Le processus d'achat et approvisionnement travail réalisé par : Aboubakr MOUBARAK et Youssef ELMOUKKADEM, licence professionnelle logistique industrielle à l'école supérieure de technologie de FES en 2014/2015
Le processus d'achat et approvisionnement travail réalisé par : Aboubakr MOUBARAK et Youssef ELMOUKKADEM, licence professionnelle logistique industrielle à l'école supérieure de technologie de FES en 2014/2015
Introduction à la gestion du risque de change.: définition du risque, régimes de changes, crises de change, définition et mise en pratique des solutions de couverture
Réussir à s’imposer sur les marchés internationaux dans un contexte sans cesse imprévisible, voilà un défi pour l’entrepreneur! Le commerce international, 3e édition demeure un outil incontournable pour ceux et celles qui désirent s’initier aux notions théoriques et à la pratique du domaine. De la préparation d’un plan d’affaire à l’étude de marché, du financement aux stratégies de commercialisation, en passant par l’adaptation du produit et la négociation commerciale, l’ouvrage présente les rouages, les enjeux et les techniques propres au commerce international.
Chaque chapitre de l’ouvrage débute par une mise en situation illustrant une facette propre au commerce international. Dans un langage clair et accessible, les notions clés sont ensuite développées et accompagnées de nombreux exemples d’entreprises d’ici. Le lecteur retrouvera en fin de chapitre un résumé de ces notions essentielles, ainsi que des exercices qui lui permettront de faire le point sur les connaissances nouvellement acquises.
Le transport maritime consiste à déplacer des marchandises ou des hommes pour l'essentiel par voie maritime, même si, occasionnellement le transporteur maritime peut prendre en charge le pré-acheminement ou post-acheminement (positionnement d'un conteneur chez le chargeur et son acheminement au port, par exemple). Un tel déplacement sera couvert par un connaissement dans le cadre de la ligne régulière ou d'un contrat d'affrètement dans le cadre d'un service.
1-La gestion des risques achats
Cartographie des risques
Outils et moyens de gestion de risque achat
Processus d’intégration et de pilotage
2-La gestion des risques de la Supply chain
Définitions
Types de risques
Sources de risque
Méthodologie de gestion du risque
3-Étude de cas Dell: pour une culture globale de la gestion des risques logistiques
Introduction à la gestion du risque de change.: définition du risque, régimes de changes, crises de change, définition et mise en pratique des solutions de couverture
Réussir à s’imposer sur les marchés internationaux dans un contexte sans cesse imprévisible, voilà un défi pour l’entrepreneur! Le commerce international, 3e édition demeure un outil incontournable pour ceux et celles qui désirent s’initier aux notions théoriques et à la pratique du domaine. De la préparation d’un plan d’affaire à l’étude de marché, du financement aux stratégies de commercialisation, en passant par l’adaptation du produit et la négociation commerciale, l’ouvrage présente les rouages, les enjeux et les techniques propres au commerce international.
Chaque chapitre de l’ouvrage débute par une mise en situation illustrant une facette propre au commerce international. Dans un langage clair et accessible, les notions clés sont ensuite développées et accompagnées de nombreux exemples d’entreprises d’ici. Le lecteur retrouvera en fin de chapitre un résumé de ces notions essentielles, ainsi que des exercices qui lui permettront de faire le point sur les connaissances nouvellement acquises.
Le transport maritime consiste à déplacer des marchandises ou des hommes pour l'essentiel par voie maritime, même si, occasionnellement le transporteur maritime peut prendre en charge le pré-acheminement ou post-acheminement (positionnement d'un conteneur chez le chargeur et son acheminement au port, par exemple). Un tel déplacement sera couvert par un connaissement dans le cadre de la ligne régulière ou d'un contrat d'affrètement dans le cadre d'un service.
