Le chaos dans les relations internationales exige un gouvernement mondialFernando Alcoforado
L'humanité doit constituer un gouvernement mondial pour faire face à ses grands défis au 21ème siècle qui consistent en: 1) les crises économique et financière successifs; 2) Les révolutions et la contre-révolution sociale dans le monde entier; 3) les guerres en cascade; 4) surpopulation mondiale; 5) pandémie mortelle; 6) les changements climatiques extrêmes; 7) le crime organisé; et 8) Les menaces émanant de l'espace, dont les actions globales visant à les neutraliser sont impossibles à mener par les seuls États nationaux et par les institutions internationales actuelles. Le risque que ce gouvernement mondial puisse être dirigé par les mêmes grandes puissances militaires et économiques est réel. Il est cependant préférable de prendre ce risque que de ne rien faire. Nous devons prendre ce risque en travaillant et en pariant sur la possibilité qu'un gouvernement véritablement démocratique puisse être constitué à l'échelle mondiale à l'avenir.
L'échec de la mondialisation néolibérale est démontrée par le déclenchement de la crise mondiale de 2008 qui a éclaté aux États-Unis dans le secteur des prêts hypothécaires qui immédiatement se propagent à d'autres parties du système financier mondial, l'augmentation des déséquilibres mondiaux dans le commerce, l'épargne et l'investissement et de l'inégalité sociale incarnée dans la concentration excessive de la richesse dans le monde.
Le chaos dans les relations internationales exige un gouvernement mondialFernando Alcoforado
L'humanité doit constituer un gouvernement mondial pour faire face à ses grands défis au 21ème siècle qui consistent en: 1) les crises économique et financière successifs; 2) Les révolutions et la contre-révolution sociale dans le monde entier; 3) les guerres en cascade; 4) surpopulation mondiale; 5) pandémie mortelle; 6) les changements climatiques extrêmes; 7) le crime organisé; et 8) Les menaces émanant de l'espace, dont les actions globales visant à les neutraliser sont impossibles à mener par les seuls États nationaux et par les institutions internationales actuelles. Le risque que ce gouvernement mondial puisse être dirigé par les mêmes grandes puissances militaires et économiques est réel. Il est cependant préférable de prendre ce risque que de ne rien faire. Nous devons prendre ce risque en travaillant et en pariant sur la possibilité qu'un gouvernement véritablement démocratique puisse être constitué à l'échelle mondiale à l'avenir.
L'échec de la mondialisation néolibérale est démontrée par le déclenchement de la crise mondiale de 2008 qui a éclaté aux États-Unis dans le secteur des prêts hypothécaires qui immédiatement se propagent à d'autres parties du système financier mondial, l'augmentation des déséquilibres mondiaux dans le commerce, l'épargne et l'investissement et de l'inégalité sociale incarnée dans la concentration excessive de la richesse dans le monde.
DJISSOU Jean, Tendance climatique et production halieutique du Lac NokouéVianney Orjebin
La présente étude vise à appréhender l’influence des tendances climatiques sur la production halieutique et ses
conséquences sur les populations riveraines du lac Nokoué.
.L’approche méthodologique utilisée est fondée sur la recherche documentaire, les observations et les enquêtes
socio-anthropologiques. Les entretiens ont été réalisés avec les pêcheurs, les personnes ressources et autres
riverains. Le modèle PEIR a été utilisé pour analyser les résultats.
L’analyse des données climatologiques atteste la baisse des précipitations marquée par une succession d’années
déficitaires et excédentaires et d’une augmentation des températures maximales et minimales respectivement de
1,7 oC et 1,1 oC sur la période 1980-2009. Cette évolution des paramètres climatiques se manifeste, entre autres,
par une augmentation des températures qui induit systématiquement celle de l’eau, milieu de vie des espèces
halieutiques, et a entrainé une baisse de la production halieutique de 2,88 % entre 1987 et 2000. Ce qui est
confirmée par 99 % des personnes interrogées qui trouvent que non seulement la production halieutique a baissé
mais aussi l’activité de pêche est désormais contraignante. Cette baisse a engendré des effets socio-économiques
comme la baisse des revenus des pêcheurs, des famines entrainant parfois des migrations et des conflits
socioprofessionnels.
Face à cette situation, les communautés du lac Nokoué ont développé des techniques de pêche et autres activités
pour réduire ces effets. Mais pour une bonne relance de la pêche, des stratégies complémentaires comme le
développement de la pisciculture, l’aquaculture ont été proposées.
Mots clés : Lac Nokoué, tendances climatiques, enquête socio- anthropologique, production halieutique, crise
des pêcheries.
Cet article vise à montrer comment la mondialisation néolibérale a émergé, les conséquences de la mondialisation néolibérale, les obstacles à la mondialisation néolibérale, l’avancée du fascisme face à la crise de la mondialisation néolibérale et les solutions à la crise de la mondialisation néolibérale.
