Mesurer les préjudices dans les hôpitaux canadiens et faire avancer les travaux d’amélioration : Comment la collaboration ICSP-ICIS sur les préjudices à l'hôpital peut soutenir les stratégies de sécurité des patients dans votre établissement
La plupart des patients dans les hôpitaux canadiens reçoivent des soins sécuritaires, mais lorsque des préjudices se produisent, il y a un impact significatif sur les patients et leurs familles, l'équipe de soins de santé et le système de santé en général. Jusqu'à présent, il n'y a pas eu d’approche standardisée pour mesurer et suivre les préjudices subis par les patients à l'hôpital. L’ICSP et l'ICIS collaborent sur un corps de travail concernant les préjudices à l'hôpital. Le résultat est un nouvel indicateur des préjudices subis dans les hôpitaux de soins de courte durée qui lie les efforts de mesure directement à des ressources d'amélioration pratiques. L'ICSP a organisé un webinaire le 6 décembre 2016 pour explorer la façon dont les éléments de la collaboration ICIS/ICSP peuvent soutenir des stratégies de sécurité des patients dans votre établissement.
Ce webinaire nous amène à nous concentrer non pas sur ce que nous faisons sur le plan de l'amélioration, mais plutôt sur la MANIÈRE dont nous le faisons!
Les établissements de soins de santé canadiens ont fait décoller la participation des patients et de leurs familles vers de nouveaux sommets, et les meilleurs des meilleurs veulent partager les secrets de leur réussite avec vous!
La résistance aux antimicrobiens, l'une des plus grandes menaces pour la santé humaine, est en croissance vers des niveaux dangereusement élevés dans toutes les régions du monde. Toute personne, de tout âge, dans tout pays, peut être affectée. Alors qu'il est normal pour les microbes de développer une résistance aux médicaments, la façon dont les antimicrobiens sont actuellement utilisés accélère le processus, et par conséquent, les infections et les blessures mineures ordinaires sont devenues une plus grande menace pour notre bien-être. Des établissements dans le monde entier prennent des mesures et font des progrès sur ce problème, mais est-ce qu'il y a quelque chose que les patients, leurs familles et les représentants des patients peuvent faire pour aider cette situation?
Objectives:
1.To show the importance of creating a culture that is open to family
2.To discuss the role of the Patient/Family Advisory Council
3.To facilitate family presence on multidisciplinary rounds
4.To offer suggestions to take the fear out of working with patients and families
WATCH: http://bit.ly/23rM5pH
Objectif:
1.Montrer l'importance de créer une culture ouverte à la famille
2.Discuter du rôle du conseil consultatif des patients/de la famille
3.Faciliter la présence de la famille lors des tournées multidisciplinaires
4.Offrir des suggestions et atténuer les craintes reliées au travail avec les patients et les familles
Plateforme technologique pour des évaluations régulières et proactives de la ...DataNB
Les hospitalisations, les chutes et les maladies chroniques non prises en charge constituent des difficultés importantes pour la santé et la qualité de vie des personnes âgées et représentent un coût important pour le système de santé. Une surveillance régulière de la santé au sein de la collectivité pourrait permettre la mise en œuvre d’interventions proactives, aider les personnes âgées à éviter de subir des phénomènes de santé négatifs et leur permettre de vieillir chez elles avec plus de sécurité et de confiance. Cependant, de nombreuses personnes âgées ne disposent pas des compétences, des connaissances ou de la technologie nécessaires pour surveiller régulièrement leur propre santé à domicile. En outre, l’isolement social amplifié par la pandémie de COVID-19 a accentué la nécessité de contacts humains et de soutien. L’importance des modèles de soins novateurs qui réduisent le fardeau qui pèse sur le système de soins de santé et permettent de vieillir à domicile tout en entretenant ces liens n’a jamais été aussi grande. Dans le cadre de ce projet, des aides de maintien à domicile (fournisseurs de soins) du milieu communautaire ont utilisé une nouvelle plateforme de santé numérique pour surveiller de manière proactive les personnes âgées afin de déceler les facteurs de risque susceptibles de prédire les hospitalisations et autres résultats négatifs pour la santé. Pendant huit mois, les fournisseurs de soins ont mené des évaluations régulières de la santé de leurs clients et les ont saisies dans une appli mobile sécurisée pour analyse. Dans le cadre de ces évaluations, ils ont utilisé des trousses d’outils qui mesuraient des aspects de la santé physique (comme le poids et la pression artérielle) et de la santé cognitive/mentale (comme la mémorisation des mots et la qualité de vie), ce qui a permis des interventions profondes et réfléchies. Les premiers résultats laissent croire que les patients ont, dans une proportion écrasante, apprécié le processus d’évaluation, déclarant qu’il les a incités à adopter des habitudes plus saines, et qu’il a permis de réduire leur anxiété et d’établir des liens plus étroits avec leurs fournisseurs de soins. Les fournisseurs de soins ont fait état d’une plus grande satisfaction professionnelle et d’un sentiment d’habilitation du fait d’avoir une incidence positive sur la vie de leurs clients. Les analyses des données sont en cours et visent à évaluer l’incidence du programme et sa capacité à prédire et à prévenir les phénomènes de santé négatifs.
Programme pour l’Amélioration Continue du Travail en Equipe (PACTE) - HASHaute Autorité de Santé
Les objectifs de ce programme sont de
- Sensibiliser les professionnels aux pratiques collaboratives autour de la qualité et de la sécurité des soins ;
- Faire levier au niveau du microsystème clinique, là où les patients, les familles et les équipes se retrouvent,autour d’un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins,
- Élaborer un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins en équipe, là où la prise en charge réelle traduit la réalité de la pratique, suivre et évaluer les effets produits (individuel, patient, collectif, clinique, etc.)
Présentation réalisée par Jean-Paul FORTIN dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Ce webinaire nous amène à nous concentrer non pas sur ce que nous faisons sur le plan de l'amélioration, mais plutôt sur la MANIÈRE dont nous le faisons!
Les établissements de soins de santé canadiens ont fait décoller la participation des patients et de leurs familles vers de nouveaux sommets, et les meilleurs des meilleurs veulent partager les secrets de leur réussite avec vous!
La résistance aux antimicrobiens, l'une des plus grandes menaces pour la santé humaine, est en croissance vers des niveaux dangereusement élevés dans toutes les régions du monde. Toute personne, de tout âge, dans tout pays, peut être affectée. Alors qu'il est normal pour les microbes de développer une résistance aux médicaments, la façon dont les antimicrobiens sont actuellement utilisés accélère le processus, et par conséquent, les infections et les blessures mineures ordinaires sont devenues une plus grande menace pour notre bien-être. Des établissements dans le monde entier prennent des mesures et font des progrès sur ce problème, mais est-ce qu'il y a quelque chose que les patients, leurs familles et les représentants des patients peuvent faire pour aider cette situation?
Objectives:
1.To show the importance of creating a culture that is open to family
2.To discuss the role of the Patient/Family Advisory Council
3.To facilitate family presence on multidisciplinary rounds
4.To offer suggestions to take the fear out of working with patients and families
WATCH: http://bit.ly/23rM5pH
Objectif:
1.Montrer l'importance de créer une culture ouverte à la famille
2.Discuter du rôle du conseil consultatif des patients/de la famille
3.Faciliter la présence de la famille lors des tournées multidisciplinaires
4.Offrir des suggestions et atténuer les craintes reliées au travail avec les patients et les familles
Plateforme technologique pour des évaluations régulières et proactives de la ...DataNB
Les hospitalisations, les chutes et les maladies chroniques non prises en charge constituent des difficultés importantes pour la santé et la qualité de vie des personnes âgées et représentent un coût important pour le système de santé. Une surveillance régulière de la santé au sein de la collectivité pourrait permettre la mise en œuvre d’interventions proactives, aider les personnes âgées à éviter de subir des phénomènes de santé négatifs et leur permettre de vieillir chez elles avec plus de sécurité et de confiance. Cependant, de nombreuses personnes âgées ne disposent pas des compétences, des connaissances ou de la technologie nécessaires pour surveiller régulièrement leur propre santé à domicile. En outre, l’isolement social amplifié par la pandémie de COVID-19 a accentué la nécessité de contacts humains et de soutien. L’importance des modèles de soins novateurs qui réduisent le fardeau qui pèse sur le système de soins de santé et permettent de vieillir à domicile tout en entretenant ces liens n’a jamais été aussi grande. Dans le cadre de ce projet, des aides de maintien à domicile (fournisseurs de soins) du milieu communautaire ont utilisé une nouvelle plateforme de santé numérique pour surveiller de manière proactive les personnes âgées afin de déceler les facteurs de risque susceptibles de prédire les hospitalisations et autres résultats négatifs pour la santé. Pendant huit mois, les fournisseurs de soins ont mené des évaluations régulières de la santé de leurs clients et les ont saisies dans une appli mobile sécurisée pour analyse. Dans le cadre de ces évaluations, ils ont utilisé des trousses d’outils qui mesuraient des aspects de la santé physique (comme le poids et la pression artérielle) et de la santé cognitive/mentale (comme la mémorisation des mots et la qualité de vie), ce qui a permis des interventions profondes et réfléchies. Les premiers résultats laissent croire que les patients ont, dans une proportion écrasante, apprécié le processus d’évaluation, déclarant qu’il les a incités à adopter des habitudes plus saines, et qu’il a permis de réduire leur anxiété et d’établir des liens plus étroits avec leurs fournisseurs de soins. Les fournisseurs de soins ont fait état d’une plus grande satisfaction professionnelle et d’un sentiment d’habilitation du fait d’avoir une incidence positive sur la vie de leurs clients. Les analyses des données sont en cours et visent à évaluer l’incidence du programme et sa capacité à prédire et à prévenir les phénomènes de santé négatifs.
