Introduction (1e partie) du cours "e-commerce" présenté à HEC-Ecole de gestion de l'Université de Liège, la Haute Ecole de la Province de liège et à l'Université de Strasbourg.
Formation échiquéenne jwhyCHESS, parallèle avec la planification de projet
Cours 'E-Commerce' - partie 1
1. Damien JACOB @retis damien@retis.be
Formateur et consultant en e-Business & e-Commerce, agréé ‘RENTIC’
Professeur invité à HEC – Ecole de gestion de l’Université de Liège,
à la HEPL, à la Haute Ecole Provinciale du Hainaut – Cordorcet et à l’Université de Strasbourg
E-‐Commerce:
Etat
des
lieux
° retis
www.retis.be VENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
2. Catalogue des présenta0ons proposées
par RETIS
• E-‐Commerce
:
Etat
des
lieux
en
Belgique
• E-‐Commerce
:
Sta8s8ques
sur
les
usages
• Pourquoi
vendre
en
ligne
?
Qui
sont
les
e-‐
commerçants
?
• E-‐Commerce
:
les
facteurs
de
réussite
• L’e-‐Commerce
n’est
pas
un
eldorado
!
• E-‐Commerce
BtoB
• Le
commerce
connecté
:
store-‐to-‐digital
et
digital-‐
in-‐store
• E-‐commerce
:
les
étapes
pour
lancer
son
projet
• E-‐commerce
:
Bien
définir
son
posi8onnement
stratégique
et
son
plan
financier
• E-‐Commerce
:
aFrer
des
visiteurs
sur
son
site
• E-‐commerce
:
séduire
l’internaute
et
l’inciter
à
meHre
dans
le
panier
• E-‐Commerce
:
rassurer
et
conver8r
l’internaute
en
client
• E-‐Commerce
:
Bien
servir
le
client
et
le
fidéliser
• E-‐Commerce
:
Bien
choisir
un
nom
de
domaine
• E-‐Commerce
:
Bien
choisir
un
prestataire
web
• E-‐Commerce
:
Bien
choisir
une
plateforme
de
vente
en
ligne
• E-‐Commerce
:
Etablir
un
cahier
des
charges
• E-‐Commerce
:
Bien
choisir
les
moyens
de
paiement
et
les
prestataires
• E-‐Commerce:
Bien
choisir
les
moyens
de
livraison
et
les
prestataires
• E-‐Commerce
:
Se
préparer
au
lancement
• Réglementa8on
e-‐commerce
en
Belgique
• Développer
l’e-‐Commerce
à
l’interna8onal
Plusieurs
présenta7ons
sont
disponibles
en
libre
accès
sur
www.prospec7c.net.
Elles
peuvent
aussi
être
obtenues
auprès
de
go@re7s.be
° retis
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3. Ac0vités
• Consultant
indépendant
en
e-‐commerce
et
e-‐
marke7ng,
en
BE
et
FR
• Agréé
• Auteur
de
• 8
charges
de
cours
à
° retis
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5. PLAN
1)
Bien
se
posi7onner
en
ligne
• L’e-‐commerce:
état
des
lieux
Ø Sta8s8ques
Ø Pourquoi
vendre
en
ligne
?
Ø Les
acteurs
de
l’e-‐commerce
Ø Facteurs
de
succès
• Méthodologie
pour
bien
se
posi7onner
et
définir
sa
stratégie
commerciale
en
ligne
Ø Etude
d’opportunité
Ø Diagnos8c
de
l’entreprise
Ø Iden8fica8on
du
Business
Model
Ø Moyens
humains
et
financiers
1. Bien
se
posi7onner
en
ligne
2. Etablir
une
tac7que
commerciale
3. Faire
les
bons
choix
de
prestataires
et
solu7ons
4. Bien
s’organiser
et
gérer
la
croissance
5. Aspects
réglementaires
6. L’e-‐commerce:
plus une évolu0on qu’une
révolu0on
° retis
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7. • Bou7que
spécialisée
• Grand
magasin
Ø Tout
en
un
lieu
• Supermarché
Ø Self-‐service
• Hypermarché
Ø Autour
des
centres
urbains
è
Shopping
Centers
• Hard-‐discount
• Category
Killers
Ø Une
catégorie
à
fond
(ex:
Premaman,
Maxitoys,
Decathlon)
• E-‐Commerce
!