LE KEYNESIANISME MONDIAL ET LE GOUVERNEMENT MONDIAL SONT URGENTS POUR COMMAND...Faga1939
Cet article vise à démontrer que la politique économique keynésienne adoptée à l'échelle mondiale et l'existence d'un gouvernement mondial sont les solutions pour éliminer le chaos qui caractérise l'économie mondiale aujourd'hui. Avec le keynésianisme mondial, il y aurait la coordination des politiques économiques keynésiennes au niveau planétaire qui ne pourrait se faire qu'avec l'existence d'un gouvernement mondial. Ce serait le moyen d'obtenir la stabilité de l'économie mondiale pour éliminer le chaos qui caractérise la mondialisation néolibérale actuellement dominante à travers le monde. Avec le keynésianisme global adopté dans la planification de l'économie mondiale et l'existence d'un gouvernement mondial, il serait possible d'éliminer le chaos générateur d'incertitude qui caractérise l'économie mondiale soumise à des instabilités constantes. L'élimination du chaos ou l'atténuation de l'instabilité et de l'incertitude avec ses turbulences et ses risques dans l'économie mondiale ne sera atteinte qu'avec l'existence d'un gouvernement mondial qui agirait pour assurer la coordination entre les politiques économiques keynésiennes adoptées dans chaque pays et au niveau mondial. Pour être efficace, le gouvernement mondial devrait adopter le processus de planification économique keynésien qui aide à éliminer l'instabilité et l'incertitude avec ses turbulences et ses risques.
La mise en ordre de la société au niveau mondial pourrait être réalisé avec la constitution d'un gouvernement mondial qui viserait non seulement l'ordre économique et des relations internationales au niveau mondial, mais, surtout, créerait les conditions pour faire face aux défis de l'humanité au 21e siècle qui pourrait conduire à son effondrement total représenté par la perturbation généralisée et durable d'Internet, l'épuisement du système mondial d'approvisionnement alimentaire, une impulsion électromagnétique continentale qui détruit tous les appareils électroniques, l'effondrement de la mondialisation, la destruction de la vie sur Terre par des astéroïdes et par des particules exotiques venues de l'espace, par le changement climatique global, par la fin de l'approvisionnement mondial en pétrole, par une pandémie mondiale comme le Coronavirus, par l'effondrement de l'approvisionnement en électricité et en eau potable, par des robots intelligents qui dépassent l'humanité et par l'effondrement des marchés financiers mondiaux. Les pays individuels, même les plus puissants, et les institutions mondiales actuelles telles que l'ONU, le FMI, l'OMC, entre autres, ne remplissent pas les conditions pour mener à bien ces actions.
Cette présentation montre comment les crises se propagent-elles et quelles sont les actions correctives des États. Elle traite aussi l'impact de ces crises sur l'économie marocaine.
COMMENT FAIRE DE L'UTOPIE DE LA FIN DU CHAOS ÉCONOMIQUE ET SOCIAL UNE RÉALITÉ...Faga1939
Cet article vise à présenter comment concrétiser l’utopie de mettre fin au chaos économique et social aux niveaux national et mondial grâce à la planification économique dans chaque pays et à l’échelle mondiale.. Le capitalisme est un système complexe, dynamique, adaptatif et non linéaire car il comporte un grand nombre d'éléments ou d'agents qui interagissent les uns avec les autres, formant une ou plusieurs structures issues des interactions entre ces agents. Les systèmes complexes sont des systèmes caractérisés par leur dynamisme, dont les caractéristiques fondamentales sont leur dépendance sensible aux conditions initiales, où des différences minimes au début de tout processus peuvent conduire à des situations complètement opposées au fil du temps. Les systèmes entrent dans un état de chaos lorsque les fluctuations qui étaient auparavant corrigées par des rétroactions auto-stabilisantes deviennent incontrôlables. La trajectoire de développement devient non linéaire : les tendances dominantes s’effondrent et à leur place surgissent diverses évolutions complexes. C’est la situation que connaît l’économie mondiale après la crise qui a éclaté en 2008 aux États-Unis et s’est propagée à toute la planète. Face à l'échec du néolibéralisme et à son incapacité à faire face à la crise mondiale du capitalisme, le keynésianisme pourrait être la solution à condition qu'il soit appliqué à l'échelle mondiale, c'est-à-dire qu'il opère dans la planification économique, non seulement au niveau national pour atteindre la stabilité économique et le plein emploi des facteurs dans chaque pays, mais aussi au niveau mondial pour éliminer le chaos économique mondial qui prévaut aujourd'hui avec le néolibéralisme. Avec le keynésianisme global adopté dans la planification de l’économie mondiale et l’existence d’un gouvernement mondial, il serait possible d’éliminer le chaos générateur d’incertitudes qui caractérise l’économie mondiale soumise à des instabilités constantes. L’élimination du chaos ou l’atténuation de l’instabilité et de l’incertitude avec ses turbulences et ses risques dans l’économie mondiale ne sera possible qu’avec l’existence d’un gouvernement mondial qui agirait pour assurer la coordination entre les politiques économiques keynésiennes adoptées dans chaque pays et au niveau mondial.
