Notre rapport à la propriété est en train d'évoluer. Pousser par le web, l'open source, le développement de l'économie du partage, le droit à l'usage est en train de prendre le pas sur le droit à la propriété.
Pourquoi croire en ce phénomène ? Comment se manifeste-t-il chez les consommateurs ? Quels sont les impacts sur leur relation avec les marques ? C'est à ces 3 questions que nous tentons de répondre au travers ce document.
L'heure n'est plus à la consommation effrénée. Nous prenons conscience que nos choix influencent les marques et la société dans laquelle nous vivons. La qualité, l’éthique, le respect et la collaboration sont nos nouvelles préoccupations.
Nous sommes partagés entre la volonté de changer et notre envie de consommer. Nous prenons conscience que nos choix influencent les marques et la société dans laquelle nous vivons. La qualité, l’éthique, le respect et la collaboration sont nos nouvelles préoccupations.
L'heure n'est plus à la consommation effrénée. Nous prenons conscience que nos choix influencent les marques et la société dans laquelle nous vivons. La qualité, l’éthique, le respect et la collaboration sont nos nouvelles préoccupations.
Nous sommes partagés entre la volonté de changer et notre envie de consommer. Nous prenons conscience que nos choix influencent les marques et la société dans laquelle nous vivons. La qualité, l’éthique, le respect et la collaboration sont nos nouvelles préoccupations.
Aujourd'hui, la simplicité est plus qu'une tendance, c'est une nécessité! À mesure que nous redéfinissons nos priorités et cherchons à ne profiter que du meilleur, elle s’impose pour éliminer les contraintes quotidiennes et compenser la complexification de nos modes de vies modernes.
Les engagés aujourd'hui : comprendre les nouvelles normes de l'engagement con...leoburnettparis
Avant l'engagement était organisé.
Il était le fruit de notre contexte social, cadré par de multiples structures institutionnelles. Il était rationnel, réfléchi et s’intégrait dans un « nous », un groupe partageant un intérêt commun, une idéologie globale, qui marquait notre identité sur la durée.
Aujourd'hui, nous avons tendance à dire que les gens ne s'engagent plus. ILS NE S'ENGAGENT SIMPLEMENT PLUS COMME AVANT.
Aujourd'hui, l'engagement est plus intense mais aussi plus diffus.
Nos engagements sont multiples. Choisis à la carte, changeants, résiliables, ils sont aussi personnels, spontanés et différents à chaque fois. L’action précède la réflexion et s’intègre à notre identité, qui se construit petit à petit, jamais figée.
L’ENGAGEMENT DES CONSOS DEVIENT UN VÉRITABLE PARADOXE
Plus passionnels une fois qu’ils ont sauté le pas, les consommateurs sont également plus difficiles à capter en amont. A l’écoute de ce qui les touchent profondément mais aussi de leurs intérêts, ils attendent souvent un retour.
LES MARQUES DOIVENT LIBERER LA RELATION.
Elles doivent la libérer des zones d’ombres, des contraintes, des doutes, des barrières. Elles doivent rassurer, simplifier leurs expériences, s’ancrer dans ce qui touchent leurs consos et donner de véritables raisons d’y croire et de rester, sans jamais les enfermer, pour un engagement spontané, sincère et donc, plus durable.
Notre rapport à la propriété est en train d'évoluer. Pousser par le web, l'open source, le développement de l'économie du partage, le droit à l'usage est en train de prendre le pas sur le droit à la propriété.
Pourquoi croire en ce phénomène ? Comment se manifeste-t-il chez les consommateurs ? Quels sont les impacts sur leur relation avec les marques ? C'est à ces 3 questions que nous tentons de répondre au travers ce document.
Les engagés aujourd'hui : comprendre les nouvelles normes de l'engagement con...CHEMISTRY AGENCY
Avant l'engagement était organisé.
Il était le fruit de notre contexte social, cadré par de multiples structures institutionnelles. Il était rationnel, réfléchi et s’intégrait dans un « nous », un groupe partageant un intérêt commun, une idéologie globale, qui marquait notre identité sur la durée.
Aujourd'hui, nous avons tendance à dire que les gens ne s'engagent plus. ILS NE S'ENGAGENT SIMPLEMENT PLUS COMME AVANT.
Aujourd'hui, l'engagement est plus intense mais aussi plus diffus.
Nos engagements sont multiples. Choisis à la carte, changeants, résiliables, ils sont aussi personnels, spontanés et différents à chaque fois. L’action précède la réflexion et s’intègre à notre identité, qui se construit petit à petit, jamais figée.
L’ENGAGEMENT DES CONSOS DEVIENT UN VÉRITABLE PARADOXE
Plus passionnels une fois qu’ils ont sauté le pas, les consommateurs sont également plus difficiles à capter en amont. A l’écoute de ce qui les touchent profondément mais aussi de leurs intérêts, ils attendent souvent un retour.
LES MARQUES DOIVENT LIBERER LA RELATION.
Elles doivent la libérer des zones d’ombres, des contraintes, des doutes, des barrières. Elles doivent rassurer, simplifier leurs expériences, s’ancrer dans ce qui touchent leurs consos et donner de véritables raisons d’y croire et de rester, sans jamais les enfermer, pour un engagement spontané, sincère et donc, plus durable.
MODE ET CONSOMMATION RESPONSABLE
Questions de consommateurs, réponses de marques.
Une étude de l’IFM financée par le Défi portant sur les évolutions enregistrées dans les consciences et les comportements dans le contexte de la crise.
L’étude est fondée sur l’analyse de 6 tables rondes de consommateurs, 2 sondages auprès de 1000 consommateurs en novembre 2008 et octobre 2009, et les interviews approfondis de 25 responsables de marques et enseignes de distribution, du mass market au luxe (mai à octobre 2009).
L'heure n'est plus à la consommation effrénée. Nous prenons conscience que nos choix influencent les marques et la société dans laquelle nous vivons. La qualité, l’éthique, le respect et la collaboration sont nos nouvelles préoccupations.
Nous sommes partagés entre la volonté de changer et notre envie de consommer. Nous prenons conscience que nos choix influencent les marques et la société dans laquelle nous vivons. La qualité, l’éthique, le respect et la collaboration sont nos nouvelles préoccupations.
L'heure n'est plus à la consommation effrénée. Nous prenons conscience que nos choix influencent les marques et la société dans laquelle nous vivons. La qualité, l’éthique, le respect et la collaboration sont nos nouvelles préoccupations.
Nous sommes partagés entre la volonté de changer et notre envie de consommer. Nous prenons conscience que nos choix influencent les marques et la société dans laquelle nous vivons. La qualité, l’éthique, le respect et la collaboration sont nos nouvelles préoccupations.
Aujourd'hui, la simplicité est plus qu'une tendance, c'est une nécessité! À mesure que nous redéfinissons nos priorités et cherchons à ne profiter que du meilleur, elle s’impose pour éliminer les contraintes quotidiennes et compenser la complexification de nos modes de vies modernes.
Les engagés aujourd'hui : comprendre les nouvelles normes de l'engagement con...leoburnettparis
Avant l'engagement était organisé.
Il était le fruit de notre contexte social, cadré par de multiples structures institutionnelles. Il était rationnel, réfléchi et s’intégrait dans un « nous », un groupe partageant un intérêt commun, une idéologie globale, qui marquait notre identité sur la durée.
Aujourd'hui, nous avons tendance à dire que les gens ne s'engagent plus. ILS NE S'ENGAGENT SIMPLEMENT PLUS COMME AVANT.
Aujourd'hui, l'engagement est plus intense mais aussi plus diffus.
Nos engagements sont multiples. Choisis à la carte, changeants, résiliables, ils sont aussi personnels, spontanés et différents à chaque fois. L’action précède la réflexion et s’intègre à notre identité, qui se construit petit à petit, jamais figée.
L’ENGAGEMENT DES CONSOS DEVIENT UN VÉRITABLE PARADOXE
Plus passionnels une fois qu’ils ont sauté le pas, les consommateurs sont également plus difficiles à capter en amont. A l’écoute de ce qui les touchent profondément mais aussi de leurs intérêts, ils attendent souvent un retour.
LES MARQUES DOIVENT LIBERER LA RELATION.
Elles doivent la libérer des zones d’ombres, des contraintes, des doutes, des barrières. Elles doivent rassurer, simplifier leurs expériences, s’ancrer dans ce qui touchent leurs consos et donner de véritables raisons d’y croire et de rester, sans jamais les enfermer, pour un engagement spontané, sincère et donc, plus durable.
