Présentation de la société EOS et de ses équipements de stéréo radiographie à faible dose. Présentation de l'innovation dans le parcours de soin: passage de l'examen d'imagerie à la modélisation 3D et biomarqueur clinique puis au outils 3D pour le traitement personnalisé
CHU FORT DE FRANCE NEUROCHIRURGIE
Dr MANZO NORBERT CHEF DE SERVICE NEUROCHIRURGIEN
Title
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Description (3000 characters remaining)
CHU FORT DE FRANCE NEUROCHIRURGIE
Dr MANZO NORBERT CHEF DE SERVICE NEUROCHIRURGIEN
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Revue "Radioactif" n°23 - UNIR - Avril 2016
La radiologie interventionnelle ostéo-articulaire (ou musculo-squelettique) peut se définir comme la réalisation percutanée, guidée par l’imagerie, d’une procédure diagnostique ou thérapeutique sur l’appareil locomoteur.
Le champ et les indications sont donc très larges, avec différents niveaux de complexité. On peut distinguer :
1/ les procédures légères comme les ponctions et injections articulaires, les injections de bourses séreuses, les infiltrations rachidiennes ;
2/ les procédures de niveau intermédiaire comme les discographies, les biopsies des tissus mous, les biopsies osseuses ;
3/ les procédures lourdes comme les vertébroplasties et les expansions vertébrales, les cimentoplasties du pelvis, les ostéosynthèses et les ablations tumorales percutanées.
Les patients sont adressés principalement par des spécialistes en rhumatologie, rééducation / MPR, médecine du sport, médecine interne et infectieuse, oncologie, hématologie, et chirurgie orthopédique.
http://www.reseauprosante.fr/
Présentation de la société EOS et de ses équipements de stéréo radiographie à faible dose. Présentation de l'innovation dans le parcours de soin: passage de l'examen d'imagerie à la modélisation 3D et biomarqueur clinique puis au outils 3D pour le traitement personnalisé
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Revue "Radioactif" n°23 - UNIR - Avril 2016
La radiologie interventionnelle ostéo-articulaire (ou musculo-squelettique) peut se définir comme la réalisation percutanée, guidée par l’imagerie, d’une procédure diagnostique ou thérapeutique sur l’appareil locomoteur.
Le champ et les indications sont donc très larges, avec différents niveaux de complexité. On peut distinguer :
1/ les procédures légères comme les ponctions et injections articulaires, les injections de bourses séreuses, les infiltrations rachidiennes ;
2/ les procédures de niveau intermédiaire comme les discographies, les biopsies des tissus mous, les biopsies osseuses ;
3/ les procédures lourdes comme les vertébroplasties et les expansions vertébrales, les cimentoplasties du pelvis, les ostéosynthèses et les ablations tumorales percutanées.
Les patients sont adressés principalement par des spécialistes en rhumatologie, rééducation / MPR, médecine du sport, médecine interne et infectieuse, oncologie, hématologie, et chirurgie orthopédique.
http://www.reseauprosante.fr/
Aspect particulier en traumatologie pédiatriqueROBERT ELBAUM
L ’enfant n’est pas un petit adulte
Particularités propres à la traumatologie pédiatrique
Connaissance du potentiel de remodelage mais ne pas le surestimer
Connaissance RX des points d ’ossifications
Résumé :
Les malocclusions de classe II sont fréquemment rencontrées en orthodontie, celles-ci nécessitent
un contrôle d’ancrage optimal pour la réussite de leur traitement, une exigence que les moyens
d’ancrage conventionnels ne peuvent satisfaire.
Le contrôle d’ancrage est donc un élément fondamental pour la réussite des traitements de ces
dysmorphoses, c’est pourquoi, le recours aux minivis devient de plus en plus courant dans la
pratique de l’orthodontie, car ces dernières offrent un ancrage absolu qui satisfait les exigences du
praticien, et permettent aussi de s’affranchir de la coopération du patient.
Cependant, il est indispensable de maitriser les principes de biomécanique appliqués aux minivis, et
d’établir une bonne planification du traitement pour la réussite de ce dernier. Le praticien doit
déterminer au préalable le nombre de minivis nécessaires à la réalisation du déplacement voulu, le
site de positionnement ainsi que la mécanique utilisée.
Abstract:
Class II malocclusions are reported as frequently encountered in orthodontic, they require an
optimal anchorage control for the success of their treatment, a requirement that conventional
anchorage means cannot satisfy.
Anchorage control is therefore a fundamental element for the treatment success of these
malocclusions, which is why the use of miniscrews is becoming more and more common in the
practice of orthodontics, because they offer an absolute anchorage that satisfies the orthodontist
requirements, and also allow to overcome the cooperation of the patient.