Programme pour l’Amélioration Continue du Travail en Equipe (PACTE) - HASHaute Autorité de Santé
Les objectifs de ce programme sont de
- Sensibiliser les professionnels aux pratiques collaboratives autour de la qualité et de la sécurité des soins ;
- Faire levier au niveau du microsystème clinique, là où les patients, les familles et les équipes se retrouvent,autour d’un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins,
- Élaborer un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins en équipe, là où la prise en charge réelle traduit la réalité de la pratique, suivre et évaluer les effets produits (individuel, patient, collectif, clinique, etc.)
Présentation réalisée par Jean-Paul FORTIN dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Stacy Kozak, directrice du Réseau clinique stratégique de chirurgie (RCSC) d'Alberta Health Services (AHS) fera un survol de l'approche provinciale qui a permis de faire passer le taux de conformité à la liste de vérification pour une chirurgie sécuritaire d'AHS de 50 % à plus de 90 % en deux ans.
1.Apprenez-en davantage sur la nouvelle stratégie de valorisation du BCM et sur ce qu’elle signifie pour les patients/consommateurs et les professionnels de la santé
2.Quoi de neuf sur les ‘5 questions à poser à propos de vos médicaments’
3.Apprenez comment les établissements utilisent les ‘5 questions à poser à propos de vos médicaments’ pour favoriser l’engagement des patients et des consommateurs
Présentation réalisée par Danielle Rose dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Cette session parallèle a été réalisée conjointement avec Danielle Rose et Monique Clar.
Présentation de Monique Clar: http://fr.slideshare.net/communication-e-sante/clar-monique
Présentation de Danielle Rose: http://fr.slideshare.net/communication-e-sante/rose-anielle
Le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) est une volonté nationale d’intensifier la mobilisation de tous, patients et professionnels, pour progresser en matière de sécurité du patient
Le programme, conjointement piloté par la Direction générale de l’offre de soins et la Direction générale de la santé en association avec la Haute Autorité de santé (HAS) a pour objectifs de mieux structurer et de renforcer les actions dans le domaine de la sécurité des patients et d’orienter l’ensemble des acteurs de santé vers des priorités d’actions.
Ainsi le PNSP s’articule autour de 4 axes
Quatre thématiques structurent le projet. Elles présentent entre elles de nombreuses interfaces et convergences :
- renforcement de l’information du patient et de la relation soignant-soigné afin de mieux permettre au patient d’être co-acteur de sa sécurité (Axe 1)
- mise en place d’une déclaration et d’une prise en compte des évènements indésirables associés aux soins dans une logique d’apprentissage et d’amélioration des pratiques, via l’analyse des causes systémiques et le retour d’expérience en équipe, avec valorisation aux niveaux régional et national (Axe 2)
- amélioration de la culture de sécurité par la mise en place de formations à la sécurité des soins; le recours à des méthodes pédagogiques innovantes comme la simulation en santé; ou encore l’appui des professionnels de santé par des structures expertes (Axe 3)
- développement de la recherche sur la sécurité des soins et amélioration de la sécurité des personnes participant à la recherche clinique (Axe 4)
Pour en savoir plus sur le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1505131/fr/programme-national-pour-la-securite-des-patients-pnsp?xtmc=&xtcr=3
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Parcours de soins, un enjeu de transf...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Les interventions en ligne offrant des rétroactions personnalisées pour la pe...Health Evidence™
Health Evidence a organisé un webinaire de 60 minutes afin d’examiner les interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses.
Anna Haste, chercheuse associée à l’Université de Newcastle, a animé la séance et a présenté les résultats de son récent examen systématique :
Sherrington, A, Newham, J, Bell, R, Adamson, A, McColl, E, & Araujo-Soares, V. (2016). Systematic review and meta-analysis of internet-delivered interventions providing personalized feedback for weight loss in overweight and obese adults. Obesity Reviews, 17(6), 541-551.
http://www.healthevidence.org/view-article.aspx?a=systematic-review-meta-analysis-internet-delivered-interventions-providing-29586
Alors que la prévalence de l’obésité augmente, les interventions classiques en matière de perte de poids démontrent l’existence d’obstacles à la mise en œuvre et des résultats mitigés en ce qui concerne l’efficacité. Cette revue systématique et méta-analyse examinent l’impact des interventions livrées sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses, par rapport au groupe témoin ne recevant pas de rétroaction personnalisée. Douze essais contrôlés randomisés, comptant un total de 3547 participants, sont inclus dans cet examen. Les données probantes suggèrent que les interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée augmentent la perte de poids de 5 % après 3 et 6 mois, et diminuent l’IMC et le tour de taille après 3, 6 et ≥ 12 mois. Ce webinaire a présenté un aperçu de l’efficacité des interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses.
Joignez-vous à nous pour une discussion des méthodes et des outils pouvant être utilisés au soutien de la prise de décisions fondée sur des données probantes dans le contexte de l’équité en santé. Découvrez des ressources vous permettant d’appliquer les principes de l’équité en santé aux processus de planification qui contribuent à la santé publique fondée sur des données probantes.
Les conférenciers du Bureau de santé publique de la région de Niagara ont discuté l’utilisation des 10 pratiques les plus prometteuses pour aborder l’équité en santé. Il a été entre autres question des résultats d’une étude qualitative permettant d’identifier les obstacles et les facilitateurs. Des recommandations ont été aussi offertes pour renforcer les pratiques de planification et de mise en œuvre afin d’améliorer l’équité en santé.
Ce webinaire est produit conjointement par le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) et par le Centre de collaboration nationale des déterminants de la santé (CCNDS). Il est rendu possible grâce à un financement de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Objectif:
1.Comprendre en quoi la présence d’une équipe intersectorielle coordonnée se répercute sur l’expérience du patient durant une transition.
2.Découvrir comment l’hôpital, les gestionnaires de cas, la maison de soins infirmiers et la pharmacie ont uni leurs efforts pour mettre en place un processus de bilan comparatif des médicaments permettant de réduire la polypharmacie et le nombre d’hospitalisations causés par les effets néfastes des médicaments.
3.Reconnaître les répercussions du BOOMR (BARRIE COORDINATED CROSS SECTORAL MEDICATION RECONCILIATION, ou BCM intersectoriel coordonné de Barrie) sur l’efficacité du système, sur la communication interprofessionnelle et sur la satisfaction du résident, de sa famille et du personnel.
4.Découvrir un nouvel outil conçu pour aider les patients à engager un dialogue sur leurs médicaments avec leur professionnel de la santé.
2015-12-11 UdM l’ETS en appui à la couverture sanitaire universelleReiner Banken
Présentation lors de la journée internationale de la couverture sanitaire universelle organisée par la Communauté étudiante de santé mondiale de l'Université de Montréal
Les effets sur la santé des politiques gouvernementales de lutte antitabac : ...Health Evidence™
Health Evidence a organisé un webinaire de 90 minutes portant sur l’efficacité des politiques gouvernementales de lutte antitabac sur les résultats liés à la santé dont la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac fait la promotion.
Steven J. Hoffman, Directeur du Labo de stratégie mondiale et professeur agrégé à la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa et Charlie Tan, étudiant à la Faculté de médecine Michael G. DeGroote, de l’Université McMaster, ont animé cette session et ont présenté les résultats de leur dernière revue systématique (BMC Public Health) :
Hoffman SJ, et Tan C. (2015). Survol des revues systématiques des effets sur la santé des politiques gouvernementales de lutte antitabac. BMC Public Health, 15(744).
L’épidémie mondiale de tabagisme est un problème majeur de santé publique qui continue de prendre de l’importance avec environ un milliard de fumeurs dans le monde en 2012. Les politiques gouvernementales sont essentielles afin de lutter contre l'épidémie mondiale de tabagisme, principale cause de décès évitables, avec 6 millions de décès par an. Cette étude examine l'efficacité des politiques gouvernementales de lutte antitabac dont la Convention-cadre pour la lutte antitabac (CCLAT) fait la promotion afin de soutenir la mise en œuvre de ce traité international en cette dixième année d‘entrée en vigueur. Ce webinaire a mis en lumière les facteurs qui contribuent à l'efficacité des politiques gouvernementales de lutte antitabac ainsi que les implications pour la pratique.
