Panorama bureaux en Ile-de-France 3T 2013JLL France
• Le marché locatif continue à ralentir, impacté par le fort repli des transactions en clés-en-main.
• L’offre immédiate poursuit son ascension tandis que l’offre neuve demeure contenue.
• Les loyers demeurent sous pression.
• Plus de 7,9 milliards d’euros ont été investis depuis le début de l’année 2013, soit une hausse de 8% en un an.
• 20 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées sur les neufs premiers mois de l’année
• Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, reste stable dans une fourchette comprise entre 4,50 et 5,00%.
Cette performance s’explique notamment par la signature de cinq transactions d’envergure totalisant à elles seules près de 82 000 m², soit un tiers de la demande placée.
Indépendamment de ces grandes transactions, le segment des moins de 500 m² a été particulièrement actif représentant 83% du nombre de transactions signées en 2013.
L’offre immédiate reste au même niveau et le taux de vacance se stabilise à 5,3% sur l’ensemble de l’agglomération.
Nous avons enregistré quelques réajustements ponctuels et une stabilisation des valeurs faciales autant sur les valeurs prime que de seconde main. Le loyer prime de référence de la Part Dieu s’établit désormais à 270 € HT/m²/an, et la valeur « top » de 310 € HT/m²/an atteinte dans la cadre de la transaction SNCF dans la tour « Incity ».
Lyon Bureaux : Demande placée
Demande placée: nettement moins bon que l’an passé !
La dynamique haussière à l’oeuvre sur le marché des bureaux de Lyon depuis 3 ans semble marquer le pas au 1er semestre 2017. Alors que depuis 6 trimestres, la demande placée avait franchi plutôt facilement la barre des 60 000 m², le début de l’année 2017 montre un ralentissement assez net. Au cumul du 1er semestre, seulement 109 300 m² de bureaux ont été commercialisés sur le marché lyonnais, un chiffre en repli de 20% sur un an et en dessous de la moyenne décennal du 1er semestre (114 000 m²). En termes de qualité des surfaces traitées au 1er semestre, les bureaux de 1ère main accusent une baisse plus importante que ceux de 2nde main (respectivement - 30% et -15% environ). L’année 2016 s’est caractérisée par des positionnement d’entreprises visant majoritairement des bureaux de 2nde main ; cette tendance s’est poursuivie et même accentuée au 1er semestre 2017.
Les grandes transactions manquent à l’appel
Les nombreuses transactions de plus de 2 000 m² qui ont animé le marché lyonnais depuis 2013 manquent à l’appel du 1er semestre 2017 : celles-ci n’ont totalisé que 27 500 m² seulement, loin de leur performance des dernières années (125 000 m² traités en moyenne entre 2013 et 2016). Ces grands mouvements (8 au total) se sont réalisés exclusivement à Lyon intra-muros, plus précisément sur le secteur Carré de Soie / Grand Clément (ATOS, VEOLIA et SUEZ ENVIRONNEMENT).
A l’inverse, le marché a gardé le cap pour les bureaux compris entre 500 et 2 000 m². Le rythme a même forci pour les surfaces de 200 à 500 m² (plus de 25 000 m² commercialisés au 1er semestre 2017), une performance très au-delà de son volume annuel moyen (42 000 m² sur 10 ans).
La Part-Dieu résiste…les destinations alternatives gagnent du terrain
Le leadership de La Part-Dieu sur le marché lyonnais (23 500 m² placés depuis le début de l’année) se vérifie à nouveau. Pour autant, l’écart se resserre avec ses poursuivants, qu’il s’agisse de destinations tertiaires intramuros comme Gerland, Vaise, Carré de Soie / Grand Clément - entre 9 900 et 12 000 m² traités en 6 mois – ou de la périphérie (9 600 m² pour le Nord Ouest).
Cushman & Wakefield France
Panorama bureaux Ile-de-France - 4ème trimestre 2013JLL France
Pénalisé par l’environnement économique, fiscal et règlementaire, le marché locatif décline en 2013 (-25% en un an).
L’offre immédiate s’accroît sensiblement en un an, et atteint un niveau jamais égalé. La part des immeubles de Grade A demeure toutefois limitée à moins de 20% du stock vacant.
Dans ce contexte, les valeurs locatives demeurent sous pression. Dans le QCA, l’essentiel de la baisse des valeurs a été acté en 2013.
Avec 11 milliards d’euros investis en 2013, le marché de l’investissement reste conforme à sa dynamique de long terme.
30 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées pour l’ensemble de l’année 2013. .
Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, baisse pour se positionner dans une fourchette comprise entre 4,25 et 4,50%.
MarketBeat IDF Paris QCA Bureaux T3 2017 - So far, so good !
Demande placée : toujours aussi haut !
Les 315 000 m² de bureaux commercialisés au cumul des 3 premiers trimestres de 2017 dans le Quartier Central des Affaires frisent le temps de passage de l’an passé (-1%). Les 2ème et 3ème trimestres - 119 000 puis 109 000 m² - auront rattrapé un démarrage à bas régime (86 500 m² au 1er trimestre). Ce rythme d’activité, qui mérite d’être apprécié à l’aune de deux exercices 2015 et 2016 records (450 000 m² chacun) et de stocks au plus bas promet une fin d’année 2017 au-delà des 400 000 m² commercialisés. Le QCA confirme non seulement son pouvoir d’attraction, mais aussi son potentiel de résilience dans des conditions d’offre historiquement faible.
Grandes transactions à la manœuvre
La prise de vitesse du QCA depuis bientôt 3 ans s’accompagne en 2017 de plusieurs nouveautés. Les accélérations de l’activité en 2015 et 2016 avaient pour moteur principal les surfaces inférieures à 5 000 m². Ces positionnements d’utilisateurs sont aujourd’hui à l’origine de plus de 80% de la demande placée, mais l’étroitesse de l’offre immédiate tend à écrêter leur performance, avec des reculs de 8% à 11%. A l’inverse, la bride est lâchée pour les transactions d’envergure (+75% en un an), qui devraient dépasser leur score de l’année précédente (61 700 m²). A ce titre, les prises à bail d’ALTAREA COGEDIM (22 000 m²) et de WEWORK (5 950 m²) au 3ème trimestre placent au coude à coude l’Etoile et le Centre (30 000 et 27 000 m² respectivement). La forte proportion des pré-commercialisations sur ce créneau de surfaces (70%) traduit une volonté de sécuriser les meilleurs immeubles sans attendre leur livraison. Elle témoigne aussi du caractère décisif de la centralité et de la mixité des usages dans leurs choix d’implantation.
Valeurs locatives : poussées haussières
La demande soutenue des entreprises pour des bureaux bien placés et qualitatifs, confrontée à l’étroitesse de l’offre disponible immédiatement ou à moyen terme, met sous pression les valeurs locatives. La barre symbolique des 800 €/m²/an a été franchie pour le prime et plusieurs signatures au-delà de 750 €/m²/an confirment cette rupture de seuil.
Cette poussée haussière se vérifie d’ailleurs hors des produits d’exception; elle est soutenue par le caractère limité des choix d’implantations ouverts aux utilisateurs. Le loyer moyen des bureaux restructurés s’établit à 670 €/m²/an (+2% en un an), tandis que les surfaces de seconde main se traitent en moyenne à des valeurs faciales de 560 €/m²/an (+4%), un point haut depuis 2001
Plus d'informations sur Cushman & Wakefield
Panorama bureaux en Ile-de-France au 1T 2013JLL France
Trajectoires divergentes
Le marché locatif fléchit au 1er trimestre face à une situation macro-économique toujours compliquée.
Depuis 2009, l’offre immédiatement disponible n’évolue quasiment pas et reste plafonnée à près de 3,6 millions de m².
Le loyer prime du QCA acte une nouvelle baisse au 1er trimestre et s’établit désormais à 760 €/m².
Plus de 2 milliards d’euros ont été investis depuis le début de l’année, soit une hausse de 43% en un an.
5 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées au 1er trimestre 2013.
Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, reste stable dans une fourchette comprise entre 4,50 et 5,00%.
Panorama bureaux en Ile-de-France 3T 2013JLL France
• Le marché locatif continue à ralentir, impacté par le fort repli des transactions en clés-en-main.
• L’offre immédiate poursuit son ascension tandis que l’offre neuve demeure contenue.
• Les loyers demeurent sous pression.
• Plus de 7,9 milliards d’euros ont été investis depuis le début de l’année 2013, soit une hausse de 8% en un an.
• 20 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées sur les neufs premiers mois de l’année
• Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, reste stable dans une fourchette comprise entre 4,50 et 5,00%.
Cette performance s’explique notamment par la signature de cinq transactions d’envergure totalisant à elles seules près de 82 000 m², soit un tiers de la demande placée.
Indépendamment de ces grandes transactions, le segment des moins de 500 m² a été particulièrement actif représentant 83% du nombre de transactions signées en 2013.
L’offre immédiate reste au même niveau et le taux de vacance se stabilise à 5,3% sur l’ensemble de l’agglomération.
Nous avons enregistré quelques réajustements ponctuels et une stabilisation des valeurs faciales autant sur les valeurs prime que de seconde main. Le loyer prime de référence de la Part Dieu s’établit désormais à 270 € HT/m²/an, et la valeur « top » de 310 € HT/m²/an atteinte dans la cadre de la transaction SNCF dans la tour « Incity ».
Lyon Bureaux : Demande placée
Demande placée: nettement moins bon que l’an passé !
La dynamique haussière à l’oeuvre sur le marché des bureaux de Lyon depuis 3 ans semble marquer le pas au 1er semestre 2017. Alors que depuis 6 trimestres, la demande placée avait franchi plutôt facilement la barre des 60 000 m², le début de l’année 2017 montre un ralentissement assez net. Au cumul du 1er semestre, seulement 109 300 m² de bureaux ont été commercialisés sur le marché lyonnais, un chiffre en repli de 20% sur un an et en dessous de la moyenne décennal du 1er semestre (114 000 m²). En termes de qualité des surfaces traitées au 1er semestre, les bureaux de 1ère main accusent une baisse plus importante que ceux de 2nde main (respectivement - 30% et -15% environ). L’année 2016 s’est caractérisée par des positionnement d’entreprises visant majoritairement des bureaux de 2nde main ; cette tendance s’est poursuivie et même accentuée au 1er semestre 2017.
Les grandes transactions manquent à l’appel
Les nombreuses transactions de plus de 2 000 m² qui ont animé le marché lyonnais depuis 2013 manquent à l’appel du 1er semestre 2017 : celles-ci n’ont totalisé que 27 500 m² seulement, loin de leur performance des dernières années (125 000 m² traités en moyenne entre 2013 et 2016). Ces grands mouvements (8 au total) se sont réalisés exclusivement à Lyon intra-muros, plus précisément sur le secteur Carré de Soie / Grand Clément (ATOS, VEOLIA et SUEZ ENVIRONNEMENT).
A l’inverse, le marché a gardé le cap pour les bureaux compris entre 500 et 2 000 m². Le rythme a même forci pour les surfaces de 200 à 500 m² (plus de 25 000 m² commercialisés au 1er semestre 2017), une performance très au-delà de son volume annuel moyen (42 000 m² sur 10 ans).
La Part-Dieu résiste…les destinations alternatives gagnent du terrain
Le leadership de La Part-Dieu sur le marché lyonnais (23 500 m² placés depuis le début de l’année) se vérifie à nouveau. Pour autant, l’écart se resserre avec ses poursuivants, qu’il s’agisse de destinations tertiaires intramuros comme Gerland, Vaise, Carré de Soie / Grand Clément - entre 9 900 et 12 000 m² traités en 6 mois – ou de la périphérie (9 600 m² pour le Nord Ouest).
Cushman & Wakefield France
Panorama bureaux Ile-de-France - 4ème trimestre 2013JLL France
Pénalisé par l’environnement économique, fiscal et règlementaire, le marché locatif décline en 2013 (-25% en un an).
L’offre immédiate s’accroît sensiblement en un an, et atteint un niveau jamais égalé. La part des immeubles de Grade A demeure toutefois limitée à moins de 20% du stock vacant.
Dans ce contexte, les valeurs locatives demeurent sous pression. Dans le QCA, l’essentiel de la baisse des valeurs a été acté en 2013.
Avec 11 milliards d’euros investis en 2013, le marché de l’investissement reste conforme à sa dynamique de long terme.
30 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées pour l’ensemble de l’année 2013. .
Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, baisse pour se positionner dans une fourchette comprise entre 4,25 et 4,50%.
MarketBeat IDF Paris QCA Bureaux T3 2017 - So far, so good !
Demande placée : toujours aussi haut !
Les 315 000 m² de bureaux commercialisés au cumul des 3 premiers trimestres de 2017 dans le Quartier Central des Affaires frisent le temps de passage de l’an passé (-1%). Les 2ème et 3ème trimestres - 119 000 puis 109 000 m² - auront rattrapé un démarrage à bas régime (86 500 m² au 1er trimestre). Ce rythme d’activité, qui mérite d’être apprécié à l’aune de deux exercices 2015 et 2016 records (450 000 m² chacun) et de stocks au plus bas promet une fin d’année 2017 au-delà des 400 000 m² commercialisés. Le QCA confirme non seulement son pouvoir d’attraction, mais aussi son potentiel de résilience dans des conditions d’offre historiquement faible.
Grandes transactions à la manœuvre
La prise de vitesse du QCA depuis bientôt 3 ans s’accompagne en 2017 de plusieurs nouveautés. Les accélérations de l’activité en 2015 et 2016 avaient pour moteur principal les surfaces inférieures à 5 000 m². Ces positionnements d’utilisateurs sont aujourd’hui à l’origine de plus de 80% de la demande placée, mais l’étroitesse de l’offre immédiate tend à écrêter leur performance, avec des reculs de 8% à 11%. A l’inverse, la bride est lâchée pour les transactions d’envergure (+75% en un an), qui devraient dépasser leur score de l’année précédente (61 700 m²). A ce titre, les prises à bail d’ALTAREA COGEDIM (22 000 m²) et de WEWORK (5 950 m²) au 3ème trimestre placent au coude à coude l’Etoile et le Centre (30 000 et 27 000 m² respectivement). La forte proportion des pré-commercialisations sur ce créneau de surfaces (70%) traduit une volonté de sécuriser les meilleurs immeubles sans attendre leur livraison. Elle témoigne aussi du caractère décisif de la centralité et de la mixité des usages dans leurs choix d’implantation.
Valeurs locatives : poussées haussières
La demande soutenue des entreprises pour des bureaux bien placés et qualitatifs, confrontée à l’étroitesse de l’offre disponible immédiatement ou à moyen terme, met sous pression les valeurs locatives. La barre symbolique des 800 €/m²/an a été franchie pour le prime et plusieurs signatures au-delà de 750 €/m²/an confirment cette rupture de seuil.
Cette poussée haussière se vérifie d’ailleurs hors des produits d’exception; elle est soutenue par le caractère limité des choix d’implantations ouverts aux utilisateurs. Le loyer moyen des bureaux restructurés s’établit à 670 €/m²/an (+2% en un an), tandis que les surfaces de seconde main se traitent en moyenne à des valeurs faciales de 560 €/m²/an (+4%), un point haut depuis 2001
Plus d'informations sur Cushman & Wakefield
Panorama bureaux en Ile-de-France au 1T 2013JLL France
Trajectoires divergentes
Le marché locatif fléchit au 1er trimestre face à une situation macro-économique toujours compliquée.
Depuis 2009, l’offre immédiatement disponible n’évolue quasiment pas et reste plafonnée à près de 3,6 millions de m².
Le loyer prime du QCA acte une nouvelle baisse au 1er trimestre et s’établit désormais à 760 €/m².
Plus de 2 milliards d’euros ont été investis depuis le début de l’année, soit une hausse de 43% en un an.
5 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées au 1er trimestre 2013.
Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, reste stable dans une fourchette comprise entre 4,50 et 5,00%.
Les perspectives immobilières de bureaux pour les entreprisesJLL France
Depuis le début de l’année on remarque que les entreprises démontrent un regain d’appétit pour les marchés traditionnels du centre de Paris (le Quartier Central des Affaires) et des communes de l’Ouest comme Neuilly, Levallois ou encore La Défense.
Découvrez également dans notre bloc-note
- un point sur la loi Pinel
- l’avancée du projet Grand Paris Express
- les projets tertiaires dans le Quartier Central des Affaires
- l’importance de bien gérer ses données immobilières
Vos bureaux parlent de vous ! L’immobilier met en scène votre culture d’entre...JLL France
- Une analyse dédiée aux entreprises, qui commente les choix qu'elles ont et le niveau des loyers en Ile-de-France
- Une perspective des disponibilités de bureaux
- Une analyse spécifique du secteur de La Défense, qui offre de nombreuses opportunités pour les entreprises
- Une série d’articles thématiques sur l’actualité juridique et fiscale ainsi que sur le Grand Paris.
Panorama de bureaux en région lyonnaise au 1T 2013JLL France
Deux signatures majeures « boostent » le marché locatif
Les grandes transactions sont de retour à Lyon …
… au détriment des transactions intermédiaires qui ont fait défaut en ce début d’année
Lyon intra-muros concentre la quasi-totalité de la demande placée
Stabilité des valeurs malgré quelques réajustements sur certains secteurs
Statu quo pour l’offre disponible
Flash Investissement France au 1er Janvier 2018 - Activité toujours soutenue !
26,1 milliards d’euros investis sur l’ensemble de l’année 2017, un volume légèrement en-dessous de celui de 2016, en baisse de 3% d’une année sur l’autre.
Après un mois de novembre exceptionnel, le volume des transactions réalisées en décembre ne permet pas à l’année 2017 de dépasser le volume total de 2016.
L’activité locative observée toute au long de l’année et l’optimisme des prévisions économiques françaises laissent augurer de belles perspectives sur le marché de l’investissement en 2018 !
Plus d'informations sur notre site internet Cushman & Wakefield
Cushman & Wakefield France.
Marché des bureaux en Ile-de-France au 4ème trimestre 2017 : Meilleur 4ème trismestre de tous les temps !
Paris, le 9 Janvier 2018 – L'année 2017 s'est terminée sur une très bonne performance pour le marché des bureaux en Ile-de-France, avec près de 854 000 m² de surfaces commercialisées, meilleur score de tous les temps pour un 4ème trimestre. Ce résultat vient conforter la dynamique déjà porteuse observée cet automne et permet d'achever l'année 2017 sur un volume de demande placée de l'ordre de 2,6 millions de m², en hausse de 8% par rapport à 2016.
« L'apport des grandes transactions - c'est à dire celles portant sur une surface supérieure à 5 000 m² - aura été crucial; ce segment compte un nombre record de signatures (88 en 2017 à comparer à 65 l'an dernier) pour un total de 1,1 million de m² » indique Magali Marton, Directrice des Etudes de Cushman & Wakefield. « Fait rarissime, les volumes traités au-delà des 5 000 m² égalent quasiment, au 4ème trimestre 2017, la demande placée en-deçà de ce seuil ».
Plus d'information en téléchargeant l'étude ci-dessus.
Cushman & Wakefield France.
Observatoire trendeo de l'emploi et de l'investissement s2 2016Trendeo
Les données Trendeo sur la France pour le 1er semestre 2016, avec un aperçu sur les métropoles, incluant des données sur les startups et levées de fonds.
Observatoire de la FPI - 2ème trimestre 2019Sophie Mazoyer
La FPI regroupant les promoteurs immobiliers de France en logement et en immobilier d'entreprise publie les chiffres du 2ème trimestre 2019 de son Observatoire statistique national, baromètre des indicateurs avancés en logement dans toutes les régions de France, lancé en 2010.
Dernières tendances du marché immobilier T32012 - Logic-immo.com//TNS SofresLICOM_Research
TOUS LES TRIMESTRES, par Logic-immo.com avec TNS Sofres
Vague Octobre 2012
Des taux bas, des prix qui ne grimpent plus et des acquéreurs qui ne se décident toujours pas à acheter…
En dépit des taux bas et du coup de frein sur les prix, les acquéreurs continuent de différer leur achat
immobilier. Explications.
« En 2010, les prix de l’immobilier battaient des records tandis que les ventes étaient en plein essor soutenues par des conditions de crédit exceptionnelles. La fin de l’année 2012 est marquée par un nouveau paradoxe : les taux de crédit sont pratiquement redescendus à leurs niveaux plancher, les prix se sont (enfin) stabilisés, ils baissent même ici et là, et pourtant… les candidats à l’accession ont du mal à passer à l’acte », souligne Stéphanie Pécault, responsable des études Logic-immo.com.
En effet, en octobre 2012, l’indice du moral immobilier s’est maintenu à -11,1 points, c’est-à-dire à un niveau équivalent à celui d’avril et de juillet. En dépit de cette apparente stabilité du moral des acquéreurs, leur perception du marché a néanmoins évolué positivement au fil de l’année 2012.
Depuis janvier 2011, leur opinion sur l’opportunité d’acheter un bien immobilier n’a jamais été aussi favorable : 51% des acquéreurs potentiels pensent que le moment est propice à une acquisition contre seulement 15% d’avis défavorables. Et 58% estiment que les taux d’intérêt sont attractifs contre 24% en début d’année. Seul bémol : les conditions d’octroi de crédit qui semblent difficiles à atteindre pour 56% des futurs propriétaires.
Quels sont les facteurs qui pèsent sur le projet des accédants à la propriété ?
Si les conditions de crédit restent perçues comme difficiles, c’est moins la politique bancaire que la perception de leur situation financière personnelle et les perspectives économiques moroses qui sont en cause. Les candidats à l’accession ressentent, de plus en plus, les effets de la dégradation du contexte économique sur leur situation personnelle. Seuls 16% ont constaté une amélioration de leurs finances au cours des 6 derniers mois et ils sont autant (17%) à avoir ressenti une détérioration. Pour ce qui est des perspectives à venir, ils ne sont guère plus optimistes : 72% d’entre eux prévoient une dégradation du niveau de vie général dans les 6 prochains mois.
A la morosité économique s’ajoute une attente toujours aussi ferme à l’égard d’une baisse des prix. Dans ce contexte, les acquéreurs immobiliers sont incités à différer leur acquisition.
Le contexte économique morose qui pèse sur leur situation financière et l’attente toujours plus ferme
d’une baisse des prix refrènent les acquéreurs, même si, paradoxalement, ils considèrent le moment
propice à l’achat. Rien ne laisse présager un rebond de la demande dans les mois à venir.
Les perspectives immobilières de bureaux pour les entreprisesJLL France
Depuis le début de l’année on remarque que les entreprises démontrent un regain d’appétit pour les marchés traditionnels du centre de Paris (le Quartier Central des Affaires) et des communes de l’Ouest comme Neuilly, Levallois ou encore La Défense.
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Deux signatures majeures « boostent » le marché locatif
Les grandes transactions sont de retour à Lyon …
… au détriment des transactions intermédiaires qui ont fait défaut en ce début d’année
Lyon intra-muros concentre la quasi-totalité de la demande placée
Stabilité des valeurs malgré quelques réajustements sur certains secteurs
Statu quo pour l’offre disponible
Flash Investissement France au 1er Janvier 2018 - Activité toujours soutenue !
26,1 milliards d’euros investis sur l’ensemble de l’année 2017, un volume légèrement en-dessous de celui de 2016, en baisse de 3% d’une année sur l’autre.
Après un mois de novembre exceptionnel, le volume des transactions réalisées en décembre ne permet pas à l’année 2017 de dépasser le volume total de 2016.
L’activité locative observée toute au long de l’année et l’optimisme des prévisions économiques françaises laissent augurer de belles perspectives sur le marché de l’investissement en 2018 !