However, it is essential to master the principles of biomechanics that are applied to miniscrews, and
to establish a good treatment planning for the success of it. The orthodontist must first determine
the number of miniscrews necessary to achieve the desired movement, the positioning site and the
mechanics that will be used.
L’édition 2013 du congrès Nord-Américain d’Imagerie Médicale (RSNA) s’est tenue du 1er au 6 décembre 2013, réunissant plus de 53000 radiologues et professionnels de l’Imagerie Médicale. La Société Française de Radiologie, en partenariat avec les Laboratoires GUERBET, a permis à 10 jeunes radiologues de participer à cette édition 2013 du RSNA. Sélectionnés par leurs inter-régions d’origine, ils ont présenté leurs travaux, assisté aux sessions scientifiques et de formation continue, rencontré les industriels, avant de profiter de la vie nocturne de Chicago. Recherche et innovations instrumentales étaient au programme des séances de travail quotidiennes. Ils ont directement participé à la rédaction de ce rapport, qui sans pouvoir être exhaustif, met en avant certaines avancées instrumentales ainsi que les points forts et nouveautés scientifiques dans chacune des spécialités.
Catherine Oppenheim, CH Sainte-Anne, Paris
Ont participé cette année
Jean-Baptiste MEYER, interne au CHU de Nancy dont les thématiques de recherche sont centrées autour de l’imagerie ostéo-articulaire. Il est auteur de 2 posters au RSNA 2013.
Anthony DOHAN, Chef de Clinique Assistant au CHU Lariboisière, dont les thématiques de recherche sont centrées sur imagerie digestive/ interventionnelle. Il est auteur et co-auteur de 4 posters au RSNA 2013.
Lambros TSELIKAS, interne à Paris, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie Interventionnelle en particulier en oncologie. Il est co-auteur de 2 posters et 5 communications au RSNA 2013.
Constance de MARGERIE MELLON, étudiante en master 2 à Paris après avoir validé son DES à Paris, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie thoracique et neurologique.
Francesco MACRI, Chef de Clinique Assistant au CHU de Nîmes, dont les thématiques de recherche sont centrées sur les urgences thoraciques et abdominales, digestives.
Suonita KHUNG, Chef de Clinique Assistante au CHRU de Lille, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie thoracique.
Roxane MERILLON, Chef de Clinique Assistant au CHU de Caen, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie ostéoarticulaire et sénologie.
Pierre DURAND, interne au CHU de Grenoble, radiologie, dont les thématiques de recherche sont centrées sur la neuro-radiologie, l’imagerie oncologique et interventionnelle. Il est auteur d’une communication primée au RSNA 2013.
Vincent HUMMEL, Chef de Clinique Assistant au CHU de Limoges, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie digestive.
Mélanie KULIK, interne au CHU d’Angers, dont les thématiques de recherche sont centrées sur la sénologie, l’imagerie abdominale et génito-urinaire. Elle est auteur d’un poster au RSNA 2013.
C’est leur rapport que nous vous présentons dans les pages suivantes.
reseauprosante.fr
L’Institut de radiologie: à la pointe de l’imagerie médicaleJulia Pearl
Le dossier: Institut de radiologie
Interview: L. Walpen, délégué aux
relations de la Genève internationale
Portrait: I. Boissel, ICUS 3e étage
Conférence: Satisfaction des patients
Conférence: Robot Da Vinci® S et 3D
Exposition: Lennart Nilsson à la CGB
Aspect particulier en traumatologie pédiatriqueROBERT ELBAUM
L ’enfant n’est pas un petit adulte
Particularités propres à la traumatologie pédiatrique
Connaissance du potentiel de remodelage mais ne pas le surestimer
Connaissance RX des points d ’ossifications
Résumé :
Les malocclusions de classe II sont fréquemment rencontrées en orthodontie, celles-ci nécessitent
un contrôle d’ancrage optimal pour la réussite de leur traitement, une exigence que les moyens
d’ancrage conventionnels ne peuvent satisfaire.
Le contrôle d’ancrage est donc un élément fondamental pour la réussite des traitements de ces
dysmorphoses, c’est pourquoi, le recours aux minivis devient de plus en plus courant dans la
pratique de l’orthodontie, car ces dernières offrent un ancrage absolu qui satisfait les exigences du
praticien, et permettent aussi de s’affranchir de la coopération du patient.
Cependant, il est indispensable de maitriser les principes de biomécanique appliqués aux minivis, et
d’établir une bonne planification du traitement pour la réussite de ce dernier. Le praticien doit
déterminer au préalable le nombre de minivis nécessaires à la réalisation du déplacement voulu, le
site de positionnement ainsi que la mécanique utilisée.
