Le CRISE, avec plusieurs partenaires, effectue présentement une recherche portant sur le parcours de soin des personnes qui se présentent à l’urgence d’un centre hospitalier suite à une tentative de suicide. Cette recherche, qui vise à suivre pendant 18 mois 700 personnes qui ont fait une tentative, a pour but d’identifier les pratiques et interventions qui contribuent à diminuer les risques de suicide. Cette recherche permettra de décrire les services et soins que reçoivent les personnes ayant fait une tentative de suicide et permettra également d’identifier les caractéristiques liées aux interventions qui contribuent à la diminution des comportements suicidaires. Nous présenterons les résultats préliminaires de cette étude et discuterons des enjeux dans la prévention des récidives et l’amélioration de l’adaptation des personnes suite à leur tentative selon les recherches antérieures ainsi que les données préliminaires de notre étude.
Webinaire donné par Cécile Bardon, PhD, directrice associée du Centre de recherche et d'intervention sur le suicide, enjeux éthiques et pratiques de fin de vie (CRISE), le 9 avril 2021. Ce webinaire a été présenté par le Service québécois d'excellence en troubles graves du comportement (SQETGC).
La thérapie comportementale dialectique (Linehan, 1993) est reconnue comme approche de choix auprès des personnes souffrant d’un trouble de personnalité limite et à risque suicidaire. Pour l’intervenant intéressé qui travaille auprès des adolescents à risque, certaines techniques et éléments sont potentiellement utiles même en absence d’un programme TCD complet. Ce webinaire se propose de présenter (avec des exercices et applications) les stratégies de validation, orientation et engagement ainsi que la démarche d’analyse comportementale en chaîne.
Josée Lake abordera les différents facteurs de vulnérabilité, les particularités du processus suicidaire et l'intervention auprès des enfants suicidaires.
Présentation de Brian Mishara, professeur de psychologie et directeur du CRISE, UQAM
Dans le cadre du 15e Institut d'été du CRISE, "Suicide, santé mentale et milieu de travail"
Jour 3: postvention et retour au travail
Présentation donnée par Laurent Corthésy-Blondin, étudiant au doctorat en psychologie (UQAM), Jean-François Brodeur, paramédic et représentant à la prévention, Corporation d'urgences-santé, et Stéphanie Paquette, TS, Maison La Vigile
Institut d'été du CRISE 2019, "Suicide, santé mentale et milieu de travail"
Jour 2: comportements suicidaires: le rôle des milieux de travail
Webinaire donné par Cécile Bardon, PhD, directrice associée du Centre de recherche et d'intervention sur le suicide, enjeux éthiques et pratiques de fin de vie (CRISE), le 9 avril 2021. Ce webinaire a été présenté par le Service québécois d'excellence en troubles graves du comportement (SQETGC).
La thérapie comportementale dialectique (Linehan, 1993) est reconnue comme approche de choix auprès des personnes souffrant d’un trouble de personnalité limite et à risque suicidaire. Pour l’intervenant intéressé qui travaille auprès des adolescents à risque, certaines techniques et éléments sont potentiellement utiles même en absence d’un programme TCD complet. Ce webinaire se propose de présenter (avec des exercices et applications) les stratégies de validation, orientation et engagement ainsi que la démarche d’analyse comportementale en chaîne.
Josée Lake abordera les différents facteurs de vulnérabilité, les particularités du processus suicidaire et l'intervention auprès des enfants suicidaires.
Présentation de Brian Mishara, professeur de psychologie et directeur du CRISE, UQAM
Dans le cadre du 15e Institut d'été du CRISE, "Suicide, santé mentale et milieu de travail"
Jour 3: postvention et retour au travail
Présentation donnée par Laurent Corthésy-Blondin, étudiant au doctorat en psychologie (UQAM), Jean-François Brodeur, paramédic et représentant à la prévention, Corporation d'urgences-santé, et Stéphanie Paquette, TS, Maison La Vigile
Institut d'été du CRISE 2019, "Suicide, santé mentale et milieu de travail"
Jour 2: comportements suicidaires: le rôle des milieux de travail
Cette présentation porte sur les résultats d’une étude sur la perception des sentinelles en prévention du suicide au Québec des facteurs qui influencent leur capacité d’agir et de leurs besoins pour l’optimiser: l’importance de la formation pour développer le sentiment de compétence et la capacité à délimiter leur rôle, les conditions nécessaires pour exercer le rôle de sentinelle, les types de mesures de suivi et de soutien post formation facilitant le maintien et le renforcement de la capacité d’agir.
1) La thérapie dialectique et comportementale – histoire, concepts et modalités;
2) application avec les adolescents;
3) outils de la thérapie dialectique et comportementale transférables dans une pratiques non DBT: validation, orientation, engagement, enseignement des compétences psychosociales, analyse en chaîne du comportement problématique.