Notre rapport à la propriété est en train d'évoluer. Pousser par le web, l'open source, le développement de l'économie du partage, le droit à l'usage est en train de prendre le pas sur le droit à la propriété.
Pourquoi croire en ce phénomène ? Comment se manifeste-t-il chez les consommateurs ? Quels sont les impacts sur leur relation avec les marques ? C'est à ces 3 questions que nous tentons de répondre au travers ce document.
Les engagés aujourd'hui : comprendre les nouvelles normes de l'engagement con...CHEMISTRY AGENCY
Avant l'engagement était organisé.
Il était le fruit de notre contexte social, cadré par de multiples structures institutionnelles. Il était rationnel, réfléchi et s’intégrait dans un « nous », un groupe partageant un intérêt commun, une idéologie globale, qui marquait notre identité sur la durée.
Aujourd'hui, nous avons tendance à dire que les gens ne s'engagent plus. ILS NE S'ENGAGENT SIMPLEMENT PLUS COMME AVANT.
Aujourd'hui, l'engagement est plus intense mais aussi plus diffus.
Nos engagements sont multiples. Choisis à la carte, changeants, résiliables, ils sont aussi personnels, spontanés et différents à chaque fois. L’action précède la réflexion et s’intègre à notre identité, qui se construit petit à petit, jamais figée.
L’ENGAGEMENT DES CONSOS DEVIENT UN VÉRITABLE PARADOXE
Plus passionnels une fois qu’ils ont sauté le pas, les consommateurs sont également plus difficiles à capter en amont. A l’écoute de ce qui les touchent profondément mais aussi de leurs intérêts, ils attendent souvent un retour.
LES MARQUES DOIVENT LIBERER LA RELATION.
Elles doivent la libérer des zones d’ombres, des contraintes, des doutes, des barrières. Elles doivent rassurer, simplifier leurs expériences, s’ancrer dans ce qui touchent leurs consos et donner de véritables raisons d’y croire et de rester, sans jamais les enfermer, pour un engagement spontané, sincère et donc, plus durable.
MODE ET CONSOMMATION RESPONSABLE
Questions de consommateurs, réponses de marques.
Une étude de l’IFM financée par le Défi portant sur les évolutions enregistrées dans les consciences et les comportements dans le contexte de la crise.
L’étude est fondée sur l’analyse de 6 tables rondes de consommateurs, 2 sondages auprès de 1000 consommateurs en novembre 2008 et octobre 2009, et les interviews approfondis de 25 responsables de marques et enseignes de distribution, du mass market au luxe (mai à octobre 2009).
Consommation durable et Typologie des consommateurs 2015 - Ethicity GreenFlex...yann le gigan
Source :
Consommation durable et Typologie des consommateurs 2015
[SlideShare GreenFlex 31.05.15]
L’étude Ethicity 2015 menée par GreenFlex révèle cette année quatre grandes tendances :
- La baisse significative du nombre d’impliqués dans l’environnement et la consommation responsable,
- Le désengagement de la part des hommes vs une part grandissante du nombre de femmes impliquées,
Les groupes les plus impliqués le sont encore plus,
- Enfin, un nouveau groupe se renforce : les « Rétractés », hostiles au sujet.
http://fr.slideshare.net/GreenFlex/consommation-durable-et-typologie-des-consommateurs-2015
Table Ronde Organisée par Altavia RSE le 9 avril 2015 sur la consommation responsable.
Débat autour de 2 intervenants Retail:
- Karine VIEL, Directrice Développement Durable de Monoprix
- Patrick MARGUERIE, Directeur de la communication de Biocoop
- Denis GEFFROY, Directeur Communication Groupe et Réputation, Groupe L'Occitane
DANS UNE SOCIÉTÉ QUI ÉVOLUE TRÈS VITE, NOUS AVONS PERDU NOS REPÈRES.
Depuis quelques décennies, les changements dans notre quotidien se sont accélérés, sans que nous ayons vraiment le temps de nous poser les bonnes questions.
A LA RECHERCHE DE PLUS DE CONFORT, DE SIMPLICITÉ, DE PRATICITÉ, NOUS AVONS LAISSÉ LES CHOSES ÊTRE RÉARRANGÉES, MODIFIÉES, STANDARDISÉES, INTERMÉDIÉES, FAUSSÉES.
Nous avons l’impression d’avoir été trompés, mais aussi d’avoir été complices de cette tromperie, à travers nos choix. Tout et son contraire est dit. Tout est source de doutes. Nous nous sommes perdus, en choisissant la facilité. Mais, lassés de nous sentir impuissants, nous décidons d’agir.
NOUS RETOURNONS ALORS À LA RECHERCHE DU VÉRITABLE, DU VRAI.
Nous nous reconnectons aux choses que nous sommes capables de comprendre simplement. Relations, alimentation, travail, mode de vie, habitudes, etc. : nous voulons le voir pour le croire, le vivre pour le juger. Nous reprenons goût à l’effort, s’il signifie plus de qualité, plus de sens. Nous recréons alors, par nous-mêmes et pour nous-mêmes, de nouveaux piliers, pour nous recentrer sur les choses auxquelles nous accordons une vraie valeur.
Les Circuits Courts ds la distribution: des modèles qui marchent!ALTAVIA RSE
Table Ronde ALTAVIA RSE du 24 mars 2016.
Marc-David CHOUKROUN - La Ruche Qui Dit Oui
Jean MOREAU - Phenix
Arnaud BRULAIRE - Picard
BEST OF.
Emergence des Circuits Courts
Retour au Local
Impact social
Lutte contre le gaspillage
Made in France.
La consommation collaborative : une réponse aux modes de consommations traditionnels et à diverses problématiques environnementales et économiques - l'attitude des consommateurs.
Ecoute Sociale : Les français à l’heure du confinement N°2leoburnettparis
N°2 : du 22 mars 2020 au 12 avril 2020
Sommaire
• Les français face au Covid-19 – Dynamiques sociétales générales
• Les français face au confinement – Adaptation des modes de vie
• Les français face au confinement – Adaptation des habitudes d’achats
• Les français face au confinement – Comportements face aux marques
• Les français face au confinement – Verbatims et Expressions
• Comprendre les enjeux clés
Le N°1 : du 05 mars 2020 au 20 mars 2020 est disponible sur ce lien : https://www.slideshare.net/secret/lA2CfboXhe05IK
La publicité peut-elle soutenir des modes de consommation plus écologiques ? C’est la question abordée lors du récent Positive Talk à laquelle Leo Burnett va continuer d’apporter un éclairage, en intégrant l’observation des consommateurs. Les modes de consommation changent. Les gens troquent, achètent d’occasion, recyclent, réparent et suivent les marques qui les aident à consommer plus durablement et de manière plus responsable. Comment adapter nos messages et comment accompagner ces nouveaux modes de consommation ?
Hommes et femmes évoluent de plus en plus au-delà des schémas normés. Nous changeons, parfois un peu perdus, parfois un peu hésitants. Nous mixons et nous composons entre tradition et modernité.
Nous avons tous aujourd'hui de nouvelles envies, de nouvelles aspirations, qui ne collent pas toujours aux rôles établis. Alors que nous revendiquons nos particularités, nous nous redéfinissons. Cela a alors un impact sur nos vies, nos relations, notre consommation et notre rapport aux marques.
Quelles sont aujourd'hui les manifestations évidentes de ces changements? Quelles opportunités se présentent pour les marques? Ce sont les questions auxquelles ce cahier tente de répondre.
Décriée, scrutée, soupesée : la communication des marques vit une remise en question sans précédent. Un changement de l’air du temps qui met en lumière le rôle central qu’elle tient au sein de la société : et qui dit grand pouvoir, dit grandes responsabilités.
Entre enjeux de transparence et création d’imaginaires, rôle d’avancée humaniste
et efficacité business, quels futurs pour la publicité et la communication des marques et des entreprises ?
Au travers de ce Cahier de Tendances sur « la Fabrique des esprits critiques » Leo Burnett Paris propose une vision engagée de la communication en lui redonnant le noble rôle d’aiguiser des esprits.
Recycling & Upcycling dans la communication - Table Ronde Altavia RSE - 02/10...ALTAVIA RSE
Ce slideshare présente la synthèse des interventions de la Table Ronde Altavia RSE organisée le 2 octobre 2014 autour du thème : "Recycling & Upcycling dans la communication".
