Le terme de mondialisation correspond à la libre circulation des marchandises, des capitaux, des services, des personnes, des techniques et de l'information. Il désigne le processus d'intégration des marchés et de rapprochement des hommes qui résulte notamment de la libéralisation des échanges, du développement des moyens de transport de personnes et de marchandises, et des retombées des technologies de l'information et de la communication à l'échelle planétaire1. Elle se manifeste, outre l'interdépendance croissante des économies (mondialisation économique) et l'intensification de la concurrence, par l'expansion des échanges et des interactions humaines
Le terme de mondialisation correspond à la libre circulation des marchandises, des capitaux, des services, des personnes, des techniques et de l'information. Il désigne le processus d'intégration des marchés et de rapprochement des hommes qui résulte notamment de la libéralisation des échanges, du développement des moyens de transport de personnes et de marchandises, et des retombées des technologies de l'information et de la communication à l'échelle planétaire1. Elle se manifeste, outre l'interdépendance croissante des économies (mondialisation économique) et l'intensification de la concurrence, par l'expansion des échanges et des interactions humaines
Dans une nouvelle note intitulée « Rebondir et se réinventer, la résilience des ETI industrielles », construite à partir de témoignages de dirigeants de PME et d’ETI, La Fabrique de l’industrie étudie la capacité de ces entreprises à surmonter les chocs, à se redéployer et à tirer parti des épisodes difficiles pour rebondir.
PIERRE GATTAZ ET GIORGIO SQUINZI
Le président du Medef et le président
de la Confindustria plaident pour un environnement
financier plus favorable aux PME et aux ETI.
Dans une nouvelle note intitulée « Rebondir et se réinventer, la résilience des ETI industrielles », construite à partir de témoignages de dirigeants de PME et d’ETI, La Fabrique de l’industrie étudie la capacité de ces entreprises à surmonter les chocs, à se redéployer et à tirer parti des épisodes difficiles pour rebondir.
PIERRE GATTAZ ET GIORGIO SQUINZI
Le président du Medef et le président
de la Confindustria plaident pour un environnement
financier plus favorable aux PME et aux ETI.
Note de synthese - Impact de la crise du Covid19 sur l'économie tunisienneMourad Mnif, CFA
Le club Think Finance de l’ATUGE(Association des TUnisiens des Grandes Ecoles) a organisé le mercredi 6 mai 2020 un webinar sur l’impact de la crise du Covid-19 sur l’économie tunisienne. Cet événement avait comme objectifs de :
- Faire un état des lieux des mesures prises par le gouvernement tunisien et par la Banque Centrale de Tunisie,
- Etablir un diagnostic des principaux traits de l’économie tunisienne impactée par la crise,
- Recueillir et discuter des recommandations de sortie de crise à court, moyen et long terme.
Nous avons adressé ces problématiques au travers d’un débat avec un panel d’experts composé d’anciens ministres, d’économistes et de hauts fonctionnaires. En dehors des regards critiques et complémentaires sur la situation économique, nos intervenants nous ont fait part de leurs lectures de la situation et de leurs préconisations. Nous tenons à remercier vivement nos intervenants d’avoir participé à ce webinar.
A travers cette publication, le club Think Finance présente une note de synthèse qui restitue les propos de nos invités recueillis pendant le webinar. Le travail d’introduction et de mise en contexte a été réalisé par les membres du club.
Lien de l'enregistrement : https://youtu.be/L7z6Rcd_3yk
Renégociation de l'ALENA, le Mexique et les USA vont ils mettre fin à ce traité en raison de leur différents?
Auteur : Benjamin Bibaud
Contact : benjamin.bibaud@bbox.fr
Mexico Y TLCAN
Mexico And NAFTA
Compte-rendu du deuxième Entretien de La Fabrique, en présence de Philippe Varin président du directoire de PSA Peugeot Citroën, de Philippe Crouzet président directeur général de Vallourec, et Jean-François Di Meglio président d’Asia Centre.
Diaporama utilisé par Bernard Keppenne, chief economist chez CBC Banque & Assurance, lors du webinaire qu'il a animé pour le Forum financier belge, le 26 janvier 2021
1. Aurore Sockeel
2011 - 2012
Julien Magré Semestre 3
Geoffrey Barcelo
Dossier de Géopolitique
Cartes fortes à prendre
A l’heure de la mondialisation la Chine a tout intérêt à posséder certains avantages afin
de pouvoir rester compétitive et de ne pas se faire écraser par les autres pays. Par
exemple nous verrons qu’à l’instar d’une association avec des pays émergents, une
entrée au sein de l’OMC pourra fortement aider la Chine grâce à un transfert de
technologie ou des partenariats avec des pays présentant des similitudes politique et
économique avec celle-ci.
