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Web 2 - Tice

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Web 2 - Tice

  1. 1. FLE, Web 2.0 et Tice Les enjeux de l'enseignement et de l’apprentissage du FLE par les Tice Bruno Marchal , université Thammasat – Phnom Penh 2013
  2. 2. L'@telier - 2008 2 • « Que l’on maîtrise mieux les technologies éducatives avec suffisamment de distance pour les introduire sans les systématiser, et il y a fort à parier pour qu’une grande partie des élèves y trouve bénéfice (…) chacun pourra peut-être trouver une situation où il pourra s’approprier le savoir proposé… ». Philippe Meirieu L'école, mode d'emploi des "méthodes actives" à la pédagogie différenciée - ESF éditeur, Paris, 1985, 13° édition, 2000
  3. 3. PLAN Introduction : 2 paradigmes • Objectifs et enjeux • TIC – NTIC • Technopédagogie Typologie des TICE : 5 familles Nouvelles fonctionnalités Web 2.0 • Le web 2. 0 est collaboratif • Utilisateur passif ≠ utilisateur actif • les outils Conclusion • Pratiques de classe et recherches 3
  4. 4. Introduction • un très vieux conflit existe entre deux visions, deux paradigmes opposés dans la conception qu’on se fait de l’acquisition des savoirs : • celui de l’enseignement (pratiques instructivistes, transmissives, descendantes, le plus souvent réalisées dans un cadre formel) • et celui de l’apprentissage (pratiques constructivistes, transactionnelles, ascendantes, le plus souvent réalisées dans un cadre informel). • Les Tice et le Web 2.0 remettent l’apprenant au centre de ses apprentissages 4
  5. 5. • apprendre à rechercher et à trier les informations en fonction des besoins ; • avoir un regard critique sur l'information délivrée par les moteurs de recherche ; • informer et expliquer les méfaits du « copillage » ; • expliquer les bienfaits du partage de connaissances et du travail collaboratif ; • offrir un large choix de pratiques pédagogiques, partout, à tout moment ; • suivre les progrès et « pister » les efforts. Objectifs et enjeux 5
  6. 6. TIC – NTIC • Les notions de technologies de l'information et de la communication (TIC) et de nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) (en anglais, Information and communication technologies, ICT) regroupent les techniques utilisées dans le traitement et la transmission des informations, principalement de l'informatique, de l'Internet et des télécommunications. 6
  7. 7. TICE – NTE • Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Enseignement (TICE) ou les Nouvelles Technologies pour L'Education (NTE) recouvrent les outils et produits numériques pouvant être utilisés dans le cadre de l'enseignement et l’apprentissage. Ils sont conçus et utilisés pour produire, traiter, entreposer, échanger, classer, retrouver et lire des documents numériques. 7
  8. 8. Technopédagogie • Les moyens technologiques ciblés et utilisés par les enseignants viennent soutenir le recours à des pédagogies actives. Ils sont mis au service de l’apprentissage des étudiants. Les technologies sont donc considérées comme des moyens et non comme une fin en soi. La finalité de ces innovations est l’amélioration de la qualité des apprentissages. 8
  9. 9. TYPOLOGIE DES TICE On distingue cinq grandes familles de ressources : • Les banques de données • les manuels numériques • les outils de travail personnel • les simulateurs et systèmes experts • les dispositifs techno-pédagogiques 9
  10. 10. Banques de données • Ce sont des documents numériques (textes, images, vidéos...) pouvant être utilisés comme supports de cours et d'illustrations par l'enseignant ou pouvant servir comme source d'information pour les élèves lors de recherche documentaire. 10
  11. 11. Manuels numériques • Ce sont des cours préparés en traitement de texte et qui sont enrichis de données nouvelles (illustrations visuelles ou sonores, vidéos...) et d‘un outil de navigation unique. 11
  12. 12. Outils de travail personnel • Les exerciseurs, ou les laboratoires personnels capables de s'adapter au niveau des apprenants, à leurs objectifs et à leurs parcours. 12
  13. 13. Simulateurs, systèmes experts • permettant de modéliser les phénomènes étudiés et d'en faire varier les paramètres. On peut trouver ainsi les idéateurs (conceptualiseurs permettant de réaliser des cartes heuristiques) ou les jeux sérieux. 13
  14. 14. Dispositifs technopédagogiques • de travail collectif, de mise en réseau, de communication. Ce sont les outils les plus nombreux : wiki, partage de documents, plateformes, r éseaux sociaux, logiciels de communication instantanée etc. 14
  15. 15. NOUVELLES FONCTIONNALITÉS Avec un accès à Internet quasi généralisé et la mobilité des outils et des terminaux, on assiste à une nouvelle manière d’enseigner et à un nouvel apprenant : 1. De nouvelles pratiques 2. Un modèle pédagogique adapté 3. La pratique du tutorat 15
