4. A. COLLYRE:
-dont le véhicule est liquide.
-contenant de conservateur
-composition est soumise à des règles strictes
de tolérance et de stabilité
-action: immédiate
breve:donc plusieurs instillations
maximale :au niveau de la conjonctive,
couche superficielle de la cornée.
5. But: étude de la réfraction /examen FO.
therapeutique:prevenir ou rompre
synéchies.
mettre l’œil au repos.
Mode d’action:
-paralysie du sphincter irien:
Parasympatholytique.
7. Parasympatholytiques:
-atropine:0,3%0,5%pour enfant
1% pour l’adulte
mydriase+paralysie de
l’accommodation.
effet prolonge(6à8j).
risque d’allergie.
-tropicamide (mydriatique):
mydriase rapide mais fugace.
le plus couramment utilise en
ophtalmo.
9. -contraction de la pupille.
-abaissement du tonus oculaire.
-on distingue:
les parasympathomimetiques:cholinergiques
dans le traitement du GFA .
la pilocarpine: myotique le plus classique.
le glaucostat.
Les anti cholinesterasiques:
eserine:la plus utilisée.
10. -dans les états irritatifs.
-conjonctivites peu intenses.
nitrates d’argent.
bleu de méthylène.
hexamidine
11. -presque tous les ATB actuels sont utilises en
collyres.
néomycine
gentamicine
ofloxacine/norfloxacine
rifamycine
13. -steroidiens:les corticoides
.trt de choix d’affections oculaires
inflammatoires ou allergiques.
.dangereux:-retard de cicatrisation
-dissémination de maladie
virale/mycosique
- augmentation du TO
-cataracte.
.contre indication: ulcère fluo+.+++
-non steroidiens:indometacine
.dans la chirurgie du segment antérieur.
17. -les bétabloquants:
diminuer la sécrétion de l’humeur
aqueuse.
timoptol
carteol 1%2%
carteol lp
-inhibiteurs de l’ anhydrase carbonique:
diminuer la sécrétion de HA
dorzolamide
brinzolamide
-prostaglandines:
augmentation du flux uveo scléral de l’HA
latanoprost
travoprost
20. -quelques collyres ont leurs équivalent en pommade.
-avantages:
.emploi de substances insolubles dans l’eau.
. fréquence d’instillation diminuée
(application le soir).
-inconvénients:
.+allergisante/collyre.
.l’excipient peut gêner la vision.
21. C-1:injections sous conjonctivales:
-concentration du produit dans la CA
+élevée/collyres ou par voie générale.
ATB dans les infections.
CTC dans les inflammations.
adrénaline pour rompre synéchies.
22. C-2:injections intracamerulaires:
- injection directe dans la CA de
substance active.
-rarement ATB: antibioprophylaxie
dans la chirurgie segment antérieur.
C-3 injections intra vitréenne:
- injection dans le vitre :
.ATB: endophtalmie
.anti viraux: rétinites nécrosante à CMV
.CTC/anti VEGF: œdèmes maculaire,
DMLA exsudative, rétinopathie ischémiques.
23. -affections oculaires graves en association avec un trt local.
A-antibiotiques:
abcès de cornée/endophtalmie/dacryocystites
parentéral puis per os.
B- corticoïdes:
solumedrol en flash intraveineux puis per os
à dose lentement dégressive.
uveites/pseudoinflammatoire/neuropathie
optique /ophtalmopathie basedowienne
24. C-3:les immunosuppresseurs:
en milieu hospitalier.
effets secondaires importants donc
surveillance stricte
uvéites récidivantes et graves.
C-4: hypotonisants généraux:
a -inhibiteurs de l’ anhydrase carbonique:
CP:250 inj:500
25. . diminuer la sécrétion de l’humeur aqueuse
donc TO
. fuite potassium .
b -agents osmotiques:
mannitol 20% en iv dans les hypertonies
oculaires aigues.
26. Trt local est toujours associé au trt général
assurant de [ ] élevées du principe actif au
niveau de l’ œil.
Souligner l ’interêt de connaitre les différentes
classes therapeutiques et les règles
d’utilisation.