2. I. L’entrée de la Chine dans l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce)
L’entrée de la Chine à l’OMC aura d’énormes impacts. En effet, jusqu’à présent, la
Chine avait un commerce fermé et limitait ses importations et ses exportations. Ainsi,
par le biais de barrières tarifaires (taxes douanières, impôts...) et non tarifaires (quotas,
normes...) la Chine protégeait son marché intérieur. De plus, les investissements à
l’étranger étaient également très limités. De ce fait, une adhésion de la Chine à l’OMC
obligerait celle-ci à revoir tout son système économique tout en s’ouvrant au commerce
mondial. Cette ouverture nouvelle permettrait alors un renouveau du commerce chinois,
resté inchangé durant des années.
Certains accords ont permis un bond en avant pour l’entrée de la Chine dans l’OMC,
ceux-ci ayant été conclus entre la Chine et les Etats-Unis. Avant cela, les échanges
entre ces deux puissances étaient révisés chaque année. Les Etats-Unis limitant leur
importations et exportations avec la Chine qui suivait le même procédé. Suite à ces
accords, la Chine s’est ouverte en supprimant ses barrières et permet de plus, à ses
entreprises du marché domestique, de fixer des accords bien plus conséquents avec
les Etats-Unis. Par la suite, avec son entrée dans l’OMC, la Chine libéralise de manière
plus générale son commerce extérieur avec tous les autres pays de l’organisation. Ces
dernières réformes ont permis à la Chine d’investir bien plus à l’étranger et ainsi,
d’étendre sa présence internationale en dynamisant très fortement sa part dans le
commerce mondial.
On constate dans le tableau suivant que l’adhésion de la Chine à l’OMC a énormément
influencé sur son commerce industriel.
3. II. La Chine ne joue pas « le gendarme du monde » - Nouvelles possibilités d’alliances
Jusqu’à présent, les Etats-Unis ont toujours eu le mot fort lors de débats et accords
autour des problématiques internationales. Aujourd’hui, la Chine cherche à étendre son
influence afin de créer une sorte de contre-pouvoir face aux Etats-Unis. Dans cette
optique, la Chine n’étant pas le seul pays aux velléités expansives dans les débats
internationaux, celle-ci trouve aisément des alliés comme Cuba, ou les pays émergents
d’Afrique (Gabon, Algérie, Lybie…). Ces pays ayant tous une importante puissance
financière notamment grâce à leurs ressources naturelles, ceux-ci, en s’associant avec
la Chine obtiennent un poids très important au niveau international.
Un autre moyen pour la Chine de trouver des alliés est le rachat des créances et dettes
d’autres pays. On trouvera dans cette optique l’exemple de la Grèce qui avait par le
passé, beaucoup critiqué la Chine notamment concernant le non-respect des Droits de
l’Homme par cette dernière. Toutefois, la Grèce s’étant retrouvée dans de graves
difficultés financières, la Chine lui a accordé son aide (Ex: Port d’Athènes...) ce qui
oblige désormais la Grèce à ne plus critiquer son créancier Chinois. Cette influence
financière chinoise, qu’elle prenne la forme d’un échange de services ou d’un chantage
financier, permet néanmoins à de nombreux pays de rester stable ou même de
remonter la pente.
III. S’accaparer la technologie de qui et comment ?
Une obligation légale est faite aux entreprises souhaitant délocaliser leur production en
Chine, celles-ci devant partager certaines connaissances techniques et certains savoir-
faire avec les entreprises locales avec qui elles travaillent. De plus, ce processus de
«Localisation» est encore renforcé par la mise en place de quotas d’employés chinois
pour faciliter ce partage (Ex: Peugeot, Thomson, Michelin...)
IV. Jouer sur les similitudes du système politique ou économique avec certains pays.
Prenons l’exemple cubain. Cuba est un état socialiste dont la Constitution définit le Parti
Communiste de Cuba comme la force dirigeante supérieure de la société et de l’Etat.
L’économie est contrôlée par l’Etat et est planifiée par celui-ci. Cuba développe les
industries de services, le tourisme, le nickel, la production de pétrole et de gaz, les
transferts de fonds et le secteur médical et pharmaceutique.
La Chine est un Etat communiste avec un doublement du pouvoir dirigeant par le Parti
Communiste ce qui est similaire à la gouvernance cubaine. Au niveau de l’économie, la
Chine développe l’agriculture, les vêtements, la chimie mais diminue la production de
pétrole et de métaux.
La Chine et Cuba ont donc un réel point commun au niveau du système politique et
peuvent être complémentaires au niveau économique.