Cet article vise à présenter les signes de la décadence du système capitaliste mondial qui se dirige inévitablement vers sa fin au milieu du 21e siècle lorsque le taux de profit mondial et le taux de croissance du produit mondial brut atteindront zéro. De plus, le capitalisme évoluera avec les caractéristiques de l'entropie car il présente la tendance universelle à évoluer vers un désordre croissant et une autodestruction jusqu'à sa fin au milieu du 21e siècle. Ce scénario conduira à la fin du processus d'accumulation du capital, confirmant la tendance selon laquelle le capitalisme ne durera pas éternellement comme mode de production, comme beaucoup le pensent, car il aura la même fin que d'autres modes de production disparus, tels que comme l'esclavage au Ve siècle et la féodalité au XIVe siècle. La décadence du système capitaliste mondial se matérialise donc par le fait que le taux de profit mondial et le taux de croissance du produit mondial brut atteindront zéro au milieu du 21ème siècle, le capitalisme évoluera en présentant l'entropie avec un désordre et une autodestruction croissants et comme est-ce arrivé avec les modes de production esclavagiste et féodal.
Newsletter SPW Agriculture en province du Luxembourg du 03-06-24BenotGeorges3
Les informations et évènements agricoles en province du Luxembourg et en Wallonie susceptibles de vous intéresser et diffusés par le SPW Agriculture, Direction de la Recherche et du Développement, Service extérieur de Libramont.
https://agriculture.wallonie.be/home/recherche-developpement/acteurs-du-developpement-et-de-la-vulgarisation/les-services-exterieurs-de-la-direction-de-la-recherche-et-du-developpement/newsletters-des-services-exterieurs-de-la-vulgarisation/newsletters-du-se-de-libramont.html
Bonne lecture et bienvenue aux activités proposées.
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- Mise en pratique : comment doter ?
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1. La gouvernance économique mondiale depuis le sommet du G6 de
1975
Introduction :
Accroche : Crise grecque révélatrice des difficultés de la gouvernance économique mondiale.
Analyse du sujet : Définition de gouvernance économique mondiale et de libéralisme, + explication
G6
I) 1975-début des années 1990 : temps de la dérégulation
A) Le contexte : une économie mondiale en crise
Années 1970, eco mondiale en crise, début 20 piteuses. Pour 2 raisons : La fin du stystème de
Bretton Woods (à définir) décidé par Nixon et le choc pétrolier.
B) Une nouvelle gouvernance : des acteurs au service du (néo)libéralisme
En réponse à cette crise, théorie eco néolibérale adoptée. Conséquences : Libéralisation de
l’économie, création du G6, FMI et Banque Mondiale en crise.
C) Les limites de cette gouvernance
Résultats non probants. A aggravé la situation sociale des pays en voie de développement (à cause
de l’inefficacité du FMI et de la Banque Mondiale)
Perçue comme un « club des riches » (perçue comme une forme d’impérialisme occidental).
II) Depuis le début des années 1990 : une timide remise en question de
la dérégulation
A) Un contexte nouveau : le triomphe de la gouvernance libérale et les débuts d’une
multipolarisation du monde
Triomphe du libéralisme. Conséquences : « consensus de Washington »+ multipolarisation
B) De nouveaux acteurs : une politique toujours plus libérale
OMC créée en 1994 (suit les règles du consensus de Washington)
Création G20 et BRICS
C) Les limites de cette gouvernance : contestation grandissante et démonstration de faiblesse
de 2008
Crise de 2008 : crise des subprimes.
Gouvernance eco mondiale rencontre une opposition grandissante.
2. Conclusion :
Efficacité gouvernance eco mondiale depuis 1975 très limité.
A promu les théories eco néolibérales.
Mais n’a pas réussi à refléter la multipolarité du monde actuel, coût social de ses politiques élevés, ce
qui conduit a des fortes contestations.
La montée en puissance des BRICS sera-t-elle de nature à bouleverser la gouvernance mondiale
actuelle ?
3. 1
La gouvernance économique mondiale
depuis le sommet du G6 de 1975
Intro
Accroche : crise grecque : difficultés de la gouvernance économique mondiale. Dette encore plus
importante qu’au début de la crise. Conséquences sociales de la politique néolibérale du PAS
(programme d’ajustement structurel) sont majeures.
Gouvernance économique mondiale : fait de gouverner à l’échelle mondiale pour encadrer
l’économie mondiale et favoriser la croissance en promouvant un nouveau mode de gestion des
affaires publiques qui valorise les acteurs non étatiques (« bonne gouvernance »).
Libéralisme : théorie éco érigeant la propriété privée, la liberté d’entreprendre et le libre-échange.
Restriction de l’intervention de l’Etat dans les affaires éco.
Années 1990 (crise mondiale) : volonté de déréguler. Augmentation du pouvoir des acteurs privés
non-étatiques et des institutions internationales. Etats créent G6 (1975).
Quelle a été l’efficacité de la gouvernance économique mondiale depuis 1975 ?
