La parasitologie médicale comporte des approches différentes mais complémentaires : - les parasites et champignons microscopiques en tant qu’agents pathogènes avec leurs morphologies et leurs biologies propres.
- le parasitisme forme particulière et dépendante entre deux organismes vivant en relation étroite.
- la maladie parasitaire ou mycosique et son environnement, résultats pathologiques du contact précédent entre le parasite ou champignon et son hôte. Cette relation entre l’hôte et son parasite se situe dans un environnement influant intervenant dans l’épidémiologie et la lutte contre les grandes endémies parasitaires exotiques.
Les milieux de culture en BactériologieS/Abdessemed
Parmi les milieux de culture, on distingue : Les milieux d'isolement qui sont le plus souvent solides et de composition simples pour permettre le développement de plusieurs espèces bactériennes. Les milieux sélectifs qui favorisent artificiellement la croissance d'une espèce au détriment des autres.
ce cours de systématique bactérienne s'adresse aux étudiants graduant en médecine ou en pharmacie. il s'interésse a la descritpion générale de la famille des Enterobacteriaceae et se focalisant sur les 4 genres les plus pathogènes a savoir : Escherichia coli , Yersinia , Salmonella et Shigella.
La bactériologie médicale est une branche de la Biologie médicale qui consiste en l'analyse de divers liquides biologiques (parfois de tissus) dans le but d'isoler et/ou de caractériser une ou des bactéries pouvant être responsables de la pathologie suspectée à l'aide de techniques directes ou indirectes.
La parasitologie médicale comporte des approches différentes mais complémentaires : - les parasites et champignons microscopiques en tant qu’agents pathogènes avec leurs morphologies et leurs biologies propres.
- le parasitisme forme particulière et dépendante entre deux organismes vivant en relation étroite.
- la maladie parasitaire ou mycosique et son environnement, résultats pathologiques du contact précédent entre le parasite ou champignon et son hôte. Cette relation entre l’hôte et son parasite se situe dans un environnement influant intervenant dans l’épidémiologie et la lutte contre les grandes endémies parasitaires exotiques.
Les milieux de culture en BactériologieS/Abdessemed
Parmi les milieux de culture, on distingue : Les milieux d'isolement qui sont le plus souvent solides et de composition simples pour permettre le développement de plusieurs espèces bactériennes. Les milieux sélectifs qui favorisent artificiellement la croissance d'une espèce au détriment des autres.
ce cours de systématique bactérienne s'adresse aux étudiants graduant en médecine ou en pharmacie. il s'interésse a la descritpion générale de la famille des Enterobacteriaceae et se focalisant sur les 4 genres les plus pathogènes a savoir : Escherichia coli , Yersinia , Salmonella et Shigella.
La bactériologie médicale est une branche de la Biologie médicale qui consiste en l'analyse de divers liquides biologiques (parfois de tissus) dans le but d'isoler et/ou de caractériser une ou des bactéries pouvant être responsables de la pathologie suspectée à l'aide de techniques directes ou indirectes.
Ce cours s'adresse aux étudiants graduant en médecine ou en pharmacie. il comporte toutes les connaissances de bases nécessaires a la compréhension de l’importance de ce groupe spécial de bactéries et son impacte en santé humaine et animale. ce cours s’intéresse aux deux groupes majeures classés cliniquement en anaérobies commensaux et sporulés environnementaux .
Techniques de concentration en parasitologieS/Abdessemed
les nombreux et parfois volumineux débris alimentaires, la masse des cadavres bactériens, tout cela encombra la dilution et gène l'observation microscopique. En éliminant ces éléments inutiles, en éclaircit les préparation et simultanément on augmente la concentration des parasites..
Ainsi, privés des particules sans intérêt parasitaire, les œufs et larves de vers, de même que les kystes de protozoaires éventuellement contenus dans une masse fécale volumineuse se concentrent dans un faible volume et sont immédiatement décelables
Cinq espèces plasmodiales infectant l'homme: commentaire - Présentation de la 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Sangare Cheick Papa Oumar - Mali - Oumar@MRTCBKO.org
diagnostic sérologique de Salmonella typhi, de salmonella para typhi A,B et C et éventuellement de salmonella typhi –murium et Salmonella enteritidis...
cette conférence de travaux pratique s'adresse aux étudiants graduant en sciences médicales , il aborde les aspects élémentaires de la pratique au laboratoire de microbiologie ainsi que des aspects relatifs au diagnostic microbiologique.
ce document s'adresse au étudiants en médecine dentaire et est une introduction simple au fonctionnement d'une bactérie et des méthodes utilisés pour leurs études.