  16. 16. Nouvelles ressources => nouvelles pratiques • Les outils de communication, de partage, d’interaction et de mobilité se développent. Ils engendrent de nouvelles ressources. • Les éducateurs et les institutions développent alors des méthodes d'appropriation et d'usage des outils qui peuvent être très variables d'un éducateur à l'autre. • Une pédagogie des TICE se façonne actuellement et prend sa source dans les savoirs issus des sciences de l'éducation. 16
  17. 17. Un modèle pédagogique adapté • Utiliser les TICE implique une scénarisation de l’apprentissage qui prend en compte deux types de pédagogies : • le constructivisme (Jean Piaget 1964) impliquant le concept de recherche de sens, d’évaluation formative intégrée, la découverte active • le cognitivisme (Jérôme Bruner 1970) impliquant le concept de “conflit socio-cognitif” avec des pairs, un environnement particulier, l’utilisation de l’erreur dans le développement, 17
  18. 18. La pratique du tutorat • Dans cette approche, le professeur n’est plus simplement un instructeur faisant un cours “ex cathedra” (= depuis la chaire) magistral • Cela nécessite des compétences de la part du professeur/ tuteur plus larges que les compétences de l’instructeur 18
  19. 19. WEB 2.0 Le terme est inventé en 2004 par Dale Dougherty de la société O'Reilly_Media En 2008, toutes les technologies de la communication convergent, s’assemblent, fournissent l’image, le son, le lien, la géolocalisation. 19
  20. 20. Le web 2.0 est collaboratif • Chacun peut créer du contenu sur Internet (texte, audio, vidéo, photo), et le partager. • Ses défenseurs prônent l’utilisation des applications en ligne gratuites ou facturées à la demande (c’est-à-dire des services) plutôt que des logiciels installés sur les postes personnels et dont il faut être propriétaire des licences. • Ainsi les utilisateurs sont des co-développeurs et non des consommateurs du Web. 20
  21. 21. Web 1.0 lire utilisateur passif représentation éditeur publie du contenu réservé aux experts taxonomie catégories a priori hiérarchique indifférenciation (global) îlots séparés formats propriétaires tous droits réservés © logiciels / produits amélioration par cycles / versions le PC comme terminal d’accès bureau local (desktop) production suites logicielles (intégrées) interfaces complexes et limitées logique de l’offre innovation descendante Web 2.0 + écrire + utilisateur actif + participation + approvisionnement par contribution + ouvert à tous + folksonomie + mots-clés (tags) marquages spontanés + non-hiérarchique + personnalisation (local) + briques de légo + standardisation / micro-formats / GPL + quelques droits réservés (CC) + applications / services en ligne + amélioration continue + atawad (any time any way any device) + bureau web (webtop) + partage / collaboration + suites servicielles (personnalisables) + interfaces simples et riches + logique de l’usage + innovation ascendante 21
  22. 22. Web 1.0, 2.0 ou 3.0 ? Dans les dix prochaines années, nous connaîtrons le Web en temps réel, l'interopérationnalité des systèmes, l'intégration accrue des jeux en ligne, des mondes virtuels et des portails 3D dans l'éducation, les entreprises et nos vies. La présence d'agents intelligents et de widgets permettra aux usagers de personnaliser Internet selon leurs intérêts et leurs groupes d'amis ou de relations. L'usager devient consommateur, producteur et diffuseur. 22
  23. 23. Les outils du web 2.0 • Publication d’articles et commentaires (Blogspot) • Écriture collaborative (Wikispaces) • Réseaux sociaux (Ning, Facebook, Linkedin) • Idéateurs et conceptualisateurs (Mindmeister) • Sauvegarde dans le “nuage” Cloud computing (Box) • Messageries instantanées (Skype, Yahoo m!) • Agrégateurs (Netvibes) et fils (RSS) d’informations • Services de « marque-page social » ou « partage de signets » (Delicious, Digg) • Publications audio et vidéo (YouTube, podcast) • Bureautique, traitement de texte, présentation (Googledocs, Zoho) 23
  24. 24. 24
  25. 25. contraction de Web Log • Système dynamique de gestion de site web à partir duquel une ou plusieurs personnes s’expriment régulièrement sous la forme de billets classés par ordre chronologique peuvent interagir avec leurs visiteurs via les commentaires • Outil d’auto-publication et de conversation 25 blogue
  26. 26. partage de photos • Sites sur lesquels on peut téléverser et télécharger des photographies et des vidéogrammes afin de les faire partager à un groupe d’utilisateurs ou de les intégrer dans un site ou blogue 26 contenu Téléverser = Le fait de mettre sur un site d’hébergement. Synonyme : déposer Télécharger = Le fait de récupérer un document sur un site d’hébergement.