I. 1975-début années 1990 : le temps de la dérégulation
A. Contexte : économie mondiale en crise
Fin du système de Bretton-
Woods (qui fixait dollar sur
valeur en or)
Facteurs :
- géopolitique : guerre du Vietnam
- éco : hausse du déficit public (coût de la guerre)
Conséquences :
- géopolitique/sociale : accord signé en Jamaïque. Déterminer la
valeur des monnaies : fixée par rapport au marché
- éco : USA dévaluent leur monnaie, s’endettent pour moins
cher
Chocs pétroliers (coût de
l’énergie augmente)
Facteurs :
- géopolitique : guerre du Kippour (1973), révolution d’Iran
(1979)
- éco : hausse du prix du pétrole (forte en 1973, moins en 1979)
Conséquences :
- géopolitique/sociale : délocalisation vers l’Asie, chômage
massif
- éco : coûts de production des pays industrialisés augmentent
B. Une nouvelle gouvernance : des acteurs au service du (néo)libéralisme
1971
Fin Bretton-
Woods
1973
1
er
choc
pétrolier
1975
G6
1979
2
ème
choc
pétrolier
1987
Krach
boursier
1995
OMC
2001
Entrée
Chine OMC
2008
Krach
boursier
2011
Entrée
Russie
OMC
4. 2
Le néolibéralisme comme réponse à la crise éco mondiale
C. Limites de cette gouvernance
Situation sociale des pays en
voie de développement
s’aggrave à cause de
l’inefficacité du FMI et de la
Banque mondiale
- augmentation de la dette des pays du Sud
- développement bloqué à cause des PAS : réduction des dépenses
publiques baisse de l’éducation, des soins, de la protection
sociale
- Joseph Stiglitz réclame une annulation partielle ou totale des
dettes des pays ayant subi le PAS
La gouvernance mondiale du
G6/G7 est assimilée à un
« club des pays riches »
- accusée d’être seulement au service des pays riches :
impérialisme occidental. Aucun pays du Sud
- ne prend pas en compte le développement durable : rapport de
Bruntland (1987)
Des rechutes de l’économie - krach boursier (1987)
- crise (1989)
- crise (1993)
- crise asiatique (1997)
II. Depuis le début des années 1990 : une timide remise en question de la
dérégulation
A. Un contexte nouveau : le triomphe de la gouvernance libérale et les débuts d’une
multipolarisation du monde
Chute du bloc communiste (1991
et depuis 1989, chute du mur de
Berlin)
- USA = vainqueurs guerre froide
- libéralisme et capitalisme = idéologies éco dominantes
Consensus de Washington : règles
théorisées au début des années
1990 et appliquées par la
gouvernance éco mondiale libérale
- John Williamson définit les 10 mesures pour qu’un pays
bénéficie des prêts du FMI. Principales mesures :
Crise éco mondiale
(années 1970)
Reagan et Thatcher
préconisent les
solutions
économiques
libérales
Augmentation du
pouvoir des acteurs
privés non-étatiques
d’échelle mondiale
Création d’une gouvernance
mondiale des pays riches et
industrialisés : G6-G7
Restauration de l’autorité des
institutions internationales (FMI
et Banque mondiale) qui
imposent le PAS
Privatisations des
entreprises publiques
Déréglementation
des mouvements
de capitaux
Réduction des
dépenses
publiques
5. 3
Recomposition de la puissance à
l’échelle mondiale (ne remet pas
en cause le libre-échange)
- hégémonie USA
- mais le monde se multipolarise : création d’organisations de
coopération éco régionale : MERCOSUR et ASEAN (1991),
ALENA et UE (1992). Pays émergents s’affirment : acteurs dans
la mondialisation, remettent en cause le leadership des pays
riches et industrialisés.
B. Nouveaux acteurs : une politique toujours plus libérale
OMC (1994) : action guidée par le
consensus de Washington
- institution majeure de la gouvernance éco mondiale
- remplace le GATT
- objectifs : étendre le libre-échange à l’agriculture, aux
services et à la propriété intellectuelle. Régler les différends
commerciaux entre pays rivaux
- les 2/3 de la planète y adhèrent
- peut sanctionner les pays qui contreviennent au libre-
échange
En réaction au G8, les pays
émergents créent des groupes de
pression : G20 ou BRICS
- symbolisent l’accession des pays émergents au statut
d’acteurs majeurs de la gouvernance éco mondiale
G20
- 1999
- objectif : résoudre crises mondiales
- régule le néolibéralisme : projet de taxation des transactions
financières, contrôle des paradis fiscaux
BRICS
- rapport de la banque Goldman Sachs : conseille ses clients
sur les meilleurs pays où investir
- depuis 2009, sommets chaque année
- objectifs : refonder les institutions internationales en
donnant + de poids aux puissances émergentes, réformer le
système monétaire mondial en retirant au dollar son statut de
monnaie de référence
- 2014 : banque d’aide au développement concurrencer
FMI et Banque mondiale. Base à Shanghai. Pas de réformes
type PAS/ Mais fonds ne rivalise pas.
C. Limites de cette gouvernance : contestation grandissante et démonstration de
faiblesse de 2008
Crise de 2008 - 2007 : marché de l’immobilier USA s’effondre. Crise des
subprimes.