Le S.I.D.A - Des Sciences fondamentales à la clinique Abdelatif KAHLOULA
Cette présentation, 1ère d'une série de deux, Aborde la question du Syndrome d'ImmunoDéficience Humaine sur les deux volets l'immunologie et de la virologie. Destinée aux étudiant de médecine en cycle clinique, elle a pour objectif de reprendre les aspects fondamentaux de cette thématique à savoir l'étude du HIV, agent responsable de ce syndrome, ainsi que le mécanisme d'installation et d'entretien de cette infection.
Ce cours s'adresse aux étudiants graduant en médecine ou en pharmacie. il comporte toutes les connaissances de bases nécessaires a la compréhension de l’importance de ce groupe spécial de bactéries et son impacte en santé humaine et animale. ce cours s’intéresse aux deux groupes majeures classés cliniquement en anaérobies commensaux et sporulés environnementaux .
Techniques de concentration en parasitologieS/Abdessemed
les nombreux et parfois volumineux débris alimentaires, la masse des cadavres bactériens, tout cela encombra la dilution et gène l'observation microscopique. En éliminant ces éléments inutiles, en éclaircit les préparation et simultanément on augmente la concentration des parasites..
Ainsi, privés des particules sans intérêt parasitaire, les œufs et larves de vers, de même que les kystes de protozoaires éventuellement contenus dans une masse fécale volumineuse se concentrent dans un faible volume et sont immédiatement décelables
Cinq espèces plasmodiales infectant l'homme: commentaire - Présentation de la 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Sangare Cheick Papa Oumar - Mali - Oumar@MRTCBKO.org
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cette conférence de travaux pratique s'adresse aux étudiants graduant en sciences médicales , il aborde les aspects élémentaires de la pratique au laboratoire de microbiologie ainsi que des aspects relatifs au diagnostic microbiologique.
ce document s'adresse au étudiants en médecine dentaire et est une introduction simple au fonctionnement d'une bactérie et des méthodes utilisés pour leurs études.
Le S.I.D.A - Des Sciences fondamentales à la clinique Abdelatif KAHLOULA
Cette présentation, 1ère d'une série de deux, Aborde la question du Syndrome d'ImmunoDéficience Humaine sur les deux volets l'immunologie et de la virologie. Destinée aux étudiant de médecine en cycle clinique, elle a pour objectif de reprendre les aspects fondamentaux de cette thématique à savoir l'étude du HIV, agent responsable de ce syndrome, ainsi que le mécanisme d'installation et d'entretien de cette infection.
ce cours est destiné aux étudiants graduant en médecine et en pharmacie. il résume les aspects épidémiologiques, cliniques, diagnostic et thérapeutiques relatifs a l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine
Le développement de vaccins contre le paludisme - Conférence de la 1ère édition du Cours international « Atelier Paludisme » - MERCEREAU-PUIJALON Odile
Paludisme : les parasites qui rendent malade - Conférence de la 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - RANDRIANARIVELOJOSIA Milijaona - Madagascar - milijaon@pasteur.mg
Mini projet sur " Le virus des oreillons "hibahbaieb
Le virus des oreillons, Myxovirus parotidis, est responsable des oreillons, une maladie virale qui affecte l’enfant autant que les adultes. Ceci est un petit projet qui explique brièvement cette maladie realisé par Hiba Hbaieb étudiante à ISSBAT (Institut Superieur Des Sciences Biologiques Appliquées de Tunis )
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Novascope Télécoms et Réseaux Informatiques en BtoB 2023Enov
Depuis 1996, nous mesurons la digitalisation des entreprises françaises grâce à notre observatoire Novascope Télécoms et Réseaux informatiques en B2B. Découvrez quelques résultats exclusifs de la vague 2023.
3. Pour la santé humaine :
Les virus causent des maladies chez l’Homme:
il faut donc limiter leur propagation et lutter contre les
maladies virales (vaccination et médicament antiviraux)
4. Pour l’agriculture et l’élevage :
les virus infectent aussi les plantes cultivées et les
animaux d’élevages. Il faut limiter leur action
5. En industrie
Les bactériophages: Pour préparer de nombreux
produits laitiers, on ajoute au lait des cultures de
bactéries (appelées levains).Un des problèmes majeurs
de cette industrie laitière est la présence de virus
(phages) qui détruisent les levains et empêchent la
production de continuer. L’industrie essaie donc de
surmonter ce problème en respectant des règles
d’hygiène strictes et en utilisant des bactéries résistant
aux phages.
6. des bactéries utiles à l’industrie peuvent être infectées
et détruites par des virus. Il faut pouvoir éviter ces
infections.
7. définition
Particule microscopique infectieuse possédant un seul
type d'acide nucléique (ADN ou ARN) qui ne peut se
répliquer qu'en pénétrant dans une cellule et en
utilisant sa machinerie cellulaire. Les virus sont en
général des germes pathogènes.
