ppt sur les couts de transaction

1. Professeur: RYAHI Abdellatif
Réalisé par : ELORCH Othman
MARZOUQ Ayoub
KADIRI Abdelkader 2022-2023
MASTER GESTION DES RESSOURCES HUMAINES
Théorie des coûts de transaction
Sociologie des organisations
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2. Plan
Introduction
Chapitre I: Concept des coûts de transaction d'après R.COASE
1- Les hypothèses de la TCT.
2- Typologie des coûts de transaction.
3- Les formes de coordinations.
Chapitre II: WILLIAMSON et l'approfondissement de la théorie des coûts de
transaction
1-Les hypothèses de la théorie du coût de transaction.
2-Les attribues de la transaction.
3-La matrice des gouvernances.
Chapitre III Application de la TCT
1-Les apports de la TCT
2-Les limites de la TCT
Conclusion
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3. INTRODUCTION
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4. OLIVER WILLIAMSON
Oliver Eaton Williamson, né le 27
septembre 1932 à Superior et mort
le 21 mai 2020 à Berkeley, est un
économiste américain connu pour
son travail réalisé sur la théorie des
coûts de transaction
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5. RONALD COASE
Né en 1910, dans une famille
modeste, Ronald Coase est
un économiste britannique. Il a reçu
le prix Nobel en 1991 pour
l'ensemble de son œuvre, et plus
particulièrement pour son fameux
théorème.
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6. La théorie des coûts de transaction s'inscrit dans le cadre de la
théorie des organisations. Elle s'attache à expliquer l'existence
d'organisations économiques fondées sur la hiérarchie par l'existence
de coûts de transaction.
Théorie des Coûts de Transactions
Echange
Transaction
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7. La théorie des coûts de transaction s'inscrit dans le cadre de la
théorie des organisations. Elle s'attache à expliquer l'existence
d'organisations économiques fondées sur la hiérarchie par l'existence
de coûts de transaction.
Chapitre I: Concept des coûts de
transaction d'après R.COASE
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8. La théorie des coûts de transaction s'inscrit dans le cadre de la
théorie des organisations. Elle s'attache à expliquer l'existence
d'organisations économiques fondées sur la hiérarchie par l'existence
de coûts de transaction.
La théorie des coûts de transaction (TCT) développée par Ronald Coase (1937)
puis Oliver Williamson (1975) s’intéresse aux avantages de la firme par rapport
au marché, et à leurs limites .
Pour R.coase l’explication vient de que, si le marché est le mode le
plus efficace d’allocation des ressources
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9. La théorie des coûts de transaction s'inscrit dans le cadre de la
théorie des organisations. Elle s'attache à expliquer l'existence
d'organisations économiques fondées sur la hiérarchie par l'existence
de coûts de transaction.
1. Les hypothèses de la théorie du coût de transaction selon R.coase:
L’existence de la firme se justifie ainsi par l’existence de coûts de transaction (ou
coûts de marché) qui peuvent notamment résulter de :
Incertitude
Asymétries d’information et opportunisme des
agents
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10. La théorie des coûts de transaction s'inscrit dans le cadre de la
théorie des organisations. Elle s'attache à expliquer l'existence
d'organisations économiques fondées sur la hiérarchie par l'existence
de coûts de transaction.
 Incertitude: peut empêcher des vendeurs de se lancer dans la production
d’un bien au succès incertain.
 Asymétries d’information et opportunisme des agents : Le modèle de CPP
supposait la transparence de l’information. En pratique, un agent qui
s’engage dans une transaction peut disposer de plus d’information que les
autres.
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11. La théorie des coûts de transaction s'inscrit dans le cadre de la
théorie des organisations. Elle s'attache à expliquer l'existence
d'organisations économiques fondées sur la hiérarchie par l'existence
de coûts de transaction.
2 .Typologies des coûts de transaction
 La totalité des coûts induits par ces actions forment les coûts de transaction.
Carl J. Dahlman les regroupe en trois catégories :
1) «coûts de recherche et d'information»: comparaison du rapport qualité/prix
des différentes prestations proposées, étude de marché etc.
2) «coûts de négociation et de décision» :par exemple les coûts qui sont propres
au contrat rédaction et conclusion d'un contrat .
3) «coûts de surveillance et d'exécution» : contrôle de la qualité de la prestation,
vérification de la livraison etc.
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12. La théorie des coûts de transaction s'inscrit dans le cadre de la
théorie des organisations. Elle s'attache à expliquer l'existence
d'organisations économiques fondées sur la hiérarchie par l'existence
de coûts de transaction.
