3. Plan
1-Éléments de contexte sur la recherche
et la publication scientifique
2-Panorama des outils disponibles et mise
en place de veille
L’évaluation de l’activité scientifique
(facteur d’impact etc.)
Droit d’auteur et plagiat
3
4. 1 - éléments de contexte
Le cycle de la recherche
Le cycle de publication universitaire
L’offre éditoriale
L’évaluation et ses biais
4
5. Acteurs de la recherche
Chercheurs, équipes, laboratoires
• Financeurs de la Recherche (acteurs institutionnels
:universités et bibliothèques, agences nationales, acteurs
privés)
• Acteurs éditoriaux (éditeurs scientifiques : “BigFour” : Elsevier,
Springer Verlag, Blackwell-Wiley, ThomsonScientific)
• Diffuseurs (Agences d’abonnement, agrégateurs, portails,
moteurs de recherche (Google Scholar, Books / Microsoft),
serveurs de bases de données bibliographiques)
(source: J Sicot, ML Malingre)
5
6. Le cycle de la recherche
6
1-Génération d’idées
et d’hypothèses de recherche
2-Financement,
approbation
3-Conduite de
la recherche
4-Dissémination
des résultats
Veille, état de
L’art, contacts
Etat de l’art
Veille
Publication et
diffusion informelle
Source: Ware, Mark, Mickeal, Mabe et A Mahé
7. Et donc!
La veille intervient à différents moments de
la vie et de l’activité d’un chercheur;
la publication n’en est qu’une
manifestation « officielle »…
7
9. Le cycle de la production
scientifique
Si l’article est central en STM, il prend
place dans un ensemble de type de
documents plus vaste, qui varie
fortement selon les disciplines
scientifiques (rôle de la monographie en
SHS, des actes de colloques en
informatique, etc.)
9
10. Le cycle de la production scientifiqueLe cycle de la production scientifique
source: infosphère
10
11. Le rôle de la revue scientifique
pourquoi elle est au cœur de la
communication scientifique:
Gestion de la propriété intellectuelle
Validation
Diffusion
Conservation (et citabilité)
Évaluation scientifique
et donc aussi moyens et carrière !
11
Source: A Mahé
13. Un cycle long…
Beaucoup d’acteurs: auteur, éditeur
(scientifique), office éditorial, referee,
éditeur commercial (publisher),
De nombreux intermédiaires: diffuseurs,
bibliothèques
De nombreuses étapes de validation
(soumission, révision, validation)
13
15. Un coût élevé…
• 39% (780) des éditeurs basés en Europe = 49% de
la production d’articles = puissant lobby
• Big 3 = 80% du marché STM (Thomson Reuters
$2.639, Reed Elsevier $1.764, Wolters Kluwer
$1.158) Other $1.250 Total : $6.811
• Augmentation du prix des périodiques : +10% par
an de 1975 à 2000 (de 1975 à 1995 +300%)
• Depuis 2000 inflation annuelle de 6 à 8% en
moyenne
15(Source: J Sicot et ML Malingre)
16. Une croissance exponentielle!
• + de 25 000 titres de revues
• 1,5 Millions d’articles publiés par an (2,5 Millions en
2004)
• Sur la totalité des chercheurs, 90% en vie aujourd’hui
• 2000 éditeurs
• 3% de croissance / an
• 1 millions d’auteurs (chercheurs)
• 10 à 15 millions de lecteurs dans plus de 10000
institutions
• Nouvelle donne : passage du papier au e-only !