8. QU'EST-CE QU'UN VIRUS ?
1/ les virus ne contiennent qu’un seul type d’acide
nucléique (ADN ou ARN) qui constitue le génome
viral.
2/ les virus se reproduisent à partir de leur matériel
génétique et par réplication.
3/ les virus sont doués de parasitisme intracellulaire
absolu.
11. Le génome
Un virus comporte toujours un génome qui est du
DNA ou du RNA, de sorte que dans la classification des
virus on distingue en premier lieu virus à
DNA et virus à RNA. Ce génome peut-être
monocaténaire (simple brin) ou bicaténaire (double
brin)
12. La capside
Le génome est emballé dans une structure protéique
appelée capside, d'un mot grec, capsa, signifiant
boîte. La capside protège le génome. Elle a une
conformation géométrique qui, selon les virus est, soit
tubulaire, soit polyédrique.
On appelle nucléocapside la structure compacte
formée par l'assemblage de la capside autour du
génome.
14. nucléocapside polyèdrique: Ce n'est pas n'importe
quel polyèdre mais un icosaèdre : polyèdre à 20 faces
qui sont des triangles équilatéraux, et 12 sommets. Vu
sous un certain angle, l'icosaèdre présente un contour
hexagonal.
15.
16. L'enveloppe
c'est l'élément le plus externe de certains virus
C’est une membrane, dérivée des membranes
cellulaires, cytoplasmique ou nucléaire
19. Un exemple de virus : le
bactériophageLe bactériophage est un virus nu puisqu’il ne possède pas
d’enveloppe. Sa capside à une forme de polyèdre. De plus, il
possède des fibres qui lui permettent de se fixer sur les
bactéries qu’il infecte
20. REPRODUCTION DES VIRUS
Les virus ne peuvent pas se reproduire tout seul. Ils
sont obligés d’infecter des cellules : ce sont donc des
parasites
21. Les principales étapes du cycle de
reproduction d’un virus sont :
L’adhésion du virus sur la cellule
La pénétration du génome viral dans la cellule
La multiplication du virus dans la cellule.
La libération des nouveaux virus qui s’accompagne
parfois par la destruction de la cellule (lyse)
22. Pour les bactériophages, il existe deux types de
cycle selon l'immunisation de la bactérie :
Le cycle lytique : L'ADN viral est rapidement
transcrit et entraîne la formation d'une enzyme qui va
dégradé l'ADN de la bactérie. Il y a ensuite production
des protéines structurales pour former les capsides,
puis production d'une enzyme qui va digérer la paroi
bactérienne et provoquer l'éclatement (ou lyse) de la
bactérie, permettant la libération des virus.
23. Le cycle lysogénique : Dans ce cas, l'ADN viral s'intègre à
l'ADN de la bactérie hôte, on l'appelle alors prophage. Il y a
alors production d'une enzyme qui inactive les autres gènes
du prophage. Celui-ci sera répliquer à chaque division
bactérienne, permettant ainsi une multiplication du virus
sans provoquer la mort de la cellule hôte. Ce n'est que sous
l'influence de facteurs environnementaux que le prophage
est réactivé, et entraîne la lyse de la bactérie. Lors de sa
phase silencieuse, il est fréquent que le prophage perturbe
l'activité bactérienne. Ainsi certaines bactéries produisent
des toxines dans ces conditions (cas de la diphtérie)
24.
25. Classification des virus
Il en existe deux qui font autorité :
la classification Baltimore, proposée par David Baltimore,
lauréat du prix Nobel de médecine en 1975, qui est basée
sur le type d'acide nucléique des virus (ADN ou ARN) et
son mode d'expression
la classification de l'Mondial Committee on Taxonomy of
Viruses (ICTV), qui utilise une méthode assez comparable
à celle existant pour les êtres vivants où les virus sont
rangés par ordre, famille, sous-famille, genre et espèce.
Ces deux méthodes de classifications ne sont pas
antagonistes et peuvent particulièrement s'intégrer l'une à
l'autre, car la classification de l'ICTV reprend certains
critères de la classification Baltimore.
26. Classification par type de génome
Virus à ADN
Groupe I - Virus à ADN à double brin
Ordre des Caudovirales (bactériophages à queue).