Plus d'informations sur notre site internet Cushman & Wakefield
Cushman & Wakefield France.
Marché des bureaux en Ile-de-France au 4ème trimestre 2017 : Meilleur 4ème trismestre de tous les temps !
Paris, le 9 Janvier 2018 – L'année 2017 s'est terminée sur une très bonne performance pour le marché des bureaux en Ile-de-France, avec près de 854 000 m² de surfaces commercialisées, meilleur score de tous les temps pour un 4ème trimestre. Ce résultat vient conforter la dynamique déjà porteuse observée cet automne et permet d'achever l'année 2017 sur un volume de demande placée de l'ordre de 2,6 millions de m², en hausse de 8% par rapport à 2016.
« L'apport des grandes transactions - c'est à dire celles portant sur une surface supérieure à 5 000 m² - aura été crucial; ce segment compte un nombre record de signatures (88 en 2017 à comparer à 65 l'an dernier) pour un total de 1,1 million de m² » indique Magali Marton, Directrice des Etudes de Cushman & Wakefield. « Fait rarissime, les volumes traités au-delà des 5 000 m² égalent quasiment, au 4ème trimestre 2017, la demande placée en-deçà de ce seuil ».
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Observatoire trendeo de l'emploi et de l'investissement s2 2016Trendeo
Les données Trendeo sur la France pour le 1er semestre 2016, avec un aperçu sur les métropoles, incluant des données sur les startups et levées de fonds.
Observatoire de la FPI - 2ème trimestre 2019Sophie Mazoyer
La FPI regroupant les promoteurs immobiliers de France en logement et en immobilier d'entreprise publie les chiffres du 2ème trimestre 2019 de son Observatoire statistique national, baromètre des indicateurs avancés en logement dans toutes les régions de France, lancé en 2010.
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Vague Octobre 2012
Des taux bas, des prix qui ne grimpent plus et des acquéreurs qui ne se décident toujours pas à acheter…
En dépit des taux bas et du coup de frein sur les prix, les acquéreurs continuent de différer leur achat
immobilier. Explications.
« En 2010, les prix de l’immobilier battaient des records tandis que les ventes étaient en plein essor soutenues par des conditions de crédit exceptionnelles. La fin de l’année 2012 est marquée par un nouveau paradoxe : les taux de crédit sont pratiquement redescendus à leurs niveaux plancher, les prix se sont (enfin) stabilisés, ils baissent même ici et là, et pourtant… les candidats à l’accession ont du mal à passer à l’acte », souligne Stéphanie Pécault, responsable des études Logic-immo.com.
En effet, en octobre 2012, l’indice du moral immobilier s’est maintenu à -11,1 points, c’est-à-dire à un niveau équivalent à celui d’avril et de juillet. En dépit de cette apparente stabilité du moral des acquéreurs, leur perception du marché a néanmoins évolué positivement au fil de l’année 2012.
Depuis janvier 2011, leur opinion sur l’opportunité d’acheter un bien immobilier n’a jamais été aussi favorable : 51% des acquéreurs potentiels pensent que le moment est propice à une acquisition contre seulement 15% d’avis défavorables. Et 58% estiment que les taux d’intérêt sont attractifs contre 24% en début d’année. Seul bémol : les conditions d’octroi de crédit qui semblent difficiles à atteindre pour 56% des futurs propriétaires.
Quels sont les facteurs qui pèsent sur le projet des accédants à la propriété ?
Si les conditions de crédit restent perçues comme difficiles, c’est moins la politique bancaire que la perception de leur situation financière personnelle et les perspectives économiques moroses qui sont en cause. Les candidats à l’accession ressentent, de plus en plus, les effets de la dégradation du contexte économique sur leur situation personnelle. Seuls 16% ont constaté une amélioration de leurs finances au cours des 6 derniers mois et ils sont autant (17%) à avoir ressenti une détérioration. Pour ce qui est des perspectives à venir, ils ne sont guère plus optimistes : 72% d’entre eux prévoient une dégradation du niveau de vie général dans les 6 prochains mois.
A la morosité économique s’ajoute une attente toujours aussi ferme à l’égard d’une baisse des prix. Dans ce contexte, les acquéreurs immobiliers sont incités à différer leur acquisition.
Le contexte économique morose qui pèse sur leur situation financière et l’attente toujours plus ferme
d’une baisse des prix refrènent les acquéreurs, même si, paradoxalement, ils considèrent le moment
propice à l’achat. Rien ne laisse présager un rebond de la demande dans les mois à venir.
Bilan 2015 et perspectives 2016 du marché immobilier résidentiel françaisMeilleursAgents
Comme chaque année, MeilleursAgents fait la synthèse de l’évolution du marché immobilier à Paris et dans les plus grandes villes de France. Cette synthèse nourrit l’analyse pour comprendre les dynamiques du marché et anticiper les perspectives de l’année 2016.
Étude de marché immobilier de Marbella T3-T4 de 2013Lucas Fox
Chez Lucas Fox, nous travaillons dur afin de pouvoir proportionner à nos clients des informations actualisées et détaillées sur l'achat, la vente et la location de biens résidentiels et commerciaux.
Les nouvelles tendances dans l'immobilier - Etude Ipsos pour OrpiIpsos France
Développement des plateformes d’échanges entre particuliers, du nomadisme et de nouvelles formes d’activité, de la colocation et de nouveaux modes d’hébergement, du grand âge et de la dépendance, les modes de vie évoluent et ces évolutions transforment en profondeur notre rapport au logement. Les pratiques, les attentes et même les moyens utilisés pour trouver un logement ont en quelques années considérablement évolués.
Comment communiquent les spécialistes de l'immobilier sur les réseaux sociauxMarketingZ
Il est loin le temps où nous achetions le journal des petites annonces immobilières pour entourer au feutre le bien de nos rêves… Depuis Internet est passé par là et les réseaux sociaux ont permis d’imaginer de nouvelles expériences digitales.
Mais au fait comment communiquent les spécialistes de l’immobilier sur les réseaux sociaux ? Afin d’apporter des éléments de réponse, nous avons analysé 5 grands acteurs: seloger.com, Century 21, Explorimmo, Logic-Immo, PAP (réseaux d’agences et “pure player”)
Des contenus riches sur Facebook
2 lignes éditoriales se distinguent sur Facebook. La première consiste à traiter de sujets immobiliers accessibles au plus grand nombre. Ici on parle de villas de stars, on publie des photos insolites, et d’autres contenus à fort potentiel viral, parfois même en dehors du secteur de l’immobilier.
SeLoger.com et Logic-Immo ont opté pour cette ligne et cela s’est avéré payant puisque ce sont les 2 pages regroupant le plus de likers avec respectivement 90 000 et 33 000 likers.
La seconde approche éditoriale est presque exclusivement centrée sur le secteur de l’immobilier avec des sujets de fond. Century 21, Explorimmo et PAP échangent autour de l’actualité du secteur, des interviews de professionnels, des règles juridiques à connaitre, des conseils pratiques…
En terme de publication lors des 90 derniers jours, Explorimmo devance PAP avec 75 posts (contre 72 pour l’expert des particuliers) soit plus que Century 21 et Logic-Immo réunis
Des onglets qui renforcent l’affinité à la marque
A l’exception de PAP, les 4 autres pages embarquent des contenus permettant aux likers d’enrichir leur expérience digitale avec la marque. En effet, ils peuvent trouver un bien directement sur Facebook (Century 21 et Logic-Immo), trouver des bons plans autour de chez eux (seLoger.com), voter pour leur quartier (Explorimmo et Logic-Immo), programmer un déménagement via des fonctionnalités sociales (SeLoger.com), se détendre en lisant des BD illustrant des problématiques immobilières (Explorimmo).
Sur Twitter, la stratégie est sensiblement la même pour l’ensemble des acteurs
Tous les professionnels ont la même approche sur le réseau social et relaient l’actualité du secteur de l’immobilier.