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
Le challenge de la documentation médicale : Le coût et l’impact de l’effort l...Nuance Healthcare EMEA
Une étude a mesuré, auprès de professionnels de santé anglais, leur perception du temps perdu à rechercher des informations cliniques (1).
Pour les soignants interrogés, environ un document médical sur quatre n’est pas disponible quand ce serait nécessaire ou se trouve incomplet. Comment réagissent-ils alors ? Dans un cas sur trois, ils partent à la recherche de l’information manquante. Les autres réponses dépendent bien sûr du caractère critique attribué à l’information concernée. Dans 12% des cas, par exemple, les professionnels demandent la réalisation de nouveaux examens.
Résultat, tous types de soignants confondus : 52 mn par jour seraient passés à traquer une information, la proportion étant plus élevée pour ce qui concerne les médecins (près de 70 mn) et les infirmiers (61 mn). Cette perte de temps a bien sûr un impact sur la qualité de prise en charge, qui peut alors se trouver interrompue, comme le notent les auteurs de l’étude. Elle joue aussi sur la durée du rendez-vous de consultation, la durée de séjour du patient, sans oublier la satisfaction des professionnels de santé comme des patients. Elle a également un coût : celui par exemple de la perte de productivité et de la duplication, le cas échéant, des examens. L’étude s’essaie à valoriser le temps perdu par an par médecin et l’estime à 19 500 £(28 000 euros). L’information est en effet au cœur du processus clinique. Les professionnels interrogés estiment qu’elle compte pour 50% de leur activité, qu’il s’agisse de prendre connaissance des dossiers médicaux ou de les alimenter. Selon l’étude, le temps passé par un médecin à documenter ses dossiers atteint 10 à 11h par semaine.
Cet éclairage est important, soulignent les commanditaires et auteurs de l’étude, « alors que de nouveaux investissements technologiques dans les dossiers médicaux informatisés sont en passe d’être décidés par de nombreux trusts et qu’ils auront des répercussions sur la qualité des soins à l’avenir. »
(1) Réalisée par Ignetica à la demande de la société Nuance Communications. Auprès de 197 professionnels, qui travaillent dans 4 trusts du NHS.
Présentation réalisée par Alain TURCOTTE dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Rencontre IRL #hcsmeur - Club Digital Santé du 09 octobre 2013hcsmeufr
Au programme de cette Rencontre IRL : la présentation d'une étude de PwC portant sur les impacts socio-économiques de la m-santé, la découverte de la plateforme Qui Me Soigne par son fondateur Loic Lagarde et un retour sur le padlet "Quel avenir pour hcsmeufr ?"
Présentation réalisée par Jérôme FOUCAULT dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé les 3 et 4 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Césarienne programmée à terme Optimiser la pertinence du parcours patient : E...Haute Autorité de Santé
Quel changement mettre en œuvre en priorité ? Comment initier la démarche ?
- Prenez le temps d’une réunion ; vous en gagnerez beaucoup par la suite. Il est nécessaire de réfléchir en commun, avec des représentants de tous les professionnels intervenant dans le suivi de grossesse. Le changement passe par l’implication de chacun.
- Faites simple ; vous pouvez choisir un objectif de qualité directement à partir d’une discussion entre vous sur quelques dossiers. Référez-vous aux recommandations principales.
- Décrire qui fait quoi à quel moment dans le suivi de grossesse permet de comprendre quelle étape améliorer en priorité selon l’organisation locale. Le guide vous propose des parcours génériques en fonction des facteurs de risque pouvant nécessiter une césarienne programmée à terme.
- Soyez réalistes ; commencez par une action faisable rapidement. Mettez-vous d’accord sur un critère de réussite sur lequel communiquer pour valoriser la démarche.
Pour consulter le guide sur la césarienne programmée à terme de la Haute Autorité de santé : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1294171/fr/cesarienne-programmee-a-terme-optimiser-la-pertinence-du-parcours-de-la-patiente?xtmc=&xtcr=3
Présentation réalisée par Jean-François BUSSIÈRES dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Objet de l’appel :
•Réviser les données récentes et le statut de la LVSC
•Discuter du rôle de la communication et du travail d’équipe en sécurité des patients
•Définir des moyens de mesurer l’efficacité de la LVSC
Pour en savoir plus: http://bit.ly/1wjN7Bs
Stacy Kozak, directrice du Réseau clinique stratégique de chirurgie (RCSC) d'Alberta Health Services (AHS) fera un survol de l'approche provinciale qui a permis de faire passer le taux de conformité à la liste de vérification pour une chirurgie sécuritaire d'AHS de 50 % à plus de 90 % en deux ans.
1.Apprenez-en davantage sur la nouvelle stratégie de valorisation du BCM et sur ce qu’elle signifie pour les patients/consommateurs et les professionnels de la santé
2.Quoi de neuf sur les ‘5 questions à poser à propos de vos médicaments’
3.Apprenez comment les établissements utilisent les ‘5 questions à poser à propos de vos médicaments’ pour favoriser l’engagement des patients et des consommateurs
Présentation réalisée par Danielle Rose dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Cette session parallèle a été réalisée conjointement avec Danielle Rose et Monique Clar.
Présentation de Monique Clar: http://fr.slideshare.net/communication-e-sante/clar-monique
Présentation de Danielle Rose: http://fr.slideshare.net/communication-e-sante/rose-anielle
Le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) est une volonté nationale d’intensifier la mobilisation de tous, patients et professionnels, pour progresser en matière de sécurité du patient
Le programme, conjointement piloté par la Direction générale de l’offre de soins et la Direction générale de la santé en association avec la Haute Autorité de santé (HAS) a pour objectifs de mieux structurer et de renforcer les actions dans le domaine de la sécurité des patients et d’orienter l’ensemble des acteurs de santé vers des priorités d’actions.
Ainsi le PNSP s’articule autour de 4 axes
Quatre thématiques structurent le projet. Elles présentent entre elles de nombreuses interfaces et convergences :
- renforcement de l’information du patient et de la relation soignant-soigné afin de mieux permettre au patient d’être co-acteur de sa sécurité (Axe 1)
- mise en place d’une déclaration et d’une prise en compte des évènements indésirables associés aux soins dans une logique d’apprentissage et d’amélioration des pratiques, via l’analyse des causes systémiques et le retour d’expérience en équipe, avec valorisation aux niveaux régional et national (Axe 2)
- amélioration de la culture de sécurité par la mise en place de formations à la sécurité des soins; le recours à des méthodes pédagogiques innovantes comme la simulation en santé; ou encore l’appui des professionnels de santé par des structures expertes (Axe 3)
- développement de la recherche sur la sécurité des soins et amélioration de la sécurité des personnes participant à la recherche clinique (Axe 4)
Pour en savoir plus sur le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1505131/fr/programme-national-pour-la-securite-des-patients-pnsp?xtmc=&xtcr=3
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Parcours de soins, un enjeu de transf...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Les interventions en ligne offrant des rétroactions personnalisées pour la pe...Health Evidence™
Health Evidence a organisé un webinaire de 60 minutes afin d’examiner les interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses.
Anna Haste, chercheuse associée à l’Université de Newcastle, a animé la séance et a présenté les résultats de son récent examen systématique :
Sherrington, A, Newham, J, Bell, R, Adamson, A, McColl, E, & Araujo-Soares, V. (2016). Systematic review and meta-analysis of internet-delivered interventions providing personalized feedback for weight loss in overweight and obese adults. Obesity Reviews, 17(6), 541-551.
http://www.healthevidence.org/view-article.aspx?a=systematic-review-meta-analysis-internet-delivered-interventions-providing-29586
Alors que la prévalence de l’obésité augmente, les interventions classiques en matière de perte de poids démontrent l’existence d’obstacles à la mise en œuvre et des résultats mitigés en ce qui concerne l’efficacité. Cette revue systématique et méta-analyse examinent l’impact des interventions livrées sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses, par rapport au groupe témoin ne recevant pas de rétroaction personnalisée. Douze essais contrôlés randomisés, comptant un total de 3547 participants, sont inclus dans cet examen. Les données probantes suggèrent que les interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée augmentent la perte de poids de 5 % après 3 et 6 mois, et diminuent l’IMC et le tour de taille après 3, 6 et ≥ 12 mois. Ce webinaire a présenté un aperçu de l’efficacité des interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses.
Joignez-vous à nous pour une discussion des méthodes et des outils pouvant être utilisés au soutien de la prise de décisions fondée sur des données probantes dans le contexte de l’équité en santé. Découvrez des ressources vous permettant d’appliquer les principes de l’équité en santé aux processus de planification qui contribuent à la santé publique fondée sur des données probantes.
Les conférenciers du Bureau de santé publique de la région de Niagara ont discuté l’utilisation des 10 pratiques les plus prometteuses pour aborder l’équité en santé. Il a été entre autres question des résultats d’une étude qualitative permettant d’identifier les obstacles et les facilitateurs. Des recommandations ont été aussi offertes pour renforcer les pratiques de planification et de mise en œuvre afin d’améliorer l’équité en santé.
