Le sperme est un liquide opaque, blanchâtre produit par l'éjaculation, composé de spermatozoïdes en suspension dans le liquide séminal qui est un mélange des sécrétions des différentes glandes génitales mâles (prostate, vésicule séminal...).
L'étude de la composition du sperme est appelée spermocytogramme
diagnostic sérologique de Salmonella typhi, de salmonella para typhi A,B et C et éventuellement de salmonella typhi –murium et Salmonella enteritidis...
Le compte d'Addis ou HLM consiste à apprécier le débit des hématies et des leucocytes urinaires selon un protocole standardisé, nécessitant la mesure du débit urinaire.
Test d'EMMEL ou test de falciformation des hématiesS/Abdessemed
La drépanocytose est caractérisée par la forme en faucille que prennent les globules rouges lorsqu’ils sont désoxygénés. l’hémoglobine S se polymérise alors sous forme de cristaux insolubles allongés qui déforment les hématies...
diagnostic sérologique de Salmonella typhi, de salmonella para typhi A,B et C et éventuellement de salmonella typhi –murium et Salmonella enteritidis...
Le compte d'Addis ou HLM consiste à apprécier le débit des hématies et des leucocytes urinaires selon un protocole standardisé, nécessitant la mesure du débit urinaire.
Test d'EMMEL ou test de falciformation des hématiesS/Abdessemed
La drépanocytose est caractérisée par la forme en faucille que prennent les globules rouges lorsqu’ils sont désoxygénés. l’hémoglobine S se polymérise alors sous forme de cristaux insolubles allongés qui déforment les hématies...
Les éléments figurés du sang sont de 3 sortes : Les globules rouges ou hématie ou érythrocytes. Les globules blancs ou leucocytes. Les plaquettes ou thrombocytes
L’ examen du sédiment urinaire, particulièrement important pour mettre en évidence la présence de cristaux et d’éléments cellulaires (hématies, leucocytes, L’ examen du sédiment urinaire, particulièrement important pour mettre en évidence la présence de cristaux et d’éléments cellulaires (hématies, leucocytes, cellules épithéliales, cylindres, bactéries, levures,..) devrait être réalisé sur chaque analyse d’urine, même si aucune anomalie n’est détectée à la bandelette urinaire.
En effet, un certain nombre de prélèvements d’urine sans anomalie à la bandelette peuvent avoir un culot anormal (pyurie, bactériurie, etc).
cylindres, bactéries, levures,..) devrait être réalisé sur chaque analyse d’urine, même si aucune anomalie n’est détectée à la bandelette urinaire.
En effet, un certain nombre de prélèvements d’urine sans anomalie à la bandelette peuvent avoir un culot anormal (pyurie, bactériurie, etc).
Les examens biologiques qui permettent de faire le diagnostic de l’infection ...S/Abdessemed
4 grandes situations diagnostiques
Pendant la phase chronique asymptomatique ou au stade SIDA, en dehors d’une date de contamination connue
Au moment de l’exposition(accident d’exposition professionnel ou sexuel)
Au moment de la primo-infection
Nouveau-né de mére VIH +
Diagnostic direct : L'infection par le VIH peut être mise en évidence par :
la recherche du virus lui-même ou encore de certains gènes viraux.
Antigénémie p24
Génome viral(ARN plasmatique, ADN proviral)
Diagnostic indirect : La sérologie du VIH permet de rechercher dans le sang la présence d’anticorps anti-HIV-1 et anti-HIV-2, signe de l’infection. Ces anticorps sont présents dans le sérum en cas de primo-infection à partir du 22e jour après la contamination et sont mis en évidence par une panoplie de tests
Techniques de concentration en parasitologieS/Abdessemed
les nombreux et parfois volumineux débris alimentaires, la masse des cadavres bactériens, tout cela encombra la dilution et gène l'observation microscopique. En éliminant ces éléments inutiles, en éclaircit les préparation et simultanément on augmente la concentration des parasites..
Ainsi, privés des particules sans intérêt parasitaire, les œufs et larves de vers, de même que les kystes de protozoaires éventuellement contenus dans une masse fécale volumineuse se concentrent dans un faible volume et sont immédiatement décelables
La bactériologie médicale est une branche de la Biologie médicale qui consiste en l'analyse de divers liquides biologiques (parfois de tissus) dans le but d'isoler et/ou de caractériser une ou des bactéries pouvant être responsables de la pathologie suspectée à l'aide de techniques directes ou indirectes.