«
commerce
connecté
»
(?)
Source:
Claude
Boffa
(ICHEC-‐Entreprises)
Historique : les grandes phases d’évolu0on
du commerce de détail
° retis
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10. Canal d’achat selon les produits
Source:
Enquête
2014
de
la
fédéra7on
Comeos
11. Subs0tu0on offline à online
Enquête réalisée par Insites Consulting pour Comeos (2012)° retis
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13. Source:
Etude
«
Consommateur
connecté
-‐
PWC
–
Monde
–
Nov
2014
14. Un
même
consommateur,
peut,
selon
le
contexte,
le
type
de
produit,…,
avoir
ces
4
comportements
:
1. «
full
store
»:
se
renseigne
et
achète
en
magasin
2. «
full
digital
»:
se
renseigne
et
achète
en
ligne
3. «
ROPO
»:
se
renseigne
en
ligne
et
achète
en
magasin
4. «
showrooming
»:
se
renseigne
en
magasin
et
achète
en
ligne
(en
rentrant
chez
lui,
ou
vis
son
smartphone…
dans
le
magasin)
4 comportements possibles
° retis
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15. Un
même
consommateur,
peut,
selon
le
contexte,
le
type
de
produit,…,
avoir
ces
4
comportements
:
1. «
full
store
»:
se
renseigne
et
achète
en
magasin
2. «
full
digital
»:
se
renseigne
et
achète
en
ligne
3. «
ROPO
»:
se
renseigne
en
ligne
et
achète
en
magasin
4. «
showrooming
»:
se
renseigne
en
magasin
et
achète
en
ligne
(en
rentrant
chez
lui,
ou
vis
son
smartphone…
dans
le
magasin)
4 comportements possibles
° retis
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16. Marché
Etat des lieux de la vente en ligne
1) SUR LE PLAN QUANTITATIF
2) SUR LE PLAN QUALITATIF
° retis
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17. Sources
sta0s0ques
u0lisées
• USA
Ø Département
du
Commerce
• Europe
et
comparaison
entre
Etats
membres
Ø Eurostat
(UE)
Ø Fédéra8on
Ecommerce
Europe
• Belgique:
Ø SPF
Economie
Ø Fédéra8on
Comeos
Ø Fédéra8on
BeCommerce
Ø Agence
Wallonne
des
Télécommunica8ons
• France
Ø FEVAD
• Luxembourg
Ø Statec
18. L’e-‐commerce : Qu’est-‐ce ?
• L’e-‐commerce
est
une
forme
de
commerce
• L’acte
commercial
=
Ø Une
transac7on
Ø
fondée
sur
un
transfert
de
propriété
Ø
d’un
bien
ou
d’un
service
Ø
contre
paiement
de
l’acheteur
° retis
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19. Le
commerce
de
détail
peut
s’effectuer
:
• en
direct,
• mais
aussi
indirectement
:
Ø via
un
intermédiaire
(ex
:
agence
de
voyages,
cour8er,…)
Ø ou
une
place
de
marché
(ex.
:
criée
aux
poissons).
L’e-‐commerce : Qu’est-‐ce ?
° retis
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20. Une défini0on de l’e-‐commerce
• L’UE
définit
l’e-‐commerce
BtoC
comme
:
Ø une
vente
d’un
bien
ou
la
fourniture
d’une
presta8on
de
service,
Ø conclue
sans
la
présence
physique
simultanée
des
par8es,
Ø entre
un
consommateur
et
un
professionnel
Ø qui,
pour
la
conclusion
de
ce
contrat,
u8lisent
exclusivement
une
ou
plusieurs
techniques
de
communica8on
à
distance.
Ø Source:
Direc8ve
européenne
1997/7/CE
rela8ve
à
la
protec8on
des
consommateurs
en
ma8ère
de
contrats
à
distance.
° retis
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21. L’e-‐commerce : Qu’est-‐ce ?
La
transac7on
peut
se
faire
:
• en
se
rendant
chez
le
vendeur
ou
chez
l’intermédiaire,
• mais
aussi
à
distance,
ce
qui
comprend
la
vente
:
Ø par
téléphone,
Ø par
fax
/
par
correspondance,
Ø et
via
un
réseau
électronique.