Présentation de Sylvie Lapierre Ph. D., Professeure titulaire, département de psychologie, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et codirectrice, Laboratoire interdisciplinaire de recherche en gérontologie (LIREG) réalisée au treizième institut d'été du CRISE en 2017 lors de la journée thématique: aide médicale à mourir: état des lieux et perspectives.
Enquête - Les soins face aux différences culturelles et religieuses - Licra S..._LICRA_
Les soignants essaient d'être attentif à l'univers des patients. Dans cet univers nous nous sommes posés la question de la place de la religion et de la culture.
Dans les débats qui traversent la société concernant la laïcité, nous avons voulu être dans la réflexion, plus que dans la réaction
Quelques problématiques,essentiellement issues du milieu hospitalier, très peu du milieu libéral.
Les différences religieuses ou culturelles posent elles vraiment des difficultés dans l'acte de soin ? ou est ce un fantasme ?
- 1400 questionnaires
- médecins Loire Sud, libéraux et hospitalier
- recto-verso, avec réponses fermées
- sur les difficultés éventuelles rencontrées dans leur activité de soins
Les technologies de l’information et de la communication (TIC) ont grandement transformé la façon dont les adolescents cherchent des réponses à leurs questions en matière de santé mentale, surtout concernant le suicide. Cet atelier vous permettra de plonger dans l’univers virtuel des adolescents à risque de suicide afin de mieux comprendre leur processus de recherche d’aide et mieux leur venir en aide.
Qu’est-ce que la TDC ? Pourquoi cette approche est-elle si souvent utilisée par les thérapeutes pour accompagner les personnes souffrant d’un trouble de personnalité limite (TPL)? Développée vers la fin des années 80 par Marsha Linehan, psychiatre, mais aussi diagnostiquée TPL, la TDC demeure l'une des seules approches à disposer de solides appuis empiriques issus d'une série d'études expérimentales et scientifiques dans le traitement des personnes borderline.
Conférencière : Hélène Busque, psychologue clinicienne. Grâce à ses travaux de maîtrise, elle figure parmi les pionnières de l'adaptation et de l'implantation de la TDC dans les services de première ligne au Québec
Cette présentation fera un bref survol des études longitudinales ayant suivi, sur une période de 1 à 25 ans, des personnes admises à l’urgence suite à une tentative de suicide. Les principaux facteurs associés à un risque accru de décès par suicide seront identifiés, de même que les implications qui en découlent pour la pratique.
Présentation de Manon St-Laurent et Geneviève Dion du Centre de prévention du suicide et d'intervention de crise du Bas-St-Laurent.
Une tentative de suicide c’est le passage d’un cyclone dans la vie d’une personne et de ses proches. Après le désastre, la personne doit se reconstruire et donner sens à l’événement. L’accompagnement au cœur de la tempête est le premier pas vers la restauration d’un équilibre intérieur et c’est ici que débute le suivi étroit/intégré. Après 3 ans de services, nous dressons le portrait des actions posées au sein de cette approche spécifique et un bilan de ses réalisations.
Il est largement établi qu’une tentative de suicide antérieure et que les troubles mentaux constituent d’importants facteurs de risque de suicide. Les services de santé ont sans contredit un rôle important à jouer en matière de prévention du suicide. À partir de données médico-administratives, un portrait des patrons de recours aux services à des fins de santé mentale avant et après une hospitalisation pour tentative de suicide est réalisé chez l’ensemble des montréalais. On pose un regard particulier sur la relation entre les diagnostics de schizophrénie ou de dépression et les niveaux de services utilisés (première ligne ou spécialisés). Les résultats laissent poindre des avancés en matière de prévention. Par contre, d’autres constats inquiètent.
L ’ensemble des services doit mieux reconnaître la vulnérabilité des personnes qui viennent de faire une tentative de suicide. Cette fragilité impose un suivi plus étroit et des actions proactives. Les semaines qui suivent une première crise cardiaque sont aussi cruciales pour changer des habitudes de vie en faveur d’une meilleure santé cardiaque. Et si le clinicien voyait la tentative de suicide comme un moment crucial pour changer des habitudes de vie en faveur d’une meilleure santé mentale? Les recherches sur la psychologie positive nous ont appris comment certaines personnes ont fait pour rebondir après avoir connu le pire. Le clinicien peut utiliser ces connaissances pour aider les personnes à apporter des changements significatifs et durables à la vie qui suivra la tentative.