Intervenants invités:
François-Michel Lambert, Président de l'Institut de l’Économie Circulaire
Hélène Gounot, Directrice d'Extramuros
Antonin Léonard, Co-fondateur de OuiShare
Modérateur:
Laetitia Adhémar, Directrice RSE Groupe Altavia
Rançon du succès ou essouflement du modèle, le développement des Amap (associations pour le maintien d'une agriculture paysane) semble avoir atteint ses limites. De nouvelles formes de circuits courts créent d'autres liens entre agriculteurs et consommateurs. La Ruche qui dit oui partout en France et en Belgique, le Biaupanier du Trièves, Monpotager.com dans les régions parisienne et lyonnaise, Terroirs de Haute-Loire, Alterne à Thouard en Haute-Provence, Pomme de pain dans le Haut-Doubs, le premier "drive" laitier de France dans la plaine de Versaille, l'essort des magasins de producteurs en Rhône-Alpes... La plupart utilisent les ressources d'Internet et tous prennent leur distance avec le panier-type, caractéristique des Amap, pour proposer des formules à la carte.
Une enquête parue dans le numéro de janvier-février 2015 des 4 saisons, le magazine de Terre Vivante.
Textes : Sandrine Boucher.
Compte-Rendu détaillé de la conférence-débat du World Forum Lille Institute du 5 septembre 2012, à Paris, sur le thème : "Citoyens - Consommateurs : paradoxes et contradictions"
conférence animée par Elisabeth Laville
La veille de né kid du 25.11.10 : l'économie de la conservationNé Kid
Au sommaire de ce numéro 155 de la veille de Né Kid :
Actus :
• Les limites de l’illimité
• Le e-commerce devient un comportement majoritaire
• Save the date !
Point de vue: L’économie de la conservation
Idées, tendances & innovations :
• Sneakerpedia, le wiki de la basket
• La musique en données
• Typo en folie
Pour préserver notre planète, il est urgent d’apprendre à économiser, à partager et à consommer de manière plus équitable les ressources de l’environnement. Plusieurs initiatives en ce sens ont récemment vu le jour. Découvrez-les vite. Parce que nous n’avons pas de planète d rechange, adaptons dès aujourd’hui notre mode de vie et nos pratiques de consommation au développement !
2016 est l'année de la consommation collaborative, les consommateurs si dirigent de plus en plus vers une consommation partagée. Depuis Le bon coin beaucoup de groupe se sont développés, ainsi est née Blablacar, AirBnb, Koolcar... Ce système est avantageux mais il comprend certaines limitent, c'est ce que nous avons étudié dans nos recherches.
La consommation collaborative est-elle réellement un Eldorado?
Aujourd'hui, la simplicité est plus qu'une tendance, c'est une nécessité! À mesure que nous redéfinissons nos priorités et cherchons à ne profiter que du meilleur, elle s’impose pour éliminer les contraintes quotidiennes et compenser la complexification de nos modes de vies modernes.
Le nouveau rapport à la propriété, Publicis Modem DialogElodie Delneuf
Notre rapport à la propriété est en train d'évoluer. Pousser par le web, l'open source, le développement de l'économie du partage, le droit à l'usage est en train de prendre le pas sur le droit à la propriété.
Pourquoi croire en ce phénomène ? Comment se manifeste-t-il chez les consommateurs ? Quels sont les impacts sur leur relation avec les marques ? C'est à ces 3 questions que nous tentons de répondre au travers ce document.
Consommation collaborative Alexandra Penel frenchAlexandra Brandt
La consommation collaborative est un nouvel espoir économique dans un contexte où la production trouve de moins en moins de destinataires. Mais au delà de ses vertus commerciales, certains y voit la possibilité d’un mode d’organisation plus sociale, plus environnementale et plus juste. Elle serait un nouvel étendard contre l’individualiste libéralisme et l’immoral capitalisme. Alors, oui ou non, la consommation collaborative amorce-t-elle la fin de notre monde ?
Consommation durable et Typologie des consommateurs 2015 - Ethicity GreenFlex...yann le gigan
Source :
Consommation durable et Typologie des consommateurs 2015
[SlideShare GreenFlex 31.05.15]
L’étude Ethicity 2015 menée par GreenFlex révèle cette année quatre grandes tendances :
- La baisse significative du nombre d’impliqués dans l’environnement et la consommation responsable,
- Le désengagement de la part des hommes vs une part grandissante du nombre de femmes impliquées,
Les groupes les plus impliqués le sont encore plus,
- Enfin, un nouveau groupe se renforce : les « Rétractés », hostiles au sujet.
http://fr.slideshare.net/GreenFlex/consommation-durable-et-typologie-des-consommateurs-2015
Table Ronde Organisée par Altavia RSE le 9 avril 2015 sur la consommation responsable.
Débat autour de 2 intervenants Retail:
- Karine VIEL, Directrice Développement Durable de Monoprix
- Patrick MARGUERIE, Directeur de la communication de Biocoop
- Denis GEFFROY, Directeur Communication Groupe et Réputation, Groupe L'Occitane
DANS UNE SOCIÉTÉ QUI ÉVOLUE TRÈS VITE, NOUS AVONS PERDU NOS REPÈRES.
Depuis quelques décennies, les changements dans notre quotidien se sont accélérés, sans que nous ayons vraiment le temps de nous poser les bonnes questions.
A LA RECHERCHE DE PLUS DE CONFORT, DE SIMPLICITÉ, DE PRATICITÉ, NOUS AVONS LAISSÉ LES CHOSES ÊTRE RÉARRANGÉES, MODIFIÉES, STANDARDISÉES, INTERMÉDIÉES, FAUSSÉES.
Nous avons l’impression d’avoir été trompés, mais aussi d’avoir été complices de cette tromperie, à travers nos choix. Tout et son contraire est dit. Tout est source de doutes. Nous nous sommes perdus, en choisissant la facilité. Mais, lassés de nous sentir impuissants, nous décidons d’agir.
NOUS RETOURNONS ALORS À LA RECHERCHE DU VÉRITABLE, DU VRAI.
Nous nous reconnectons aux choses que nous sommes capables de comprendre simplement. Relations, alimentation, travail, mode de vie, habitudes, etc. : nous voulons le voir pour le croire, le vivre pour le juger. Nous reprenons goût à l’effort, s’il signifie plus de qualité, plus de sens. Nous recréons alors, par nous-mêmes et pour nous-mêmes, de nouveaux piliers, pour nous recentrer sur les choses auxquelles nous accordons une vraie valeur.
Les Circuits Courts ds la distribution: des modèles qui marchent!ALTAVIA RSE
Table Ronde ALTAVIA RSE du 24 mars 2016.
Marc-David CHOUKROUN - La Ruche Qui Dit Oui
Jean MOREAU - Phenix
Arnaud BRULAIRE - Picard
BEST OF.
Emergence des Circuits Courts
Retour au Local
Impact social
Lutte contre le gaspillage
Made in France.
La consommation collaborative : une réponse aux modes de consommations traditionnels et à diverses problématiques environnementales et économiques - l'attitude des consommateurs.
Ecoute Sociale : Les français à l’heure du confinement N°2leoburnettparis
N°2 : du 22 mars 2020 au 12 avril 2020
Sommaire
• Les français face au Covid-19 – Dynamiques sociétales générales
• Les français face au confinement – Adaptation des modes de vie
• Les français face au confinement – Adaptation des habitudes d’achats
• Les français face au confinement – Comportements face aux marques
• Les français face au confinement – Verbatims et Expressions
• Comprendre les enjeux clés
Le N°1 : du 05 mars 2020 au 20 mars 2020 est disponible sur ce lien : https://www.slideshare.net/secret/lA2CfboXhe05IK
La publicité peut-elle soutenir des modes de consommation plus écologiques ? C’est la question abordée lors du récent Positive Talk à laquelle Leo Burnett va continuer d’apporter un éclairage, en intégrant l’observation des consommateurs. Les modes de consommation changent. Les gens troquent, achètent d’occasion, recyclent, réparent et suivent les marques qui les aident à consommer plus durablement et de manière plus responsable. Comment adapter nos messages et comment accompagner ces nouveaux modes de consommation ?
Hommes et femmes évoluent de plus en plus au-delà des schémas normés. Nous changeons, parfois un peu perdus, parfois un peu hésitants. Nous mixons et nous composons entre tradition et modernité.
Nous avons tous aujourd'hui de nouvelles envies, de nouvelles aspirations, qui ne collent pas toujours aux rôles établis. Alors que nous revendiquons nos particularités, nous nous redéfinissons. Cela a alors un impact sur nos vies, nos relations, notre consommation et notre rapport aux marques.
Quelles sont aujourd'hui les manifestations évidentes de ces changements? Quelles opportunités se présentent pour les marques? Ce sont les questions auxquelles ce cahier tente de répondre.
