1. Technique de Ponction injection directe Docteur Bruno BURCHERI, angiologue, Clinique des Diaconesses, Strasbourg 1947 _ 2010
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
14. GVS en mm POLIDOCANOL 2.5 ml < 5 mm Plutôt du 1% De 6 à 8 mm plutôt 2% > 9 mm < 12 mm (pour la ponction directe) plutôt 3% PVS < ou > 4 mm 1 et 2% Néo vaisseaux/ Perforantes 1 à 2% de 1 à 2.5 ml
15.
16. Coleridge Philip EJVES 2006 1109 MI 6 mois/11 mois 40% pdv 88% oblitération 91% amélioration clinique C.Hamel Etude Mousse 3/1 EJVES 2007 2 ans 68% d’occlusion C.Hamel, Ouvry EJVES 2008 2 ans (moyen terme) Pol 3%, 53% d’occlusion Pol Liquide 3%, 12% Chapman, Browne Phlebology 2009 5 ans (long terme) 203 MI Occlusion 73% 1 an Varices 4% à 5 ans Reflux 64% Satisfaction 100 % Nael R , Rathbun S . Vasc Med. 2009 Sept. Cohorte de 2 ans de 166 patients (217 jambes) 99% Occlusion complète après 1 à 2 séances
17.
18.
19.
20.
21.
Notes de l'éditeur
elle permet désormais de réaliser un acte parfaitement sécurisé au niveau des zones de reflux dans les carrefours vasculaires dangereux ou des perforantes en évitant les injections intra artérielles.
Même si le rapport ANAES 2004 ne tranche pas clairement pour la mousse, il la décrit comme une utilisation possible qui permet d’utiliser moins de produit
d’où découlent les différentes variantes de la technique.
Erreurs de biais puisque les bords latéraux ne sont pas visibles.
1 ère ; ceci suppose au préalable une bonne exploration écho doppler incluant le repérage des artères et artérioles de voisinage ;
La mousse permet d’obtenir une longueur d’occlusion 2 fois supérieure au liquide, (pigmentations, douleur, ecchymoses, inflammation) ; c’est la contention naturelle du fascia pour les suffusions de mousse et de sang quasi inévitables.
D’autre préconise de reporter le traitement à une session ultérieure puisque des réactions tardives se viennent quelques fois
Les veines sont inférieurs à 12 mm parès c’est plutot Laser
Autrement dit tous les stades de la maladie veineuse primitive ou secondaire quelque soit la zone anatomique du moment qu’un reflux est authentifié à l’échodoppler.
Nice insiste sur les effets systémiques possibles, ne tranche pas sur la sécurité, considère mousse plus efficace sur le court terme
2005 : FDA valide le Laser 2009 : les autorités australiennes valident le Laser endoveineux