Les milieux de culture en BactériologieS/Abdessemed
Parmi les milieux de culture, on distingue : Les milieux d'isolement qui sont le plus souvent solides et de composition simples pour permettre le développement de plusieurs espèces bactériennes. Les milieux sélectifs qui favorisent artificiellement la croissance d'une espèce au détriment des autres.
Les principales techniques sont les réactions de précipitation, les réactions d'agglutination et les réactions de neutralisation.
La plupart de ces techniques utilisent les propriétés des anticorps monoclonaux.
Leur affinité et leur spécificité de liaison à leur cible fait d'eux des outils incontournables de détection.
Ils permettent de déterminer la présence d'un épitope particulier dans un échantillon, permettant ainsi dans les techniques comme le western blot ou l'ELISA de détecter des protéines, ou des modifications particulières de protéine (phosphorylation, acétylation, etc.).
C’est une réaction d’agglutination permettant de mettre en évidence des Anti corps anti brucellique dans le sérum de sujet en présence de l’antigène brucellique qui est obtenu à partir de cultures smooth Brucella abortus inactivées par la chaleur et le phénol.
Le diagnostic biologique du paludisme par microscopie - Conférence du 6e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - MENARD Didier - Madagascar - dmenard@pasteur.mg
Les éléments figurés du sang sont de 3 sortes : Les globules rouges ou hématie ou érythrocytes. Les globules blancs ou leucocytes. Les plaquettes ou thrombocytes
L’ examen du sédiment urinaire, particulièrement important pour mettre en évidence la présence de cristaux et d’éléments cellulaires (hématies, leucocytes, L’ examen du sédiment urinaire, particulièrement important pour mettre en évidence la présence de cristaux et d’éléments cellulaires (hématies, leucocytes, cellules épithéliales, cylindres, bactéries, levures,..) devrait être réalisé sur chaque analyse d’urine, même si aucune anomalie n’est détectée à la bandelette urinaire.
En effet, un certain nombre de prélèvements d’urine sans anomalie à la bandelette peuvent avoir un culot anormal (pyurie, bactériurie, etc).
cylindres, bactéries, levures,..) devrait être réalisé sur chaque analyse d’urine, même si aucune anomalie n’est détectée à la bandelette urinaire.
En effet, un certain nombre de prélèvements d’urine sans anomalie à la bandelette peuvent avoir un culot anormal (pyurie, bactériurie, etc).
Les examens biologiques qui permettent de faire le diagnostic de l’infection ...S/Abdessemed
4 grandes situations diagnostiques
Pendant la phase chronique asymptomatique ou au stade SIDA, en dehors d’une date de contamination connue
Au moment de l’exposition(accident d’exposition professionnel ou sexuel)
Au moment de la primo-infection
Nouveau-né de mére VIH +
Diagnostic direct : L'infection par le VIH peut être mise en évidence par :
la recherche du virus lui-même ou encore de certains gènes viraux.
Antigénémie p24
Génome viral(ARN plasmatique, ADN proviral)
Diagnostic indirect : La sérologie du VIH permet de rechercher dans le sang la présence d’anticorps anti-HIV-1 et anti-HIV-2, signe de l’infection. Ces anticorps sont présents dans le sérum en cas de primo-infection à partir du 22e jour après la contamination et sont mis en évidence par une panoplie de tests
Techniques de concentration en parasitologieS/Abdessemed
les nombreux et parfois volumineux débris alimentaires, la masse des cadavres bactériens, tout cela encombra la dilution et gène l'observation microscopique. En éliminant ces éléments inutiles, en éclaircit les préparation et simultanément on augmente la concentration des parasites..
Ainsi, privés des particules sans intérêt parasitaire, les œufs et larves de vers, de même que les kystes de protozoaires éventuellement contenus dans une masse fécale volumineuse se concentrent dans un faible volume et sont immédiatement décelables
La bactériologie médicale est une branche de la Biologie médicale qui consiste en l'analyse de divers liquides biologiques (parfois de tissus) dans le but d'isoler et/ou de caractériser une ou des bactéries pouvant être responsables de la pathologie suspectée à l'aide de techniques directes ou indirectes.
