La prothèse de hanche par voie antérieure mini-invasiveDidier DHONDT
Amélioration de la technique chirurgicale
Voie d’abord antérieure mini-invasive
Sans aucune section musculo-tendineuse
Permet une récupération rapide :
- Une vie normale en quelques jours
- Sans aucune limitation des mouvements
- Majorité des Sports au bout de 2 mois
- Une hospitalisation de 2 jours
La prothèse de hanche par voie antérieure mini-invasiveDidier DHONDT
Amélioration de la technique chirurgicale
Voie d’abord antérieure mini-invasive
Sans aucune section musculo-tendineuse
Permet une récupération rapide :
- Une vie normale en quelques jours
- Sans aucune limitation des mouvements
- Majorité des Sports au bout de 2 mois
- Une hospitalisation de 2 jours
Prothéses de genoux - Jean Pierre FRANCESCHI; Abdou SBIHI IFMK 2014amfck
La 10ème journée de Rééducation Marseillaise en Kinésithérapie - samedi 17 mai 2014 - Thématique de la journée « LE GENOU, APRES 10 ANS, QUOI DE NEUF ? »
Les amputes des membres tp med physique doc ii g7BACHWEKI
Ce travail sur la prise en charge des amputés des membres a été effectué par les étudiants de la faculté de médecine Deuxieme Doctorat de l'Université de Goma au Nord Kivu de la RDC. Supervisé par Dr Simplice VUHAKA, spécialiste en chirurgie traumatologie (Hopital HEAL Africa)
Syndrôme fémoro-patellaire : quelle place pour la biomécanique et quels trait...Clément Potier
Etat des lieux général sur le syndrome fémoro-patellaire avec les traitements possibles et une attention particulière portées aux semelles orthopédiques et au rôle du pied
NOUVEAUTÉS DANS LA PRISE EN CHARGE DE L’ARTHROSEDr Riyadh Essefi
Conférence présentée par Pr Ag.Rim Akrout, Pr. Soufiene Baklouti (Service de Rhumatologie CHU H CHAKER. Sfax) lors de la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie),
, le 19 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
Prothéses de genoux - Jean Pierre FRANCESCHI; Abdou SBIHI IFMK 2014amfck
La 10ème journée de Rééducation Marseillaise en Kinésithérapie - samedi 17 mai 2014 - Thématique de la journée « LE GENOU, APRES 10 ANS, QUOI DE NEUF ? »
Les amputes des membres tp med physique doc ii g7BACHWEKI
Ce travail sur la prise en charge des amputés des membres a été effectué par les étudiants de la faculté de médecine Deuxieme Doctorat de l'Université de Goma au Nord Kivu de la RDC. Supervisé par Dr Simplice VUHAKA, spécialiste en chirurgie traumatologie (Hopital HEAL Africa)
Syndrôme fémoro-patellaire : quelle place pour la biomécanique et quels trait...Clément Potier
Etat des lieux général sur le syndrome fémoro-patellaire avec les traitements possibles et une attention particulière portées aux semelles orthopédiques et au rôle du pied
NOUVEAUTÉS DANS LA PRISE EN CHARGE DE L’ARTHROSEDr Riyadh Essefi
Conférence présentée par Pr Ag.Rim Akrout, Pr. Soufiene Baklouti (Service de Rhumatologie CHU H CHAKER. Sfax) lors de la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie),
, le 19 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
Enjeux et prise en charge thérapeutique de l'ostéoporoseRéseau Pro Santé
Revue "La gazette du jeune gériatre" n°11 - AJGH - Février 2016
Etat des lieux
Forte prévalence Européenne : 22 millions de femmes et 5,5 millions d’hommes1 concernés.
En France, augmentation attendue du nombre de fractures ostéoporotiques avec pour 2020 : +20.3 % fractures de hanche, +19 % fractures vertébrales et +17 % autres fractures.
Le coût des fractures ostéoporotiques, évalué à 32 milliards d’euros pour l’Europe en 2005, est estimé à 37 milliards d’euros pour 2025.
Malgré un enjeu de morbi-mortalité et économique certain, l’ostéoporose est un problème de santé négligé alors que des moyens diagnostiques et thérapeutiques efficaces existent.
