3. Capitaliser sur notre territoire , la Provence, son attractivité et sa capacité à fédérer. Créer une vrai relation et faire la preuve de la posture généreuse et légère de la marque. Émerger sur une catégorie où la concurrence et les contenus sont multiples.
4. Notre idée : permettre à chacun de faire une courte pause dans sa journée, de RA-LEN-TIR , pour s’échapper dans l’univers Le Petit Marseillais
5.
6. Nos résultats : Recrutement des fans est boosté : +11% 3 semaines après le lancement 13 560 utilisateurs Utilisation moyenne de l’application 2 à 3 semaines 75% des utilisateurs ont entre 25 et 44 ans Temps moyen passé avec la marque 5 minutes 60’
7. Les enseignements pour la suite : Il faut motiver la cible au-delà du seul jeu. Il faut stimuler la concurrence . Il ne faut pas oublier de se renouveler et de faire vivre le dispositif dans le temps .
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Notes de l'éditeur
Un dispositif complet qui repose sur 3 volets : La refonte du site Internet L’occupation régulière de certains carrefours d’audience La montée en puissance sur les réseaux sociaux
Pourquoi développer un « outil relationnel » ? Tout d’abord, pour « occuper le terrain » et empêcher la concurrence de s’approprier nos valeurs, nos attributs, notre imaginaire. Ensuite, pour se distinguer du nombre infinis d’acteurs de la beauté présents en digital : les marques, les portails, les magazines, les blogs, les rubriques spécialisées etc… Enfin, pour donner l’occasion à la marque et à ses consommateurs de se retrouver.
La mission de la marque est claire : Le Petit Marseillais apporte la simplicité, la nature et la joie de vivre du Sud dans le quotidien. Cette promesse de marque, nous l’avons retravaillée pour qu’elle ait du sens dans l’univers digital. Avec Le Petit Marseillais, on peut ralentir, prendre le temps, prendre son temps pour prendre soin de soi.
Lancement de l’appli le 1er décembre : 36 000 fans > 40 000 fans en 3 semaines Durant la campagne de FB ads > 100 installations par jour