Dr Benjamin Besse - Parrainage Chercheur Gustave Roussy - Cancer du PoumonGustave Roussy
Première cause de mortalité par cancer chez l’homme mais également chez la femme à l’horizon 2014, le cancer du poumon doit figurer parmi les axes prioritaires de la recherche.
En parrainant ce programme, les donateurs font avancer la recherche.
En savoir plus : www.dons-gustaveroussy.fr/programme-cancer-du-poumon
Dr Benjamin Besse - Parrainage Chercheur Gustave Roussy - Cancer du PoumonGustave Roussy
Première cause de mortalité par cancer chez l’homme mais également chez la femme à l’horizon 2014, le cancer du poumon doit figurer parmi les axes prioritaires de la recherche.
En parrainant ce programme, les donateurs font avancer la recherche.
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- Laurence Klotz Abstract N°26
Suivi à long terme d'une vaste cohorte de surveillance active
- Rami Klaff Abstract N°32
Mortalité spécifique en cas de cancer prostatique localisé à bas risque.
Cohorte de population prospective
- M.B.A-R. Adam Abstract N°103
Délétions chromosomiques récurrentes et croissance locale et progression métastatique du cancer de la prostate
- Jose Rubio Briones Abstract N°104
La perte de SPOP (speckle-type POZ protein) lors de la progression du cancer de
la prostate montre son rôle de gène suppresseur tumoral
- Robert J. Karnes, Abstract N°205
Validation d'un panel génomique pour la prédiction d'une rechute biologique
après radiothérapie post-opératoire de cancer prostatique à haut risque
- Alexandre R. Zlotta, Abstract N°206
Cartographie fine du locus chromosomique des kallikréines, et impact de ses polymorphismes dans l'agressivité du cancer de la prostate : résultats d'une cohorte canadienne et de l'étude randomisée européenne pour le dépistage du cancer de la prostate (ERSPC)
- O.V. Shkabko Abstract N°348
Panel de marqueurs moléculaires pour le diagnostic du cancer de la prostate
Objectif: Le FOLFIRINOX, validé dans les formes métastatiques, est en cours d’évaluation dans l’adénocarcinome du pancréas borderline (BR) ou localement avancé (LA). Le but de cette étude était d’analyser les suites opératoires de patients réséqués pour ADCP BR/LA après traitement d'induction par FOLFIRINOX.
Méthode: Les patients opérés après FOLFIRINOX ont été inclus dans cette étude rétrospective (20 centres). Les tumeurs ont été classées BR/LA selon la classification du NCCN. Les scanners diagnostiques de 60 patients ont fait l’objet d’une relecture centralisée.
Résultats: De Nov. 2010 à Déc. 2013, 80 patients (âge médian 59 ans) ont été opérés après une médiane de 6 cycles (1-30) de FOFIRINOX, et 65% (n=52) ont reçu en complément une radiochimiothérapie préopératoire après FOLFIRINOX. Au diagnostic, 47 patients (59%) étaient classés BR et 33 (41%) LA. La taille moyenne tumorale était de 33 mm (+/-12,9), et 82,5% (n=66) des tumeurs étaient céphaliques. Une résection veineuse a été réalisée chez 30 patients (37,5%).
La mortalité et la morbidité (Clavien grade III-IV) étaient de 3,7% (n=3) et 22%, dont 4% de fistules pancréatiques. Le taux de résections R0 était de 84%, avec 15% de réponse histologique complète. Après une médiane de suivi post-chirurgicale de 38,2 mois (IC 95% 29,3-47,0), 23 patients (28,7%) sont décédés et 42 (52%) ont présenté une récidive tumorale. La médiane de survie globale depuis le diagnostic (SGD) était de 59,2 mois (IC95% 45,7-72 ,7). La survie sans récidive (SSR) après chirurgie était de 17,2 mois [IC 95%: 11,3-23,0]. Les patients présentant une réponse histologique majeure, tumeurs classées ypT0-T1N0, présentaient une SGD significativement prolongée comparée aux patients ypT2-T4Nx avec, respectivement, des taux de SGC à 36 mois de 100% et 55% (p=0,001).