Les milieux de culture en BactériologieS/Abdessemed
Parmi les milieux de culture, on distingue : Les milieux d'isolement qui sont le plus souvent solides et de composition simples pour permettre le développement de plusieurs espèces bactériennes. Les milieux sélectifs qui favorisent artificiellement la croissance d'une espèce au détriment des autres.
Les principales techniques sont les réactions de précipitation, les réactions d'agglutination et les réactions de neutralisation.
La plupart de ces techniques utilisent les propriétés des anticorps monoclonaux.
Leur affinité et leur spécificité de liaison à leur cible fait d'eux des outils incontournables de détection.
Ils permettent de déterminer la présence d'un épitope particulier dans un échantillon, permettant ainsi dans les techniques comme le western blot ou l'ELISA de détecter des protéines, ou des modifications particulières de protéine (phosphorylation, acétylation, etc.).
C’est une réaction d’agglutination permettant de mettre en évidence des Anti corps anti brucellique dans le sérum de sujet en présence de l’antigène brucellique qui est obtenu à partir de cultures smooth Brucella abortus inactivées par la chaleur et le phénol.
Le diagnostic biologique du paludisme par microscopie - Conférence du 6e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - MENARD Didier - Madagascar - dmenard@pasteur.mg
Schizogonies : définition, les différentes schizogonies du cycle du Plasmodium, et importance clinique - Présentation de la 8e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - RAZAFINDRAKOTO Hajasoa Nirina - Madagascar - hajasoanirinar@gmail.com
La coloration au bleu de prusse (coloration de perls).pptxS/Abdessemed
La coloration au bleu de prusse permet de mettre en évidence le fer non hémoglobinique présent dans cellules érythrocytaires sur le frottis de sang (sidérocytes) ou de moelle osseuse (sidéroblastes) afin d’évaluer les réserves médullaires en fer. Azrdfcx,p,az
Cette coloration est utile pour distinguer une carence vraie (réserves diminuées) d’un blocage de la synthèse de l’hémoglobine ou il y a hypochromie des globules rouges, mais des réserves de fer normales ou augmentées
les principales ordonnances en mycologieetparasitologie-131017142914-phpapp01...S/Abdessemed
L'objectif est de permettre à l'étudiant en médecine et au médecin généraliste de disposer des principales informations nécessaires au traitement des parasitoses et des mycoses les plus fréquentes...
La parasitologie médicale comporte des approches différentes mais complémentaires : - les parasites et champignons microscopiques en tant qu’agents pathogènes avec leurs morphologies et leurs biologies propres.
- le parasitisme forme particulière et dépendante entre deux organismes vivant en relation étroite.
- la maladie parasitaire ou mycosique et son environnement, résultats pathologiques du contact précédent entre le parasite ou champignon et son hôte. Cette relation entre l’hôte et son parasite se situe dans un environnement influant intervenant dans l’épidémiologie et la lutte contre les grandes endémies parasitaires exotiques.
Le microscope est un instrument de précision qui possède divers sous-systèmes :
optiques (lentilles, filtres, prismes, condenseurs),
mécaniques, pour contrôler la position de l’échantillon dans l’espace selon des coordonnées tridimensionnelles (X, Y, Z),
électriques (transformateur et source lumineuse),
et électroniques (appareil photo, enregistreur vidéo, etc.), qui interagissent pour agrandir et contrôler l’image d’objets non décelables à l’œil nu.
La microbiologie, de ses origines aux maladies emergentesS/Abdessemed
Tout le monde sait ce que sont les microbes, des micro-organismes vivants de trop petite taille pour être vus à l’oeil nu et qui nécessitent
d’être examinés au microscope : virus, bactéries, algues, champignons
et protozoaires. Chacun a appris à ses dépens que les microbes étaient sources de maladies. L’arrivée des nouvelles épidémies (fièvres hémorragiques dans les années 1970, Sida dans les années 1980, hépatite C dans les années 1990, SRAS et grippe aviaire dans les années 2000)
n’a fait que conforter l’homme de la rue dans cette idée. Ces dernières années, des alertes au bioterrorisme, plus ou moins fondées mais largement relayées par les médias, ont dramatiquement contribué à accentuerla peur des microbes.
Mais peu de gens savent que de très nombreux microbes jouent un rôle bénéfique important dans la nature, chez les êtres vivants et jusque dans notre vie quotidienne. Les micro-organismes existaient dès les premiers temps de l’histoire de notre planète, au cours desquels ils ont contribué à la formation de divers milieux. Ils sont des acteurs essentiels de notre environnement et des éléments indispensables à la vie. Ils se trouvent à l’origine de toutes les chaînes alimentaires. Les microorganismes furent aussi, et sont encore, responsables de nombreuses maladies humaines, animales ou végétales, dont le poids social et économique fut parfois, ou est encore, considérable.