16(Source: J Sicot, ML Malingre)
17. Droit d’auteur
Les publications scientifiques sont protégées par le droit
d’auteur si elles sont:
-formalisées
-originales
Droit d’auteur: droits patrimoniaux (support) et moraux
(contenu)
-l’auteur peut céder par contrat ses droits patrimoniaux (droit de
reproduction et de représentation; copyright) à l’éditeur; cession
exclusive ou non
-conservation des droits moraux (divulgation, respect de l’intégrité,
paternité, retrait ou repentir
17(source: A. Mahé)
18. Paradoxes du droit d’auteur en
sciences
Nécessaire et implicite: le droit d’auteur protège
l’œuvre
En général, cession exclusive à l’éditeur
-pas le droit de diffuser le document ailleurs
-pas le droit de réutiliser des parties du document ailleurs
Barrière à la diffusion: conséquences paradoxales
sur la diffusion des articles scientifiques
18(source: A. Mahé)
20. Les « Archives ouvertes »
« Parler d’Open Access– ou de libre accès à
l’Information Scientifique et Technique selon
l’expression française consacrée – revient
avant toutes choses à parler d’un principe :
celui de rendre accessible gratuitement, en
ligne, toute production issue d’un travail de
recherche. Si l’expression concerne au
premier chef les publications scientifiques
(pré- et post-publications), son acception large
recouvre également les thèses et les données
issues de la recherche ».
20
Source:
http://www.couperin.org/archivesouvertes
21. « La voie verte »
« Dans ce cas l’Open Access peut être vu comme un
dispositif cohérent de mise en ligne « ouverte » des
résultats de la recherche.
Document fondateur de l’Open Access,
la déclaration de Budapest en fournit non seulement la
définition mais trace également les voies à suivre pour
aboutir à l’objectif ultime d’une diffusion libre de
l’ensemble de la littérature scientifique : d’une part
l’auto-archivage de leurs publications par les
chercheurs et d’autre part la création de revues en
Open Access. Les initiatives récentes de certains
éditeurs atténuent quelque peu ce clivage en dessinant
les contours d’un possible partenariat avec les
éditeurs. »
21
Source:
http://www.couperin.org/archivesouvertes
22. Les « Archives ouvertes »
Types d’archives ouvertes
Définitions
En France
Une archive institutionnelle est l’archive d’une
institution regroupant l’ensemble de sa production
(de recherche, patrimoniale, pédagogique,
administrative...) dans des espaces privatifs ou
ouverts.
Le répertoire OpenDoar met à jour une liste des
archives ouvertes françaises.
22
Source:
http://www.couperin.org/archivesouvertes
23. Les « Archives ouvertes »
Le ministère de l’enseignement supérieur et de la
recherche tient une
liste des archives ouvertes et institutionnelles françaises à jou
.
Le site du CCSD tient également une liste des
portails institutionnels.
Dans le monde
Le répertoire OpenDoar met à jour une liste
d’archives ouvertes dans le monde. La recherche
par pays y est proposée.
L’Open Access Directory propose une
liste d’archives ouvertes classées par disciplines.
23
Source:
http://www.couperin.org/archivesouvertes
24. Archives ouvertes, dépôts et
éditeurs
Liste des éditeurs autorisant la pré ou la post publication
(liste Sherpa/romeo): http://sherpa.ac.uk/romeo.php
Recommandations CNRS:
-avant publication :se renseigner sur les politiques des
éditeurs, négocier au moment du contrat,
-après publication: renégocier le contrat en cas
d’exclusivité, possible de signer des contrats
permettant la mise à disposition du document (sur un
site web, collègues, étudiants, site de dépôt, etc.)
24Source: A Mahé
25. Types de documents en AO
Auto-archivage (ex Hal)
Préprint : la prépublication de la version auteur avant
corrections pour la publication dans une revue (cf.
arXiv)
Post-print: document après review par les referees et
corrections de l’auteur
« L’auto-archivage (possibilité donnée à un auteur de
déposer ses textes dans une base de documents) et la
pré-publication (version non évaluée d’un texte) restent
une spécificité des Archives Ouvertes par rapport aux
revues » G. Gallezot, p.24
25
27. « La voie dorée »
« Parallèlement au développement des archives
ouvertes, les huit dernières années ont vu se
multiplier les initiatives de publication en accès
libre, considérée comme la « voie dorée » (gold
road) de l’Open Access. Les formes en ont été
très variées : transformation du modèle
économique de revues existantes à l’exemple de
la maison d’édition Hindawi , création de nouvelles
revues en accès libre telle que Climate of the Past
voire de nouvelles maisons d’édition, les deux les
plus célèbres étant BioMed Central et la
Public Library of Science. »
27Source: http://www.couperin.org/archivesouvertes
28. « Quels principes de fonctionnement ?