Mention spéciale au Community Manager de PAP qui a tweeté et retweeté 238 fois lors des 3 derniers mois. Néanmoins en termes d’interactions, c’est Century 21 qui s’en sort le mieux avec un engagement par tweet de 0.31% (10 fois plus que SeLoger.com premier en nombre de followers)...
Accéder à toute l'étude ici: http://marketingz.fr/reflexion/comment-communiquent-les-specialistes-de-limmobilier-sur-les-reseaux-sociaux/
Portrait économique du secteur de l’immobilierMonimmeuble.com
AGEFOS PME et l’Observatoire de la branche de
l’Immobilier publient le portrait économique des activités immobilières. L’occasion d’analyser l’évolution du secteur depuis la crise qui l’a durement touché.
www.agefos-pme.com
Knight Frank, conseil international en immobilier d'entreprise, présente des analyses du marché locatif par secteur géographique en Île de France. Découvrez notre publication du troisième semestre. Pour plus d'informations sur Knight Frank, rendez-vous sur knightfrank.fr et bureauxkf.fr.
Knight Frank, conseil international en immobilier d'entreprise, présente des analyses du marché locatif par secteur géographique en Île de France. Découvrez notre publication du 3ème trimestre 2017. Pour plus d'informations sur Knight Frank, rendez-vous sur knightfrank.fr et immobilier.knightfrank.fr
Perspectives entreprises en Ile-de-France au 1T 2013JLL France
Des opportunités à saisir pour les entreprises en quête de productivité
Une offre de bureaux à double vitesse
Face à ce marché porteur, les entreprises font massivement le choix de la rationalisation
Demain : dans un contexte toujours chahuté, d’intéressantes opportunités à saisir
Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013. Communication AudéLor ...AudéLor
Le marché des bureaux lorientais a connu un développement important au cours des dernières années. A la demande de Lorient agglomération, AudéLor a mis en place en 2010 un observatoire des bureaux dans le pays de Lorient qui portait sur la situation du marché en 2009. Ce document présente les résultats 2013 de l’observatoire des bureaux n°4.
Son objectif : mieux cerner les caractéristiques du marché et notamment le niveau de tension du rapport offre/demande.
Il s’appuie sur un travail partenarial de l’agence avec Blot Entreprises et Immobilière d’Entreprise.
Le marché locatif en Ile-de-France au 1er trimestre 2014KnightFrankFr
- +19% : l’activité transactionnelle rebondit significativement au 1er trimestre 2014
- Cette hausse ne doit toutefois pas être sur-interprétée : elle constitue avant tout un rattrapage par rapport au mauvais début d’année 2013
- L’activité transactionnelle retrouve des niveaux comparables à ceux observés en 2010 et 2012 et vient crédibiliser nos anticipations d’une demande placée supérieure à 2 millions de m² au terme de l’année ...
• L’offre de bureaux à double vitesse, mais des propriétaires tous très attentifs aux contraintes opérationnelles et financières des locataires ;
• Une baisse encore limitée des loyers de présentation, mais des loyers économiques se négociant nettement en deçà des valeurs faciales ;
• Face à un marché porteur et à l’environnement économique incertain, les choix à la fois prudents et avisés des entreprises : optimisation des surfaces, renégociations des loyers, déménagements au plus proche et/ou dans des immeubles de qualité.
• A l’avenir, dans un contexte toujours chahuté, d’intéressantes opportunités à saisir, compte tenu de l’érosion des loyers faciaux, du niveau des loyers économiques et des mesures d’accompagnement « sur-mesure » que les propriétaires sont prêts à accorder.
Knight Frank, conseil international en immobilier d'entreprise, présente des analyses du marché locatif par secteur géographique en Île de France. Découvrez notre publication du premier semestre. Pour plus d'informations sur Knight Frank, rendez-vous sur knightfrank.fr et bureauxkf.fr.
Le marché immobilier du tertiaire en région lyonnaise - 4T 2012JLL France
Un démarrage dynamique du marché de l’investissement lyonnais en 2013
Une performance solidement construite sur un marché diversifié
Une géographie des transactions non représentative au 1er trimestre
Des acteurs essentiellement nationaux en début d’année
Le déséquilibre entre offre et demande sur le prime provoque une baisse des taux de rendement
Knight Frank, conseil international en immobilier d'entreprise, présente des analyses du marché locatif par secteur géographique en Île de France. Découvrez notre publication du 2ème trimestre 2017. Pour plus d'informations sur Knight Frank, rendez-vous sur knightfrank.fr et immobilier.knightfrank.fr
Pop-Up market Ventes T3 2017
Au 3ème trimestre 2017, le volume placé de bureaux à la vente en Ile-de-France est de 183 300 m², soit une augmentation de 6% par rapport à l'année précédente. La croissance n'est pas équivalente sur tous les secteurs. Paris qui concentre 48% de la surface transactée voit au contraire son volume placé diminuer de 18%.
Des valeurs à la vente constantes pas rapport au trimestre précédent. Des prix de vente qui varient en fonction de la dimension des actifs. Les valeurs des immeubles indépendants d'une surface supérieure à 500 m² étant significativement plus élevées que les surfaces en copropriété ou inférieures à 500 m².
L'offre immédiate recensée sur l'Ile-de-France s'élève à 389 000 m². Si à l'échelle de la région parisienne, cette offre augmente de 2% par rapport à la fin d'année en 2016, elle reste très restreinte sur la Capitale et continue de se contracter (-24 % par rapport à l'année précédente).
L'offre future en Ile-de-France continue de croître avec une hausse de 35% par rapport à la fin d'année 2016. L'offre reste inégale selon les secteurs. Avec 21 400 m² en baisse d'une année sur l'autre, Paris ne représente que 17% du stock total en Ile-de-France. La Première Couronne, et particulièrement le secteur Sud, voit a contrario son stock augmenter considérablement. Elle totalise 44 400 m² soit plus d'un tiers de l'offre à un an à l'échelle de la région. Mais c'est en Deuxième Couronne qu'est localisé l'essentiel de l'offre avec 50 300 m², soit 39% de l'offre annoncée en 2018.
Plus d'informations en téléchargeant l'étude complète.
Cushman & Wakefield
Le marché des bureaux en Ile de-france - Bilan et perspectives 2014JLL France
• La pénurie de grandes transactions et de clés-en-main a fortement impacté la demande placée qui devrait atteindre environ 1,7 million de mètres carrés en fin d’année.
• Le marché de l’investissement devrait de nouveau être un bon cru cette année et atteindre environ 11 milliards d’Euros avec des taux de rendement prime stables à 4,50% dans le QCA.
• La reprise économique devrait progressivement permettre au marché de redémarrer au 2e semestre alors que l’on peut encore attendre une première moitié d’année au ralenti. Sur la totalité de l’année on peut anticiper une activité en légère hausse entre 1,9 et 2,1 millions de mètres carrés.
• Les valeurs locatives resteront sous pression et le marché favorable aux entreprises. Dans le QCA, compte tenu de la baisse déjà actée et du faible niveau de l’offre, le loyer prime devrait rester stable sur l’année.
• Le marché de l’investissement continuera sur sa bonne lancée et devrait entériner entre 10 et 12 milliards d’Euros d’investissements en 2014.
• Son attractivité auprès des investisseurs internationaux et la forte compétition sur les actifs « Core » pourrait amener à une légère compression des taux pour les meilleurs produits.
Similaire à ODI T4 2013 - étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier (20)
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ODI T4 2013 - étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier
1. 1 – Étude Trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier – 2e
trimestre 2013
UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE AU RALENTI
Étude trimestrielle
de Crédit Foncier Immobilier
Direction des Études
4e
trimestre 2013
1,845 million de mètres carrés de bureaux ont été placés en Île-
de-France en 2013. Le constat de fort ralentissement est sans
appel, avec une inflexion de volumes commercialisés de 19 %
par rapport à la moyenne décennale (proche de 2,3 millions de
mètres carrés) et – 21 % sur un an.