- crise bancaire : faillites
- diffusion sur toute la planète : baisse de la consommation,
faillites d’entreprises, chômage
- effets limités par les Etats qui injectent des milliards
Opposition grandissante - Economistes keynésiens : prônent régulation par les Etats ou
institutions internationales. Joseph Stiglitz et Thomas Piketty.
- souverainistes : contre néolibéralisme, pour protectionnisme.
6. 4
Refusent la libre circulation des personnes.
- altermondialistes : mondialisation + égalitaire et +
écologique. FSM en réaction aux FEM. Mouvements citoyens :
les Indignés (2011), Nuit Debout.
Conclusion
Efficacité de la gouvernance éco mondiale : très limitée
Théories éco néolibérales
Essor des acteurs privés non-étatiques et des institutions internationales
Mais n’a pas réussi à refléter la multipolarité du monde actuel
Coût social de ses politiques élevé contestation de sa légitimité
Ouverture : La montée en puissance des BRICS sera-t-elle de nature à bouleverser la gouvernance
mondiale actuelle ?
7. La gouvernance économique mondiale depuis 1945 :
Introduction :
Accroche : Crise Grecque révélatrice des difficultés de la gouvernance économique mondiale (FMI,
Banque Mondiale, G8, U.E), dette encore plus importante qu’au début, conséquence sociales
majeures à cause du PAS
Définition : - dérégulation, assouplissement voire suppression des règles, fixées par les Etats, qui
encadrent l’activité économique
- gouvernance économique mondiale, gouverner à l’échelle mondiale pour encadrer
l’économie mondiale et favoriser la croissance en promouvant un nouveau mode de gestion des
affaires publiques qui valorise les acteurs non étatiques, guidé par des choix éco libéraux (c-à-d
érigeant propriété privée, liberté d’entreprendre, libre échange tout en réduisent la capacité des
Etats à intervenir).
Cette volonté de déréguler, (née dans les années 1970 au moment de la crise mondiale, a vu croître
le pouvoir des acteurs privées non-étatiques mais aussi celui des institutions internationales. En
réactions, les Etats ont créé le G6 en 1975 pour mieux contrôler l’économie mondiale et ces
nouveaux acteurs.
Quelle a été l’efficacité de la gouvernance économique mondiale depuis 1975 ?
1-1975-début 90 dérégulation de l’économie par la gouvernance économique mondiale
2-début 90 inflexion vers une nouvelle régulation économique (mais timide)
I- 1975-début des années 1990 : le temps de la dérégulation
A- Le contexte : une économie mondiale en crise
Fin des Trente Glorieuses (1945-73) et début des Vingt Piteuses (1973-91) -> économie mondiale en
crise dans les années 1970. Deux raisons : 1/la fin du système Bretton Woods (fixait le cours du dollar
sur sa valeur en or, abandonné par les E.Unis car déficit s’envolait à cause de la Guerre du Vietnam),
2/ chocs pétroliers (1973 (Guerre du Kippour) et 1979 (révolution Iran), tensions au Proche-Orient
qui font monter le prix du baril de pétrole)
Système monétaire mondiale devient instable, l’économie des pays industrialisés est fragilisée (début
délocalisation vers Asie, chômage massif)
B- Une nouvelle gouvernance : des acteurs au service du (néo)libéralisme
En réponse la théorie économique néolibérale est largement mise en place à l’échelle mondiale,
augmente le pouvoir des acteurs privées non-étatiques (émancipation du contrôle des Etats, capitaux
moins contrôlés : FTN, bourses, agence de notation, banques centrales), c’est solutions économiques
libérales sont appliquées/préconisées par R Reagan et M Thatcher, elles sont issues des travaux de
l’économiste Milton Friedman -> privatiser les entreprises publiques, déréglementer le mouvement
des capitaux, réduire les dépenses dans les services publics. Puis les Pays de l’Europe occidentale
suivent, ainsi que ceux du Sud par le biais du FMI.
Les pays riches et industrialisés tentent de retrouver une influence mais sans remettre en cause les
solutions libérales : c’est le G6. Il est créé à l’initiative de la France en 1975, permet de prendre des
décisions économiques libérales (en évitant que les acteurs non étatiques ,e prennent trop
d’influence) en réponse à la crise par des actions , Allemagne, Royaume-Unis, France, Etats-Unis,
Italie, Japon, puis G7 en 76 Canada, puis G8 Russie en 1998.
Il en est de même pour les institutions internationales, FMI et Banque mondiale tentent de restaurer
leur autorité (mais solutions libérales) -> rééchelonnement de la dette et aide au développement en
échange de l’application d’un PAS (Programme d’Ajustement Structurel) : 1/privatisation,
2/déréglementation des mouvements de capitaux 3/ réduction des dépenses publiques
8. C- Les limites de cette gouvernance
Résultats de cette nouvelle gouvernance pas probants :
-elle a aggravé la situation sociale des pays en voie de développement -> inefficacité de l’action du
FMI et de la Banque Mondiale : dette des pays du Sud augmente, développement des pays en
développement bloqué à cause du PAS (-> baisse d’éducation, soins, protection sociale)
-Le G6/7 assimilé à un « club des pays riches », accusée de servir leurs intérêts, n’associe pas de pays
du Sud, prend pas en compte la question de la durabilité du développement : pilier social (réduction
inégalités) et pilier environnemental.