° retis
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22. "
5
confusions
/
amalgames
possibles
:
1. E-‐commerce
#
e-‐business
2. Vendre
sur
Internet
#
Vendre
au
par7culier
3. Vendre
sur
Internet
#
Vendre
grâce
à
Internet
4. Vendre
sur
Internet
#
Vendre
sur
son
site
Internet
5. Vendre
sur
Internet
#
Encaisser
en
ligne
E-‐Commerce : Qu’est-‐ce ?
° retis
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23. E-‐commerce h e-‐business
• L’E-‐Commerce
cons7tue
une
des
interac7ons
électroniques
possibles.
Ø L’E-‐Commerce
est
donc
une
par7e
de
l’e-‐business,
dont
la
portée
est
beaucoup
plus
large.
Commerce électronique
Transactions commerciales
utilisant des canaux
informatisés
E-Business
Relations d’affaires
utilisant des canaux
informatisés
° retis
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24. E-‐commerce via Internet
• Le
commerce
sur
un
réseau
ouvert
comme
Internet
cons7tue
une
par7e
de
l’E-‐Commerce,
qui
rassemble
les
transac7ons
s’effectuant
via
les
différents
types
de
canaux
informa7sés.
Ø En
effet,
Internet
n’est
pas
le
seul
canal
électronique
qui
peut
être
u8lisé
pour
effectuer
des
transac8ons
commerciales
électroniques.
Ø Celles-‐ci
peuvent
également
se
faire
notamment
en
passant
par
un
réseau
priva8f,
ou
d’ordinateur
à
ordinateur
Ø d’autres
canaux
électroniques
se
développent
également
:
les
SMS,
les
applica8ons
mobiles
sur
smartphone,
les
tableHes
tac8les,
les
TV
connectées,…
° retis
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26. E-‐commerce via Internet
• Le
commerce
sur
un
réseau
ouvert
comme
Internet
cons7tue
une
par7e
de
l’E-‐Commerce,
qui
rassemble
les
transac7ons
s’effectuant
via
les
différents
types
de
canaux
informa7sés.
Ø D’autres
canaux
électroniques
qu’Internet
peuvent
être
u8lisés:
§ en
passant
par
un
réseau
priva8f;
§ ou
d’ordinateur
à
ordinateur.
Ø D’autres
terminaux
que
le
PC
:
§ les
applica8ons
mobiles
sur
smartphone,
§ les
tableHes
tac8les,
§ les
TV
connectées,…
° retis
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27. L’e-‐commerce BtoC et BtoB
• L’acheteur
peut
être
un
consommateur
final
Ø Transac8on
«
BtoC
»
:
Business
to
Consumer
Ø Le
consommateur
peut
être
défini
comme
une
personne
physique
agissant
à
des
fins
qui
n’entrent
pas
dans
le
cadre
de
son
ac8vité
professionnelle
ou
commerciale
• ou
un
professionnel
Ø transac8on
BtoB
:
Business
to
Business).
Le
professionnel
peut
tant
acheter
:
Ø des
biens
finis
(par
ex.
:
une
photocopieuse),
Ø pour
ses
besoins
propres
Ø ou
pour
les
revendre,
à
d’autres
professionnels
(ac8vité
de
commerce
de
gros)
ou
à
des
consommateurs
(ac8vité
de
distribu8on)
Ø que
des
biens
semi-‐finis,
servant
dans
le
processus
de
fabrica8on
effectué
par
l’entreprise
:
«
achats
de
produc8on
»
Ø ex.
:
chez
Airbus,
des
moteurs
et
des
plaques
d’acier
° retis
www.retis.be VENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
29. • Les
contours
de
l’e-‐commerce
ne
sont
pas
définis
de
façon
universelle
Ø Incorpora8on
des
plateformes
de
mise
en
rela8on
(ex:
eBay)
?
Ø Incorpora8on
des
transac8ons
conclues
en
ligne,
mais
non
payées
en
ligne
?
Ø Incorpora8on
des
transac8ons
boursières,
des
transac8ons
avec
des
services
publics
(ex:
percep8ons
de
taxes
douanières
?)