Le dosage de l’hémoglobine glyquée (hb a1c)S/Abdessemed
L’hémoglobine glyquée ou glycosylée (que l’on note parfois HbA1c) est une forme particulière d’hémoglobine, le pigment présent dans les globules rouges qui permet de transporter l’oxygène dans le sang. Ainsi, l’hémoglobine glyquée est une hémoglobine sur laquelle s’est fixée une molécule de glucose. Il existe un lien proportionnel entre le taux d’HbA1c et le taux de glucose sanguin. Plus le pourcentage d’hémoglobine glyquée dans le sang est élevé, plus la glycémie (taux de glucose dans le sang) moyenne est élevée.
Le dosage de l’hémoglobine glyquée est donc utilisé pour le suivi des personnes diabétiques, en complément du dosage de la glycémie. La glycémie reflète le taux de sucre instantané dans le sang, alors que le taux d’hémoglobine glyquée reflète l’équilibre global du diabète, c’est-à-dire son degré de contrôle. Si l’HbA1c est trop élevée, c’est le signe que le diabète est mal contrôlé et qu’il faut ajuster les traitements.
But :
Déterminer le nombre de plaquettes présent dans un volume de sang, soit le nombre de plaquettes dans un litre de sang.
Principe :
Le sang est dilué dans un liquide permettant la lyse des hématies et évitant l’agrégation des plaquettes entres elles, et la numération est ensuite effectuée au microscope optique ou à contraste de phase.
la recherche de l'agent pathogène responsable, dans les liquides ou les tissu du malade ; constitue le diagnostic direct
la recherche de la réponse immunitaire spécifique de l'organisme à l'agent pathogène ; c'est le diagnostic indirect
La réaction immunitaire développée par l'hôte peut être révélée, en recherchant et en titrant des anticorps spécifiques apparus dans les humeurs, en particulier le sérum sérodiagnostic
Le mot incubateur vient du latin incubare qui signifie couver. L’incubateur est une enceinte dont l’atmosphère, la température et l’humidité sont contrôlées afin de maintenir des organismes vivants dans un environnement adapté à leur développement. Parmi ses applications les plus courantes figurent l’incubation de cultures bactériennes, virales, microbiologiques en général et cellulaires, la détermination de la demande biochimique en oxygène (DBO) et le stockage de produits biologiques. Il existe divers modèles de complexité différente.
Certains ne contrôlent que la température tandis que d’autres contrôlent également la composition de l’atmosphère de l’enceinte. Il en existe aussi qui peuvent travailler à des températures plus basses que la température ambiante grâce à des systèmes de réfrigération. Selon les modèles et les spécifications de ces appareils, les températures de travail vont de −10 °C à 75 °C ou un peu plus. Certains incubateurs ont un systèmed’injection de CO2 pour obtenir des conditions favorables au développement de diverses espèces de micro-organismes et de cultures cellulaires
Le mot distillateur vient du latin distillare, qui signifie vaporiser des liquides sous l’effet de la chaleur.
Le distillateur utilisé au laboratoire, aussi appelé appareil de production d’eau distillée, purifie l’eau courante par un processus de vaporisation et de refroidissement contrôlés. Il transforme l’eau liquide en vapeur en lui appliquant de l’énergie thermique par chauffage.
Lors de la vaporisation, les molécules d’eau se séparent des autres molécules diluées ou mélangées dans la phase liquide La vapeur d’eau est recueillie et passe dans un condenseur, où elle est refroidie et retourne à l’état liquide. L’eau condensée est ensuite recueillie et stockée dans un réservoir séparé. L’eau distillée présente des caractéristiques de pureté supérieures à celles de l’eau courante ; elle est pratiquement exempte de substances contaminantes.
Le bain-marie est un appareil utilisé au laboratoire lors de l’exécution de tests d’agglutination et d’inactivation, de tests sérologiques, biomédicaux et pharmaceutiques et même pour des procédures d’incubation en milieu industriel.
Ils utilisent en général de l’eau, mais certains fonctionnent avec de l’huile.
La gamme de températures de fonctionnement se situe en général entre la température ambiante et 60 °C.