Ce webinaire est produit conjointement par le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) et par le Centre de collaboration nationale des déterminants de la santé (CCNDS). Il est rendu possible grâce à un financement de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Objectif:
1.Comprendre en quoi la présence d’une équipe intersectorielle coordonnée se répercute sur l’expérience du patient durant une transition.
2.Découvrir comment l’hôpital, les gestionnaires de cas, la maison de soins infirmiers et la pharmacie ont uni leurs efforts pour mettre en place un processus de bilan comparatif des médicaments permettant de réduire la polypharmacie et le nombre d’hospitalisations causés par les effets néfastes des médicaments.
3.Reconnaître les répercussions du BOOMR (BARRIE COORDINATED CROSS SECTORAL MEDICATION RECONCILIATION, ou BCM intersectoriel coordonné de Barrie) sur l’efficacité du système, sur la communication interprofessionnelle et sur la satisfaction du résident, de sa famille et du personnel.
4.Découvrir un nouvel outil conçu pour aider les patients à engager un dialogue sur leurs médicaments avec leur professionnel de la santé.
2015-12-11 UdM l’ETS en appui à la couverture sanitaire universelleReiner Banken
Présentation lors de la journée internationale de la couverture sanitaire universelle organisée par la Communauté étudiante de santé mondiale de l'Université de Montréal
Les effets sur la santé des politiques gouvernementales de lutte antitabac : ...Health Evidence™
Health Evidence a organisé un webinaire de 90 minutes portant sur l’efficacité des politiques gouvernementales de lutte antitabac sur les résultats liés à la santé dont la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac fait la promotion.
Steven J. Hoffman, Directeur du Labo de stratégie mondiale et professeur agrégé à la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa et Charlie Tan, étudiant à la Faculté de médecine Michael G. DeGroote, de l’Université McMaster, ont animé cette session et ont présenté les résultats de leur dernière revue systématique (BMC Public Health) :
Hoffman SJ, et Tan C. (2015). Survol des revues systématiques des effets sur la santé des politiques gouvernementales de lutte antitabac. BMC Public Health, 15(744).
L’épidémie mondiale de tabagisme est un problème majeur de santé publique qui continue de prendre de l’importance avec environ un milliard de fumeurs dans le monde en 2012. Les politiques gouvernementales sont essentielles afin de lutter contre l'épidémie mondiale de tabagisme, principale cause de décès évitables, avec 6 millions de décès par an. Cette étude examine l'efficacité des politiques gouvernementales de lutte antitabac dont la Convention-cadre pour la lutte antitabac (CCLAT) fait la promotion afin de soutenir la mise en œuvre de ce traité international en cette dixième année d‘entrée en vigueur. Ce webinaire a mis en lumière les facteurs qui contribuent à l'efficacité des politiques gouvernementales de lutte antitabac ainsi que les implications pour la pratique.
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
Le challenge de la documentation médicale : Le coût et l’impact de l’effort l...Nuance Healthcare EMEA
Une étude a mesuré, auprès de professionnels de santé anglais, leur perception du temps perdu à rechercher des informations cliniques (1).
Pour les soignants interrogés, environ un document médical sur quatre n’est pas disponible quand ce serait nécessaire ou se trouve incomplet. Comment réagissent-ils alors ? Dans un cas sur trois, ils partent à la recherche de l’information manquante. Les autres réponses dépendent bien sûr du caractère critique attribué à l’information concernée. Dans 12% des cas, par exemple, les professionnels demandent la réalisation de nouveaux examens.
Résultat, tous types de soignants confondus : 52 mn par jour seraient passés à traquer une information, la proportion étant plus élevée pour ce qui concerne les médecins (près de 70 mn) et les infirmiers (61 mn). Cette perte de temps a bien sûr un impact sur la qualité de prise en charge, qui peut alors se trouver interrompue, comme le notent les auteurs de l’étude. Elle joue aussi sur la durée du rendez-vous de consultation, la durée de séjour du patient, sans oublier la satisfaction des professionnels de santé comme des patients. Elle a également un coût : celui par exemple de la perte de productivité et de la duplication, le cas échéant, des examens. L’étude s’essaie à valoriser le temps perdu par an par médecin et l’estime à 19 500 £(28 000 euros). L’information est en effet au cœur du processus clinique. Les professionnels interrogés estiment qu’elle compte pour 50% de leur activité, qu’il s’agisse de prendre connaissance des dossiers médicaux ou de les alimenter. Selon l’étude, le temps passé par un médecin à documenter ses dossiers atteint 10 à 11h par semaine.
Cet éclairage est important, soulignent les commanditaires et auteurs de l’étude, « alors que de nouveaux investissements technologiques dans les dossiers médicaux informatisés sont en passe d’être décidés par de nombreux trusts et qu’ils auront des répercussions sur la qualité des soins à l’avenir. »
(1) Réalisée par Ignetica à la demande de la société Nuance Communications. Auprès de 197 professionnels, qui travaillent dans 4 trusts du NHS.
Présentation réalisée par Alain TURCOTTE dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Rencontre IRL #hcsmeur - Club Digital Santé du 09 octobre 2013hcsmeufr
Au programme de cette Rencontre IRL : la présentation d'une étude de PwC portant sur les impacts socio-économiques de la m-santé, la découverte de la plateforme Qui Me Soigne par son fondateur Loic Lagarde et un retour sur le padlet "Quel avenir pour hcsmeufr ?"
Présentation réalisée par Jérôme FOUCAULT dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé les 3 et 4 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Césarienne programmée à terme Optimiser la pertinence du parcours patient : E...Haute Autorité de Santé
Quel changement mettre en œuvre en priorité ? Comment initier la démarche ?
- Prenez le temps d’une réunion ; vous en gagnerez beaucoup par la suite. Il est nécessaire de réfléchir en commun, avec des représentants de tous les professionnels intervenant dans le suivi de grossesse. Le changement passe par l’implication de chacun.
- Faites simple ; vous pouvez choisir un objectif de qualité directement à partir d’une discussion entre vous sur quelques dossiers. Référez-vous aux recommandations principales.
- Décrire qui fait quoi à quel moment dans le suivi de grossesse permet de comprendre quelle étape améliorer en priorité selon l’organisation locale. Le guide vous propose des parcours génériques en fonction des facteurs de risque pouvant nécessiter une césarienne programmée à terme.
- Soyez réalistes ; commencez par une action faisable rapidement. Mettez-vous d’accord sur un critère de réussite sur lequel communiquer pour valoriser la démarche.
Pour consulter le guide sur la césarienne programmée à terme de la Haute Autorité de santé : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1294171/fr/cesarienne-programmee-a-terme-optimiser-la-pertinence-du-parcours-de-la-patiente?xtmc=&xtcr=3
Présentation réalisée par Jean-François BUSSIÈRES dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
TIC et nouvelles oppportunités de communication entre soignants et avec les p...
Similaire à Mesurer les préjudices dans les hôpitaux canadiens et faire avancer les travaux d’amélioration : Comment la collaboration ICSP-ICIS sur les préjudices à l'hôpital peut soutenir les stratégies de sécurité des patients dans votre établissement
Objet de l’appel :
•Réviser les données récentes et le statut de la LVSC
•Discuter du rôle de la communication et du travail d’équipe en sécurité des patients
•Définir des moyens de mesurer l’efficacité de la LVSC
Pour en savoir plus: http://bit.ly/1wjN7Bs
De nombreuses organisations ont historiquement concentré leurs efforts d'amélioration de l'hygiène des mains sur le personnel soignant et les visiteurs avec qui ils interagissent tous les jours. Cependant, nous nous sommes arrêtés à envisager que nous oublions peut-être les personnes les plus importantes du système de santé, les patients!
Expérience d’un autre niveau de soins chez les personnes âgées à risque élevé...DataNB
On utilise le terme « autre niveau de soins » (ANS) lorsqu’un patient occupe un lit à un niveau de soins supérieur à celui requis. Un ANS a des conséquences négatives importantes pour les patients et le système de santé. Un ANS est plus fréquent chez les personnes âgées, en particulier celles qui ont des limitations fonctionnelles et qui ont besoin de services de soutien pour conserver leur autonomie, comme celles qui ont besoin de soins à domicile ou qui vivent dans des logements communautaires avec services de soutien.
L’objectif est de décrire la prévalence périodique des ANS au sein d’une population de personnes âgées à risque élevé au Nouveau-Brunswick.
Une étude de la prévalence fondée sur la population a été réalisée à l’Institut de la recherche, des données et de la formation du Nouveau-Brunswick (IRDF-NB), à l’aide de microdonnées administratives liées. Les dossiers sur cinq ans (2013-2018) du programme de soins de longue durée du ministère du Développement social concernant les adultes de plus de 65 ans ont été liés aux données hospitalières du ministère de la Santé pour établir le profil des hospitalisations ANS. Diverses caractéristiques démographiques, géographiques et de programme ont été superposées selon le statut d’hospitalisation afin d’examiner les différences dans la prévalence des ANS.