Suicide is the third leading cause of death among Malaysians aged 15 to 34. 90% of those who contemplate suicide face problems in relationships, adapting to new environments, financial insecurity, or pressure to perform well in studies. The remaining 10% attempt suicide due to mental illness. Warning signs of teen suicide include running away, lack of motivation, alcohol abuse, and rebellious behavior. Those who are suicidal suffer privately and inexpressibly, leaving family and friends to deal with immense loss, confusion, and devastation in its aftermath. Suicide contributes greatly to disability and suffering in Malaysia each year.
suicide - a public health problem
history, global scenario, Indian scenario, etiology, risk factors. protective factors, suicide in adolescents, treatment, prevention, recommendations
The document discusses the benefits of exercise for both physical and mental health. It notes that regular exercise can reduce the risk of diseases like heart disease and diabetes, improve mood, and reduce feelings of stress and anxiety. The document recommends that adults get at least 150 minutes of moderate exercise or 75 minutes of vigorous exercise per week to gain these benefits.
Cette présentation porte sur les résultats d’une étude sur la perception des sentinelles en prévention du suicide au Québec des facteurs qui influencent leur capacité d’agir et de leurs besoins pour l’optimiser: l’importance de la formation pour développer le sentiment de compétence et la capacité à délimiter leur rôle, les conditions nécessaires pour exercer le rôle de sentinelle, les types de mesures de suivi et de soutien post formation facilitant le maintien et le renforcement de la capacité d’agir.
1) La thérapie dialectique et comportementale – histoire, concepts et modalités;
2) application avec les adolescents;
3) outils de la thérapie dialectique et comportementale transférables dans une pratiques non DBT: validation, orientation, engagement, enseignement des compétences psychosociales, analyse en chaîne du comportement problématique.
Présentation de Sylvie Lapierre Ph. D., Professeure titulaire, département de psychologie, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et codirectrice, Laboratoire interdisciplinaire de recherche en gérontologie (LIREG) réalisée au treizième institut d'été du CRISE en 2017 lors de la journée thématique: aide médicale à mourir: état des lieux et perspectives.
Enquête - Les soins face aux différences culturelles et religieuses - Licra S..._LICRA_
Les soignants essaient d'être attentif à l'univers des patients. Dans cet univers nous nous sommes posés la question de la place de la religion et de la culture.
Dans les débats qui traversent la société concernant la laïcité, nous avons voulu être dans la réflexion, plus que dans la réaction
Quelques problématiques,essentiellement issues du milieu hospitalier, très peu du milieu libéral.
Les différences religieuses ou culturelles posent elles vraiment des difficultés dans l'acte de soin ? ou est ce un fantasme ?
- 1400 questionnaires
- médecins Loire Sud, libéraux et hospitalier
- recto-verso, avec réponses fermées
- sur les difficultés éventuelles rencontrées dans leur activité de soins
Les technologies de l’information et de la communication (TIC) ont grandement transformé la façon dont les adolescents cherchent des réponses à leurs questions en matière de santé mentale, surtout concernant le suicide. Cet atelier vous permettra de plonger dans l’univers virtuel des adolescents à risque de suicide afin de mieux comprendre leur processus de recherche d’aide et mieux leur venir en aide.
Qu’est-ce que la TDC ? Pourquoi cette approche est-elle si souvent utilisée par les thérapeutes pour accompagner les personnes souffrant d’un trouble de personnalité limite (TPL)? Développée vers la fin des années 80 par Marsha Linehan, psychiatre, mais aussi diagnostiquée TPL, la TDC demeure l'une des seules approches à disposer de solides appuis empiriques issus d'une série d'études expérimentales et scientifiques dans le traitement des personnes borderline.
Conférencière : Hélène Busque, psychologue clinicienne. Grâce à ses travaux de maîtrise, elle figure parmi les pionnières de l'adaptation et de l'implantation de la TDC dans les services de première ligne au Québec
Cette présentation fera un bref survol des études longitudinales ayant suivi, sur une période de 1 à 25 ans, des personnes admises à l’urgence suite à une tentative de suicide. Les principaux facteurs associés à un risque accru de décès par suicide seront identifiés, de même que les implications qui en découlent pour la pratique.
Présentation de Manon St-Laurent et Geneviève Dion du Centre de prévention du suicide et d'intervention de crise du Bas-St-Laurent.
Une tentative de suicide c’est le passage d’un cyclone dans la vie d’une personne et de ses proches. Après le désastre, la personne doit se reconstruire et donner sens à l’événement. L’accompagnement au cœur de la tempête est le premier pas vers la restauration d’un équilibre intérieur et c’est ici que débute le suivi étroit/intégré. Après 3 ans de services, nous dressons le portrait des actions posées au sein de cette approche spécifique et un bilan de ses réalisations.
Il est largement établi qu’une tentative de suicide antérieure et que les troubles mentaux constituent d’importants facteurs de risque de suicide. Les services de santé ont sans contredit un rôle important à jouer en matière de prévention du suicide. À partir de données médico-administratives, un portrait des patrons de recours aux services à des fins de santé mentale avant et après une hospitalisation pour tentative de suicide est réalisé chez l’ensemble des montréalais. On pose un regard particulier sur la relation entre les diagnostics de schizophrénie ou de dépression et les niveaux de services utilisés (première ligne ou spécialisés). Les résultats laissent poindre des avancés en matière de prévention. Par contre, d’autres constats inquiètent.