On peut sélectionner une température de 100 °C en utilisant un couvercle spécial. La capacité d’une cuve de bain-marie va de 2 à 30 litres.
Anton VAN LEEUWENHOEK (1632-1723), drapier hollandais et grand amateur de loupes et instruments
d'optique, découvre et décrit entre 1674 et 1687 le monde microbien (« les
animalcules »). Mais celui-ci n'est véritablement reconnu qu'à partir du milieu du XIXe siècle à la
suite des travaux de Louis PASTEUR et de ses élèves.
En 1866, HAECKEL crée le terme de protistes pour désigner, entre le monde animal et le monde
végétal, les êtres unicellulaires et les êtres pluricellulaires sans tissus différenciés. Les protistes
sont classés en deux catégories :
• Les protistes supérieurs ou eucaryotes qui possèdent un noyau entouré d’une membrane, des
chromosomes, un appareil de mitose et une structure cellulaire complexe (mitochondries notamment).
• Les protistes inférieurs ou procaryotes qui ont un chromosome unique sans membrane nucléaire
et sans appareil de mitose, et une structure cellulaire élémentaire (pas de mitochondries).
Les bactéries font partie des protistes procaryotes.
Les Examens de laboratoire (valeurs normales et variations pathologique)S/Abdessemed
Les résultats de laboratoire montrent qu’il existe plusieurs catégories d’examen en fonction des liquides et tissus examinés et des éléments qui y sont présents de manière normale ou pathologique. Ainsi ces résultats font état d’analyses pratiqués sur des échantillons de sang total : hématologie, d’une fraction du sang : le sérum avec la biochimie sérique,
d’urines : avec la cytologie urinaire et la microbiologie urinaire.
Enfin ces résultats font apparaître un antibiogramme associé à l’examen cytobactériologique des urines car pratiqué chaque fois qu’une bactérie pathogène est identifiée dans un prélèvement ; Il est pratiqué dans le cadre du
diagnostic et du suivi d’une infection.
- Hématologie : Science qui traite de la physiologie et de la pathologie des tissus
hématopoïétiques (moëlle osseuse, rate, ganglions lymphatiques impliqués dans la formation des éléments figurés du sang) et du sang
- Biochimie sérique : science qui traite de la constitution chimique et des réactions chimiques du sérum( partie du sang dont sont exclus les éléments figurés et le fibrinogène), le sérum est composé d’un liquide comportant des éléments azotés : créatinine, urée, albumines,
globulines, acides aminés) lipidiques cholestérol, acides gras, glucidiques : glucose
notamment, minéraux(chlore, potassium, sodium, magnésium, calcium, phosphore, fer, iode,
des enzymes, des hormones et divers métabolites.
S ’approprier le vocabulaire spécifique et commun aux professions paramédicales,
Utiliser le vocabulaire spécifique pour affirmer son professionnalisme,
Parler un langage commun, compréhensible de toute l ’équipe de soins (transmissions…)
La centrifugation est une technique qui utilise la force centrifuge pour séparer les différents composants d’un fluide.
Au laboratoire médical, elle est principalement utilisée pour séparer le plasma ou le sérum à partir de prélèvements sanguins ou pour obtenir un sédiment urinaire. Pendant la centrifugation, les composants du sang ou des urines les plus lourds sont entraînés au fond du tube, accélérant une sédimentation naturelle.
Ils sont ainsi séparés du surnageant, du plasma s’il s’agit de sang anticoagulé ou du sérum si le sang a coagulé naturellement.
L'albumine est la protéine principale du sang. Elle est synthétisée par le foie et permet par son pouvoir oncotique de retenir l’eau dans le secteur intravasculaire.
Elle sert également au transport de nombreuses substances dans le sang : hormones thyroïdiennes, calcium et médicaments.
La formule leucocytaire est toujours associée à la numération globulaire, elle permet de déterminer le pourcentage de chaque catégorie de leucocytes (ramené en valeur absolue) : polynucléaires, polynucléaires.
Il est également possible de détecter d'éventuelles cellules normalement absentes du sang circulant (cellules provenant de la moelle osseuse)
L’hCG est une glycoprotéine à deux chaînes protéiques :
α, commune également à la TSH, LH, FSH,
et β, responsable de la spécificité de l’activité biologique.
L’hCG est normalement présente chez la femme dans le sang et les urines uniquement lors de la grossesse.
