Le Kyste hydatique résulte du développement tissulaire de la larve ou hydatide d’un tænia échinocoque parasite à l’état adulte de l’intestin grêle des canidés. C’est une anthropozoonose cosmopolite, sévissant en zone d’élevage (ovins, bovins, caprins, porcins, camélidés, équidés, ...). L’échinococcose cystique est présente sur chaque continent sauf en Antarctique.
Echinococcus granulosus est un petit taenia du chien (4 à 6 mm) ne comportant que 3 à 5 anneaux dont le dernier occupé par un utérus ramifié rempli d’œufs.
oxygenotherapie est une lecon donner a l'université concerrnant les eleves en sciences infirmieres en premiere annee et c'est facile pour ceux qui sont interesser de s'informer sur la therapie en oxygene.
Le Kyste hydatique résulte du développement tissulaire de la larve ou hydatide d’un tænia échinocoque parasite à l’état adulte de l’intestin grêle des canidés. C’est une anthropozoonose cosmopolite, sévissant en zone d’élevage (ovins, bovins, caprins, porcins, camélidés, équidés, ...). L’échinococcose cystique est présente sur chaque continent sauf en Antarctique.
Echinococcus granulosus est un petit taenia du chien (4 à 6 mm) ne comportant que 3 à 5 anneaux dont le dernier occupé par un utérus ramifié rempli d’œufs.
oxygenotherapie est une lecon donner a l'université concerrnant les eleves en sciences infirmieres en premiere annee et c'est facile pour ceux qui sont interesser de s'informer sur la therapie en oxygene.
Cette conférence portera sur les 10 principaux facteurs qui expliquent le faible taux d'observance des soignants envers l'hygiène des mains, et présentera des pistes de solution afin de corriger ces facteurs. Au terme de cette présentation, les auditeurs seront en mesure de présenter les principaux arguments afin de promouvoir de bones pratiques d'hygiène des mains.
PLAIE CHIRURGICALE :Incision de la peau créée intentionnellement.
PLAIE ATONE Plaie non évolutive, généralement sèche, souvent recouverte de tissu blanchâtre.
PLAIE CONTAMINÉE Présence microbienne dans la plaie, flore commensale.
PLAIE COLONISÉE Prolifération bactérienne dans la plaie sans pour autant de réaction systémique immunitaire.
PLAIE INFECTÉE Invasion et multiplication des micro-organismes provoquant une réponse inflammatoire locale et/ou systémique et des symptômes et des signes cliniques d’infection (fièvre, chaleur, rougeur, douleur, œdème).
PLAIE SOUS-MINÉE Comporte des anfractuosités plus ou moins sinueuses et profondes sous les berges de la plaie.
PLAIE CAVITAIRE Comporte une partie creuse.
PLAIE FISTULEUSE Comporte une communication entre un organe creux et la peau. PHLYCTÈNE (DÉCOLLEMENT BULLEUX) Ampoule vésiculaire transparente formée par de la sérosité sous-épidermique. S’il y a hémorragie, le contenu devient rouge puis noir et le risque d’infection est accru.
PLAIE CHIRURGICALE :Incision de la peau créée intentionnellement.
PLAIE ATONE Plaie non évolutive, généralement sèche, souvent recouverte de tissu blanchâtre.
PLAIE CONTAMINÉE Présence microbienne dans la plaie, flore commensale.
PLAIE COLONISÉE Prolifération bactérienne dans la plaie sans pour autant de réaction systémique immunitaire.
PLAIE INFECTÉE Invasion et multiplication des micro-organismes provoquant une réponse inflammatoire locale et/ou systémique et des symptômes et des signes cliniques d’infection (fièvre, chaleur, rougeur, douleur, œdème).
PLAIE SOUS-MINÉE Comporte des anfractuosités plus ou moins sinueuses et profondes sous les berges de la plaie.
PLAIE CAVITAIRE Comporte une partie creuse.
PLAIE FISTULEUSE Comporte une communication entre un organe creux et la peau. PHLYCTÈNE (DÉCOLLEMENT BULLEUX) Ampoule vésiculaire transparente formée par de la sérosité sous-épidermique. S’il y a hémorragie, le contenu devient rouge puis noir et le risque d’infection est accru.
PLAIE CHIRURGICALE :Incision de la peau créée intentionnellement.
PLAIE ATONE Plaie non évolutive, généralement sèche, souvent recouverte de tissu blanchâtre.
PLAIE CONTAMINÉE Présence microbienne dans la plaie, flore commensale.