L ’ensemble des services doit mieux reconnaître la vulnérabilité des personnes qui viennent de faire une tentative de suicide. Cette fragilité impose un suivi plus étroit et des actions proactives. Les semaines qui suivent une première crise cardiaque sont aussi cruciales pour changer des habitudes de vie en faveur d’une meilleure santé cardiaque. Et si le clinicien voyait la tentative de suicide comme un moment crucial pour changer des habitudes de vie en faveur d’une meilleure santé mentale? Les recherches sur la psychologie positive nous ont appris comment certaines personnes ont fait pour rebondir après avoir connu le pire. Le clinicien peut utiliser ces connaissances pour aider les personnes à apporter des changements significatifs et durables à la vie qui suivra la tentative.
Suicide is the third leading cause of death among Malaysians aged 15 to 34. 90% of those who contemplate suicide face problems in relationships, adapting to new environments, financial insecurity, or pressure to perform well in studies. The remaining 10% attempt suicide due to mental illness. Warning signs of teen suicide include running away, lack of motivation, alcohol abuse, and rebellious behavior. Those who are suicidal suffer privately and inexpressibly, leaving family and friends to deal with immense loss, confusion, and devastation in its aftermath. Suicide contributes greatly to disability and suffering in Malaysia each year.
suicide - a public health problem
history, global scenario, Indian scenario, etiology, risk factors. protective factors, suicide in adolescents, treatment, prevention, recommendations
The document discusses the benefits of exercise for both physical and mental health. It notes that regular exercise can reduce the risk of diseases like heart disease and diabetes, improve mood, and reduce feelings of stress and anxiety. The document recommends that adults get at least 150 minutes of moderate exercise or 75 minutes of vigorous exercise per week to gain these benefits.
Présentation par Francis Roy, candidat au doctorat en psychologie, UQAM
Dans le cadre du 15e Institut d'été du CRISE, "Suicide, santé mentale et milieu de travail"
Jour 3: postvention et retour au travail
Depression Estudiantine - Pr. Asri & Pr. BENALI MedecIN-Casa
Présentation sur la dépression estudiantine par le Professeur Asri Benalia et le Professeur Benali Abdeslam lors de la 4ème Assemblée Générale Nationale d'IFMSA-Morocco qui s'est tenue le 07, 08 et 09 Novembre à l'Hotel Ryad Mogador à Marrakech.
L’association « l’Enfant Bleu » œuvre depuis près de 20 ans contre les situations de maltraitance vécues par des enfants. Trois ans après avoir confié à Harris Interactive la réalisation d’une première étude sur le sujet, à l’automne 2014, l’Enfant Bleu a souhaité réaliser une nouvelle mesure pour mieux comprendre les représentations actuelles des Français sur la maltraitance des enfants.
http://harris-interactive.fr/opinion_polls/la-maltraitance-des-enfants-2/
Quel regard les Françaises portent-elle sur le cancer du sein aujourd’hui ? Quel est leur niveau d’information à ce sujet et quelle est leur sensibilité aux démarches de prévention ?
Présentation de Janie Houle, professeur au département de psychologie de l'UQAM et chercheure au CRISE, réalisée en Montérégie. La situation du suicide chez les hommes au Québec, statistiques, facteurs de risque et mesures de prévention.
Le plan de sécurité pour crise suicidaire (PSCS) constitue un outil dynamique dans la pratique préventive du suicide. Cette formation vise à habiliter les professionnels en santé mentale à élaborer un PSCS. Cette activité abordera : la pertinence et les fondements du PSCS, les étapes et les éléments d’aide liés au PSCS, les protocoles papier et numérique du PSCS, et des données de recherche sur le PSCS. La démarche d’apprentissage repose sur un exposé magistral, une vignette clinique et une période de questions avec l’auditoire. À la fin, les participants sont invités à évaluer la qualité du webinaire et à identifier leurs besoins de formation future.
Une étude exploratoire pour éclairer vos enjeux avec des Insights sur les comportements et les attentes santé / bien-être des consommateurs.
Dans une société qui prône la maîtrise du temps et du corps, comment les Français vivent-ils leur santé et accèdent-ils au bien-être ?
1. PRÉVALENCE ET TAUX
2. MOYENS LÉTAUX
3. FACTEURS DE RISQUE
4. FACTEURS DE PROTECTION
Similaire à CRISE - INSTITUT 2011 - Brian Mishara - Prévenir la récidive de tentatives de suicide: vers une compréhension des parcours selon le genre (20)
Female spouses experience a process of preparing for the death of their terminally ill partner that is structured around four periods: diagnosis announcement, prognosis announcement, appearance of symptoms/decline in functioning, and intensification of symptoms until death. During each period, spouses confront the changing meaning and impacts of the illness, develop strategies to adjust, and mentally plan for the next transition. The process evolves from initial shock/hope at diagnosis to confronting mortality, taking on a caregiver role, and ultimately letting go as death approaches. Spouses attribute different meanings to their experiences in each period and think about both controlling end of life and envisioning their future alone.