Sur les 21 635 personnes âgées répertoriées, 70 % ont été hospitalisées et 25 % ont bénéficié d’un ANS. Chez les personnes hospitalisées nécessitant un ANS, la durée de séjour à l’hôpital était plus longue (médiane : dix jours par rapport à six jours). La durée médiane d’hospitalisation ANS était de deux semaines, et 25 % de ces personnes ont séjourné plus de 33 jours. Dans le cadre de l’examen de la probabilité d’ANS, des différences ont été constatées pour certaines caractéristiques géographiques et de programme, mais pas pour les caractéristiques démographiques.
Ces résultats fournissent des renseignements pertinents sur l’expérience d’ANS chez les personnes âgées à risque élevé au Nouveau-Brunswick. Au contraire de recherches précédentes, aucune inégalité relative aux caractéristiques démographiques n’a été constatée. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre les prédicteurs d’ANS au N.-B.
1000 jours plus tard: les DRG re dessinent le paysage hospitalier
Eliane Deschamps
Responsable de la politique vaudoise "Vieillissement et Santé" Service de la santé publique, Etat de Vaud
Santéclair a sollicité Harris Interactive afin de mettre en place un Observatoire des parcours de soins des Français, sous forme d’une série d’études visant à mesurer les perceptions et attentes des Français par rapport aux différents aspects de ce parcours.
Baromètre réalisé par Europ Assistance en 2010 sur les soins de santé en Europe et aux Etats Unis. Selon les résultats, 23 % des Français renoncent à des soins pour raisons économiques...
2014-02-06 ASIP Santé RIR "Le SI des infirmiers libéraux"ASIP Santé
Présentation "Le SI des infirmiers libéraux" par Nicolas SCHINKEL, infirmier libéral, chargé de mission Télésanté, Fédération Nationale des Infirmiers, URPS Infirmiers de Franche-Comté
Prise en charge de la maladie chronique.
Un site internet qui permet en un clic d’avoir accès, de manière personnalisée, à:
- L’intégralité de son dossier médical;
- Son pilulier virtuel;
- Son agenda santé;
- Un dossier complet sur sa pathologie, sa prise en charge et ses complications;
- Ses comptes rendus médicaux et analyses;
- Des jeux éducatifs concernant sa pathologie et son traitement;
- Une boîte mail pour un contact direct avec un professionnel de santé dédié;
- Un forum complet pour échanger…
Objet de l’appel :
Soins de santé plus sécuritaires maintenant!, un programme de l’Institut canadien pour la sécurité des patients, vous invite à participer à la Vérification nationale de TEV 2014, qui vise à établir un bilan national des taux de thromboprophylaxie de la TEV et à sensibiliser à la prophylaxie efficace de la TEV.
La TEV est l’une des complications les plus courantes lors d’une hospitalisation, de même que l’une des plus faciles à prévenir. La prophylaxie de la TEV est l’une des pratiques organisationnelles requises (POR) d’Agrément Canada.
En participant à cette vérification nationale, vous prendrez part à un vaste mouvement cherchant à éviter la thrombose veineuse profonde (TVP) et l’embolie pulmonaire (EP) chez les patients des hôpitaux. Pour plus de renseignements sur la Journée canadienne de vérification de la TEV, joignez-vous à notre appel d’information gratuit.
Pour en savoir plus: http://bit.ly/1wg4Dos
La règle selon laquelle l'absence de réponse de l'administration à une demande implique son acceptation s'accompagne de nouvelles restrictions qui impactent directement les chirurgiens-dentistes, notamment dans le cadre des demandes d'autorisation d'exercice.
Présentation réalisée par Michel GREIVER et Gilles BROUSSEAU dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Sécurité du patient, des défis à rele...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Similaire à Mesurer les préjudices dans les hôpitaux canadiens et faire avancer les travaux d’amélioration : Comment la collaboration ICSP-ICIS sur les préjudices à l'hôpital peut soutenir les stratégies de sécurité des patients dans votre établissement (20)
As patients and families impacted by harm, we imagine progressive approaches in responding to patient safety incidents – focused on restoring health and repairing trust.
We can change how we respond to healthcare harm by shifting the focus away from what happened, towards who has been affected and in what way. This is your opportunity to hear about innovative approaches in Canada, New Zealand, and the United States that appreciate these human impacts.
This interactive webinar is hosted by Patients for Patient Safety Canada, the patient-led program of the Canadian Patient Safety Institute and the Canadian arm of the World Health Organization Patients for Patient Safety Global Network.
This interactive webinar is part of the world tour series designed by the World Health Organization's Patients for Patient Safety (PFPS) Global Network and hosted by Patients for Patient Safety Canada, the patient-led program of the Canadian Patient Safety Institute, a WHO Collaborating Centre on Patient Safety and Patient Engagement.
The goal of this virtual discussion is to explore practical solutions for keeping seniors safe. The ideas are drawn from real life experiences noting how COVID-19 impacted seniors, their loved ones as well as healthcare workers and leaders.
The focus of the discussion is on identifying safety risks together with practical solutions for seniors who live at home, in residences and long-term care facilities.
After hearing the perspectives of patients, providers and leaders from Indigenous communities on how they perceive safety and what solutions are/ can be implemented, we will leave the session with at least one practical idea for engaging all patients, families and/or the public in improving patient safety.
Healthcare providers and leaders will address three types of silences in healthcare: organizational silence, patient-related silence, and provider to provider silence.
Read More: www.conquersilence.ca
Healthcare providers and leaders will address three types of silences in healthcare: organizational silence, patient-related silence, and provider to provider silence.
Read More: www.conquersilence.ca
Enhanced Recovery After Surgery (ERAS®) is the Enhanced Recovery After Surgery (ERAS®) is the implementation of patient-focused, standardized, evidencefocused, standardized, evidencefocused, standardized, evidencefocused, standardized, evidencefocused, standardized, evidencefocused, standardized, evidence-based, interdisciplinary perioperative guidelines.
Learn more about Enhanced Recovery Canada:
http://ow.ly/hR3j30jsnjR
Dr. Dee Mangin, Professor of Family Medicine and the Associate Chair and Director, Research, at McMaster University, will join practicing pharmacist, and Vice President, Pharmacy Affairs, Sandra Hanna of the Neighbourhood Pharmacy Association of Canada to discuss medication risks, deprescribing and the dangers of polypharmacy in this one hour webinar. Learn more at www.asklistentalk.ca
Joshua Myers, Terry Brock - Fraser Health (BC) - We Want to Hear from You: Fraser Health Real-Time Experience Survey
Leading organizations in Canada invite, listen and act on feedback from patients in their care to improve the safety and quality of care. Explore the three award-winning practices linked below then join us in a conversation to learn more about each approach and reflect on how you may apply it in your organization. This webinar promises practical ideas to help you engage patients in making care safer.
Leading organizations in Canada invite, listen and act on feedback from patients in their care to improve the safety and quality of care. Explore the three award-winning practices linked below then join us in a conversation to learn more about each approach and reflect on how you may apply it in your organization. This webinar promises practical ideas to help you engage patients in making care safer.
Cathy Masuda, Leslie Louie - BC Children's Hospital, an Agency of the Provincial Health Services Authority -Patient's View: Engaging Patients and Families in Patient Safety Incident Reporting
Leading organizations in Canada invite, listen and act on feedback from patients in their care to improve the safety and quality of care. Explore the three award-winning practices linked below then join us in a conversation to learn more about each approach and reflect on how you may apply it in your organization. This webinar promises practical ideas to help you engage patients in making care safer.
Alberta Health Services: Family Volunteers or Advisors Gathering Real-time Patient Experiences
Leading organizations in Canada invite, listen and act on feedback from patients in their care to improve the safety and quality of care. Explore the three award-winning practices linked below then join us in a conversation to learn more about each approach and reflect on how you may apply it in your organization. This webinar promises practical ideas to help you engage patients in making care safer.
This final webinar will emphasise the importance of understanding the problem before brainstorming solutions to better ensure a match between barriers and the solutions.
MORE INFO: http://bit.ly/2KctiLH
The fourth webinar picks-up directly from the third session, focusing on the next key step to inform implementation initiatives: identifying barriers and enablers to implementation.
READ MORE: http://bit.ly/2kIxtQo
The fifth webinar continues the momentum of the series as it focuses on providing concrete approaches for identifying barriers and enablers, emphasising behaviour change approaches.