Le quatrième trimestre, meilleur que les trois premiers avec
511 700 mètres carrés tertiaires placés (soit – 17 % par rapport
au quatrième trimestre 2012), permet d’atténuer la baisse qui
s’est établie à – 38 % au troisième trimestre sur un an glissant.
L’année 2013 restera marquée par l’essoufflement des grandes
transactions, dont le volume se rétracte de moitié. Ce segment
avait jusqu’ici porté entre 30 % et 40 % de l’activité locative, pour
un nombre limité de signatures (moins de 70 à l’année). Proprié-
taires de leur immobilier (vieillissant) et de leur siège historique
prestigieux il y a encore 15 ou 20 ans, les entreprises du CAC 40
sont aujourd’hui pour la plupart locataires. Une majorité a par ail-
leurs transféré ses activités en proche périphérie parisienne, dans
un souci de modernisation, de regroupement et de rationalisation
de l’outil immobilier, avec des exigences de meilleur rapport qua-
lité/prix (flexibilité des espaces de travail, bonne desserte par les
transports en commun, performance énergétique…). C’est ce mou-
vement de fond, initié il y a dix ans (avec par exemple l’implan-
tation de Generali en 2003 sur le pôle de la Plaine St-Denis), qui
semble se tarir, alors qu’il a contribué à porter le marché dans un
contexte économique difficile.
Autre facteur non négligeable, en 2013, les bailleurs tout autant
que les grands locataires, recherchent davantage de sécurité. Ils
utilisent largement le levier de la renégociation du bail, les uns
pour pérenniser l’occupation de leur immeuble, les autres pour
négocier facilement une réduction de leur loyer.
Autre pan du marché locatif tertiaire fragilisé, cette fois essen-
tiellement à cause du contexte économique et de l’environne-
ment anxiogène, celui des petites surfaces de bureaux de moins
de 500 m2
à 1 000 m2
. Les P.M.E. se sont montrées bien moins
mobiles en 2013, mais continuent d’alimenter le moteur de l’acti-
vité parisienne dans le Q.C.A.
Point de conjoncture bureaux – marché locatif Île-de-France
2013 : le levier des renégociations assèche le niveau de la demande nouvelle
Contexte économique et financier
FRANCE 2010 2011 2012
2013
(chiffres provisoires) (1)
Évolution
sur un an
INDICATEURS ÉCONOMIQUES
PIB 1,4 % 1,7 % 0,0 % 0,2 %
Taux de chômage 9,3 % 9,8 % 10,6 % 10,8 % (2)
Inflation 1,7 % 2,3 % 1,5 % 0,8 % (3)
INDICATEURS FINANCIERS
Taux directeur BCE 1,00 % 1,24 % 0,75 % 0,25 % (4)
Taux Euribor 3 mois France (5)
0,80% 1,40% 0,57% 0,22%
Taux OAT 10 ans France (5)
3,10% 3,33% 2,54% 2,20%
(1) Source : Banque de France – Indicateurs conjoncturels France au 10 janvier 2014.
(2) Donnée Eurostat, cvs à novembre 2013 (Source INSEE - estimations T3 2013 : 10,5 % en France métropolitaine).
(3) IPCH - INSEE novembre 2013 en glissement annuel.
(4) Taux directeur applicable depuis le 13 nov. 2013.
(5) Moyennes annuelles calculées à partir des taux moyens mensuels (source B.D.F.).
ETUDE_TRIMESTRIELLE_4TRI_2013_v2.indd 1 03/03/14 10:21
2. 2 – Étude Trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier – 4e
trimestre 2013
Point de conjoncture bureaux – marché locatif Île-de-France
SYNTHÈSE DES MÉCANISMES ACTUELS DE FONCTIONNEMENT DU MARCHÉ TERTIAIRE
(Source : CFI/données Immostat.)
économie réelle
Moindre consommation
de surfaces
Destruction d’emplois tertiairesCroissance nulle du PIB
UTILISATEURS
BUREAUX
Immobilier :
renégociation loyer
Rationalisation,
réduction coûts fixes, flexibilité
Dégradation des marges,
trésorerie tendue
MARCHÉ LOCATIF
Demande placée
Loyers réels
Sécurité – Moindre mobilité
Rapport de force
favorable au preneur
Essouflement du mouvement
des grands comptes
L’offre immédiate bondit à plus de 3,9 millions
de mètres carrés.
La période de stabilité du stock de bureaux francilien immédiate-
ment disponible est bien révolue : ce dernier bondit de l’ordre de
5 % en trois mois et de près de 10 % en un an. Il s’agit d’un point
haut historique depuis 2001.
La décorrélation s’accentue entre la demande latente, exigeante
et centrée sur l’offre qualitative, et le stock disponible, composé à
plus de 75 % d’immeubles de bureaux anciens, dont l’obsolescence
s’accélère du fait des nouvelles normes de performance énergé-
tique. Mais le calendrier des livraisons de programmes neufs de
taille significative - dont une partie « en blanc » - a aussi contribué
à cette augmentation, malgré la relative prudence des promoteurs.
Loin de trouver son explication dans la tonicité de la demande
placée globale francilienne qui s’étiole, la relative stabilisation de
la part (élevée) de bureaux de seconde main dans le stock est favo-
risée par les initiatives des bailleurs, nombreuses en 2013, pour
éviter les libérations de surfaces. Stratégie de sécurisation et de
maintien dans les lieux que privilégient également les preneurs,
pour éviter les coûteux frais accessoires liés à un déménagement
ou temporiser les choix d’organisation ou de structure qu’implique
le déplacement d’un siège social.
35 %
4 %
34 %
11 %
16 %
RÉPARTITION GÉOGRAPHIQUE DE LA DEMANDE PLACÉE
(Source : CFI/données Immostat)
En 2013 4e
trimestre 2013
37 %
6 %32 %
10 %
15 %
Paris La Défense Croissant Ouest 1re
Couronne 2e
Couronne
RÉPARTITION GÉOGRAPHIQUE DE L’offre immédiate
au QUATRIÈME trimestre 2013 (en m2
)
(Source : CFI/données Immostat)
3000000
2700000
2400000
2100000
1800000
1500000
1200000
900000
600000
300000
0
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
évolution de LA DEMANDE PLACÉE DE BUREAUX (en m2
)
(Source : CFI/IPD – Immostat)
T1 T2 T3 T4 Prévision
0
200000
400000
600000
800000
1000000
1200000
Paris QCA
Paris Sud
La Défense
Première Couronne
Paris Centre Ouest hors QCA
Paris Nord Est
Croissant Ouest
Deuxième Couronne
ETUDE_TRIMESTRIELLE_4TRI_2013_v2.indd 2 03/03/14 10:21
3. 3 – Étude Trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier – 4e
trimestre 2013
2013 : le levier des renégociations assèche le niveau de la demande nouvelle
Analyse par secteurs locatifs
franciliens
PARIS
La capitale tient son rang.
Paris résiste bien comparativement aux autres secteurs, et capte
37 % de la demande placée francilienne (contre 31 % en 2012). Le
recul d’activité locative n’y est que de l’ordre de 4 % sur un an
avec un total de près de 686 000 m2
placés en 2013. La capitale
souffre néanmoins de volumes placés annuels inférieurs de 12 %
à la moyenne décennale, et de 28 % en comparaison de l’excel-
lente année 2011 (proche de 950 000 m2
placés).
Avec 323 000 m2
de bureaux placés en 2013, le Quartier Central
des Affaires (Q.C.A.) capte 47 % de l’activité locative parisienne
et confirme le rebond salutaire enregistré depuis le 2e
trimestre,
limitant ainsi la baisse annuelle à 6,60 %. Toutefois, le quatrième
trimestre s’est révélé bien moins dynamique (95 500 m2
placés)
que la même époque de l’an dernier (– 20 %). Sur deux ans, la
contraction, du même ordre, des volumes annuels du Q.C.A.
traduit bien à la fois la fragilisation des P.M.E. qui animent
l’essentiel de ce secteur phare, mais aussi la baisse de la part des
grandes transactions locatives, qui ont absorbé l’essentiel de la
production d’immeubles neufs ou restructurés.