Décriée, scrutée, soupesée : la communication des marques vit une remise en question sans précédent. Un changement de l’air du temps qui met en lumière le rôle central qu’elle tient au sein de la société : et qui dit grand pouvoir, dit grandes responsabilités.
Entre enjeux de transparence et création d’imaginaires, rôle d’avancée humaniste
et efficacité business, quels futurs pour la publicité et la communication des marques et des entreprises ?
Au travers de ce Cahier de Tendances sur « la Fabrique des esprits critiques » Leo Burnett Paris propose une vision engagée de la communication en lui redonnant le noble rôle d’aiguiser des esprits.
Recycling & Upcycling dans la communication - Table Ronde Altavia RSE - 02/10...ALTAVIA RSE
Ce slideshare présente la synthèse des interventions de la Table Ronde Altavia RSE organisée le 2 octobre 2014 autour du thème : "Recycling & Upcycling dans la communication".
Intervenants invités:
François-Michel Lambert, Président de l'Institut de l’Économie Circulaire
Hélène Gounot, Directrice d'Extramuros
Antonin Léonard, Co-fondateur de OuiShare
Modérateur:
Laetitia Adhémar, Directrice RSE Groupe Altavia
Rançon du succès ou essouflement du modèle, le développement des Amap (associations pour le maintien d'une agriculture paysane) semble avoir atteint ses limites. De nouvelles formes de circuits courts créent d'autres liens entre agriculteurs et consommateurs. La Ruche qui dit oui partout en France et en Belgique, le Biaupanier du Trièves, Monpotager.com dans les régions parisienne et lyonnaise, Terroirs de Haute-Loire, Alterne à Thouard en Haute-Provence, Pomme de pain dans le Haut-Doubs, le premier "drive" laitier de France dans la plaine de Versaille, l'essort des magasins de producteurs en Rhône-Alpes... La plupart utilisent les ressources d'Internet et tous prennent leur distance avec le panier-type, caractéristique des Amap, pour proposer des formules à la carte.
Une enquête parue dans le numéro de janvier-février 2015 des 4 saisons, le magazine de Terre Vivante.
Textes : Sandrine Boucher.
Compte-Rendu détaillé de la conférence-débat du World Forum Lille Institute du 5 septembre 2012, à Paris, sur le thème : "Citoyens - Consommateurs : paradoxes et contradictions"
conférence animée par Elisabeth Laville
La veille de né kid du 25.11.10 : l'économie de la conservationNé Kid
Au sommaire de ce numéro 155 de la veille de Né Kid :
Actus :
• Les limites de l’illimité
• Le e-commerce devient un comportement majoritaire
• Save the date !
Point de vue: L’économie de la conservation
Idées, tendances & innovations :
• Sneakerpedia, le wiki de la basket
• La musique en données
• Typo en folie
Pour préserver notre planète, il est urgent d’apprendre à économiser, à partager et à consommer de manière plus équitable les ressources de l’environnement. Plusieurs initiatives en ce sens ont récemment vu le jour. Découvrez-les vite. Parce que nous n’avons pas de planète d rechange, adaptons dès aujourd’hui notre mode de vie et nos pratiques de consommation au développement !
2016 est l'année de la consommation collaborative, les consommateurs si dirigent de plus en plus vers une consommation partagée. Depuis Le bon coin beaucoup de groupe se sont développés, ainsi est née Blablacar, AirBnb, Koolcar... Ce système est avantageux mais il comprend certaines limitent, c'est ce que nous avons étudié dans nos recherches.
La consommation collaborative est-elle réellement un Eldorado?
Aujourd'hui, la simplicité est plus qu'une tendance, c'est une nécessité! À mesure que nous redéfinissons nos priorités et cherchons à ne profiter que du meilleur, elle s’impose pour éliminer les contraintes quotidiennes et compenser la complexification de nos modes de vies modernes.
Le nouveau rapport à la propriété, Publicis Modem DialogElodie Delneuf
Notre rapport à la propriété est en train d'évoluer. Pousser par le web, l'open source, le développement de l'économie du partage, le droit à l'usage est en train de prendre le pas sur le droit à la propriété.
Pourquoi croire en ce phénomène ? Comment se manifeste-t-il chez les consommateurs ? Quels sont les impacts sur leur relation avec les marques ? C'est à ces 3 questions que nous tentons de répondre au travers ce document.
Consommation collaborative Alexandra Penel frenchAlexandra Brandt
La consommation collaborative est un nouvel espoir économique dans un contexte où la production trouve de moins en moins de destinataires. Mais au delà de ses vertus commerciales, certains y voit la possibilité d’un mode d’organisation plus sociale, plus environnementale et plus juste. Elle serait un nouvel étendard contre l’individualiste libéralisme et l’immoral capitalisme. Alors, oui ou non, la consommation collaborative amorce-t-elle la fin de notre monde ?
La veille de Red Guy du 26.03.14 - Sharing EconomyRed Guy
Cette semaine au menu de la veille :
L’actu mise à nu :
Le search marketing est trusté
Le printemps de Pinterest
Quel appétit !
Point de vue : La sharing economy
Innovations et tendances :
Aide-toi et le ciel TEDera
Hemingway vous aide à écrire plus simplement
Mille bornes et 60 balais
L’économie du partage est aujourd’hui une composante essentielle de l’économie mondiale mais elle soulève de nombreuses interrogations. Uber et Airbnb se sont fait une «place au soleil» dans les secteurs de l’automobile et de l’hôtellerie, mais le business model de l’économie collaborative reste encore à trouver pour la plupart des secteurs. Le cadre législatif n’est pas encore posé, et nous n’avons exploité
qu’un millième des richesses que cette nouvelle tendance promet. Nous avons réuni grands comptes et startups une nouvelle fois pour penser l’économie du partage de demain. GuesttoGuest, Unilend, Wecover, Bird Office, France Barter, Foulefactory, Iadvize et Capsens sont venus animer des ateliers de co-création et incarner la logique
d’Open Innovation chère à Blue Circle. La richesse de ces échanges nous a poussés à rédiger ce «Blue Book»,
un recueil de points de vue en synthèse des trois ateliers de l’événement: nouvelles offres assurantielles liées à l’économie du partage, valorisation des actifs sous-utilisés
des entreprises et crowdsourcing.
L’économiste Jeremy Rifkin prédit, qu’à terme, l’économie collaborative va supplanter l’économie de marché, et la notion d’accès va remplacer celle de propriété.
Mais qu’est-ce que l’économie collaborative ?
Pourquoi les consommateurs en sont-ils de plus en plus friands ? En quoi répond-elle aux nouvelles valeurs de consommation de la société ?
Et surtout, quel nouveau rôle doivent adopter les marques devant ce phénomène en vogue ?
Découvrez-le à travers ce bref panorama sur l’économie collaborative !
Pascal Malotti
Directeur Conseil, Valtech
pascal.malotti@valtech.fr
Arthur Sotto
Planneur Stratégique
arthur.sotto@valtech.fr
Kantar insights - Le magazine des marques Kantar - Eté 2018Romain Brami
Le « digital » tout le monde en parle, souvent de façon convenue. La “rébellion”, beaucoup en rêvent, peu la font. Mais l’association des deux va entraîner un bouleversement irréversible de nos vies.
8 Tendances marketing & consommation pour 2020SWiTCH
Que sera notre quotidien dans 5 ans ? De quoi auront envies les consommateurs ? Afin d’être préparé au mieux, SWiTCH partage 8 tendances du marketing au voyage, en passant par l’habitat, l’alimentation, le shopping et le sport d’ici 2020.
l'observatoire du comportement des consommateurs et des pratiques commerciales.
Cette première édition met l’éclairage sur sept tendances qui infléchissent le commerce d’aujourd’hui et structureront le commerce de demain. Havas Paris Shopper
Tantôt solution miracle à la crise économique et écologique. Tantôt menace sociale promettant l’ubérisation. Aussi populaire que flou, le concept d’économie collaborative investit et
bouscule chaque jour un peu plus tous les secteurs d’activité... Le monde de la santé aussi. Décryptage.
Cahier annuel des entrepreneurs - année 2021 - Quatrième édition
Entretiens avec des entrepreneurs sur leur aventure de création d'entreprise et de startup, avec des articles :
Christophe Le Houédec / François Misslin Ayolab : fournir de la donnée aux marques pour améliorer leurs ventes en ligne
Matthieu Ballester Nannybag : la consigne accessible et connectée
Manon Fargelat Meanwhile : la market place qui promeut la consommation responsable
Marion Peret Dipongo : l’application qui fait quitter les écrans !
