Introduction :
I. Historique et définition de la construction mixte :
• La construction mixte en général.
• La construction mixte Bois_Béton.
• La construction mixte Acier_Béton.
II. Caractéristique techniques et emploi des matériaux :
• Le béton.
• Le bois.
• Les aciers.
III. Construction Mixte Bois_Béton :
• Les apports de la mixité (La construction mixte Bois_Béton).
A. Différents système de structure :
B. Plancher.
IV. Construction Mixte Acier_Béton :
A. Les éléments constructifs.
B. Méthode de construction et montage.
V. Avantages et inconvénients.
VI. Exemple d’usage.
Le rapport entre matière et structures reprend un rapport existant à un plus haut niveau entre l’architecture et la mécanique, dans le sens plus général que l’on peut attribuer à ce dernier terme, à savoir entre l’art et la science de la construction. Cependant, cette dichotomie entre l’art et la science [entre “sentiment” et “raison”] que l’on ressent aujourd’hui dans la formation des élèves des écoles d’architecture et d’ingénieurs, n’apparaît pas si clairement dans l’étude de l’histoire de l’architecture.
C’est pourquoi, afin justement de parvenir à une meilleure compréhension ce qui sera exposé dans la suite, j’estime qu’il est nécessaire que le thème central de ce texte soit précédé d’un bref aperçu historique sur les développements du génie des structures et de la science de la construction avant le XXe siècle, où a été le plus perçue cette distinction entre l’architecture et la science de l’ingénieur. Ces développements sont symptomatiques d’un processus qui, s’il a ouvert d’un côté de nouvelles voies au génie des structures, et indirectement à l’architecture, a établi et consolidé de l’autre les fondements théoriques d’une discipline - la science des constructions [c’est-à-dire la synthèse entre résistance des matériaux, mécanique des solides et des structures] - qui dans notre siècle a vu d’importantes applications, mais peu d’actes de fondation, orientés seulement à la définition de champs d’intervention par ailleurs déjà anticipés au cours des siècles précédents (comme par exemple la théorie de la plasticité, …).
Les dernières décennies du XVIIIe siècle et la première moitié du siècle suivant sont caractérisées par de grandes mutations, accompagnées d’innovations technologiques, dans le secteur des constructions également. Un «tournant» particulièrement important par rapport à la vieille «science des ingénieurs» s’est vérifié au XIXe siècle, initiant l’actuelle science de la construction, et a été marqué par deux aspects principaux, mis en avant par les ingénieurs et les savants des écoles polytechniques:
1) l’attention envers les propriétés mécaniques des matériaux, en relation à différents états de contrainte;
2) une nouvelle lecture de la construction faisant découvrir dans celle-ci la trace de structures élémentaires.
De nouveaux «acteurs» occupent le devant de la scène dans la science de la construction: la tension et la déformation; de nouveaux objectifs, comme la définition des limites de sécurité des constructions, se posent aux concepteurs. Auparavant la forme géométrique était la protagoniste de l’intervention sur les structures (voir par exemple l’emploi des structures voûtées pour la couverture de grands espaces et pour la construction des ponts), et donc l’invention de la composition et la compatibilité statique étaient deux moments ind
Introduction :
I. Historique et définition de la construction mixte :
• La construction mixte en général.
• La construction mixte Bois_Béton.
• La construction mixte Acier_Béton.
II. Caractéristique techniques et emploi des matériaux :
• Le béton.
• Le bois.
• Les aciers.
III. Construction Mixte Bois_Béton :
• Les apports de la mixité (La construction mixte Bois_Béton).
A. Différents système de structure :
B. Plancher.
IV. Construction Mixte Acier_Béton :
A. Les éléments constructifs.
B. Méthode de construction et montage.
V. Avantages et inconvénients.
VI. Exemple d’usage.
Le rapport entre matière et structures reprend un rapport existant à un plus haut niveau entre l’architecture et la mécanique, dans le sens plus général que l’on peut attribuer à ce dernier terme, à savoir entre l’art et la science de la construction. Cependant, cette dichotomie entre l’art et la science [entre “sentiment” et “raison”] que l’on ressent aujourd’hui dans la formation des élèves des écoles d’architecture et d’ingénieurs, n’apparaît pas si clairement dans l’étude de l’histoire de l’architecture.