This document discusses the challenges of detecting suicidal callers in text-based youth helplines. Youth helplines have a general mission and helpers receive limited suicide risk assessment training. Text-based communication also lacks non-verbal cues. A study analyzed over 2,800 youths contacting a Quebec youth helpline, finding 42% reported past-year suicidal ideation and 21% reported suicide attempts. The study aims to estimate the proportion of suicidal youths, those mentioning suicidality, and interventions with risk assessments. Preliminary findings suggest suicidal ideation is often revealed by callers but risk is superficially explored in most interactions. The conclusion calls for better identifying suicidal youths and training helpers in text-based risk assessment.
PLAN DE PRÉSENTATION
L’impact du suicide
Définition de la résilience
Le processus de résilience des familles endeuillées par le suicide d’un adolescent
Les interventions en soutien à la résilience
Présentation de Valérie Ulrich, Mission Recherche et Observatoire national du suicide, DREES, Ministère de la Santé, Paris
Dans le cadre du 15e Institut d'été du CRISE, "Suicide, santé mentale et milieu de travail"
Jour 3: Postvention et retour au travail
1. Prévenir la détresse et le suicide en milieu agricole, par Ginette Lafleur
2. Aller au-devant des agriculteurs pour favoriser la demande d'aide, par Josée Bergeron et Joyce Lawless du CPS Lanaudière
3. L'intervention agricole: le développement d'un réseau de travailleurs de rang, par Nancy Langevin, TS
Présentation du professeur Angelo Soares dans le cadre de l'Institut d'été du CRISE 2019, "Suicide, santé mentale et milieu de travail"
Jour deux: comportements suicidaires: le rôle des milieux de travail
Présentation de la professeure Marie Alderson dans le cadre de l'Institut d'été du CRISE 2019, "Suicide, santé mentale et milieu de travail"
Jour 2: comportements suicidaires: le rôle des milieux de travail
1. Réalité des employés des services d’urgence
2. Introduction aux meilleures pratiques dans la prévention du stress post-traumatique
3. Besoins exprimés par les milieux d’urgence
4. Outils développés par l’APSAM basés sur les meilleures pratiques
Sophie Meunier, professeure département de psychologie, UQAM
Bruno Collard, directeur clinique, Revivre
Plan de la présentation:
-Courte bio des présentateurs
-Troubles anxieux et dépressifs en milieu de travail
-Définition de l’autogestion et son utilité en milieu de travail
-Les résultats de l’étude Feeling better at work!
-Présentation de l’Atelier d’autogestion des troubles anxieux et de l’humeur en milieu de travail
Lorsque le suicide d’un.e adolescent.e survient, comme il s’agit d’une mort violente, inattendue, auto-infligée et qu’elle ne s’inscrit pas dans l’ordre normal de la vie, la famille est confrontée à une situation de crise qui nécessite, de sa part, une mobilisation d’énergie. On remarque que, malgré cette épreuve, la plupart des familles continuent à fonctionner et même parfois se transforment positivement suite à cette expérience. Le concept de croissance post-traumatique pourrait permettre d’expliquer ce phénomène. En se basant sur les résultats d’une étude portant sur les familles endeuillées par le suicide d’un.e adolescent.e, le processus de croissance post-traumatique de ces familles sera présenté. De plus, des pistes d’intervention seront proposées aux participants afin de les aider à intervenir auprès de familles et d’individus endeuillés par un suicide.
Situation
D’après les observations de la communauté et d’un rapport (Gallagher, 2011), il y aurait eu une grappe de suicides localisée chez des jeunes dans la région de Lotbinière et ses régions
avoisinantes entre 2010 et 2011 (11 suicides).
Ces suicides ont été médiatisés et ont provoqué beaucoup de réaction dans la communauté.
Il n’y a pas eu de suicides de jeunes pendant 2 ans (2012 et 2013), mais un nombre important de suicides avait été observé depuis 2011 dans la population adultes de Lotbinière (19).
Cette situation aurait entraîné un épuisement et une hyper vigilance chez les intervenants locaux, qui auraient pour effet de :
diminuer l’efficacité des interventions menées par les intervenants
et amoindrir leur capacité à innover (selon eux) en prévention.
Le mandat de l’équipe dirigée par Brian Mishara
Mieux comprendre la problématique de suicides en série à Lotbinière. Innover en matière de prévention du suicide en identifiant de nouvelles pistes d’intervention. Faire des recommandations pour contrer le sentiment d’isolement, d’épuisement et d’impuissance des intervenants locaux.