Ø Incorpora8on
de
l’e-‐commerce
BtoB
?
Difficile de cerner (précisément) l’ampleur
de l’e-‐commerce
° retis
www.retis.be VENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
30. • Les
données
sta7s7ques
classiques
ne
sont
pas
adaptés
à
la
mesure
de
l’e-‐commerce
Ø les
autorités
douanières
ne
parviennent
qu’imprécisement
à
mesurer
les
transac8ons
interna8onales
(pas
toutes
les
marchandises,
pas
les
biens
immatériels
et
les
services)
Ø Les
fournisseurs
de
solu8ons
de
paiements
disposent
de
chiffres
précis,
mais
incomplets
Ø Les
acteurs
interna8onaux
de
l’e-‐commerce
ne
ven8lent
pas
leurs
chiffres
par
pays
et
par
secteurs
!
prudence
à
l’égard
des
chiffres
:
juste
des
es7ma7ons
Difficile de cerner (précisément) l’ampleur
de l’e-‐commerce
° retis
www.retis.be VENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
31. • Durant
le
Cybermonday
2013
:
Ø 36,8
millions
d’ar8cles
commandés
Ø Pointe
jusqu’à
426
ar8cles
/
seconde
Ø 50%
des
clients
ont
u8lisé
leur
mobile
pour
consulter
Amazon
•
10
millions
de
clients
membres
de
«
Amazon
Prime
»
(livraison
gratuite
dans
les
2
jours)
Ø 1
million
supplémentaire
uniquement
en
déc
2013
• 27
millions
de
références
numériques
‘films,
musiques,
livres,
applica7ons,…)
Amazon en 2013
Source:
hHp://phx.corporate-‐ir.net/phoenix.zhtml?c=176060p=irol-‐newsAr8cleID=1886961highlight
° retis
www.retis.be VENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
32. E-‐Commerce aux USA
L’e-‐commerce
représenterait
6.2%
du
commerce
de
détail
au
1e
trimestre
2014
(contre
4,2%
en
2011),
selon
le
Département
fédéral
du
Commerce.
33. E-‐commerce dans le monde
Source:
Fédéra7on
eCommerce
Europe
(2013-‐
chiffres
2012-‐3)
35. E-‐commerce en Europe
(début 2014)
Source:
Fédéra7on
eCommerce
Europe
(juin
2014-‐
chiffres
2013)
36. E-‐commerce en Europe fin 2013
• 318,1
Md€
(Europe
des
28)
Ø 3
pays
concentrent
61%:
Ø Royaume-‐Uni:
107
Md€
Ø Allemagne:
63,4
Md€
Ø France:
51,1
Md€
° retis
www.retis.beVENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
Source:
Fédéra7on
eCommerce
Europe
-‐2014
38. • 60%
des
internautes
européens
achètent
en
ligne
Ø Les
plus
enthousiastes
:
Ø Les
britanniques:
82%
Ø Les
danois
et
suédois:
79%
Ø Les
allemands:
77
%
Ø Les
luxembourgeois
:
73%
Ø Les
français
et
les
hollandais:
69%
Ø Les
belges
:
55%
Critère:
achat
au
cours
des
12
derniers
mois
Acheter en ligne se généralise
° retis
www.retis.be VENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
Source:
Eurostat
(chiffres
2013,
publiés
en
oct
2013)
41. 59
57
53
63
49
53
56
51
40
47
37
21
32
36
22
23
23
18
20
16
18
14
7
6
9
9
10
10
11
3
4
77
77
73
73
70
69
69
65
59
56
54
48
47
46
46
44
36
36
32
32
32
28
26
26
25
25
25
23
20
12
8
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
Source:
Eurostat
(2013)
Auteur:
D.
Jacob
(www.re8s.be)
Evolu7on
en
5
ans
(2008
-‐
2013)
du
%
de
la
popula7on
ayant
acheté
en
ligne
au
cours
des
12
derniers
mois
2008
2013
42. 0
5
10
15
20
25
30
Source:
Eurostat
(2013)
Auteur:
D.
Jacob
(www.re8s.be)
Entreprises
vendant
en
ligne
en
2013
(min
1%
du
CA)
Source:
Eurostat
2013
44. • ¾
des
internautes
achètent
en
ligne
(soit
60%
de
la
popula7on
belge
entre
18
et
70
ans).