En analyse univariée, le nombre de cycles de FOLFIRINOX inférieurs à 6 (HR=0,49 ; p=0,03), l’absence de résection veineuse (HR=0,39 ; p=0,003) et la réponse histologique majeure (HR=0,33 ; p=0,01) étaient des facteurs de SSR. En analyse multivariée, l’absence de résection veineuse (HR=0,92 ; p=0,03) et la réponse histologique majeure (HR=0,38 ; p=0,035) étaient des facteurs indépendants de SSR.
Conclusion: La résection chirurgicale pour adénocarcinome du pancréas BR/LA après FOLFIRINOX +/- radiochimiothérapie est R0 dans 84% des cas, associée à une faible morbidité, et permet d’obtenir des SSR et SG proches de celles des patients résécables d’emblée. Ces résultats justifient une évaluation prospective du FOLFIRINOX dans ces indications.
Actualités 2015 en radiothérapie des cancers des voies aéro-digestives supérieures. Revue subjective des congrès et publications. Présentation CRONOR 21/11/2015. Thèmes : radiochimiothérapie, modification du fractionnement, biothérapie,
Echange très intéressant lors des rencontres chirurgicales entre chirurgiens du GHT Loire. Le thème était la plaie des voies biliaires lors d'une cholecystectomie. Une complication rare mais grave.
Céline Barcelo
Service de radiologie, hôpital Purpan, CHU de Toulouse
L’imagerie gynécologique au RSNA cette année c’était :
18 séances scientifiques
61 posters scientifiques et pédagogiques
9 refreshers courses
Pathologies malignes
Cancer des ovaires
IRM de diffusion : L’équipe de Lucidarme et al. a montré que l’IRM de diffusion avec suppression du signal avec les séquences DWIBS (Diffusion Weighted Sequences with Background Body Signal Supression) est au moins aussi sensible que le scanner multicoupe pour évaluer le stade des cancers ovariens en préopératoire et ainsi pour planier de façon optimale la chirurgie de debulking. En particulier, la DWIBS permettrait de détecter de façon plus fiable les atteintes diaphragmatiques et hépatiques.
Tomodensitométrie : Pour E. Sala et al. (1), la TDM avec injection de produit de contraste est aussi performante que la TEP couplée au TDM pour détecter les récidives des cancers de l’ovaire. Cependant cette dernière permettrait en plus de prédire la survie des patients après récidive grâce au nombre, à la taille et la SUV (Standardized Uptake Value) des implants péritonéaux métastatiques et des ganglions métastatiques à distance. Un signe important pour l’équipe new yorkaise de Mironov : la détection d’un épanchement pleural (EP) par TDM préopératoire chez les patientes porteuses d’un cancer épithélial de l’ovaire à un stade avancé (≥ stade III FIGO). En effet, selon cette étude rétrospective de 212 patientes, sa présence serait facteur de mauvais pronostic. Les patientes présentant un EP avec un cancer de stade III auraient la même survie que celles ayant un cancer plus avancé stade IV. De plus les EP à droite seraient plus fréquemment malignes (p = 0,02).
reseauprosante.fr
- Laurence Klotz Abstract N°26
Suivi à long terme d'une vaste cohorte de surveillance active
- Rami Klaff Abstract N°32
Mortalité spécifique en cas de cancer prostatique localisé à bas risque.
Cohorte de population prospective
- M.B.A-R. Adam Abstract N°103
Délétions chromosomiques récurrentes et croissance locale et progression métastatique du cancer de la prostate
- Jose Rubio Briones Abstract N°104
La perte de SPOP (speckle-type POZ protein) lors de la progression du cancer de
la prostate montre son rôle de gène suppresseur tumoral
- Robert J. Karnes, Abstract N°205
Validation d'un panel génomique pour la prédiction d'une rechute biologique
après radiothérapie post-opératoire de cancer prostatique à haut risque
- Alexandre R. Zlotta, Abstract N°206
Cartographie fine du locus chromosomique des kallikréines, et impact de ses polymorphismes dans l'agressivité du cancer de la prostate : résultats d'une cohorte canadienne et de l'étude randomisée européenne pour le dépistage du cancer de la prostate (ERSPC)
- O.V. Shkabko Abstract N°348
Panel de marqueurs moléculaires pour le diagnostic du cancer de la prostate
Objectif: Le FOLFIRINOX, validé dans les formes métastatiques, est en cours d’évaluation dans l’adénocarcinome du pancréas borderline (BR) ou localement avancé (LA). Le but de cette étude était d’analyser les suites opératoires de patients réséqués pour ADCP BR/LA après traitement d'induction par FOLFIRINOX.