Survol de différentes stratégies d’évaluation des services d’intervention téléphonique/texto/clavardage en prévention du suicide
Les grandes étapes d’une évaluation d’un service d’intervention téléphonique/texto/clavardage
Enjeux et défis propres à l’évaluation des services d’intervention par texto/clavardage
L’importance de la triangulation des méthodes d’observation
Le devis d’évaluation idéal
1. Pourquoi impliquer les personnes utilisatrices de services?
2. Comment impliquer les personnes utilisatrices de services?
3. Un exemple concret
◦ Savoirs partagés
-Définition des concepts pertinents à l’évaluation de programme avec une approche qualitative;
-Planification d’une évaluation de programme: choix de la méthodologie;
-Approche quantitative, approche qualitative quelques comparaisons;
-Critères de scientificité généraux;
-Cadre conceptuel et outils pour critiquer une évaluation de programme avec méthodologie qualitative;
-Présentation d'exemples d'évaluation de programme;
-Synthèse et conclusion.
Plus de Centre de recherche et d'intervention sur le suicide, enjeux éthiques et pratiques de fin de vie (20)
Phénomène nouveau? Population difficile d’atteinte? Contexte étranger? Différ...
CRISE - INSTITUT 2011 - Brian Mishara - Prévenir la récidive de tentatives de suicide: vers une compréhension des parcours selon le genre
1. Brian L. Mishara, CRISE/UQAM, Chercheur principal;
François Chagnon, CRISE/UQAM;
Marc Daigle, CRISE/UQTR;
Francine Gratton, CRISE/U.de Montréal;
Brian Greenfield, Hôpital de Montréal pour enfants;
Janie Houle, CRISE/UQAM
Marie Julien, CRISE/CSSS Pierre-Boucher;
Réal Labelle, CRISE/UQAM;
Alain Lesage, Fernand Séguin;
Louise Pouliot, CRISE/UQAM;
Danielle St-Laurent, CRISE/INSPQ;
Michel Tousignant, CRISE/UQAM
2. Les objectifs prioritaires de l’intervention à
l’urgence pour tentative de suicide sont de:
Sauver la vie du patient;
Prévenir une autre tentative et un décès par suicide
Cependant:
Les personnes vues à l’urgence pour tentative de
suicide présentent un haut risque de récidive
(particulièrement dans les 12 mois suivant leur visite
à l’hôpital) et présentent environ 200 fois plus de
risque de mourir par suicide que les personnes qui
n’ont jamais été vues à l’urgence pour une tentative
de suicide.
3. Les personnes vues à l’urgence pour tentative de
suicide présentent un haut risque de récidive
(particulièrement dans les 12 mois suivant
l’hospitalisation) et présentent environ 200 fois
plus de risque de mourir par suicide que les
personnes qui n’ont jamais été à l’urgence pour
une tentative de suicide.
1) Est-ce que le contact avec l’hôpital pour TS
est un facteur de risque de mort par suicide ?
Si oui, est-ce que le risque est élevé à cause de ce qui
se arrive à l’hôpital ?
Ou dû au fait que la personne a fait une TS ?
Ou à cause des caractéristiques des personnes
suicidaires qui se retrouvent à l’hôpital ?
4. Comprendre pourquoi certaines personnes
vues à l’urgence pour TS récidivent et
d’autres non
Identifier ce qu’on peut faire pour prévenir
le risque de récidive après avoir quitté
l’hôpital après une TS
5. Les personnes qui se présentent à l’urgence pour TS ont
des problèmes de santé mentale, histoires de vie ou traits
de personnalité qui seront toujours présents. Elles seront
donc toujours à risque élevé de suicide et de TS malgré ce
qu’on fait.
Les personnes qui se présentent à l’urgence pour TS
retournent dans le même environnement « suicidogène »
(par ex., manque de soutien, chômage, abus d’alcool et de
drogues dans la famille et l’entourage, violence, etc.) et
sont toujours à risque.
Au lieu d’aider à prévenir des TS, le contact avec l’hôpital
pour TS augmente le risque de récidives après décharge ou
n’a pas d’impact préventif.
Le suivi après avoir quitté l’hôpital n’est pas assez intense
ou n’est pas adapté aux besoins de la personne.
6. Comment identifier, lors de leur séjour à l’hôpital,
les personnes les plus à risque de récidive après
hospitalisation
Quelles sont les meilleures pratiques en milieu
hospitalier et les meilleures pratiques de suivi après
pour prévenir la récidive
Comment il faut modifier ou adapter les pratiques
selon le genre, le diagnostic et d’autres
caractéristiques des clients et de leur situation
Comment identifier lors du suivi quand le risque de
récidive augmente
Comment assurer une meilleure adhésion aux
traitements et interventions préventives
Quel rôle peuvent jouer les différents intervenants
potentiels (médecins, travailleurs sociaux, proches,
organismes communautaires, CPS, etc.)