TRANSAMINASES Ces enzymes catalysent le passage des groupes aminés des acides aminés vers les acides cétoniques, processus très général de dégradation et de synthèse des acides aminés. Ce sont l’aspartate aminotransférase (ASAT) ou transaminase glutamo-oxaloacétique (GOT), et l’alanine aminotransférase (ALAT) ou transaminase glutamo- pyruvique (GPT). Elles sont normalement présentes en faible quantité dans le plasma ou le sérum. Leur activité est élevée dans certains tissus, en particulier le foie (GPT, ou GOT à un degré moindre), le cœur et le muscle (principalement GOT). En cas de nécrose de ces tissus, les enzymes sont libérées dans la circulation et leur activité sérique augmente.
Prélèvement sanguin au moyen d’un système clos et stérile. Il s’effectue, en principe, de préférence sans garrot, ou si indispensable avec un garrot désserré, et en choisissant un site de ponction éloigné de toute perfusion.
Pour prélèvement sanguin
2. Introduction
• Le sperme est un liquide opaque, blanchâtre
produit par l'éjaculation, composé de
spermatozoïdes en suspension dans le liquide
séminal qui est un mélange des sécrétions des
différentes glandes génitales mâles (prostate,
vésicule séminal...).
• L'étude de la composition du sperme est
appelée spermocytogramme.
3. Les différentes méthodes de recueil du
sperme :
• Le sperme éjaculé :
• L'éjaculation du sperme peut être obtenue :
• Par masturbation ;
• Par vibromassage ;
• Par électro-éjaculation réalisée chez certains
paraplégiques initiés en centre.
4. • Le sperme récupéré par prélèvement
nécessitant l'intervention du médecin :
• Il existe plusieurs organes dans lesquels, il est
possible de prélever du sperme contenant de
spermatozoïdes. Ce type de prélèvement est
utilisé chez des patients atteints d'une
azoospermie obstructive ou sécrétoire:
5. Au niveau des canaux déférents :
Les spermatozoïdes dans ces canaux sont souvent de
mauvaise qualité
Au niveau de l'épididyme pour récupérer des
spermatozoïdes épididymaires :
• Soit par ponction transcutanée ou
PESA(Percutaneous Epididymal Sperm Aspiration) ;
• Soit par microchirurgie en réalisant une ou
multiples micro-incisions épididymaire ; cette
technique est connue sous le nom de
MESA(Microchirurgical Epididymal Sperme
Aspiration).
6. Au niveau du testicule pour récupérer des
spermatozoïdes testiculaires :
• Soit par ponction transcutanée du testicule ou
TESA(Testicular Sperm Aspiration)
• soit par TESE (Testicular sperm extraction) : il s'agit
d'un prélèvement chirurgical du sperme en
effectuant une ou plusieurs micro-incisions
testiculaire pour récupérer le sperme intra-
testiculaire
Enfin, dans certain cas d'éjaculation rétrograde
(éjaculation dans la vessie) on peut trouver des
spermatozoïdes dans le premier jet d'urine.
7. Le spermocytogramme comprend les
données suivants :
• Le volume normal de l'éjaculât pour 3 jours
d'abstinence sexuelle se situe entre (1,5 ou 2
et 6 ml) ; Il est le reflet des capacités
sécrétoires des glandes annexes (vésicules
séminales, prostate...)
8. L'éjaculât se constitue de l'émission successive des
sécrétions de la prostate, puis des épididymes et les
déférents et enfin les vésicules séminales.
Environ :
20 % du volume de l'éjaculât provient des
sécrétions prostatiques ;
20 % provient des épididymes et les déférents ;
60 % du volume provient des vésicules séminales.
9. • La viscosité du sperme : le liquide séminal
coagule rapidement après l'éjaculation puis il
se liquéfie secondairement grâces aux
enzymes prostatiques.
• Les hyperviscosités très marquée constituent
une cause d'infertilité par la perturbation de
la mobilité des spermatozoïdes qui paraissent
peu ou non progressifs avec des tests de
Huhner toujours négatifs.
10. • Le pH : normal entre 7,2 et 8 (pour certains
auteurs : entre 7,5 et 8,5) ; Il est le témoin
indirect des sécrétions des glandes annexes
(sécrétions prostatiques acides et sécrétions
des vésicules séminales basiques).
