Techniques de concentration en parasitologieS/Abdessemed
les nombreux et parfois volumineux débris alimentaires, la masse des cadavres bactériens, tout cela encombra la dilution et gène l'observation microscopique. En éliminant ces éléments inutiles, en éclaircit les préparation et simultanément on augmente la concentration des parasites..
Ainsi, privés des particules sans intérêt parasitaire, les œufs et larves de vers, de même que les kystes de protozoaires éventuellement contenus dans une masse fécale volumineuse se concentrent dans un faible volume et sont immédiatement décelables
cette conférence de travaux pratique s'adresse aux étudiants graduant en sciences médicales , il aborde les aspects élémentaires de la pratique au laboratoire de microbiologie ainsi que des aspects relatifs au diagnostic microbiologique.
Techniques de concentration en parasitologieS/Abdessemed
les nombreux et parfois volumineux débris alimentaires, la masse des cadavres bactériens, tout cela encombra la dilution et gène l'observation microscopique. En éliminant ces éléments inutiles, en éclaircit les préparation et simultanément on augmente la concentration des parasites..
Ainsi, privés des particules sans intérêt parasitaire, les œufs et larves de vers, de même que les kystes de protozoaires éventuellement contenus dans une masse fécale volumineuse se concentrent dans un faible volume et sont immédiatement décelables
cette conférence de travaux pratique s'adresse aux étudiants graduant en sciences médicales , il aborde les aspects élémentaires de la pratique au laboratoire de microbiologie ainsi que des aspects relatifs au diagnostic microbiologique.
La parasitologie médicale comporte des approches différentes mais complémentaires : - les parasites et champignons microscopiques en tant qu’agents pathogènes avec leurs morphologies et leurs biologies propres.
- le parasitisme forme particulière et dépendante entre deux organismes vivant en relation étroite.
- la maladie parasitaire ou mycosique et son environnement, résultats pathologiques du contact précédent entre le parasite ou champignon et son hôte. Cette relation entre l’hôte et son parasite se situe dans un environnement influant intervenant dans l’épidémiologie et la lutte contre les grandes endémies parasitaires exotiques.
TECHNIQUES DE BIOLOGIE MOLECULAIRE EN PARASITOLOGIE ET MYCOLOGIE
EXTRACTION D'AN
TECHNIQUE PCR
SEQUENCAGE D'AN
GENOTYPAGE
APPORT DE LA BIOLOGIE MOLECULAIRE EN PARASITOLOGIE ET MYCOLOGIE MEDICALE
Les principales techniques sont les réactions de précipitation, les réactions d'agglutination et les réactions de neutralisation.
La plupart de ces techniques utilisent les propriétés des anticorps monoclonaux.
Leur affinité et leur spécificité de liaison à leur cible fait d'eux des outils incontournables de détection.
Ils permettent de déterminer la présence d'un épitope particulier dans un échantillon, permettant ainsi dans les techniques comme le western blot ou l'ELISA de détecter des protéines, ou des modifications particulières de protéine (phosphorylation, acétylation, etc.).
Coloration et examen des frottis sanguinsS/Abdessemed
La coloration des frottis sanguins permet d’identification des leucocytes grâce à leurs caractéristiques propres mises en évidence par un colorant approprié, ainsi que l’observation de la morphologie des érythrocytes et des plaquettes.
L'ECBU est un examen cytobactériologique des urines, qui permet de détecter la présence de bactéries et de cellules anormales dans les urines. C'est un examen de base couramment utilisé pour diagnostiquer les infections urinaires, qui sont des affections fréquentes touchant des millions de personnes chaque année. Les infections urinaires sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes et peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs, des brûlures et des envies fréquentes d'uriner. Si elles ne sont pas traitées, elles peuvent causer des complications graves telles que des infections rénales et des lésions rénales irréversibles.
Dans cet exposé, nous allons explorer les aspects cliniques, diagnostiques et thérapeutiques de l'ECBU pour la détection des infections urinaires.
Aspects cliniques
Les infections urinaires sont classées en deux types : les infections urinaires basses et les infections urinaires hautes. Les infections urinaires basses, également appelées cystites, affectent la vessie et l'urètre et peuvent être accompagnées de douleurs, de brûlures et d'une envie fréquente d'uriner. Les infections urinaires hautes, également appelées pyélonéphrites, affectent les reins et peuvent causer de la fièvre, des frissons et des douleurs dorsales.