PLAIE COLONISÉE Prolifération bactérienne dans la plaie sans pour autant de réaction systémique immunitaire.
PLAIE INFECTÉE Invasion et multiplication des micro-organismes provoquant une réponse inflammatoire locale et/ou systémique et des symptômes et des signes cliniques d’infection (fièvre, chaleur, rougeur, douleur, œdème).
PLAIE SOUS-MINÉE Comporte des anfractuosités plus ou moins sinueuses et profondes sous les berges de la plaie.
PLAIE CAVITAIRE Comporte une partie creuse.
PLAIE FISTULEUSE Comporte une communication entre un organe creux et la peau. PHLYCTÈNE (DÉCOLLEMENT BULLEUX) Ampoule vésiculaire transparente formée par de la sérosité sous-épidermique. S’il y a hémorragie, le contenu devient rouge puis noir et le risque
2. Définition
• « produit destiné à détruire les microorganismes présents sur les
tissus vivants (peau saine, muqueuses, plaies) utilisé dans des
conditions définies »
• Médicament avec Autorisation de Mise sur le Marché (A.M.M) pour
utilisation:
• Sur peau lésée
• Sur peau saine avant effraction (champ opératoire, injection…)
3. Antiseptiques Antibiotiques
Spectre d’activité large étroit
Voie d’administration externe VO, IV, IM, externe
Vitesse d’action rapide lente
Température d’action 32°C 37°C
Bactéricidie (in vitro) 5log 4log
Fréquence des résistances
acquises
+faible (?) élevée
6. Caractéristiques
Inactivation des ATS par les matières
organiques et les savons
• Pénétration meilleure sur peau
propre
• « Règle » des 4 temps:
• Durée pendant laquelle l’ATS va
continuer à être actif sans
renouveler son application:
• Chlorhexidine: 1 à 4h
• PVP-I alcoolique: 3h
• Alcool: pas d’action rémanente
Rémanence
7. Choisir un antiseptique MAJEUR
• Activité bactéricide, large spectre et action rapide
• Concentration d’emploi la plus élevée avec tolérance cutanée
acceptable
• Choix fonction des indications et contre-indications de l’AMM
Biguanides Dérivés Iodés Dérivés chlorés Alcools
Chlorhexidine
≥ 0.5% (seule)
Polyvinylpyrrolidone
ou povidone iodée
(PVP-I)
≥0.5% Chlore actif Ethanol 60-70%
Hibitane®
Biseptine®
Bétadine® Dakin®
Amukine®
8. Privilégier un antiseptique ALCOOLIQUE
• Action antiseptique propre de l’alcool
• Rapidité de l’action de l’alcool en quelques secondes
• Fort indice de pénétration de l’alcool au niveau de la peau
• Pour les produits iodés
• il augmente la concentration du diiode
• Il augmente la pénétration du diiode
• Mais l’alcool s’évapore rapidement : intérêt de l’association à un
antiseptique ayant une action rémanente
9. Ne sont pas des antiseptiques…
• Colorants (éosine, violet de gentiane, solution de Millian…)
• Ether
• Eau oxygénée
• Produits hydro-alcooliques pour désinfection des mains
• Solutions de chlorhexidine à 0,05%: activité bactéricide insuffisante,
ne doivent plus être utilisées pour l’antisepsie
10. Choix des antiseptiques: les questions à se poser
• Quel site?
• peau ou muqueuse?
• saine ou lésée?
• Quel niveau de risque infectieux (geste)?
• Haut/intermédiaire/Bas
• Quel type de patient?
• Adulte
• Enfant (âge, fréquence d’utilisation)
• Femme enceinte (fréquence d’utilisation)
11. Quel site?
• Peau saine
• Privilégier ATS alcoolique
• Peau lésée
• ATS aqueux
Plaies chroniques: ulcères, escarres, plaies de pied diabétique
• Pas d’antiseptiques (intolérance, retard de cicatrisation, risque de résistances, incompatibilité
avec certains pansements…)
• Muqueuse:
• ATS aqueux
13. Exemples d’actes et type d’antisepsie
recommandée en EMS
Niveau de risque INTERMEDIAIRE
Antisepsie en 4 temps avec 1 badigeon
d’antiseptique:
Détersion/rinçage/séchage/antiseptique
Pose de perfusion sous-cutanée
Pose de sonde urinaire à demeure
Sondage évacuateur (hétérosondage)
Pose de cathéter veineux périphérique pour une
longue durée
Prélèvement sanguin pour hémoculture
Réfection de pansement (CCI, CVC…)
Niveau de risque INTERMEDIAIRE
Antisepsie en 2 temps:
Antiseptique alcoolique (2 passages)
Pose de cathéter veineux périphérique pour une
courte durée (radiologie, pose en urgence…)
Niveau de risque BAS
Antisepsie en 1 temps:
Antiseptique alcoolique (1 passage)
Contrôle glycémique (hors autocontrôle)
Injections IV, IM, SC (dont insuline)
Prélèvement sanguin (hors hémoculture)