Ø En
2011,
c’était
58%
des
internautes
• 28%
des
e-‐consommateurs
achètent
au
moins
1
fois
/
mois
Ø En
2011:
17%
• Moyenne
de
1932
euros
par
an
de
dépenses
en
ligne
Ø En
2011:
1560
€
• 50%
des
e-‐consommateurs
dépensent
au
moins
100
€/mois
Ø Achats
supplémentaires:
37%;
subs8tu8on
bou8ques
:
33%
° retis
www.retis.be VENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
L’e-‐Commerce en Belgique – 2014
Source:
Comeos
–
Juin
2013
45. ° retis
www.retis.be VENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
E-‐commerce en Belgique (2015)
Source:
Comeos
–
Janvier
2015
46. Sta0s0ques Luxembourg 2012
Source: Statec - 2012
Es8ma8on
d’un
chiffre
d’affaires
de
400
m€
en
2013
selon
l’associa8on
‘eCommerce
Europe’
• 58%
services
(3/4:
voyages)
• 38%
biens
En
2010:
47. E-‐Commerce France (fin 2013)
Evolution du chiffre d'affaires de l'e-commerce français et projection sur 2014
Source
ICE
-‐
FEVAD
–
France
–
Janv
2014
49. Source:
Etude
«
Consommateur
connecté
-‐
PWC
–
Monde
–
Nov
2014
50. Montant des achats (France –2013)
Enquête
réalisée
par
CCM
Benchmark
–
Juillet
2014
51. Montant des achats en ligne
(Belgique – Etude Comeos 2014)
Source:FédérationCOMEOS–Juin2014
52. Montant des achats en ligne
(Belgique – Etude Ingenico 2014)
Source:FédérationCOMEOS–Juin2014
53. • 21%
des
e-‐consommateurs
ont
fait
leur
1e
achat
en
ligne
en
2014
Fréquence des achats en ligne
(Belgique – Etude Comeos 2014)
Source:FédérationCOMEOS–Juin2014
° retis
www.retis.be VENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
54. • 28%
des
e-‐consommateurs
achètent
en
ligne
au
moins
chaque
mois
Fréquence des achats en ligne
(Belgique – Etude Comeos 2014)
Source:FédérationCOMEOS–Juin2014
° retis
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57. Raisons de préférer l’achat en ligne
(Belgique – 2014)
Source:
Enquête
2014
de
la
fédéra7on
Comeos
58. • Commodité
(gain
de
temps;
achat
à
tout
moment):
73%
• Achats
non
disponibles
localement
:
60%
• Prix
moins
élevés:
50%
Mo0va0ons e-‐achats (Luxembourg)
Enquête
STATEC
2009
59. • Facilité
d’achat:
Ø «
Confort
»
:
Possibilité
d’acheter
à
toute
heure
et
d’éviter
des
déplacements
Ø Livraison
à
domicile
/
en
des
points
d’enlèvement
Ø Comparaison
aisée
Ø Processus
facilité
pour
recommander
des
produits
• Offre
à
portée
de
clic
:
Ø Acheter
des
produits
/
services
non
disponibles
localement
Ø Bc
e-‐bou8ques,
accessibles
sans
effort
Ø Catalogues
plus
étendus
Recherche de valeur pour l’acheteur
Devise : « J’achète
n’importe où
et n’importe quand »
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60. Conseils
• La
quasi-‐totalité
des
études
montre
que
le
consommateur
achète
en
ligne
avant
tout
pour
le
côté
«
pra7que
»
:
Ø gain
de
temps,
facilité
de
comparaison
et
possibilité
d’acheter
n’importe
quand.
Ø Cet
argument
en
faveur
d’un
achat
en
ligne
arke
sur
celui
d’un
prix
plus
avantageux,
sauf
dans
les
pays
où
l’e-‐commerce
est
devenu
un
canal
commun
d’achat
Ø Plutôt
qu’être
obnubilé
à
se
posi8onner
moins
cher
que
la
concurrence
en
ligne
et
en
magasin,
le
e-‐commerçant
devrait
surtout
veiller
à
proposer
un
service
plus
pra7que.