Famille des Myoviridæ - exemple phage T4
Famille des Podoviridæ
Famille des Siphoviridæ - exemple phage λ
Non attribué
Famille des hépadnaviridæ - exemples les virus humains de
l'hépatite B ou VHB
Famille des Herpesviridæ - exemples les virus humains de
l'herpès ou le VZV (virus varicelle-zona)
27. Groupe II - Virus à ADN à simple brin
bactériophages non classés
Famille des Inoviridæ
Famille des Microviridæ
Virus non classés
Famille des Geminiviridæ
Famille des Circoviridæ
28. Virus à ARN
Groupe III - Virus à ARN à double brin
Famille des Reoviridæ - exemples Rotavirus ou Orthoreovirus
Famille des Hypoviridæ
Groupe IV - Virus à ARN simple brin à polarité
positive (Virus (+) ssARN ou de type ARN
messager)
Ordre des Nidovirales (Virus "nidifiés")Famille des Arteriviridæ
Famille des Coronaviridæ - exemple Coronavirus
29. Groupe V - Virus à ARN simple brin à polarité
négative
Ordre Mononegavirales (virus à polarité négative non-
segmentés)Famille des Bornaviridæ - Borna disease virus
Famille des Filoviridæ - exemple virus Ebola, virus de
la Fièvre hémorragique de Marbourg
Virus à polarité négative segmentésFamille des Arenaviridæ -
exemples virus de la fièvre de Lassa, virus Junin (fièvres
d'Amérique du Sud)
Famille des Bunyaviridæ -
exemple Bunyavirus Phlebovirus Hantavirus
30. Genres non classés
Genre Deltavirus - exemple virus de l'Hépatite delta
Genre Ophiovirus - exemple Citrus psorosis virus
Groupe VI - rétrovirus à ARN simple brin
Famille Metaviridæ
Famille Pseudoviridæ
Groupe VII - Pararétrovirus à ADN double brin
Famille Hepadnaviridæ - exemple virus de l'Hépatite B
Famille Caulimoviridæ - exemple virus de la mosaïque du
choux-fleur
32. Exemple de virus grippe
La famille des la famille des Orthomyxoviridae
Cette famille se divise en deux genres : les
Influenzavirus et les Thogotovirus .
Le genre Influenzavirus se distingue en trois types A, B
et C. Cette classification repose sur la nature
antigénique de la nucléocapside, tous les virus
appartenant à un même type possédant la même
nucléoprotéine .
33. Les virus de type A sont classés en sous-types en
fonction de leurs antigènes de surface :
l’hémagglutinine (H ou HA) et la neuraminidase (N ou
NA).
il existe seize hémagglutinines et neuf neuraminidases
recensées chez les oiseaux d’où un grand nombre de
sous-types d’Influenzavirus A
34. Les virus Influenza sont désignés selon une
nomenclature officielle proposée par le Comité
d’experts de l’Organisation Mondiale de la Santé
(OMS). Leur dénomination comporte :
- le type antigénique A, B ou C,
- l’espèce animale dont le virus a été isolé,
- la localisation géographique de l’isolement (pays ou
ville),
- un numéro de référence ou un nom,
- l’année d’isolement, - pour les virus Influenza type
A, l’identification des sous-types H et N
35. exemple : A/Dinde/Angleterre/199/79 (H7N7) est un
virus de type A, isolé en 1979 chez la dinde en
Angleterre
39. Symptôme chez l’oiseau:
Après une période d’incubation de 3 à 5 jours, l’oiseau
infecté manque d’appétit, ne pond plus et présente des
symptômes digestifs, respiratoires et nerveux.
Les individus les plus sensibles meurent rapidement
au terme d’une septicémie hémorragique
40. Modes de transmission
- par inhalation de gouttelettes infectées
- par contact direct (présence du virus sur les mains
des malades et les surfaces inertes)
41. Diagnostique biologique de la
grippe aviaire
Il repose sur la mise en évidence du virus grippal, ou de
ses antigenes, sur différents prélèvements :
écouvillonnage nasopharyngé, aspiration
nasale, expectoration et liquide de lavage nasal.
L'immunofluorescence est une méthode largement
utilisée et d'une bonne sensibilité ; elle permet de
diagnostiquer soit la grippe A ou la grippe B, soit la
grippe A/B parmi cinq autres virus respiratoires.
42. Les méthodes immunoenzymatiques (comme l'ELISA)
permettent la mise en évidence du virus influenza A
L'utilisation de ces tests rapides n'est en général pas
recommandée par l'OMS pour le diagnostic des
infections humaines dues à un virus grippal aviaire. Ils
permettent le diagnostic d'une grippe de type A ou B.
Technique de RT-PCR Elle permet d'amplifier
le genome viral, de détecter spécifiquement
un ARNviral et donc d'identifier le type et le sous-type
viral
43. traitement
Antiviraux
Ces molécules inhibent l’activité d’une enzyme du
virus, la neuraminidase. Elles peuvent être utilisées
en traitement curatif, et l’une d’elle en traitement
préventif.