11. • La numération des spermatozoïdes : normal entre
20 millions et 250 millions par ml, selon les
normes de l'OMS (1999), la numération normale
est égale ou supérieur 20 millions
spermatozoïdes/ml et 40 millions spermatozoïdes
par éjaculât.
• Selon les nouvelles normes de l'OMS -mai 2010,
la numération normale de spermatozoïdes dans
l'éjaculât est supérieure à 15 millions/ml et
supérieure à 39 millions par la totalité de
l'éjaculât.
12. • La première partie de l'éjaculation qui est
constitué des sécrétions prostatiques et
épididymaires contient la grande partie des
spermatozoïdes (jusqu'à 80 % de la totalité des
spermatozoïdes contenus dans l'éjaculât) d'où
l'intérêt, dans certaines situations de fragmenter
l'éjaculât et garder le premier jet qui est riche
en spermatozoïdes dans un flacon et le reste
dans un deuxième flacon.
13. • La mobilité des spermatozoïdes : une heures
après l'éjaculation, 50 % ou plus de
spermatozoïdes doivent avoir une mobilité
normale, c'est-à-dire en déplacement progressif,
dont 25 % progressifs rapides ; 30 % ou plus de
spermatozoïdes doivent avoir une mobilité
normale progressive trois heures après
l'éjaculation.
14. La mobilité des spermatozoïdes est classée en quatre catégories (ou
grades) :
catégorie "a" : mobilité fléchante et rapide (vitesse >25 µm/s).
catégorie "b" : mobilité lente (vitesse de 5-25 µm/s).
catégorie "c" : mobilité sur place.
catégorie "d" : immobilité.
15. • Selon les normes de l'OMS-1999, dans l'éjaculât, au
moins 50 % spermatozoïdes doivent avoir une
mobilité normale (catégories a+b), et aussi, dans
l'éjaculât, au moins 25 % des spermatozoïdes
doivent avoir une mobilité de catégorie "a".
• Selon les nouvelles normes de l'OMS -mai 2010,
dans l'éjaculât, au moins 30 % spermatozoïdes
doivent avoir une mobilité normale (catégories a+b),
et aussi, dans l'éjaculât, au moins 40 % des
spermatozoïdes doivent avoir une mobilité de
catégorie "a+b+c".
16. • La vitalité ou le pourcentage des spermatozoïdes
vivants à l'éjaculation doit être égale ou supérieur
à 75 % ;
• Selon les normes normales de l'OMS (1999) : le
pourcentage des spermatozoïdes vivants doit être
égale ou supérieur à 60 %.
• Selon les nouvelles normes de l'OMS -mai 2010, le
pourcentage des spermatozoïdes vivants dans
l'éjaculât doit être égal ou supérieur à (58 %) de
l'ensemble des spermatozoïdes.
17. • Le pourcentage de formes anormales des
spermatozoïdes doit être inférieur à 50 %.
• Selon les norme de l'OMS-1999, et en se
basant sur la classification de " David " (des
anomalies morphologiques des
spermatozoïdes), dans l'éjaculât, au moins 30
% des spermatozoïdes doivent avoir une
morphologie normale.
18. • Selon les nouvelles normes de l'OMS -mai 2010,
et en se basant sur la classification de " Kruger "
(des anomalies morphologiques des
spermatozoïdes), dans l'éjaculât, au moins 4 %
des spermatozoïdes doivent avoir une
morphologie normale, mais certains laboratoires
utilisent la classification de " Cohen Bacrie " des
anomalies des spermatozoïdes, dans ce cas là,
dans l'éjaculat, au moins 15 % des
spermatozoïdes doivent avoir une morphologie
normale.
19. • La numération de globules blancs contenus
dans le sperme : normalement la numération
des leucocytes est inférieure à (1 million/ml).
20. • Dans certains cas, le spermocytogramme peut
être complété par :
• La spermoculture c'est-à-dire, la mise en
culture du sperme à la recherche d'agent
infectieux ; Il est demandée dans les
anomalies du spermogramme, dans les
anomalies des dosages biochimiques du
sperme et les antécédents infectieux de
l'appareil urinaire et génital.
La spermoculture
21. • La spermoculture est positive lorsque on met
en évidence une bactérie pathogène avec un
nombre de colonies égale ou supérieur à 10
puissance 3.
• Une recherche du mycoplasme et du
chlamydia trachomatis est effectuée
systématiquement par des cultures spécifiques
et par (PCR) pour les chlamydia.