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67. • Internet
devient
un
canal
significa7f
de
vente,
mais
aussi,
et
surtout,
d’avant-‐vente
(«
web-‐to-‐
store
»)
• Nouvelles
opportunités
grâce
à
Internet
Ø Etendre
sa
zone
de
chalandise,
pour
un
faible
8cket
d’entrée
Ø Disponibilité
24h/24
Ø Personnalisa8on
de
masse
(grâce
à
une
analyse
en
temps
réel
des
aHentes
des
internautes)
Ø «
longue
traîne
»
(pas
de
contrainte
d’espace
pour
présenter
son
offre)
ex:
www.newPharma.be
Pourquoi s’intéresser à l’e-‐Commerce ?
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68. Source:
Etude
«
Consommateur
connecté
-‐
PWC
–
Monde
–
Nov
2014
69. Types d’achats en ligne
(Belgique 2014)
49%
40%
32%
31%
29%
22%
22%
22%
20%
19%
18%
15%
12%
10%
10%
9%
7%
Vêtements,
chaussures
Hotel
séjour
Livres
Tickets
d'événement
Tickets
de
transport
Ordinateur
Soin
de
la
personne
CD,
DVD,
jeux…
Appareils
électroménagers
Jouets
Services
financiers
Telécom
Produits
pharmaceu7ques
Ar7cles
de
décora7on,
mobilier
Ar7cles
de
sports
Produits
de
jardinage
et
bricolage
Alimenta7on
Source:
Enquête
2014
de
la
fédéra7on
Comeos
75. Plusieurs posi0onnements
«
Pure
player
»
sheilandi.com
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«
Click
and
mortar
»
D-‐traiteur.com
77. Profils des e-‐commerçants
3
catégories
d’acteurs
sont
rencontrées
:
• Les
«
pure-‐players*
»,
Ø qui
n’ont
qu’une
ac8vité
commerciale
en
ligne
;
• Les
«
click
mortars*
»
Ø (par
dis8nc8on
avec
les
«
bricks
mortars
»),
qui
ont
une
ac8vité
commerciale
tant
tradi8onnelle
(magasin
/
réseau
de
magasins)
qu’en
ligne
;
• Les
«
click
papers
»,
Ø qui
ont
une
ac8vité
commerciale
à
distance,
tant
via
un
catalogue
papier
qu’en
ligne
(ex.
:
La
Redoute).
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78. • 57,5%
des
e-‐commerçants
sont
des
pure-‐players
(51%
de
PM
-‐
part
de
marché)
Ø Près
de
la
moi8é
ont
moins
de
4
ans
d’existence
Ø 99%
sont
des
micro-‐entreprises,
indépendantes
d’un
groupe,
mais
ne
réalisent
que
36%
des
ventes
Ø 87%
n’emploient
que
le
créateur
• 3%
sont
des
quasi
pure-‐players
(8%
de
PM)
• 13%
sont
des
VAD
(22%
de
PM)
• 25%
de
clickmortar
(17%
de
PM)
L’e-‐commerce en France -‐ fin 2012
Source
:
INSEE
–
févr
2014
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79. Pure-‐player -‐ Ven0la0on des secteurs
(France 2012)
Source
:
INSEE
–
févr
2014
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80. • BtoC
et/ou
BtoB
• Pure-‐player
/
click
mortar
• Vente
sur
son
site
Internet
et/ou
une
place
de
marché
• En
ligne:
Ø Avant-‐vente
Ø Vente
(avec
ou
sans
paiement
en
ligne)
Ø Après-‐vente
Diversité de l’e-‐commerce
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81. Exemples
CLICK
CLICK ! CLICK BRICK
BRICK ! CLICK BRICK
BRICK ! CLICK
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82. Exemple: Allopneus.com
• En
2013
Ø 2,5
millions
de
pneus
vendus
en
ligne
Ø 30
marques
différentes
è
20
000
références
Ø 600
000
pneus
en
stock
en
permanence
Ø 41000m²
de
stockage
Ø Pointe
de
20
000
pneus
expédiés
/
jour
(nov
2013)
Ø CA
de
200
millions
€
(croissance
de
25%
/
an)
Ø 2
millions
de
clients
Ø 1
million
de
visiteurs
uniques
/
mois
Ø Jusqu’à
12000
commandes
traitées
/
jour
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83. • Spécialisé
dans
la
vente
de
pe7t
électroménager
• Environ
10
000
références
• Lancé
en
2005
à
Marseille
• 7m€
de
CA
en
2012;
20
salariés;
prochainement
2500m²
• Un
magasin
au
rez-‐de-‐
chaussée
des
entrepôts
depuis
2011
Nouveauxmarchands.com
° retis
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90. Les acteurs de l’e-‐commerce
° retis
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91. 1.