C’est pourquoi, afin justement de parvenir à une meilleure compréhension ce qui sera exposé dans la suite, j’estime qu’il est nécessaire que le thème central de ce texte soit précédé d’un bref aperçu historique sur les développements du génie des structures et de la science de la construction avant le XXe siècle, où a été le plus perçue cette distinction entre l’architecture et la science de l’ingénieur. Ces développements sont symptomatiques d’un processus qui, s’il a ouvert d’un côté de nouvelles voies au génie des structures, et indirectement à l’architecture, a établi et consolidé de l’autre les fondements théoriques d’une discipline - la science des constructions [c’est-à-dire la synthèse entre résistance des matériaux, mécanique des solides et des structures] - qui dans notre siècle a vu d’importantes applications, mais peu d’actes de fondation, orientés seulement à la définition de champs d’intervention par ailleurs déjà anticipés au cours des siècles précédents (comme par exemple la théorie de la plasticité, …).
Les dernières décennies du XVIIIe siècle et la première moitié du siècle suivant sont caractérisées par de grandes mutations, accompagnées d’innovations technologiques, dans le secteur des constructions également. Un «tournant» particulièrement important par rapport à la vieille «science des ingénieurs» s’est vérifié au XIXe siècle, initiant l’actuelle science de la construction, et a été marqué par deux aspects principaux, mis en avant par les ingénieurs et les savants des écoles polytechniques:
1) l’attention envers les propriétés mécaniques des matériaux, en relation à différents états de contrainte;
2) une nouvelle lecture de la construction faisant découvrir dans celle-ci la trace de structures élémentaires.
De nouveaux «acteurs» occupent le devant de la scène dans la science de la construction: la tension et la déformation; de nouveaux objectifs, comme la définition des limites de sécurité des constructions, se posent aux concepteurs. Auparavant la forme géométrique était la protagoniste de l’intervention sur les structures (voir par exemple l’emploi des structures voûtées pour la couverture de grands espaces et pour la construction des ponts), et donc l’invention de la composition et la compatibilité statique étaient deux moments ind
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1. Exposé d’un groupe d’approfondissement escalade L2
Année 2012
Cours de JC WECKERLE
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2. Introduction
L’évolution du matériel joue un rôle
important en matière sportive.
Elle permet aux performances de
s’améliorer.
Mais elle permet aussi à la technique
d’évoluer (VIGARELLO, 1988)
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3. LA CORDE
Les cordes étaient autrefois faites avec
des matériaux d’origine naturelles mais
comportaient de nombreux inconvénients :
-elles perdaient beaucoup de leur
résistance en conditions humides
-elles vieillissaient plus vite sous l'action
des moisissures
-elles présentaient le principal défaut de
casser net sous l'effet d'un choc violent.
Diverses fibres végétales ont été utilisées :
principalement le chanvre, mais aussi le
coton, le sisal et la fibre de coco.
Actuellement, les cordes de sport sont
constituées d'une gaine tissée (fibres
entrecroisées) et d'une âme en fibres
tressées. La matière utilisée est le nylon. Appro escalade L2 JC
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4. Le Baudrier
Avant il n’existait pas de baudrier la corde
était directement reliée au corps et servait
juste en cas de glissade. La chute était
interdite !
1952 : Au début des années 50, on a
commencé à s'encorder sur une ceinture.
Celle-ci était constitué d'un cordasson
(petite corde) au départ noué de
différentes façons autour du corps puis de
plus en plus souvent cousu "côte à côte"
de façon à constituer une bande.
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5. Le Baudrier
A partir des années 60, généralisation de
l'utilisation du baudrier comme moyen de
sécurité en escalade. Jusque là, les
grimpeurs s’encordaient à la taille
directement avec la corde
Avec l’arrivé du baudriers et la corde en
nylon les grimpeur commencèrent a oser
des voies plus dangereuses.
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6. Le Baudrier
Aujourd’hui un baudrier, ou harnais, sert à
attacher une corde à une personne. La
plupart des baudriers utilisés en escalade
sont portés autour de la taille, bien que
d'autres types peuvent être rencontrés, tels
des harnais de torse ou des harnais
complets.
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7. Mousqueton
1911 : Apparition du premier
mousqueton dit karabiner (emprunté aux
sapeurs-pompiers allemands par Otto
Herzog. Ce mécanisme permet d’y faire
pénétrer la corde sans se dés encorder. )
1933 : Pierre Allain invente le
mousqueton en alliage léger (65g au lieu
de 140g) avec l’amélioration du ressort.