  27. 27. co-écriture et collaboration • Système de gestion de contenu de site Web qui rend les pages Web modifiables par tous les visiteurs autorisés. On utilise les wikis pour faciliter l'écriture collaborative de documents avec un minimum de contraintes…. • Traçabilité des versions des documents associés au projet. 27 wiki
  28. 28. réseau social et microblogging • Les sites web de réseautage social fournissent des outils pour faciliter le processus de mise en relation et supportent la prise de contact en ligne • Généralistes (Twitter, FaceBook) ou spécialisés (Linkedin, Viadeo), ils reposent sur une approche à la fois individuelle (profil des utilisateurs) et collective (communauté globale des utilisateurs et relation entre les membres) 28 réseautage
  29. 29. infos croisées et fils d’infos • Un mashup est un site web qui utilise et croise le contenu provenant d’autres sites pour proposer un nouveau service. • RSS (Really Simple Syndication = syndication vraiment simple) moyen de syndication, capable de récupérer le contenu brut d'un site web sans s'occuper des données liées à sa forme 29 agrégateur
  30. 30. mindmapping • Pour clarifier des idées et établir des connexions compréhensibles, les logiciels en ligne ou téléchargeables permettent de faire de la conceptualisation d’idées 30 idéateur
  31. 31. Cloud computing, nuage • Pour conserver ses données et voyager sans se soucier de changer d’ordinateur ou de perte de clé USB ou de disque dur • Pour partager des documents et les mettre à disposition d’un groupe de travail 31 stockage
  32. 32. synchrone ou asynchrone • Les logiciels de messagerie instantanée, les messageries électroniques, les forums de discussion permettent de tenir des réunions à plusieurs, avec ou sans caméra ou microphone. On peut partager son écran par tableau blanc et utiliser le clavardage pour établir des compte-rendus de travail 32 messagerie
  33. 33. marque-page social • Le « social bookmarking » est une façon pour les internautes de stocker, de classer, de chercher et de partager leurs liens favoris. • Ces listes sont accessibles aux utilisateurs du réseau. D’autres utilisateurs ayant les mêmes centres d’intérêt peuvent consulter les liens par sujet, catégorie, étiquette ou même de façon aléatoire. 33 signet
  34. 34. publication audio ou vidéo • Canal de distribution de contenus multimédia, un podcast est constitué de fichiers audio ou vidéo encapsulés dans un flux RSS • Un programme spécifique permet de lire le contenu du podcast et de le télécharger pour le conserver sur l’ordinateur ou le transférer vers un autre support numérique 34 podcast
  35. 35. élaboration collaborative • Les grands de l’Internet (Google, Microsoft) mettent à disposition des outils de bureautique (traitement de texte, diaporama, tableur- grapheur) pour collaborer en ligne 35 bureautique
  36. 36. droits d’usage • Les licences Creative Commons sont des contrats- type pour la mise à disposition d’œuvres en ligne (textes, photos, sons, sites web, etc). • Elles facilitent la réutilisation de contenus en autorisant des tiers à exercer des actes (reproduction, diffusion, adaptation) qui nécessitent normalement d'obtenir préalablement l'autorisation des titulaires de droit. 36 licences
  37. 37. POUR CONCLURE… 37
  38. 38. Les plateformes EAD - FOAD • Les LMS (Learning Management Systems) : il s’agit de plates- formes d’enseignement avec de nombreuses possibilités telles le dépôt dedocuments, l’aide en ligne ou encore la réalisation de QCM en ligne. La plateforme EAD est l’outil le plus complet mais aussi le plus complexe qui met à disposition un ensemble de ressources actualisables et des outils intégrés (≠ interopérabilité) • Elles permettent de suivre “à la trace” les performances des uns et des autres 38