Méthode: Les patients opérés après FOLFIRINOX ont été inclus dans cette étude rétrospective (20 centres). Les tumeurs ont été classées BR/LA selon la classification du NCCN. Les scanners diagnostiques de 60 patients ont fait l’objet d’une relecture centralisée.
Résultats: De Nov. 2010 à Déc. 2013, 80 patients (âge médian 59 ans) ont été opérés après une médiane de 6 cycles (1-30) de FOFIRINOX, et 65% (n=52) ont reçu en complément une radiochimiothérapie préopératoire après FOLFIRINOX. Au diagnostic, 47 patients (59%) étaient classés BR et 33 (41%) LA. La taille moyenne tumorale était de 33 mm (+/-12,9), et 82,5% (n=66) des tumeurs étaient céphaliques. Une résection veineuse a été réalisée chez 30 patients (37,5%).
La mortalité et la morbidité (Clavien grade III-IV) étaient de 3,7% (n=3) et 22%, dont 4% de fistules pancréatiques. Le taux de résections R0 était de 84%, avec 15% de réponse histologique complète. Après une médiane de suivi post-chirurgicale de 38,2 mois (IC 95% 29,3-47,0), 23 patients (28,7%) sont décédés et 42 (52%) ont présenté une récidive tumorale. La médiane de survie globale depuis le diagnostic (SGD) était de 59,2 mois (IC95% 45,7-72 ,7). La survie sans récidive (SSR) après chirurgie était de 17,2 mois [IC 95%: 11,3-23,0]. Les patients présentant une réponse histologique majeure, tumeurs classées ypT0-T1N0, présentaient une SGD significativement prolongée comparée aux patients ypT2-T4Nx avec, respectivement, des taux de SGC à 36 mois de 100% et 55% (p=0,001).
En analyse univariée, le nombre de cycles de FOLFIRINOX inférieurs à 6 (HR=0,49 ; p=0,03), l’absence de résection veineuse (HR=0,39 ; p=0,003) et la réponse histologique majeure (HR=0,33 ; p=0,01) étaient des facteurs de SSR. En analyse multivariée, l’absence de résection veineuse (HR=0,92 ; p=0,03) et la réponse histologique majeure (HR=0,38 ; p=0,035) étaient des facteurs indépendants de SSR.
Conclusion: La résection chirurgicale pour adénocarcinome du pancréas BR/LA après FOLFIRINOX +/- radiochimiothérapie est R0 dans 84% des cas, associée à une faible morbidité, et permet d’obtenir des SSR et SG proches de celles des patients résécables d’emblée. Ces résultats justifient une évaluation prospective du FOLFIRINOX dans ces indications.
Actualités 2015 en radiothérapie des cancers des voies aéro-digestives supérieures. Revue subjective des congrès et publications. Présentation CRONOR 21/11/2015. Thèmes : radiochimiothérapie, modification du fractionnement, biothérapie,
Echange très intéressant lors des rencontres chirurgicales entre chirurgiens du GHT Loire. Le thème était la plaie des voies biliaires lors d'une cholecystectomie. Une complication rare mais grave.
Céline Barcelo
Service de radiologie, hôpital Purpan, CHU de Toulouse
L’imagerie gynécologique au RSNA cette année c’était :
18 séances scientifiques
61 posters scientifiques et pédagogiques
9 refreshers courses
Pathologies malignes
Cancer des ovaires
IRM de diffusion : L’équipe de Lucidarme et al. a montré que l’IRM de diffusion avec suppression du signal avec les séquences DWIBS (Diffusion Weighted Sequences with Background Body Signal Supression) est au moins aussi sensible que le scanner multicoupe pour évaluer le stade des cancers ovariens en préopératoire et ainsi pour planier de façon optimale la chirurgie de debulking. En particulier, la DWIBS permettrait de détecter de façon plus fiable les atteintes diaphragmatiques et hépatiques.