Paris Sud, deuxième pôle parisien, affiche un volume placé de
154 500 m2
en 2013, performance divisée par deux par rapport à
2011, et en retrait de 10 % sur un an. L’absence de grandes tran-
sactions sur Paris Rive Gauche ou dans le 15e
arrondissement,
qui avaient caractérisé ce secteur parisien en 2010 et 2011, pèse
évidemment sur la performance annuelle.
En revanche, le secteur de Paris Centre Ouest voit claire-
ment son activité croître d’année en année. Avec un peu plus de
123 000 m2
de bureaux placés en 2013 contre 84 000 m2
en 2012,
ce score locatif est synonyme de hausse en volume de 46 % sur
un an et 34 % sur deux ans.
Le secteur de Paris Nord-Est, au stock tertiaire hétérogène,
s’inscrit toujours dans une tendance baissière de – 25 % sur un
an et de – 15 % par rapport à la moyenne décennale (85 000 m2
de bureaux placés en 2013 dont plus de 40 % placés en début
d’année).
Dans la capitale, le stock immédiat à fin 2013 remonte à
803 000 m2
, soit une hausse de 8 % sur un an, après neuf mois de
stabilité. La moindre consommation de bureaux au quatrième tri-
mestre et la mise sur le marché de surfaces nouvelles expliquent
ce bond de 10 % sur le dernier trimestre, qui, fait notable, atteint
près de 15 % dans le Quartier Central des Affaires. Ainsi, le bilan
de l’année 2013 reste-t-il mitigé du fait de variations trimestrielles
saccadées, traduisant un marché locatif hésitant face à des incer-
titudes économiques persistantes.
Base : offre immédiate au quatrième trimestre 2013 rapportée à la demande
placée annuelle 2013.
ÎLE-DE-FRANCE : OFFRE EXPRIMÉE EN ANNÉES
DE PLACEMENT LOCATIF
(Source : CFI)
1,17Paris intra-muros
La Défense
Croissant Ouest
1re
Couronne
2e
Couronne
3,76
1,86
2,85
3,97
PARIS : LA demande placée DE BUREAUX EN 2013
(en m2
, par secteur)
(Source : CFI/données Immostat)
Paris Q.C.A. Paris
Centre
Paris Sud Paris
Nord-Est
0
50000
100000
150000
200000
250000
300000
350000
2013 - T4
2013 - T3
2013 - T2
2013 - T1
ETUDE_TRIMESTRIELLE_4TRI_2013_v2.indd 3 03/03/14 10:21
4. 4 – Étude Trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier – 4e
trimestre 2013
Point de conjoncture bureaux – marché locatif Île-de-France
LA DÉFENSE
La fin 2013 entame l’espoir d’un vent de reprise
sur le marché locatif.
Les mauvais scores se succèdent sur le pôle d’affaires embléma-
tique des tours de 50 000 m2
à 80 000 m2
l’unité. Pourtant, l’ambi-
tion du Plan de Renouveau de La Défense est de proposer aux
entreprises du CAC 40 des plateaux modernes, plus flexibles et
surtout plus économes en charges.
Le volume, en reprise de 50 % au troisième trimestre, avait insuf-
flé un vent d’optimisme. Mais au final, avec seulement 17 800 m2
placés, l’atonie du quatrième trimestre traduit bien la difficulté
de ce micro-marché à susciter l’essor d’une nouvelle demande,
exogène. En effet, la plupart des transactions récentes sont
signées d’utilisateurs déjà présents sur La Défense. ERDF, déjà
très présent à La Défense avec sa tour emblématique, a pris à bail
les 30 000 m2
de la tour Blanche, et quittera les surfaces louées
dans la tour Winterthur, rebaptisée W.
Ainsi, le bilan 2013 marque-t-il un nouveau point bas dans la
demande placée : 106 700 m2
contre 161 200 m2
en 2012, soit – 34 %
sur un an, et – 43 % par rapport à la moyenne décennale (2003-
2012) qui s’établit à 189 000 m2
.
LA DÉFENSE ET CROISSANT OUEST :
TENDANCE HISTORIQUE DE LA DEMANDE PLACÉE
ANNUELLE DE BUREAUX (en m2
)
(Source : CFI/données Immostat)
La Défense
Croissant Ouest
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
0
100 000
200 000
300 000
400 000
500 000
600 000
700 000
Sur un an, l’offre immédiatement disponible progresse de
11 % dans ce secteur, proposant essentiellement des petites et
moyennes surfaces, tandis que Paris Centre Ouest, portée par
la demande de surfaces intermédiaires comprises entre 1 000 et
5 000 m2
, affiche un stock en augmentation de 15 %, dont des
immeubles rénovés par leur propriétaire.
Paradoxalement, la position de relative maîtrise de l’offre pari-
sienne, qui représente un peu plus d’un an de placement locatif,
pourrait pénaliser ce secteur phare à terme, du fait d’une pénurie
d’offre neuve ou restructurée. En effet, l’offre, composée majo-
ritairement de locaux haussmanniens, s’écarte peu à peu de la
demande des grands utilisateurs, recherchant de grands espaces
de travail rationnels et horizontaux.
paris : une offre de bureaux maîtrisée
(en année de placement locatif)
(Source : CFI)
1,17
Paris intra-muros
Paris Nord-Est
Paris Sud
Paris Centre Ouest
Paris Q.C.A.
1,40
1,16
1,02
1,17
Base : offre immédiate au quatrième trimestre 2013 rapportée à la demande
placée annuelle 2013.
ETUDE_TRIMESTRIELLE_4TRI_2013_v2.indd 4 03/03/14 10:21
5. 5 – Étude Trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier – 4e
trimestre 2013
2013 : le levier des renégociations assèche le niveau de la demande nouvelle
Il est vrai que l’appétence des grands utilisateurs pour le for-
mat horizontal de « campus », et la forte concurrence du Crois-
sant Ouest voisin, plus attractif en termes de loyers, rendent les
conditions de commercialisation difficiles sur le secteur de La
Défense. Et elles sont encore aggravées par la livraison program-
mée d’une abondante production « en blanc » dans le cadre du
plan de renouveau, décidé en 2006 (période d’euphorie du mar-
ché). Détail révélateur, Icade présente sa tour Eqho (78 000 m2
),
qui vient d’être livrée, comme le « premier campus vertical »,
tandis que Carpe Diem, certifiée Leed Platinum, est toujours
sur le marché (environ 44 000 m2
). En 2014, sont attendues les
tours Majunga (63 000 m2
), D2 (45 000 m2
), Chartis (23 000 m2
) et
Athéna (env. 33 000 m2
).
Dans ce contexte, l’offre immédiate a quasiment doublé en un
an (401 000 m2
fin 2013 contre 209 000 m2
fin 2012) pour atteindre
près de quatre ans de placement locatif. Et la vraie problématique
pour les bailleurs porte à la fois sur les délais et le coût de por-
tage, l’adaptation des conditions de loyer rendue impérative, et
les scénarios de retour sur investissement qui s’éloignent.
CROISSANT OUEST
Une demande soutenue mais une offre toujours
plus importante.
Grand pourvoyeur de très grandes surfaces neuves à loyers attrac-
tifs, le Croissant Ouest s’affiche définitivement comme deuxième
secteur francilien après Paris, avec 32 % des signatures locatives
de l’Île-de-France en 2013. Les volumes placés de bureaux, soit
588 400 m2
, y sont même en progression de 16 % sur un an et de
14 % par rapport à la moyenne décennale (515 200 m2
).
Mais l’essor du Croissant Ouest s’est surtout réalisé au travers
d’une production neuve abondante et ce secteur, hétérogène au
plan de l’image tertiaire, prend depuis le quatrième trimestre
la tête des secteurs les plus offreurs d’Île-de-France. Dépassant
désormais la Deuxième Couronne, le stock immédiat y a qua-
siment doublé en dix ans pour atteindre 1,093 million de m2
à
fin 2013, essentiellement sur la Boucle Nord et à Péri-Défense.