La hiérarchie
Le Marché
Selon R.Coase, on distingue deux modes de coordination :
3 . Les formes de coordinations:
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13. La théorie des coûts de transaction s'inscrit dans le cadre de la
théorie des organisations. Elle s'attache à expliquer l'existence
d'organisations économiques fondées sur la hiérarchie par l'existence
de coûts de transaction.
 La « hiérarchie » Coase affirme que si la firme existe, c'est justement parce
qu'elle permet d'économiser les coûts de transaction nécessaire sur un marché.
c'est-à-dire l'acte d'autorité ou ordre.
 Le marché
 on fait recours au marché lorsque on a le coût d’organisation est
supérieure au cout de transaction
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14. La théorie des coûts de transaction s'inscrit dans le cadre de la
théorie des organisations. Elle s'attache à expliquer l'existence
d'organisations économiques fondées sur la hiérarchie par l'existence
de coûts de transaction.
CHAPITRE II : WILLIAMSON et l’approfondissement de la
théorie des coûts de transaction
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15. L’analyse de Coase a été par la suite reprise et complétée par les travaux de
Williamson. Ce dernier s’est basé sur les travaux de Simon, Arroux et
Schindler.
Dont son objectif est de chercher comment les caractéristiques de
transactions déterminent les formes organisationnelles ?
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16. Les facteurs explicatifs
Il existe plusieurs types de facteurs qui peuvent expliquer la formulation de la
théorie de Williamson sur les coûts de transaction.
Ces facteurs sont de deux types:
Des hypothèses comportementales Des caractéristiques des transactions
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17. La rationalité limitée:
D’après Herbert Simon (Prix Nobel d’économie en 1978) c’est l’incapacité à être
totalement informé et à comprendre et prévoir les réactions des employés des
fournisseurs, des clients et des concurrents.
Remise en cause des hypothèses de choix rationnel de l’analyse néoclassique standard
par Simon, à savoir:
La connaissance de tous les choix possibles par les agents .
La connaissance des conséquences de ces choix .
La capacité à comparer ces conséquences, quelle que soit leur diversité, en les
ramenant à un indicateur unique.
Des hypothèses comportementales
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18. L'opportunisme :
Deux sortes d’opportunisme:
Ex-ante : Les personnes cachent des intentions ou des informations
Ex-post : Les personnes utilisent les éléments non inscrits sur un contrat pour tirer
avantage de tout évènement imprévu qui se présenterait
La confiance n'est pas un concept opérationnel. Toutefois, dans la gestion interne
des organisations, plus la confiance existe entre partenaires et plus leur sentiment
d'appartenance et d'identité est fort, plus l'organisation sera efficace.
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19. Des caractéristiques
de transactions
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20. La spécificité des actifs:
Un actif est dit spécifique, lorsqu’un agent économique y aura investi d’une façon
volontaire, pour une transaction donnée ,et qu’il ne pourra être redéployé pour une
autre transaction sans un coût élevé.
(ex: un chemin de fer en Allemagne ne pourra pas être déplacé en Russie sans
engager des coûts très élevés).
« Le concept de spécificité des actifs est particulièrement important puisqu’il
influence de façon très substantielle les coûts de transaction, mais également la
nature du produit et de la technologie qui feront l’objet de la transaction. La
spécificité des actifs influence donc le résultat des transactions en termes de choix
stratégiques et des coûts de production… » Ghertman 1994
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21. La fréquence des transactions
Elle peut être unique, occasionnelle ou récurrente.
La fréquence n'est pas l'attribut des transactions le plus important, et n’est pas
beaucoup développée par Williamson.
Cependant on peut supposer que, si les transactions sont récurrentes, alors le coût de
transaction va baisser et inversement.
Intuitivement, on comprend que si l’on effectue une seule transaction dans un cadre
de rationalité limitée et d’opportunisme, alors les transferts de droits sont
relativement plus coûteux.
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22. L’incertitude:
L’incertitude est le fait qu’il ne soit pas possible de dresser la liste de toutes les
éventualités qui peuvent provenir dans une entreprise, ou s’il est impossible de
leur attribuer une probabilité de réalisation.
On référence ainsi deux types d’incertitude :
L’incertitude exogène: c’est-à-dire qui relève de l’environnement (technologique,
légal, réglementaire, concurrentiel…)
L’incertitude stratégique: c’est-à-dire concernant les tâches que l’entreprise
effectue en interne, mais qui fait également référence à l’opportunisme des
agents.
