d é veloppement de produit Impact du temps consacr é à l ’é tape de conception pour r é duire les co û ts de d é veloppement et de fabrication Impact de la r é duction du temps de mise en march é du produit Contrainte de la r é duction de la dur é e de vie des produits C ’ est difficile d ’ innover ……… ..
MARKETING DU PRODUIT NOUVEAU: 95% DES PRODUITS NOUVEAUX ÉCHOUENT. LES MANAGERS SONT EN CAUSE, LES ÉTUDES DE MARCHÉ AUSSI Mauvaise compréhension des besoins et attentes du client et du marché Problèmes reliés au produit (produit qui ne se démarque pas de la concurrence Mise en marché inefficace (prévue trop tardivement) Prix trop élevé Concurrence Mauvais moment Problèmes techniques
Les enjeux des organisations ont évolués et se multiplient au fil des années pour les entreprises comme la vôtre, il faut être capable de suivre…: Faire avec moins Efficience …réduire le coût de revient (c’est qqc que les entreprise ont appris, mais encore très actuel, …année 70 à aujourd’hui) Faire mieux Efficacité …répondre aux exigences (c’est une chose qui c’est davantage répandu avec le mouvement Qualité Totale …année 80 à aujourd’hui) Faire autrement Innovation … dépasser les attentes (c’est une chose qui c’est davantage répandu avec le mouvement développement de produits nouveaux …année 90 à aujourd’hui) Les entreprises industrielles et de services cherchent en permanence à améliorer leur productivité pour produire toujours plus à moindre coût. Si, dans les entreprises industrielles, cela se traduit le plus souvent par une réorganisation de la production (mécanisation, automatisation, standardisation, GPAO), dans les entreprises de services, c’est l’information qui est le produit principal et qui fait maintenant presque systématiquement l’objet d’un traitement bureautique. Toutefois, depuis une dizaine d’années et surtout depuis le développement croissant des normes de management de la qualité, il apparaît qu’une entreprise, quelle qu’elle soit, doit pouvoir montrer à ses clients, d’une part, qu’elle dispose des capacités à satisfaire leurs demandes (conformément aux exigences négociées), et, d’autre part, qu’elle assure sa capacité à reproduire cette satisfaction dans le temps. Pour cela, les normes de management de la qualité demandent aux entreprises de formaliser leur organisation, non seulement pour les aspects de conception ou de production du produit, mais également sur les aspects connexes tels que les achats, la formation, l’enregistrement des dysfonctionnements et surtout la mise en œuvre d’un processus d’amélioration. Ainsi, l’entreprise doit réfléchir sur son organisation, c’est à dire ses processus, la responsabilité, l’autorité et les relations (interfaces) des personnes qui ont des tâches à accomplir, et bien entendu la circulation de l’information. Les normes de management de la qualité étant génériques, elles ne fournissent qu’un cadre de réflexion et ne donnent en aucun cas la façon dont les entreprises doivent procéder pour satisfaire à ces exigences normatives. Il est ainsi difficile pour des entreprises de remettre en cause des organisations semblant donner satisfaction depuis de nombreuses années pour se mettre en conformité avec une norme qui apparaît très abstraite. La mise en conformité avec ces normes de management se traduit alors par l’écriture d’une abondante documentation (manuel qualité, procédures, instructions de travail, …) représentative des savoir-faire de l’entreprise. Cette documentation, parfois pléthorique et redondante, est souvent lourde à gérer, difficilement diffusable et peu compréhensible par le personnel concerné (des procédures ou des instructions composées de plus de cinq pages de texte ne sont généralement pas lues). Face à ce besoin de plus en plus important de formalisation de l’organisation des entreprises, il fallait mettre à leur disposition des méthodes et des outils facilitant cette tâche. La gamme logicielle Qualigram® et la démarche structurée qui la soutient, constituent la solution la mieux adaptée pour les entreprises qui désirent se structurer et s’organiser de manière efficace.