François-Xavier Goemaere SkyBoy : une nouvelle expérience de la réalité augmentée
Matthieu Chabeaud Chattez avec vos données avec askR
Clothilde Perez Une transition écologique sur-mesure
Sophie Comte Chut ! au digital, l’aventure entrepreneuriale
Ilan Kaddouch Comment Ilan veut révolutionner le son avec la startup Akoustic Arts
Aurélien Tardieu Greenmove repense nos usages de mobilité : « saisissez l’occasion de passer à l’électrique »
Timothée Le Quesne Les chargeurs ne sont plus que des objets vintage avec Energysquare
Laurent Le Breton Eegle : Data, territoires et entrepreneuriat
Ecoute Sociale : Les français à l’heure du confinement N°1leoburnettparis
N°1 : du 05 mars 2020 au 20 mars 2020
Sommaire
• Les français face au Covid-19 – Dynamiques sociétales générales
• Les français face au confinement – Adaptation des modes de vie
• Les français face au confinement – Adaptation des habitudes d’achats
• Les français face au confinement – Comportements face aux marques
• Les français face au confinement – Verbatims et Expressions
• Comprendre les enjeux clés
En quoi les mutations de l’influence offrent de nouvelles opportunités aux marques de connecter avec leurs consommateurs ?
« L’influence est un processus par lequel une personne fait adopter un point de vue à une autre. »
Quels sont les différents types d’influenceurs et d’influences ? Comment peuvent-ils servir des objectifs marketing ou de communication pour les marques ?
Ce cahier de tendances y répond au travers de 3 prismes : les influenceurs eux-mêmes (l’hyper-influence, l’influenceur virtuel, le micro-influenceur…), l’influence sociale (slacktivism, astroturfing et autres mouvements de groupe) et l’expérience comme levier d’influence (Nudge, UX design et autres ressources).
La famille mute ! Quelles conséquences pour les marques ?leoburnettparis
La famille est la cible privilégiée de beaucoup d’annonceurs.
Comment les familles d'aujourd'hui s’organisent ? Vivent ensemble ? S’informent ? Achètent ? Découvrez toutes les nouvelles dynamiques dans ce cahier de tendances.
Dans ce document, vous pourrez nourrir votre curiosité au travers de 3 grands chapitres: Emotion rime avec impulsion, L’émotion comme indicateur, L’émotion est un vecteur d’opportunités.
Nous abordons le marché du Food à travers 4 MACRO-TENDANCES, pour étudier leurs manifestations et leurs implications :
- La 1re concerne les évolutions de la vision globale du marché.
- La 2e explique les nouveaux imaginaires & états d’esprit du consommateur vis-à-vis du marché.
- La 3e détaille la tendance majeure des évolutions & innovations produits.
- La 4e présente le plus gros challenge à venir pour les acteurs traditionnels du marché.
Notre espérance de vie augmente. Nous voulons passer ces années gagnées en bonne santé, actifs et dynamiques.
La beauté saine, notre nouveau leitmotiv.
Nous abordons le marché du Personal Care à travers 4 macro-tendances, pour étudier leurs manifestations et leurs implications :
• les évolutions de la vision globale du marché
• les nouveaux imaginaires et états d’esprit du consommateur vis-à-vis du marché
• la tendance majeure des évolutions et innovations produits
• le plus gros challenge à venir pour les acteurs traditionnels du marché
LE JEU EST ANCRÉ EN NOUS.
Partie intégrante de l’histoire de nos sociétés, il est depuis longtemps pratiqué par les petits et les grands. Qu’il n’ait d’autre but que celui de s’amuser, ou qu’il soit sujet à compétition ou à apprentissage, le jeu est structurant et nous aimons ça.
ET, DEPUIS UNE 20AINE D’ANNÉES,
LE JEU N’EST PLUS UNIQUEMENT RÉSERVÉ AUX ENFANTS.
L’avènement des jeux de société et des jeux vidéos a marqué une nouvelle époque dans notre rapport au jeu. Avant cantonnés à l’univers de l’enfance et de l’adolescence, les jeux se sont développés, aussi bien en termes de thèmes, de formes et de plateformes. Ils ont alors conquis de nouveaux publics.
L’ESPRIT DU JEU N’EST PLUS CANTONNÉ À UNE CIBLE NICHE:
TOUT LE MONDE EST JOUEUR À SA FAÇON !
Le jeu, ET A FORTIORI LES JEUX VIDÉOS, aujourd’hui emblème de notre société ludique, ont impacté nos schémas de pensée, nos méthodes de fonctionnement, nos façons de nous engager.
Il faut les comprendre, pour s’y adapter et répondre aux attentes de ces nouveaux profils consommateur, POUR QUI TOUT DOIT ÊTRE JEU.
Hommes et femmes évoluent de plus en plus au-delà des schémas normés. Nous changeons, parfois un peu perdus, parfois un peu hésitants. Nous mixons et nous composons entre tradition et modernité.
Nous avons tous aujourd'hui de nouvelles envies, de nouvelles aspirations, qui ne collent pas toujours aux rôles établis. Alors que nous revendiquons nos particularités, nous nous redéfinissons. Cela a alors un impact sur nos vies, nos relations, notre consommation et notre rapport aux marques.
Quelles sont aujourd'hui les manifestations évidentes de ces changements? Quelles opportunités se présentent pour les marques ? Ce sont les questions auxquelles ce cahier tente de répondre.
De l'importance du "physique" dans un monde digitalleoburnettparis
A mesure que notre quotidien se digitalise, nous nous rendons compte que l'importance des choses des choses physiques, tangibles. Le physique à travers son rapport au corps, aux sens et à l’humain est plus vivant. Ce qui est réel reste incontournable car chargé en émotions. Comment cela affecte alors la relation marque/conso.
2. Bryan Walsh
Lire l’article: http://ti.me/19YTeQY
2
“Un jour, nous regarderons
le XXe siècle et nous nous
demanderons pourquoi nous
possédions autant de choses”
3. Le droit à l’usage va
prendre le pas sur le droit
à la propriété.
3
Pour 83% des Français, l’important
c’est de pouvoir utiliser un produit
plus que de le posséder.
SRC : Obsoco 2012
5. 1 - 3 raisons d’y croire vraiment
Bien que notre pouvoir d’achat baisse, nous voulons toujours autant
profiter de tout ce que la société de consommation nous propose. Pour ne pas être
frustré et ne pas nous priver, nous avons trouvé un moyen : repenser notre manière
de consommer. Nous cherchons alors à optimiser nos dépenses, quitte à partager
nos biens avec d’autres et posséder moins pour consommer autant.
Raison n°1
Crise
économique
5
“
6. Jonathan Clark - Directeur Executif de WhipCar
Lire l’article : http://on.mash.to/1cW6AP9
“C’est moins une question d’avoir besoin d’argent et plus une question
d’être malin avec ce que vous possédez […] La consommation
collaborative, c’est du bon sens. Une voiture peut coûter jusqu’à 7000
$ par an en entretien, et la majorité des propriétaires de voiture ne la
conduisent pas tous les jours.”
1 - 3 raisons d’y croire vraiment
Raison n°1 / Crise économique
6
Illustrations
1/3 des Français déclarent que
la réduction de leur niveau de
vie leur coûte vraiment.
7. Pour réduire notre impact sur l’environnement, éviter le gaspillage et la
création de déchets inutiles, nous révisons nos priorités. Nous voulons être sûrs d’utiliser
pleinement ce que nous achetons et nous trouvons des solutions alternatives pour disposer
temporairement de ce dont nous n’avons pas besoin tout le temps.
1 - 3 raisons d’y croire vraiment
Raison n° 2
Prise de conscience
environnementale
7
“
8. “Le jour où le consommateur aura le réflexe de se demander s’il a
vraiment besoin de posséder cet objet, alors qu’il s’apprête à acheter
une perceuse ou une voiture, sachant qu’il peut en louer une ou
l’emprunter à son voisin, la planète s’en portera mieux.”
1 - 3 raisons d’y croire vraiment
Raison n°2 / Prise de conscience environnementale
8
Illustrations
Pour 32% des français, quand ils
déclarent vouloir mieux consommer, cela
passe par acheter des produits vraiment
utiles.Obsoco 2012
Roo Rogers - Entrepreneur & Co-Auteur «What’s mine is yours»
Lire l’article : http://bit.ly/1eiDnvT
9. “Avec internet, notre rapport à la valeur des choses a changé. La facilité
d’échange et de partage, gratuitement et sans droit, nous a permis de multiplier notre accès
aux choses, soit en trouvant des solutions pour posséder à moindres coûts, soit en
échangeant conseils et objets en ligne.
