Document de présentation projeté le 11 Juin 2016 pour la formation en monétique, sur le thème: Comment créer de la richesse et de la valeur ajoutée par le biais de la monétique?
Sainte Jeanne d'Arc, patronne de la France 1412-1431.pptx
Formation sur la monétique
1. MONETIQUE
ONG Regina Caeli COTONOU
Téléphone: 00229 21 15 19 34 - E-mail: contact@ongreginacaeli.org - www.ongreginacaeli.org
2. ONG Regina Caeli
PLAN DE PRESENTATION
I- Monétique et monnaie électronique
1- Définition Monétique
2- Définition Monnaie Electronique
II- Activité paiement
1- Principaux flux « Paiement »
2- Commerce en ligne
3- Monter son projet de ‘‘e-commerce’’
Nos contacts
3. I- Monétique et monnaie électronique
1- Définition Monétique
Un concept initial : Il est apparu dès les années 1980 et
désigne l'ensemble des techniques électroniques,
informatiques et télématiques nécessaires à la gestion des
cartes bancaires ainsi que des transactions associées.
4. I- Monétique et monnaie électronique
1- Définition Monétique (suite)
Différence avec le modèle anglophone qui parle plutôt de
« PaymentCardIndustry ».
Notion transversale qui se retrouve à l'intersection de plusieurs domaines de
compétence : l'économie, le bancaire, l'informatique et les réseaux.
Evolution du concept : La monétique est l'ensemble des technologies mises
en œuvre pour l'utilisation des cartes bancaires.
5. I- Monétique et monnaie électronique
1- Définition Monétique (suite)
Cela permet les échanges d'argent de manière dématérialisée.
La monétique regroupe les domaines :
- de création des cartes et leur personnalisation
- les systèmes temps réel permettant l'usage des cartes
- le matériel acceptant les cartes (automates bancaires, terminaux de
paiement électroniques.
6. I- Monétique et monnaie électronique
1- Définition Monétique (suite et fin)
- les systèmes de traitement des transactions (compensation)
La monétique ne concerne pas uniquement le monde bancaire. On
parle aussi de monétique dans d'autres milieux d'applications.
Comme par exemple : téléphonie, transport, etc…
7. Terminal de paiement électronique
(T.P.E.)
Glossaire :
Un terminal de paiement électronique est un boitier qui permet :
de saisir le montant d'une transaction bancaire, d'introduire une carte
de paiement, d'en lire les informations, d'en vérifier la validité, de
saisir le code confidentiel et d'enregistrer la transaction. Ce boitier est
portable et peut posséder d'autres accessoires.
9. Distributeur Automatique de billet
(D.A.B.)
Distributeur Automatique de Billet (D.A.B.)
C'est un automate qui permet de lire une carte de paiement et de
retirer des espèces. Le montant sera retiré du compte du porteur.
11. Distributeur Automatique de billet
(D.A.B.)
Porteur
Personne physique qui porte le moyen de paiement
électronique.
Accepteur
Personne physique ou morale qui accepte le moyen de
paiement grâce à l'utilisation d'un système accepteur.
12. Distributeur Automatique de billet
(D.A.B.)
Emetteur
Organisme financier ou assimilé qui émet le moyen de
paiement.
Acquéreur
Organisme financier ou assimilé qui récupère les données
de la transaction bancaire.
13. Définition monnaie électronique
Qu'est-ce que la monnaie électronique ?
La monnaie électronique est l'équivalent numérique de
l'argent liquide (pièces et billets).
Nous pouvons en donner une définition suivante : "C'est
une valeur monétaire qui est stockée sous une forme
électronique, y compris magnétique...".
14. Définition monnaie électronique (suite)
Concrètement, cette monnaie peut être stockée :
• sur un support électronique de type carte à piste, carte à puce
ou téléphone mobile
• ou à distance sur un serveur, via un compte en ligne.
Le support électronique stocke directement la somme
d'argent et n'est pas lié à un compte bancaire. Par
conséquent, vous n’avez pas besoin de donner des
instructions à votre banquier ni de prélever les sommes sur
votre compte bancaire pour utiliser ce moyen de de paiement.
15. Définition monnaie électronique (suite)
Les unités de monnaie électronique sont transférées
directement du porte-monnaie électronique du client à la caisse
du commerçant.
Dans la zone UEMOA, la définition actuellement admise est en
vigueur depuis le 21 Mai 2015 sous le numéro N°008-05-2015
qui stipule : « une valeur monétaire représentant une créance
sur l’émetteur qui est :
16. Définition monnaie électronique (suite
et fin)
Stockée sous forme électronique, y compris magnétique (extension
à tous les usages de la monnaie électronique quelque soit le
support, notamment carte, internet, téléphone)
Emise sans délai contre remise de fonds d’un montant qui n’est pas
inférieur à la valeur monétaire émise
Et acceptée comme moyen de paiement par des personnes
physiques ou morales autres que l’émetteur.
17. II- ACTIVITE PAIEMENT
1- Principaux flux « Paiement »
A- Flux d’une transaction de paiement en ligne (achat sur
internet)
20. II- ACTIVITE PAIEMENT (suite)
Le commerçant saisi sur le Terminal de paiement électronique (TPE)
le montant de la transaction et insère la carte.