Facteurs de risque d’ostéoporose d’intérêt
Âge > 60 ans, ménopause précoce avant 40 ans, antécédent personnel de fracture de faible traumatisme, antécédent familial de fracture du col au premier degré, corticothérapie au long cours, tabagisme actif ou sevré, faible apport calcique, carence en vitamine D, dénutrition, hyperthyroïdie évolutive non traitée, hypercorticisme, hyperparathyroïdie primitive non traitée, facteurs de risque de chute…
Le score FRAX : http://www.shef.ac.uk/FRAX/tool.jsp?country=12
L’outil FRAX est proposé par l’OMS pour quantifier le risque de fracture. Le résultat est une probabilité à dix ans de fracture de l’extrémité supérieure du fémur et des fractures dites « majeures » (humérus, poignet, fractures vertébrales cliniques). Le calcul de ce score doit constituer une aide à la décision thérapeutique et en aucun cas une indication de traitement.
... reseauprosante.fr
"Le fitness au coeur de la santé..." - Pr François CARRÉLauren Calligrafi
Professeur, Médecin du Sport – Cardiologue, Enseignant Université Rennes 1, Chef du Service de Médecine du Sport CHU Rennes, Past-President du Club des Cardiologues du Sport.
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Vous écouter, vous entourer et apprendre de vos expériences nous permet de préserver votre santé, source essentielle de qualité de vie. Ouverts au monde, nous avançons entourés d’un écosystème de parties prenantes riche et dynamique. Entre le présent et l’avenir, dès les premiers pas, nous créons des points de rencontre pour tisser des liens avec vous et trouver les solutions qui contribuent à votre mieux-vivre. Rester fidèles à nos convictions et apporter la meilleure réponse aux besoins de chacun est un défi au quotidien et la fierté de nos collaborateurs.
Bonne lecture,
La rédaction
When is a joint replacement necessary?
Joint replacement surgery is considered for patients experiencing severe pain and disability from osteoarthritis that has not been adequately controlled by more conservative treatments like physiotherapy and medication. Surgery may be indicated for terminal osteoarthritis or early stage osteoarthritis in a deformed or dysplastic joint. The decision is based on each patient's individual symptoms and functional impairment rather than just x-ray or MRI findings alone. Younger patients are typically first considered for conservative surgeries that can delay the need for a full joint replacement.
Maintain joint flexibility and muscle tone with daily aerobic activity. During flare-ups, avoid stress on joints and prolonged standing. A balanced, low-calorie diet is recommended, as obesity is a risk factor for osteoarthritis. Regular strengthening exercises that are tailored to the type of osteoarthritis can help delay needs for surgery and provide relief from pain and stiffness. Gentle, low-impact sports and assistive devices may also help protect joints and reduce pain.
Osteoarthritis risk factors include:
- Age, as it affects 65% of people over 65 and 80% over 80
- Excess weight and obesity, which increase mechanical stress on joints
- Past injuries, especially ligament tears or meniscal damage, which can lead to knee instability
An official health care protocol coordinates all healthcare professionals involved in treating a patient's condition to ensure the best possible care. This document discusses the protocol for treating osteoarthritis patients. It involves general practitioners overseeing care and referring patients to specialists like rheumatologists or orthopedic surgeons as needed. The protocol's goals are to relieve joint stiffness and pain, encourage exercise and weight control, and consider surgery when joints are severely damaged. A multidisciplinary team including physiotherapists and dieticians helps patients manage their osteoarthritis.
Non-pharmacological treatments for osteoarthritis include patient education, exercises, weight loss, physical aids, diet, and hydrotherapy. These treatments have effects on symptoms and function equivalent to medications but without serious side effects. Specific exercises recommended for osteoarthritis locations include strengthening and range of motion exercises for the knees, hips, fingers, and thumb. Lifestyle recommendations include weight loss for overweight patients, pacing activities, and use of walking sticks.
Osteoarthritis is defined by the presence of joint damage and is most commonly diagnosed through x-ray imaging. While many older individuals have radiographic evidence of osteoarthritis, only a portion experience joint pain and symptoms. The most frequently affected joints are the spine, fingers, knees and hips. Standard x-rays can reveal signs like reduced joint space, bone spurs and cysts. MRI may provide additional details on cartilage damage and other abnormalities but is generally not needed for routine osteoarthritis diagnosis and management.