7. Entrevues + questionnaires (N=700 si
possible)
À l’hôpital – à l’urgence (entrevue)
1 mois après (par téléphone)
6 mois après (par téléphone)
12 mois après (par téléphone)
18 mois après (entrevue)
Étude qualitative de l’expérience de la
décharge psychiatrique (N=30)
Consensus sur la pratique
Application des connaissances
8. Hôpital Sacré-Cœur
Hôpital Notre Dame
Hôpital Maisonneuve-Rosemont
Centre Hospitalier St-Mary
Hôpital Général de Montréal
Hôpital Royal Victoria
CSSS Cœur de l’Ile (H. Jean-Talon)
Hôpital Charles Lemoyne
9. Liées à la personne:
Genre
Impulsivité et agressivité
Soutien social
Antécédents suicidaires
Histoire familiale
Troubles mentaux
Problèmes de drogues/alcool
Problèmes physiques
Violence et criminalité
Événements de vie
Personnalité
Niveau d’énergie
Mécanismes d’adaptation (coping)
Relations avec la famille
Travail, revenu, statut marital, etc.
10. Liées au parcours de soin:
Consultation de spécialistes + traitements
Hospitalisations
Types de traitement (counselling, médication)
Adhésion aux traitements
Perception des services reçus
Durée des traitements
Létalité des tentatives
11. Récidive de tentative de suicide
Risque suicidaire
Dépression
Désespoir
Décès par suicide
12. 38 hommes ( 7 homosexuels, 1 bisexuel)
62 femmes (2 homosexuelles, 1 bisexuelle)
+/-150 refus (hommes, femmes)
91% « problèmes reliés à vos émotions, santé
mentale ou consommation »:
76% problèmes d’anxiété;
66% problèmes de dépression;
27% problèmes reliés à l’alcool;
24% problèmes reliés aux drogues;
20% problèmes de psychose maniaco-dépressive
(trouble bipolaire);
13% problèmes reliés au jeu;
9% problèmes avec la justice
4% psychose incluant schizophrénie;
14. Est-ce que vous aviez l’intention de mourir?
Femmes Oui 82%
Hommes Oui 81%
Êtes-vous triste ou content d’être toujours
vivant?
Femmes Hommes
Triste 31% 30%
Content 45% 43%
Non précisé ou
autres
24% 27%
15. Approx. « 25% » ont appelé au secours après
ou pendant leur tentative
Approx. « 25% » ont fait leur tentative avec
précaution pour être trouvé (par ex. débarré
la porte) ou avec présence d’autres
personnes
16. Étiez-vous sous l’influence de drogues ou
d’alcool lors de votre TS?
40% ont répondu oui (29% chez les femmes et 57%
chez les hommes)
Y avait-il des possibilités que vous soyez
découvert?
Oui 51%
Non 49%
17. 4/5 intention de mourir
(1/5 pas d’intention de mourir)
Deux patrons :
1 Personnes qui ont pensé ne pas être sauvées
2 Personnes qui pensaient au moment de la tentative
qu’il y avait possibilité d’être sauvé, souvent malgré
leur « intention de mourir » et de la dangerosité de
leur tentative
Habilités cognitives compromises (40%) par
l’alcool ou/et drogues (H > F)
Souvent content d’avoir été sauvé malgré
intention de mourir.
18. Problèmes financiers: 65%
Dont 50% affectés le jour de la tentative
Problèmes conjugaux : 64%
Dont 67% affectés le jour de la tentative
Problèmes de santé physique: 55%
Dont 60% affectés le jour de la tentative
Problèmes familiaux autres que conjugaux: 53%
Dont 52% affectés le jour de la tentative
Problèmes dans vos relations à cause de votre
personnalité 48%
Problèmes au travail 47%
Dont 43% affectés le jour de la tentative
19. Décès autre d’un proche 35%
Dont 26% affectés le jour de la tentative
Suicide d’un proche N=13
Dont 5 affectés le jour de la tentative
20. Avant l’âge de 16 ans, avez-vous rencontré ou parlé avec une
personne de la Protection de la jeunesse en raison de difficultés
à la maison?
24% !
Combien de fois avez-vous vu ou entendu un de vos parents
(grands-parents, tuteurs) se battre ou frapper un autre adulte
dans la maison?
Femme Homme Total
Jamais 39 26 65
Une fois ou 2 5 4 9
3 ou 5 fois 7 0 7
6 à 10 fois 1 1 2
+ de 10 fois 9 7 16
Non précisé 1 0 1
Total 62 38 100
21. Victime de violence: 24%
Dont 45% affectés le jour de la tentative
Auteur de violence conjugale ou
interpersonnelle 12%
(6 hommes et 6 femmes)
dont 5 affectés le jour de la tentative
Avez-vous déjà été condamné? 13%*
Avez-vous déjà été accusé? 9%*
*S’agissait-il de gestes violents? 100%
22. Tentative ou décès par suicide dans la famille
37%
Membre de la famille souffrant de troubles
de santé mentale
54%
Membre de la famille souffrant de troubles
d’abus d’alcool ou de drogues
45%
23. Femme Homme Total
Jamais 9 5 14
Une fois par mois
ou moins
19 7 26
2-4 fois par mois 15 6 21
2-3 fois par
semaine
10 9 19
4 fois ou plus par
semaine
9 11 20
Total 62 38 100
Avez-vous déjà blessé quelqu’un parce que vous aviez bu?