Vaccin
14. Quel type de patient?
• Adulte
• Enfant (âge, fréquence d’utilisation)
• Femme enceinte (fréquence d’utilisation)
• ATCD d’hypersensibilité
• …
Cf RCP (AMM)
15. • aqueuse, alcoolique, scrub, gynécologique, bain de bouche
• Indications:
Détersion antiseptique de la peau saine, muqueuse, plaies (scrub)
Antisepsie de la peau saine (alcoolique)/lésée (aqueuse)/muqueuse (gynéco, bouche)
• Contre-indications:
Nouveau-né< 1 mois
Allergie à un des constituants
De façon prolongée pendant 2ème et 3ème mois de grossesse
• Précautions d’emploi:
Prudence chez l’enfant de 1 à 30 mois (rinçage)
Prudence lors de dysfonctionnements thyroïdiens
• Effets secondaires
Dysfonctionnement thyroïdien par surcharge iodée
(préma, grand brûlé)
Réaction d’hypersensibilité, eczéma de contact
Povidone iodée (PVP-I)
16. • aqueuse, alcoolique, scrub, en association
• Indications:
Détersion antiseptique de la peau (scrub), antisepsie peau saine (alcoolique), des plaies (Biseptine®)
• Contre-indications:
Neurotoxique (cerveau, méninges, oreille moyenne et interne, œil si > 0,02%)
Cavités internes (lavage, irrigation) à cause des excipients
• Précautions d’emploi:
Irritant pour les muqueuses si c> 0,02% (œil, muqueuse génitale)
• Effets secondaires:
Allergie: eczéma, urticaires…
Chlorhexidine
17. • Indications:
Antisepsie de la peau saine ou lésée et muqueuses
AES/Dakin
• Contre-indications/ précautions d’emploi
Aucune contre-indication
Conserver à l’abri de la lumière, air et chaleur
Utiliser sur peau nettoyée et rincée (inhibition par les matières organiques)
• Effets secondaires:
Sensation de brûlures sur peau lésée
Dérivés chlorés
18. • Indications:
Antisepsie de la peau saine avant injection IV ou SC, prélèvements sanguins
Pansements alcoolisés
En association: renforce le spectre d’activité et favorise le séchage
• Contre-indications et précautions d’emploi:
Ne pas appliquer sur des muqueuses et les plaies
Ne pas utiliser avant de réaliser une glycémie capillaire (perturbe la glycémie)
Eviter l’application large sur la peau d’un nourrisson de – de 30 mois
• Effets secondaires:
Si usage fréquent :possible irritation locale (sécheresse, desquamation)
Ethanol 60 ou 70°
Manipulation
aseptique de
dispositifs (sites de
prélèvements,
bouchons…)
19. Gestion des ATS: principes généraux
• Utiliser de préférence des petits
conditionnements ou doses unitaires
stériles (à éliminer après utilisation)
• Noter la date d’ouverture sur les flacons
multi-doses
• Respect du délai d’utilisation après ouverture
• Ne pas reconditionner les flacons, ni
compléter un flacon entamé
• Après utilisation, reboucher le flacon et
nettoyer l’extérieur avec un détergent
désinfectant
• Conserver à l’abri de la lumière
1 mois
20. Gestion des ATS: principes généraux
• Intolérance locale favorisée par:
• Persistance d’humidité (ATS sans alcool), pb
de séchage (plis)
• Utilisation quantité excessive d’ATS
• Contact prolongé (pansement occlusif)
• Rinçage insuffisant (savons ATS)
• Respect du temps de contact
• Respect du séchage spontané (ne pas
sécher avec une compresse)
• Réaliser l’antisepsie avec des compresses
stériles
X
22. Faites un tableau dans votre EMS
• Travailler avec pharmacien, EOH
• Limiter les références disponibles (harmonisation des pratiques, évite les
confusions)
23. De nouvelles recommandations…
Antisepsie avant gestes invasifs (haut niveau de risque):
• abandon de la détersion si peau visuellement propre(?)
• supériorité de la chlorhexidine alcoolique à 2% vs PVP-I alcoolique(?)
• Potentialisation en cas d’association d’ATS de gammes différentes?