Répertoriées dans le Directory of Open Access Journals , ces
revues en libre accès reposent sur le principe d’un report vers
l’auteur des coûts de production de la revue. Le financement
n’intervient donc plus en aval de la publication sous forme
d’abonnements, mais en amont grâce au paiement par
l’auteur ou son institution d’une somme forfaitaire pour
chaque article accepté. Circonspects voire goguenards dans
un premier temps, les éditeurs « traditionnels » disposent
désormais quasiment tous d’une offre permettant aux
chercheurs qui le souhaitent de publier leur article en accès
libre. Baptisés Open Choice chez Springer ou Online Open
chez Blackwell, ces programmes aboutissent à la constitution
de revues dites hybrides. »
Source: http://www.couperin.org/archivesouvertes
28
30. 2-Mieux utiliser les outils de
veille
30
Source: http://www.flickr.com/photos/patrickgage/3738107746/
31. 2-Mieux utiliser les outils de
veille
Importance de la méthodologie
préparer sa session de recherche
Maîtriser la typologie des ressources, la
structure de l'économie de la publication
(cycle des publications)
Mettre en place des outils de veille
automatique
31
33. Quel est le chemin du document?
Catalogue
Bases de données
bibliographiques:
références
(payantes ou archives ouvertes)
Plateformes d’éditeurs
de revues électroniques
« Document final »
Revues papier, livres
ou thèses (en bibliothèque)
Serveur de
liens
localisation
Lien interne
33
Moteur de
recherche
Google
34. Définir sa stratégie de veille
34Source: http://www.flickr.com/photos/validd/247647416/
35. Recette de la recherche doc.
Réfléchir en termes de session:
une fois le temps disponible défini,
Définir le type de document à rechercher,
la quantité de documents à obtenir
Les critères pour les sélectionner
35
37. En Hiérarchisant les outils
--Outils généraux:
La recherche sur Internet (typologie, fils
RSS)
Portail documentaire
Catalogues nationaux et internationaux
base de données bibliographiques
pluridisciplinaires
37
38. Outils
--Outils spécialisés:
Base de données bibliographiques
spécialisées
Les sites de revues
Les archives ouvertes:
-les entrepôts de données
-les revues en ligne
38
39. Ce qui permet de définir les outils
à privilégier et d’éviter l’effet
« entonnoir »!
39Source: http://www.flickr.com/photos/zigazou76/5085788249/
40. L’effet entonnoir ou
le Google syndrom
Trop d’information tue l’information
La pulsion du clic
A l’inverse, trouver peu de résultats…mais les
bons!
Cf. Gallezot, G, et Simonnot, L'entonnoir - Google sous la loupe des sciences de
l'information et de la communication
40
41. On passe à la pratique!
41Source: http://www.flickr.com/photos/libraryman/119693755/
42. La pratique
principes d'utilisation d'une Base de
données bibliographique: exemple de
Web of Science
Bases de données spécialisées, selon le
domaine d’étude
plateforme de périodiques
électroniques: ex.RSC
archives ouvertes
42
43. Rechercher à partir du Web
Google Scholar: quelques astuces
SCIverse =(Science Direct+Scopus via
Scirus)
Scientific Web plus (moteur de recherche
web associé à Web of Science)
43
44. Google Scholar
L’incontournable: pourquoi? (native users et
autres questions)
Moteur de recherche Vs base de données
Définition: « Google Scholar est un moteur de
recherche spécialisé dans la littérature de
recherche universitaire : il indexe des articles
issus de périodiques avec évaluation par les
pairs, des thèses, des livres, des rapports, des
articles en prépublication ». J-M Lardy
44
45. Google Scholar
Avantages inconvénients
Gratuit
Recherche fédérée
Simple
Recherche sur texte
intégral
Taux de citation
Constitution de
bibliographie
Localiser une ressource
Opacité sur le contenu et le
mode de collecte: la « boîte
noire »
Non exhaustif: couverture
inconnue
Pas de langage contrôlé ni
de thésaurus
Erreurs
Index de citation parcellaire
45
46. Google Scholar
• Quelques conseils d’utilisation
• pour une première approche, en complément
des bases spécialisées, et avec précaution en
raison de l’opacité et de la non exhaustivité.