1-La gestion des risques achats
Cartographie des risques
Outils et moyens de gestion de risque achat
Processus d’intégration et de pilotage
2-La gestion des risques de la Supply chain
Définitions
Types de risques
Sources de risque
Méthodologie de gestion du risque
3-Étude de cas Dell: pour une culture globale de la gestion des risques logistiques
Réussir à s’imposer sur les marchés internationaux dans un contexte sans cesse imprévisible, voilà un défi pour l’entrepreneur! Le commerce international, 3e édition demeure un outil incontournable pour ceux et celles qui désirent s’initier aux notions théoriques et à la pratique du domaine. De la préparation d’un plan d’affaire à l’étude de marché, du financement aux stratégies de commercialisation, en passant par l’adaptation du produit et la négociation commerciale, l’ouvrage présente les rouages, les enjeux et les techniques propres au commerce international.
Chaque chapitre de l’ouvrage débute par une mise en situation illustrant une facette propre au commerce international. Dans un langage clair et accessible, les notions clés sont ensuite développées et accompagnées de nombreux exemples d’entreprises d’ici. Le lecteur retrouvera en fin de chapitre un résumé de ces notions essentielles, ainsi que des exercices qui lui permettront de faire le point sur les connaissances nouvellement acquises.
Les encaissements documentaires (2).pptxAymenAbbes1
Technique de négociation : C’est une approche ou une méthode générale utilisée pour parvenir à un accord dans une situation de négociation. Les techniques de négociation peuvent inclure des méthodes comme la négociation distributive (ou gagnant-perdant), la négociation intégrative (ou gagnant-gagnant), et la négociation basée sur les intérêts. Ces techniques définissent le cadre global de la négociation et guident la manière dont les parties interagissent tout au long du processus.
Tactique de négociation : C’est une action spécifique ou un ensemble d’actions conçues pour aider à atteindre un objectif spécifique dans le cadre de la technique de négociation choisie. Les tactiques sont souvent utilisées pour influencer le comportement de l’autre partie, pour gagner un avantage ou pour faciliter un accord. Comme mentionné précédemment, les tactiques peuvent inclure le silence, le fractionnement, l’ancrage, la concession réciproque, et le bluff.
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
Les données de Vicinity Jobs englobent plus de trois millions d'offres d'emploi en ligne pour 2023 ainsi que des milliers de compétences. La plupart des compétences apparaissent dans moins de 0,02 % des offres d'emploi, de sorte que la plupart des offres reposent sur un petit sous-ensemble de termes couramment utilisés, comme le travail en équipe.
Laura Adkins-Hackett, économiste, CIMT, et Sukriti Trehan, scientifique de données, CIMT, ont présenté leurs recherches sur les tendances relatives aux compétences répertoriées dans les offres d’emploi en ligne afin de mieux comprendre les compétences les plus en demande. Ce projet de recherche utilise l'information mutuelle spécifique et d'autres méthodes pour extraire davantage d'informations sur les compétences communes à partir des relations entre les compétences, les professions et les régions.
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
Les données d’offres d’emplois en ligne d'entreprises telles que Vicinity Jobs servent de plus en plus de complément aux sources traditionnelles de données sur la demande de main-d'œuvre, telles que les enquêtes sur les postes vacants et les salaires (EPVS). Ibrahim Abuallail, candidat au Ph. D., Université d’Ottawa, a présenté la recherche relative aux biais dans les offres d’emploi en ligne et une approche proposée pour rajuster efficacement les données de ces offres d’emploi afin de compléter les données officielles existantes (telles que celles des EPVS) et d'améliorer la mesure de la demande de main-d'œuvre.
Les offres d’emploi en ligne deviennent une ressource essentielle pour les décideurs et les chercheurs qui étudient le marché du travail. Le CIMT continue de travailler avec les données de Vicinity Jobs tirées des offres d’emploi en ligne, qui peuvent être analysées dans notre
tableau de bord des tendances de l'emploi au Canada. Notre analyse des données provenant des offres d’emploi en ligne a permis d'obtenir des informations précieuses, notamment le
récent rapport
de Suzanne Spiteri sur l'amélioration de la qualité et de l'accessibilité des offres d'emploi afin de réduire les obstacles à l'emploi pour les personnes neurodivergentes.