Abstract:
Class II malocclusions are reported as frequently encountered in orthodontic, they require an
optimal anchorage control for the success of their treatment, a requirement that conventional
anchorage means cannot satisfy.
Anchorage control is therefore a fundamental element for the treatment success of these
malocclusions, which is why the use of miniscrews is becoming more and more common in the
practice of orthodontics, because they offer an absolute anchorage that satisfies the orthodontist
requirements, and also allow to overcome the cooperation of the patient.
However, it is essential to master the principles of biomechanics that are applied to miniscrews, and
to establish a good treatment planning for the success of it. The orthodontist must first determine
the number of miniscrews necessary to achieve the desired movement, the positioning site and the
mechanics that will be used.
L’édition 2013 du congrès Nord-Américain d’Imagerie Médicale (RSNA) s’est tenue du 1er au 6 décembre 2013, réunissant plus de 53000 radiologues et professionnels de l’Imagerie Médicale. La Société Française de Radiologie, en partenariat avec les Laboratoires GUERBET, a permis à 10 jeunes radiologues de participer à cette édition 2013 du RSNA. Sélectionnés par leurs inter-régions d’origine, ils ont présenté leurs travaux, assisté aux sessions scientifiques et de formation continue, rencontré les industriels, avant de profiter de la vie nocturne de Chicago. Recherche et innovations instrumentales étaient au programme des séances de travail quotidiennes. Ils ont directement participé à la rédaction de ce rapport, qui sans pouvoir être exhaustif, met en avant certaines avancées instrumentales ainsi que les points forts et nouveautés scientifiques dans chacune des spécialités.
Catherine Oppenheim, CH Sainte-Anne, Paris
Ont participé cette année
Jean-Baptiste MEYER, interne au CHU de Nancy dont les thématiques de recherche sont centrées autour de l’imagerie ostéo-articulaire. Il est auteur de 2 posters au RSNA 2013.
Anthony DOHAN, Chef de Clinique Assistant au CHU Lariboisière, dont les thématiques de recherche sont centrées sur imagerie digestive/ interventionnelle. Il est auteur et co-auteur de 4 posters au RSNA 2013.
Lambros TSELIKAS, interne à Paris, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie Interventionnelle en particulier en oncologie. Il est co-auteur de 2 posters et 5 communications au RSNA 2013.
Constance de MARGERIE MELLON, étudiante en master 2 à Paris après avoir validé son DES à Paris, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie thoracique et neurologique.
Francesco MACRI, Chef de Clinique Assistant au CHU de Nîmes, dont les thématiques de recherche sont centrées sur les urgences thoraciques et abdominales, digestives.
Suonita KHUNG, Chef de Clinique Assistante au CHRU de Lille, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie thoracique.
Roxane MERILLON, Chef de Clinique Assistant au CHU de Caen, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie ostéoarticulaire et sénologie.
Pierre DURAND, interne au CHU de Grenoble, radiologie, dont les thématiques de recherche sont centrées sur la neuro-radiologie, l’imagerie oncologique et interventionnelle. Il est auteur d’une communication primée au RSNA 2013.
Vincent HUMMEL, Chef de Clinique Assistant au CHU de Limoges, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie digestive.
Mélanie KULIK, interne au CHU d’Angers, dont les thématiques de recherche sont centrées sur la sénologie, l’imagerie abdominale et génito-urinaire. Elle est auteur d’un poster au RSNA 2013.
C’est leur rapport que nous vous présentons dans les pages suivantes.
reseauprosante.fr
L’Institut de radiologie: à la pointe de l’imagerie médicaleJulia Pearl
Le dossier: Institut de radiologie
Interview: L. Walpen, délégué aux
relations de la Genève internationale
Portrait: I. Boissel, ICUS 3e étage
Conférence: Satisfaction des patients
Conférence: Robot Da Vinci® S et 3D
Exposition: Lennart Nilsson à la CGB
CHU FORT DE FRANCE NEUROCHIRURGIE Poster prothèse cervicale discocervNorbert Manzo
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L’élastographie ShearWave™ dans la prise en charge des patientes atteintes d...Joel Gay
Avec 100 publications scientifiques publiées à ce jour, l’élastographie ShearWave™ (SWE™) de SuperSonic Imagine reste la technique d’élastographie la plus étudiée pour la caractérisation des lésions mammaires.
Lors de ce webinaire, nous allons vous présenter les résultats cliniques et les bénéfices liés à l’utilisation de SWE™ dans l’imagerie du sein.