Les infections urinaires peuvent être causées par différents types de bactéries, mais la bactérie Escherichia coli est le plus souvent impliquée dans les infections urinaires basses. Les infections urinaires hautes peuvent être causées par des bactéries telles que Proteus, Klebsiella et Pseudomonas.
Les facteurs de risque pour les infections urinaires comprennent le sexe féminin, les antécédents d'infections urinaires, la grossesse, le diabète, l'utilisation de cathéters urinaires, une obstruction urinaire et une faible immunité.
Diagnostic
L'ECBU est l'examen de choix pour diagnostiquer les infections urinaires. Il est important de prélever un échantillon d'urine avant le traitement antibiotique pour éviter les faux négatifs. Pour effectuer un ECBU, le patient doit fournir un échantillon d'urine propre et stérile dans un récipient spécifique fourni par le laboratoire. L'échantillon doit être prélevé en milieu de jet pour éviter les contaminants de la flore vaginale ou péri-anale.
Le laboratoire analyse l'échantillon d'urine en examinant le nombre de bactéries présentes et en les identifiant par culture bactérienne. Le laboratoire examine également la présence de cellules anormales telles que des globules rouges et des globules blancs.
En plus de l'ECBU, des examens complémentaires tels que l'échographie rénale, la tomodensitométrie et la cystoscopie peuvent être nécessaires pour diagnostiquer les infections urinaires hautes et les complications associées.
Traitement
Le traitement des infections urinaires dépend du type d'infection et de la gravité des symptômes. Les infections urinaires basses peuvent être traitées avec des antibiot
La parasitologie médicale comporte des approches différentes mais complémentaires : - les parasites et champignons microscopiques en tant qu’agents pathogènes avec leurs morphologies et leurs biologies propres.
- le parasitisme forme particulière et dépendante entre deux organismes vivant en relation étroite.
- la maladie parasitaire ou mycosique et son environnement, résultats pathologiques du contact précédent entre le parasite ou champignon et son hôte. Cette relation entre l’hôte et son parasite se situe dans un environnement influant intervenant dans l’épidémiologie et la lutte contre les grandes endémies parasitaires exotiques.
TECHNIQUES DE BIOLOGIE MOLECULAIRE EN PARASITOLOGIE ET MYCOLOGIE
EXTRACTION D'AN
TECHNIQUE PCR
SEQUENCAGE D'AN
GENOTYPAGE
APPORT DE LA BIOLOGIE MOLECULAIRE EN PARASITOLOGIE ET MYCOLOGIE MEDICALE
Les principales techniques sont les réactions de précipitation, les réactions d'agglutination et les réactions de neutralisation.
La plupart de ces techniques utilisent les propriétés des anticorps monoclonaux.
Leur affinité et leur spécificité de liaison à leur cible fait d'eux des outils incontournables de détection.
Ils permettent de déterminer la présence d'un épitope particulier dans un échantillon, permettant ainsi dans les techniques comme le western blot ou l'ELISA de détecter des protéines, ou des modifications particulières de protéine (phosphorylation, acétylation, etc.).
Coloration et examen des frottis sanguinsS/Abdessemed
La coloration des frottis sanguins permet d’identification des leucocytes grâce à leurs caractéristiques propres mises en évidence par un colorant approprié, ainsi que l’observation de la morphologie des érythrocytes et des plaquettes.
L'ECBU est un examen cytobactériologique des urines, qui permet de détecter la présence de bactéries et de cellules anormales dans les urines. C'est un examen de base couramment utilisé pour diagnostiquer les infections urinaires, qui sont des affections fréquentes touchant des millions de personnes chaque année. Les infections urinaires sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes et peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs, des brûlures et des envies fréquentes d'uriner. Si elles ne sont pas traitées, elles peuvent causer des complications graves telles que des infections rénales et des lésions rénales irréversibles.
Dans cet exposé, nous allons explorer les aspects cliniques, diagnostiques et thérapeutiques de l'ECBU pour la détection des infections urinaires.
Aspects cliniques
Les infections urinaires sont classées en deux types : les infections urinaires basses et les infections urinaires hautes. Les infections urinaires basses, également appelées cystites, affectent la vessie et l'urètre et peuvent être accompagnées de douleurs, de brûlures et d'une envie fréquente d'uriner. Les infections urinaires hautes, également appelées pyélonéphrites, affectent les reins et peuvent causer de la fièvre, des frissons et des douleurs dorsales.