Osteoarthritis is characterized by the gradual destruction of cartilage and remodeling of subchondral bone. It progresses via an imbalance between the synthesis and degradation of cartilage matrix components. Chondrocytes increase their production of pro-inflammatory and destructive enzymes that break down cartilage faster than it can be repaired. Periodic inflammatory flares occur when this imbalance is exacerbated, causing synovial membrane inflammation and increased pain. Osteoarthritis progression can follow three profiles: slow with no flares, intermittent flares separated by stable periods, or rapid destruction over 6-24 months. Flares indicate accelerated cartilage loss, so treating each painful episode is important.
Osteoarthritis is characterized by cartilage loss, synovial thickening, and bone changes. It commonly affects the knees, hands, and hips. While age is a risk factor, osteoarthritis has both inflammatory and mechanical components and is influenced by hereditary, constitutional, and environmental factors like obesity and joint injury. Excess weight places mechanical stress on cartilage and adipose tissue may contribute through inflammatory cytokines. Osteoarthritis is now considered a distinct disease entity rather than simply wear and tear of aging.
Los consejos que se pueden dar a un paciente con artrosis incluyen: 1) realizar ejercicio físico regular sin impacto para mantener la flexibilidad y fuerza muscular, 2) luchar contra el sobrepeso mediante dieta y ejercicio, y 3) considerar tratamientos como la termoterapia, quinesioterapia o crenoterapia para aliviar el dolor.
La artrosis es una enfermedad que afecta múltiples tejidos articulares como el cartílago, el hueso subcondral y la membrana sinovial. Se caracteriza por una degradación del cartílago asociada a una inflamación de bajo grado en la articulación. Los principales factores de riesgo son la edad, la obesidad, los microtraumatismos repetidos y ciertas enfermedades como la diabetes. El tejido adiposo también puede contribuir a la patogénesis a través de la secreción de adip
El documento describe el itinerario de atención sanitaria para pacientes con artrosis. La artrosis es una enfermedad crónica cuyo tratamiento requiere la participación coordinada de varios profesionales de la salud, incluyendo al médico de cabecera, reumatólogos, cirujanos ortopédicos, fisioterapeutas y dietistas. El objetivo es aliviar el dolor, mejorar la movilidad, fomentar el ejercicio y una dieta saludable, e implementar cirugía de reemplazo de
La artrosis es una patología articular crónica caracterizada por la degradación progresiva del cartílago y reorganizaciones del hueso subcondral. Evoluciona debido a un desequilibrio entre la síntesis y degradación de la matriz cartilaginosa, lo que conduce a su pérdida. Puede seguir tres perfiles evolutivos: lenta y sin episodios, por episodios inflamatorios con alternancia de fases, o destructiva rápida. El dolor es testigo de la agravación de las lesiones durante los episodios inflamatorios
Este documento describe el diagnóstico de la artrosis. La radiografía convencional es el principal examen para diagnosticar artrosis, aunque no muestra directamente daños en el cartílago. La resonancia magnética puede usarse en casos atípicos para ver lesiones en el cartílago y hueso. El diagnóstico precoz de artrosis permite medidas preventivas, aunque a menudo hay disociación entre hallazgos radiológicos y síntomas clínicos.
Este documento discute los tratamientos quirúrgicos para la artrosis, incluidas las prótesis, osteotomías y artrodesis. Explica que la cirugía solo se recomienda después de optimizar los tratamientos médicos y cuando el dolor y la pérdida funcional son graves. La elección del tratamiento quirúrgico depende de factores como la edad del paciente, la gravedad de la artrosis y cualquier anomalía anatómica subyacente.
Las tres oraciones más importantes del documento son:
1) La edad es el principal factor de riesgo de la artrosis, afectando a un 3% de personas menores de 45 años, al 65% de personas mayores de 65 años, y al 80% de personas mayores de 80 años.
2) Otros factores de riesgo importantes incluyen el sobrepeso, actividades que generan tensión mecánica en las articulaciones, antecedentes familiares, y ser mujer después de la menopausia.