-la libéralisation de l’économie n’a pas enrayé des rechutes de l’économie (krach boursier 1987, crise
89 et 93, crise asiatique 97).
II- Depuis le début des années 1990 : une timide remise en question de la
dérégulation
A- un contexte nouveau : le triomphe de la gouvernance libérale et les débuts d’une multi
polarisation du monde
Début des années 1990 : triomphe du libéralisme et recomposition du monde.
-L’URSS qui s’opposait au libéralisme s’effondre en 1991, Etats-Unis vainqueurs de la guerre froide,
les règles néolibérales apparaissent victorieuses, et clairement définies par le « consensus de
Washington », le libéralisme et le capitalisme apparaissent comme les idéologies économiques
dominantes symboliquement
-consensus de Washington ; règles théorisées début 1990, définies par l’économiste John Williamson,
dix mesures à appliquer pour qu’un pays puisse bénéficier des prêts du FMI (priva,
déréglementations des mvt capitaux, réductions dépenses publies…)
-1990 : hégémonie étatsunienne suite à la guerre froide, mais progressivement le monde se multi
polarise : organisations de coop éco régionales (MERCOSUR, ASEAN 91, ALENA et UE (marché
commun) 92, pays émergents s’affirment, acteurs majeurs de la mondialisation
B- de nouveaux acteurs : une politique toujours plus libérale (à refaire)
Les nouveaux acteurs prennent places dans une politique toujours plus libérale : les acteurs privés
non-étatiques acquièrent de plus en plus de pouvoirs par rapport aux acteurs étatiques et aux
institutions internationales, et les pays émergent qui s’affirment.
L’OMC (1994) son action est guidé par les règles du consensus de Washington, institution majeure de
la gouvernance économique mondiale, remplace le GATT (Accord générale sur les tarifs douaniers et
le commerce), 2/3 des payes de la planète y adhèrent dès le départ, objectif : 1/ étendre la logique
du libre-échange (agriculture, services et propriété intellectuelle) 2/régler les différends
commerciaux entre des pays rivaux
Les pays émergents créent de nouveaux groupes de pression : G20, BRICS, ils symbolisent leurs
statuts d’acteurs majeurs de la gouvernance éco mondiale.
G20 : créé en 1999, essaie de résoudre les crises mondiales, là où G8 a échoué, cadre néolibéral, mais
il tente de le réguler : projet de taxation des transactions financières, contrôles paradis fiscaux.
BRICS organisent des sommets afin de discuter de la gouvernance mondiale. Objectifs : reformer les
institutions internationales en donnant plus de poids aux puissances émergente et reformer le
système monétaire mondial en retirant le dollar son statut de monnaie de référence. 2014 elles ont
constitué une banque d’aide au développement censé concurrencée le FMI et la Banque mondiale
(sans PAS reforme socioéco) mais peut pas encore rivaliser (100 milliards contre 1000milliards)
C- les limites de cette gouvernance : contestation grandissante et démonstration de faiblesse de
2008
La crise de 2008 sans précèdent, 2007 marché immobilier étatsunien s’effondre, crise immobilière
devient crise bancaire, de nombreuse banques font faillite. Avec la mondialisation, cette crise ce
9. diffuse dans tout le monde : baisse de la consommation, faillite d’entreprise, hausse du chômage.
Seul les Etats ont injectés des milliards pour sauver les banques et soutenir les économies, la
gouvernance mondiale s’est retrouvée démunie.
Des oppositions grandissante, les économistes keynésiens (critiques les dérives libérales et ne croient
en la capacité des marchés à s’autoréguler (mélange de marché et d’intervention publique)), les
souverainistes, les altermondialistes et les mouvements citoyens (indignés, nuit debout…)
Conclusion :
L’efficacité de la gouvernance économique mondiale dépuis le G6 de 1975 a été très limité, elle a
promu les théories économiques néolibérales, favorisé l’essor des acteurs privés non-étatiques et
des institutions internationales aux détriments des Etats. Elle n’a pas réussi à refléter la multipolarité
du monde actuel, ses politiques entrainent des problèmes sociaux qui conduisent à une forte
contestation de sa légitimité.
La montée en puissance des BRICS permet de concurrencer les institutions telles que le FMI et la
Banque mondiale en créant de nouvelles institutions.
10. LA GOUVERNANCE ECONOMIQUE MONDIALE DEPUIS 1945
chronologie :
1971:fin système Bretton-Woods
1973 et 1979 : premier et second chocs pétroliers.
1987 : krach boursier
1995: création de l'OMC
2008 : krach boursier et faillite de Lehman Brothers.
INTRODUCTION :
Crise grecque et échec de la gouvernance économique mondiale.
Définition libéralisme économique et gouvernance mondiale.
G6 crée pour mieux contrôler l'économie mondiale et ces nouveaux acteurs.
Quelle a été l’efficacité de la gouvernance économique mondiale depuis 1975 ?
I-1975-DEBUT DES ANNEES 1990 : LE TEMPS DE LA DEREGULATION.