READ MORE: http://bit.ly/2LOwbj0
Please join CPSI as we conclude our Human Factors webinar series with our final presentation Collaborative "Spaces" and Health Information Technology Design
Professor Benedetta Allegranzi,World Health Organisation
Dr. Benedetta Allegranzi is a specialist in infectious diseases, tropical medicine, infection prevention and control and hospital epidemiology. She currently works at the World Health Organization HQ (Service Delivery and Safety department), leading the "Clean Care is Safer Care" programme. Since 2013, Dr Allegranzi has gathered the title of professor of infectious diseases in the official Italian professorship list and is adjunct professor attached to the Institute of Global Health at the Faculty of Medicine, University of Geneva, Switzerland. She closely collaborates with the team at the IPC and WHO Collaborating Center on Patient Safety, University of Geneva Hospitals (Geneva, Switzerland), as well as with the Armstrong Institute for Patient Safety and Quality, John Hopkins University, (Baltimore, USA) for clinical research projects. She is currently involved in the leadership on the WHO Ebola Response in the field of IPC and supervises IPC activities in Sierra Leone and Guinea. She has experience in clinical management of infectious diseases and tropical medicine, and clinical research in healthcare settings in both developing and developed countries. She has thorough skills and experience in training and education.
She is also the author or coauthor of more than 150 scientific publications, including articles published in high-profile medical journal such as the Lancet, Lancet Infectious Diseases, New England Journal of Medicine and the WHO Bulletin, and six book chapters.
Lori Moore joined GOJO Industries in 2013 as a Clinical Application Specialist. In this position, she provided leadership and support to healthcare organizations as they implemented electronic compliance monitoring (ECM) to more accurately measure hand hygiene performance. She has been a trusted partner to hospital key stakeholders in the development, design and implementation of hand hygiene improvement efforts. Areas of expertise include root cause analysis with targeted solutions, just-in-time coaching and ECM software data analytics. In January 2017, she transitioned to the position of Clinical Educator for Healthcare.
She began her professional career in healthcare in 2010 as a registered nurse in the medical intensive care unit at the Cleveland Clinic Foundation (where she continues to work on the weekends). Her passion for patient safety and quality of care sparked her interest in infection prevention, and she worked as an infection preventionist prior to joining GOJO.
Lori has a well-rounded academic background which includes a Bachelor’s of Arts in Management from Malone College, a Bachelor’s of Science in Nursing from the University of Akron, and a Master’s degree in Public Health from the University of Akron. She is a member of the Association for Professionals in Infection Control and Epidemiology, American Society of Professionals in Patient Safety, and the American Medical Writers Association. She has also earned the credential of Certified Health Education Specialist (CHES) and Certified Professional in Patient Safety (CPPS).
The third interactive webinar in the series builds on the second session by focusing on the question: once we have evidence to justify implementing a new patient safety initiative, what next?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
Conseil et vaccination du voyageur en pharmacieIpsos France
Valneva a fait appel à l'expertise d'Ipsos Healthcare pour réaliser une étude sur les comportements et les attentes des Français en matière de santé dans le cadre d'un voyage prévu hors de l'Union Européenne dans les 12 prochains mois. Les résultats révèlent le rôle essentiel des pharmaciens dans la préparation sanitaire des voyages à l'international.
Mesurer les préjudices dans les hôpitaux canadiens et faire avancer les travaux d’amélioration : Comment la collaboration ICSP-ICIS sur les préjudices à l'hôpital peut soutenir les stratégies de sécurité des patients dans votre établissement
4. 4
Où êtes-vous sur le continuum?
C’est la
première fois
dont j’en
entends parler
J’en ai pris
connaissance/j’ai
lu le rapport
J’ai regardé nos
données, mais je ne
les ai pas encore
utilisées
J’ai participé à une
étude pionnière ou à
la validation
J’ai utilize les
données et ka
ressiyrce
d’amelioration
pour mieux
comprendre les
prejudices dans
notre hôpital
5. 5
Les présentateurs
Joseph Emmanuel
Amuah
Institut canadien
d’information sur la
santé
Dr. Chris Hayes Anne MacLaurin
Institut canadien pour la
sécurité des patients
Jennifer D’Silva
Institut canadien
d’information sur la
santé
7. 7
Définition
Hospitalisations en soins de
courte durée au cours desquelles
au moins un préjudice involontaire
s’est produit et aurait pu être évité
par la mise en œuvre de pratiques
exemplaires fondées sur des
données probantes
Mesure des préjudices à l’hôpital
• Le préjudice doit être survenu après
l’admission et nécessiter un traitement
ou un séjour prolongé à l’hôpital
• Les préjudices sont répartis en
31 types; chacun de ces types de
préjudices est associé à des pratiques
fondées sur des données probantes
• Exclut le Québec et les patients
ayant reçu certains diagnostics
de santé mentale
8. 8
Bref historique de l’indicateur de mesure
2011
Premiers tests de
faisabilité et
exploration analytique
Initiation d’un
partenariat entre l’ICIS
ET l’ICSP
2012
Mise à l’épreuve dans
7 hôpitaux phares à
l’échelle du Canada
Examen clinique
and liens aux
pratiques exemplaires
par le
Dr Ben Chan
2013
Qualité des données
et examen du codage
Deuxième phase de
mise à l’épreuve dans
des hôpitaux phares
2014
Processus Delphi
modifié incluant
sondage et entrevue
en personne
Examen des
conclusions
analytiques du
rapport avec l’aide
d’experts-conseils
cliniques
2015
Étude de seconde
saisie sur les données
menée par l’ICIS
Examen de dossiers
provenant de 4 sites
d’hôpitaux pour
vérification de la
qualité des données
spécifiques aux codes
que l’indicateur utilise
2016
Validation des
données des hôpitaux
par des
établissements
partout au Canada
Consultations
sur des groupes
obstétriques cliniques
on sélectionnés
Rapport national
10. 10
Il pourrait être impossible que tous
les préjudices à l’hôpital soient évités
• Il pourrait être impossible que
chaque cas de préjudice soit évité
• Les cliniciens ont sélectionné des
types de préjudices pouvant être
réduits par la mise en œuvre
de pratiques fondées sur des
données probantes
11. 11
Groupes cliniques à réviser
• A01/D01 - Anémie — Hémorragie
• A03/D03 – Traumatisme obstétrical
• A05 – Délirium
• A07 – Altération de la glycémie avec
complications
• B14 : Gastroentérite
• B17 : Sepsie
• B18 : Infections à C. difficile, au SARM ou
aux ERV
• C19 : Traumatisme du patient
• D23 : Rupture d’une plaie
Suite aux observations formulées lors de la validation avec les parties
prenantes et lors des consultations auprès d’experts, les groupes cliniques
suivants font présentement l’objet d’une révision en vue de la prochaine
diffusion privée :
12. 12
Élaborer un
ajustement
préliminaire
pour les
préjudices à
l’hôpital
Incorporer
la
rétroaction
de la
validation
Automne 2016 Hiver 2017
Indicateurs des
préjudices à
l’hôpital et
indicateurs
d’infections
nosocomiales
(diffusion privée)
Prochaines étapes
Printemps 2017
Indicateurs
d’infections
nosocomiales
(diffusion publique)
15. 15
Remarque
Les données du Québec ainsi que les données sur certains patients
hospitalisés en raison d’une maladie mentale ont été exclues.
Source
Base de données sur les congés des patients, 2014-2015,
Institut canadien d’information sur la santé.
Les préjudices dans les hôpitaux canadiens…
une réalité.
En général, les hôpitaux sont des lieux sécuritaires. Toutefois, il peut survenir des événements
préjudiciables qui nuisent aux patients. Bon nombre d’entre eux peuvent être évités.
16. 16
Profil patient
Proportion de tous
les patients admis
Taux de préjudices
(par 100)
Chirurgical* 19,8 % 7,6
Médical 56,6 % 6,2
Obstétrique 11,7 % 4,2
Nouveau-né 11,9 % 1,0
Remarques
* Patients chirurgicaux ayant subi une procédure dans
une salle d'opération principale dans les premières 24
heures après l'admission.
Les données du Québec ainsi que les données pour
certains patients en santé mentale ont été exclues.
Source
Base de données sur les congés des patients, 2014–2015
Institut canadien d'information sur la santé.
Les évènements préjudiciables affectent tous les
types de soins
17. 17
Remarques
Les pourcentages pour les catégories de préjudices représentent
la proportion d’hospitalisations au cours desquelles au moins un
accident avec préjudice s’est produit dans chacune des catégories.
Les données du Québec ainsi que les données sur certains patients
hospitalisés en raison d’une maladie mentale ont été exclues.
Source
Base de données sur les congés des patients, 2014-2015,
Institut canadien d’information sur la santé.
Aucune catégorie n’est à l’origine à
elle seule de la majorité des événements
18. 18
Remarque
Les données du Québec ainsi que les données sur certains patients
hospitalisés en raison d'une maladie mentale ont été exclues.
Source
Base de données sur les congés des patients, 2014-2015,
Institut canadien d’information sur la santé.
Les « accidents évitables » ne sont
pas les plus courants
19. 19
Remarque
Les données du Québec ainsi que les données sur certains patients
hospitalisés en raison d’une maladie mentale ont été exclues.
Source
Base de données sur les congés des patients, 2014-2015,
Institut canadien d’information sur la santé.