Utiliser les offres d'emploi en ligne (Vicinity Jobs) et des données d'enquêt...
Expose sur crédit documentaire
1. Expose sur:
Crédit documentaire
Encadré par : Réalisé par :
Mme HABADI Tfarrah ikli noureddine
el housni khalid
LES TECHNIQUES DE PAIEMENTS A
L’INTERNATIONAL :
2. PLAN
Définition de Crédit documentaire
Les intervenants
fonction
Schéma
forme de Credoc
mode de réalisation
avantages et inconvénients
3. DÉFINITION
Un crédit documentaire est un engagement conditionnel de paiement
donné par une banque. Plus précisément, c’est un engagement pris par une
banque (émettrice) et remis au vendeur (bénéficiaire) à la demande et
conformément aux instructions de l’acheteur (donneur d’ordre) d’opérer ou de
faire opérer un règlement, soit en effectuant un paiement, soit en acceptant ou en
négociant des effets de commerce jusqu’à concurrence d’un montant spécifé,
ceci dans un délai déterminé et sur présentation de document prescrit.
5. LES INTERVENANTS
Le donneur d’ordre: C’est l’acheteur qui a négocié un contrat
commercial avec un fournisseur étranger , il donne à sa banque des
instructions d’ouverture du crédit documentaire en faveur de son
fournisseur ou il précise, entre autre, les documents qu’il désire et le
mode de règlement.
La banque émettrice: C’est la banque de l’acheteur qui après avoir
reçu des instructions de son client émet le crédit documentaire, c'est-à-
dire procède à son ouverture.
La banque notificatrice : C’est la banque correspondante de
la banque émettrice dans le pays du vendeur. Elle va notifier au vendeur
l’ouverture du crédit documentaire en sa faveur. Cette banque n’est pas
forcément la banque habituelle du vendeur.
Le bénéficiaire : C’est le vendeur qui est le
« bénéficiaire » de l’engagement bancaire d’être payé.
6. LES FONCTION :
Instrument de sécurité: le vendeur assuré d’être
payé par une banque sûre et crédible ,
Instrument de financement: destiné à financer les
achat de marchandises ,est un crédit de l’importation
Moyen efficace de paiement:
7. LES FORMES DU CREDOC
Crédit documentaire révocable
Crédit documentaire irrévocable
Crédit documentaire irrévocable et confirmé
8. CRÉDIT DOCUMENTAIRE RÉVOCABLE
Peut être annulé ou amendé par la banque émettrice
a tout moment sans que le bénificiaire en soit averti
au préable .
ne procure à l’exportateur aucune sécurité réelle
9. CRÉDIT DOCUMENTAIRE IRRÉVOCABLE
Ne put pas être modifié ou annulé sans accord de toutes les
parties.il constitue donc pour la banque émettrice ,un
engagement ferme de payer le bénéficiaire à vue ou terme à
condition que les termes du crédit soient scrupuleusement
respectés.
La force du crédit documentaire irrévocable réside dans
l’autonomie de l’engagement bancaire par rapport au contrat
commercial
10. CRÉDIT DOCUMENTAIRE
IRRÉVOCABLE ET CONFIRMÉ
A l'engagement irrévocable de la banque émettrice,
la banque confirmatrice s'engage à payer au
bénéficiaire le montant des documents reconnus
conformes, même en cas de survenance
d'évènements politiques ou économiques dans le
pays émetteur ou de défaut de paiement de la
banque émettrice. Il offre donc au vendeur une
sécurité optimale en couvrant les risques commercial,
pays et banque.