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23. Les attributs de la transaction.
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24. Williamson indique que la transaction est définie par son coût et que les
coûts de transaction varient avec les caractéristiques de la transaction qui
sont :
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25. Laspécificitédesactifs:
La
spécificité
de l’actif
humain.
La
spécificité
de l’actif
physique.
La
spécificité
du site.
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26. L'incertitude
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27. La fréquence
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28. Pour définir la forme d’organisation de la transaction la plus appropriée d’après le
postulat comportemental des acteurs (rationalité limitée/ opportunisme),
Williamson propose un tableau dit matrice des gouvernances :
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29. 29

30. Contrat classique
Ce type de contrat correspond à l'échange tel que pratiqué traditionnellement dans
un mécanisme de marché, c'est-à-dire une transaction ponctuelle dont l'objet est
parfaitement délimité et, où toutes les éventualités sont prévues.
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31. Contrat néo-classique
Dans ce cas, il n'est pas possible de prévoir à l'avance l'ensemble des éventualités et les
adaptations qui seront nécessaires, il y a donc possibilité de comportements
opportunistes, pouvant occasionner des conflits dans la mise en place du contrat.
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32. Contrat bilatéral
Il se deroule entre des contractants qui restent autonomes
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33. Contrat personnalisé
s’impose quand la durée et la complexité des liens deviennent très importantes, de telle
sorte que se constituent des relations personnalisées durable prenant en compte les
caractères des partenaires.
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34. Chapitre III: Application de la TCT
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35. 1) Les apports de la TCT:
 Trois domaines de remise en cause pour les entreprises:
* L’intégration verticale (internalisation)
Était considérée comme la meilleure solution pour l'entreprise en
termes d’organisation et de contrôle.
Développement de l’externalisation: les frontières de l’entreprise sont
devenues floues.
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36.  Le Taylorisme – division scientifique du travail
a) Apparition de la concurrence asiatique
=> Entreprises de cette région y compris les japonaises n’obéissent
pas à l’OST
=> Suppression de la division scientifique du travail.
=> Diminution du nombre de contrôleurs de gestion, planificateurs et
autres hommes d'état major des entreprises
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37. La TCT explique les mouvements d’internalisation et d’externalisation.
But: minimiser les coûts de transaction.
Problème: Le coût de transaction peut-il réellement se calculer?
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38. 1ère limite:
Si l’hypothèse de rationalité limitée est retenue, comment rendre l’arbitrage
entre marché et hiérarchie possible ?
Les formes de coordination doivent:
- être comparables
- pouvoir être évaluées en termes de coûts.
Les coûts doivent pouvoir être évalués
- Coûts du marché
- Coûts de l’externalisation : n’est possible qu’après
cette dernière effectuée.
NE PERMET PAS DE PRÉVOIR LES COÛTS DE MANIÈRE FIABLE.
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39. 2ème limite:
Quand faut-il réfléchir à l'alternative marché/hiérarchie ?
Si cet arbitrage doit se faire à tout moment…
Veille permanente des agents économiques :coût de la recherch d’informations
Alternance permanente entre marché et hiérarchie:
coût du changement organisationnel
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40. Conclusion
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41.  Coase R (1987) « the nature of the firme », Economica, vol 4, pp 389-405, 1937
 Dahlman C. J., « The Problem of Externality », The Journal of Law
 Edouard BARREIRO, La dynamique de l’organisation de l’industrie, thèse du
doctorat, 2006.
 Economics, vol. 22, n ̊ 1, avril 1979, p. 148 cité par Coase R., L’entreprise, le marché et le droit
d'Organisation, 2005, p. 23
 Jean-Michel Plane, Théorie des organisations, Paris, Dunod, 2003, 2ème édition.
 Organisations, Marchés et Réseaux « Le gouvernement d’entreprise » Pierre-
Yves Gomez.
BIBLIOGRAPHIE
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42. Dubois, U.(2006) Economie des Réseaux, des Organisations et des Marchés accessible
au http://www.grjm.net/documents/Ute-Dubois/TD_3.pdf
Ghertman,M (2008) Application pratique de la théorie des coûts de transaction accéssible
http://www.hec.fr/var/fre/storage/original/application/252a7f1f27a9b708afc1cd9884e360
24.pdf
Intec( 2009) La théorie des coûts de Transaction accessible au http://www.cnamintec.fr
Sciences Po :EP de Paris(2008) La théorie des coûts de transaction accessible au
http://www.supportscoursenligne.sciences-po.fr
WEBOGRAPHIE
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