1 - 3 raisons d’y croire vraiment
Raison n° 3
L’ère de l’esprit
web
9
10. “Les comportements de partage, à travers des sites comme
Flickr et Twitter, deviennent une seconde nature sur internet et
sont appliqués à des parties non connectées de nos vies
quotidiennes.”
1 - 3 raisons d’y croire vraiment
Raison n°3 / L’ère de l’esprit web
10
Illustrations
62 % des Français déclarent que, dans les
années à venir, ils seront plus prompts à
faire appel à l’entraide, à l’échange de
produits/services, plutôt que de payer.
Étude Cetelem sur la consommation 2013
Rachel Botsman - auteure sur la consommation collaborative, co-auteure «What’s mine is yours»
Lire l’article : http://bit.ly/18WldCN
12. “Les recherches sur le bien-être […] ont
montré systématiquement que l’argent
ne nous rend heureux que jusqu’à un
certain point. Mais aussi qu’acheter des
expériences nous rend plus heureux
qu’acheter des produits.”
Simon Smith
Lire l’article: http://bit.ly/1cW7sTR
12
13. Impossible de parler de l’évolution de notre rapport à la propriété sans parler
d’abord de l’occasion. Nous sommes 60 % à être adeptes de cette pratique et à ne plus
chercher le neuf à tout prix. Nous préférons être malins dans nos achats. Mais au-delà de ce
phénomène de masse, une foule de nouveaux modèles émergent, bousculent nos habitudes de
consommation pour nous libérer des contraintes de la propriété et nous permettre de multiplier
les expériences.
Manifestation n°1
De nouveaux modèles
de consommation
13
“
2 – Manifestations côté consos
Obsoco 2012
14. 1. Le tout-location
Nous pouvons aujourd’hui tout louer à d’autres particuliers (véhicule, bricolage, événementiel, high-tech, loisirs,
maison, luxe, etc.), pour la durée dont nous en avons besoin et à un prix établi par le loueur.
Ce site, très populaire aujourd’hui, permet la location de logements pour des
séjours de courte durée, de particulier à particulier, dans le monde entier. Un
service en concurrence directe avec l’industrie hôtelière.
2 – Manifestations côté consos
Airbnb
14
Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
15. Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
Le stationnement en ville est toujours un problème. Cette
plateforme nous permet de louer une place de parking, de
particulier à particulier, voire de stationner chez quelqu’un, le
temps d’un passage ponctuel quelque part.
Le site permet l’échange et la location de biens de luxe
(robes, sacs, accessoires), ce qui permet à de nouvelles
cibles, moins exclusives, d’accéder à ces produits
normalement positionnés dans un modèle de rareté.
2 – Manifestations côté consos
Mobypark
Rent the runway
D’une voiture à une maison de vacances,
en passant par des produits de luxe, nous pouvons tout
louer à la journée sur Zilok. Nous pouvons choisir de le
faire à travers le site ou de se coordonner personnellement
avec le loueur, par téléphone.
Zilok
15
16. 2. L’abonnement
Nous avons la possibilité de payer un forfait mensuel pour bénéficier d’un accès illimité à toutes sortes de choses :
une base de fichiers numériques, une collection d’objets, un vestiaire collectif, un ensemble de services, etc.
Contre le paiement d’un abonnement mensuel, nous pouvons accéder à une large
banque de données de contenus audiovisuels (Netflix) ou musicaux (Spotify).
2 – Manifestations côté consos
Netflix & Spotify
16
Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
17. Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
Pour 15 $ par mois, nous pouvons recevoir une sélection de
trois vernis, en fonction de nos envies. Tous les mois, nous
renvoyons ceux que nous avions reçus pour en recevoir trois
nouveaux à tester.
Ce service nous permet, en payant un
abonnement de 1695 $ par mois, d’avoir un
accès illimité à des vols entre Los Angeles,
Santa Barbara et San Francisco.
2 – Manifestations côté consos
Lacquerou
s
The Society
Sur ce site américain, nous pouvons choisir un forfait (qui
donne accès à 1, 3, 6 ou 10 objets par mois), puis indiquons les
objets que nous souhaitons recevoir. Nous les utilisons le
temps que nous désirons, pour enfin les renvoyer à la fin du
mois, en échange de nouveaux objets que nous souhaitons
essayer.
Surfair
17
18. 3. Le retour en force du troc
Nous pouvons échanger avec un autre participant toutes sortes d’objets, pour une durée limitée ou non.
Ces échanges, sans transaction monétaire, retrouvent un nouveau souffle grâce au web.
La plateforme française permet d’échanger toute sorte de choses, contre ce que
nous mettons à disposition des autres membres ou contre des crédits gagnés suite
à l’estimation de nos biens proposés sur le site.
2 – Manifestations côté consos
Pretachanger.fr
18
Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
19. Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
Le site permet à tous les membres de la communauté de mettre
à disposition et d’échanger des livres.
La plateforme permet d’échanger principalement
des vêtements et accessoires, mais aussi des
produits cosmétiques et des items culturels. Nous
pouvons également y vendre nos biens.
2 – Manifestations côté consos
Paper Back Swap
Consoglobe
En nous enregistrant sur le site, nous listons les produits mis à
disposition et ce que nous voudrions en échange. Nous
pouvons ensuite échanger produit contre produit, ou un produit
contre des points gagnés en fonction de la valeur de ce que
nous proposons à l’échange.
Swap style
19
20. 4. Mettre a disposition services et compétences
Le site permet de mettre à disposition nos compétences et d’effectuer des
petits jobs, en « freelance ». « TaskRabbit » a par exemple permis à des
milliers de gens de se relever après un licenciement, quand ils ne pouvaient
rien trouver sur le marché de l’emploi (70 % étaient auparavant sans emploi
ou sous payés).
2 – Manifestations côté consos
TaskRabbit
20
Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
21. Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
La plateforme, une initiative de Castorama, nous permet de troquer
des heures de bricolage ou de peinture contre des heures de
jardinage ou de démolissage. Le tout peut se faire sans aucun
échange monétaire.
Échanger une heure de repassage contre un accès à
une machine à laver dans son quartier, c’est
l’ambition de ce site français, de mise en relation
pour échanger services (repassage, lavage de linge,
etc.) et objets ponctuellement.
2 – Manifestations côté consos
Troc’heures
Cookening
Cookening a récemment racheté Beyond Croissant pour élargir
son offre de eat surfing (s’incruster chez des inconnus le temps
d’un repas). Nous pouvons tous nous inscrire, choisir le repas
auquel nous souhaitons participer, et manger, gratuitement ou
moyenant finances, chez et avec des inconnus.
Un voisin
épatant
21
22. 5. Consommer
Il existe deux manières de coconsommer : profiter d’un bien de quelqu’un contre rémunération ou partager la
propriété d’un bien que l’on a acheté avec d’autres personnes.
Ce site de covoiturage permet de partager un trajet en voiture pour aller partout en
France à prix réduit. Quand voyager seul devient très cher, le covoiturage est
aujourd’hui l’option pour nous permettre d’économiser de l’argent sur nos trajets.
2 – Manifestations côté consos
Bla Bla Car
22
Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
23. Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
Le site met en relation des gens souhaitant mutualiser un achat,
afin de minimiser les coûts et maximiser l’utilisation. Envie d’une
maison ou d’un bateau, il nous suffit de rechercher dans la
catégorie qui nous intéresse pour trouver plusieurs propositions
de propriétés partagées.
Les deux services de coconsommation français, l’un pour les
vélos et l’autre pour les voitures citadines électriques, permettent
aux Parisiens de se déplacer plus efficacement et à moindres
coûts. Plus de problème de stationnement, de coûts d’énergie,
de maintenance : le parc de vélos et d’autos est mis en commun
entre tous les abonnés du service et facturé à la demi-heure ou à
l’heure. Des modèles privés se développent également, sur des
fonctionnements similaires, comme ZipCar aux États-Unis
2 – Manifestations côté consos
Autolib’/Velib’
Les biens de luxe étant hors de portée pour beaucoup de
gens, la propriété partagée peut être une option pour
accéder à des biens auxquels nous n’aurions pas pu
accéder seuls. Pour une villa de luxe en Espagne ou un jet
privé aux USA, ce site est le lieu de l’achat à plusieurs.
Luxury fractional guide
23
DIY Fractional
24. 6. L’expérience par les «boxes»
En payant un forfait mensuel, nous pouvons nous offrir ou tester des produits habituellement peu abordables ou
disponibles uniquement à l’étranger. Une occasion en or pour multiplier les expériences à moindres prix.