L’e-‐commerçant
«
solo
»
exerçant
à
7tre
secondaire,
généralement
comme
«
pure-‐player
»
Ø son
ac8vité
principale
est
souvent
dans
un
secteur
complètement
différent
du
commerce
;
Ø ex.
:
hHp://www.nutricador.be;
2.
L’e-‐commerçant
«
solo
»
à
temps
plein
(éventuellement
appuyé
par
son
conjoint
;
SOHO*
–
Small-‐Office
Home-‐Office),
Ø comme
pure-‐player
ou
comme
«
click
mortars
»
(déjà
un
ou
plusieurs
points
de
vente
physique/
atelier-‐bou8que
Ø hHp://www.9bulles.be,
hHp://www.myelectro.be,
hHp://www.newriding.com,
hHp://www.btobgreen.be,
hHp://www.misscoueHes.com,
hHp://www.nova-‐moto.fr
5 grands modes de fonc0onnement
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92. 3.
L’e-‐commerçant
employeur,
Ø S’est
au
départ
lancé
seul
comme
pure-‐player
(ou
avec
un
point
de
vente
physique),
mais
rapidement
est
parvenu
à
développer
son
ac8vité
en
augmentant
ses
parts
de
marché
et
sa
zone
de
chalandise.
§ Il
s’est
cons8tué
progressivement
une
équipe.
La
voie
fréquemment
suivie
consiste
à
adopter
une
stratégie
«
mul8-‐canal
».
Ø Ex:
hHp://www.tasset.com
et
hHp://www.alterego-‐design.be
4. Le
fabricant
(industriel,
mais
aussi
ar7sanal)
Ø Souhaite
vendre
en
direct
(une
par8e
de)
sa
produc8on,
ou
des
pièces
détachées
Ø Ex:
hHp://www.labonal.fr,
hHp://www.ferrures.com,
hHp://www.coco-‐lm.com,
hHp://www.planet-‐chocolate.com,
hHp://www.chocol-‐at.be
5. Un
réseau
de
bou7ques
physiques
Ø Souhaite
adopter
une
approche
«
cross-‐canal
»
en
proposant
une
expérience
«
u8lisateur
»
semblable
en
ligne
à
celle
en
magasin
Ø Ex:
hHp://www.lu8nboHe.fr,
des
grands
groupes
de
retail
comme
hHp://www.esprit.com,
hHp://www.vandenborre.com,...
5 grands modes de fonc0onnement
° retis
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93. ° retis
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1.3. e-‐Commerce -‐ Qui ?
Source
:
Etude
2015
KPMG
pour
Oxa8s
94. Top 15 site e-‐commerce en France
Source
:
Etude
2014
–
Médiamétrie
pour
FEVAD
–
France
–
3e
trim.
2014
95. Source:
Etude
«
Consommateur
connecté
-‐
PWC
–
Monde
–
Nov
2014
TOP 10 des achats – France -‐ 2014
96. Top 15 m-‐Commerce en France
Source
:
Etude
Mediamétrie
–
France
–
3e
trim
2013
97. 1. Amazon
2. Zalando
3. 3Suisses
4. Coolblue
5. Colruyt
Group
6. Bol.com
7. Proximus
8. Nespresso
9. Tele
Ticket
Service
10. La
Redoute
° retis
www.retis.be VENDRE (AUSSI) EN LIGNE - (C) D. JACOB (2015)
Top 10 e-‐shops (Belgique – 2014)
Source
:
Etude
BeShopping
–
nov
2014
98. Es7ma7on
en
2014:
• +/-‐
12
000
sites
en
Belgique
• +/-‐
140
000
sites
en
France
Ø Au
moins
2/3
de
pure-‐players
Nombre d’e-‐shops
° retis
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