Le TPE fait des vérifications sur la carte. Il lit principalement le PAN :
Permanent AccountNumber. En cas d'impossibilité de lecture, la
carte est dite muette par le terminal de paiement.
Le porteur saisie son code pin. En cas de trois essais, sa carte peut
être confisquée et bloquée. Le commerçant peut toutefois forcer la
transaction mais, il n’est pas garanti sur la transaction.
21. II- ACTIVITE PAIEMENT (suite et fin)
A cette étape, il peut y avoir une demande d'autorisation.
Lorsque la demande d’autorisation est acceptée, le TPE enregistre
la transaction dans un fichier.
On imprime les deux tickets clients et commerçants.
La transaction est terminée.
22. COMMERCE EN LIGNE
Point de départ : Quand ? Comment ? Pourquoi ?
On appelle « Commerce électronique » (ou e-Commerce)
l'utilisation d'un média électronique pour la réalisation de
transactions commerciales. La plupart du temps il s'agit de la
vente de produits à travers le réseau internet, mais le terme
de eCommerce englobe aussi les mécanismes d'achat par
internet (pour le B-To-B).
23. COMMERCE EN LIGNE (suite)
Notions générales :
Le client effectuant des achats sur internet est
appelé cyberconsommateur. Le e-Commerce ne se limite pas à la
seule vente en ligne, mais englobe également :
La réalisation de devis en ligne
Le conseil aux utilisateurs
La mise à disposition d'un catalogue électronique
Un plan d'accès aux points de vente
24. COMMERCE EN LIGNE (suite)
La gestion en temps réel de la disponibilité des produits (stocks)
Le paiement en ligne
Le suivi de la livraison
Le service après-vente
Le commerce électronique permet en général de disposer
de son achat dans un temps très court voire instantané
(toutefois cela dépend de l’activité).
25. COMMERCE EN LIGNE (suite)
La plupart des sites de commerce électronique sont des boutiques en
ligne comprenant a minima les éléments suivants:
Un catalogue électronique en ligne, présentant l'ensemble des
produits disponible à la vente, leur prix et parfois leur disponibilité
(produit en stock ou nombre de jour avant livraison);
Un moteur de recherche permettant de trouver facilement un produit à
l'aide de critères de recherche (marque, gamme de prix, mot clé, ...) ;
26. COMMERCE EN LIGNE (suite)
Un système de caddie virtuel (appelé parfois panier virtuel) : il s'agit du
coeur du système de e-commerce. Le caddie virtuel permet de
conserver la trace des achats du client tout au long de son parcours et
de modifier les quantités pour chaque référence ;
Le paiement sécurisé en ligne (accounting) est souvent assuré par un
tiers de confiance (une banque) via une transaction sécurisée ;
Un système de suivi des commandes, permettant de suivre le
processus de traitement de la commande et parfois d'obtenir des
éléments d'information sur la prise en charge du colis par le
transporteur.
27. COMMERCE EN LIGNE (suite et fin)
Un système de front-office back office permet au commerçant en
ligne d'organiser son offre en ligne, de modifier les prix, d'ajouter ou
de retirer des références de produits ainsi que d'administrer et de
gérer les commandes des clients.
Lecture vidéo
Quelques exemples de sites e-commerces les plus populaires
(Partie Interactive)
29. I- Murir son idée: créer une boutique
en ligne ne se décide pas sur un coup
de tête
Peser le pour et le contre : réaliser une étude de marché pour
votre e-boutique
Choix du business-model pour votre site marchand
Les conclusions que vous aurez pu tirer de votre étude
vous permettront de tester le potentiel de réussite de votre
projet de création de boutique en ligne et éventuellement
de l’ajuster en fonction des résultats obtenus.
30. I- Murir son idée: créer une boutique
en ligne ne se décide pas sur un coup
de tête (suite et fin)
Vous aurez également quelques pistes quant aux
possibilités d’évolution de votre eboutique dans le temps :
sera-t-elle pérenne ? Y’a-t-il des risques de banqueroute ?
Ou à l’inverse un fort potentiel d’expansion dans les
années qui viennent ?
31. II- La phase de réalisation : Design, conception et configuration
de votre site marchand
III- Référencement de votre site
marchand: Une étape essentielle
32. IV- Organisation : Les équipes, les aspects juridiques,
logistiques, marketing , gestion de la relation client, et
promotion du site.
(Projection vidéo si le temps le permet)
33. EN RESUME
Seul ou accompagné, Voici ce dont vous allez avoir besoin pour
créer votre site de vente en ligne:
Un ou des produits. Fabrication maison? Accord avec le
fournisseur déjà opérationnel?
Des photos des produits. C’est souvent l’écueil. Vous pouvez vous
faire aider d’un photographe professionnel ou vous en sortir tout
seul. Voici un exemple de photo produit faite avec une lightbox
maison (coût: 24.000 CFA, 1 heure de montage). Il faudra louer un
appareil photo avec un objectif macro mais en une journée vous
devriez avoir tout ce dont vous avez besoin.
34.
35. 3)Vos descriptions et prix.
4)Des packagings pour envoyer vos produits.
5)La création d’une entreprise mais pas forcement.
6)La préparation des pages légales de votre site.
7)Un nom de domaine: exemple: mesmontresmaison.com
8)Un hébergement pour votre site internet, qui vous permettra
d’avoir des boites email pro.
Et enfin mais surtout : un site! Et oui on allait l’oublier celui-là.