Les infections urinaires peuvent être causées par différents types de bactéries, mais la bactérie Escherichia coli est le plus souvent impliquée dans les infections urinaires basses. Les infections urinaires hautes peuvent être causées par des bactéries telles que Proteus, Klebsiella et Pseudomonas.
Les facteurs de risque pour les infections urinaires comprennent le sexe féminin, les antécédents d'infections urinaires, la grossesse, le diabète, l'utilisation de cathéters urinaires, une obstruction urinaire et une faible immunité.
Diagnostic
L'ECBU est l'examen de choix pour diagnostiquer les infections urinaires. Il est important de prélever un échantillon d'urine avant le traitement antibiotique pour éviter les faux négatifs. Pour effectuer un ECBU, le patient doit fournir un échantillon d'urine propre et stérile dans un récipient spécifique fourni par le laboratoire. L'échantillon doit être prélevé en milieu de jet pour éviter les contaminants de la flore vaginale ou péri-anale.
Le laboratoire analyse l'échantillon d'urine en examinant le nombre de bactéries présentes et en les identifiant par culture bactérienne. Le laboratoire examine également la présence de cellules anormales telles que des globules rouges et des globules blancs.
En plus de l'ECBU, des examens complémentaires tels que l'échographie rénale, la tomodensitométrie et la cystoscopie peuvent être nécessaires pour diagnostiquer les infections urinaires hautes et les complications associées.
Traitement
Le traitement des infections urinaires dépend du type d'infection et de la gravité des symptômes. Les infections urinaires basses peuvent être traitées avec des antibiot
Réduction de la dimension, Diagonalisation, études des valeurs propres, centrage et réduction, techniques de choix des axes factoriels, critère de coude, critère de Kaiser, plans factoriels, carte des individus, cercle de corrélation
2. COLORATION DE GRAM
1. REALISATION D'UN FROTTIS
2. COLORATION DE GRAM
3. OBSERVATION AU MICROSCOPE
3. REALISATION D'UN FROTTIS
- nettoyer une lame de verre à l'éthanol / acétone
- déposer sur une lame propre une goutte de suspension
bactérienne
- réaliser le frottis à partir du centre de la lame en
décrivant un mouvement circulaire
- sécher le frottis en passant la lame à la flamme du bec
bunsen (2 à 3 fois)
- fixer la préparation en flambant la lame avec l'éthanol /
acétone
- sécher la lame à la flamme
4. COLORATION DE GRAM
- Coloration développée en 1884 par un médecin danois
Christian Gram
- méthode de coloration la plus largement utilisée en
bactériologie
- mise en évidence de différences de nature de la paroi
bactérienne (bactéries à Gram négatif ont un peptidoglycane
plus fin que celles à Gram positif)
- se déroule en 3 temps :
1. coloration au violet de gentiane et fixation de la coloration
par le lugol
2. traitement à l'éthanol (dissolvant le violet de gentiane
décolorant les bactéries à Gram négatif)
3. contre-coloration à la fushine ou safranine (colorant en rose
les bactéries précédemment décolorées)
5. COMPOSITION DE LA PAROI BACTERIENNE
Gram + Gram-
Peptidoglycane épais Peptidoglycane fin
90% de la paroi 10% de la paroi
L'éthanol traverse uniquement la paroi des bactéries à Gram
négatif (dissolution des lipides de la membrane externe) et
décolore le cytoplasme !
6. COLORATION DE GRAM :
PROTOCOLE
- verser quelques gouttes de violet de gentiane sur le
frottis
- attendre 1 minute
- éliminer l'excès de violet de gentiane puis avec un peu
d'eau sans insister
- plonger la lame 1 minute dans le lugol
- rincer abondamment à l'eau
- rincer à l'éthanol / acétone des 2 côtés de la lame
- rincer abondamment à l'eau
- plonger la lame 1 minute dans la fushnine ou safranine
- rincer abondamment à l'eau
- sécher la lame à la flamme
7. COLORATION DE GRAM :
RESULTATS
- les bactéries à Gram positif apparaissent violettes
- les bactéries à Gram négatif apparaissent roses
- les vieilles cultures bactériennes peuvent donner des
résultats de Gram variables en raison de la dégradation de
la paroi cellulaire
8. OBSERVATION AU MICROSCOPE
- grossissement x100 à immersion dans l'huile de paraffine
- ouverture maximale du diaphragme