Certains patients subissent plus
d’un événement préjudiciable
sur 51
Parmi les 138 000 hospitalisations
associées à un événement préjudiciable,
une sur 5 (environ 30 000) présentait
plus d’une occurrence de préjudice
20. 20
Complexité
Taux de préjudice chez les patients
qui reçoivent des soins médicaux
(pour 100)
Taux de préjudice chez les patients
ayant subi une chirurgie
(pour 100)
Faible 2,2 3,7
Moyen 6,4 12,4
Élevé 17,5 29,0
Remarques
Consultez le rapport technique pour obtenir de l’information sur la façon
dont on détermine la complexité.
Les patients recevant des soins obstétricaux et les nouveau-nés ont été
exclus de cette analyse, puisqu’ils appartiennent à une population de patients
différente et que la majorité d’entre eux sont des cas de faible complexité.
Les données du Québec ainsi que les données sur certains patients hospitalisés
en raison d’une maladie mentale ont été exclues.
Source
Base de données sur les congés des patients, 2014-2015,
Institut canadien d’information sur la santé.
Le risque de préjudice est plus
élevé pour les cas complexes
21. 21
Taux de décès à l’hôpital chez les patients recevant des
soins médicaux ou chirurgicaux avec ou sans préjudice
Même si les données ne peuvent
pas déterminer si un événement
préjudiciable a entraîné la mort
du patient, environ 17 300 patients
ayant subi au moins un événement
préjudiciable sont décédés à l’hôpital
Remarques
Les patients recevant des soins obstétricaux et les nouveau-nés sont inclus dans les proportions,
mais ne sont pas déclarés séparément puisque les décès sont rares dans ces populations de patients.
Les données du Québec ainsi que celles sur certains patients hospitalisés en raison d’une maladie
mentale ont été exclues.
Source
Base de données sur les congés des patients, 2014-2015, Institut canadien d’information sur la santé.
Une hospitalisation sur 8 associée
à un événement préjudiciable
entraîne la mort
22. 22
Les patients subissant un
préjudice passent des jours
supplémentaires à l’hôpital :
plus de 1,600 lits chaque jour
Les dollars
supplémentaires consacrés
aux patients subissant un
préjudice :
685 millions de dollars
La réduction des préjudices
peut libérer des ressources
qui pourront servir à
répondre à des besoins
non comblés
Utilisation accrue des ressources
Remarque
Les données du Québec ainsi que les données sur certains patients
hospitalisés en raison d’une maladie mentale ont été exclues.
Source
Base de données sur les congés des patients, 2014-2015,
Institut canadien d’information sur la santé.
27. Système de
déclaration des
incidents
Examen des
dossiers
(Outil déclencheur)
Questionnaires sur
le thème de la
culture
Indicateurs de
processus/ de
résultats
spécifiques
Plaintes de
patients
Taux d’incidents
critiques
Indicateurs
diffusés
publiquement
Données
administratives ou
concernant des
réclamations
Mesure des
préjudices à
l’hôpital
28. Est-ce que les soins
de santé au Canada
sont plus
sécuritaires qu’il y
a 10 ans?
Comment le
savoir?
29.
30. Système de
déclaration des
incidents
Examen des
dossiers
(Outil déclencheur)
Questionnaires sur
le thème de la
culture
Indicateurs de
processus/ de
résultats
spécifiques
Plaintes de patients
Taux d’incidents
critiques
Indicateurs diffusés
publiquement
Données
administratives ou
concernant des
réclamations
Mesure des
préjudices à
l’hôpital
31. Système de
déclaration des
incidents
Examen des dossiers
(Outil déclencheur)
Questionnaires sur
le thème de la
culture
Indicateurs de
processus/ de
résultats spécifiques
Plaintes de patients
Taux d’incidents
critiques
Indicateurs diffusés
publiquement
Données
administratives ou
concernant des
réclamations
Mesure des
préjudices à
l’hôpital
Diffuser
Mettre en
œuvre et
maintenir
Sélectionner
et tester les
idées de
changement
Définir et
planifier
l’amélioration
Comprendre
le système et
l’état actuel
Identifier et
classer le
besoin/ l’idée
par ordre de
priorité
Surveillance, mesure et évaluation du rendement continuelles
32. Diffuser
Mettre en
œuvre et
maintenir
Sélectionner
et tester les
idées de
changement
Définir et
planifier
l’amélioration
Comprendre
le système et
l’état actuel
Identifier et
classer le
besoin/ l’idée
par ordre de
priorité
Surveillance, mesure et évaluation du rendement continuelles
35. 35
Établir un lien entre la mesure et
les améliorations : Ressource d’amélioration
pour la mesure des préjudices à l’hôpital
Objectif
• Démontrer la capacité de passer à l’action
en fournissant des ressources qui aideront
les établissements à dispenser des soins
de façon plus sécuritaire
• Mettre l’information à la disposition
des équipes afin d’appuyer leurs
efforts d’amélioration de la qualité
36. 36
Qui connaît la Ressource d’amelioration pour la
mesure des prejudices à l’hôpital?
Oui
Un petit peu
Non
37. 37
Que contient la Ressource
d’amélioration pour la mesure
des préjudices à l’hôpital?
• Des outils et des ressources de portée générale sur la sécurité des
patients et l’amélioration de la qualité
• Des conseils sur l’utilisation des données sur les préjudices à l’hôpital
• Pour chaque groupe clinique
‒ Une vue d’ensemble des caractéristiques du groupe clinique et des objectifs d’amélioration
‒ Des pratiques exemplaires fondées sur des données probantes pour réduire la probabilité que
surviennent des préjudices
‒ Des mesures d’amélioration des résultats et processus
‒ Les normes et les pratiques organisationnelles requises d’Agrément Canada
‒ Des liens vers des ressources additionnelles
39. 39
1. Prioriser les groupes cliniques
Groupes cliniques ayant un volume élevé de patients.
Gravité du préjudice, y compris les événements ne devant jamais se produire, les effets
indésirables graves déclarables, les événements graves de sécurité et les incidents critiques.
Les groupes cliniques qui s'alignent sur:
• Efforts d’AQ déjà en cours ou prévus dans l‘établissement.
• Priorités provinciales / territoriales ou régionales ou directives ministérielles.
• Priorités identifiées grâce au processus d'accréditation ou d'évaluation des
risques.
• Priorités provenant des systèmes de déclaration et d'apprentissage sur les
incidents liés à la sécurité des patients, examens de la sécurité des patients ou de
l'assurance de la qualité ou des plaintes des patients.
40. 40
2. Effectuez des vérifications de dossiers
‒ Vérifier les données / les cas de préjudices
‒ Identifier des populations / unités spécifiques pour amélioration à l‘établissement
‒ Déterminer les codes qui contribuent à la majorité des préjudices
‒ Identifier les facteurs qui contribuent aux préjudices
‒ Identifier des besoins spécifiques d'amélioration :
• Pratiques liées aux dossiers et au codage
• Mise en œuvre de pratiques fondées sur les données probantes
• ou les deux
41. 41
3. Effectuez des vérifications de dossiers
‒ Effectuez des vérifications de dossiers pour comparer les soins documentés aux meilleures
pratiques
‒ Utilisez les résultats de la vérification pour identifier des améliorations spécifiques à appliquer à
la pratique
Exemple : Vérification de la prévention des chutes
42. 42
Utilisez la boîte de clavardage pour nous parler
des membres de l’équipe que vous avez
approchés (ou avez l’intention d’approcher) lors
de votre travail sur l’indicateur de préjudices à
l’hôpital.
Le travail en
équipe est la
clé du succès
43. 43
Jusqu’où êtes-vous prêts à aller ?
Prendre
d’abord
connaissance
du projet/ lire
le rapport
Regarder nos
données, mais
NON les utiliser
pour s’améliorer
Utiliser les
données pour
mieux
comprendre les
préjudices dans
notre hôpital
Utiliser les données
et la Ressource
d’amélioration pour
favoriser le
changement et
l’amélioration
44.
45. 45
Merci
Pour en apprendre davantage :
http://www.patientsafetyinstitute.ca/fr/toolsresources/hospital-harm-
measure/pages/default.aspx
https://www.cihi.ca/fr/performance-du-systeme-de-sante/qualite-des-soins-et-
resultats/securite-des-patients
Pour communiquer avec nous :
hsp@cihi.ca
info@cpsi.ca
Notes de l'éditeur
Jennifer
Use the annotation arrow to identify your main area of focus in your “day to day” work.
Decision support/measurement, patient safety, health records/coding, infection prevention and control, care provision, quality improvement, patient engagement/patient advisor/patient volunteer and then if none of those fit, other.
Jennifer
Use your annotation arrow and tell us how are you feeling today about this initiative – that includes the measure, the improvement resource, the report and the future opportunities to use these materials.
Excited, frustrated, confused, anxious, ambivalent, overwhelmed?
Jennifer – review all speakers and then specifically introduce Joseph at this time and hand off to him
Experts have been consulted to ensure there is good clinical and literature evidence supporting action that can be taken to reduce the risk or prevent the events captured in the new measure from occurring. It has also been tested with a “pioneer” group of hospitals for their feedback. Facilities across the country had the opportunity to review the methodology and adjustments have been made based on their feedback.