3) Las articulaciones más comúnmente afectadas son la columna
El documento describe diferentes tratamientos no farmacológicos para la artrosis, incluyendo ejercicios físicos, pérdida de peso, uso de plantillas, educación del paciente y terapias termales. Se recomiendan ejercicios específicos para diferentes áreas, como fortalecimiento muscular y mejora de la amplitud de movimiento para la rodilla, y ejercicios para mejorar la movilidad para la artrosis digital. La educación del paciente es importante para enseñar ejercicios de auto-rehabilitación y mejorar la adherencia a un
2. Le parcours de soins, de quoi s’agit-il ?
La notion de parcours de soins introduit la notion de travail soignant
collectif, autrement dit la coordination d’un ensemble d’intervenants délivrant
le soin optimal
2
Il se justifie notamment pour les pathologies chroniques dont la prise en charge relève
de différents intervenants, que le médecin se doit de coordonner
L’efficience du parcours de soins (autrement dit le meilleur soin au meilleur coût)
représente pour le Haut Conseil pour l’Avenir de l’Assurance un axe prioritaire pour
défendre la pérennité de l’assurance maladie et de ses principes fondateurs,
notamment une égalité d’accès à des soins de qualité pour tous et une solidarité entre
malades et bien-portants.
Avenir de l’Assurance Maladie : les options du Haut Conseil pour l’Avenir de l’Assurance Maladie (HCAAM)
http://www.securite-sociale.fr/IMG/pdf/l_avenir_de_l_assurance_maladie_les_options_du_hcaam.pdf
Médecine de parcours : un objectif et des enjeux à confirmer. Entretien avec Denis Piveteau, Président du Haut Conseil pour l’Avenir de l’Assurance
Maladie, Le Concours médical, juin 2012 (pages 428-429).
3. Un exemple de maladie chronique
Le diabète de type 2 : cette maladie se développe
rapidement, parallèlement au surpoids et à l’obésité.
Mais bien pris en charge, un diabétique de type 2 va
éviter les nombreuses complications de la maladie :
infarctus, insuffisance rénale, cécité amputations…
La prise en charge du patient chronique nécessite
l’intervention de multiples soignants, aux
compétences complémentaires : c’est le parcours de soins
ou le parcours de santé du patient
3
4. L’arthrose, pathologie chronique
Parce que les patients vivent plus longtemps et que le surpoids progresse,
le nombre de patients arthrosiques ne cesse de croître :
• 65% des personnes de 65 ans ont une arthrose radiologique
• 80% des personnes de plus de 80 ans sont arthrosiques
L’arthrose est une pathologie qui affecte la qualité de vie et pourrait dans
certains cas augmenter la mortalité par majoration du risque
cardiovasculaire liée au moins en partie à la sédentarité
4
La prise en charge du patient arthrosique est plus complexe qu’il n’y
paraît. Il existe un impact en termes de coûts pour la collectivité du fait
du vieillissement de la population et de l’accroissement du nombre de
prothèses posées.
Site de la Société Française de rhumatologie :
http ://www.rhumatologie.asso.fr/04-Rhumatismes/grandes-maladies/0B-dossier-arthrose/A0_definition.asp
5. Les objectifs de la prise en charge du
patient arthrosique
• Ralentir la progression de la maladie
• Limiter la douleur
• Limiter l’enraidissement articulaire
• Combattre l’inflammation tout en réduisant la consommation
d’AINS au long cours et en particulier chez les patients à risques
• Favoriser une activité physique adaptée
• Lutter contre le surpoids
• Recourir à la chirurgie quand elle est nécessaire
5
Site de la Société Française de rhumatologie :
http://www.rhumatologie.asso.fr/04-Rhumatismes/grandes-maladies/0B-dossier-arthrose/sommaire-arthrose.asp
ANSM :
http://www.ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/257d8be960ac8372dbdc513708956d50.pdf
OARSI :
http://www.oarsi.org/pdfs/oarsi_recommendations_for_management_of_hip_and_knee_oa.pdf
6. Les principaux acteurs de la prise
en charge
Les objectifs de la prise en charge du patient arthrosique désignent les
acteurs susceptibles d’intervenir, à commencer par le médecin traitant,
presque toujours un médecin généraliste.
Certains spécialistes sont aussi des acteurs importants de la prise en charge du
patient arthrosique.