11. Le tableau représenté ci-dessous synthèse des avantages et des
inconvénients des formes du réalisation de credoc
12. LES MODES DE RÉALISATION
C’est l’acte par lequel la banque réalise ses engagement
envers le bénéficiaire, si les document sont conformes.la
réalisation du crédoc représente pour le vendeur le
dénouement positif de la sécurité de paiement qu’il choisie
on en distingue :
Réalisable par paiement à vue
Réalisable par acceptation
Réalisable par paiement différré
Réalisable par négociation
13. RÉALISABLE PAR PAIEMENT À VUE
La banque émettrice paie au vu des documents
reconnus conformes.
paiement a la présentation des documents au lieu
désigné.
14. RÉALISABLE PAR ACCEPTATION
utilisé lorsque le vendeur accorde à l’acheteur un
certain délai de paiement
acceptation et/ou paiement de traites et/ou
documents a leur echeance. Le beneficiaire d’un credit
documentaire realisable par acceptation peut etudier,
avec son banquier, la possibilite d’escompter les
traites.
15. RÉALISABLE PAR PAIEMENT DIFFÉRRÉ
paiement a la date ou aux dates d’échéance , fixées
dans les conditions du crédit.
La banque confirmatrice s’engage par écrit, à payer le
bénéficiaire dans le délai fixé par le crédit
documentaire contre présentation de documents
conformes. Aucune traite n’est demandée.
16. RÉALISABLE PAR NÉGOCIATION
la banque désignée pour réaliser le crédit documentaire
achète des traites tirées sur une autre banque et les
documents jugés conformes en acceptant d’avancer les
fonds au bénéficiaire.
régelement de la valeur de la/des traite(s) et/ ou autres
documents par une banque autorisée (nommée).
17. LES AVANTAGES DU CREDOC
a- Bonne sécurité :
Le crédit documentaire est le seul et unique montage bancaire qui entraînant
l'engagement des banques, arrive à concilier les impératifs contradictoires de
sécurité du vendeur et de l'acheteur.
Le vendeur est payé, contre prestations des documents par une banque de son
pays et l'acheteur a payé que contre remise des documents représentatifs en
quantité et en qualité de sa commande car le contrôle des documents est
effectué par un personnel bancaire possèdent les qualités technique pour la
vérification de la conformité des documents
b- Rapidité de paiement :
Quand le crédit est réalisable à vue aux caisses de la banque notificatrice ou si le
crédit est confirmé, le vendeur peut se faire payer d expédition des marchandises
ou de la prestation des services si le crédit documentaire réalisable par
acceptation ou négociation, le vendeur peut mobiliser les traites créés et
alimenter sa trésorerie.
c- Grande précision :
Le crédit documentaire est une technique de grande précision, qui s'appuyant
sur les documents, évite toute interprétation.
d- Universalité :
Cette technique est internationale, elle convient aux règlements de marchandise
ou de service et présente une grande variété de solution de paiement vu les
différents types de Cre doc existants
18. LES INCOVÉNIENT
a- Procédure du complexe :
La multiplicité des types de crédit, des dates butoirs ainsi que les
documents utiliser dans ce mode de paiement rendent le maniement de ce
dernier particulièrement compliqué pour les commerçants.
b- Formalisme rigoureux :
L'engagement des banques dans le paiement par Cre doc rend celles - ci
plus rigoureuse dans l'examen des documents et même en cas de
modification d une des clauses du Cre doc par l une des parties (
importateur ou exportateur ) il faut le consentement de ces banque. Cette
grande sécurité des banques engendre parfois trop de rejet des documents
à première présentation et des retards considérables dans l'arrivée des
documents a l importateur et par conséquent un retard dans le
dédouanement et la réception de la marchandise.
c- Coût élevé :
De très nombreuses commissions et des minima élevé viennent grever le
coût du Cre doc, qui s'avère finalement un instrument onéreux, soit pour le
donneur d'ordre s il prend tous les frais à sa charges, soit pour le donneur
d'ordre et le bénéficiaire si la formule très utilise est appliquée : «toute les
commissions et tous frais perçu hors de pays émetteur sont à la charge du
bénéficiaire ». Les commissions d ouverture et de confirmation sont fonction du
montant et de la durée du crédit qui influent nettement sur le coût.