Spine Unit Lombalgies et Radiculalgies des Guidelines à la pratiqueMichel Triffaux
Matinée scientifique du CHWapi
Invitée Dr P Jonckheer: trajet de soins national KCE
Prise en charge aux urgences, Place de la Médecine Physique, Place du kinésithérapeute, Place de la Pain clinic, Place de la Radiologie, Place de la chirurgie et Spine Unit mode d'emploi.
Présentation par différentes disciplines de la Spine Unit du CHwapi.
1) Cellular Matrix is an all-in-one injection of hyaluronic acid and platelet-rich plasma for fibrocartilaginous tears, osteoarthritis, and bone marrow lesions.
2) A study of over 1500 procedures found Cellular Matrix injections to be effective for lower limb issues like the knee in 92.8% of cases.
3) A trial of 71 patients with knee osteoarthritis who had previously failed hyaluronic acid treatment found significant pain reduction and a 94.4% response rate following Cellular Matrix injections, indicating it may be effective when other treatments have failed.
Injections Intra-Articulaires « Single Shot » de Facteurs de Croissance et d’...Regenlab
This document discusses intra-articular injections of hyaluronic acid and platelet-rich plasma (PRP-HA) for the treatment of orthopedic injuries and conditions. It provides details on the preparation and administration of PRP-HA injections, and summarizes results showing benefits for meniscal lesions, knee osteoarthritis, and hip labral tears/osteoarthritis. Positive outcomes included reduced pain and inflammation, improved joint function, decreased meniscal/labral lesions, and delayed progression of osteoarthritis. No significant side effects were reported.
3. « PLUS DE PRECISION et 10 FOIS MOINS d’IRRADIATION ! »
EOS est une nouvelle technique d’imagerie médicale qui permet de réaliser une imagerie
globale du corps du patient, à 2 et 3 dimensions, à des doses d’irradiation 10 fois inférieures à celle de la
radiologie conventionnelle et jusqu'à 1 000 fois moindres que celles du scanner.
EOS apporte ainsi une solution révolutionnaire dans un contexte où l’irradiation liée aux examens
radiologiques a augmenté de 600 % dans les vingt dernières années.
Le bénéfice d’EOS est particulièrement important en pédiatrie, car les enfants sont
soumis à des examens radiographiques tout au long de leur croissance, alors que leurs
organes sont très sensibles aux radiations ionisantes.
Le bénéfice d’EOS est également significatif pour les adultes qui sont soumis à des radiations ionisantes lors
d’examens de radiologie conventionnelle ou de scanner.
EOS vise particulièrement :
- le diagnostic,
- le suivi,
- le bilan préopératoire,
- la surveillance postopératoire dans les pathologies dégénératives et déformatives ostéo-articulaires.
4. RACHIS : dépistage et suivi des scolioses chez l’adulte et surtout chez l’enfant
· Scolioses idiopathiques
La basse dose de radiation pour permettre :
- des bilans réguliers,
- des images de qualité équivalente sur toutes les parties du rachis,
La 3D pour assurer :
- le calcul automatique des rotations axiales de chaque niveau vertébral en charge
· Etude des déformations rachidiennes
· Evaluation de l’équilibre postural
MEMBRE INFERIEUR : Etude des déformations des membres inférieurs, des articulations des hanches ou des genoux
· Chirurgie prothétique
· Inégalité de longueur :
Images à l’échelle 1 pour diminuer les erreurs
La 3D pour assurer des mesures plus précises en cas de flessum ou recurvatum.
· Hanche : calcul automatique des paramètres de la hanche indépendamment de l’orientation spatiale du col fémoral grâce à la 3D
· Genou : paramètres fémoraux-tibiaux , notamment l’angle fémoro-tibial dans le plan bi-condylien postérieur, même si ce dernier n’était pas bien
placé lors de l’acquisition grâce à la 3D.
L’Examen corps entier permet l’étude des interactions rachis/membres inférieurs
5. Pour le médecin généraliste ou le spécialiste, c’est :
• L’acquisition simultanée de deux images, face et profil, du corps entier ou segmentaire en 2D ou 3D,
• Des interactions entre le rachis, le bassin et les membres inférieurs pour une vision globale du patient
• Une qualité d'image exceptionnelle en charge !
Pour le patient, c’est :
• Une réduction de la dose de radiation de près
de 90% par rapport à un système de radiologie classique
• Un examen rapide : moins de 20 secondes en cabine
6. Vous souhaitez prescrire une radiographie avec EOS à votre patient
Dès le 16 OCTOBRE 2017
Nous ouvrons des vacations journalières sur uniquement Rendez-Vous
Assurez-vous simplement que votre patient puisse tenir en position debout pendant 2 minutes et immobile durant 20 secondes.
EOS bénéficie d’une prise en charge par l’assurance maladie.