  39. 39. Les plateformes de réseaux sociaux • Un réseau social sur le Net constitue un support à partir duquel l'internaute peut se créer, se définir, se construire une identité numérique. Chacun est capable de favoriser la construction du réseau social de chacun d'eux. • Elle intègre des outils (Chat, dépôt de messages, création de groupes internes, partage de documents) et suscitent des interactions. L’ajout de messages et le suivi des fils de conversation peuvent se faire quotidiennement. • Elle permet la traçabilité des interactions. 39
  40. 40. Typologie des médias sociaux 40
  41. 41. 41
  42. 42. • « L’innovation n’est plus seulement conçue par le haut, par des ingénieurs et du marketing, mais émerge de réseaux, d’échanges de savoirs, d’amateurs passionnés. On parle désormais d’intelligence collective. Il n’y a plus alors de producteurs et de consommateurs, mais des contributeurs. » Bernard Stiegler médiologue et philosophe, ancien directeur de l’I.N.A., actuel directeur de l’IRI (Institut de recherche et d’innovation), professeur à l’université de technologie de Compiègne L'@telier - 2008 42
  43. 43. WEBOGRAPHIE • http://sticef.univ-lemans.fr/num/vol2011/03r-lebrun- tice/sticef_2011_lebrun_03r.htm • http://www.netpublic.fr/2012/03/typologie-des-reseaux-sociaux-et-usages- pedagogiques-des-reseaux-sociaux/#more-5393 • http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=DIS_091_0069 • http://clic.ntic.org/cgi-bin/aff.pl?page=article&id=1060 • http://www.ritpu.org/IMG/pdf/RITPU_v05n01_45.pdf • http://www.editlib.org/p/21024 • http://www.calameo.com/read/0007103605e525ac314de • http://evolutionofweb.appspot.com/?hl=fr 43

Notes de l'éditeur

  • Aspects pédagogiques (ex : méthodes d’enseignement et d’apprentissage, motivation, compétences à développer chez les étudiants, etc.)Aspects technologiques (ex : utilisation de l’ordinateur, du web, des tableaux blancs interactifs, etc.). Définition du CEDIT (entre d’étude et de développement pour l’innovation technopédagogique) [=> http://www.cedit.ca/definition-de-la-technopedagogie/]
  • http://www.techno-science.net/?onglet=glossaire&definition=10879
  • Certains informaticiens envisagent déjà l'avenir et décrivent les avancées possibles du Web 3.0.Richard MacManus liste les 10 tendances qui devraient jalonner notre activité et interactivité avec les technologies Web à venir comme le Web sémantique (envisagé par Tim Berners-Lee), qui désigne un ensemble de technologies permettant d'obtenir des réponses cohérentes à des questions complexes ou l'intelligence artificielle...Lire l'articleAu contraire, pour Anh-Tuan Gai, informaticien, les améliorations techniques que pourraient représenter le Web sémantique ou d'autres outils ne changeront pas fondamentalement la nature du Web. Il envisage le Web 3.0 comme la garantie de la liberté avec la possibilité pour les internautes de prendre le contrôle de l'hébergement de leurs productions.Lire l'articlePour Hubert Guillaud, les technologies Web d'après-demain sont plus proche du Web 2.1 que du Web 3.0. Il distingue deux grande catégories de projet parmi ceux qui travaillent au web du futur comme le web sémantique (FOAF correspond à une première avancée dans ce projet) et des outils comme Piggy Bank qui a pour but de faire remonter des morceaux d'information depuis d'importantes bases de données afin que les internautes puissent les exploiter de manières nouvelles.Lire l'articleLire son 2ème article sur FOAFVoir un wiki sur Piggy Bank
  • dix catégories de la typologie de Conole et Alevizou (2010) : blogue, wiki, réseaux sociaux, messageries instantanées, forums, espaces de discussion, sites de partage de documents, mash-ups, flux RSS, lecteurs de flux et agrégateurs, sites de partage de signets, mondes virtuels et jeux en réseau.

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