• Le rhumatologue : le médecin généraliste peut faire appel à un avis
spécialisé devant des cas compliqués à prendre en charge, en raison de
douleurs rebelles, de lésions importantes, pour faire des ponctions
articulaires le plus souvent suivies d’infiltrations avec un dérivé cortisoné
ou un acide hyaluronique.
• Le chirurgien orthopédiste : quand une pose de prothèse où une chirurgie
correctrice devient nécessaire (hanche ou genou notamment)
• Le radiologue : les radiographies permettent de poser le diagnostic et
d’évaluer l’importance des lésions articulaires
• Voire l’endocrinologue pour l’encadrement d’une perte de poids
6
7. Les principaux acteurs de la prise
en charge
Le pharmacien d’officine, formé pour délivrer des
conseils aux patients souffrant d’une maladie
chronique ayant fait l’objet d’un diagnostic médical.
Et divers paramédicaux, en particulier :
Le kinésithérapeute : pour apprendre à mobiliser
convenablement une articulation touchée par
l’arthrose et pour renforcer les muscles qui stabilisent
l’articulation touchée.
Le nutritionniste ou la diététicienne : pour lutter contre un
surpoids ou une obésité.
7
8. Le médecin traitant, chef d’orchestre
du parcours de soin
Chaque patient doit avoir son médecin traitant, presque toujours
un médecin généraliste. C’est celui qui connaît le mieux son
patient, son histoire médicale mais aussi ses conditions de vie
(situation familiale, sociale et professionnelle).
Le médecin traitant orientera son patient vers d’autres acteurs de
santé notamment pour favoriser une prise en charge
kinésithérapeute, diététicienne ou nutritionniste…) ou pour
demander un avis spécialisé (rhumatologue, chirurgien
orthopédiste…).
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9. Faut-il faire des examens ?
Les seuls examens essentiels chez le patient arthrosique sont ceux qui
vont permettre d’évaluer précisément l’état des articulations. C’est la
radiographie standard des articulations. Il n’est pas nécessaire de
procéder à des examens plus sophistiqués, notamment IRM ou scanner,
qui n’ont aucune utilité pour faire le diagnostic d’arthrose.
9
Quand les faire ? Des radiographies
standard sont essentielles pour poser le
diagnostic, sachant qu’il est rarement
utile de les refaire, sauf lorsque se discute
un geste chirurgical ou que l'on suspecte
une arthrose rapidement évolutive.
En revanche, il n’y a pas de bilan sanguin particulier à faire. La
réalisation d’un scanner ou d’une IRM reste exceptionnelle.
Site de la Société Française de rhumatologie :
http://www.rhumatologie.asso.fr/04-Rhumatismes/grandes-maladies/0B-dossier-arthrose/sommaire-arthrose.asp
Radiographie de hanches de face Coxarthrose D supéro
externe (état) ; débutante à G.
10. Le recours au chirurgien
La décision de remplacer une articulation abîmée
par une prothèse n’est pas une décision simple.
Elle va dépendre notamment de :
• L’impact de l’arthrose sur la qualité de vie du patient.
• L’âge du patient et ses maladies associées.
• En fait de son espérance de vie.
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Avant l’intervention, il est recommandé
•de faire des activités physiques pour « préparer » les muscles, les tendons et
les ligaments aux rôles qui seront les leurs une fois la prothèse posée et pour
réduire au maximum l’enraidissement articulaire,
•et comme avant toute intervention chirurgicale, d’arrêter de fumer, ce qui
permet de diminuer le risque d’infection et d’améliorer les suites
postopératoires, afin qu’elles soient les plus légères possibles.
Site de la Société Française de rhumatologie :
http://www.rhumatologie.asso.fr/04-Rhumatismes/grandes-maladies/0B-dossier-arthrose/sommaire-arthrose.asp
11. Le traitement thermal est-il légitime
dans le parcours de soin d’un patient
arthrosique ?
Une étude récente montre qu’une cure thermale
peut améliorer les symptômes douloureux de
l’arthrose du genou.
La cure thermale semble apporter des bénéfices
pour reprendre une activité physique adaptée,
modifier ses habitudes alimentaires et perdre du
poids dans le cadre de programmes d’éducation
thérapeutique.
En cela, la cure thermale peut être utile dans le
parcours de soin d’un patient arthrosique.
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