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8. Mousqueton
1958: le mousqueton léger en alliage
d’aluminium (zicral) pour l'escalade libre
est mis au point... Il résiste
convenablement aux chutes éventuelles
des grimpeurs…
1966: le mousqueton en alliage léger,
avec doigt de verrouillage, est présenté
par Pierre Allain. C'est un véritable
élément de sécurité
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9. ASSURAGE : le Frein
Ces dispositifs se distinguent en deux
catégories : ceux autobloquant, souvent
d'une manière mécanique et ceux non-
autobloquant qui historiquement était les
premiers dispositifs existants. Les
dispositifs autobloquant permettent de
soulager une partie de l'attention
nécessaire à l'assurage
l’arrivée du descendeur en huit
1943 : Pierre Allain invente Le dans les années 70
descendeur (évite les brûlures sur le
corps).
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11. Les Pitons
1910 : Utilisation du piton : ( Au début
exclusivement destiné à l’équipement des
rappels puis plus tard à assurer la
progression. Le premier de cordée après
avoir planté un piton doit se désencorder
pour passer la corde directement dans
celui-ci. Les grimpeurs se trouvent ainsi
constamment reliés au rocher.)
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12. Les Pitons
Les pitons à glace inventés par Welzenbach
dans les années 1930, de simples lames
métalliques, se perfectionnent et dans les
années soixante sont proposées des broches
tubulaires à glace, des tiges coniques à épines,
toutes pénètrent la glace en étant frappées à
l’aide du marteau-piolet.
En1962, les pitons américains en acier
spécial raide et très élastique (traversent
l’Atlantique, ils sont très bien adaptés au granite,
sont facilement utilisables, réutilisables et
récupérables. Ils ont été inventés et utilisés par
John Salathé pour l’ouverture de Lost Arrow
dans le Yosemite en 1946.)
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13. Des pitons … au broches
La généralisation de l’usage de nouveaux
pitons à expansion, les «spits», va
permettre de faire très rapidement évoluer
le niveau en permettant de s’attaquer à
des surfaces rocheuses lisses, en dalle.
Les Broches vont permettre d’assurer la
sécurité des grimpeurs dans les roches
tendres telles que le calcaire
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14. Les Coinceurs
Les coinceurs : Les coinceurs sont de
petits morceaux de métal que l’on glisse et
bloque dans les fissures pour se protéger
d’une chute. Au début, les grimpeurs
bloquaient des nœuds de corde, des
cailloux ou des blocs de bois afin de se
protéger. C’est vers 1960 que des écrous
traînant le long d’une voie ferrée serviront
dans les fissures. Les Américains (Y.
Chouinard et T. Frost) perfectionnent l’idée
et développent l’HEXENTRIC. Puis, un
grimpeur américain, ingénieur,
développera le Friend, système de cames
et de ressorts qui est aujourd’hui
indispensable dans les grandes voies en
fissure. En angleterre les coinceurs vont
remplacer les pitons qui détériorent trop la
roche.
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15. Les Coinceurs
En 1978, un progrès énorme est
proposé par le Nord-américain Ray
Jardine, un coinceur automatique et
réglable de type Friend, reposant sur
l’opposition de deux cames et plusieurs
fois améliorés depuis pour arriver aux
merveilles de technologie que nous
utilisons aujourd’hui
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16. Apparition du matériel au 19ème siècles
chaussures
1910 : Invention de l'espadrille à semelle de
feutre qui va remplacer les chaussures à clous.
1935 Pierre Alain invente les espadrilles a
semelles en caoutchouc, en 1948 chausson
d’escalade à semelle lisse.
Chausson
Au 17ème, les alpinistes étaient équipés de souliers à
clous (inventés par les romains) pour sols EB 1970
verglacés et glissants
Chaussons
actuels
1908 : Invention des crampons “modernes" à
10 pointes par Eckenstein
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17. Du bâton au piolets…
Les bâtons ferrés servaient d’appui
supplémentaire pour monter ou descendre les
pentes raides, à se prémunir des crevasses en
sondant la neige.
Vers 1850 les piolets longs sont apparus,
nés de la réunion entre la hachette et du
long bâton ferré. Les alpinistes
s’aventurent sur des terrains glacés plus
raides.
Piolet traction
actuels
Les montagnards complètent leur
équipement en portant à la ceinture, une
courte hachette pour tailler des marches
dans la glace où poser les pieds
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18. CONCLUSION
C’est l’amélioration progressive de la sécurité qui
permettra à l’escalade sportive de voir le jour et un
progrès des performances et de la technique. Au fil
du temps, on voit que l’erreur est permise dans la
pratique de l’escalade et que la chute, interdite au
début, fait désormais partie de l’activité.
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