VP1 - Toulouse terre de rugby : un puissant marqueur du territoire
ForumCapCom2019_AC1_TendancesGraphiques
1. Bruno Lafosse, directeur général de l’agence Boréal
Franck Tallon, graphiste et directeur artistique de
Bordeaux métropole
Atelier animé par :
Séverine Adam, dircom d’Épernay Agglo Champagne
Percevoir les tendances
graphiques qui se dessinent
ATELIER DÉCRYPTAGE
2. Finie la multiplication des couleurs, on se
recentre sur l’essentiel avec des signes
graphiques qui, enfin, ne disent plus tout !
Le dépouillement est à l’œuvre : Ville de Paris,
Maif, Nervers, La Nièvre, le Département d’Eure
et Loir…
France Info a montré la voie : deux points qui
signent l’identité visuelle et l’habillage télé avec
beaucoup d’efficacité ou encore change.org
Faire simple : tendance
lourde ou effet de mode?
3.
4.
5. Tout va plus vite. Nos yeux et notre cerveau sont bombardés de
messages visuels. Comment accrocher le regard ?
Les modes d’écritures changent et imposent de resserrer
les messages.
Tout se complexifie : l’usager a besoin qu’on décrypte
et qu’on simplifie le message.
La miniaturisation nous gagne. On est passé
de la campagne 4X3 à l’écran de smartphone.
Faire simple : une obligation
?
6.
7. La simplification est exigeante. Elle impose une réflexion
approfondie pour trouver la force du symbole qui caractérise
l’émetteur et le message au premier coup d’œil.
La polysémie, c’est le graal, mais elle ne se décrète pas : elle se vit
en laissant à chacun la possibilité d’interpréter
le message.
Nos signes complexes qui nécessitent un discours d’auto-
justification sont dépassés.
Faire simple : tout
sauf simple !
8.
9.
10. Les nouvelles formes d’engagement citoyens bousculent
les pouvoirs en place, y compris celui des communicants publics.
On trouve sur les réseaux et dans la rue, une grande capacité à
inventer des signes et des campagnes sur des modes très simples.
Faire simple, cela passe aussi par le détournement d’objets
courants type gilet jaune.
Faire simple : les leçons
de la rue et des réseaux