A-Le contexte : une économie mondiale en crise.
Années 70 économie mondiale en crise. Fin des Trente Glorieuses, début Vingt
Piteuses. Causes : système Bretton-Woods abandonné et chocs pétroliers 1973
et 1979. L'économie des pays industrialisés est fragilisée.
Exemple: La guerre du Vietnam a coûté cher (+ fin bretton-Woods). USA
dévaluent leur monnaie et s'endettent plus vite. Valeur des monnaie fixés sur
l'offre et la demande.
B)Une nouvelle gouvernance : des acteurs au service du (néo)libéralisme.
Mise en place du néolibéralisme dans le monde. Augmentation pouvoir acteurs
privés non étatiques. Les pays riches et les institutions internationales ont
continués dans cette voie.
Exemple: La libéralisation de l'économie à renforcer le pouvoir de acteurs
privés non étatiques. Préconisations libérales : 1) privatiser les entreprises
publiques
2)déréglementer le mouvement des capitaux 3) réduire les dépenses de l’État
dans les services publiques.
La diffusion est mondiale et provoque l'indépendance des acteurs privés non
étatiques. Par conséquent, flux de capitaux non contrôlés et acteurs privés non
étatiques déconnectés de l'économie mondiale.
11. C)Les limites de cette gouvernance.
Résultats peu satisfaisants. Aggravation de la situation sociale pays en
développement. « club de pays riches » qui marginalisent les plus pauvres et la
question du développement durable. Chute économie mondiale 1987 à 1997.
Exemple : Aggravation situation sociale pays en voie de développement à cause
FMI et Banque mondiale.
Augmentation des dettes, Programmes d'ajustement structurel (PAS) bloque le
développement. Le prix noble d'économie à réclamé l'annulation de dettes pour
les pays ayant subi le PAS.
II-DEPUIS LE DEBUT DES ANNEES 1990 : UNE TIMIDE REMISE EN
QUESTION DE LA DEREGULATION.
A) un contexte nouveau : le triomphe de la gouvernace libérale et les débuts
d'une multipolarisation du monde.
Début années 90, triomphe du libéralisme et recomposition du monde. L'URSS
opposante du libéralisme s’effondre. « consensus de Washington » fixe les
règles néolibérales. Triomphe étasunien et multipolarisation progressive.
Exemple : bloc communiste chute lentement et disparaît en 1991, les USA
gagnent la guerre froide et le libéralisme avec le capitalisme dominent.
B)De nouveaux acteurs : une politique toujours plus libérale.
Les acteurs de la gouvernance mondiale sont au service du libéralisme mais les
acteurs privés non étatiques prennent de plus en plus de pouvoir sur les acteurs
étatiques et institution internationales. Affirmation des pays émergents.
Exemple: OMC crée en 1994 et guidée par le consensus de Washington et a une
place importante dans l'économie mondiale. L'organisation qui est acceptée par
la majorité peut sanctionner les pays qui empêchent le libre échange. Objectifs :
libre échanges dans tous les secteurs, régler les conflits commerciaux.
C)Les limites de cette gouvernance : contestation grandissante et démonstration
de faiblesse en 2008
La persistance de recherche de solution dans le libéralisme depuis 1990 trouve
ses limites. Crise 2008 sans précédent depuis la fin de la 2GM montre les
faiblesses du système. La contestation est grandissante.
Exemple: crise de 2008
En 2007, le marché de l'immobilier américain s’effondre, crise des subprimes.
Crise immobilière devient crise bancaire( faillite banques ) qui se diffuse à toute
12. la planète. Baisse consommation , faillites, hausse du chômage. Gouvernance
mondiale démunie au contraire des états qui ont limiter les dégâts en versant de
l'argent pour sauver les banques.
CONCLUSION :
Gouvernance économique mondiale peu efficace depuis G6 en 1975.
Promotion théories néolibérales et essor acteurs privés non étatiques avec les
institutions internationales au détriment des états.
Elle ne montre pas la multipolarité du monde actuel. Coût social des ses
politiques fort ce qui provoque une contestation de sa légitimité de nos jours.
Les BRICS s'organisent pour créer des institution parallèles au FMI et à la
Banque Mondiale pour les concurrencer. Nous pouvons nous demander si elle
pourront bouleverser la gouvernance mondiale actuelle.
13. La gouvernance économique mondiale depuis le sommet du G6 de 1975
-crise grecque et difficultés / échec de l’UE
-gouvernance économique et liberalisme
-volonté de dérégulerdepuis1970—G6 en 75
Quelle a été l’efficacité de la gouvernance économique mondiale depuis 1975 ?