Oui : 5 femmes et 9 hommes
Nombre de consommations par occasion :
1 ou 2 (47%); 3 ou 4 (19%); 5 ou plus (29%)
24. Pensez-vous au suicide aujourd’hui? 35%
Quel moyen utiliseriez-vous?
Femme Homme Total
Non précisé 26 19 42
Ingestion, intoxication 19 6 25
Lacération 3 2 5
Pendaison,
étranglement
5 2 7
Monoxyde de carbone 1 0 1
Saut et défenestration 1 2 3
Arme à feu 0 3 3
Métro, train 0 2 2
Autres méthodes 0 2 2
Méthodes multiples 7 1 8
Héroïne 0 1 1
Noyade 0 1 1
TOTAL 62 38 100
25. Ce moyen est-il accessible ?
Oui 37%
Non 14%
Non-précisé 49%
26. Avez-vous déjà parlé de vos idées suicidaires?
Oui 47%
Non 53%
À qui?
Ami, conjoint 7
Ex-ami ou conjoint 6
Psychologue institution 6
Médecin 5
Amis et intervenants 8
27. Psychiatre 50% (dont 42% peu aidant ou pas du tout )
Psychologue 39% (dont 58% peu aidant ou pas du tout)
Omnipraticien 49% (dont 26% peu aidant ou pas du tout)
Infirmier(ère) 22% (dont 28% peu aidant ou pas du tout)
Travailleur social 20% (dont 20% peu aidant ou pas du tout)
Pharmacien 24% (dont 4% peu aidant ou pas du tout)
Groupe d’entraide 14% (dont 5% peu aidant ou pas du tout)
Conseiller religieux 10% (0% peu aidant, 71% très aidant)
Conseiller milieu de travail 10% (dont 50% peu aidant ou pas du tout)
Un membre de votre famille 64% (dont 25% peu aidant ou pas du tout)
Un proche ou un ami 66% (42% peu aidant mais jamais pas du
tout aidant; 2x plus aidant pour les femmes)
Collègue, superviseur, patron 16% (toujours aidant)
Internet 22% (20% peu aidant ou pas du tout
aidant)
Ligne téléphonique 25% (37% peu aidant ou pas du tout
aidant)
28. Pour diminuer angoisse, stress 49%
Prenez-vous le médicament selon l’ordonnance?
Toujours 66%
Généralement 22%
Rarement 6%
Pour humeur dépressive, tristesse 52%
Prenez-vous le médicament selon l’ordonnance?
Toujours 76%
Généralement 14%
Pour problèmes de sommeil 31%
29. Observations préliminaires basées sur les 100 premières
entrevues:
TS: intentions sérieuses (ont pensé qu’ils allaient mourir) dans
la moitié des cas, possibilité d’être sauvé dans la moitié des
cas, 25% changent d’avis après (s’ils peuvent)
Familles très troublées avec abus, violence et tentatives de
suicide ou décès
Souvent violence: agression ou victime de violence ou les deux
Freud n’avait pas raison : violence et suicide sont associés
Généralement, patient déjà diagnostiqué et a consulté pour
troubles mentaux
A consulté, mais souvent pas satisfait des services reçus des
professionnels, plus satisfait des organismes communautaires
et de l’aide des proches
Mauvaise adhésion au traitement et mauvaise continuité
Pas de problème de dépistage des troubles mentaux, mais
d’identification du risque suicidaire, amélioration des traitements
et adhésion
Pharmaciens, conseillers religieux et collègues, superviseurs,
patrons sont source d’aide très apprécié et peu ciblé par les
formations
30. Les résultats des suivis pendant 18 mois
Plus de participants
Analyses des autres données et informations
qualitatives
Étude qualitative de sous-échantillon en
profondeur
Analyses des facteurs de risque et protection
de récidive après 18 mois
31. Brian L. Mishara, CRISE/UQAM, Chercheur principal;
François Chagnon, CRISE/UQAM;
Marc Daigle, CRISE/UQTR;
Francine Gratton, CRISE/U.de Montréal;
Brian Greenfield, Hôpital de Montréal pour enfants;
Marie Julien, CRISE/CSSS Pierre-Boucher;
Réal Labelle, CRISE/UQAM;
Alain Lesage, Fernand Séguin;
Louise Pouliot, CRISE/UQAM;
Danielle St-Laurent, CRISE/INSPQ;
Michel Tousignant, CRISE/UQAM