46
47. Scirus est probablement le moteur de recherche
scientifique et technique le plus élaboré de
l'Internet. Il indexe des sources gratuites (sites
web, preprints) et des périodiques
(ScienceDirect).
Lancé par l'éditeur scientifique de revues
électroniques Elsevier, il permet de trouver des
données, rapports et articles, et de localiser
des sites académiques.
47
51. Ne pas négliger les ressources
« papier »!
Catalogues des bibliothèques de l’Université
Le Sudoc: fonctions avancées (recherche
thèses)
Eucor (Rhin supérieur)
Karlsruher Virtueller Katalog (KVK)
Fichier central des thèses (en crs de
rédaction)
Rappels sur le PEB
51
52. Présentation du portail ou
bibliothèque virtuelle
UHA: accès aux ressources via « biblio
numérique »
Objectif: une typologie des types de
ressources et un classement
thématique
Votre stratégie: définir les ressources
incontournables
52
53. Présentation des bases de
données
Principes et fonctionnalités: permettent
d’accéder à des notices bibliographiques qui
décrivent le contenu de documents sur un
sujet.
(exemple de la base de données Web of
Science)
Accessibilité au texte intégral
Fonctions avancées: utiliser la DSI
53
55. Mettre en place une DSI
Installer un veille sur la citation d’articles
Ré-effectuer automatiquement une
recherche dans la BDD
Définir une liste de journaux
55
70. Chemical abstracts via Sci Finder Web
Interface Web de cette base de donnée
incontournable en chimie
NB: L’UHA ne dispose que d’un accès
pour l’ensemble de l’Université
Pour se connecter: cf. mode d’emploi
sur le portail de l’UHA
70
71. Chemical Abstracts
30 millions de références de
bibliographiques et une augmentation rapide
de la base (1.5 million de références depuis
janvier 2008, dont plus de 30% sont des
brevets)
Rapidité de l’indexation
Plus de 50 langues (anglais surtout, mais
pas seulement (Coréen, chinois,…)
71
79. Les plateformes de périodiques
électroniques
A bien différencier des bases de
données bibliographiques
Identifier les éditeurs et le contenu de
leur collection de périodiques
électroniques,
Faire un veille régulière
79
81. American Chemical Society
• ACS propose 39 périodiques à comité de
lecture dans le domaine de la recherche en
chimie et domaines connexes.
• Le texte intégral des articles est disponible
en général depuis 1996.
• L'ACS offre un service de signalement par
mail des nouveaux articles disponibles en
ligne avant leur parution sur papier , ASAP
Alerts, ainsi qu'un service d'envoi des
nouvelles tables des matières, Table of
Contents Alerts.
81
83. AIP-APS
La plateforme Scitation permet la recherche sur les revues
éditées par l'American Institute of Physics et l'American
Physical Society, ainsi que sur des titres édités par des
sociétés savantes, notamment :
Acoustical Society of America, American Association of Physics
Teachers, Society of Rheology, ... L'ensemble des articles des
revues de l'American Institute of Physics et de l'American
Physical Society, sont disponibles en texte intégral.
(Pour l'APS, le texte intégral des articles est également
disponible en archive, depuis la base PROLA).
Parmi les autres titres, sont accessibles en texte intégral :
American Journal of Physics, Journal of the Acoustical Society
of America, Journal of Rheology, Journal of Vacuum Science &
Technology, Powder Diffraction.
83
84. Royal Society of Chemistry
La Royal Society of Chemistry publie 44 titres de
revues électroniques.
7 bases de données en ligne sont également
accessibles :
Analytical Abstracts, Catalysts & Catalysed
Reactions, Chemical Hazards in Industry, Issues in
Environmental Science & Technology, Laboratory
Hazards Bulletin, Methods in Organic Synthesis,
Natural Products Updates.
La plupart de ces bases ont une couverture
documentaire qui remonte à 2000 (1978 pour les
Analytical Abstracts).
84
86. Science Direct
Science Direct est la plateforme d'accès aux
revues électroniques du groupe composé des
Editeurs Elsevier, Pergamon Press, Academic
Press, Churchill Livingstone, W.B. Saunders.