Details of the Work Done To Date
2011
Initial consultations internally and externally at CIHI were done to explore the feasibility of using administrative data to capture in-hospital “adverse events”
Externally: Authors of the Baker-Norton Study (Ross Baker, Peter Norton, Virginia Flintoft, Bill Ghali, Regis Blais, Robyn Tamblyn)
Internal CIHI teams: Indicators, Classifications, Methodology Unit. There were two workshops (2011/2012), where staff from multiple program areas within CIHI were consulted to decide on inclusion/exclusion criteria and methodology.
- Partnered with CPSI
2012
Testing with 7 pioneer hospitals to seek feedback on face validity of the data, the categories of harm and the usefulness of the measure.
Pioneer Facilities: James Paton Memorial, NL; IWK, NS ; UHN, ON; St. Mike’s, ON; Northern Lights RHA, AB; Providence Health Care, BC; Stanton Territorial, NWT
- Feedback from hospitals:
They suggested having the improvement resource built to align the types of harm captured in the measure to current guidelines for improvement
Build a framework that groups harmful events and link those to best practices
Based on feedback from pioneer hospitals, Dr. Ben Chan was consulted to review the list of codes and select the ones that were amenable to action. The measurement framework was developed based on his suggestions
2013
Data Quality and Coding review
Data Quality and Classifications teams at CIHI reviewed codes included in measure
Consultation was done with the WHO Topic Advisory Group (TAG) on patient safety to compare their work with our measure – fairly good overlap in codes captured.
WHO-TAG had been working on generating a comprehensive set of diagnosis codes to be used to develop a new generation of Patient Safety Indicators.
Second round of testing with pioneer sites (same hospitals) with the updated measure - this phase also allowed hospitals to request record level data to do more validation and also to show alignment with the resource library (a sampler was available)
Based on feedback from the second round of testing, refinements were made to the framework (e.g., dropped the large categories of drugs and device failures and narrowed down into clinical groups that share a common set of evidence-informed practices)
2014
A Modified Delphi process was undertaken with clinical experts in specific specialties (many of whom also have a patient safety role in hospitals). They reviewed the 40 clinical groups using the following criteria: Face Validity, Actionability and Scope. A face-to-face meeting was used to discuss clinical groups where there was uncertainty based on the Delphi survey.
Face validity - The clinical group relates to suboptimal safety of in-hospital care, and the extent to which it would be appropriate as a patient safety marker
Actionability - The volume of the clinical group be reduced or eliminated (actionable) through the implementation of evidence-informed practices
Scope - Volume and Importance, or Never events: rate the extent to which the type of harm captures never events, conditions/events that are common enough or important enough relative to benefits of treatment to warrant taking action
Following the Delphi process, additional consultations were undertaken with obstetricians, cardiac surgeons and general surgeons on selected clinical groups to finalize scope of the measure
- Review of analytic findings – following these consultations the measure was re-calculated and results shared with clinical expert advisors.
2015
Chart review at 2 hospitals in Ontario and 2 in Alberta
Chart reviewers looked at the agreement between harm coded in the CIHI data and what was documented on a patients’ chart
Outcome of the chart review:
While the results are not generalizable, the study determined that the quality of the data may influence final estimates (mostly toward under-reporting). This work was used to determine the areas of focus for the 2015 reabstraction study.
Reabstraction Study:
- Results from the reabstraction study will be published along with the report in October 2016, but the results were as good as or better than previous reabstraction studies, particularly when capturing post-admit conditions. Overall 89% of diagnoses captured in the administrative data (DAD) were confirmed during the chart review (true positives), while 9% of diagnoses captured during the chart review were not found in the administrative data (false negatives or undercoded in the administrative data).
2016/Next steps:
- Results were shared with all hospitals in February 2016. Many hospitals have agreed to assist in validating the data and will provide feedback on the measure to CIHI by August 31, 2016.
Further refinements have been made since February 2016 following consultations with OB specialists (e.g., OB Hemorrhage, wound dehiscence).
Further refinements are being made based on ongoing validation exercise as well as consultations with reviewers of the improvement resource.
A national report was released on October 26th
Chantal
Here is the Hospital Harm Framework – illustrates what is captured in the measure
The measure is composed of 4 categories of harmful events: healthcare/medication associated conditions, healthcare associated infections, patient accidents, and procedure associated conditions.
Health Care–/Medication-Associated Conditions
Harm related to general care and/or medication administered during a hospital stay.
Health Care–Associated Infections
Infections that occur during a hospital stay, including those related to or following a medical or surgical procedure.
Patient Accidents
In-hospital injuries (e.g., fractures, dislocations, burns) due to an accident, not directly related to medical or surgical procedures.
Procedure-Associated Conditions
This category includes
Misadventures to patients during surgical and medical care;
Events associated with medical devices used for diagnostic diagnosis and therapeutic treatment; and
Abnormal reactions to or complications of surgical or medical procedures.
These categories of harm are further divided into 31 clinical groups (or types of harm) that have common actions or evidence-informed practices.
Some clinical groups appear under the categories of Health Care–/Medication-Associated Conditions and Procedure-Associated Conditions. The differentiating factor is whether that type of harm is related to a procedure or not. For example, for Anemia-Hemorrhage - if it was associated with general care or medication (such as an anticoagulant) it would captured under Health Care-/Medication-Associated Conditions. If it was associated with a procedure it would be captured under Procedure-Associated Conditions.
This approach provides both an overall picture of harmful events as well as the ability to drill down into the measure and track occurrences of harm for each specific clinical group.
At each level of the framework, the number of hospital admissions with at least one occurrence of harm are counted.
February 2016
Data validation of the hospital harm measure began in February 2016. While a subset of hospitals agreed to participate in the validation process, all hospitals have the opportunity to review their data. The validation period will continue until August 31 2016. The data is available in CIHI’s Data Preview Tool.
Fall 2016 (October)
Since September we have been incorporating feedback from the validation exercise into the measure. We will continue with this process and develop a preliminary risk adjustment methodology.
Winter 2017 (February)
Preliminary risk-adjusted measure at the facility level will be shared with hospitals
Risk-adjusted indicators of in-hospital infections
The feasibility assessment of having an indicator will begin
Feedback from the validation and ongoing consultations will be used to study the viability of an indicator
At the same time, an updated or refreshed Improvement Resource will be shared
Work will continue to determine the feasibility of developing a comparable indicator. Timelines are TBD.
When we look across the various patient populations we see that the rate of harm is slightly higher among surgical patients compared to medical patients (7.6 versus 6.2 per 100). However, medical patients have more occurrences of harm in total because there are more medical patients than surgical patients in hospital (56.6% compared to 19.8%).
Obstetric and newborn patients each represent about 12% of the hospital population and their rates of harm are lower (4.2 and 1.0 per 100)
Chantal
This graph shows the distribution of harm by clinical group and highlights that patients experience a wide range of harmful events.
While it may be hard to see, the five most common types of harm, accounting for 51% of harmful events are:
Electrolyte and fluid imbalance (27,000; 15% of all harmful events),
Urinary Tract infections (22,000; 12% of all harmful events),
Delirium (18,000; 10% of all harmful events),
Anemia-Hemorrhage (procedural associated condition) – (13,000; 7% of all harmful events), and
Pneumonia (12,000; 7% of all harmful events)
A small percentage of cases (<1%) are retained foreign body and selected serious events. Many of which are never events – things that should not happen under any circumstances.
Optional
We know that events associated with medication are among the most frequent of all harmful events. It is important to note that harm captured in the medication incidents clinical group (third from the bottom) includes only incorrect administration or dosage. Unintended reactions from medication that were appropriately administered are also captured in this measure but they would be captured in some of the other clinical groups under Healthcare/Medication Associated Conditions (for example, heparin – an anticoagulant could contribute to events captured as anemia-hemorrhage).
When working with the Hospital Harm measure and the Improvement Resource to identify an area for improvement you certainly can consider volume and you can consider severity. But we recognize that the measure and the Improvement Resource do not exist in a vacuum and you will be influenced by the context for your hospital and the need to make choices on how to deploy resources for improvement.
Once an area for focus has been selected, the Improvement Resource provides the evidence informed practices to support the change, reducing the time and effort a team could spend on the “what” and focusing instead on the “how”.
For example, if you select C21 as an area to focus on, the chart review will help you identify if the Patient Trauma is from fractures, dislocations, burns or asphyxiation.
If you see the majority are falls and dislocations, the chart reviews will help you narrow in on contributing factors leading to the fracture.
That is the chart reviews can help you may want to measure the number of fractures due to falls.
Carrying on with the same example, once you have reviewed a few charts you may identify the goal of reducing fractures related to falls.
From here, you would want to conduct some specific chart audits to compare documented care against best practices.
To do this you could create an audit tool to help, or use pre-existing audit tools.
Of course this work should not occur in a silo or lie with one individual. Any improvement initiative requires a team approach.
Thank you everyone. CIHI and CPSI look forward to continuing this dialogue with you.
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