Ce e-shop propose de découvrir ses différentes gammes de produits en recevant
chaque mois des échantillons de produits phares de la saison, pour tester les
dernières tendances, juste pour le plaisir ou avant un éventuel achat. De
nombreuses autres marques proposent un service similaire.
2 – Manifestations côté consos
Birchbox
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Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
25. Manifestation n°1 / De nouveaux modèles de consommation
Ce principe de boîte permet de découvrir des produits exclusifs
ou d’éditions limitées du monde du luxe pour un forfait minimum,
tous les trimestres.
Vin subtil propose une box mensuelle pour découvrir
plusieurs échantillons de vins grands crus ou nouveaux,
afin de tester les moins accessibles ou de les goûter avant
de créer sa cave.
2 – Manifestations côté consos
VIP blackbox
Vin subtil box
Version masculine de la box beauté, la Dandy box propose
aux hommes de recevoir tous les deux mois des
échantillons de produits et des accessoires mode, ainsi que
des conseils sur la ligne «lifestyle» de la box.
Dandy box
25
26. Influencés par l’«open source» et les nouveaux modèles de propriété
intellectuelle comme les «Creative Commons», nous sommes en train de réviser notre rapport à
la propriété intellectuelle, au partage de la connaissance. Nous échangeons sur nos idées, nos
concepts, nos projets pour se stimuler et s’enrichir les uns les autres, en travaillant ensemble.
Cela nous permet d’entrer dans une véritable ère de collaboration et dans une nouvelle
dynamique d’innovation.
Manifestation n° 2
De nouvelles manières
de créer
26
“
2 – Manifestations côté consos
Obsoco 2012
27. 1. Le partage du savoir
Nous avons la possibilité de partager notre savoir et permettre aux autres d’y accéder sans contrainte, pour qu’il
soit amélioré, détourné, utilisé, réinventé. Nous étendons l’accès au savoir et aux compétences en ligne.
Depuis quelques années aux USA, et surtout depuis 2012 en France, ces cours
ouverts et massifs en ligne permettent de partager et d’accéder gratuitement à des
connaissances, avant réservées aux lieux d’apprentissage traditionnels.
En France, les offres de cours sont répertoriées sur une plateforme unique.
2 – Manifestations côté consos
MOOCs
27
Manifestation n°2 / De nouvelles manières de créer
«Massive Open Online Courses»
28. Les connaissances sur la fabrication des maisons et les
méthodes de construction se démocratisent, grâce à Wikihouse,
qui permet d’imprimer soi-même sa maison, de s’inspirer et de
modifier les plans selon ses envies.
Cette plateforme permet d’apprendre des langues étrangères
gratuitement, grâce à la participation de l’ensemble des
membres pour la création d’une base de données de traduction.
Pour chaque exercice proposé, la traduction donnée par
l’internaute est enregistrée et permet de préciser à chaque fois
la bonne traduction pour permettre à d’autres d’apprendre la
langue.
2 – Manifestations côté consos
Wikihouse
Duolingo
Google a ouvert début novembre 2013 une plateforme qui
propose de trouver de l’aide et d’apprendre de nouvelles
choses, grâce à des inconnus des quatre coins du monde.
Tout est possible gratuitement ou à bas prix sur Google
Helpouts.
Google helpouts
28
Manifestation n°2 / De nouvelles manières de créer
29. 2. Le financement participatif
Nous pouvons maintenant collecter des fonds ou aider quelqu’un à se financer, pour la réalisation de toutes sortes
de projets (artistiques, entrepreneuriaux, etc.), avec ou sans intérêt financier.
Sur cette plateforme, nous soumettons notre projet (dans des catégories variées :
art, musique, design, jeux, etc.) et demandons une somme définie pour le réaliser.
Les internautes ont le choix entre différents niveaux de participation, qui leur
donnent ensuite droit à différentes contreparties pour leur investissement. En 2012,
plus de 300 millions de dollars ont été donnés, pour plus de 18 000 projets
financés.
2 – Manifestations côté consos
Kickstarter
29
Manifestation n°2 / De nouvelles manières de créer
30. Prêt d’union est une plateforme française de prêt entre
particuliers. N’importe qui peut, soit emprunter pour des projets
variés (déménagement, mariage, véhicule neuf, etc.), soit prêter
son argent, avec un taux de retour assuré.
Kiva est une plateforme de micro-crédit de particuliers à
particuliers, qui permet d’aider des gens dans le besoin aux
quatre coins du monde. Du financement participatif pour
encourager le développement mondial !
2 – Manifestations côté consos
Prêt d’union
Kiva
Ce modèle de production de musique communautaire
permet aux investisseurs de recevoir des royalties en
fonction des ventes du projet musical qu’ils ont financé. Des
modèles similaires existent pour la production de jeux, de
concerts, etc.
My major company
30
Manifestation n°2 / De nouvelles manières de créer
31. 3. Fablas & Hackerspaces
Avec ces espaces, nous accédons à du matériel professionnel mais aussi à un lieu d’échange d’idées. La condition
«sine qua non» pour y accéder est de tout documenter, de laisser libre les données de nos recherches et de ne pas
travailler en solitaire.
Sur cette plateforme, nous soumettons notre projet (dans des catégories variées :
art, musique, design, jeux, etc.) et demandons une somme définie pour le réaliser.
Les internautes ont le choix entre différents niveaux de participation, qui leur
donnent ensuite droit à différentes contreparties pour leur investissement. En 2012,
plus de 300 millions de dollars ont été donnés, pour plus de 18 000 projets
financés.
2 – Manifestations côté consos
Kickstarter
31
Manifestation n°2 / De nouvelles manières de créer
32. « Hackerspace » Parisien, le LOOP permet à qui le veut de
bénéficier d’infrastructures pour réaliser ses projets et
d’échanger ses idées avec la communauté pour générer plus
d’innovations et créer à moindres coûts, ensemble.
Ce centre est un « maker space », un espace où l’on
produit des choses relevant aussi bien de l’artisanat (bois,
bijouterie, etc.) que de la création technologique. Des cours
pour apprendre à utiliser les divers outils ou techniques
sont également proposés, par les membres de la
communauté.
2 – Manifestations côté consos
Le loop
Artisans’s
asylum
Intégré à l’université de Cergy-Pontoise, le Faclab permet à des
étudiants ainsi qu’à des externes d’accéder à un équipement varié
pour donner corps à leurs inventions. Comme l’ensemble des
Fablabs, le but est l’échange et l’accès est permis sous la
condition de partage de ses recherches.
Le faclab
32
Les autres illustrations
Manifestation n°2 / De nouvelles manières de créer
33. 4. Les espaces de co-working
Ces espaces sont pensés pour faciliter l’échange et la collaboration. Nous y venons dans le but d’échanger, de
trouver de nouvelles inspirations, et de partager nos idées et nos compétences pour s’enrichir les uns des autres.
La Cantine est un espace de co-working spécialement pensé pour les acteurs du
numérique. Le but est de collaborer pour élaborer, tester et réaliser des projets
innovants dans les nouvelles technologies. C’est également un réseau, présent
dans des lieux différents, de Paris et de province, qui favorise l’innovation en
permettant aux gens de se rencontrer et de partager.
2 – Manifestations côté consos
La Cantine
33
Manifestation n°2 / De nouvelles manières de créer
34. Cet espace de co-working offre aux indépendants un lieu de travail,
de collaboration et d’échange avec différents profils de
professionnels, afin d’enrichir leurs projets et de se développer. On
y propose également différents services, tels que des événements
de networking, des casiers, des équipements de bureau, des boxes
de «conference call», etc.
Hera hub est un espace de co-working spécialement dédié
aux femmes entrepreneurs de San Diego. Cet espace
propose des services pensés pour elles (et les aide dans
leurs rythmes de vie parfois compliqués). C’est aussi un
endroit de partage d’expériences et d’idées.
2 – Manifestations côté consos
La Mutinerie
Hera hub
Cet espace de co-working est dédié aux start-up de la
restauration, qui ne bénéficient pas d’assez de fonds pour avoir
un local dédié à la cuisine et qui souhaitent échanger conseils et
idées entre professionnels.
Union kitchen
34
Manifestation n°2 / De nouvelles manières de créer
35. Toutes ces pratiques sont,
en plus, créatrices de liens
Si nous y voyons au premier abord un intérêt
financier, nous tissons très vite des liens avec
d’autres membres jusqu’à former une
communauté.
35
36. Rachel Botsman
Lire l’article: http://bit.ly/19aTVZ7
36
“C'est la fin du consommateur comme on
l'entendait. D'ici dix ans il sera mort.
Le consommateur ne se définira plus comme tel,
mais comme membre d'une communauté.”