Plus de 7600 titres pluridisciplinaires sont
accessibles via ScienceDirect : l'accès à
l'année en cours plus un archivage remontant,
dans la plupart des cas, à 1995
86
88. SpringerLink
• La plateforme Springer Link, propose sur son
serveur Link plus de 2400 revues électroniques
pluridisciplinaires en texte intégral regroupant les
revues des éditeurs Springer-Verlag, Kluwer et
Maik Nauka.
• Toutes les disciplines sont représentées :
sciences dures (physique, chimie, astronomie,
biologie, sciences de la terre, mathématiques…),
techniques, médecine ainsi que les sciences
humaines (psychologie, philosophie, linguistique,
sciences sociales, économie, droit, sciences de
l’éducation…).
88
90. Wiley Online Library
Plus de 400 périodiques électroniques
multidisciplinaires destinés aux
chercheurs et professionnels, sont
accessibles en texte intégral à partir de
1996.
A intégré les collections de l’éditeur
Blackwell Synergy l’an passé.
90
92. Les archives ouvertes
Les entrepôts:
HAL,
TEL
Les moteurs de recherche:
OAISTER
Scientificommons
92
93. HAL: Archives ouvertes
françaises
Le Centre pour la Communication
Scientifique Directe (CCSD), créé par le
CNRS, met en ligne le serveur HAL
(Hyper articles en ligne). Le logiciel
fournit une interface qui permet aux
auteurs de déposer des manuscrits
d'articles scientifiques dans toutes les
disciplines:
123 953 documents le 09.06.09
93
101. Citation et non plagiat!
Directive 2001/29/CE du 22 mai 2001 exceptions
au droit d’auteur :
« lorsqu'il s'agit de citations faites, par exemple, à
des fins de critique ou de revue, pour autant
qu'elles concernent une œuvre ou un autre objet
protégé ayant déjà été licitement mis à la
disposition du public, que, à moins que cela ne
s'avère impossible, la source, y compris le nom de
l'auteur, soit indiquée et qu'elles soient faites
conformément aux bons usages et dans la mesure
justifiée par le but poursuivi » (art. 5, d).
101
102. Gestion des références
Logiciels de gestion bibliographiques (cf.
EndNote Web): exemple de Zotero
Sites de partages de signets: les
chercheurs acteurs de la bibliographie
Normes bibliographiques
102
103. Zotero
logiciel de gestion bibliographique
Un outil utile pour:
Collecter les références
bibliographiques
Ordonner les éléments bibliographiques
dans une base de données
Faciliter l’utilisation de la bibliographie
lors de l’écriture de la thèse
Cf. site URFIST
103
104. Partage de référence:
bookmarking?
DéfinitionDéfinition
Les logiciels de « bookmarking », tels que
CiteUlike ou del.icio.us, Connotea sont
des services de gestion de références
en ligne qui permettent de mutualiser les
références bibliographiques au sein de
la communauté des utilisateurs.
104
112. Pour en savoir plus:
Site Web de l’URFIST:
http://urfist.u-strasbg.fr/accueil.php
Site Netvibes de l’URFIST:
http://www.netvibes.com/urfistdestrasbourg#A
ccueil
vivares@unistra.fr
112
113. Références
Ware,Mark et Mickeal Mabe, The STM report: An Overview of scientific and scholarly
journal publishing, 2009, p.8 et suivantes, http://www.stm-
assoc.org/2009_10_13_MWC_STM_Report.pdf
Johan Bollen, Herbert Van de Sompel et al., Clickstream Data Yields High-Resolution Maps
of Science, http://www.plosone.org/article/info:doi/10.1371/journal.pone.0004803
Gallezot, Gabriel, Archives Ouvertes :définition et constat français,
http://www.unicaen.fr/services/puc/ecrire/preprints/preprint0032008.pdf
Gallezot, Gabriel et Simonnot Brigitte, L'entonnoir - Google sous la loupe des sciences de
l'information et de la communication, C&F Editions,2009
ML. Malingre et J. Sicot, Nouvelles modalités de l’Information Scientifique et Technique,
URFIST - SCD Université Rennes 2, 2009-2010,
http://www.slideshare.net/jsicot/nouvelles-modalits-de-linformation-scientifique
113