Tomodensitométrie : Pour E. Sala et al. (1), la TDM avec injection de produit de contraste est aussi performante que la TEP couplée au TDM pour détecter les récidives des cancers de l’ovaire. Cependant cette dernière permettrait en plus de prédire la survie des patients après récidive grâce au nombre, à la taille et la SUV (Standardized Uptake Value) des implants péritonéaux métastatiques et des ganglions métastatiques à distance. Un signe important pour l’équipe new yorkaise de Mironov : la détection d’un épanchement pleural (EP) par TDM préopératoire chez les patientes porteuses d’un cancer épithélial de l’ovaire à un stade avancé (≥ stade III FIGO). En effet, selon cette étude rétrospective de 212 patientes, sa présence serait facteur de mauvais pronostic. Les patientes présentant un EP avec un cancer de stade III auraient la même survie que celles ayant un cancer plus avancé stade IV. De plus les EP à droite seraient plus fréquemment malignes (p = 0,02).
reseauprosante.fr
Sujet de mémoire réalisé dans le cadre de la formation IFOCOP Community management et de mon stage: comment développer une communauté web au sein d'une start-up ?
Analyse des performances et évolution du tissu PME wallonEY Belgium
Les PME dopent plus que jamais l’économie wallonne -
Le financement reste toutefois le talon d’Achille de la PME wallonne:
- Les PME wallonnes sont plus petites que les PME flamandes
- Les PME wallonnes ont crû davantage que les PME flamandes
- La Wallonie souffre toujours d’un déficit important de PME
- Les PME wallonnes lourdement handicapées par des problèmes de financement et de capitalisation
- Thorsten Schlomm Abstract N°344
Intérêt pronostique du score de progression du cycle cellulaire (CCP Prolaris®) à partir de biopsie à l'aiguille chez des hommes traités par prostatectomie
- Ashok Kar
Le score CCP (Prolaris®) modifie significativement la décision thérapeutique dans le cancer de la prostate
Données issues d’un registre
- G.H.J.M. Leyten, Abstract N°351
QUATTRO, un panel de 4 gènes comme biomarqueur pronostique pour le cancer
de la prostate
- Giovanni Lughezzani, Abstract N°352
Le Prostate health index (Phi) prédit la récurrence biologique chez les patients ayant un cancer prostatique localisé traités par prostatectomie radicale
- Maurizio Brausi, Abstract N°717
Proposition d'une nouvelle classification pour les patients ayant un cancer de la prostate de risque intermédiaire traités par prostatectomie radicale
- Marco Bianchi, Abstract N°718
Proposition de nouveaux groupes de risque pour la prédiction pronostique des patients ayant un cancer de la prostate traités par prostatectomie radicale
- Niccolo M Passoni, Abstract N°719
Devenir oncologique selon le système de classification qui définit les cancers de la prostate à haut risque
Rayonnements ionisants : ce que tout praticien doit connaître
Pr Hubert Ducou le Pointe, Chef du service de Radiologie, Hôpital Armand-Trousseau, Paris
Pr Karim Fizazi - Parrainage Chercheur Gustave Roussy - Cancer de la ProstateGustave Roussy
Le cancer de la prostate aujourd’hui :
C'est le cancer le plus fréquent en France, avec 9 000 décès par an (71 000 nouveaux cas en 2010), il est la première cause de mortalité chez l’homme de plus de 70 ans.
En parrainant ce programme, les donateurs font avancer la recherche.
En savoir plus : www.dons-gustaveroussy.fr/programme-cancer-de-la-prostate
2. 71 200 nouveaux cas estimés en 2011 en
France1
2ème rang en termes de mortalité masculine2.
1.Institut de veille sanitaire. Projection de l'incidence de la mortalité par cancer en
France en 2011. Synthèse des résultats. Saint-Maurice : Invs, 2011.
2.Remontet L, Esteve J, Bouvier AM, et al. Cancer incidence and mortality in France
over the period 1978-2000. Rev Epidemiol Sante Publique 2003;51:1334-9.