37. Partager notre espace libre nous a ouvert à recevoir des
gens du monde entier. C’est génial de se sentir membre
d’une communauté de voyageurs et d’hôtes, qui œuvrent
ensemble pour s’aider tous ”.
Shana S. Jérusalem
Paroles
de gens
37
“
“ En partageant ma voiture, je me suis fait des amis, j’ai aidé
les autres, réduit la congestion routière, gagné un peu
d’argent et vu des parties de la ville que je n’aurais jamais
vues autrement ”
Hans S. Chicago
“ Je peux me faire un peu d’argent, en faisant des choses
que j’adore. J’ai rencontré des personnes géniales, je peux
emprunter des choses au lieu de les acheter […]. Je me
connecte à ma communauté, en profitant de ce que ma ville
a à offrir, en partageant mes passions et je sens que je peux
faire la différence. ”
Stéphanie D., Montréal
“ Je suis super fan du covoiturage ! Je peux visiter ma
famille, mes amis dans le Jutland sans me ruiner. Je
rencontre aussi de super personnes sur le chemin.”
Mette M., Copenhague
Propos recueillis sur Peers.org
39. LES MARQUES ONT UNE
OPPORTUNITÉ UNIQUE
D’ENRICHIR LEUR MODÈLE.
Mais aussi d’être concrètement beaucoup plus
ouvertes et plus proches de leurs
consommateurs, plus humaines et plus réactives.
39
40. “Vous pouvez agir comme l’industrie musicale, ne
pas voir les signes et quand la réalité vous rattrape,
engager un groupe d’avocats et vous battre en vain.
Ou vous pouvez devenir un partenaire de cette
révolution et tirer votre épingle du jeu.”
Neal Gorenflo
40
41. 1. Moins d’achats, plus d’accès
Pour toucher un consommateur qui cherche à payer uniquement la valeur de ce qu’il consomme et à accéder en
abondance, les entreprises doivent comprendre qu’elles n’ont plus intérêt à vendre à tout prix. La location, la
coconsommation, l’accès par abonnement sont autant de modèles à intégrer pour faire évoluer les modèles
économiques, rendre l’accès plus simple et monétiser la production d’une nouvelle manière.
Leroy Merlin propose de diagnostiquer nos besoins d’outillage en fonction des projets
de travaux que nous envisageons. L’enseigne nous loue ensuite l’ensemble des outils
nécessaires (de la perceuse à la décolleuse à papier peint), le temps de la réalisation.
Mr Bricolage (en partenariat avec Kiloutou) et Home Depot (1er distributeur d’outils de
bricolage aux États-Unis) proposent un service similaire.
Leroy Merlin & la location de matériel de travaux
41
3 – Impact sur la relation marques / consos
42. Moins d’achat, plus d’accès
BMW met à disposition certains de ses modèles en location à la
journée ou au mois, pour les personnes n’ayant qu’un usage limité
de la voiture. Volkswagen (Quicar), Renault (Twizy Way) et Daimler
(Car2Go) proposent également un service similaire : une vraie
révolution pour les modèles économiques des grands constructeurs.
Inspiré par les services de partage de voitures, ce service
propose au consommateur de voir sa location facturée à
l’heure, incluant carburant et assurance, le tout sans
abonnement. Pratique lorsque l’on a besoin très
ponctuellement d’un véhicule !
.
BMW drive
now
Connect by
Hertz
Cette plateforme propose de louer son équipement
électroménager. Du lave-linge à la télé, en passant par un
Macbook Pro, on peut s’équiper temporairement du produit
dernier cri à moindres prix, selon son usage, et surtout en
changer souvent. Le minimum d’engagement est de 18.
mois.
Lokeo - Boulanger
42
3 – Impact sur la relation marques / consos
43. 2. Apporter toujours plus de valeur ajoutée
Avec l’émergence de modes de consommation alternatifs, il est crucial de redéfinir la valeur ajoutée liée à l’achat
d’un nouveau produit et à la marque. L’accès en abondance proposé par les nouveaux modèles se fait parfois au
prix de la suppression de certains bénéfices liés au produit. Il s’agit alors de les valoriser et d’en créer de nouveaux,
pour différencier qualitativement l’offre classique et l’offre de consommation alternative.
IKEA propose à ses clients différentes solutions pour tirer profit de leurs anciens
meubles. L’une d’elles consiste à racheter les anciens meubles en échange d’un
montant crédité sur une carte cadeau IKEA. En Norvège, l’enseigne a également
endossé le rôle de marché aux puces, le temps de la campagne «Second Hand», pour
revendre une sélection de 50 vieux meubles de qualité repris à certains clients en
échange de cartes cadeaux.
IKEA et son programme : «donnez une seconde vie à vous
meubles»
43
3 – Impact sur la relation marques / consos
44. Apporter toujours plus de valeur ajoutée
Un large nombre de jeux vidéo valorise l’achat neuf en intégrant des
codes pour accéder à des contenus exclusifs. Ces avantages ne
sont pas transférables en cas d’achat d’occasion. Acheter en
première main propose donc une expérience de jeu encore
améliorée.
KIA réinvente la garantie automobile en proposant une
garantie 7 ans (ou 150 000 km) transférable à un second
acheteur. Une bonne manière de prendre en compte la
réalité du cycle de vie d’une voiture et d’inciter à l’achat
d’un véhicule.
Jeux vidéo &
DLC
KIA garantie 7
ans
Marks & Spencer propose à ses clients de ramener leurs vêtements
usagés en magasin pour les échanger contre des bons d’achats. Une
bonne manière de fusionner «swapping» (échange) et «shopping» pour
stimuler de nouvelles ventes. Cerise sur le gâteau, les vêtements déposés
sont repris par Oxfam qui les redistribue aux personnes dans le besoin.
.
Le «scwopping»
44
3 – Impact sur la relation marques / consos
45. 3. Co-entreprendre
Parce que de nombreux consommateurs ont été habitués à donner leur avis et à contribuer sur le web, ils
souhaitent aujourd’hui participer et collaborer avec les entreprises. Les marques ont alors tout intérêt à ouvrir leurs
systèmes et à intégrer les idées des consommateurs, parce qu’ils sont une réelle force de développement des
entreprises. Ils savent ce qu’ils veulent consommer et valorisent les marques à leur écoute.
En rejoignant la communauté de Quirky, l’internaute a la possibilité de soumettre son
idée/concept de produit, de voter pour les idées/concepts qu’il préfère et de les
acheter ensuite. Auchan s’est associé à ce service et met depuis peu en vente des
produits pensés par ses clients, pour répondre au plus près à leurs attentes.
Auchan & Quirky
45
3 – Impact sur la relation marques / consos
46. Apporter toujours plus de valeur ajoutée
Sur la plateforme en ligne, les fans de Lego ont la possibilité de proposer
leurs idées de set à construire. S’ils recueillent 10 000 soutiens, l’idée
sera étudiée par l’équipe Lego. Chaque trimestre, la meilleure idée sera
choisie pour être commercialisée. Le créateur gagnera 1% des revenus
des ventes.
La SNCF libère progressivement l’accès à ses données et
permet aux usagers de proposer leurs idées pour améliorer
le service. Une première application, pour aider à la
régulation du trafic francilien, a été pensée en partenariat
avec les usagers, pour leur permettre d’agir directement
pour la ponctualité du réseau. Après Brétigny, la SNCF
réfléchit également à une ouverture de données plus
généralisée pour favoriser la sécurité.
Lego cuusoo
SNCF open data
La grande chaîne de cafés permet à qui le souhaite de proposer ses idées pour une
nouvelle boisson, une nouvelle organisation ou une amélioration de l’expérience client. Le
site prend la forme d’un forum, où chacun peut discuter, échanger et voter pour les
différentes idées proposées. Les idées les plus populaires sont analysées par l’entreprise
pour une potentielle mise en place dans les cafés.
My starbucks
idea
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3 – Impact sur la relation marque / consos
47. Aujourd’hui, parce qu’elles se rendent compte de l’importance des
nouvelles tendances de consommation, les marques multiplient les initiatives pour
s’intégrer à l’économie collaborative. Mais peu sont celles vraiment ambitieuses.
Beaucoup se limitent au partenariat ou au rachat d’une start-up de cette nouvelle
société du partage. Alors, après le «green washing», peut-on parler de «sharing
washing» ? Il n’est pas suffisant de s’approprier le succès de ces nouveaux
acteurs.
Il faut devenir un réel contributeur, capable d’encourager un vrai
développement des modèles de partage, en proposant de réelles innovations
et en pensant aux besoins profonds des consommateurs.
LE "SHARING WASHING"
“
47
Il existe un danger