Ce qui pose surtout question, c’est la poursuite de la production
neuve, puisqu’environ 137 000 m2
, non commercialisés à ce jour,
sont en chantier ou vont sortir de terre d’ici 2014.
PREMIÈRE COURONNE
Une chute libre comparée à la dynamique de 2012.
Grand secteur phare de 2012 avec 512 400 m2
placés, ce secteur
voit son volume divisé par près de trois en un an et ne tota-
lise que 190 000 m2
loués en 2013. Ce décrochage marque la plus
mauvaise année en douze ans, à comparer à la moyenne décen-
nale 2003-2012 de 363 500 m2
.
Base : offre immédiate au quatrième trimestre 2013 rapportée à la demande
placée annuelle 2013.
PREMIÈRE couronne : offre exprimée en années
de placement locatif
(Source : CFI)
2,60
1re
Couronne Sud
1re
Couronne Est
1re
Couronne Nord 2,56
2,851re
Couronne
3,43
Base : offre immédiate au quatrième trimestre 2013 rapportée à la demande
placée annuelle 2013.
croissant ouest : offre exprimée en années
de placement locatif
(Source : CFI)
2,73
Boucle Nord
Péri-Défense
Boucle Sud
Neuilly – Levallois
1,39
1,11
1,86Croissant Ouest
2,56
ETUDE_TRIMESTRIELLE_4TRI_2013_v2.indd 5 03/03/14 10:21
6. 6 – Étude Trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier – 4e
trimestre 2013
Point de conjoncture bureaux – marché locatif Île-de-France
L’essoufflement des très grandes transactions n’y est certes pas
étranger, aboutissant par exemple à la division par quatre des
volumes placés 2013 en Première Couronne Sud (62 000 m2
contre
256 000 m2
en 2012). Mais l’une des signatures phares de clé-en-
mains en 2013 restera la décision d’implantation d’Orange sur
l’éco-campus de Châtillon qui développera 71 000 m2
, alors que
peu d’opérations de ce type ont vu le jour l’an dernier.
L’activité en première couronne Est, toujours limitée, s’est concen-
trée essentiellement sur le troisième trimestre qui a totalisé
25 400 m2
placés sur un total annuel de 39 000 m2
en 2013 (– 12 %).
Cette contraction des volumes locatifs s’observe aussi au Nord
de la Première Couronne, avec un score 2013 de 80 000 m2
,
amputé de plus de la moitié par rapport à l’excellente année 2012
(211 000 m2
).
Côté offre, l’effet conjugué de repli de la demande placée et la
mise sur le marché de surfaces nouvelles (comme Area Prima,
23 000 m2
, à Châtillon) a pour effet de porter le stock immédiat à
2,85 années de placement locatif, contre 1,23 année à fin 2012.
DEUXIÈME COURONNE
La deuxième couronne dévisse de 37 % en un an.
Symbole d’un marché locatif difficile et d’une fragilisation des
P.M.E., les volumes de bureaux placés sont au plus bas avec seu-
lement 273 500 m2
de bureaux placés en 2013 contre 435 000 m2
en 2012 (soit – 37 %), activité très en-deçà de la moyenne décen-
nale (426 700 m2
).
Malgré cette performance, la plus mauvaise en douze ans, le stock
immédiat, toujours très significatif de 1 085 000 m2
, s’est légère-
ment résorbé de 3,38 % sur un an glissant. L’offre immédiate y
représente ainsi 28 % du total disponible francilien, part équiva-
lente à celle du Croissant Ouest.
Deux secteurs sont très nettement suroffreurs et doivent faire
l’objet d’une vigilance particulière : en premier lieu Roissy dont le
stock disponible correspond désormais à plus de 8 ans de place-
ment locatif, et Marne-la-Vallée, en très légère décroissance mais
qui représente encore 5 ans et demi de placement locatif 2013.
Et loin de concourir à l’absorption de l’offre, les méga-transac-
tions de campus clé-en-mains signées en 2012 par de grands
groupes industriels libèreront d’importantes surfaces de seconde
main pour regrouper leurs entités.
deuxième couronne : offre exprimée en années
de placement locatif
(Source : CFI)
3,97
2e
Couronne
4,44
3,30
2,93
5,52
2e
Couronne
Sud
Saint-
Quentin-en-
Yvelines
Marne-la-
Vallée
Pôle
de Roissy
8,42
Reste 2e
Couronne
Base : offre immédiate au quatrième trimestre 2013 rapportée à la demande
placée annuelle 2013.
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9
PREMIÈRE et DEUXIÈME couronnes : TENDANCE
HISTORIQUE DE LA DEMANDE PLACÉE ANNUELLE (en m2
)
(Source : CFI/données Immostat)
1re
Couronne
2e
Couronne
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
0
100 000
200 000
300 000
400 000
500 000
600 000
ETUDE_TRIMESTRIELLE_4TRI_2013_v2.indd 6 03/03/14 10:21
7. 7 – Étude Trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier – 4e
trimestre 2013
2013 : le levier des renégociations assèche le niveau de la demande nouvelle
ÉVOLUTION DES LOYERS moyens en île-de-france
au TROISIÈME trimestre 2013 (€/m²/an HT HC)
(Source : CFI)
Décote calculée entre loyers faciaux
et loyers réels (bureaux > 1 000 m2
)
(Source : CFI)
PREMIÈRE COURONNE
DEUXIÈME COURONNE
CROISSANT OUEST
LA DÉFENSE
PARIS CENTRE OUEST
PARIS Q.C.A.
223 € – 2,62 %
PARIS NORD-EST
299 € + 0,34 %
285 € 0 %
387 € – 6,07 %
392 € – 0,76 %
514 € – 2,47 %
PARIS SUD
404€ – 0,49 %
135 € – 8,16 %
PREMIÈRE COURONNE
DEUXIÈME COURONNE
CROISSANT OUEST
PARIS
– 7% à – 25%
– 8% à – 24%
– 8% à – 15%
– 9% à – 25%
LA DÉFENSE
– 12% à – 18%
ÉVOLUTION DES LOYERS
Les conditions de marché plus difficiles ont exercé en 2013 une
pression baissière sur les loyers faciaux franciliens, qui se replient
à la marge de 2,50 % sur un an.
Signe d’une dégradation notable, la plus forte baisse (– 8.16 %)
porte pourtant sur le loyer moyen le plus bas de l’Île-de-France,
celui de la Deuxième Couronne qui passe de 147 €/m2
/an à fin
2012 à 135€/m2
/an. Sur le marché suroffreur de La Défense, le
loyer facial moyen de 387 €/m2
/an contre 412 €/m2
/an un an plus
tôt s’inscrit en baisse de 6 %.
Le recul des niveaux de loyers, une fois corrigés des « mesures
d’accompagnement » (remises de loyers stipulées dans les baux),
est en réalité bien plus important. En effet, les négociations ou
renégociations de bail sont actuellement toujours plus favorables
aux locataires, en particulier les grands comptes. L’une des plus
grosses transactions 2013 de Paris Q.C.A. l’a bien illustré au tra-
vers de la prise à bail du 6/8 boulevard Haussmann (Paris 8) par
la Banque Publique d’investissement (BPI). Le loyer révélé de
630 €/m2
/an, facial, s’élèverait à 480 €/m2
en loyer économique,
soit un écart de 24 %...
Sur un marché de moins en moins transparent, la variation des loyers
faciaux ne constitue pas un indicateur fiable susceptible d’être utilisé
sans retraitement. À partir de ce constat, Crédit Foncier Immobilier
réalise depuis 2012 une analyse statistique des baux commerciaux les
plus récents étudiés par Crédit Foncier Expertise. La carte restitue
les écarts significatifs entre les loyers moyens affichés et les diverses
mesures d’accompagnement consenties aux locataires.
À partir de l’analyse statistique des baux commerciaux les plus
récents étudiés par Crédit Foncier Expertise depuis 2012.
Variation des loyers moyens : base quatrième trimestre 2013 com-
paré au quatrième trimestre 2012.
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