3. AFU recommandait en 2002 un dépistage
systématique6
LA
CONTREVERS
E
Pour l’ANAES en 2004 il n’y avait pas d’argument
scientifique
pour le faire
combinaison du toucher rectal (TR) et du dosage de
l’antigène prostatique spécifique (Prostatic specific
antigen : PSA)
Comite de cancérologie de l’Association Française d’Urologie. Recommandations 2002 : Cancer de la
prostate. Prog Urol, 2002;12 : 29-67.
ANAES. Éléments d’information des hommes envisageant la réalisation d’un dépistage individuel
du cancer de la prostate. Recommandations pour la pratique clinique. Septembre 2004.
4. ERSPC PLCO
European randomized study Prostate, lung, colorectal and
of screening for prostate Ovarian cancer screening trial.
cancer
5. ERSPC
Objectif : Évaluer la mortalité par cancer prostatique dans une
population de patients ayant un dépistage systématique par dosage du
PSA
162 243 patients
55 - 69 ans
groupe témoin dépistage systématique
PSA
n = 89 353 n = 72 890
Durée médiane de suivi de 9 ans
Critère principal de jugement : taux de mortalité spécifique par cancer
prostatique
6. dépistage témoins RR IC 95 % p
Nombre de 5990 4307 1.41 1,32-1,50 0,005
cancers (8.2) (4.8)
diagnostiqués
Mortalité par 261 363 0.80 0,67-0,95 0.01
cancer prostate (0,0036) (0,0040)
Mortalité nd nd 0.99 0.97-1.02 ns
totale
nd = non disponible.
L’analyse en intention de dépister a montré une différence absolue de 0,71
décès par cancer prostatique pour 1 000 hommes dépistés.
Pour éviter un décès, il faut faire un dépistage systématique chez 1 410
hommes à raison de 1,7 dépistage en 9 ans et chaque décès évité nécessite de
traiter 48 patients.
7. Résultat principal
Le dépistage systématique par le PSA réduit le
risque relatif de décès par cancer prostatique de
20 % au prix d’un risque très élevé de faux
positifs et de ses conséquences.
8. PLCO
Objectif : Évaluer l’effet du dépistage annuel par PSA + TR sur la
mortalité par cancer prostatique.
76 693 patients
55 – 74 ans
n = 38 343 n = 38 350
Dépistage par PSA tous les
ans x 6 ans, associé à un TR suivi habituel
tous les ans x 4 ans
Critère principal de jugement : mortalité spécifique par cancer
prostatique. Critères secondaires associaient l’incidence du cancer
prostatique, le grade (Gleason), et la survie.
9. À 10 ans, avec un suivi
complet pour 67 % des
patients, il y a davantage de
cancers prostatiques
diagnostiqués dans le
groupe dépistage : 3 452 vs
2 974 (RR = 1,17 ; IC95 =
1,11-1,22).
À 10 ans, avec un suivi
moyen de 6,3 ans dans le
groupe dépistage et de 5,2
ans dans le groupe témoin,
les taux de décès par
cancer prostatique étaient
respectivement de
92 et 82 (RR = 1,11 ; IC95
= 0,83-1,50).
10. Résultat principal
Le dépistage annuel par PSA associé au TR augmente
significativement le nombre de cancers prostatiques
diagnostiqués mais ne modifie ni la mortalité qui lui est liée
ni la mortalité totale.
11. Screening for prostate cancer: systematic
review and meta-analysis of randomised
controlled trials
Dépistage conduit avec le dosage du PSA, combiné ou non
au TR
Djulbegovic M, Beyth RJ, Neuberger MM et al. BMJ 2010 ; 10,
1136/bmj.c4543.
12. 4 essais RR 0.99 (IC95 = 0,97 – 1,09, p=
Mortalité globale 256 019 patients 0,44)
5 essais RR 0.88 ( IC95 =0,71 – 1,09, p=
Mortalité spécifique 302 500 patients 0.44)
5 essais RR 1.46(IC 95= 1,21 – 1,77,
Diagnostic de cancer P 340 800 patients p<0.001)
Stade du cancer 4 essais
332 743 patients
Stade I RR 1.95 (IC95 = 1.22-3.13,
Stade II p=0.005)
Stade III et IV RR 1.39 ( IC95 = 0.99-1.95,
p=0.005)
RR 0.94 (IC95 = 0.85-1.04,
p=0.22)
Qualité de vie 0 0