I . 1975-début des années 1990 : le temps de la dérégulation
A. Le contexte : une économie mondiale en crise
Fin des Trentes glorieuse début des 20 piteuses : fin du système de Bretton Woods et 2 chocs
pétroliers (73 et 79, tensions au Proche-Orient, OPEP)
B. une nouvelle gouvernance : des acteurs au service du (néo)libéralisme
-augmentation du pouvoir des acteurs privés non-étatiques (Ronald Reagan et Margaret Thatcher ,
école de Chicago et ses 3 points)
-tentative de reprise en main par le G6G7
-….et des institutions internationales( 87.89.93.97)
C. les limites de cette gouvernance
-aggravation de la situation sociale au sud
-G6-7 = club de pays riches (+durabilité du développementet rapport Bruntland 1987)
-rechutes de l’économie
II. Depuis le début des années 1990 : une timide remise en question de la dérégulation
A. Un contexte nouveau : le triomphe de la gouvernance libérale et les débuts de la
multipolarisation du monde
-disparition du bloc communiste en 1991 (libéralisme capitalisme seules idéologies dominantes)
-consensus de Washington (John Williamson,privatisation,déréglementationdes mvt de capitaux,
réduction des dépenses publiques)
-multipolarisation sans remise en cause du libre échange
B. De nouveaux acteurs : une politique toujours plus libérale
-crétion de l’OMC en 1994 au service du libéralisme
-nouveaux groupes de pression par les pays émergents (G20 et BRICS)
C. Les limites de cette gouvernance : contestation grandissante et démonstration de faiblesse
de 2008
-2008 crise des subprimes aux Etats-Unis qui se diffuse toutes la planète
-acteurs de la contestation : économistes keynésiens, souverainistes et altermondialiste, mvts
citoyens (indignés nuit debout)
14. LA GOUVERNANCE ECONOMIQUE MONDIALE DEPUIS LE
SOMMET DU G6 DE 1975
INTRODUCTION :
-crise grecque = difficultés par la gouvernance éco mondiale, crise pas résolue, échec, dette encore
plus importante, conséquences sociales/politiques
-définitions : gouvernance : gouverner à l’échelle mondiale, favoriser la croissance, gestion,
système
libéralisme: choix érigeant la propriété privée
G6 de 1975 est la volonté de déréguler (1970)= croitre le pouvoir /contrôler l'éco mondiale
Prbtq : Quelle a été l' efficacité de la gouvernance éco mondiale depuis 1975 ?
1) 1975-début 1990, le temps de la dérégulation de l'éco par la gouvernance éco mondiale
a- Le contexte : une éco mond en crise
2 évènements de la crise éco mondiale des années 70
facteur géopol facteur éco évènements consq éco consq géopol/social
-Guerre du Vietnam Hausse du déficit Fin du système USA dévaluent Nouvel accord avec la
public de Bretton Woods leur monnaie Jamaïque/ monnaie fixée
(dollar plus fixé et peuvent par rapport aux marchés
sur sa valeur en s'endetter pour
or) moins cher
-Guerre de Kippour augmetat°prix du Choc pétrolier couts/ productions Délocalisation vers
(1973) baril du pétrole pays industrialisés les pays asiatiques
-Révolution d'Iran augmentat° = chômage
(1979)
b- Une nouvelle gouvernance : des acteurs au service du libéralisme = échelle mondiale
Le néolibéralisme comme réponse à la crise éco mondiale
Crise éco mondiale des années 1970 = Reagan et Thatcher préconisent les solutions éco libérales =
Augmentat° du pouvoir des acteurs privées non-étatiques d'échelle mondiale =
1-Création d'une gouvernance mondiale des pays riches et industrialisés G7-G7
2-Restauration de l'autorité des institutions internationales
c- Les limites de cette gouvernance
15. – Aggravat° de la situation sociale des pays en voie de développement/ perçuent comme
« club des pays riches »
– l'éco mondiale diminue (1977-1997)
– Inefficacité de l'action du FMI/banque mondiale
– pays du sud = augmentat° de la dette
– pays en voie de développement bloqués a cause des PAS
– différence N/S = riches/pauvres
2) Depuis années 1990 : une timide remise en question de la dérégulation
a- Un contexte nouveau : triomphe de la gouvernance libérale / multipolarisation du
monde
– Bloc communiste disparaît en 1991
– Etats-Unis vainqueurs de la GF
– libéralisme/capitalisme = idéologie éco dominantes
Le cœur des règles du Consensus de Washington
Privation des entreprises publiques
Déréglementation des mouvements des capitaux Réduction des dépenses publiques
b- De nouveaux acteurs : une politique toujours plus libérale
– acteurs de la gouvernance :
1- une permanence (libéralisme)
2-deux ruptures (acteurs privés non-étatique/institutions internationales)
– OMC = 1994 : guidé par les règles Consensus de Washington / institutions remplace
GATT pour étendre la logique du libre-échange/ services/ commerce
– pays émergents augmentat°, amélioration (G20+BRICS à partir du G8) (1999)
c- Les limites de cette gouvernance (2008)
– crise de 2008
– 2007, marché USA diminut° = crise bancaire = diminut° des entreprises = chômage
– opposition par rapport à la gouvernance éco
1- les économistes Keynésiens
2- les souverainistes
3- les altermondialistes
Conclusion:
– efficacité de la gouvernance très limitée
16. – elle a promu les théories économiques néolibérales/favorisé l'essor des acteurs privés non-
étatiques/institutions internationales
– pas réussi à refléter la multipolarité
– de plus cout social élevé